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Temps de lecture estimé : 18 mn
23/06/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  La rencontre que j'eus la chance de faire cette année-là allait tout changer et marquer toute ma vie en orientant très fortement ma libido vers les plaisirs partagés.
Critères:  fh fplusag jeunes boitenuit
Auteur : Julius Cassiacus      

Série : Just a gigolo

Chapitre 01 / 10
La rencontre

Préambule


Je précise pour la compréhension de cette histoire qu’elle se déroule au temps où le Sida n’avait pas encore fait son apparition. Les rapports non protégés ne sont plus possibles désormais, mais à l’époque ce n’était pas la préoccupation première, et le préservatif était peu – voire très peu – utilisé. Par ailleurs, la liberté sexuelle était en marche, et même en marche accélérée. Elle restait cependant limitée par la peur d’une grossesse non désirée, la pilule n’étant pas encore prise par toutes les femmes. En conséquence à 20 ans, nos expériences sexuelles étaient plutôt faites de flirts poussés que de véritables accouplements ; les partenaires de notre âge qui baisaient n’étaient pas légion. Comme disait je ne sais plus qui, c’était : « La main dans le truc, le truc dans la main, mais pas le truc dans le truc. » Je n’étais certes pas puceau : j’avais eu quelques étreintes qui s’étaient bien passées, ma foi, mais ma connaissance de la sexualité féminine – et de la psychologie qui va avec – restait limitée. La rencontre que j’eus la chance de faire cette année-là allait tout changer et me faire progresser rapidement dans la connaissance de la sexualité, et aussi marquer toute ma vie en orientant très fortement ma libido vers les plaisirs partagés.





LA RENCONTRE




J’avais dépassé de peu mes 20 ans, et pour financer en partie mes études je travaillais une partie de l’été dans une entreprise qui faisait des contrôles. Ce job m’amenait à me déplacer sur de nombreux chantiers. Cette année-là, mon ami Jean-Claude avait été embauché dans la même société, et comme j’avais l’expérience de plusieurs saisons, on n’avait pas hésité à nous envoyer ensemble sur un chantier situé au fond d’une de ces vallées alpines qui avaient développé le tourisme d’hiver, mais restaient assez peu fréquentées en été.


Arrivés sur place, après un voyage pas très confortable dans la camionnette transportant notre matériel, nous nous sommes mis en quête d’un petit hôtel en rapport avec les frais de déplacement que nous octroyait notre employeur. Je n’ai jamais su si nous avions trouvé le meilleur et le moins cher, mais dans celui que nous choisîmes, l’hôtesse nous reçut avec un grand sourire, et entreprit tout de suite de nous choyer en nous donnant à chacun une des meilleures chambres pour le prix des plus modestes. Il est vrai que les clients n’étaient pas nombreux. Elle était notre aînée d’une dizaine d’années et semblait apprécier notre verve et notre jeunesse. Aussi dès le deuxième soir, en rentrant du chantier, nous lui demandâmes si, dans ce coin qui paraissait un peu perdu, il existait des endroits où s’amuser le soir.



Après le dîner, notre hôtesse nous trouva quelqu’un qui « montait » en voiture à la station et qui accepta de nous emmener. Il était environ 22 heures lorsque notre chauffeur nous largua au centre du village. Immédiatement, nous vîmes qu’elle avait dit vrai. Il faisait très beau en ce début de juillet, et de nombreux groupes de femmes déambulaient dans les rues. Il y en avait pour tous les goûts et de tous les âges. Quelques-unes étaient de notre génération, mais pour la plupart elles étaient plus âgées. Par contre, même si certaines étaient fortes, on n’avait pas l’impression que la moyenne pondérale soit beaucoup plus élevée qu’ailleurs. Les groupes étaient joyeux et bruyants, les rires nombreux et sonores. Il nous fut très facile de lier conversation et d’échanger des plaisanteries. Manifestement, elles semblaient – du moins en groupe – très disponibles. Quelques discussions nous permirent de savoir où était le meilleur dancing du coin. Vu la taille du patelin, il n’était pas bien loin.


La première impression, dès l’arrivée, fut que dans cette boîte régnait la pénombre la plus sombre. Dans certains coins le noir était presque total. Le bar était chichement éclairé, et dans la même pièce, les tables l’étaient encore moins. Mais dans la pièce attenante, où était la piste de danse, il n’y avait pas de lumière du tout. Intrigués, nous avons d’abord pensé que le but était de dissimuler les rondeurs des clientes. La suite nous prouva que ce n’était certainement pas la raison principale.


Nous nous installâmes à une table pas très loin du bar. La musique ne débitait que des slows. Manifestement, tout était fait pour flirter sans retenue et le plus anonymement possible. Un serveur vint prendre notre commande. En attendant nos verres, nous nous sommes intéressés aux personnes présentes. À part nous, les clients attablés dans cette première pièce étaient exclusivement des clientes. Certaines étaient seules, d’autres à deux ou trois, pas plus. Au fur et à mesure que je m’habituais à l’obscurité, je distinguais un peu mieux les visages et les corps. Notre arrivée n’était pas passée inaperçue, et semblait être l’objet des commentaires de celles qui étaient entre copines. À un mètre de moi, au bord de la salle obscure, tournée vers la piste où l’on distinguait à peine les couples qui dansaient, se tenait une fille assez grande et qui paraissait plutôt mignonne. Je laissai Jean-Claude et j’allai l’inviter. Elle accepta immédiatement et me suivit sur la piste, où elle se colla immédiatement contre moi. Nous étions de la même taille, et son corps épousait étroitement le mien. Elle m’apprit qu’elle s’appelait Christine, qu’elle avait 22 ans et qu’elle était accompagnée d’une copine qui était restée attablée près du bar. Elle ajouta que la station n’était pas marrante car on n’y rencontrait peu de personnes intéressantes.



En disant cela, ma main qui tenait sa taille descendit pour caresser ses fesses, tandis que l’autre empaumait son sein gauche. Sa réaction fut de coller son pubis contre mon bas-ventre et de me masser la nuque. Je n’étais pas si direct d’habitude, mais elle semblait si disponible que j’avais, sans vraiment réfléchir, brûlé les étapes, quitte à provoquer une réaction de retrait qui ne vint pas, au contraire. C’était plus qu’inattendu. Mon expérience de la drague en boîte n’était pas immense, mais je n’avais jamais vu les choses aller aussi vite. Sans me poser de questions, j’entamai un baiser profond. Sa bouche était très chaude et sa langue agile. Mes mains se firent plus insistantes. Son soutien-gorge ne m’empêchait pas de mesurer la fermeté ni le volume de son sein. Enhardi par son approbation muette et par l’obscurité, je commençai par ouvrir son corsage pour retourner le bonnet du soutif vers le bas et pouvoir caresser un sein superbe, haut planté, rebondi à souhait et doux comme de la soie. La pointe, bien que peu développée, s’érigea immédiatement.


De l’autre main je revins vers ses fesses, mais sous la jupe cette fois. Écartant la culotte pour passer mes doigts dans sa raie, je lui titillai délicatement l’anus. Elle continuait à m’embrasser mais ne faisait pas un geste, ni pour me repousser ni pour me rendre mes caresses. J’aurais aimé qu’elle s’intéresse de plus près à mes attributs sexuels, mais sa main gauche ne quittait pas ma nuque tandis que de la droite elle pesait sur mes reins pour me plaquer contre son pubis. Avec tout ça, je commençais à avoir une grosse érection qu’elle ne pouvait ignorer !

Nous étions dans un coin de la piste, ondulant sur place. Autour de nous les autres couples étaient aussi occupés à se peloter sans vergogne.


Après quelques minutes, je la plaquai carrément contre le mur, puis je lâchai ses fesses pour venir caresser son ventre avant de glisser ma main sous l’élastique du slip et de m’emparer de sa chatte. Elle écarta immédiatement les cuisses, et je pus masser son clitoris avant de faire entrer un doigt entre ses lèvres vaginales. Elle était très humide ; il fut donc facile de l’investir manuellement. Mais ma verge commençait à ne plus tenir dans sa prison de toile. Et elle ne faisait toujours rien pour s’en occuper. J’étais surpris ! D’habitude, un flirt poussé, c’était « la main dans le truc, le truc dans la main ». J’avais bien fait ma part du chemin, mais elle rien ! Du coup, je décidai de poursuivre mon action. Me sentant toujours protégé par l’obscurité, je lâchai son sein pour descendre mon zip, baisser mon slip et sortir ma queue à l’air libre. Écartant sa jupe et sa culotte d’une main, je dirigeai de l’autre ma verge vers l’entrée de son sexe. Elle ouvrit encore plus les cuisses, et mon gland put sans gêne se frotter contre ses grandes lèvres bien lubrifiées. Je commençais à la pénétrer lorsqu’elle se crispa et eut un mouvement de recul. Je crus que j’avais finalement atteint, et même dépassé la limite.



Effectivement, j’entendais quelqu’un appeler à mi-voix « Christine ? Christine ? »



N’ayant aucun goût pour le viol ou pour la moindre contrainte en matière de sexe, je la laissai s’éloigner. Très frustré, je remis ma verge dans sa prison tandis qu’elle rejoignait la salle du bar. J’avais à peine terminé ma difficile entreprise de réinsertion qu’elle revenait vers moi.



Ma conquête disparue, j’examinai la salle de danse. Je n’avais pas l’intention d’en rester là. Autour de moi il y avait encore un tas de femmes qui attendaient qu’on les invite. Et comme je n’étais pas sûr du tout du retour de Christine, il me fallait trouver une autre cavalière. Elle m’avait mis en condition, j’étais chaud. Et, à tort ou à raison, compte tenu de la rapidité de cette première expérience, je m’étais mis dans l’idée de baiser le soir même. Ce genre d’occasion n’étant pas fréquent, il fallait, si c’était possible, en profiter.


Sans être nyctalope, je commençais à mieux voir dans le noir. Très vite, je repérai plusieurs tables en bordure de piste occupées par des femmes seules. Mon attention se porta sur une brune de taille moyenne qui occupait une table un peu à l’écart dans un coin de la salle. Je m’approchai sans hâte. De ce que je pus voir, elle portait une espèce de pull de couleur sombre rehaussé de fils brillants qui scintillaient un peu sous la très faible luminosité de la pièce, et une jupe assez courte de la même couleur, en stretch. Visiblement, elle était plus âgée que la précédente. Je pouvais espérer qu’elle soit un peu plus stable dans ses choix et, comme elle était seule, qu’elle n’aurait pas de copine à raccompagner. En quelques secondes ma décision était prise et je l’invitai à danser.


Elle accepta de suite avec un grand sourire, et se coula (c’est le mot qui convient) dans mes bras. Une paire de seins que je jugeai plutôt volumineuse s’écrasa contre ma poitrine. Elle était enveloppée d’un délicieux parfum, un truc qui devait coûter très cher. Plus petite que ma précédente cavalière, elle avait néanmoins des jambes assez longues, le ventre plat, ce qui lui permit de frotter son pubis contre ma braguette avec une insistance de bon aloi. Décidément, on continuait sur le même registre ! Ici, le temps était compté ; foin des approches préliminaires, on entrait de suite dans le vif du sujet.


Sans plus d’hésitations qu’avec ma cavalière précédente, je commençai immédiatement à la peloter. Mais dès que j’empaumai un de ses seins, elle me prit la main et me la plaqua sur ses fesses. Qu’à cela ne tienne : je lâchai sa taille et j’empoignai son cul à deux mains ; elle se colla encore plus contre moi.

Mon sexe, un instant calmé, s’était enflammé à nouveau grâce au frottement de son pubis. Elle ne pouvait ignorer que je bandais fermement. Poursuivant mon entreprise de séduction, je l’embrassai dans le cou, puis je fis jouer ma langue contre sa peau tendre. Sa réaction fut immédiate et brutale : elle se cambra en émettant une espèce de bruit de gorge proche du hennissement. En même temps, ses ongles s’enfoncèrent dans ma nuque.

« Bon sang qu’elle est chaude… Du point de vue reprise, c’est une Ferrari comparée à la jeunette de tout à l’heure ! »


La salle se vidait quelque peu, mais des couples restaient sur les banquettes. À voir leurs positions, ils devaient baiser ou se faire des choses du même style. L’obscurité toujours aussi profonde autorisait toutes les audaces, d’autant plus que tous étant bien occupés, personne ne matait personne. Je recommençai à l’embrasser dans le cou, et j’obtins le même résultat que la première fois.



Pour toute réponse, elle se mit à m’embrasser avec fougue, faisant jouer sa langue dans ma bouche avec frénésie, et se frottant encore plus contre moi. Elle s’accrochait à mon cou en me massant la nuque. Mes deux mains descendirent le long de ses hanches et s’activèrent pour remonter la jupe sur ses fesses. Elle était assez serrée et ce ne fut pas simple, mais j’y parvins avec sa complicité. Lorsque ce ne fut plus qu’une ceinture autour de sa taille, j’investis sa culotte de mes deux mains, l’une devant, l’autre derrière. Je caressai deux petites fesses peu musclées et même plutôt molles, ce que je ne déteste pas. Sa raie était peu profonde, et l’on accédait de suite à son intimité. Son pubis, comme souvent chez les femmes un peu mûres, était légèrement rembourré, la toison assez fournie (on n’était pas encore au temps des pubis sans poils) et sa fente ruisselait littéralement. J’y plongeai mes doigts avec délice, jouant avec le clitoris assez développé, pénétrant les chairs brûlantes et humides.

À ce moment-là, quelqu’un tapa sur mon épaule. Je me redressai, prêt à envoyer promener le triste individu qui m’interrompait au milieu de mon exploration, et…



Elle se tenait près de nous sans aucune gêne, pour autant que l’obscurité me permettait d’en juger. J’étais un peu interloqué, mais je décidai de lui répondre car elle ne semblait pas vouloir s’éloigner.



La situation avait quelque chose d’insolite car je continuais à investir avec passion les fesses et la chatte de ma cavalière qui haletait dans mon cou. Enfin, après une seconde d’hésitation, la jeune femme tourna les talons et nous laissa à nos occupations. C’est à ce moment-là que ma nouvelle compagne intervint :



La situation était cocasse : j’avais ma main dans la culotte de la dame, et elle me vouvoyait.



Elle m’entraîna vers sa table. Elle s’installa sans hésitation sur la banquette et me fit asseoir près d’elle. Sitôt après, je voulus reprendre mes explorations, mais je constatai qu’elle avait profité du retour vers la table pour descendre sa jupe et se rajuster.



Comme par enchantement, un garçon apparut dans la minute qui suivit. Elle commanda un scotch et je fis de même.



C’est vrai qu’on venait de se rencontrer. Mais si elle était réticente pour dire « tu », elle laissait le premier venu mettre sa main dans sa culotte ! Curieux… Finalement, « tu » ou « vous », dans sa chambre ou ailleurs, peu importe : il fallait que je la baise. Je me jetai sur elle pour l’embrasser dans le cou, puisqu’il semblait que c’était son point faible. En même temps, ma main plongea entre ses cuisses pour atteindre sa culotte que je trouvai trempée de mouille.



Je lui laissai ce répit. Je voulus recueillir le triangle de dentelle pour le mettre dans ma poche et le ramener comme un trophée, mais elle refusa de me le céder et le glissa dans son sac.

Lorsque ce fut fait, elle s’attaqua à ma braguette d’où, avec dextérité, elle sortit ma verge bandée. Pendant qu’elle me branlait doucement, j’investis à nouveau son entrecuisse dégoulinant de liqueur gluante. Quelques caresses la mirent dans tous ses états. Elle gémissait et semblait prête à jouir.


Je la fis se lever pour remonter à nouveau sa jupe jusqu’à la taille. Elle se pencha vers l’avant, m’offrant sa croupe, et guida de sa main ma verge bien dure vers sa raie. Elle était tellement bien lubrifiée que je n’eus pas à chercher mon chemin. Ma bite s’enfonça en elle comme dans une motte de beurre chaud. Sous la pénétration, elle gémit et se cambra. La prenant aux hanches, je me mis à la baiser avec ardeur. Je crois que dès le moment où je me suis introduit en elle, elle eut un orgasme. Sa chatte sécrétait sans arrêt une abondante liqueur. Son vagin n’était pas très serré autour de ma bite, mais j’avais l’impression d’une caresse douce et soyeuse. Ses orgasmes se succédaient presque sans discontinuer. Elle en eut de nombreux car il me fallut quelques longues minutes d’allers et retours dans sa chatte pour éjaculer. J’étais en effet habitué à des vagins plus serrés et moins bien lubrifiés. Finalement, je me déversai en elle à longs jets de sperme. Tout le temps que dura mon orgasme, je la maintins fermement aux hanches, mon sexe complètement enfoncé au fond de son intimité.

Lorsqu’enfin nous nous séparâmes, elle se retourna vers moi et, passant ses bras autour de mon cou, me susurra doucement d’une voix un peu rauque :



D’un coup, elle était passée du vouvoiement au tutoiement ! C’était sans doute la quantité de sperme que je lui avais administrée qui faisait que notre intimité avançait à grands pas.



Jaser ? Ça me paraissait surréaliste : je l’avais baisée au bord de la piste dans la boîte de nuit où, malgré l’obscurité, tout le monde avait pu nous voir, ou du moins deviner ce que nous faisions, et elle disait avoir peur de faire jaser ? Naïveté ou prétexte ?



« Prétexte ! »



Elle eut un rire de gorge.



Sur cette phrase énigmatique, après un rapide baiser, elle se prépara à partir, me demandant d’attendre qu’elle ait quitté la boîte pour m’en aller à mon tour. J’eus le temps de méditer sur le « peut-être », le « pour l’instant » et sur « celui que je cherche », tout en me disant que de toute façon notre histoire s’arrêtait après notre deuxième rencontre demain soir.


Le retour était un problème ; plus de taxi, pas de voiture. J’entamai bravement la descente vers la vallée, environ 7 km en pleine nature. À plus de minuit, pas marrant !

Heureusement, sans que je l’aie sollicitée, une grosse berline s’arrêta ; le chauffeur s’enquit de ma destination et poussa la sollicitude jusqu’à m’amener devant l’hôtel. C’était encore l’époque où les gens n’avaient pas peur de prendre en stop un homme jeune, la nuit au bord d’une route quasi déserte.


Après avoir chaleureusement remercié le couple qui m’avait pris en charge, je me glissai sans bruit dans la chaufferie au sous-sol pour rejoindre ma chambre par un escalier de service, comme nous l’avait indiqué l’hôtesse avant que nous partions en bordée. Je ne fus néanmoins pas assez discret pour ne pas la réveiller… Ou alors, elle était en alerte et attendait. Bref ! Je la vis soudain sur le palier qui menait à notre étage.



Tout en parlant, j’étais arrivé près d’elle. Surpris par la question et par l’intérêt qu’elle marquait pour le succès de ma sortie en boîte, je la détaillai un peu plus. Légèrement plus petite que moi, elle avait un joli visage encadré de cheveux bruns coupés mi-longs. Elle était vêtue d’un peignoir assez long au décolleté un peu lâche qui laissait voir la naissance de sa poitrine. Ses seins étaient peut-être un peu lourds, mais pleins et fermes ; ils marquaient légèrement le tissu au niveau des mamelons. Notant mon regard, elle resserra le col dans sa main fermée en croisant les bras sur sa poitrine.



Et elle s’éclipsa rapidement, me laissant les bras ballants sur le pas de ma porte.

Jean-Claude n’était pas rentré. J’en déduisis que lui aussi avait trouvé « chaussure à son pied ». Je m’endormis rapidement en pensant que, peut-être, j’allais chercher bien loin ce qui était à ma portée, et que notre hôtesse…

« Au fait, pensai-je en sombrant dans le sommeil, est-ce qu’elle a un mec ? »


Le lendemain matin, mon copain n’était toujours pas rentré lorsque j’entamai mon petit déjeuner. Enfin, par la fenêtre de la salle à manger, je le vis descendre d’un taxi. M’ayant aperçu, il me rejoignit.




À suivre…