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Temps de lecture estimé : 17 mn
01/07/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Je découvre la sexualité grâce à une femme plus agée.
Critères:  fh fplusag noculotte fellation
Auteur : Julius Cassiacus      

Série : Just a gigolo

Chapitre 02 / 10
Deuxième soirée en boîte

Résumé de l’épisode précédent :

En stage avec mon copain Jean-Claude, nous avons la chance au cours d’un déplacement de passer une soirée dans une boîte bourrée de femmes à la recherche d’un amant. Après une première tentative ratée, j’emballe Béatrice, une bourgeoise friquée que je baise sur place. Jean-Claude ne revient que le lendemain matin…




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DEUXIÈME SOIRÉE EN BOÎTE




Jean-Claude avait des poches sous les yeux et ne me paraissait pas très frais.



Il se dirigea vers sa chambre, croisant l’hôtesse qui apportait un pot de café.



Sans répondre, elle me tourna le dos et disparut vers l’office.


Une demi-heure plus tard, mon Jean-Claude, un peu moins chiffonné, apparaissait.



Compte tenu des quelques heures de sommeil que j’avais pu avoir, mon ardeur au travail était pour le moins émoussée. De son côté, Jean-Claude avait encore plus de peine que moi à se tenir éveillé. La pause de midi fut la bienvenue. Manger nous réveilla quelque peu, et mon copain put enfin me raconter la soirée qu’il avait vécue.



Je détaillai ma soirée à Jean-Claude. À côté de lui, j’avais l’air un peu court en performances, mais je n’en étais pas vexé pour autant car mon copain avait la réputation d’avoir un six-coups, voire plus dans les grands moments. Et là, il semblait bien qu’il soit tombé sur quelqu’un qui pouvait lui tenir tête.



Et malgré notre fatigue, nous avons bossé comme des malades. Nous n’avons pas quitté le chantier avant 19 h 30. Qu’est-ce que ça ne fait pas faire, les nanas !

Nous sommes rentrés directement à l’hôtel, où la patronne semblait nous attendre :



Dieu, que c’est bon, une douche ! Surtout quand on est crevé. Je suis bien resté cinq minutes sous l’eau chaude pour savourer.

Ensuite, nous avons pris notre repas au restaurant de l’hôtel. La patronne était aux petits soins. Elle était tout à fait baisable et je gardais dans un coin de ma tête de tenter au moins un flirt un peu poussé avec elle. Mais j’avais du mal à comprendre son comportement. Elle soufflait le chaud et le froid. Tantôt aguicheuse et engageante, tantôt renfrognée et sur la défensive.


D’abord elle nous avait donné toutes les infos pour que nous puissions trouver un bon coup. Il semblait maintenant qu’elle nous désapprouvait. J’avais ensuite été surpris quand elle était apparue la veille quand je rentrais. Elle semblait curieuse du résultat de notre escapade, mais de là à m’interroger en pleine nuit en peignoir, il y avait un pas. Ensuite, elle s’était vite sauvée comme si elle regrettait d’avoir provoqué mes avances. Je pouvais très bien comprendre qu’elle ne souhaitait pas passer juste derrière une curiste quelconque ; mais d’un autre côté, mon aventure semblait l’exciter. Ce matin, elle semblait furieuse que Jean-Claude ait découché, et ce soir elle nous chouchoutait. Espérait-elle que nous n’y retournerions pas ?

En tout cas, après cette remise en forme, nous étions à nouveau prêts à revoir nos conquêtes de la veille.



L’hôtesse nous rejoignit à la porte du restaurant :



Il était bien 22 h 30 quand nous sommes arrivés dans la boîte. Jean-Claude trouva immédiatement son amie au bar et je l’abandonnai pour chercher Béatrice. Sans surprise, elle était à sa table habituelle. J’eus à peine le temps de lui effleurer les lèvres dans un baiser rapide qu’elle me faisait asseoir.



Sur ces mots dits d’une voix boudeuse, elle m’entraîna sur la piste dans le coin le plus sombre. De suite, elle dirigea mes mains vers son fessier et se pendit à mon cou en me massant la nuque. Je l’embrassai goulûment dans le cou, et elle se cambra en feulant. Je relevai sa courte jupe pour caresser ses fesses à même la peau. Elle n’avait pas mis de culotte ! C’était le genre de surprise qui me mettait immédiatement en condition. Aussi je bandai ferme de suite.


De son côté, elle entreprit d’ouvrir ma braguette et elle sortit ma queue qu’elle massa vigoureusement pendant quelques secondes, puis elle se laissa glisser à genoux et ses lèvres s’arrondirent autour de mon pénis qu’elle engloutit. Divine sensation. Sa bouche était chaude à souhait ! Elle entama alors une fellation en règle. Je n’avais pas une expérience universelle de ce type de jeu buccal, mais j’avais quand même eu quelques expériences dans ce domaine ; le plus souvent avec des filles qui ne voulaient pas se risquer à baiser. Et je dois avouer qu’avec Béatrice, ça dépassait tout ce que j’avais pu connaître avant. Depuis, l’âge et la pratique m’ont appris que les meilleures fellatrices le sont souvent parce qu’elles ont une véritable attirance pour le sexe masculin. Pas uniquement comme l’instrument qui sert pour baiser et se faire jouir, mais vraiment comme une chose vivante dont la simple vue leur donne une irrésistible envie de caresser et de sucer. La suite prouva que Béatrice faisait bien partie de cette catégorie.


Sa bouche montait et descendait sur ma colonne de chair avec application. Elle me branlait littéralement avec ses lèvres, et sa langue venait exciter durement les terminaisons nerveuses de la base de mon gland. Très vite je sentis venir l’éjaculation. Je commençai par me retenir, mais sa succion se fit de plus en plus convaincante. Sentant que j’allais exploser, je voulus la stopper. Je tentai de la faire se redresser en la prenant sous les bras, mais elle résista.

Je me penchai vers elle et tentai de l’avertir à mi-voix pour ne pas alerter les autres couples qui, en fait, avaient l’air d’être occupés à bien autre chose qu’à nous mater.



Si j’avais voulu qu’elle redouble d’efforts pour me faire exploser, je n’aurais pas fait mieux. Elle se déchaîna sur mon gland, et d’un coup ma résistance céda. Je me mis à décharger à longs jets. C’était divin ; j’en avais les jambes en coton, et de la main je m’appuyai sur son épaule pour ne pas tomber. Sa bouche ne quitta pas mon sexe avant d’avoir avalé la dernière goutte. Ça non plus, pour moi, ce n’était pas habituel. Souvent la fille qui suce abandonne le bout dès les premières gouttes et laisse le sperme s’épancher où ça peut !

Elle se releva après m’avoir consciencieusement léché les dernières traces sur le gland.

Quand j’eus remis de l’ordre dans ma tenue, elle me prit la main et me ramena vers notre table. Sitôt assise, elle fit un geste d’appel vers l’entrée de la salle, et dans la minute qui suivit, un serveur nous apporta deux flûtes de champagne.



Puis elle jeta ses bras autour de mon cou et me murmura à l’oreille :



À cette époque, je n’avais pas non plus beaucoup d’expérience dans la masturbation féminine. Gamin, j’avais bien joué à touche-pipi avec mes cousines, et depuis que j’étais en âge de flirter, j’avais peloté plus d’une chatte. Je savais où il fallait insister pour les exciter, les faire mouiller et leur donner un peu de plaisir. Mais masturber une femme ! Lui astiquer la chatte jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme ! Je n’étais pas sûr de pouvoir y arriver. Je savais qu’elles se le faisaient, mais a priori – comme pour les garçons d’ailleurs – c’étaient des trucs qu’on faisait seul. À deux, on se tripote, on s’excite, et après on baise.

Néanmoins, je dirigeai ma main entre ses cuisses, pour constater que sa jupe était restée retroussée autour de sa taille. Elle écartait largement les jambes et je pus prendre sa chatte à pleine main. Elle était parfaite : un peu grassouillette, juste ce qu’il faut, ruisselante de mouille. C’était sans doute la pipe qu’elle m’avait prodiguée qui l’avait excitée.


Devant mes hésitations, elle prit les choses en main, si j’ose dire, et guida mes doigts vers son clitoris qu’elle me fit masser longuement. J’ai appris depuis que chaque femme a son truc. Pour Béatrice, il fallait frotter consciencieusement son clito, et périodiquement lui plonger profondément deux doigts dans la moule. Son clitoris était plus développé que la moyenne ; assez proéminent, il formait une petite bosse dure. Après quelques tâtonnements, je pris le rythme, et elle ne tarda pas à réagir. Il ne fallut qu’une minute de ce traitement pour qu’elle jouisse. Elle gémit sans quitter ma bouche, se cambrant, projetant ses seins vers moi. Elle enfonçait ses ongles dans ma nuque à me faire mal. Je ralentis ma branlette, mais sitôt que ses spasmes s’espacèrent, d’un mouvement du bassin vers ma main elle réclama plus de caresses.

Elle eut ainsi cinq orgasmes de suite. Ma main était littéralement inondée de mouille. Ce déchaînement de jouissance ne fut pas sans effet sur moi : je bandais à nouveau très fermement.

Quand elle eut repris ses esprits, elle se redressa et avala le reste du champagne. Je n’avais pas touché au mien.



Le deuxième verre dura peu de temps.



Elle se dirigea vers les toilettes en m’entraînant à sa suite. Je crus un instant qu’elle voulait que nous fassions ça dans les WC ; mais arrivés dans les lavabos, elle ouvrit une porte estampillée d’une plaque « Privé ». Nous avons monté un escalier, puis un deuxième pour déboucher sur un couloir d’hôtel. D’un doigt sur la bouche, elle m’intima l’ordre de ne pas faire de bruit. Elle sortit une clef de la pochette Dior qui lui servait de sac et ouvrit une porte. Aussitôt elle m’attira à l’intérieur et referma consciencieusement à clef. Je compris de suite que nous étions dans sa chambre et que nous y étions arrivés par les escaliers de service. Le dancing devait certainement appartenir à l’hôtel. En fait, c’était une suite. La pièce principale était très grande, avec un lit immense, des fauteuils, un canapé, une table basse avec un seau à champagne garni… Le tout baignait dans une semi-pénombre, car les volets à lattes de bois à demi fermés laissaient entrer la lumière extérieure qui provenait du jardin. Une porte ouverte donnait sur une autre pièce que je ne visitai pas, mais qui semblait elle aussi de bonnes dimensions. Les portes-fenêtres entrouvertes donnaient sur un balcon qui devait s’étaler sur toute la longueur de la chambre. Quant à la salle de bains, que je découvris plus tard, elle était à la hauteur du reste. Le luxe ! Certainement la meilleure suite de cet hôtel.

Sans allumer ne serait-ce qu’une lampe de chevet, elle m’attira vers le lit.



En disant ces mots, elle fit valser sa jupe et son pull sur un des fauteuils, mais conserva son soutien-gorge. Nu, je la rejoignis sur la couche et nous reprîmes nos caresses. Je commençai par l’embrasser goulûment dans le cou, ce qui la mit tout de suite en transe. Elle réagit comme d’habitude en se cambrant violemment, mais elle garda suffisamment de présence d’esprit pour étouffer une sorte de hennissement en se mordant le poignet. Pendant ce temps je lui fourrai la main entre les cuisses. Elle était trempée de mouille. J’ai rarement vu, depuis, une femme qui sécrétait autant de cyprine. Bien sûr, il y a les squirting girls, comme disent les Américains. Mais ces dernières émettent des jets, comme une éjaculation mâle. Pour Béa, c’était le vagin qui sécrétait sans cesse une mouille un peu épaisse et visqueuse, très lubrifiante. Ça ne giclait pas : ça coulait.


Profitant du trouble causé par mon baiser dans le cou, je m’agenouillai au pied du lit et, mettant ses deux jambes sur mes épaules, je l’attirai vers moi pour lui bouffer la chatte. Quelques coups de langue sur son gros clito, et elle se tordit en gémissant. J’insistai jusqu’à ce qu’elle cesse de me serrer la tête entre ses cuisses et de me presser le crâne à deux mains contre sa moule.


Une femme qui jouit me fait toujours bander très fort ; aussi, dès qu’elle me lâcha, je me relevai et je vins planter ma bite dans sa moule toute chaude et bien baveuse. Inutile de dire qu’elle entra sans même que j’aie besoin de la guider. De suite, je me mis à limer, provoquant un petit bruit de succion bien agréable. Béa me prit les fesses et rythma notre coït sur un mode lent. Néanmoins, il ne fallut pas longtemps avant qu’elle ne jouisse à nouveau violemment. Elle m’attira ensuite contre sa poitrine pour me murmurer :



Dès que je fus en position, elle m’enjamba. Redressant ma queue d’une main, elle l’introduisit dans sa chatte pleine de miel. Le buste droit, elle se mit à monter et descendre le long de mon sexe. Je lui avais d’abord empoigné les fesses, mais je les lâchai pour empaumer ses deux seins couverts de tissu. Je m’attendais à ce qu’elle me renvoie à son cul, comme elle l’avait fait à chaque fois que j’avais touché à sa poitrine, mais il n’en fut rien. Mieux : après quelques dizaines de secondes, je la vis, toujours dans la semi-pénombre, qui passait ses mains dans son dos et dégrafait son soutif qui vola à travers la pièce. Ses seins tombèrent, lourds et volumineux qu’ils étaient ; mais sans soutien, leur tenue restait très correcte… Je profitai immédiatement de l’occasion pour la peloter à pleines mains, caressant les rondeurs et titillant les mamelons que je n’osais pincer, de peur qu’elle ne réagisse négativement.


Je ne sais si ce fut dû à cette surprise et à la douceur de ses seins, ou si c’est du fait qu’elle accéléra sa chevauchée et que je sentis son vagin se resserrer autour de ma verge, mais une brutale envie de décharger me prit presque par surprise. Je ne pus pas me retenir et j’éjaculai à grands jets de sperme dans son fourreau si soyeux. Elle se coucha alors entièrement sur moi pour m’embrasser à pleine bouche avant de pivoter pour prendre mon sexe débandé en bouche et de le nettoyer consciencieusement de toutes les sécrétions qui le couvraient. Elle insista ensuite un peu pour tenter de me faire rebander, mais elle n’obtint qu’une demi-érection.

Elle revint alors se blottir dans mes bras.



De retour, elle reprit son idée à propos du week-end.



Elle avait raison : est-ce que ça m’arrivait souvent qu’une femme me supplie de rester pour la baiser encore et encore ?



(Eh oui, petite parenthèse : à l’époque, le téléphone portable, on n’avait même pas l’idée que ça puisse exister un jour !)



Je suis reparti par où j’étais venu. La boîte était quasi déserte et le dernier barman s’apprêtait à fermer. Le retour fut sans problème, et je pus retrouver ma chambre sans rencontrer l’hôtesse sur mon chemin. C’est vrai qu’il était 3 heures du matin et que si elle avait veillé, elle avait dû se lasser.


Le lendemain, comme la veille, j’étais en train de prendre mon petit déjeuner quand Jean-Claude fit son apparition, un peu moins chiffonné que la veille, mais un peu naze quand même. Il vint s’asseoir pour se restaurer avec moi.



Non seulement notre chef de service, C…, accepta notre proposition, mais on a même eu ses félicitations pour notre engagement au service de l’entreprise. Comme quoi, hein, il n’y a pas que les augmentations de salaire pour motiver les employés.


On a donc à nouveau bossé comme des malades. À 18 h 30 nous étions à l’hôtel pour prendre la douche et nous changer, et à 19 h 30 je retrouvais Béa à la terrasse du bar américain.



À suivre…