n° 16313 | Fiche technique | 54746 caractères | 54746 9257 Temps de lecture estimé : 31 mn |
18/07/14 |
Résumé: Il est à peine sept heures du matin, je suis fébrile ! D'habitude, je dors comme une bienheureuse et je ne consens à ouvrir un œil que vers dix heures. Mais la présence de Valentin dans la chambre d'à côté a un effet de réveille-matin hormonal ! | ||||
Critères: fhh couplus exhib noculotte fellation cunnilingu | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Ballade des balades Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Il est à peine sept heures du matin, je suis fébrile ! D’habitude, je dors comme une bienheureuse et je ne consens à ouvrir un œil que vers dix heures. Mais en ce chaud dimanche de juillet, la présence de Valentin dans la chambre d’à côté a un effet de réveille-matin hormonal !
N’y tenant plus et voulant respecter ma promesse, je rejette ma partie de drap puis je me lève prestement. Pascal ouvre un œil et grogne :
Il tord un peu le cou vers le réveil à diodes et dit :
Je me penche sur lui puis déposer un petit baiser. Je m’esquive juste à temps quand il tente de me capturer dans ses bras. Vu son commencement de chapiteau sous le drap, je me doutais bien qu’il n’allait pas s’en tenir qu’à un seul et simple bisou.
Il soupire, plongeant la tête dans l’oreiller :
Et, toute nue, je quitte la chambre sur la pointe de mes petits orteils. Le contact du carrelage froid éveille en moi une soudaine envie d’aller aux toilettes, chose que je fais illico. Puis direction le frigo pour y boire un verre de jus d’orange plein de vitamines ! Je pense en avoir besoin d’ici peu de temps. Le verre bu, je pousse un grand soupir et je murmure pour moi-même :
Et c’est toujours sur la pointe de mes petits orteils que je me dirige toute nue vers la chambre d’amis. Avec délicatesse, je fais tourner la poignée, j’entrebâille la porte, puis je jette un petit coup d’œil pour analyser la situation. Valentin dort toujours, ce qui va me faciliter les choses. Curieusement, il ne prend pas toute la place mais uniquement le côté droit du lit. Il est allongé sur le côté, la tête vers l’extérieur du lit. Peut-être l’habitude de dormir avec quelqu’un ? Il est vrai que, finalement, je ne sais pas grand-chose de mon visiteur…
Je contourne le lit, je soulève le drap pour m’y glisser tout en douceur ; c’est alors que je découvre un beau petit cul bien ferme comme je les aime ! Ça m’incite encore plus à m’allonger tout délicatement auprès de mon Valentin. Puis je remonte délicatement le drap sur moi.
Mon cœur bat la chamade, je reste immobile quelques instants pour qu’il se calme un peu. On dirait une jeune lycéenne pour sa première fois ! Pourtant, j’ai passé trois fois l’âge ! Mais c’est très excitant !
Lentement, je me rapproche du large dos de Valentin pour venir me plaquer dessus, posant mes seins un peu lourds contre sa peau toute tiède, puis mon pubis moite contre ses fesses effectivement bien fermes. Doucement, je passe mon bras par-dessus son corps pour venir l’enlacer et me serrer plus encore contre lui. Humm, son dos est tout frais, ça fait du bien ! Je pose ma joue contre lui, je suis très, très bien ainsi…
Ah, il est réveillé ? Je pensais avoir été plus délicate que ça. Je susurre :
Un silence s’installe, j’en profite pour me coller encore plus contre lui. Je soupire d’aise, très heureuse de ce petit moment intimiste avec lui. Puis ma main commence tout lentement à le caresser, sa large poitrine un peu velue, ses tétons érigés eux-aussi, ses épaules accueillantes, son ventre un peu bombé ; oui, tout ceci est à moi !
Dommage que je n’aie pas pu dormir avec mon Valentin, je me rattrape un peu ce matin, je me laisse aller à ce simple gros câlin, d’être tout contre lui, de pouvoir l’enlacer, et de rester comme ça. Néanmoins, comme je me connais un peu, je vais finir par désirer un peu plus. Mais est-ce que mon invité est prêt pour cela ? Bonne question ! Pourquoi je tombe toujours sur des cas particuliers ? La plupart des hommes ne cherchent pas trop à comprendre, quand une femme s’offre, ils prennent sans chercher à comprendre. C’est pourtant simple, la vie !
Et je lance ma main plus bas, elle touche en effet quelque chose de plutôt dur. Avant que je ne consolide ma position et que je ne confirme à cent pour cent, Valentin capture ma main baladeuse et le replace nettement plus haut.
Résultat, je reste plaquée contre mon Valentin, sans pouvoir tenter ma chance, car à chaque fois que je projette ma main plus bas, elle se fait intercepter. Il ne veut vraiment pas ou c’est une tactique pour faire monter encore plus la pression ? En tout cas, c’est très réussi !
Soudain, Valentin se lève, sans que j’arrive à esquisser le moindre geste pour l’en empêcher, il s’agenouille sur le lit, puis il m’oblige à m’allonger sur le ventre au milieu du lit. Le mouvement a été si rapide que je n’ai rien compris au film ! Bref, me voici les fesses en l’air, à la merci de mon invité ! Amusante situation que voilà ! J’attends la suite avec une certaine impatience…
Il pose sa main sur mes fesses puis me les caresse. Je me laisse faire, j’aime beaucoup me faire cajoler ainsi. Il remonte parfois dans le creux de mes reins, ce qui me donne des frissons très agréables ! Il s’aventure ensuite sur mon dos pour redescendre ensuite à nouveau sur mon petit cul tout offert. C’est tout doux, un frôlement bien plaisant…
Je soupire d’aise tandis qu’il continue ses caresses. Puis à ma grande satisfaction, il descend sur mes cuisses, en épouse les formes. Il fait ainsi l’aller-retour plusieurs fois, s’insinuant à chaque fois plus loin encore entre mes jambes que j’ai petit à petit écartées pour lui faciliter la tâche. Il frôle le haut de mes cuisses, juste à l’orée de mes lèvres, j’adore !
Je soupire, c’est si bon de se faire caresser de la sorte, délicatement, sensuellement, et de s’abandonner ! Je m’endormirais volontiers ainsi chaque soir. Quoique Pascal me câline souvent de la sorte avant que nous n’allions vers le pays des songes. Mais bon, ici, c’est différent, l’attrait de la nouveauté sans doute…
Enfin, il se décide à passer à l’acte ! Ses doigts encore timides frôlent mes lèvres intimes, en suivent le contour ourlé, effleurent ma fente glissante et toute exposée à ses caresses. Je frissonne à son contact, c’est si bon qu’il me caresse en cet endroit intime. Je suis étonnée qu’être aussi offerte et humide !
Oooh oui, comme ça ! Un doigt taquin vient de s’enfoncer posément dans ma fente détrempée et s’avance tout doucement vers mon clitoris. Alors qu’il est presque arrivé, le doigt remonte vers mes fesses, s’éloignant que mon petit bouton rose enflammé. C’est avec satisfaction qu’il retourne vers ma petite cachette. À mon grand dépit, il marque un temps d’arrêt, tergiverse, avance un peu, recule de même, il atermoie ci et là, me laissant frustrée. Je remue éhontément du popotin pour lui signifier ce que je désire. Faire joujou, c’est bien, conclure, ce n’est pas mal du tout ! Car je veux que Valentin s’occupe de moi ! C’est mon amant, non ?
Soudain je réalise la situation ! Nous formons un trio classique : la femme, le mari permissif et sécurisant, plus l’amant pour le peps. Et moi qui croyais sortir un peu de l’ordinaire… Tant pis, je m’en accommoderai. Pour l’instant, les jambes bien écartées, j’attends que Monsieur mon amant daigne bien s’occuper de mon petit bouton d’amour !
Je tressaille comme électrocutée quand son doigt vient caresser mon clitoris déjà bien exacerbé. C’est violent et en même temps divin ! Je m’abandonne au plaisir qu’il m’offre à présent, j’en ai rêvé toute la nuit, et les nuits précédentes, même si hier j’y ai eu droit, mais le sexe agit comme la drogue, quand on y touche, il est difficile de s’arrêter, surtout quand le dealer est mon Valentin. Mais qu’est-ce que ce type a bien pu me faire pour que j’aime autant le sexe avec lui ? Je n’éprouve pas vraiment de sentiments pour lui, je le considère comme un bon ami en dehors du sport en chambre. Non, je reconnais que c’est… sexuel, à défaut d’autre mot.
Pour l’instant, je me laisse porter par le plaisir qui monte en moi… Un grand plaisir qui monte graduellement sous les doigts agiles de Valentin qui s’activent agréablement autour de mon clitoris embrasé. Je soupire d’aise, me laissant porter par les petites vagues qui me bercent, flottante, aérienne… C’est si bon !
Soudain, Valentin enfonce son pouce dans mon vagin détrempé. Houlà que c’est divin ! Oh oui, encore, oui comme ça ! Oui masturbe-moi dedans, dehors ! Oui, enfonce-toi, prends-moi, fais-moi jouir ! Je me tortille de plaisir !
Alors, il s’enfonce encore plus en moi, je tressaille, j’aurais préféré autre chose de lui en moi pour me remplir, le combler, me forcer ! La vague arrive, mon clitoris est complément en feu, il me fait à la fois du mal et tant de bien, tant de bien, trop de bien !
Trop !
Je crie mon plaisir, emportée au lointain, les ondes de plaisir m’assaillent de toute part, me retournant, me ballottant, tel un pantin dans des vastes vagues ! Oh oui que c’est bon ! Trop bon !
J’halète, la tête dans l’oreiller, mes cheveux poisseux de sueur, mes bras et mes jambes qui tremblent, désarticulée tel ce pantin jeté sur le sable quand l’océan se retire !
Une petite tape pour les fesses, puis Valentin quitte la chambre me laissant, les bras en croix, la tête toujours dans l’oreiller, épuisée par ma folle jouissance… Décidément, ce type, je n’arrive pas bien à le cerner, ce qui ajoute à son charme.
J’enfile une robe bleue droite à épaules nues, avec bustier élastique, et arrivant légèrement au-dessus des genoux. Elle est légère et je peux facilement ôter le haut en deux secondes, ce qui peut se révéler très pratique, mon homme en sait quelque chose ! De plus, parfois, lors d’un effort particulier, il n’est pas rare qu’un sein s’échappe de la partie bustier, voire même les deux. Trois, ça serait dur, la Nature ne m’ayant limitée qu’à deux protubérances mamellaires. C’est ainsi que je vais aller prendre le petit déjeuner, mon mari ayant acheté pain, baguette et croissants. Quand Valentin entre dans la cuisine, en me voyant, il a un certain sourire. C’est vrai qu’en contre-jour, avec ma robe légère, ça doit révéler diverses petites choses. D’ailleurs, qu’ai-je à cacher ? Il y a même pas dix minutes, j’étais toute nue dans son lit, et pas que pour jouer avec lui aux dominos !
Le petit déj se passe dans la bonne humeur, encadrée par mes deux hommes, je m’amuse follement. Ça me donne d’ailleurs très faim tout ça, et je mange deux fois plus que d’habitude, il faut que je prenne des forces pour la suite !
Voilà, c’est fini, une bonne chose de faite. Pascal et moi, nous nettoyons après le petit déjeuner. Une fois, tout rangé, je demande :
Déduction logique en effet. Je fais quoi ? J’y vais ? J’y vais pas ? Car il faut avouer que mon câlin-réveille-matin n’a pas été totalement assouvi. Je suis très demandeuse, et surtout quand il y a de la chair fraîche à se mettre sous la dent. C’est Pascal qui prend la décision pour moi :
Message reçu cinq sur cinq.
J’attends que mon mari soit dans le jardin pour passer à l’étape suivante. Je me faufile vers la salle de bain, la porte est restée entrouverte, je me risque à jeter un coup d’œil : en effet, en T-shirt et short, tous les deux blancs, Valentin est en train de se brosser les dents, ce qui m’arrange, il ne pourra pas protester ni parler. Alors, ignoblement, j’attaque !
Prestement, laissant tomber ma robe bleue au sol, je me glisse dans son dos, posant sa tête contre lui, mes bras autour de sa poitrine. C’est à peine s’il sursaute. À mon avis, il devait bien se douter que je ne resterais pas les bras croisés ; il commence un peu à me connaître, et encore, il ne sait pas tout !
Je reste quelques instants plaquée contre lui, je me sens si bien !
Valentin se rince la bouche, fait quelques gargarismes puis s’essuie. Ce n’est pas très romantique, ce genre de bruitage, mais je suis accroché à mon dijonnais comme une moule à son rocher. J’y suis, j’y reste, et tant pis pour l’ambiance sonore ! C’est lui qui rompt peu après le silence :
Pour toute réponse, je descends mes mains nettement plus bas. Mes doigts accrochent une certaine protubérance ; il semblerait que je fasse quand même mon petit effet sur Valentin… Mes seins contre son dos, mon pubis sur ses fesses, mes doigts agaceurs, la situation ? Je ne sais pas, mais je suis flattée de sa réaction physiologique, car je présume qu’un homme ne bande pas parce qu’il se brosse les dents !
Le propriétaire de la bosse ne proteste pas, pas même un geste ni un grognement de mâle dérangé dans ses petites habitude. Je ne sais pas ce qu’il fait exactement, mais j’ai autre chose en vue et à faire. Et qui ne dit mot consent, n’est-ce pas ?
Alors mes doigts s’aventurent nettement plus autour de cette tige toute chaude et vibrante. La même sensation que tout à l’heure lors du réveil, cette envie de posséder, mais cette fois-ci à la verticale… Mes ongles frôlent lascivement les contours de cette barre bien dure et qui tend le short qui l’abrite tel un chapiteau bien conique.
Je ne sais pas bien pourquoi je viens de chantonner ça, mais curieusement, le mât semble encore plus se dresser ! Je ne comprends pas bien s’il y a cause à effet, ou pas. Soudain je réalise que c’est l’intonation de ma voix, comme quand je lui parlais en caméra et que je faisais des mignonnes cochonneries avec lui, une voix de femme-enfant….
Tu aimes les femmes-enfants ? Tu vas être servi, mon Valentin ! Je ne vais pas te louper ! Alors je prends ma petite voix avec plein de soupirs dedans, et je commence mon attaque en règle :
Tiens, j’ai inconsciemment zézayé. Tant pis… autant jouer le jeu jusqu’au bout ! Pas de réponse ? Qui ne dit mot consent ! Alors, posément, à travers le tissu, je capture sa tige entre mes doigts afin de bien en apprécier le volume.
Je plonge mes deux mains dans son short pour m’emparer de sa tige chaude et frémissante. D’une main, je le branle doucement, tandis que de l’autre, je masse ses testicules. Valentin se laisse faire, immobile, regardant face à lui, comme figé. Bien qu’il tente de rester impassible, j’entends sa respiration qui s’accélère. J’aime sentir quand les hommes commencent à perdre pied, à se laisser aller, qu’ils soient ainsi entre mes mains…
J’ai envie de plus consistant ! J’abaisse son short tandis que je m’agenouille sur le carrelage. Ce faisant, je dévoile ses belles petites fesses bien fermes sur lesquelles je m’empresse de faire quelques bisous appuyés, tout en recommençant à le masturber. Je pose ma joue contre son cul nu, tandis que mes doigts s’agitent toujours délicatement devant, découvrant puis recouvrant alternativement son gland de son capuchon de fine chair. Durant ce temps, mon autre main continue toujours à jouer avec ses testicules enfermés dans un petit sac bien soyeux… Je me demande quand ces délicates petites boules que je malaxe si agréablement finiront par cracher leurs jus chauds et visqueux…
Je sens que je vais généreusement les aider…
Valentin s’exécute, sans mot dire.
À peine le temps d’admirer sa verge qu’elle est déjà entre mes lèvres, telle une grosse sucette que je savoure délicatement. Je joue de ma langue le long des veines que je sens palpiter, je les épouse, les caresse. Puis, posément, j’amorce un mouvement de va-et-vient, faisant glisser toute la tige entre mes lèvres, du gland jusqu’à la base ensevelie dans les poils qui me chatouillent le bout du nez. Plusieurs fois, je suce un nœud écarlate, telle une boule de glace ; plusieurs fois, j’engloutis une barre bien raide. Par amusement et par vice, je force même jusqu’à ce que mes lèvres rentrent en contact avec les bourses. C’est très excitant d’avoir une tige toute entière dans la bouche, et qui frôle l’orée de ma gorge, même si je ne suis pas une grande spécialiste des gorges profondes. Je ressors le braquemart plein de salive pour le lécher de haut en bas, perversement.
Bonne réponse à ma question, car je n’aime pas trop m’activer pour des prunes. Alors, je continue mes diverses petites perversions sur cette tige qui résiste tant bien que mal à mes assauts. Cette fois-ci, je mets le paquet ! Je le suce du haut en bas de sa verge qui vibre, tandis que je lui masse fermement les boules soyeuses. Parfois, je le mordille délicatement le gland, parfois, je l’engloutis à fond, les hommes raffolent de ça. Je sors sa verge pour la câliner, pour la croquer, puis je l’enfourne à nouveau dans ma bouche, sans répits, sans pitié, prépuce tiré à fond pour dégager et révéler au mieux un gland que je taquine intensément, léchant ses formes, épousant de la langue ses courbes, titillant un méat qui suinte déjà.
Au-dessus de ma tête, j’entends à certains soupirs et grognements que Valentin n’y tient plus. Alors ôtant sa queue de ma bouche, je lui lance, d’une voix très vicieuse :
Il sursaute en entendant ce que je viens de lui dire. Je recapture son pieu entre mes lèvres pour lui faire subir les derniers outrages. Un grognement, sa verge qui soubresaute, un raidissement de son corps, puis il explose, déversant son sperme sur ma langue, une grande vague gluante, salée et chaude qui remplit ma bouche, diverses salves que j’avale les unes après les autres, savourant ma victoire, nettoyant sa verge à petits coups, suavement, telle une belle sucette qui faiblit doucement à présent.
Je me relève pour donner un coup de gant de toilette sur ma bouche souillée. Valentin est en appui sur le lavabo, sa queue flasque, respirant à grands coups. Je lui colle un furtif baiser sur la joue avant de m’apprêter à m’enfuir de la salle de bain :
Après une petite claque sur ses fesses, je disparais en riant dans le couloir.
Pascal est revenu du jardin avec un saladier de cerises, je lui en pique quelques-unes, elles sont juteuses à point, et déjà chaudes des rayons de soleil. En parlant de juteux, Valentin vient de sortir de la salle de bain.
Valentin s’assied, goûte une cerise, puis en reprend une autre.
Valentin me regarde parfois d’une étrange œil. Je ne vois pas pourquoi… À chacun son tour de profiter, non ? Pendant un bon quart d’heure nous bavardons de tout et de rien. Puis mon mari sort de la cuisine pour aller au garage, dit-il. Valentin en profite pour s’installer dans le canapé. Aussitôt, je viens m’asseoir sur ses genoux. Il proteste mollement :
Taquine, je susurre :
Alors je me cale posément contre son ventre, juste au-dessus de l’objet que je viens de citer. Il vient peut-être de servir, mais on dirait qu’il reprendrait bien son service, si mes fesses ont bien analysé la situation sous elles…
Toujours assise sur ses genoux, enfin un peu plus haut, je me coule contre lui, entourant son cou de mes bras, lui faisant bien sentir que j’ai du répondant par-devant. Je vois bien que je perturbe beaucoup mon Valentin, et j’en suis fort aise ! Monsieur joue les statues de marbre depuis hier, bien que j’aie réussi plus d’une fois mon coup avec lui, je suis donc très contente que le voir faiblir sous mes assauts !
Je minaude contre lui, remuant sérieuse de mon séant pour mieux me nicher contre sa barre toute dure que je sens distinctement sous son short et ma fine robe. Je remue tellement bien que c’est le haut de ma robe qui descend petit à petit ! D’ailleurs, mon téton gauche est à la limite de vouloir faire un petit tour au grand air. Comme je suis conciliante, je donne un léger coup d’épaule, et hop, il se révèle à la vue de tous !
Même s’il affecte de n’avoir rien vu, je sais très bien qu’il biaise pour contempler le bout rose de mon sein dévoilé. Il me semble bien d’ailleurs que sa main gauche remonte doucement le long de mon corps. Ira-t-il jusqu’au bout ? Oui ? Non ?
Waow, mon Lapin fait de sérieux progrès ! Il vient juste à l’instant de capturer la base de mon sein et commence à le soupeser, le palper, jouer avec, posément. Je vais peut-être finir par en faire quelqu’un de mon Valentin… S’il continue ainsi, je sens que nous aurons plus tard des moments intimes très intéressants, captivants et enrichissants ! Je me laisse encore plus couler contre lui, ma tête sous son menton, savourant son initiative.
Il plonge sa main sous mes fesses, m’obligeant à les soulever un peu. Puis d’autorité, il m’assied sur lui. À travers le tissu de ma robe bleue, je sens distinctement sa queue dressée sous mes lèvres déjà mouillées. Il s’empare voracement de mes lèvres, et nous commençons un long baiser brûlant, tandis qu’une tige dure essaye de se positionner sous moi, malgré le rempart du tissu. J’essaye de faire glisser ma robe vers le haut afin que je puisse enfin m’empaler sur sa queue si désirée, mais mon amant m’en empêche.
C’est avec une certaine surprise que je me sens soudainement envahie par un bâton exigeant, calotté par le tissu de la robe, tel un préservatif étrange et incongru ! Mais je profite aussitôt de l’occasion ! Je me trémousse un maximum pour forcer son entrée dans mon intimité accueillante ! Dommage qu’il n’arrive pas en être entièrement en moi, mais la situation m’excite comme une petite folle et il ne faut pas bien longtemps pour que je jouisse, malgré la situation assez incongrue ! Et lui-aussi a visiblement joui…
Ma robe est complètement détrempée, aussi bien par-dessous que par-dessus ! Curieuse impression ! Un peu chancelante, je me relève pour constater que ma pauvre robe est plus proche de la serpillière que du vêtement. Je gronde Valentin :
Puis il se relève à son tour, puis sans que je ne l’arrête, il essuie posément son sexe flasque et poisseux sur ma robe puis va s’enfermer dans les toilettes ! Quel gentleman ! !
Décidément, personne ne veut goûter à ma cuisine ! Ces hommes ont décidé d’aller encore dans un restau ! Je ne vais pas me plaindre, puisque j’aime manger à l’extérieur. Je passe donc une robe toute simple, légère et noire à échancrure croisée, histoire de mettre en avant mes avantages. Autant mettre le paquet pour en restant sortable, n’est-ce pas ?
Oui, j’aime mettre du noir ; non seulement, ça amincit et en plus, ça met bien en valeur le teint pâle de ma peau et bien sûr, mon décolleté ! Très peu pour moi les lampes à bronzer cancérigènes et de jouer les brochettes sous le soleil ardent !
Dans la voiture, je m’installe une fois de plus derrière mes hommes, au milieu avec une main sur l’un et une main sur l’autre, pour ne pas faire de jaloux, nous partons. Valentin ayant toujours une chemise assez ouverte, je glisse mes doigts dans l’échancrure pour venir jouer avec ses boucles brunes, puis agacer son téton, une chose que j’adore faire ! Je ne vois pas pourquoi qu’il n’y aurait que les hommes qui puissent s’amuser avec les tétons ! Je suis pour la parité !
Une fois arrivés sur place, le serveur nous déniche un coin bien frais, ce qui est recommandé car dehors, le soleil donne à fond de ses rayons ! Après un printemps pourri, nous voici arrivés dans un été caniculaire. J’aurais aimé un peu plus de nuance…
Pour changer, Valentin s’installe face à moi. Aussitôt, sans perdre de temps, il me complimente sur mon échancrure qui lui brûle les yeux. Je gonfle la poitrine pour mieux mettre encore ma poitrine en avant, et j’explique à mon vis-à-vis comment fonctionne le restaurant :
Le serveur revient vers nous, nous passons commande. Ce serveur est plus discret que celui de notre restau de Lille, lors de la première visite de mon Valentin. Mais il zieute néanmoins, l’air de rien. Il revient moins de deux minutes plus tard avec nos apéritifs sans alcool. Très efficace, le service ! À moins que mon décolleté y soit à nouveau pour quelque chose.
Nous allons nous servir dans le large buffet, il y a vraiment de tout dedans. Si on n’y trouve pas son bonheur, c’est qu’on est très difficile. Il y a même des frites, ce qui ne me semble pourtant pas très chinois… Pour les enfants, peut-être, ils sont souvent difficiles et n’aiment pas trop sortir de la routine « pâtes/purée/frites ».
Je me rappelle alors quand Pascal a tenté de m’inviter au restaurant chinois, il y a bien des années :
Après ce dialogue digne de l’Académie Française, il a réussi à me faire mettre un pied dans un restaurant afin que je goûte par moi-même le chien, le rat et même le chat des plats extrêmes orientaux, avec de la sauce de méduse par-dessus. Finalement, même la sauce de méduse, ce n’est pas si mauvais que ça, et depuis, nous y allons régulièrement ! Je maudis même assez souvent mon ex de m’avoir enfoncé ça dans le crâne, il faut dire qu’il ne jurait que par les petites brasseries qui exigent que vous vous laviez trois fois les cheveux ensuite pour cause d’odeur graisseuse !
À table, nous discutons, Valentin en face de moi qui ne se prive pas de zieuter mon décolleté. Il n’y pas que lui, mon mari s’y met aussi et même deux tables voisines. Mais si, messieurs les inconnus, j’ai bien vos regards chafouins vers l’échancrure de ma robe ! De plus, celui de la table de droite a légèrement changé sa chaise de place pour mieux être dans l’axe. Si, si, à chaque fois qu’il revient de s’être servi au buffet, il en profite pour déplacer un peu sa chaise. Même sa femme (je suppose) s’est étonnée qu’il se resserve autant !
Tout cela m’amuse. Et je me sens très bien avec les deux hommes !
Laissant mes deux hommes à la table, je repars me servir. Je vais prendre quoi à présent ? Je me tâte, j’hésite entre ces machins orangés et ces sortes de ravioli… Soudain, j’entends qu’on me chuchote :
Étonnée par cette voix inconnue, je me retourne pour tomber nez à nez avec le voisin de la table de droite, celui qui avait visiblement changé de place pour mieux pouvoir contempler ma petite personne. Et là, il louche carrément dans mon décolleté !
Farfouillant dans le plat pour se donner un alibi, l’inconnu me demande :
Remplissant son assiette, l’homme soupire :
Et sans lui laisser le temps de répondre, je le contourne afin de regagner ma place. Au moment où je m’éloigne de mon inconnu, je m’amuse à frôler furtivement de mes ongles laqués le devant de son pantalon. Il en est tout pantois et cramoisi !
C’est avec un large sourire que je reviens m’asseoir auprès de mes hommes. Attablée, je me fais un plaisir de leur expliquer ce qui vient de m’arriver, ce qui amusent beaucoup mes deux compagnons de table.
Quand nous quittons le restaurant, le voisin n’a pas tenté sa chance. A-t-il compris ou pas ? Néanmoins, je croise son regard alors que je m’approche vers la sortie. Je m’arrête un bref instant, l’interrogeant du regard. Il me répond par un sourire qui signifie visiblement qu’il aurait bien voulu mais qu’il ne peut point.
Tant pis pour lui… D’autant qu’il était agréable physiquement…
Au volant de la voiture, Pascal se dirige vers le petit bois situé pas trop loin de chez nous. Il s’engage à présent dans un chemin en terre, soulevant un énorme nuage de poussière derrière nous. Je n’aimerais pas être au bord du chemin !
Nous nous arrêtons auprès d’une barrière fermée. Pascal recommande :
Nous attendons donc un peu, puis nous sortons. Un chemin ombrageux s’enfonce dans le bois, nous nous y engageons. Il fait bon, très agréable ! Nous arrivons bientôt à un carrefour. Pascal demande :
Donc direction le bois. Il fait de plus en plus sombre et de plus en plus frais. Ma petite robe noire toute simple et toute légère est adéquate. Je marche devant, les hommes sur mes pas ? Je me demande s’ils ne sont pas en train de profiter de mes fesses qui dandinent. Soudain, je me fige, je pense avoir entendu des voix.
Pascal se fige à son tour et écoute. Puis il me dépasse et avance d’une bonne trentaine de mètres puis il quitte le chemin. Peu après, il revient vers nous, un grand sourire. Il explique :
Nous continuons sur le chemin. En effet, un peu plus loin, je distingue entre les arbres, des champs et au lointain des maisons, d’où viennent des voix. En effet, Pascal avait raison, je suis rassurée !
Alors, prise d’une impulsion subite, tout en marchant, j’ôte ma robe, puis je me retourne vers mes hommes qui approchent, l’œil égrillard. Avec un grand sourire, Pascal prend ma robe qu’il pose ensuite sur sa large épaule, puis encadrée par mes deux chevaliers servants qui m’offrent leurs bras, nous nous enfonçons plus loin dans la fraîche forêt…
Soudain mes deux hommes causent entre eux dans une langue que je ne comprends pas, de l’allemand, je crois. Juste quelques phrases… Je demande :
Je préfère laisser tomber. Nous continuons à avancer, nous approchons d’un petit banc de pierre. Étonnant de découvrir celui-ci ici. Lâchant le bras de mes hommes, je m’approche de celui-ci. J’entends à nouveau qu’on parle à nouveau en langue étrangère dans mon dos, je ne m’en soucie plus, qu’ils les gardent pour eux leurs secrets !
Soudain, Valentin s’approche de moi, me capture la taille, me plaquant contre lui !
Il répond en m’embrassant ! Je suis assez surprise qu’il le fasse maintenant, ici et devant mon mari ! Soudain, je sens une main me caresser les fesses dans un premier temps, puis des doigts investir mon sexe, s’aventurant outrageusement dans mes profondeurs tandis qu’un index taquine mon clitoris ! Mes hommes auraient-ils décidé de me faire subir un trio en pleine forêt ?
Je me plaque éhontément contre le sexe tendu de Valentin, cette tige bien dure que je sens à travers son short, tandis que les doigts de mon mari s’activent toujours au plus profond de mon intimité. C’est une situation inédite mais excitante !
Nos bouches rivées l’une à l’autre se dévorent, mes doigts sont plongés dans les cheveux de mon agresseur qui vient me capturer les fesses à pleines mains ! Et il ne se prive pas de profiter de mes basses rondeurs ! En riposte, je me frotte impudiquement sur son sexe en évidente érection ; j’espère même qu’il en éjaculera dans son short !
Hélas pour moi, mon mari connaît trop bien mes petites faiblesses ; tandis que ses doigts fourragent impunément en moi, son pouce gluant de cyprine s’enfonce immoralement dans mon petit trou sombre !
Ce salaud sait très bien ce qui me fait décoller ! À peine son pouce bien calé en moi, dans mes chaudes profondeurs, mon clitoris agacé, titillé, presque à vif, ses doigts occupant ses profondeurs humides, je sens un cyclone s’abattre sur moi, me faisant vibrer de plaisir, ma bouche toujours dévorée, mes fesses capturées, ce sexe contre le mien, deux homme pour moi !
Ma jouissance est infernale, je vrille de tout mon corps, en de multiples hoquets, comme un frêle esquif dans un océan tourbillonnant de plaisirs !
La suite sera un long câlin, bercée par quatre bras, deux bouches…
Un long câlin si doux et si possessif…
De retour chez nous, fatiguée par tous ces événements, je m’allonge dans le canapé. Valentin semble lui-aussi fatigué et m’explique que souvent, il fait la sieste. Pas une grande sieste, mais quinze-vingt minutes, ça suffit. Puis s’excusant, il part dans la chambre d’amis.
Pascal, lui, se penche sur son ordi ; lui, il ne fait jamais de sieste, ou si peu. Je me lève, je vais me servir un verre de boisson fraîche. Puis posant mon verre dans l’évier, je me décide. Je m’approche de mon mari, je dépose un bisou sur sa joue :
Puis je vais rejoindre Valentin. Celui-ci en me voyant arriver me lance, goguenard :
Il se contente de rire, puis écartant les bras, il me dit :
Puis je viens me blottir contre lui. À ma grande stupéfaction, mes paupières se ferment doucement, et entourée de la douce chaleur de mon Lapin, je m’endors.
Mon rêve est tout doux, comme un nuage de plumes, bercée doucement.
Un rêve moelleux… béat, radieux, avec mes hommes, mes deux gentils compagnons de vie…
Comme un petit nid très douillet…
Je flotte… radieuse… je sens la caresse de la brise sur mon corps endormi, dans la moiteur de ce bel après-midi…
Soudain, intriguée par quelque chose d’insolite, j’ouvre les yeux, Valentin est en train de caresser mes seins dénudés. Je constate avec amusement que ma robe noire me sert à présent de ceinture, le haut de mon corps étant dévêtu jusqu’au nombril, idem pour le bas qui dévoile sans vergogne mes cuisses et mon pubis ! Innocemment, je demande à mon déshabilleur :
Enfin de bonnes initiatives de sa part ! D’un geste souple, arquant mon corps, j’ôte définitivement la robe que je balance au bout du lit, puis avec un grand sourire, je dis :
Je préfère me laisser faire, de ne pas prendre d’initiatives. Valentin doit être d’un genre plus macho que mon mari. Je laisse ses mains parcourir mon corps, mes monts, mes plaines, mes vallons. Je soupire d’aise quand sa bouche capture un téton qu’il suce délicatement. Finalement, il suffisait de jouer les belles endormies pour réveiller la libido de mon Lapin ! De jouer les étoiles de mer, ce qui n’est pas précisément l’attitude que j’adopterais dans pareil cas ; je suis nettement plus directe : je me sers, même si je ne déteste pas être servie !
Son autre main caresse mon ventre, puis descend petit à petit vers mon pubis. Je me dis que c’est bien parti ! En effet, peu après, des doigts investissent ma fente humide, cherchant visiblement mon petit bouton rose niché entre mes fines lèvres…
Sous l’effet de cette triple caresse, cette main sur mon sein, cette bouche suçant mon téton érigé et cette autre main s’égarant dans mon intimité, je commence à gémir doucement, mon corps ondulant sous les multiples vibrations de plaisir…
Aujourd’hui est une belle journée pleine de plaisirs et de jouissances ! Je ne m’en plaindrai certainement pas ! Peut-être même que Valentin viendra plonger en moi, me remplir, m’occuper, me prendre toute entière…
Le plaisir arrive à nouveau, je suis étonnée qu’il soit déjà là, mais je le laisse venir. Comme une douce vague chaude, il m’envahit, un autre effet que le cyclone dévastateur des bois ; un autre effet mais agréable…
Sucré, comme une boisson tropicale que je bois par petites gorgées suaves…
Une étrange vibration monte en moi, une vibration insolite, douce et cruelle en même temps. Je n’ai pas le temps de me poser des questions que mon corps explose en mille morceaux, mon cerveau noyé sous un plaisir tourbillonnant…
Hélas, c’est déjà l’heure… Je m’installe sur la banquette arrière et j’enlace Valentin installé sur le siège passager. La voiture roule vers Lille, fenêtres ouvertes, il fait tellement chaud ! Nos mains sont entremêlées, tandis que je glisse mes doigts libres sous la chemise de mon dijonnais. Lui, pour ne pas être en reste, pose la sienne sur mon genou. Les kilomètres défilent, et moi, je voudrais que ça n’en finisse jamais. Hélas, Valentin a un train à prendre, et Lille se rapproche. J’aimerais bien le garder pour moi, mais je ne peux pas. Il reviendra dans quelques semaines, mais c’est lointain… Déjà les quinze jours entre sa dernière visite et celle de maintenant, j’ai trouvé ça très long, alors un mois, c’est pire !
Lille se dévoile sous nos yeux, Pascal fonce vers la gare TGV. La voici devant nous. Il s’exclame :
Je soupçonne mon mari de proposer cet arrangement afin que je sois seule avec Valentin. Ça me convient parfaitement. Alors, main dans la main, nous entrons dans la gare. C’est étrange de se balader ainsi avec Valentin, comme s’il était mon officiel. Nous arrivons face au tableau des départs :
Pour toute réponse, il m’attire à lui et m’embrasse. J’adore quand il prend des initiatives, surtout celles de ce genre-là ! La voix un peu troublée, quand nos lèvres se séparent, je dis :
Il ne répond rien, il m’embrasse à nouveau, nos corps collés l’un à l’autre, nos langues se caressant, nos lèvres soudées, nos bras nous enlaçant l’un l’autre, deux ne faisant plus qu’un. Puis nos lèvres se séparent, je pose ma tête sur son épaule et j’écoute les battements de son cœur se mélanger aux miens…
Je l’embrasse à nouveau, le serrant très fort contre moi. Puis nos lèvres se détachent, je le regarde dans les yeux :
Il soupire, me serrant contre lui :
Je me contente de sourire avant de répondre :
Valentin tire un peu la tronche. Autant lui dire clairement les choses. Il reprend :
Chose qu’il fait d’ailleurs très bien !
Quelques minutes, Pascal est de retour, il a eu du mal pour trouver une place, ce qu’il dit. Peut-être nous a-t-il laissé un peu de temps, à Valentin et à moi… Le TGV est annoncé, nous descendons sur le quai. Nous cherchons après sa voiture que nous trouvons une fois de plus en tête de train.
Valentin serre la main à Pascal :
Et mon mari s’éloigne un peu, allant contempler de plus près la motrice. Valentin le regarde s’éloigner d’un air un peu étonné, alors je lui dis :
Et nous nous faisons un énorme dernier bisou.
À présent, le TGV est parti, emportant mon Valentin. Comme la fois dernière, Pascal et moi, nous sortons de la gare, main dans la main. J’ai un peu le blues, mais je suis très heureuse que mon mari soit à mes côtés. Une fois dehors, je lui demande :
Sans lui donner le temps de répondre, prestement, je lui donne un baiser sur la joue :
Et nous repartons chez nous.
Inutile de vous dire que notre nuit fut très torride, très ! Je me dis que c’est très bien d’avoir deux hommes dans sa vie, un pour le fun, et un autre pour la stabilité, l’équilibre. Mon Pascal, je ne l’échangerai certainement pas contre un autre homme, ni même deux, voire trois. À quatre, je me tâte ! Je plaisante !
Oui, la notion d’ami-amant n’est pas une chimère, et qu’on peut parfaitement aimer deux hommes sans avoir à choisir impérativement l’un d’eux. Mais, mis à part mon mari, est-ce que tous les hommes le savent ?