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Temps de lecture estimé : 19 mn
16/08/14
Résumé:  Une homme de cinquante ans succombe aux charmes de Victoria, une copine de sa fille.
Critères:  hf hplusag jeunes piscine fellation cunnilingu fsodo
Auteur : Love Doctor  (Homme de 50 ans lecteur assidu de Revebebe)

Série : Victoria

Chapitre 01 / 03
Victoria entre dans notre famille

C’est le silence qui me réveilla. Allongé au frais dans ma chambre, je me reposais en attendant que ma fille de vingt ans et ses amis eussent enfin quitté la piscine, pour pouvoir faire trempette en toute tranquillité. La canicule faisait rage et je n’avais pas eu le cœur de résister à la demande de mon trésor qui voulait fêter son anniversaire au bord de l’eau avant d’aller faire une virée en ville.


Donc le silence. Enfin. Dans un demi-sommeil, je regardai la radio qui m’indiquait dix-sept heures. C’était mon dernier soir de solitude car Cécile, mon épouse, et ma deuxième fille devaient rentrer le lendemain d’un weekend à Paris « entre filles ».


Je cherchai mon boxer de bain et me glissai dedans avec difficulté. Mon sexe dressé témoignait d’un rêve érotique dont, malheureusement, je ne me souvenais plus ! A priori personne ne se trouvait dans la maison et je savourais ce moment de paix. Après un passage à la cuisine pour un verre d’eau fraiche, je me dirigeai vers la terrasse. Un instant ébloui par le soleil, je fermai les yeux et lâchai une remarque pour moi-même



Je m’étirais pour me réveiller tout à fait, mais un toussotement me fit sursauter. Un regard vers l’origine du bruit et je découvris avec surprise Victoria, une amie de ma fille. Je lui souris.



Elle sourit timidement.



Je la rassurai.



En même temps, je me demande quel genre de mec de cinquante ans comme moi serait dérangée par une créature pareille ! Vic c’est la fille que tout le monde aime et que toutes les filles aigries détestent. Vingt-et-un ans, blonde aux yeux bleus, un sourire magnifique et un corps aux formes généreuses : elle dégageait une sensualité terrible. Elle ne rentrait pas dans les critères de beauté des jeunes filles actuelles mais elle s’en moquait à priori, et les hommes qui la croisaient aussi. Ceux-ci devaient tout comme moi à l’instant ne voir que sa superbe poitrine, hélas masquée pour le moment par un maillot de bain deux pièces noir dont le haut semblait vraiment trop petit pour elle.


Je devais sourire bêtement car elle rit :



Retombant sur terre, je tentai de prendre un air naturel et me mit aussitôt à l’ombre. Un transat libre à côté d’elle m’attira et je m’installai, à distance raisonnable tout de même.


Vic souriait toujours et intrigué je la questionnai :



Un peu trop vite à mon goût je la rassurai :



Son sourire m’aurait rendu dingue si je n’avais pas l’âge d’être son père. Je détournai le regard pour chasser des images incorrectes de mon esprit et saisissant un journal économique, je repris une posture plus convenable. Mais cette lecture m’assoupit et ce fut un plouf retentissant qui me sortit de ma torpeur.


Je ne devais pas avoir dormi longtemps car le soleil était encore haut. Vic nageait doucement dans la piscine et de mon transat je pouvais l’admirer sans gêne. J’enviais le jeune homme qui profiterait de ses formes appétissantes et de ses seins, un véritable appel aux caresses. Son maillot en apparence sage magnifiait son corps bronzé. Je la regardai faire des longueurs tandis que mon esprit coquin l’imaginait entre mes bras et pas seulement mes bras !


Mon sexe fut rapidement d’accord et une érection prit naissance dans mon shorty, heureusement assez large pour ne pas paraitre indécent aux yeux de Vic. Ses yeux croisèrent les miens et je vis une lueur peu en rapport avec son âge et encore moins avec le mien.


La jolie blonde avait vu mon trouble – et peut être mon érection – et c’était maintenant une véritable femme qui nageait. Elle se savait épiée et à priori n’était pas choquée, voire même émoustillée.


Elle profitait de la piscine, ne manquait pas de me regarder avec son beau sourire à chaque retour et prit son temps pour sortir du bassin. L’envers valait l’endroit et même si elle ne mettait probablement pas du 36, son cul était terriblement sexy. L’eau ruisselait sur elle tandis qu’elle revenait vers sa place, ce qui rajoutait une note sensuelle au tableau.



Allongé, j’avais une vue en contre plongée qui ne calma pas mon érection. Je souris sans rien dire.


Elle déplaça son transat pour se faire sécher au soleil. Se faisant elle dut changer de position et je pus l’admirer en entier. Le maillot trempé collait à son corps, révélant les détails de son anatomie avec une précision indécente… Terriblement bandante, cette Vic, continuais-je à penser.


Nos regards se croisèrent et ce que je lus dans le sien me troubla. Je savais reconnaitre une femme qui a envie d’un homme, mais je n’imaginais pas que cette fille de vingt-et-un ans puisse vouloir faire l’amour avec un homme de cinquante comme moi. Elle prit l’initiative avec une candeur désarmante.



Je faillis m’étouffer devant tant d’audace, puis décidai de reprendre la main.



Le regard malicieux, j’attendais sa réaction. De deux choses l’une : soit elle partait choquée et j’en étais quitte pour avoir une explication avec ma fille si elle lui racontait tout, soit elle ôtait son maillot. Quelques secondes plus tard, elle exposait ses magnifiques seins au soleil. Légèrement tombants, ils étaient surmontés d’aréoles larges qui donnaient l’envie de les gober. Avec un sourire de défi elle me souriait.



D’un regard je lui indiquai mon boxer déformé.



Elle rit franchement et c’est ce rire qui me donna la force d’oser. Assez joué ! Cette fille m’allumait sous mon toit et je me devais de lui montrer de quoi un quinquagénaire était capable. Je quittai mon transat et passant près du sien je lui frôlai la main.



Vic uniquement vêtue de son bas de maillot me suivit. La fraicheur de l’intérieur contrastait avec la canicule de la terrasse.



Surpris par cet aveu détourné, j’eus du mal à réaliser ce que je venais d’entendre. Et je posai une question à priori idiote.



Sans répondre elle fit le pas qui fit tout basculer. D’une main elle saisit mon cou pour m’attirer vers elle, sa bouche s’empara de la mienne et lorsque ses seins touchèrent mon torse j’oubliai nos trente ans d’écart. Notre baiser fut rapidement féroce tandis que nos mains partaient à la découverte du corps de l’autre. Je caressais son cul voluptueux tandis qu’elle glissait une main dans mon boxer. Je gémis lorsqu’elle saisit mon sexe dressé et pris conscience de l’endroit où nous étions. À regret je ressortis sa main de mon maillot. Je saisis Vic et l’entrainai à l’étage où se trouvait la chambre d’amis. Sitôt à l’intérieur je quittai mon shorty pour libérer mon érection, tandis que Vic ôtait son bas de maillot pour révéler un joli sexe blond.


Vibrant de désir je lui demandai tout de même.



Je la poussai sur le lit en riant.



Je la rejoignis pour reprendre notre baiser. La coquine savait y faire et bientôt je grimpai sur elle pour lui montrer mon envie. Vic gémit au contact de mon sexe sur le sien et d’un mouvement de bassin plaça son sexe en face de mon gland. Surpris par l’absence de préliminaires je la regardai étonné.



D’un coup de rein qui mit un terme à toute hésitation, elle me fit la pénétrer. Comme dans un rêve j’avais l’impression de rentrer dans du miel. Vic gémit tout le long du passage. Mon sexe était serré dans une ganse torride et onctueuse. Elle n’avait pas menti, la coquine !


Ses yeux bleu azur brillaient dans la pénombre et sa bouche entrouverte laissait échapper des gémissements au rythme de nos mouvements de bassin. Ses mains dans mon dos, elle m’attirait vers elle pour mieux me sentir, mais ainsi limitait mes possibilités de caresses. J’étais légèrement frustré de ne pouvoir glisser mes mains sur ses seins magnifiques, mais je la laissai faire pour le moment, attendant le moment propice pour changer de position.


Mais la belle voulait jouir ainsi et accéléra ses mouvements de bassin qui devinrent vite frénétiques, la faisant gémir de plus belle. Je l’accompagnais dans cette cavalcade, me retenant de jouir, conscient que cette jolie pouliche méritait d’être montée à plusieurs reprises. En sueur, un peu gêné par son étreinte étouffante, je la pilonnai avec toute la force possible.


Vic ne tint pas longtemps et jouit dans un grand cri, me serrant dans ses bras avec une telle force que je crus un moment qu’elle allait se luxer l’épaule. Elle se tétanisa quelques instants puis retomba sur le lit, les yeux clos et le souffle court.


J’en profitai pour l’admirer. Les cheveux collés par la sueur, on aurait dit une enfant qui venait de courir. Mais en fait d’enfant c’était une vraie femme qui venait de jouir, mon sexe dressé encore en elle. Je la laissai reprendre pied, puis lentement repris un léger mouvement dans son sexe. Elle ouvrit les yeux et me sourit.



Je souris et lentement me retirai. Une lueur de déception lui traversa le visage mais elle disparut rapidement lorsque Vic comprit. D’une main décidée je la fis se tourner sur le ventre puis la relevai en levrette. Dans cette position légèrement soumise elle m’offrait un tableau terriblement bandant : sa croupe voluptueuse et ses seins tombants étaient des appels aux caresses. Je saisis ses pointes sensibles et déclenchai chez ma jeune maitresse un feulement animal inattendu. La belle adorait cette caresse et je n’allais pas l’oublier de sitôt ! Je prolongeai mes attentions mais Vic reculait son bassin dans un mouvement animal, me faisant comprendre ses intentions, qui d’ailleurs rejoignaient les miennes !


Cherchant le bon angle, je poussai mon sexe en elle avec facilité. La pénétration fut lente et sensuelle. Les mains sur ses hanches je prenais mon temps pour laisser retomber un peu mon excitation. Telle une pouliche domptée, Vic accepta mon rythme, se concentrant sur son plaisir renaissant. Je me délectais du spectacle de son cul assez large et pourtant magnifique qui brillait dans la pénombre. La levrette devint plus rythmée et Vic repartit dans les aigus à chaque coup de bassin. Ses cris s’amplifièrent lorsque mes mains reprirent possession de ses seins et devinrent rauques quand je pinçai ses pointes dressées et rugueuses. Son cul venait maintenant carrément à la rencontre de mon pubis et, la sueur aidant, notre accouplement prit des tons humides terriblement excitants.


Encore une fois Vic céda avant moi et jouit dans un cri assourdissant, mon sexe fiché en elle et mes mains agrippées à ses poires magnifiques. La bite douloureuse et échauffée, je n’avais pas encore joui et comptais bien me déverser en elle avant la fin de l’après-midi. Je n’étais pas sûr qu’une chance pareille se reproduisît un jour !


Vic reprenait son souffle et je me dégageai d’elle dans un bruit de succion peu glamour qui nous fit rire. Allongé à côté d’elle je la dévorais des yeux.



Elle sourit :



Son air ébahi me fit rire.



D’une main distraite je flattai son sein volumineux et la belle blonde ferma les yeux. Ma caresse se fit plus précise pour bientôt jouer avec une pointe déjà dressée. Vic gémit et me regarda avec un air désarmant. Quel homme n’aurait pas craqué à ma place ?



Et moi donc ! Mon sexe encore luisant de sa mouille était dressé et tendu douloureusement. Je remarquai alors que la jolie coquine avait glissé la main entre ses cuisses et se caressait doucement en me parlant. Spectacle hautement érotique que voir cette belle plante dans toute sa sensualité. Je la laissai faire quelques minutes, excité par ses gestes lents et son souffle plus rapide. Mais j’avais envie de participer !


Je glissai vers le haut et approchai mon sexe de sa bouche. Vic sentit mon mouvement, vit mon gland et l’enfourna en gémissant. Je faillis jouir tant le spectacle était torride. Vic se masturbait d’une main tout en me suçant comme une goulue. Ses lèvres aspiraient mon gland avec appétit tandis qu’elle me tenait la base du sexe d’une main ferme.


Le bruit de sa masturbation et de sa fellation était digne d’une bande son d’une vidéo x, mais nous étions là dans le monde réel. Et dans la vraie vie, un mâle de cinquante ans ne peut pas tenir des heures à ce régime ! Je me dégageai de sa bouche provoquant un étonnement passager chez ma partenaire, vite rassurée par la suite des évènements.


Je glissai sur elle et, relevant ses cuisses, j’ouvris un maximum le compas de ses jambes. Elle sourit, gourmande, et souple comme une liane malgré ses formes déposa ses pieds sur mes épaules. Mon sexe tâtonna un peu puis sans aide pénétra son antre encore trempée. Nos bassins se cognèrent dès le premier mouvement et je pris appui sur mes bras pour ne pas lui faire mal. Les seins de Vic tremblaient à chaque coup de boutoir et la belle les retint en profitant pour se pincer les pointes. Je gémissais pour me retenir le plus longtemps et, après une fausse alerte maitrisée avec difficulté, je me sentis à nouveau maitre de mon excitation.


Je pilonnai la jolie blonde avec une vigueur retrouvée et sentis mes abdominaux se rappeler à mon souvenir. C’est mieux qu’une séance de gym ! Je sentis Vic venir à ma rencontre et son regard ailleurs eut raison de ma résistance. La belle se laissa aller et j’accélérai encore un peu le rythme, pour enfin éjaculer, dans un cri retenu, de longs jets de sperme qui se répandirent en elle. Je réussis à maintenir un rythme soutenu après mon orgasme pour déclencher celui de ma partenaire qui se crispa en jouissant, déclenchant une crampe dans les mollets.


Nous avons ri comme des ados et repris notre souffle dans les bras l’un de l’autre. Vic me caressait doucement le dos et j’étais bien ; même pas coupable d’avoir baisé une copine de ma fille. Mais la vraie vie devait reprendre son cours et ma jeune maitresse rejoindre les gens de son âge.


Douchée, vêtue d’une robe légère et maquillée sobrement, elle était tout simplement magnifique. Je ressentis une pointe de jalousie qu’elle détecta et me rassura d’une manière touchante.



Je souris silencieux.



Elle eut un sourire coquin et déposa un baiser léger sur mes lèvres.



Elle me quitta ainsi, sûre de son charme, et me laissant le cœur battant comme un ado qui a eu son premier rencard.




oooOooo




La belle ne mentait pas et le lendemain vers onze heures, j’entendis une voiture stopper dans la cour. Sans me précipiter je sortis sur le perron et mon pouls s’accéléra. Vic avançait vers moi en mini-short et débardeur à bretelles sous lequel, à priori, elle ne portait pas de soutien-gorge. Elle était tout simplement magnifique et le sourire à ma vue ajouta encore une touche de grâce.


Je la laissai passer avant de refermer la porte. Elle se jeta à mon cou pour un baiser gourmand qui fit sauter mon cœur dans ma poitrine. Nos bouches se retrouvaient avec plaisir et rapidement notre désir prit son envol. Mais cette fois je voulais prendre mon temps, à l’inverse d’hier.


Elle le comprit et précisa :



Ma femme, Cécile, à qui j’avais raconté mes galipettes d’hier, avait hâte de rencontrer cette jolie blonde qui ne se doutait de rien. Couple libertin depuis une dizaine d’années, nous avions parfois des aventures séparées mais jamais tues et Cécile aimait autant les hommes que les femmes. Elle allait adorer Victoria !



Je repris sa bouche pour un baiser torride et cette fois rien ne nous arrêta. Titubant vers le salon, je la fis prendre place sur le canapé. Sitôt assise elle écarta légèrement les cuisses, ce qui vu la longueur de son short équivalait à une invite. Ma main frôla l’intérieur de ses cuisses tandis que ma bouche reprenait la sienne. Vic gémit lorsque j’atteignis la limite de son string, là où la peau est la plus fine. La belle ondulait sous ma main alors que je n’avais pas encore touché son sexe. Sa langue virevoltait autour de la mienne et elle m’enleva fébrilement le tee-shirt. Les yeux fous, elle voulut baisser mon boxer de bain, mais je la retins. Aujourd’hui c’est moi qui mènerai le bal.


Lentement je me laissai glisser à terre entre ses cuisses. Elle comprit et ferma les yeux. Ma bouche reprit le chemin que mes doigts avaient emprunté quelques instants plus tôt. Sa peau douce était enduite d’une crème au parfum excitant et lentement j’embrassai chaque centimètre carré en remontant vers le graal. Vic gémissait et remonta son tee-shirt pour libérer ses seins, qu’elle prit en main aussitôt.


Ma bouche atteignit la limite du mini-short que j’écartai d’un doigt, offrant ainsi à mes yeux le spectacle magnifique d’une fine toison blonde masquant légèrement un sexe rose et odorant de désir. Je ne résistai pas au plaisir de frôler ce trésor du bout de la langue et la belle cria de surprise lorsque je récoltai un peu de son nectar. La jolie blonde était déjà trempée ! Sa grotte coulait et ma langue récoltait son jus, épicé comme j’aimais. La position n’était pas très confortable et je défis son short qu’elle m’aida à ôter en soulevant les fesses. Son string partit avec et Vic fut nue sur le canapé. Je ne la laissai pas souffler et embrassai son sexe. Langue large pour séparer les lèvres sensibles, puis fine pour frôler le petit clitoris rose que je rêvais de découvrir depuis hier. La blonde gémissait sans interruption, les mains occupées à maltraiter ses gros seins.


Je bandais comme un taureau, dans mon maillot !


Ma langue fouillait son sexe serré que ma bite avait exploré hier. J’avais du mal à maîtriser mon cunnilingus tant cette petite coquine m’excitait. Je me calmai et pris le temps de la faire gémir de plus belle, voire de la faire crier lorsque je saisis son clitoris entre mes lèvres serrées. Vic aimait cette caresse et l’idée que Cécile la léchât un jour me fit gémir aussi. La belle allait jouir mais je fis baisser son excitation d’un cran. Abandonnant son sexe je la fis mettre en levrette avant qu’elle ne protestât.


Son cul me faisait bander depuis hier et j’avais envie de le bouffer !


De mes pouces j’écartai ses globes et ma langue trouva tout de suite son trésor anal. Sûrement peu habituée à ces attentions elle tenta de se refuser à mon envie.



Je ne l’écoutais pas et de mes mains fermes je maintenais son bassin au contact de ma bouche. Ses protestations se firent plus molles et disparurent complètement lorsque ma main frôla son sexe dégoulinant. Je pénétrais aussitôt son vagin serré de deux doigts alors que ma langue tournait autour de son anus.


Ses cris reprirent de plus belle et je sentais son anneau accepter ma caresse, voire même l’anticiper en s’ouvrant. La pointe de ma langue était maintenant en elle et je la limais vigoureusement de ma main droite. Elle ne tint pas longtemps et jouit en se cambrant, facilitant ainsi le cheminement anal de mon appendice buccal.


Elle tomba à plat ventre sur le canapé, m’offrant le spectacle de son magnifique cul ouvert. Elle se retourna et me sourit.



Elle rit contente de sa blague et je me retins de lui dire ce que j’avais en tête…



Je me débarrassai prestement de mon maillot de bain et le sexe fièrement dressé, je m’approchai de Vic qui eut un sourire gourmand. D’elle-même elle se tourna et se saisit de ma bite avec délicatesse. Elle sourit et eut le regard d’une enfant qui découvre son cadeau de Noel.



D’une main douce elle me masturbait tandis que de l’autre elle frôlait mes bourses velues et lourdes. Je la regardais faire, amusé par le contraste entre ses traits d’ado et sa sensualité de femme libérée. Elle engloutit lentement mon sexe, son regard bleu dans le mien. La belle aimait, et ne semblait pas manquer d’expérience. Ses lèvres serraient mon gland, puis aspiraient ma tige avec une lenteur exaspérante. Je me sentais tenu par le bout de la queue !


Je gémissais à chaque mouvement et bientôt mon bassin allait et venait vers sa bouche, que je baisais littéralement. Vic soupesa mes bourses mais à cet instant la tension était à son comble et je faillis jouir prématurément.


Je me retirai prestement de sa grotte humide afin de faire baisser la pression et la fit se lever. Son corps plantureux se colla au mien et un baiser torride occupa cette pause de courte durée. À mon tour je m’assis sur le canapé et attirai Vic sur moi. Elle me chevaucha, guidant mon sexe en elle, comme si nous étions deux amants de longue date.


Nos pubis furent bientôt au contact et j’étais fiché entièrement en elle. Sensation grisante de puissance, mon gland cognait le fond de son vagin. Je ressentis les légères ondulations de ma partenaire qui frottait son clitoris contre moi. Ma bouche reprit la sienne et mes mains empaumèrent ses seins pour parfaire notre étreinte. Vic gémissait tel un chat appréciant des caresses et les mouvements de son bassin gagnèrent en amplitude. Dans ma position, je la laissais libre de ses initiatives et cela me convenait. Je sentais ma jeune maîtresse s’activer de plus en plus sur mon pieu et au bruit de ses gémissements je savais qu’elle ne tiendrait pas longtemps… Et moi non plus ! Me sentant proche de l’explosion et voulant éviter des taches suspectes sur le canapé familial, d’un geste sûr, je la remis sur le dos et, toujours planté en elle, accélérai encore dans la dernière ligne droite du plaisir.


Nous avons atteint le plaisir dans un ensemble presque parfait. J’ai éjaculé au fond d’elle dans un cri rauque et elle me rejoignit quelques secondes plus tard, les jambes serrées autour de ma taille.


Ses yeux bleus brillaient lorsqu’elle reprit pied.



Je ris au son de sa voix qui contrastait avec notre position actuelle.



Son regard brillant me confirma que cette jeune fille avait du potentiel.



Je me dégageai d’elle et, afin d’éviter d’en mettre partout, filai jusqu’à la piscine dans laquelle je plongeai, suivi de peu par Vic. Durant l’heure qui suivit nous chahutâmes tels des ados ? Nos corps se frôlaient, se frottaient au gré de nos jeux. Elle était épanouie dans tous les sens du terme : joueuse, sexy, belle et souriante. Elle m’excitait et mon sexe de nouveau dressé en était la preuve.


La coquine le remarqua et resta un moment appuyée au rebord de la piscine, rêveuse, regardant vers la pelouse, m’offrant ainsi une vue magnifique sur sa croupe. Je me collai rapidement à elle, ma queue dressée glissée entre ses fesses. Vic gémit mais ne dit rien. Penchée vers son oreille je lui murmurai :



Elle ne répondit pas mais je sentis son bassin reculer contre le mien telle une invite.



Son bassin répondit pour elle et je guidai ma bite dans son sexe onctueux. La belle se cambra lors de l’assaut et m’offrit son cou que je mordillai tel un chien montant sa femelle. Mes mains retrouvèrent naturellement sa poitrine et je commençai un lent va-et-vient. Le rythme plut d’abord à ma maitresse qui voulut rapidement accélérer. Voulant jouer un peu avec ses nerfs je refusai toute modification du tempo, profitant de chaque pénétration tel un moment rare.


Vic ne parlait toujours pas, mais grognait pour montrer son mécontentement et tourna son visage vers moi. Je faillis capituler devant une telle beauté qui attendait uniquement de jouir, mais je restai maître de moi. Je maintenais ce faux rythme qui nous laissait tous les deux sur notre faim. Conscient de l’emprise que j’avais à cet instant sur elle, je frôlai son anus de mon pouce tout en la besognant.


Vic gémit mais ne se déroba pas. Prenant cela comme une acceptation, je poussais un peu mon doigt qui franchit son cul sans trop de difficulté. Le passage n’était assurément plus vierge… Je travaillai son anneau par de lents mouvements circulaires qui la firent gémir, mais pas de douleur.


Sa réaction me rendit dingue de désir et, tout doucement, je l’attirai vers les marches de la piscine pour l’installer plus confortablement. Vic se laissait mener, mon sexe en elle et mon pouce dans son cul.


Moins immergés la position serait plus confortable. Reprenant un rythme plus rapide, j’avisai une bouteille d’huile solaire près du bassin. Au contact du liquide qui coula entre ses fesses Vic comprit et murmura uniquement :



Le mot « pitié » fit tilt en moi. Je compris que si le passage n’était plus vierge, le souvenir était probablement encore douloureux. Furieux contre le ou les connards qui avaient brusqué cette poupée, je pris mon temps pour amadouer le joli cul. L’action combinée de l’huile et de mes doigts patients rassura Vic, qui gémissait maintenant continuellement.


Collé à son dos je voulus m’assurer de son consentement.



Ces mots me touchèrent. Lentement je me retirai de son sexe, enduisis mon gland de crème et le posai contre son anneau. Malgré ses mots je la sentais craintive et ne bougeai pas, juste là contre elle.


Ce fut Vic qui donna le signal en poussant son bassin vers moi. Le gland glissa et d’une main ferme je le replaçais au bon endroit. Lentement je poussai et sentis mon sexe forcer un peu, puis la porte s’entrouvrit sans déclencher de cris ni de mouvement de refus. Les quelques millimètres gagnés étaient déjà extraordinaires. D’une main je frôlai son clitoris qui joua le rôle du détonateur. Vic hoqueta de plaisir et lentement se décontracta, laissant entrer en elle mon sexe douloureux à force de bander.


Bientôt mon gland fut accepté, puis, après une courte pause, une partie de ma hampe. Je ne cherchais pas à la prendre en entier et laissant un temps de répit, je commençai de lents mouvements de va-et-vient qui gagnèrent en amplitude et en confort.


Vic laissait échapper des cris assourdis à chaque coup de bassin et, n’ayant pas lâché son clitoris, je faisais en sorte que ma belle atteigne encore une fois son plaisir. À vrai dire, je n’étais pas sûr que l’orgasme de Vic soit directement en rapport avec ma bite dans son cul, mais la belle jouit une nouvelle fois, quelques secondes avant que j’éjacule en elle.


La surface de l’eau de la piscine avait repris son calme lorsque je me dégageai avec douceur de son cul. Vic se colla aussitôt à moi pour m’accorder un baiser langoureux, me rassurant ainsi sur le plaisir ressenti. Nous sortîmes de la piscine la main dans la main avant une bonne douche et une sieste dans la chambre d’amis.


Nous profitâmes du calme ambiant pour nous faire des confidences et je la laissai surtout parler d’elle. Elle ne fit aucunement allusion à ses expériences anales précédentes et je ne la questionnai pas. Elle me surprit lorsqu’elle posa des questions sur Cécile. Voulant jouer franc-jeu, je lui avouais qu’elle connaissait déjà son existence et que par notre pratique libertine acceptait mes écarts, comme moi les siens. Le regard brillant elle me dévisageait.



À plat ventre sur le lit, son magnifique cul offert à mes yeux gourmands, elle resta pensive un moment puis poursuivit.



Je n’eus pas besoin de répondre. Mon regard suffit et la belle blonde ferma les yeux, probablement déjà en train d’imaginer la suite de ses aventures sous notre toit…