n° 17914 | Fiche technique | 18241 caractères | 18241Temps de lecture estimé : 11 mn | 19/05/17 |
Résumé: Victoria fait l'amour avec la mère de sa meilleure amie. | ||||
Critères: ff fplusag fmast cunnilingu -initff | ||||
Auteur : Love Doctor (Homme marié coquin) |
Épisode précédent | Série : Victoria Chapitre 02 / 03 | Fin provisoire |
Résumé du premier épisode : « Victoria entre dans notre famille »
Victoria séduit le père de sa meilleure amie.
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C’est peu rassurée que je me gare dans la cour de cette grande maison que je connais bien et pour cause. Ma copine habite ici et j’y ai couché avec son père la semaine dernière en l’absence de son épouse !
C’est pourquoi le SMS de celle-ci m’invitant à venir profiter de la piscine m’a plutôt surprise, voire inquiétée. Mais ne voyant aucune raison de refuser sans l’alarmer et curieuse de connaître ses intentions j’ai accepté d’autant que la canicule fait encore rage en ce mois de juillet.
Aussitôt sortie de la voiture la chaleur me tombe dessus et je me félicite d’avoir choisi une robe légère à bretelles et des dessous fins. À peine ai-je sonné que Cécile m’accueille avec un sourire de bon aloi.
Sa bise est amicale sans être provocante et je me sens aussitôt bien avec elle. Je la connais pour être la mère de ma copine de fac et l’avais déjà rencontrée dans ce cadre-là, mais c’est la première fois que je la vois en tête en tête.
C’est une belle femme malgré ses quarante-six ans et son paréo cache une paire de fesses fines tandis que son haut de maillot est suffisamment grand pour dissimuler une poitrine que je devine menue. Bref c’est un joli brin de femme et je l’imagine sans peine se plier aux envies de son mari et des autres si j’en crois son penchant libertin affirmé par Marc.
Je souris malgré moi en pensant à mon amant qui a sans doute tout dit à sa femme, rendant ma présence ici assez piquante : que veut-elle exactement de moi ? Me jauger ? Me faire la morale ? Me goûter ?
À cette pensée furtive, je sens mon corps réagir, car malgré mon inexpérience entre femmes l’idée de faire l’amour avec une semblable est loin de me choquer…
Cécile se dirige vers une terrasse ombragée et me sourit :
Je m’assois dans un fauteuil profond tandis que Cécile s’active dans la cuisine avant de revenir avec deux verres, mais surtout sans son paréo. Dans son mini maillot noir, elle est magnifique, fine, bronzée sans traces liées à son âge.
Elle sourit, contente de son effet et me tend un verre glacé.
Nos regards se croisent et chacune sait que l’autre sait. Un silence d’installe, vite brisé par mon hôte qui tient à me mettre à l’aise.
Je bois une gorgée glacée et me dirige vers le local ou il règne une température d’enfer. Je me débarrasse vite de mes vêtements collants pour passer un deux-pièces noir qui va à mon physique plantureux. Il faut dire que mes 62 kg et mon 95D ne rentrent pas partout !
Je rejoins Cécile qui me détaille de la tête aux pieds et dont le sourire semble traduire un compliment tacite. La belle brune a changé de place et est maintenant allongée sur un transat à l’ombre, m’indiquant celui de libre à côté d’elle.
Allongées nous buvons notre citronnade en silence, nous regardant parfois. Malgré les apparences, je ne me sens pas très à l’aise devant cette femme qui m’impressionne et dont le regard sombre semble lire dans mes pensées.
Je vais répondre, mais elle m’interrompt en posant sa main douce sur mon avant-bras comme pour me rassurer.
Je souris, gênée à la fois par la situation et par le compliment. Marc m’a dit que Cécile est bi et j’imagine que sa réflexion n’est pas sans conséquence. Sa main est toujours à la même place, il me suffit de la déplacer pour clore le sujet, mais je ne le fais pas… Je me sens bien, au soleil, aux côtés d’une femme à qui je plais et qui me plaît… Je n’ai aucune expérience lesbienne et je me dis que c’est peut-être le moment ou jamais.
Mais la belle sait y faire et retire lentement sa main sans me quitter des yeux.
Un peu surprise par le changement de ton, je lui souris et la suis dans l’eau à peine fraîche de la piscine. Son bas de maillot est un string noir qui embellit une paire de fesses quasi sans défaut et je m’imagine déjà les caresser alors que rien ne s’est encore passé…
La piscine est assez grande pour ne pas se toucher et nous nageons comme deux amies innocentes alors que nous ne le sommes ni l’une ni l’autre. Mon corps lourd a déjà envie d’elle et elle le sent, le sait.
Petit à petit elle se rapproche de moi tout en continuant sa brasse pour bientôt me frôler presque innocemment sous l’eau, faisant se dresser mes seins dont les pointes percent le maillot.
Elle sourit et me flatte :
Je rougis nettement. J’ai chaud, j’ai envie d’elle, si proche, mais qui reste tout de même distante. Ses yeux disent la même chose que les miens : nous savons que nous allons faire l’amour, mais elle seule décidera quand.
Elle prend ma main sous l’eau et m’entraîne vers les marches de la piscine.
Elle reprend place sur un transat au soleil et naturellement ôte son soutien-gorge, exhibant ses petites pommes aux pointes fièrement dressées. Sans gêne je l’imite, libérant mes lourds globes qui attiraient tant son regard dans la piscine.
Elle sourit, gourmande, mais ne dit rien, fermant les yeux pour mieux se dorer et je l’imite en parfaite harmonie. Le soleil dore ma peau et chauffe mon corps qui ne rêve que de caresses. Le temps passe un peu et mon vœu est exaucé. Cécile frôle délicatement ma main pendant du transat. Je me tourne vers elle un léger sourire aux lèvres et croise son regard. Je sais que la belle brune va me faire découvrir un monde nouveau pour moi.
Sa caresse devient plus précise et nos doigts se joignent pour une communion pleine de promesses. Seins tendus et sexe gonflé de désir je suis déjà à elle. Elle a quitté son transat pour s’accroupir près du mien son visage tout proche de mes lèvres que j’entrouvre dans une invite sensuelle.
Je gémis dès le début de notre baiser me donnant une envie furieuse de faire l’amour avec elle. Je me laisse embrasser, découvrant avec plaisir le goût des lèvres féminines à la fois légères et décidées. Cécile picore la bouche, là où Marc l’a dévorée et les deux me font fondre.
Je frémis lorsque sa main s’empare de mon sein lourd, le frôlant, puis le caressant et enfin le malaxant pour mon plus grand plaisir. La belle lâche bientôt ma bouche pour lécher ma pointe et je peux laisser cours à mes cris lorsqu’elle suce mon téton durci par le désir.
Cuisses écartées, seins pressés et pointes dressées, je lui offre l’image de la femelle soumise que je suis en cet instant. Cécile s’active quelques minutes en gémissant également, d’autant que j’ose caresser son petit cul ferme et doux.
Elle en veut plus, je le sens et le comprends lorsque sa main libre caresse mon bas de maillot trempé de désir. Je crie cette fois en sentant ses doigts presser ma vulve moite à travers le tissu. La belle comprend que je ne suis pas lisse et semble apprécier sans en connaître pour le moment l’aspect. Je soulève mon bassin dans une invite sans équivoque et mon dernier rempart est jeté au loin, mettant à l’air libre ma toison blonde parfaitement taillée.
Elle l’admire un instant puis reprend ses caresses, frôlant mes lèvres moites et mon clitoris qu’elle débusque sans hésitation. Je gémis de plus belle, prête à jouir sous ses assauts combinés. Mais la belle en a décidé autrement. Sa bouche abandonne mon sein pour suivre un chemin lent et étourdissant de sensations et atteindre finalement mon sexe trempé qu’elle frôle à peine, me maintenant dans un état second que je tente d’abréger en l’implorant.
Cécile me fait languir un instant pour plonge son visage entre mes cuisses pour un ballet affolant. Ma vulve est dégustée comme jamais depuis mon premier amant, à la fois frôlée, léchée, mordillée, aspirée tandis que mon clitoris ne m’a jamais transmis autant de plaisir.
Mon bassin ondule sous l’assaut et je me tiens au transat pour ne pas glisser et ainsi profiter au maximum de mon initiatrice qui prend son temps pour me faire crier grâce. Ce que je fais dans un grand cri, le corps tendu et le sexe dégoulinant de jouissance.
Je retombe sur le transat, le souffle court et les yeux fermés, tandis que je sens Cécile lécher une dernière fois mon jus avant de grimper sur moi pour chercher ma bouche. Je frémis en l’embrassant retrouvant avec bonheur le goût de ma cyprine sur sa langue et caressant son corps souple que je ne vais pas tarder à découvrir aussi.
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Elle sourit heureuse d’être mon initiatrice et, les yeux gourmands, me confie :
Je ris, amusée de savoir que la belle brune me matait à mon insu lors de mes visites. Ma main frôle le creux de ses reins et je lui murmure, prudente :
Elle me sourit, sûre d’elle et se lève en m’entraînant dans le même mouvement vers la maison fraîche.
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La chambre est à l’image de la maison : grande, claire et ombragée par la fermeture quasi totale des stores.
Nue comme à ma naissance, je ne vois pas trop comment être plus « à l’aise » et, amusée, je monte sur le lit, découvrant avec bonheur la fraîcheur des draps sur lesquels je m’étire langoureusement. J’entends Cécile revenir et, me tournant sue le ventre, je la vois approcher nue, un appareil photo à la main.
Elle sourit rassurante et précise :
Surprise et troublée par cette nouvelle première fois, j’acquiesce avec un sourire.
Et là commence la séance de shooting qui me fait découvrir le bonheur d’être photographiée sous toutes les coutures, obéissant aux ordres de Cécile pour lui offrir mon corps sous tous les angles. Peu à peu les poses deviennent plus osées, plus sexy et je me sens excitée de m’exhiber ainsi.
Cécile est aussi de plus en plus troublée si j’en crois sa voix chevrotante et ses yeux brillants. Ses gestes sont moins calmes et je sens qu’elle en a aussi envie que moi. Si bien que lors d’un énième cliché, je la saisis par le bras et l’entraîne sur le lit avec moi.
D’abord surprise, elle résiste puis comprenant ce que je veux, elle me sourit, déposant son appareil à terre puis m’enlace pour un baiser gourmand. Nos poitrines se pressent lorsque je passe sur elle prenant garde de ne pas l’écraser. À moi cette fois de dévorer sa bouche pour lui prouver ma passion et de caresser son corps qui ne demande que cela.
Mes gestes sont naturels malgré mon inexpérience et ses seins puis son ventre et enfin son sexe lisse font rapidement l’objet de mes attentions. Je découvre enfin avec bonheur le goût d’une autre femme sous mes lèvres et, enivrée par cette liqueur, je déguste sa vulve avec une passion et un enthousiasme a priori efficaces, car Cécile jouit lorsque je pince son clitoris entre mes lèvres, tandis que mon index pénètre son vagin serré.
La belle crie tout le long de son orgasme le corps tétanisé par le plaisir et retombe inerte, le souffle court. Émue de lui avoir donné tant de plaisir, je me glisse à ses côtés, telle une enfant cherchant le réconfort de sa mère qu’elle pourrait être.
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Nues sur son lit, nous bavardons, naturelles malgré le côté nouveau de la situation. Cécile ne fait aucune allusion à mon histoire avec son époux, mais je me doute qu’elle l’évoquera à un moment ou un autre… Je la questionne plutôt sur ses conquêtes féminines et elle ne se prive pas de se confier, me parlant de femmes ou jeunes femmes que je connais et qui ont fini dans son lit, à mon plus grand étonnement…
Elle sourit d’un air entendu et amusé.
Et elle s’exécute : une réunion parents-profs, des regards trop insistants de la prof sur le décolleté de Cécile, des sourires, et un café proposé comme cela, à tout hasard… et une étreinte sauvage dans le salon de la prof à l’air sévère qui a joui en levrette, la bouche de Cécile collée à son anus.
Son récit m’excite à nouveau, je me caresse distraitement en l’écoutant et la belle brune le remarque. Elle reprend son appareil photo en main en me murmurant de poursuivre, ce que je me fais un plaisir de faire en l’écoutant me parler de toutes les femmes qu’elle a fait jouir de la même manière que moi, pour la seconde fois de l’après-midi…
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Cécile me propose de dîner au restaurant et j’hésite un instant, de crainte de la compromettre en présence d’une jeune femme, mais la belle brune semble rompue à cet exercice.
Je souris, encore hésitante, mais elle a un argument irréfutable.
Je cède sans trop de difficultés, accepte son invitation et me prépare pour la soirée. Je récupère mes vêtements dans mon sac, passe mon string et m’apprête à faire de même avec mon soutien-gorge, mais elle m’en empêche.
Flattée et troublée, je lui obéis, laissant mes gros globes déformer ma robe de manière excitante pour le plus grand plaisir de ma maîtresse et le mien. Le trajet est agréable, ma main posée sur sa cuisse bronzée.
Cécile a raison : le restaurant est magnifique et très discret, l’architecture des lieux empêchant les tables d’avoir vue sur les autres.
Je souris à ma maîtresse et, taquine, lui demande :
Je ris et prends place en face de la belle brune dont la robe noire est absolument divine : ajustée à sa taille de guêpe, elle magnifie sa poitrine pourtant menue.
Le repas est délicieux et propice aux confidences. Je lui parle de ma vie, de mes aventures sans oublier de répondre à ses questions coquines sur Marc et peu à peu je suis de nouveau excitée, d’autant que Cécile a ôté sa chaussure et posé son pied sur mon mollet.
Elle sourit et place son pied carrément sur mon string dont elle sent la moiteur.
Je reprends mes esprits et me recule un peu faisant ainsi baisser la tension érotique ;
Je la regarde et réalise qu’elle est sérieuse. En une journée, mon expérience sexuelle a gravi plusieurs échelons et je suis tout émoustillée à l’idée d’être entre leurs bras. Nos regards sont vissés l’un à l’autre et sans un mot j’avance mon bassin au contact de son pied qui est resté en place et réponds :
Le reste du repas est empli d’une tendresse et d’une complicité troublante et nous quittons le restaurant la main dans la main pour rejoindre la voiture située sur le parking isolé. Là, un baiser amoureux me fait à nouveau frémir tandis que Cécile glisse sa main sous ma robe pour frôler mon string moite et bientôt le faire glisser à mes pieds. Telle une femelle docile je m’appuie à un arbre, relève ma robe et regarde ma maîtresse plonger sa tête entre mes cuisses pour mon troisième orgasme de la journée.
Quel couple diabolique !