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Temps de lecture estimé : 27 mn
28/08/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Charlotte commence à comprendre que son éducation ne sera pas de tout repos. L'achat de son premier jouet sera l'occasion pour elle d'une première exhibition...
Critères:  f ff fplusag sexshop fsoumise fdomine noculotte fgode -fsoumisaf -sexshop
Auteur : Skya69

Série : L'éducation de Charlotte

Chapitre 04 / 10
Une chienne docile

Je comprends vos commentaires concernant l’épisode précédent. C’était stupide de ma part de prétendre quoi que ce soit ou de polémiquer sur le « vécu ». J’ai écrit ce texte pour vous, la seule chose qui compte est que vous preniez plaisir à le lire.


Résumé de l’épisode précédent : Après avoir emménagé chez moi, Charlotte accepte de ne pas être « simplement » éduquée, mais dressée comme une chienne. Pour vaincre sa pudeur, je l’ai d’abord obligée à se masturber devant moi, puis je lui ai expliqué qu’elle ne serait plus autorisée à porter de sous-vêtements, quelles que soient les circonstances. Je lui ai aussi constitué une garde-robe parfaitement indécente…



_____________________________________________




Le lendemain matin, j’ai longuement traîné au lit pour lui laisser le temps de bien réfléchir à sa nouvelle condition de femme de compagnie, soumise et docile, attachée et menottée, son intimité totalement exhibée…


Elle ne pouvait pas me voir mais sa porte était restée ouverte. Et depuis mon lit, en me tordant un peu le cou, je voyais la peau si douce de ses cuisses et de son ventre, offerte et vulnérable…


Ses mouvements et quelques bruits indiquaient qu’elle était réveillée depuis au moins 9 heures du matin, mais j’ai pris un malin plaisir à rêvasser pendant plus d’une heure, imaginant les scénarios les plus fous qui me permettraient d’humilier et de soumettre Charlotte…


Mes divagations m’ont fait réaliser quelque chose que je ne m’étais jamais formulé explicitement. Humilier Charlotte sans aucune retenue, la ridiculiser, afficher en public mon mépris pour cette petite dinde, la traiter comme une chienne ou un vulgaire objet : oui ! tout cela me plaisait (et ça me plaît toujours) et j’avais envie de le faire avant tout parce que cela m’excitait. Mais j’avais envie de le faire aussi parce que je savais qu’elle aimait ça.


Je ne vais pas prétendre être totalement altruiste, et je voulais lui faire subir ces tourments pour mon propre plaisir avant tout. Mais c’était aussi son plaisir que je recherchais…


Au fur et à mesure de mes rêveries, je me suis d’abord rendue compte que j’avais envie de lui faire plaisir. De « faire plaisir » à « plaire » il n’y a qu’un pas et j’ai progressivement réalisé que, par toutes mes manœuvres, je cherchais mon propre plaisir, mais aussi à lui plaire, et tout simplement à la séduire… à la rendre encore plus accroc à moi qu’elle ne l’était déjà.


Je ne sais pas si j’avais une forme de blocage psychologique, ou si je me mentais à moi-même, mais au bout d’interminables tergiversations, nue sur mon lit en continuant à me caresser distraitement l’intérieur des cuisses, j’ai fini par me rendre à l’évidence…


Oui, j’étais bel et bien amoureuse de Charlotte… Sur le coup, j’en ai presque eu honte, et j’ai eu envie de lui faire payer… Lui faire payer quoi ?

Mes propres prétentions de femme bourgeoise qui refuse de s’avouer qu’elle est amoureuse d’une étudiante pas vraiment jolie et un peu vulgaire ? Une forme de jalousie, peut-être que j’aurais voulu être à sa place à son âge, être aimée et dirigée par une femme mûre et sévère ? Mes scrupules de ne pas être capable d’offrir à cette jeune femme que j’aime une vie de couple « classique », sans humiliation, sans domination ?


Rien n’était de sa faute, mais j’avais envie de lui faire payer. Plus j’y pensais plus j’avais envie de la voir frustrée, honteuse, humiliée, rabaissée, docile et soumise, obéissante, jouissant sur commande à la sauvette dans un lieu public ou me demandant mon autorisation pour faire pipi, en larmes après que je l’aie punie, et malgré tout heureuse, amoureuse de moi et faisant partie de ma vie pour toujours…


Tout cela est assez paradoxal, et ce n’est peut-être pas très clair quand on ne l’a pas vécu soi-même. Je me suis moi-même levée un peu confuse, et dans un état assez fébrile. Après m’être un peu remise de mes émotions, je me suis aperçu que cela faisait au moins deux heures que Charlotte était réveillée et m’attendait sagement dans sa chambre ! Je suis entrée nue dans sa chambre comme si c’était parfaitement naturel :



Je faisais exprès de prendre tout cela à la rigolade, mais Charlotte continuait à me regarder bouche bée, partagée entre le désir de se rincer l’œil et la peur de se faire engueuler… Voyant qu’elle avait la gorge sèche, des rougeurs aux joues et que son excitation montait manifestement, j’ai eu une idée : évoquer pour la première fois avec elle l’homosexualité et me moquer d’elle… Je me suis rapprochée de son lit, et j’ai commencé à lui caresser le pied et la cheville d’un air détaché et moqueur à la fois… Sur un ton franchement ironique :



Puis détachant enfin son regard de mes cuisses :



Je me suis approchée de la tête de son lit, en laissant ma main remonter le long de sa cuisse, puis sa hanche… Lorsque mon sexe s’est retrouvé à cinquante centimètres de son visage, à peu près à la même hauteur, j’ai commencé à masser doucement l’extérieur de mes grandes lèvres sans un mot… La tension dans la chambre était palpable, Charlotte incapable d’émettre un son, et moi j’étais franchement excitée…



D’un seul coup, j’ai coupé court à ses fantasmes, et je l’ai laissée dans son lit, stupéfaite et ne sachant sur quel pied danser, pour retourner me planter devant son armoire.



J’ai sorti du placard pour lui montrer (elle était toujours menottée sur son lit), une jupe en tissu très léger, relativement opaque, mais qui se soulèverait au moindre courant d’air et un corsage dans la même matière, partiellement ajouré qui laissait voir la peau à certains endroits.



Après un petit bisou sur la joue, un sourire et une petite caresse sur la main pour lui remonter le moral, nous sommes passées à la salle de bain où ma petite chienne a eu droit à un moment de tendresse pour se remettre de ses émotions (elle n’avait pas dit un mot depuis un quart d’heure). Je lui ai doucement et délicatement brossé les cheveux (légèrement bouclés), maquillé légèrement les yeux, encore des petits mots de réconfort et quelques caresses dans le cou, puis sur un ton enjoué :



En sortant, malgré le temps estival j’ai bien remarqué que le petit vent faisait frissonner Charlotte, en particulier sur les bras et le haut des cuisses. Nous avons marché relativement longtemps (largement un quart d’heure) et j’imaginais sa chatte bien dodue s’ouvrir doucement comme une fleur pour laisser passer l’air frais entre ses lèvres intimes…


Nous avons échangé des banalités pendant le trajet, et une ou deux fois je lui ai parlé de ce mystérieux « cadeau qui allait lui faire si plaisir ». Je lui ai aussi rappelé qu’elle devait désormais systématiquement, en toutes circonstances sauf contrordre de ma part, se comporter comme si elle était ma fille dès lors qu’on était en public, et quel que soit le lieu, ou les personnes rencontrées.


J’avais prévenu Fabienne, une amie gérante d’un sex-shop en centre-ville, que je passerais la voir dans la matinée (sans lui en dire plus). Fabienne est une très belle femme de mon âge, la même taille que moi, mais tout le contraire physiquement : blonde, pulpeuse, et une poitrine très généreuse. Elle a les cheveux très longs qu’elle attache souvent en natte dans le dos, sans oublier de très grands yeux bleus, doux et pleins de tendresse.


J’ai vécu avec elle ma première relation sérieuse l’été de mes seize ans, mais la vie nous a séparées l’hiver suivant. Tout en restant amies, on s’est progressivement perdues de vue. Pendant plus de quinze ans, on n’a fait que se croiser chez des amis communs sans avoir l’occasion de se revoir vraiment et l’année dernière j’avais appris par hasard qu’elle tenait ce sex-shop.


Je lui avais déjà rendu visite à sa boutique deux ou trois fois, comme on renoue les liens avec n’importe quel ancien camarade de classe, sans lui parler de Charlotte. La discussion était restée très neutre (« qu’est devenu untel ? » « Dans quel quartier habites-tu ? C’est fou les prix de l’immobilier par là-bas », etc…), mais j’avais bien compris qu’elle préférait toujours les femmes.


Toujours est-il que c’est vers le sex-shop de Fabienne, plus de vingt ans après notre relation, que nous nous dirigions toutes les deux. Sa vitrine est sobre, et son enseigne peu explicite, ce qui fait que Charlotte n’a pas compris de quel type de boutique il s’agissait quand nous nous sommes arrêtées devant et que nous avons franchi le seuil.


Sans que Charlotte réalise vraiment ce que je faisais, je l’ai prise par la main, et je suis entrée. Fabienne était seule dans sa boutique, plongée dans une liste de stocks, cachée partiellement par une étagère.



À l’instant où elle a terminé sa phrase, elle a commencé à fixer Charlotte, laissant la place à un grand silence. Vu la tenue de Charlotte, faisant plus jeune que son âge (plutôt 21 ans que 23), la manière dont je lui tenais la main, et dont elle-même se tenait, timide et légèrement en retrait, Fabienne s’est forcément demandé si c’était ma fille.


Quant à Charlotte, elle venait de comprendre où elle était et, hypnotisée par les couvertures de magazines porno, elle avait perdu sa langue… Je n’ai pas laissé le temps à Fabienne de se poser plus de questions :



Charlotte était rouge écarlate et pas loin de s’enfuir en courant, mais je lui tenais toujours la main et Fabienne, très bavarde, ne lui a pas laissé le loisir d’hésiter longtemps.



Elle était tétanisée et on aurait pu croire qu’elle resterait là toute la journée, figée, comme une statue. J’ai posé délicatement ma main sur son épaule pour essayer de la rassurer, et j’ai commencé à lui caresser la nuque pour l’aider à se détendre. Tout en lui caressant doucement les cheveux pour ramener quelques boucles rebelles qui s’étaient glissées sous le col de son corsage, je me suis mise à lui parler tendrement :



Les mots « rouge écarlate » sont insuffisants pour décrire l’état de Charlotte à cet instant. Je n’aurais pas été étonnée si elle s’était évanouie. Charlotte était le centre de toutes les attentions, et ça le mettait très mal à l’aise.



J’ai bien vu que Charlotte se concentrait pour prendre son courage à deux mains et lâcher ce qu’elle avait sur le cœur, mais dieu que ça a été difficile !



Elle avait lâché ça d’une traite et d’un coup, elle semblait comme stressée, dans l’attente de la réaction de Fabienne ou d’un éventuel jugement.



Charlotte était bouche bée devant cet étalage d’objets bizarres qu’elle imaginait trop bien faire irruption dans sa vie intime. Les deux ceintures avaient manifestement sur elle un pouvoir à la fois d’attraction et de répulsion. Elle n’osait pas les toucher et ne pouvait pas détacher ses yeux du cadenas qui brillait sous les spots de la boutique.



Je me suis dit à ce moment-là que Fabienne avait un discours vachement bien rôdé pour embobiner les oies blanches comme Charlotte, quasiment un embrigadement, elle m’avait presque fait peur… Charlotte semblait subjuguée, incapable de se rendre compte que cette ceinture exacerberait sa libido… Incapable de se satisfaire, j’imaginais bien qu’elle ne penserait bientôt plus qu’à ÇA, totalement dominée dès lors que j’aurai le pouvoir d’ouvrir de temps à autres sa ceinture… Soit l’effet exactement inverse de cette « liberté » que Fabienne lui promettait…


Captivée par Fabienne, elle a commencé à les manipuler, à comparer leur texture et à les positionner devant son ventre pour se mettre en situation.

Au bout de quelques secondes, un grand silence s’étant installé, j’ai repéré un autre modèle dans une sorte de latex rigide qui semblait percé sur le devant.



Pendant qu’elle écoutait Fabienne, captivée, j’ai lu dans les yeux de Charlotte un mélange de peur et d’étonnement, et j’ai aussi cru déceler furtivement un soupçon d’excitation…



Elle a commencé à retrouver son calme et à regarder de nouveau les différents modèles de ceinture. Manifestement elle cherchait à gagner un peu de temps pour réfléchir, probablement pour essayer de trouver une échappatoire. Au bout de quelques secondes, son regard s’est éclairé et elle a eu d’un seul coup l’air très sûre d’elle. Elle avait son idée pour sortir dignement de ce mauvais pas.



À cet instant, Charlotte était certaine que sa stratégie était gagnante, elle allait pouvoir sortir la tête haute… J’ai pris Fabienne à part, et j’ai négocié avec elle pendant deux ou trois minutes en surveillant du coin de l’œil ma petite Charlotte qui dansait d’un pied sur l’autre, ne sachant pas trop à quoi s’attendre. Au bout de quelques minutes, je suis retournée vers Charlotte d’un pas décidé.



Enthousiasmée par mon idée, j’en avais presque oublié Charlotte, au bord des larmes, qui faisait la tête de quelqu’un qui se dirige vers l’échafaud.



Fabienne a dû en déduire que Charlotte voulait juste arrêter le shopping pour la journée, mais j’avais bien compris qu’elle parlait d’interrompre définitivement notre relation.


Attendrie, Fabienne était sur le point de prendre le parti de Charlotte.



Ce n’était pas la première fois que je décidai de jouer le tout pour le tout avec Charlotte…



Je me suis rapprochée d’elle pour lui caresser doucement les cheveux et lui prendre la main, la rassurer. Elle s’est laissée faire, mais ce n’était pas encore gagné.



D’une toute petite voix à peine audible, Charlotte a balbutié :



Manifestement incapable de répéter la phrase humiliante et obscène que j’avais prononcée, Charlotte a commencé à se masturber en sanglotant.



Après avoir délicatement retiré sa main pour l’empêcher de se donner du plaisir, je l’ai forcée à se retourner pour faire face à M. Babinet qui se dirigeait déjà vers l’arrière-boutique pour assister au « spectacle ».



M. Babinet avait une petite soixantaine, un look de cadre supérieur très élégant et manifestement aisé. Son costume trois pièces et sa cravate étaient impeccablement ajustés. J’ai réalisé, en sortant de la boutique après l’exhibition de Charlotte, qu’il n’avait pas ouvert la bouche une seule fois et n’avait pas laissé transparaître le moindre signe d’excitation ou de trouble pendant tout le spectacle.


Charlotte portait toujours son corsage très léger et sa jupette assortie, mais le maquillage avait disparu, noyé dans les sanglots. D’une démarche mal assurée, sans bien réaliser ce qui lui arrivait, Charlotte est entrée dans la salle que Fabienne appelle son « théâtre », pendant que M. Babinet prenait place dans un confortable siège type « fauteuil de cinéma ».


Fabienne connaissait manifestement bien son client. Nous avons aussi pris place dans des fauteuils faisant face à la scène, à côté de M. Babinet. Elle m’a indiqué dans un murmure qu’il resterait silencieux et que c’est elle qui guiderait Charlotte afin de satisfaire les fantasmes de son unique spectateur. Je n’ai d’ailleurs pas dit un mot non plus, laissant Fabienne prendre les choses en main d’un ton autoritaire et assuré :



D’un geste rapide et maladroit, presque timide, Charlotte a enlevé son corsage, l’a fait tomber devant elle, et a laissé sa jupe glisser le long de ses cuisses. Pour finir, d’un coup de pied, elle a envoyé ses vêtements rouler sous un sofa sur le côté de la scène. Pendant plusieurs secondes, elle s’est tenue silencieuse face à nous, n’osant pas trop cacher son sexe, presque timorée d’un seul coup alors que quelques secondes plus tôt, elle exhibait son désir et son excitation. Elle essayait tout de même de cacher à moitié sa poitrine en faisant semblant de soutenir avec ses mains ses seins trop lourds.



D’un seul coup, raide comme un piquet, elle a plaqué ses bras le long de son corps, de plus en plus mal à l’aise. Ses seins sont retombés, lourds et pleins, dans leur position naturelle.



Un peu empruntée au début, Charlotte a fini par oublier son public, fermant à moitié les yeux et prenant manifestement beaucoup de plaisir à sucer son jouet en silicone.



Fabienne a presque hurlé ces derniers mots et Charlotte a même sursauté. Docile, elle a commencé à se branler frénétiquement avec le gode. Elle était comme un automate, effrayée par Fabienne, j’avais l’impression qu’elle n’avait plus conscience de ce qui l’entourait. Ses mouvements sont progressivement devenus plus naturels, et pendant qu’elle se godait avec entrain, j’ai vu son corps onduler en cadence et sa respiration s’accélérer en quelques minutes. Sa main gauche pinçait les tétons et griffait la peau si blanche de ses seins. Elle se mordait la lèvre, gigotait dans tous les sens et n’arrivait pas à enfoncer le gode suffisamment loin pour calmer son excitation. Elle donnait l’impression de vouloir se transpercer le bassin tellement ses gestes étaient rapides.


Elle était toujours coupée du monde, dans sa bulle. Mais ce n’était plus à cause de la honte ou des cris de Fabienne. À cet instant, le plaisir et le désir ont pris possession de son corps. J’ai vu dans ses yeux un déclic s’opérer. J’ai compris qu’elle m’appartenait pour de bon désormais, que je pouvais tout lui demander et qu’elle m’obéirait au doigt et à l’œil. Son éducation n’était pas pour autant terminée, mais elle venait de faire le choix d’abandonner sa conscience, sa personnalité et sa vie d’avant pour devenir MA CHIENNE.


Une relation unique entre ma chérie et moi a démarré ce jour-là et ne prendra fin que le jour où l’une de nous deux rejoindra l’au-delà.


Voyant que M. Babinet était satisfait, Fabienne s’est approchée de Charlotte et lui a brusquement retiré le gode des mains.



J’ai fini par reconnaître qu’elle ne pouvait pas prendre les transports en commun dans cet état (ses vêtements ne cachaient pas complètement les traces de son plaisir) d’autant plus qu’elle pouvait à peine marcher, encore sous le coup de l’émotion et l’excitation. Jamais à court de surprises pour ma chérie, j’ai eu une idée.



En tapant le code de ma carte bleue, j’ai discrètement appelé un taxi.


Une ou deux minutes plus tard, j’étais de retour dans l’arrière-boutique.

Sans autre explication, j’ai pris Charlotte par le bras :



Nous nous sommes engouffrées dans le taxi sans que le chauffeur remarque l’état de Charlotte. Le temps que je lui donne mon adresse, Charlotte s’est assise derrière lui, espérant qu’il ne la regarderait pas. La voiture avait à peine démarré que Charlotte chuchotait, inaudible et au bord des larmes :



Sans un mot, je lui ai tendu discrètement une enveloppe kraft dans laquelle j’avais emballé son gode. Sur l’enveloppe, j’avais écrit à la va-vite, devant la caisse de Fabienne : « Gode-toi maintenant ! Et ne fais pas semblant. Si tu ne jouis pas pendant le trajet, tu seras sévèrement punie. »



À suivre…