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n° 16389Fiche technique19481 caractères19481
Temps de lecture estimé : 12 mn
05/09/14
Résumé:  Au XVIIème siècle, des civils prisonniers suite à la prise d'un port doivent s'adapter à leur nouvelles conditions de vie.
Critères:  fh hplusag fplusag voir fellation pénétratio historique
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : Conflits

Chapitre 01
La vie reprend : il faut s'adapter.

À la suite d’un raid sur le port de Dorbauxe, des prisonniers, hommes, femmes, enfants sont emmenés en captivité. Les civils, après avoir été enfermés dans des entrepôts durant une semaine voient des améliorations se produire. Le gouverneur est venu les visiter. Il était mécontent que les militaires aient cru bon de les ramener. Il a trouvé indigne qu’ils soient enchaînés et les fers sont tombés.


Il leur a fait quitter les trois entrepôts où ils étaient entassés pour les expédier à la sortie de la ville dans un ancien couvent, désaffecté depuis que Henry VIII l’aïeul du Roi avait quitté le giron de l’Église pour pouvoir répudier sa femme et épouser une jeune beauté. Les locaux avaient été transférés à l’armée, mais n’étaient pratiquement plus utilisés.


Y mettre les prisonniers a, aux yeux du gouverneur, un triple avantage. Primo, libérer des entrepôts situés près du port. Secundo, les installer dans un endroit plus facile à surveiller. Tertio, faire restaurer et entretenir les bâtiments quelque peu négligés.


Le couvent est un vaste espace entouré de hauts murs. Les prisonniers sont confinés dans la clôture. Dans l’autre partie est installée la garde. Les anciens dortoirs, une fois vidés et nettoyés, retrouvent leur ancienne fonction. Le plus vaste servira aux familles, l’autre aux isolés. Ce dernier est divisé, plutôt symboliquement, en deux parties : une pour les hommes, une pour les femmes. Les cuisines reprennent leur activité, de même que les ateliers.


Dorbauxe est connu pour ses toiles et nombreux sont les tisserands capturés. Le gouverneur fait venir des métiers à tisser, du matériel de cardage et de filage. Quelques tailleurs fabriqueront des uniformes. Tous ne sont pas utilisés à l’intérieur de l’enceinte. Tous les matins plusieurs dizaines d’hommes et de femmes se voient mettre une chaîne à un pied pour aller travailler à l’extérieur à des travaux de terrassement ou de voirie et même quelque fois pour être loués à des particuliers.





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Mathieu Lescot, quarante ans, plutôt bel homme, est un marchand armateur, jurat de la ville. Les mauvaises langues disent qu’il a un boulier à la place du cœur et qu’avec son épouse Marie-Jeanne, s’ils n’ont pas d’enfant après quinze ans de mariage c’est qu’ils passent leurs nuits à spéculer, préparer des négociations commerciales ou compter leurs écus.


Son épouse était absente de la ville le jour du raid, il est donc seul. De ne plus avoir de projets ou de calcul à faire le laisse désemparé et lorsqu’il lui est demandé de travailler avec ses mains et non plus avec sa tête, il est perdu. Une nommée Jacqueline Lechamp le prend un peu en pitié de le voir démoralisé et l’aide à s’acclimater à cette nouvelle existence.


À peine vingt ans c’est une assez jolie fille encore fraiche. Elle est mariée depuis deux ans à un petit métayer. Elle a eu une fille perdue à six mois emporté par une fièvre tierce. Childebert, son mari, la bat. Elle ne connaît de répit que lorsqu’il est sobre, ce qui est rare, ou quand il est trop saoul, ce qui est plus fréquent. Elle est travailleuse. C’est elle qui fait tourner la ferme pour l’essentiel. L’éducation lui fait défaut, mais elle est dotée d’un solide bon sens. À dire vrai, pour elle cette captivité n’est pas une malédiction. Elle ne travaille pas plus et évite les raclées. Son mari, le jour de l’attaque, était resté cuver pendant qu’elle venait en ville pour vendre quelques produits au marché.


Mathieu apprend beaucoup au contact de Jacqueline. Il trouve même du plaisir à travailler de ses mains. Quand il prend en charge les registres de la communauté d’exilés, il continue à s’adonner à des tâches manuelles. Il se rend vite compte que la jeune femme n’est pas sotte et il entreprend de l’alphabétiser et de l’éduquer. Elle se révèle une élève douée qui non seulement est rapidement capable de lire un texte, mais aussi de le comprendre et de poser des questions pertinentes.


Entre le grand bourgeois et la petite paysanne se tissent des liens solides. Pendant des semaines ils n’en ont pas vraiment conscience. Un matin tout change. Ils partent compter des sacs de laine dans une réserve. Arrivés, ils accrochent leur pèlerine et commencent le travail, chacun de son coté.


Soudain un tonneau bascule, tombe sur le sol et explose. À quelques pouces près elle était écrasée, mais n’est que trempée. Sous le coup de l’émotion elle reste tétanisée. Son compagnon revient vers elle pour l’apaiser, cependant, voir ses formes moulées par les vêtements mouillés le trouble. Comme il approche, elle s’accroche à lui et se met à sangloter. De la sentir palpitante contre lui augmente son émoi. Il lui caresse les cheveux en lui glissant des paroles de réconfort, avant de lui suggérer, en la voyant frissonner dans l’air frais du matin, de mettre sa pèlerine. Il va la chercher et la lui tend. Elle la prend, mais ne peut la mettre sur ses vêtements. Elle va donc s’isoler derrière une cloison, se déshabille, essore ses habits, s’essuie tant bien que mal et met la pèlerine sur ses épaules.


Quand elle revient vers lui, Mathieu est torse nu. Il a quitté la chemise qu’elle avait mouillée en se serrant contre lui. À son tour troublée, elle trébuche manque de choir et se retrouve sur les genoux. Il s’empresse de l’aider à se relever, la soutenant par le coude et la main, mais elle a lâché les pans de sa pèlerine et celle-ci s’est ouverte, dévoilant son corps nu. Cette vision achève de le bouleverser Une fois qu’elle est debout, il continue de lui tenir la main. Elle ne fait rien pour la retirer. Ils se regardent, il l’attire, elle vient se blottir dans se bras. En sentant les seins de Jacqueline contre sa poitrine, une érection lui vient. Mathieu se sent très gêné et pourtant, pour rien au monde il ne voudrait rompre le contact. Elle lève la tête de son épaule. Leurs regards s’attachent, leurs lèvres s’unissent. Il la soulève, la porte sur des sacs de laine, l’embrasse, la caresse, lui murmure des mots tendres. Jacqueline frémit, mais ce n’est plus de froid. Jamais son mari ne l’a ainsi câlinée. Quand ça le prenait il la renversait sur le lit, la table ou par terre, la troussait, pénétrait, besognait pendant quelques minutes et retournait à ses occupations, le plus souvent la bouteille, ou s’endormait. La seule chose qu’elle ressentait était une brûlure au vagin.


Là son corps s’épanouit, ses reins, ses seins s’enflamment. Elle a envie de lui et défait elle-même sa culotte. Point n’est besoin de la forcer pour qu’elle ouvre les cuisses. Il entre ou plutôt il glisse en elle tant son sexe a secrété de cyprine. Lorsqu’il commence son va-et-vient, elle ne peut rester inerte. Son bassin s’anime. De son côté Mathieu est comblé de la voir coopérer avec tant d’ardeur. Sa femme faisait ça de manière plus mécanique, presque détachée. Même au début de leur mariage, quand elle prenait l’initiative dans l’espoir de devenir grosse, jamais elle n’avait fait montre d’un tel enthousiasme au coït.


Il est presque fasciné de voir Jacqueline prendre du plaisir à se faire baiser. Elle gémit sous l’assaut et quand l’explosion survient, elle s’agrippe bras et jambes à lui, l’enserrant dans un étau. Tout son corps est irradié. Jamais elle n’avait ressenti de telles sensations. Elle est délicieusement bien. Elle le sent se vider en elle. À la voir jouir, il n’a pas pu se retenir davantage. Ils sont étonnés l’un de l’autre. Il l’embrasse. Elle vient se blottir dans ses bras. Elle perçoit qu’il reprend de la vigueur. Elle se rallonge sur le dos, écarte les cuisses et l’attire en elle. Ils repartent pour une nouvelle chevauchée qui les laisse amollis. De ce jour en plus du temps passer à travailler ensemble ou à parfaire l’éducation de Jacqueline, s’ajoute celui à découvrir les plaisirs du corps.





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Marion et Joseph Malaveau sont mariés depuis deux ans. Il a vingt-deux ans et est compagnon tisserand. Il est grand, beau garçon, travailleur, mais assez près de ses sous. À dix-huit ans Marion est une jolie fille blonde, grande elle aussi. Elle est pleine de santé et a le caractère rieur. Ils s’entendent bien malgré un mariage arrangé. Un jour Marion est louée avec deux hommes et une autre femme à un notable de la ville, pour renforcer la domesticité pour la préparation d’une réception : le mariage de la fille cadette d’un nommé John Custer, riche négociant veuf.


À son retour Marion raconte à son mari que toute la journée elle a dû repousser les avances du bourgeois qui a été jusqu’à lui proposer quatre pièces d’or pour qu’elle se montre compréhensive. Presque quatre cents livres, ce qu’ils gagnent en plusieurs mois. Joseph parle d’aller lui casser la figure pour lui apprendre respecter les honnêtes femmes. Marion le calme et lui rappelle que cela risquerait de leur causer bien des soucis.


Le soir Joseph toujours en colère a du mal à s’endormir. Dans son esprit embrumé une chose revient : ce sont les quatre cents livres. Plus le temps passe et moins son indignation est forte. Du côté de Marion aussi l’idée des pièces d’or la fait rêver un moment avant de s’endormir. Tout deux pensent qu’une telle somme ajoutée à leurs économies serait un bon départ pour que Joseph puisse devenir maître-tisserand et s’élever socialement. Le lendemain matin aucun des deux n’ose faire part des réflexions qui les ont traversés. C’est Fernand, un camarade de Joseph, qui va être le déclencheur. Il dit que son cousin germain prisonnier avec eux est au plus mal et comme il est sa dernière famille, il lui lègue ce qu’il possède. Il regrettera son cousin avec qui il s’entendait comme un frère, mais quelques centaines de livres sont toujours bonnes à prendre. C’est Marion, après le départ de Fernand, qui glisse :



À partir de là chacun par petite touche encouragé par l’autre, en vient à évoquer la proposition de la veille. D’abord pour s’en indigner hautement, puis de manière moins virulente, avant d’évoquer à nouveau la maîtrise, la vie plus facile. Insensiblement cette perspective fait tomber les réticences. Lorsque une heure plus tard Marion est de nouveau réquisitionnée pour poursuivre le travail commencé la veille, elle a la bénédiction de son mari pour essayer d’arrondir leur bas de laine.


En arrivant sur le lieu de travail. Le bourgeois recommence à la solliciter. En premier lieu elle le repousse en lui rappelant qu’elle est mariée. Puis ajoute que ce n’est pas parce qu’elle est pauvre que l’on peut l’acheter pour quatre malheureuses pièces. Elle s’y prend si bien, en le faisant languir jusqu’à après le déjeuner, qu’une bourse de six pièces leste sa poche quand elle le suit dans sa chambre l’après-midi.


Il la fait se dévêtir et se caresser. Ayant profité du spectacle Il écarte la main et entre en elle sans difficulté, la dame ayant pratiqué sans simuler. John Custer, bien qu’ayant dépassé la cinquantaine, est encore fort vert. Il s’active longuement avant lâcher sa semence. Marion qui trouve qu’il vaut mieux profiter des choses quand elles arrivent, apprécie la prestation. Elle aime moins quand il lui met son sexe ramolli dans la bouche, mais elle ne rechigne pas. Très rapidement John retrouve toute sa raideur. Pour le deuxième service c’est à quatre pattes que Marion officie. De nouveau son chevaucheur tient la distance et Marion prend son pied en s’efforçant à un peu de discrétion. Après quelques caresses suivies d’une nouvelle fellation, le bourgeois décidément en forme repart pour un troisième tour où il la fait venir sur lui. Il en profite pour malaxer, triturer et pincer ses seins, parfois un peu rudement, mais elle ne déteste pas, pour preuve elle prend son plaisir au moins trois fois en cette dernière passe. Cela fait près de trois heures qu’elle est dans la chambre quand elle se rhabille.


Le soir, de retour au couvent, son mari lui demande comment s’est passée la journée. Elle lui montre la bourse et son contenu. Il la presse de questions, comment est John Custer, ce qu’elle a ressenti… et elle répond sincèrement. Il éprouve un élan de jalousie en pensant que son épouse s’est fait tringler pendant des heures et qu’en plus elle y a pris du plaisir. Il en montre quelque humeur, mais de sentir la bourse dans sa main atténue grandement son amertume, au point que le lendemain quand Marion est appelée pour une troisième journée chez le bourgeois, elle a plus que son consentement pour essayer de gagner quelques sous supplémentaires.


La matinée se passe sans qu’elle voie John, et l’après-midi idem, elle travaille donc avec les autres sous les ordres de l’intendant. Ce n’est qu’au moment du départ qu’il apparaît. Il donne une petite pièce à chacun avec un mot de remerciement avant de le congédier. Il s’arrange pour finir par Marion, lui donne sa piécette et au lieu des remerciements lui glisse que le lendemain elle viendra de nouveau, mais seule. Le soir quand Marion dit à son mari qu’il ne s’est rien passé, il en est à la fois soulagé et dépité. À l’annonce des derniers mots de John, ce sont encore des sentiments contradictoires qui l’agitent, mais la perspective d’arrondir le magot finit par primer sur le reste.


Le lendemain effectivement Marion est appelée et conduite par un garde à la maison de John. L’intendant la guide jusqu’à un pavillon au fond du parc. Elle n’y est rejointe par le maître de céans qu’en fin de matinée. Marion espérait de nouveau ramener six pièces, mais elle doit vite déchanter. John n’est nullement décidé à débourser de nouveau une telle somme. Aujourd’hui ce sera deux pièces et l’après-midi il viendra avec son fils cadet pour qu’elle se charge de le déniaiser. Elle essaye de discuter, mais c’est ça ou rien et elle retourne d’où elle vient, et encore est-ce bien payé précise-t-il. Elle finit par accepter.


John passe alors à l’action. Au moins a-t-elle la consolation de prendre du plaisir. Leur affaire finie, il se retire. Un repas lui est apporté. La table est desservie depuis une bonne heure quand John revient avec son fils Peter. Il présente Marion comme une personne devant l’instruire. Le garçon n’a pas l’air de savoir le pourquoi de sa présence. Marion ne sait trop comment s’y prendre. Doit-elle se montrer directe ou amener les choses plus en progressivement ? Elle opte pour cette dernière solution. Elle verra bien si le garçon désire passer aux choses sérieuses, s’il trouve que cela traîne trop.


Elle vient s’asseoir près de lui et se met à discuter. Heureusement Peter ne se ferme pas, il a visiblement besoin de parler. Elle l’interroge sur ses goûts, ce qu’il fait, sur ses amis, puis oriente la conversation sur les filles. Peter finit par dire qu’il a une amie qui lui plait bien et se lance dans une description dithyrambique. En poursuivant la discussion, il convient qu’il sait comment ça se passe pour les chiens, les chats ou les chevaux, mais qu’il n’a jamais vue de filles nues et ne sait trop comment se comporter avec elles. Il faut dire qu’il a passé son enfance et son adolescence dans un internat pour garçons, d’où il ne sort que fort peu. N’eut été le mariage de sa sœur il y serait à l’heure présente.


Marion lui propose alors pour son éducation de lui montrer comment est faite une femme. Il bafouille, rougit, mais ne se sauve pas en courant. Elle lui demande de l’aider à délacer son corsage. Il ne se le fait pas dire deux fois. Elle doit même calmer son ardeur en lui expliquant qu’il ne faut pas se jeter sur les femmes, mais y aller en douceur. Il retient bien la leçon et quand vient le tour de la jupe et des dessous, il fait montre de délicatesse. Une fois nue, elle lui donne un cours d’anatomie féminine, lui fait tâter ses seins, ses fesses. Elle s’installe ensuite sur un fauteuil, pose ses jambes sur les accoudoirs et lui dévoile sa chatte. Elle écarte ses lèvres et l’encourage à y porter lui-même la main. Elle lui fait découvrir son bouton et l’incite à enfoncer un doigt dans sa fente. Elle lui dit alors qu’il a autre chose qu’il peut introduire dans son sexe et qui lui procurera beaucoup de plaisir. Elle lui demande s’il veut essayer. Rien qu’à voir son regard, Marion sait que la réponse est oui. Elle le débarrasse de son pantalon et l’entraîne vers le lit. Elle constate que Peter bande déjà et que la nature l’a généreusement pourvue, plus que John ou son mari.


Elle s’allonge, Peter entre en elle avec toute la fougue de la jeunesse. Il faut peu de temps pour qu’il décharge, mais il ne débande pas et repart aussitôt pour un second tour. Il y montre plus de résistance, beaucoup plus même. Pour ça, il doit tenir de son père. Elle n’hésite pas à manifester le plaisir qu’elle a à se faire baiser. Peter finit par lâcher la purée une seconde fois. Son sceptre baisse un peu la tête, mais fort brièvement, car rapidement il retrouve sa splendeur. Il est prêt à remettre le couvert une troisième fois. Un peu fatiguée de l’avoir sur elle, Marion cette fois se fait prendre en levrette. Peter montre autant d’ardeur que les fois précédentes. Il se répand à nouveau.


Il est entrain de récupérer, visiblement en route pour une nouvelle cavalcade, quand on frappe à la porte. Un domestique prie le garçon de revenir dès que possible à la maison où son père l’attend. Peter montre quelque humeur à devoir interrompre un si agréable après-midi. Marion, malgré le plaisir qu’elle a pris, n’est pas mécontente de souffler un peu. Son mari cette nuit, qui n’y a pas été de main morte, John ce matin et Peter cet après-midi, ça commençait à faire.


Un peu plus tard l’intendant vient la chercher pour la confier au garde qui l’escortera jusqu’au couvent. Il lui dit que son maître la remercie et lui annonce que le lendemain commencent les festivités du mariage et que l’on n’a pas besoin de ses services.


À son retour son mari se montre déçu qu’elle ne rapporte que deux pièces, surtout qu’ils ont été deux à lui être passés dessus. La perspective de ne plus arrondir le bas-de laine ne l’enchante pas non plus. Elle lui dit que de toute manière ses règles vont commencer et que continuer pendant cette période aurait été assez délicat.