n° 16400 | Fiche technique | 8801 caractères | 8801Temps de lecture estimé : 6 mn | 15/09/14 |
Résumé: De mes premières émotions candaulistes au passage à l'acte. | ||||
Critères: fh extracon cocus cérébral voir | ||||
Auteur : Tito40 (Candauliste sur le tard) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Candauliste sur le tard Chapitre 01 / 04 | Épisode suivant |
J’ai aujourd’hui quarante-et-un ans, mon épouse quarante. Elle fait beaucoup d’efforts pour rester jeune et je dois dire qu’elle y parvient très bien. Elle est petite, bien foutue, blonde, mignonne.
Souvent elle sort avec des copines. Elles se font un resto, et finissent généralement en boîte. Je la laisse s’amuser. Elle est fidèle, peu attirée par le sexe, et sa réelle intention lorsqu’elle sort est de danser, de s’amuser. Je n’en éprouve aucune inquiétude.
Marie est rentrée tard, hier soir. Je ne sais même pas à quelle heure. Je m’occupe en attendant qu’elle se lève. Je bricole. Vers onze heures elle émerge, les yeux bien explosés. Elle me raconte rapidement sa soirée entre copines et se marre en ma racontant qu’un jeune type avait flashé sur elle et qu’il n’avait pas arrêté de la draguer. Évidemment, elle l’avait gentiment éconduit, tout en restant sympa, sans le vexer. Je suis mariée, fidèle, je suis là pour danser, alors danse avec moi et on en reste là. Le jeune mec avait fait un peu la tête mais était resté avec elle et ses copines le temps de la soirée. Elle avait dansé plusieurs fois avec lui. Plusieurs fois il avait laissé traîner ses mains ou tenté de l’embrasser. Elle avait à chaque fois décliné, acceptant au mieux de le laisser se coller à elle durant les slows. Marie ma racontait ça d’un air détaché, mais je réalisai qu’elle ne m’avait finalement parlé que de ça depuis qu’elle était levée, comme si l’intérêt de sa soirée ne résidait que dans cette rencontre « amusante ».
Je suis d’un naturel jaloux, mais j’adore qu’on regarde ma femme avec envie. Peut-être le sentiment d’une puissance liée à son attractivité… En même temps qu’elle me racontait, je me remémorai une soirée, dix-huit ans plus tôt. Nous étions fâchés. Nous étions quand même sortis ensemble en boîte, mais je l’ignorais volontairement pour m’amuser avec mes potes. Jusqu’au moment où je l’avais aperçue en train de se laisser embrasser par un type sur un canapé. Avant d’aller la chercher, j’avais maté quelques instants, à la fois jaloux et très excité. J’avais interrompu l’idylle qu’elle avait démarrée, me dit-elle après, juste dans le but de me rendre jaloux. Mais c’était il y a longtemps. Je me demandai alors, toujours à son écoute, si la voir dans les bras d’un autre, alors que nous sommes maintenant mariés et parents, me ferait le même effet.
Tout en l’écoutant, j’avais passé une main sur sa cuisse, et je remontais doucement. Elle ne portait pas de culotte sous le long teeshirt qu’elle mettait pour dormir. Son sexe était très humide. Elle parut gênée mais me laissa faire. Je lui fis remarquer qu’elle mouillait. Elle devient rouge pivoine en me disant qu’en effet. Je ne pus m’empêcher de lui suggérer, par jeu, que c’est peut-être le souvenir des avances de ce jeune mec qui l’excitaient. Elle me dit que non, que c’était simplement la situation, le fait de plaire, mais pas ce mec en particulier. Je lui demandai alors pourquoi elle n’essaierait pas, si ça se reproduisait, d’aller un peu plus loin. Qu’elle se laisse caresser, embrasser, qu’elle-même le touche. Juste pour voir si ça lui fait quelque chose.
Curieusement elle ne me coupa pas avec une ritournelle du genre Je suis une femme fidèle, pour qui me prends-tu ? mais me répondit avec un sourire.
Je lui demandai donc si elle pourrait en avoir envie ou pas. Elle me répondit que ce n’est de toute façon pas désagréable de plaire et de se faire caresser, à condition qu’il n’y ait rien de plus, et surtout pas de vulgarité. Nous avons terminé un dimanche paisible sans reparler de sa soirée. Mais je gambergeais…
Elle sortit à nouveau le samedi suivant. Avec les mêmes copines. Elles ont fini dans la même boîte. Je l’ai attendue jusqu’à midi.
Le jeune type était revenu, espérant la trouver. Il était venu directement lui claquer une bise et lui offrir un verre. Ils avaient dansé, longtemps. Il avait évité de la toucher une bonne partie de la soirée, restant courtois, mais lui assénant quelques gentillesses :
Elle avait fini par l’allumer doucement en lui disant qu’elle aussi avait pensé à lui mais qu’il était bien trop jeune, que ce n’était pas possible, mais qu’elle appréciait sa compagnie, là, maintenant. Il s’enhardit alors un peu et la serra d’avantage durant les slows suivants. Elle se laissa faire, se serrant contre lui et passant ses mains autours de son bassin.
Il avait fini par l’embrasser dans le cou, et voyant qu’elle ne le repoussait pas, avait passé sa langue. Quand il avait essayé de l’embrasser, elle avait tourné la tête, lui disant qu’elle en avait très envie mais que ses copines pourraient la voir. Il avait insisté un peu, puis avait renoncé. Mais lorsque durant les slows les lumières s’abaissaient, il en profitait pour lui lécher le cou, passer une main entre leurs corps pour lui caresser les seins, ou les fesses. Elle me raconta tout ça tranquillement, m’avouant qu’elle mouillait hier soir, et qu’elle mouillait à nouveau en m’en parlant. Pas à cause de ce mec, non, juste la situation. Quelque chose de très érotique, de très sensuel. En fin de soirée, il lui a griffonné son numéro de téléphone sur un papier ; elle l’a accepté, sans rien lui promettre.
Sans trop réfléchir, je lui demandai alors si à un moment ou à un autre elle s’était imaginée d’aller plus loin, d’être seule avec lui, de le laisser l’embrasser, de le laisser lui toucher le sexe, et pourquoi pas d’avantage. Elle me répondit encore de façon assez claire qu’elle n’oserait jamais. Comme elle n’aurait jamais osé le laisser aller plus loin alors que c’est ce qu’elle venait de faire. Je lui dis alors qu’elle pourrait l’appeler, le rencontrer, flirter, l’allumer, et décider quand elle devrait arrêter, juste pour voir… Marie me répondit :
Je la rassurai là-dessus, lui disant que la voir se laisser faire dans d’autres bras m’exciterait terriblement. Elle conclut en me répondant qu’avant d’envisager de la voir avec un autre, elle voudrait essayer d’abord, sans moi. J’étais stupéfait et terriblement excité.
La semaine suivante elle sortit seule, allant directement dans cette boîte. Le jeune mec l’attendait, impatient depuis qu’il avait reçu un sms de ma douce. Il était déjà là quand Marie arriva. Elle alla le rejoindre directement au bar. Ils discutèrent quelques minutes et déjà une série de slows commençait. C’est elle qui prit l’initiative cette fois, lui tendant ses lèvres ouvertes tout en lui passant la main sur le torse. Kamel comprit vite que les choses avaient changé, et que ce soir il allait conclure. Elle lui dit qu’elle avait réservé une chambre à l’hôtel juste à côté et qu’ils pourraient s’y rendre pour dormir ensemble en fin de soirée. Il lui répondit qu’ils pourraient bien y aller maintenant, ce qu’elle accepta. Quelques minutes plus tard ils étaient au second étage du Grand Hôtel, nus, excités tous les deux.
Marie ne m’a pas dit grand-chose de leurs ébats de cette première nuit, juste qu’il est monté comme un âne, très endurant mais pas très tendre. Elle n’avait pas joui mais quand même pris du plaisir à se laisser aller. Écarter les cuisses devant ce jeune mec viril, ça lui avait fait un bien fou. C’était à la fois physique et cérébral. Les capotes, elle n’avait pas trop aimé, d’autant qu’il avait du mal à les enfiler. Lui, avait éjaculé plusieurs fois, quatre ou cinq me dit-elle, hurlant à chaque fois. Avant qu’ils ne se quittent, elle l’avait masturbé une dernière fois après la douche.
Je bandais méga dur. J’aurais tellement aimé être là et la voir se faire prendre… Elle me promit qu’elle le lui proposerait puisque naturellement, et si j’étais d’accord, elle le reverrait. Évidemment que je suis d’accord.