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Temps de lecture estimé : 18 mn
16/09/14
Résumé:  Retour du club échangiste. Départ de Béatrice. Son amie me dévoile toute l'histoire de son couple.
Critères:  fh grp hplusag fplusag extraoffre boitenuit noculotte entreseins fellation partouze
Auteur : Julius Cassiacus      

Série : Just a gigolo

Chapitre 07 / 10
Les copines, ça raconte tout

Précédemment : En invitant Béatrice à danser dans cette boîte d’une station thermale, j’étais loin de me douter qu’elle m’initierait, avec son mari, aux pratiques échangistes. Après une partie carrée dans sa chambre, ils m’emmenèrent dans un club échangiste où j’ai passé une excellente soirée pleine de nouvelles expériences.



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À la sortie du club, Charles-Henri, qui décidément avait une santé de fer, proposa de venir prendre un dernier verre à leur hôtel. Christine hésita, puis finit par accepter. Marlène, malgré sa fatigue, n’osa pas refuser et suivit sa copine. Quant à moi, compte tenu que c’était dimanche et que je ne travaillais pas, je comptais bien passer la nuit avec eux et éviter de revenir à M. pour retrouver ma chambre. Pour le trajet de retour, j’étais assis à l’arrière entre Marlène qui sommeillait et Béatrice qui en profita, après quelques baisers profonds, pour me faire quelques reproches pour avoir passé une bonne partie de la soirée loin d’elle.



À l’hôtel, Charles-Henri déboucha la bouteille de champagne qui, comme d’habitude, trônait dans le seau, dont la glace avait fondue. Il servit généreusement les trois femmes, et sortit du minibar une bouteille de whisky dont il nous servit à tous deux une généreuse rasade. La conversation tourna un peu sur le club et sur la soirée pour se fixer sur Marlène qui nous avoua avoir été entreprise toute la soirée par le maigrichon au gros engin. Elle nous avoua qu’elle n’avait jamais baisé avec un calibre pareil.



Sur cette conclusion sibylline, nous décidâmes de nous coucher. D’autorité Béa décida que Charles-Henri et les deux filles coucheraient dans la chambre principale compte tenu de la taille du lit. Et qu’elle et moi nous irions dans la seconde chambre où, ma foi, le lit était presque aussi grand. J’aurais aimé pouvoir dormir, mais dans l’autre chambre, Charles-Henri, stimulé sans doute par les deux jeunes femmes qui partageaient sa couche, s’était remis à l’ouvrage, on entendait nettement des soupirs et des bruits de sommier. Je suppose que c’est ce qui motiva la réaction de Béatrice qui vint coller et frotter ses fesses contre mon pubis. Bien que plutôt éprouvée par la soirée au club, ma verge afficha un début de raideur. Il n’en fallut pas plus pour que ma partenaire se cambre, récupère ma queue et la dirige vers l’entrée de sa chatte. Elle était tellement humide que, bien qu’encore un peu mou, je n’eus aucune peine à m’introduire en elle.



Cette perversité et la perspective de baiser une chatte pleine de sperme achevèrent de me faire bander, et j’entrepris de limer ma partenaire, jusqu’à ce quelle jouisse. Ce ne fut pas bien long, car en même temps, sa main astiquait son clitoris. Très vite elle gémit, les parois de son vagin palpitèrent, et je ressentis une chaude liqueur s’écouler sur mes couilles.

Je n’avais plus la force de tenter une nouvelle éjaculation. Je voulais donc me retirer, mais Béatrice me fit comprendre qu’elle souhaitait que je reste en elle, et c’est donc en position bite-à-cul que nous nous sommes endormis.


Je me suis réveillé seul dans le lit. La douche coulait dans la salle de bains, j’y suis allé jeter un coup d’œil. C’était Béatrice.



C’est elle qui me savonna en insistant sur le gland, ce qui eut le don de me faire flageoler sur mes jambes tant la sensation était intense. Évidemment, je bandai sur le champ. Elle me rinça et, s’agenouillant dans la douche, elle commença à me tailler une pipe absolument divine. Très vite, je sentis venir l’éjaculation.



Je n’ai pas pu retenir plus longtemps et j’ai déchargé longuement. Elle a tout avalé.



Comme l’avait dit Béatrice, son séjour se terminait ce dimanche. Charles-Henri était avant tout venu pour ramener son épouse et ses nombreux bagages en voiture. Si j’ai bien compris, ils avaient pris l’habitude, pour agrémenter cet aller et retour rapide, de pimenter la contrainte par une soirée au VIP.


Nous prîmes un dernier déjeuner ensemble, à l’issue duquel nous nous quittâmes sur le renouvellement de ma promesse d’honorer leur invitation.



Mes amis partis, je me retrouvai seul comme une âme en peine dans la station thermale qui, en ce dimanche après-midi n’était pas spécialement animée. JC était en promenade avec sa prof catho. Christine et Marlène avaient disparu. Elles devaient sans soute se reposer à l’hôtel. Apparemment les deux filles avaient beaucoup donné la veille.

Je finis par m’attabler à la terrasse où j’avais retrouvé Béatrice vendredi soir. J’y étais depuis cinq minutes, lorsqu’une femme très élégante s’approcha souriante.



Elle s’installa sur le siège près du mien, accepta que je lui offre un verre, et commença la conversation par des banalités. Sa volubilité me permettait de l’observer plus en détails. Cheveux châtains assez courts, de la même taille que Béatrice, elle était bâtie sur le même format à l’exception de sa poitrine qui, sans être petite, était loin d’atteindre l’ampleur de celle de sa copine. Néanmoins, ses seins semblaient être suffisamment développés pour remplir la main d’un honnête homme (et je précise que je suis honnête). En tout cas c’est ce que laissait entrevoir le décolleté de son chemisier, dont les boutons non attachés permettaient, en étant de côté, de constater la rondeur de sa poitrine et l’absence de soutien-gorge.



Elle me regarda du coin de l’œil d’un air ironique.



Je n’avais pas beaucoup cru à l’efficacité de la fable du neveu lorsque Béa m’avait présenté, mais je compris de suite que Marie-Agnès n’y avait pas cru un instant. Si Béatrice avait voulu tromper quelqu’un, c’était peut-être la deuxième copine, où alors c’était uniquement pour sauver la face.



En effet, depuis quelques minutes, les tables autour de nous se garnissaient de clients, et nous avions dû parler à voix basse, notre conversation étant quelque peu confidentielle quand même. Marie-Agnès prit mon bras et c’est en se promenant qu’elle me dévoila de la vie de son amie.

Je retranscris ici son récit au mieux de mes souvenirs, ma mémoire étant assez claire sur le sujet (mais bien sûr les dialogues sont inventés, je les ai ajoutés pour rompre un peu la longueur du récit).


Béatrice était l’unique héritière d’une bonne famille d’industriels du nord de la France. Elle avait épousé Charles-Henri, lui-même rejeton d’une lignée avec particule et titre nobiliaire, mais qui avait eu quelques revers de fortune. Tradition oblige, ses parents s’étaient saignés aux quatre veines pour que leur fils aîné fasse de brillantes études. À la sortie de Polytechnique, il avait été embauché par le père de Béatrice et s’était rapidement distingué. Il était déjà le collaborateur direct du patron lorsque Béatrice, après des études dans de bonnes institutions religieuses, avait rejoint l’entreprise dans l’éventualité d’une succession.

Sans expérience des hommes, elle avait tout de suite été séduite par le jeune cadre dynamique qui, de son côté, ne se privait pas de déployer tout son charme. Elle en avait parlé à son père qui lui déclara tout de go qu’il était hors de question qu’elle se marie avec un employé, aussi intelligent soit-il, même s’il avait du sang bleu dans les veines. Elle se devait d’épouser le fils d’un autre industriel afin de consolider les positions de la Société.


Et puis, par une froide nuit d’hiver, les parents de Béatrice avaient percuté un arbre en voiture, et la jeune femme s’était retrouvée libre. Très rapidement elle avait épousé son idole et lui avait confié la direction de l’entreprise. La direction seulement car le père de notre ami avait fait ce qu’il fallait pour que le jeune ambitieux ne puisse en aucun cas posséder, même une partie de la société. Charles-Henri eut l’intelligence de comprendre qu’il pouvait parfaitement profiter des revenus générés par l’affaire sans en être le propriétaire. Il s’était très bien acquitté de sa tâche, et leurs affaires étaient florissantes.


Sur le plan sentimental et conjugal, ce fut franchement différent. Béatrice avait peu d’expérience et son mari n’avait aucunement l’intention de faire son éducation. Leurs étreintes étaient donc peu nombreuses, et peu passionnées. En fait, elles avaient surtout pour but d’assurer une descendance. En effet, pour Charles-Henri, avoir un héritier, c’était bien sûr perpétuer le nom qu’il portait, mais aussi récupérer par personne interposée, la propriété des biens qu’on lui refusait. Son fils serait l’héritier !

Était-ce le résultat de ce manque d’amour ou quelque problème médical ? En tout cas il fallut quelques années avant que Béatrice ne soit enceinte. Dès que la grossesse fut un peu avancée, Charles-Henri sous prétexte de la sécurité du bébé, cessa toute relation sexuelle avec son épouse qui s’en trouva un peu frustrée. Pas trop quand même car elle avait rarement l’occasion de prendre du plaisir avec son mari qui se préoccupait uniquement de l’ensemencer. Pour compenser, elle avait repris ses habitudes de pension. Une camarade lui avait montré comment se masturber pour apaiser ses sens, elle avait usé de la méthode pendant toutes ses années de pensionnat. Ses étreintes avec son mari ne la satisfaisant pas complètement, elle avait continué à s’astiquer quotidiennement le clitoris pour apaiser ses sens qui finalement étaient assez exigeants. Lorsqu’il cessa de l’honorer, elle fit chambre à part, et put tout à loisir se livrer au plaisir solitaire.


Le drame se noua au bout de quelques semaines. Sans avoir une grande connaissance du sexe et des hommes la future mère s’étonna du fait que son mari puisse se passer de relation sexuelle. De plus son attention fut attirée par les nombreuses et longues soirées passées par son mari au bureau. Il avait souvent travaillé tard, mais ces derniers temps les soirées tardives au bureau s’étaient multipliées. Elle décida de savoir ce qui l’accaparait tant et se rendit un soir dans les locaux de l’entreprise. Elle eut l’idée de passer par le bureau de la secrétaire, la porte de séparation comportant une partie vitrée. Le spectacle qu’elle découvrit la cloua littéralement sur place.


Charles-Henri en pan de chemise, les fesses appuyées sur le bureau, se livrait tout entier à la magnifique fellation que pratiquait avec art et application une superbe rousse complètement nue. Béatrice ne la voyait que de dos, mais elle la reconnut tout de suite : c’était la nouvelle secrétaire de direction. Malgré son indignation, elle ne fut pas complètement surprise car elle s’attendait plus ou moins à quelque chose de ce genre. Elle trouva même la fille et la position très belles. Elle avait une taille très fine et des hanches en amphore qui mettaient en valeur ses fesses et la raie qui les séparaient. La fille semblait prendre plaisir à emboucher la tige de chair roide et frémissante. Béatrice s’était toujours refusée à cette caresse buccale, la considérant comme sale et dégradante. De la voir pratiquée par une autre sur son mari la frustrait plus que ça ne la rendait jalouse.


En même temps, elle trouvait beaucoup d’esthétisme à la situation. Elle n’avait jamais fait l’amour en étant nue. Quand il l’honorait, son mari commençait par relever la chemise de nuit sur son ventre, et la prenait après quelques caresses destinées à faire venir quelques sécrétions sur ses grandes lèvres pour lui faciliter l’introduction. Dans l’action, il lui caressait parfois les seins à travers le tissu de sa chemise. Et s’il lui prenait les fesses, c’était pour mieux assurer ses coups de rein. Tout cela se faisait sans un mot, jusqu’à ce que la semence mâle coule en elle. Charles-Henri se retirait, allait rapidement se nettoyer et après un léger baiser sur son front, lui tournait le dos en lui souhaitant le bonsoir. Bien qu’elle n’y trouve aucun plaisir elle, serrait les cuisses pour conserver en elle la précieuse semence qui devait enfin la rendre mère. Mais tout cela était sordide, honteux et ne pouvait s’appeler autrement que « le devoir conjugal ».

Et là, devant elle, son mari baisait (c’était le mot qui convenait) avec une créature toute nue qui lui léchait le sexe et semblait y prendre un plaisir évident. C’était en tout cas ce qu’elle lisait dans les regards morts d’amour que la jeune secrétaire jetait à son patron.


Peu à peu, l’idée qu’elle passait peut-être à côté d’un certain nombre de choses importantes de la vie commença à s’insinuer dans sa tête. Maîtrisant son premier réflexe qui avait été de surgir dans la pièce et de faire un esclandre, elle se contenta de regarder son mari se faire sucer copieusement. Puis, la fille vint appuyer ses coudes sur le bureau, présentant sa coupe magnifique à Charles-Henri qui commença par lui écarter les fesses afin de mieux avoir accès au sexe dont elle voyait la fente ornée de poils, roux eux aussi. Il l’enfila d’une seule poussée sans effort et sans opposition tant celle-ci devait être bien lubrifiée. Il prit les hanches qui se tendaient vers son sexe et se mit à la bourrer de grands coups de queue. Ce traitement eut tôt fait de faire jouir la belle rousse qui se mit à crier sans retenue.


Béatrice avait certes déjà éprouvé un peu de bonheur avec la verge de son mari, mais rien qui puisse justifier de tels épanchements. Cette fille n’avait aucune pudeur… Ou ce qu’elle ressentait devait être particulièrement fort… Ou elle simulait drôlement bien…


Dès que sa maîtresse eut joui, Charles-Henri retira son sexe luisant de sécrétions. Il lui écarta les fesses et, se penchant en avant laissa tomber une grosse boule de salive juste sur la corolle brune de l’anus. Elle abaissa son bassin en accentuant l’ouverture de ses jambes, et le mari de Béatrice n’eut aucune peine pour présenter son gland turgescent à l’entrée de ses reins. Il pressa un peu, faisant pénétrer le bout de son gland dans l’œillet rond, puis Béatrice vit qu’il poussait plus fort et que l’ensemble de la verge entrait entre les fesses de la fille qui grimaça, mais encouragea immédiatement celui qui la sodomisait :


  • — Oh oui ! Tu m’encules bien ! Vas-y, bourre-moi le cul ! Salaud ! Tu les aimes mes fesses hein !

Quel langage, pensait Béatrice. Comment peut-on utiliser un tel vocabulaire ?

Mais ces mots semblaient stimuler son mari qui accélérait ses mouvements et se crispa bientôt sur la croupe magnifique.


  • — Tiens ma salope ! Tiens, je jouis dans ton cul ! Toute ma jute ! Tiens, prends ! Oh c’est bon ! Tu aimes ?
  • — Oh oui, j’aime, c’est chaud ! Qu’est-ce que je prends. Tu es merveilleux !

Béatrice découvrait un monde inconnu. Elle était extrêmement troublée. On lui avait appris que les relations sexuelles étaient faites pour avoir des enfants, et que même si on pouvait prendre un peu de plaisir à s’accoupler, il fallait être très perverse pour se livrer à des caresses buccales, pratique réservées aux prostituées. Bien sûr elle avait goûté aux plaisirs saphiques avec les autres pensionnaires, mais a priori c’était un péché. Quant à la sodomie, même dans un couple hétérosexuel, c’était la dernière des dépravations. Pourtant, les deux amants avaient l’air d’y avoir pris un grand plaisir.


Autre sujet de surprise, le sperme lui avait toujours parut sale. Or la jeune femme, lorsque Charles-Henri se fut retiré d’elle, n’hésita pas à prendre la verge de son amant dans sa bouche et à lécher consciencieusement toutes les gouttes qui maculaient la tige. Mieux ! Elle porta la main à ses fesses, recueillant la liqueur qui en suintait et s’en enduisit tout le sexe, collant les poils entre eux. Puis portant la main à sa bouche, elle s’en barbouilla les lèvres avant de les offrir à son amant qui l’embrassa goulûment. Était-ce donc si délicieux ?



À suivre…