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Temps de lecture estimé : 18 mn
18/08/14
Résumé:  Suite de mes expériences au club échangiste
Critères:  ff grp hplusag fplusag jeunes inconnu grossexe entreseins fellation échange partouze init
Auteur : Julius Cassiacus      

Série : Just a gigolo

Chapitre 06 / 10
On s'éclate au club

Précédemment : Étudiant travaillant l’été, j’ai rencontré Béatrice un soir dans une boîte de nuit et je suis devenu son amant. La quarantaine, riche et sensuelle, elle fait tout pour me garder pour le week-end, et me présente à Charles-Henri son mari. Ils nous emmènent, avec Christine ma toute première rencontre, dans un club échangiste où je fais ma première expérience du genre.



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À table, je me retrouvai entre Béatrice et une brune bien roulée et toute bronzée. Certainement un peu plus âgée que ma compagne, elle n’en était pas moins bien conservée, avec des jambes parfaites et des seins fermes et haut plantés qui se passaient parfaitement de soutien-gorge. Son chemisier, très échancré aux manches et fortement décolleté ne cachait rien de ses seins.

En face de nous, Charles-Henri avait à sa gauche Christine et à sa droite Magali, celle qui m’avait fait une courte pipe au bar. Elle était flanquée de son mari qui d’évidence ne voulait pas la quitter.

La salle était agencée de telle manière qu’une piste de danse soit laissée libre au milieu et que toutes les tables soient autour.


Nous étions tous installés lorsque je m’aperçus avec un certain amusement que de l’autre côté de la piste, se trouvait Marie-Jo, la patronne de l’hôtel où j’avais pris pension. « La cachottière ! C’était ça sa sortie du samedi ? » pensais-je, amusé. Si j’avais su, je lui aurais proposé la botte dès le premier soir.

Elle discutait avec son voisin, un type beaucoup plus âgé. J’avais bien l’intention de l’aborder, et si possible de la draguer. Mais j’étais incapable de savoir si elle m’avait repéré, et je décidai de faire comme si je ne l’avais pas vue pour l’instant.


Durant le premier quart d’heure, les gens furent occupés à manger et à faire éventuellement connaissance. Petit à petit la musique devint plus forte. Quand la sono nous envoya un rock endiablé, Gérard et Jessica vinrent le danser au milieu de la piste. Inutile de dire que l’érotisme monta d’un cran. À tout moment, la robe ultra-courte de la patronne virevoltait jusqu’à sa taille, offrant à tous le spectacle de ses fesses et de sa chatte nue. Gérard ne se priva pas de la faire passer par-dessus son épaule, s’attardant un peu dans la position qui la dévoilait le plus. Je pus également constater que les seins de la dame étaient fermes et ne ballottaient pas dans tous les sens. Ils furent rejoints par un deuxième couple, mais la jeune femme portant un string rouge, il y eut quelques sifflets de protestation jusqu’à ce qu’après avoir rougi jusqu’aux oreilles, elle se décide à l’enlever sur les conseils de son cavalier. Elle avait les poils de la chatte tout blonds, et le contraste saisissant transforma les sifflets en applaudissements frénétiques. Pendant une ou deux minutes encore, nous eûmes la vision de ces deux superbes culs et de ces deux chattes blonde et brune alternativement.


Le rock fut suivi d’un slow, et la piste fut de suite envahie. Les couples qui s’étaient formés étaient soit légitimes (ou presque) soit occasionnels. Légitimes, ils venaient danser pour s’exhiber ou pour se mélanger aux autres. Occasionnels, ils cherchaient à se connaître et à jouer au maximum le jeu de la séduction.


D’humeur curieuse et exploratrice, j’invitai ma voisine à danser. Elle accepta avec un grand sourire, ravie qu’elle était – du moins j’avais la faiblesse de le croire – d’être invitée par un tout jeune homme. Pour se connaître, il faut communiquer. Avec la peau c’est bien, mais c’est rarement suffisant. Tout en nous caressant mutuellement, nous parlâmes. Elle m’avoua s’appeler Michelle, et être venue avec son mari. C’était lui qui avait été à l’origine de leur conversion à l’échangisme qu’ils pratiquaient depuis plusieurs années. Ils y avaient trouvé de nouvelles stimulations dans leur vie sexuelle et sentimentale. Mais depuis quelques temps, c’était elle qui insistait pour sortir et venir au club. Elle s’y éclatait littéralement, tandis que son mari semblait avoir moins d’envies. Auparavant ils baisaient comme des fous après chaque sortie en évoquant longuement leurs accouplements avec d’autres personnes. Leurs paroles reflétaient un mélange de jalousie et de plaisir pervers à se rappeler les images de l’autre pénétrée ou pénétrant un sexe étranger. Il aimait la traiter de salope en lui répétant qu’elle avait joui en recevant le sperme de plusieurs partenaires dans son ventre. Elle lui répondait qu’il avait plongé avec délices dans sa chatte gluante de ces sécrétions et qu’il n’avait pas hésité à mélanger sa propre liqueur à celle des autres mâles qui l’avaient baisée dans la soirée.


Mais depuis quelques temps Michelle était la seule à fantasmer sur les situations et sur les moments les plus torrides de leurs rencontres. Un peu frustrée du désintérêt de son mari, elle avait décidé de prendre le maximum de plaisir même si elle était seule. Ma jeunesse semblait la combler, et je n’étais pas impressionné par son âge.

Tout en me racontant sa vie, elle se collait, bas-ventre contre bas-ventre. De mon côté, je lui pelotais le cul à pleines mains, pas gêné du tout par le slip minuscule qu’elle portait. Le résultat ne se fit pas attendre : ma bite fut bientôt à l’étroit dans mon pantalon.



Et Michelle, en un tournemain, mit ma bite à l’air. Dès qu’elle y parvint, elle s’accroupit au milieu de la piste et la prenant en bouche, entama une fellation sublime. La jupe relevée sur ses cuisses, elle écarta sa culotte de sa main libre et tout en me pompant le dard, se masturba le clitoris devant tous les gens attablés. Quel régal ! Décidément je constatais que celles qui pour moi, à cette époque, étaient déjà des femmes mûres avaient une sensibilité sexuelle particulièrement riche et pleine d’attraits.


Tout en savourant la fellation de ma cavalière, je jetai un coup d’œil alentour. Me situant au milieu des danseurs, j’avais du mal à voir ceux qui étaient restés assis à table. Je ne pus apercevoir Marie-Jo, mais je vis Christine et Charles-Henri qui, main dans la main, contournaient les danseurs pour se diriger vers la partie du club destinée aux ébats collectifs. Béatrice avait elle aussi disparu. Sur la piste, autour de nous, les couples flirtaient de plus en plus ouvertement. Ce n’était que jupes ou robes troussées, seins à l’air, braguettes ouvertes et bites branlées ou sucées.


La position étant peu confortable, Michelle ne tarda pas à se relever. Elle n’en continua pas moins à me sucer la verge. Sa nouvelle position mettait ses fesses en évidence, ce qui eut pour effet immédiat d’amener un homme à les dénuder d’abord, à les caresser ensuite, puis à introduire plusieurs doigts dans le vagin offert. De son autre main l’inconnu ouvrit sa braguette et sortit une longue bite qu’il termina de bander de deux ou trois coups de poignet. Malheureusement pour lui, Michelle se redressa, le privant de l’objet de son désir, et vint se serrer contre moi et m’embrasser.

Frustré le type continuait à se masturber doucement.



Nous laissâmes le gars déçu qui, toujours le sexe à la main, alla se frotter contre une autre danseuse. Je suivis ma cavalière, et nous passâmes devant la table où se trouvait Marie-Jo. Elle regardait les couples sur la piste en tripotant d’une main distraite le sexe à demi dressé de son compagnon. Lorsqu’elle me vit, elle rougit et ne put retenir un léger cri de surprise.



J’étais conscient d’avoir semé un trouble immense dans l’esprit de mon hôtesse. Mais Michelle ne me lâchait pas, et il fallait bien que je la suive sous peine de passer pour un goujat, ce qui était tout à fait contraire à l’éducation que j’avais reçue.

Elle m’amena près d’une penderie où nous nous déshabillâmes puis dans une salle où plusieurs couples étaient déjà en train en train de s’ébattre. Elle m’attira entre un couple qui baisait en levrette et deux autres couples qui formaient un groupe un peu confus.


Plutôt intimidé par une situation qui ne m’était pas habituelle, je ne bandais pas. Elle m’invita à m’allonger sur le dos et, se positionnant à genoux à mes pieds, elle s’inclina vers mon ventre. Elle introduisit ensuite mon sexe entre ses lèvres et reprit la fellation qu’elle avait abandonnée quelques minutes plus tôt sur la piste de danse. Penchée sur mon bas-ventre, elle présentait sa croupe en position de levrette à la concupiscence des autres. Expérimentée comme elle semblait l’être, je ne doute pas qu’elle se soit exposée ainsi en sachant ce qui allait arriver. Presque aussitôt l’homme qui continuait à pilonner sa partenaire, porta la main sur le fessier de Michelle et farfouilla entre ses jambes. J’imaginais qu’il avait introduit plusieurs doigts dans la chatte de ma suceuse qui accéléra ses mouvements de langue et de lèvres autour de ma bite. Elle me prit aussi la main pour la porter vers les seins de la compagne du monsieur qui lui masturbait le vagin. Je me mis donc à peloter les globes qui ballottaient au rythme des coups de bite qu’elle recevait. Mais le groupe à notre gauche ne restait pas inactif non plus. Un des deux hommes sortit sa queue de la chatte qu’il baisait et, se plaçant derrière Michelle, remplaça les doigts du branleur par sa verge bien dure et toute gluante de mouille.


Saisissant les hanches offertes, il se mit à pilonner le vagin tendu vers lui. Michelle continuait à me sucer. Je me détendais peu à peu, et l’ambiance érotique aidant, j’eus bientôt une superbe érection. Mais la queue qu’elle avait en elle eut tôt fait d’amener mon amie à l’orgasme. Elle se redressa pour mieux sentir la bite qui la remplissait avant de jouir en criant son bonheur. Ce faisant, elle me lâcha. Presque aussitôt, celle qui se faisait prendre en levrette se déplaça vers mon ventre, provoquant les protestations de son compagnon, prêt de déjanter. Elle reprit ce que Michelle avait abandonné et suça frénétiquement tandis que son baiseur qui avait suivi tant bien que mal continuait à la pilonner.


Dans le groupe des trois qui restaient, l’homme emmanchait une des deux femmes dans la position du missionnaire, tandis que l’autre s’était accroupie sur le visage de son amie et se faisait lécher le clitoris et les grandes lèvres.


Je ne sais si c’était la jouissance de Michelle qui l’avait stimulé, mais le type qui la baisait ne tarda pas à éjaculer longuement dans la chatte offerte. Dès qu’il se fut retiré, elle repoussa doucement celle qui me pompait, et vint se positionner au-dessus de moi. Relevant ma verge d’une main, elle la fit aisément glisser dans son vagin tapissé de sperme et de mouille.

De la soie ! J’avais l’impression que mon sexe était masturbé dans un fourreau de soie.



Je n’eus pas à me retenir. L’orgasme de Michelle arriva très vite. Elle avait une technique efficace. Elle bougeait son bassin de façon à frotter mon sexe sur les endroits les plus sensibles du sien. Avec des mouvements amples et lents, elle eut tôt fait de jouir, tremblant de tous ses membres, les mains crispées sur mes épaules tandis que je lui caressais les seins dont les pointes étaient dures à souhait. Elle reprit son souffle quelques secondes, puis s’anima de nouveau avec de lents mouvements de montée et descente sur ma verge. Je commençai moi aussi à ressentir les prémices de la jouissance lorsqu’elle m’inonda de sa liqueur vaginale pour la seconde fois. Anéantie, elle s’affala sur moi, sans bouger, puis lentement elle roula sur le côté.


J’étais frustré car si elle avait joui, j’avais toujours les couilles pleines. Je n’eus pas longtemps à attendre. Le couple qui baisait en levrette venait de se séparer, et la femme vint sans hésiter prendre la place de Michelle. Elle aussi avait le vagin plein de sperme et, comme Michelle, elle entreprit de se faire jouir sur ma queue. Excitée sans doute par son précédent partenaire, il ne lui fallut qu’une dizaine de coups de reins pour parvenir à l’orgasme. Ça n’avait pas été suffisant pour que moi aussi je décharge. Je commençais à avoir sérieusement les bijoux de famille en souffrance. Comme j’en avais marre de n’être qu’un instrument au service de vagins avides, je décidai de prendre la situation en mains. Je la renversai sur le dos, et bien calé entre ses cuisses, la queue plantée à fond dans son sexe béant, je m’occupai de jouir et de rien d’autre. Quand la première giclée vint, ce fut comme un raz-de-marée qui me submergea. Je jouis longuement les mains crochées sur les hanches un peu grasses, le sexe enfoncé jusqu’aux couilles dans la soie de son sexe lubrifié, mêlant avec délices ma jute à celle de son partenaire précédent.


Une salle de bains jouxtait la salle de nos ébats. Je m’y rendis pour me laver le sexe dégoulinant de sécrétions diverses. En sortant, je m’attardai sur le seuil pour écouter ce que se disaient Michelle et la femme que je venais d’inonder de ma liqueur. Visiblement elles se connaissaient, et ma baiseuse inconnue remerciait son amie :



Je vis alors Michelle plaquer sa main entre les cuisses de son amie qui les écarta pour mieux se laisser pénétrer. Elle enfonça profondément deux doigts qu’elle retira pleins de liquide gluant. Michelle porta sans hésiter ses doigts à sa bouche pour s’en barbouiller les lèvres, avant d’attirer contre elle sa compagne et de l’embrasser goulûment. Elles étaient de la même taille et le spectacle de leurs seins écrasés les uns contre les autres était hautement érotique. Les deux salopes se roulaient une longue pelle, tandis qu’elles se tripotaient mutuellement la chatte.



Elles se retournèrent ensemble vers moi.



Et sans plus de cérémonie elles allèrent s’allonger tête-bêche et entamèrent leur séance de léchouille. Je ne voyais pas grand-chose, si ce n’est qu’elles avaient l’air de mettre beaucoup d’ardeur à se lécher mutuellement la foufoune et ce qu’elles contenaient de choses gluantes. Mais elles semblaient aimer ça car elles se mirent bientôt à gémir l’une comme l’autre, et je suis certain qu’elles se donnèrent un nouvel orgasme mutuel qui, bien qu’obtenu sans l’intervention d’un homme, n’en était pas moins intense.


Conscient de n’être plus d’aucune utilité, je sortis de la pièce, récupérai mes vêtements et entrepris de rechercher mes compagnons de la première heure.

Retrouver les amis avec qui j’étais entré au VIP paraissait simple. Encore fallait-il les repérer parmi les couples et les groupes qui s’ébattaient dans les différents coins de la boîte dans une lumière plus que faible et dans des postures qui ne facilitaient pas toujours une identification rapide.

Sans vraiment chercher, je décidai de me diriger vers le bar. J’y retrouvai notre hôtesse Jessica qui, fidèle au poste, s’occupait des clients qui souhaitaient se rafraîchir entre deux mélis-mélos. Elle était toujours aussi appétissante et je me demandais si elle-même consommait.



J’étais très déçu. Je croyais avoir trouvé une bonne occasion pour approfondir mes relations avec la patronne de l’hôtel.


Le renseignement était bon, car je retrouvai rapidement mes compagnons de sortie. La piscine intérieure attirait toujours un certain nombre de couples qui s’y ébattaient soit dans l’eau, soit près du bord, soit enfin dans les boxes aménagés en périphérie. C’est dans l’un d’eux que je découvris mes amis en pleine séance de sexe collectif.


À l’épicentre se trouvait Marlène avec son amant de la soirée. Le maigrichon à l’énorme bite était en train de la pilonner, sans doute pour la nième fois, avec une ardeur qui correspondait tout à fait à la plainte continue qu’elle émettait sur un ton aigu. Il la prenait dans une position du missionnaire revue et corrigée. Afin de ne pas être gêné par l’embonpoint de la jeune femme, il l’avait installée les fesses posées sur plusieurs coussins superposés, de façon à ce qu’elle ait la chatte à la bonne hauteur pour qu’il puisse l’enfiler en étant à genoux. Elle avait donc le haut du corps un peu en contre-bas, mais son mont de Vénus était bien dégagé et même assez proéminent.


Près d’eux, tâchant de rythmer sa cadence sur celle de l’athlète, Charles-Henri avait entrepris de limer avec ardeur et en levrette l’épouse toute ronde et toute blonde du gringalet. Christine, quant à elle, embrassait cette dernière à pleine langue tout en présentant sa chatte à Béatrice qui lui broutait le minou avec compétence. Comme cette dernière avait cru bon de se tenir sur les genoux pour cette opération et que son cul était largement exposé à qui voulait l’investir, je n’hésitai pas à m’inviter.


En deux coups de poignets ma bite fut prête et, me plaçant entre les jambes suffisamment écartées de mon amie, je n’eus aucune peine à planter ma flamberge dans la cible. Elle avait dû se faire éjaculer dans la chatte plusieurs fois sans éliminer les restants de giclées car mon sexe entra en elle avec un glissement feutré et sans aucune résistance. Habituellement elle était bien lubrifiée, mais là, c’était le niveau au-dessus. Elle sentit néanmoins l’intrusion avec netteté et se retourna vers moi.



Sa phrase se termina brutalement car je venais de réussir à l’embrasser dans le cou. À son habitude, elle se cambra d’un seul coup, et se mit à pousser un cri proche du hennissement.



Même si le compliment était de circonstance, j’étais flatté. Je ne me fis donc pas prier et je commençai à la baiser avec beaucoup d’ardeur. Elle retourna quelques minutes au broutage de la chatte de Christine. Mais, décidément plus portée sur le poireau que sur le persil, elle releva bientôt la tête et se concentra uniquement sur ce que je lui faisais. Il ne me fallut pas très longtemps pour l’amener à l’orgasme. Elle manifesta sa joie bruyamment et appuya fortement ses fesses contre mes cuisses pour mieux sentir ma pénétration, (du moins j’ai la faiblesse de le croire).



Elle avait totalement abandonné Christine qui avait immédiatement changé de partenaire. Se déplaçant de quelques dizaines de centimètres, elle avait simplement donné sa chatte à brouter à la petite blonde toute ronde. Cette dernière, docile, s’exécutait avec une évidente bonne volonté tout en accordant ses mouvements à ceux de Charles-Henri qui, imperturbable, la pilonnait par derrière.


De son côté, son compagnon que j’avais affublé du surnom de « maigrichon » continuait à baiser Marlène qu’il avait dû honorer toute la soirée. La copine de Christine semblait quelque peu épuisée et réagissait de moins en moins aux actions de l’athlète du sexe. D’où je me trouvais, je voyais nettement ce superbe mandrin entrer et sortir de la chatte distendue de la jeune femme. Soudain il poussa une espèce de rugissement et je le vis ressortir son énorme bite du vagin qui resta béant. Il appuya le gland turgescent juste au-dessus de l’amorce du clitoris et poussa légèrement pour frotter la base dans les poils. Une longue coulée, blanche et épaisse, sortit du méat avec force et gicla jusque sur les seins de Marlène. Cette première giclée fut suivi de cinq ou six autres du même acabit, et comme le maigrichon avait pris sa verge en main et l’agitait de haut en bas en tapant le gland sur le mont de Vénus de sa partenaire, les longues gouttes de sperme furent largement éparpillées sur toute l’anatomie de Marlène, allant jusqu’à lui maculer le visage et lui poisser les cheveux.

Tous les gens du groupe avaient été immédiatement attirés par la scène qui provoqua des réactions diverses, mais ne laissa personne indifférent.


La blonde de Charles-Henri voyant son compagnon éjaculer, n’eut qu’une idée en tête : profiter de l’aubaine. Était-elle spermophile ? Je ne l’ai jamais su ! En tout cas dès qu’elle vit la longue bite projeter sa semence ; elle se jeta sur le ventre de Marlène et se mit à lécher les longues traînées de jute. Ce qui lui valut de recevoir une partie des dernières giclées qui s’éparpillèrent aussi sur son visage et dans ses cheveux blonds.


En se jetant sur la semence du phénomène, elle avait du même coup éjecté de son vagin la verge de Charles-Henri qui, par contagion, était lui-même sur le point de lui remplir la chatte. Surpris par le brusque retrait de la jeune femme, il se retrouva la bite à l’air battant au rythme des giclées à venir… Mais le mari de Béatrice était un vieux renard. Il bloqua rapidement le canal spermatique en serrant la base de sa verge, et rampant sur les genoux, rejoignit Christine qui, les jambes écartées, avait entrepris de se masturber après que la blonde rondouillarde ait brutalement cessé de lui lécher le clitoris alors même qu’elle était prête à jouir. Elle avait la chatte bien luisante de salive et sans doute d’autres sécrétions, et Charles-Henri put, sans peine, la pénétrer d’une seule poussée. Du même mouvement il lâcha sa pine qui cracha immédiatement sa charge avec force. L’impact fut assez violent pour déclencher immédiatement l’orgasme de Christine qui cria son bonheur.


Voyant nos amis en pleine décharge, Béatrice, qui était assez facile à stimuler, ne résista pas et entama un nouvel orgasme dévastateur, criant sa jouissance, et m’inondant la queue de sa mouille abondante et chaude tandis que ses muscles vaginaux se serraient convulsivement autour de mon sexe. Inutile de dire que ce type de traitement eut comme conséquence de m’amener moi aussi à ressentir les prémices de l’éjaculation. Bon sang que c’était bon ! Ma bite était enserrée dans ce vagin tout chaud et en même temps elle s’y ébattait à l’aise du fait de l’abondante lubrification. Je sentais avec délice, les bonnes grosses gouttes prêtes à quitter mes testicules, à parcourir toute la colonne et à gicler en sortant de ma verge pour aller frapper le fond du vagin de Béatrice. Mais elle en avait décidé autrement. Encore tremblante de son puissant orgasme, elle prit le contrôle des événements en portant prestement la main entre ses cuisses pour saisir la base de ma verge et fermer les vannes.



Je me sentais un peu frustré, mais même si je l’avais voulu, je ne pouvais plus éjaculer en elle puisqu’elle me tenait et qu’en plus, par un mouvement un peu acrobatique elle manœuvra pour se retrouver couchée sur le dos en face de moi.



Elle ne lâcha pas la base de mon sexe tant qu’il ne fut pas bien calé entre ses deux seins. Mais je n’avais pas besoin de cette sécurité pour me retenir. Elle pressa de ses deux mains sa poitrine généreuse autour de ma bite, et je me mis à aller et venir dans ce magnifique fourreau. Sa mouille me servait de lubrifiant et la sensation perçue par les terminaisons nerveuses situées à la base de mon gland était divine. Je la baisais aux seins pendant quelques minutes avant que la jouissance ne s’annonce de nouveau. Elle semblait aux anges regardant alternativement vers ses seins pour apercevoir le bout de ma queue qui émergeait à chaque poussée, et vers mon visage pour y lire les prémices du plaisir.



Je poussai une dernière fois vers l’avant jusqu’à ce que le bout de mon gland soit à l’air libre et, presque immédiatement les premières gouttes de sperme giclèrent avec force et vinrent frapper son cou et son menton.



Tout en disant ces mots, elle relâcha ses seins et prenant mon sexe qui continuait à déverser sa liqueur, elle en promena l’extrémité sur toute sa poitrine, étalant la semence le plus qu’elle pouvait. Comme elle frottait mon gland sur sa peau je naviguais vers le septième ciel.

Lorsque la source fut tarie, elle se dégagea et se mit debout au milieu de notre groupe.



Christine se précipita contre elle et se mit à parcourir la peau de sa langue avide. Elle fut bientôt rejointe par la blonde rondouillarde qui avait fini de lécher Marlène, et par une fille qui du bord de la piscine regardait notre groupe en compagnie d’un homme, mais qui ne s’était pas approchée auparavant. Elle lécha une ou deux traînées gluantes et revint vers son compagnon pour l’embrasser avec gourmandise.



À suivre…