n° 16406 | Fiche technique | 16672 caractères | 16672Temps de lecture estimé : 10 mn | 17/09/14 |
Résumé: Dans une colocation, bien des choses peuvent se produire. Alors que je suis amie avec mes deux colocataires, voici que je désire l'un d'eux. | ||||
Critères: f fh jeunes copains cérébral revede fmast facial fellation préservati pénétratio | ||||
Auteur : Phoebos Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Les joies de la colocation Chapitre 01 | Épisode suivant |
Commençons par une brève présentation. Je m’appelle Camille, j’ai vingt-cinq ans et je vis en colocation avec deux amis du même âge. Le premier s’appelle Fabien. Fabien est un garçon très mignon, blond comme un épi de blé, très musclé et charismatique. Le deuxième se prénomme Thibaut. Thibaut est également blond et bien bâti mais dans un style radicalement différent de celui de Fabien. Thibaut est un intellectuel plutôt lunatique qui aime passer ses journées à regarder la nature. Quant à moi, je suis une femme brune aux yeux verts, je suis plutôt sociable mais je sais me montrer parfois très froide quand on me pousse dans mes derniers retranchements.
Je suis amie avec ces deux beaux garçons et nous nous entendons parfaitement. Seulement, ça, c’était avant. Depuis quelques temps, je n’éprouve plus que de l’amitié. Pour des raisons que j’ignore, je ressens une grande attirance pour Fabien. Cette attirance se traduit par une véritable obsession : je pense à lui en permanence, il a même envahi mes rêves où il me fait sauvagement l’amour. Chaque soir, je le vois en boxer juste avant qu’il ne prenne sa douche et je dois me réfugier dans ma chambre pour me soulager avec Jean-Pierre, mon vibromasseur, un outil de la dernière génération.
Je ne suis pas une fille facile. J’apprécie que les hommes se donnent du mal pour moi. Cependant, en imposant une telle rigueur, voilà que je n’ai pas couché depuis des mois. Quand je dis des mois, cela fait six mois exactement. Six mois sans rien ! Cela doit cesser rapidement et j’ai eu donc l’idée de jeter mon dévolu sur Fabien, mon blondinet de colocataire aussi musclé que terriblement séduisant. Cependant, je ne savais pas comment m’y prendre. Tout ceci était embarrassant : je n’ai jamais demandé à coucher avec quelqu’un, je n’ai jamais été dans une position de demande. D’habitude, je laisse les hommes me séduire.
En réalité, personne n’était vraiment dupe. Mes amies me demandaient comment j’avais résisté si longtemps en vivant à côté d’une telle bombe sexuelle. Fabien fait, en effet, tomber les filles comme des mouches. Il n’est pas rare qu’il rentre à la coloc en bonne compagnie et que l’on entende cette compagnie hurler sous les coups de reins de Fabien. Pourtant, celui-ci n’a pas pris la grosse tête : il sait se montrer très gentil avec moi. Plusieurs fois, il a tenté de me séduire mais je ne lui prêtais que guère d’attention. Maintenant que je craque pour lui, je regrette de ne pas lui avoir donné sa chance !
Un soir, je me rends compte que Fabien s’est endormi avec sa porte ouverte et ses lumières allumées. Alors que je voulais simplement éteindre sa lampe, je remarque assez vite l’énorme bosse qui déforme son boxer. Je n’ai pas l’habitude de me laisser emporter par si peu mais Fabien semble très bien monté, peut-être même est-ce la plus grosse que j’ai jamais vu sous un tissu. Je suis complètement hypnotisée par la déformation de son caleçon, je n’arrive plus à me reprendre. Alors que je continue à la fixer, voici que le beau blond se réveille et me regarde quelque peu gêné. Il me dit :
Sortant de mon état semi-comateux, je lui réponds :
Fabien sourit et me répond :
Je me précipite hors de sa chambre, je ferme la porte et je m’arrête quelques minutes. Mon cœur bat la chamade, je suis très excitée. Je rentre dans ma propre chambre et je décide de faire fonctionner une nouvelle fois Jean-Pierre. Mon vibromasseur me fait atteindre le septième ciel et je m’endors sans difficultés.
Le lendemain, je me réveille doucement. Un petit halo de lumière vient s’amuser avec mon visage. Je repense à la veille et je me dis que j’ai certainement été ridicule auprès de Fabien. Alors que j’émerge rapidement, je me dirige vers la cuisine où je croise le principal intéressé. Fabien est encore une fois en boxer et il est terriblement beau comme à son habitude. Nous échangeons quelques banalités et nous en terminons pour l’heure. Je travaille toute la journée et je ne rentre que le soir, tard vers 21 heures. Personne n’est à l’appartement. J’en profite pour mettre un peu de musique et me détendre dans ma chambre. Je me munis une nouvelle fois de mon vibromasseur et je me fais plaisir. Les sensations sont intenses, j’imagine Fabien en train de me faire l’amour, jusqu’à ce que la porte s’ouvre violemment.
Là, je vois Fabien avec ses écouteurs. Pourquoi n’a-t-il pas frappé ? Il a l’air assurément très gêné et enlève tout de suite son casque pour me parler.
Je mets de côté Jean-Pierre pour me relever rapidement. Je prends mon courage à deux mains et je m’approche de mon beau blond. Je le plaque contre la porte et je l’embrasse. Fabien est réellement gêné mais il se laisse faire. Je sens une bosse se former au niveau de son entrejambe, la même que j’ai pu observer la veille sans pouvoir en profiter. Je fais passer mon genou dessus pour mesurer la taille de l’engin : Fabien a une énorme queue. C’est un fait. Mesdames, vous êtes désormais au courant. Je reprends la parole :
Fabien hoche la tête et m’embrasse tout de suite tout en fermant la porte. Nous nous déshabillons rapidement, lui se retrouvant dans un très mignon boxer bleu et moi en string. Mon amant se précipite sur mes seins qu’il lèche pendant quelques minutes. La sensation est très agréable car dans le même temps, Fabien s’intéresse à mon string où il a déjà plongé une main. Il joue avec mon clitoris. Je me laisse aller alors que le vibromasseur continue de fonctionner sur la moquette.
Avant que j’arrive à l’atteindre, Fabien s’en empare et me dit :
Apparemment, le jeune homme a entendu mes cris nocturnes quand j’utilise Jean-Pierre. Le beau blond se demande comment cette machine peut fonctionner mais il ne met que peu de temps pour comprendre que l’élément rotatif doit s’insérer dans mon vagin. Après m’avoir embrassé avec fougue, il m’enlève ma culotte et me l’enfonce sans ménagement. Je hurle de plaisir. Je suis habitué aux délicats mouvements de mon vibromasseur mais voir le regard lubrique de celui sur lequel je fantasme depuis des semaines me rend encore plus excitée. Je me sens emportée mais je n’atteins pas encore l’orgasme. Fabien éteint le vibromasseur et il marque une pause. Il dit :
Me voilà une nouvelle fois hypnotisée par son boxer. Cette fois-ci, je n’hésite plus, je touche la bête à travers le tissu. Sa queue est énorme, elle palpite et semble pouvoir révéler des potentiels incroyables. Avant de découvrir son pénis, j’en profite pour lécher ses abdos et ses pectoraux. On dirait qu’il apprécie car il lance des petits gémissements quand je m’attarde sur ces zones. Je lèche son téton gauche et je vois qu’il semble très sensible. En enlevant son caleçon, sa queue arrive droit devant ma bouche. Elle n’est pas si grosse, en réalité, mais elle est quand même imposante. En fait, elle est moins grosse que dans mes rêves.
J’avale son sexe en moins de deux, ce qui semble l’étonner à la vue du petit râle de plaisir qu’il pousse. Il laisse sa tête en arrière et moi je continue à le pomper pendant de longues minutes. Comme je l’observais depuis plusieurs semaines, je savais qu’il était extrêmement sexy. Cependant, en lui taillant une pipe, j’ai pu confirmer qu’il était encore plus mignon quand il se faisait sucer. Il gémit à chaque gorge profonde et je prends un malin plaisir à varier la fréquence de mes coups de langue.
Ma technique est, en effet, dévastatrice. Je prends en bouche l’intégralité du pénis de mon partenaire, ce qui a toujours le don de les faire jouir assez rapidement. Alors que je sens sa queue palpiter et ses muscles se contracter, je m’arrête immédiatement. Je le plaque contre le mur et je lui dis :
Le beau jeune homme comprend le message et il m’embrasse à nouveau. Il se dirige vers ses affaires qu’il avait jetées à côté de la porte et sort un préservatif de son portefeuille. Après l’avoir mis, il s’assied sur la chaise de mon bureau. J’ignore pourquoi mais j’adore chevaucher les hommes avec qui je fais l’amour. Il est, à nouveau, terriblement excitant. Ce colosse blond assis avec son pénis dressé me fait presque jouir avant d’être en train de le chevaucher.
Je viens m’empaler sur sa queue. Je me mets face à lui, ce qui lui permet de sucer mes seins. Il me fait l’amour sauvagement, bestialement comme je lui ai ordonné. Pour moi, il est un jouet : Jean-Pierre, mon vibromasseur, ne peut pas faire mieux. Je ne suis pas la seule à prendre mon pied, mon partenaire semble apprécier le moment car il gémit. Fabien s’arrête et dit :
Que veut-il dire par là ? Je souffle quelques minutes mais je sens qu’il saisit mes deux fesses à pleines mains pour se relever. Il me prodigue, pour la première fois de ma vie, la position de l’union suspendue. En clair, il me fait l’amour debout. Je m’agrippe à ses épaules. Le beau blond me pilonne avec force, je me sens complètement ailleurs. Et, je peux, vous le dire, j’ai véritablement apprécié. Ses mouvements sont de plus en plus rapides : très vite, il commence à transpirer et moi avec. C’est à ce moment précis que je me rends compte pourquoi j’aime baiser avec des hommes sportifs : ils arrivent à avoir une endurance hors norme. Fabien ne fait pas exception, ses abdos, ses pectoraux mais également tous ses autres muscles lui permettent de me soutenir. Bon, il faut dire que je ne pèse pas bien lourd, mais quand même ! Il me faut peu de temps pour avoir un fulgurant orgasme. Je hurle et perds quelque peu le sens de la réalité. Après avoir repris mes esprits, je constate que Fabien continue de me baiser debout. En le voyant, j’en conclus qu’il est proche de l’orgasme à son tour.
Je saute par terre, j’enlève la capote et je le suce rapidement. Fabien hurle :
Pour lui prouver toute ma gratitude de m’avoir prodigué un tel orgasme, je décide d’avaler. Alors que la majorité des femmes répugnent avaler le sperme de leur partenaire, je trouve cela terriblement excitant. Il ne faut peu de temps pour que Fabien se répande dans ma bouche. Il me sourit et s’affale sur le lit. Sa queue ne baisse pas de volume, ce qui me paraît assez curieux.
Je lui demande d’un air naïf :
Fabien répond :
Pour lui répondre, je reprends son engin en bouche.
Fabien se dérobe à ma fellation pour se diriger vers son portefeuille. Il tire une deuxième capote. Il ne tarde pas à la mettre et à me demander de m’installer en levrette. Je prends une nouvelle fois mon pied : Fabien enflamme le creux de mes reins. Dans cette position, je peux me sentir aussi dominée que je le souhaite. Je me cambre légèrement pour que je puisse sentir son corps musclé donner ses coups de reins. Ses cuisses frappent mes fesses rebondies.
Je gémis sans me rendre compte que la porte d’entrée de l’appartement s’est ouverte. Fabien a entendu mais il est également bien trop occupé à me faire l’amour bestialement pour s’en soucier. Mon amant décide à ce moment de me transporter sur mon bureau pour continuer cette partie de jambes en l’air. Arrivé sur place, il continue à me pilonner avec force et je dois dire que j’ai failli avoir un orgasme à ce moment précis. Mais ce ne fut pas le cas. Thibaut, mon autre colocataire vient d’arriver sur le pas de ma porte et il me dit en entrant dans ma chambre :
Je m’inquiète du fait que Thibaut ne réagisse pas à la scène qui se produit devant ses yeux. Comme à son habitude, il porte ses écouteurs et il ne peut donc rien entendre.
Cependant, en entrant dans ma chambre, il se rend compte que son amie et colocataire est assez occupée en ce moment.
Alors que je suis sur le bureau, je regarde Fabien d’un air gêné. Nous éclatons de rire. Après ce petit intermède, mon bel amant reprend ses coups de reins. Nous changeons de position deux ou trois fois jusqu’à ce qu’il jouisse dans mon minou enflammé. Pas d’éjaculation faciale pour cette fois !
Après s’être retiré et avoir remis son boxer, mon amant me prend dans ses bras. Je suis bien, nous discutons un peu de notre avenir. Je pense avoir trouvé ce que les gens appellent un « sex friend ». Son parfum boisé m’endort et je ne me réveille qu’au petit matin.
OOOooooOOO
Le lendemain, Fabien dort toujours et je fais le point sur ce qui m’est arrivé la nuit dernière. Je ne regrette rien car j’ai pris mon pied et c’est exactement ce que je voulais. Cependant, je ne sais pas comment réagira Thibaut. Apparemment, il n’a pas mal pris de nous avoir surpris hier. J’imagine que les choses ne seront que très peu différentes.
Mon beau blond dort toujours mais je décide de lui réserver une petite surprise avant qu’il ne se réveille. Je retire délicatement son boxer, et je commence à le sucer doucement. J’essaie de m’y prendre le plus délicatement possible mais Fabien est immédiatement réveillé.
Je continue ma pipe tandis que Fabien apprécie le moment. Il ne lui faut que peu de temps pour attraper une capote qui traîne sur ma table de nuit pour me rejeter, la mettre et m’inviter à m’empaler sur cette queue qui m’a donnée tant de plaisir. Dans la position d’Andromaque, Fabien impulse des mouvements rapides mais je l’invite à prendre son temps. Je vois qu’il est particulièrement sensible : il ne fait pas long feu et en quelques minutes, je sens qu’il va jouir. J’aurais bien aimé qu’il dure plus longtemps mais je ravale ma fierté et je décide de lui enlever le préservatif pour engloutir son engin une nouvelle fois. Il jouit dans ma bouche et j’avale avec plaisir toute sa semence alors qu’il gémit.
Après avoir repris ses esprits, il me dit :
Je lui réponds :
Il me sourit et me titille les seins. Je dois me lever car mon travail m’attend. Je sens sa présence derrière moi, il veut encore me faire l’amour. Je décline en le regardant avec un petit air pervers. Vous savez, ce genre de petit air qui dit on voit ça ce soir !