n° 16414 | Fiche technique | 27938 caractères | 27938Temps de lecture estimé : 17 mn | 23/09/14 |
Résumé: Alors que Fabien est devenu mon plan cul régulier, voici que lors d'une soirée où mon amant me délaisse je décide de m'intéresser à Thibaut, mon autre colocataire. | ||||
Critères: fh jeunes copains douche intermast facial fellation cunnilingu 69 préservati | ||||
Auteur : Phoebos Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Les joies de la colocation Chapitre 02 | Fin provisoire |
Je m’appelle Camille, je vis en colocation avec deux garçons. Nous avons tous les trois vingt-cinq ans et nous sommes amis. Cependant, j’ai découvert que j’étais attiré par Fabien, l’un de ces deux jeunes hommes. Durant une nuit, Fabien et moi avons fait l’amour et nous avons été surpris par Thibaut.
Cela fait maintenant une semaine que j’ai couché pour la première fois avec mon coloc, Fabien. Depuis, j’en vois de toutes les couleurs. À vrai dire, je n’ai jamais été aussi bien baisée de toute ma vie. Maître en la matière, Fabien me fait l’amour dès que j’en ai envie. Endurant, beau comme un athlète, armé d’une queue bien taillée, mon amant a tout pour lui. Nous avons écoulé notre stock de préservatifs et nous le vivons plutôt bien.
Cependant, tout ceci a failli dégénérer un soir. Alors que je rentre du travail assez tôt, Fabien est déjà à l’appartement. Il ne m’a pas baisé depuis deux jours car il était en déplacement. Je me dirige vers sa chambre mais je suis déçu : il est au téléphone et il n’est pas disponible. Pour palier cette indisponibilité, je prends une douche. Je profite de cette eau fraiche sur mon corps pour faire un point : je n’ai jamais autant été épanouie avec un plan cul. Je suis efficace à mon travail comme jamais et j’ai l’impression de n’avoir jamais été aussi bien. Que demander de plus ? Alors que j’arrête l’eau et que je m’apprête à sortir, je vois la silhouette de Fabien entrer dans la salle de bain. Il est en boxer et il semble plus sexy que jamais. Son sourire m’empêche de sortir de la douche, j’ai le minou qui frétille rien qu’en les regardant, lui et ses abdominaux sculptés dans le marbre.
Alors qu’il me rejoint dans la baignoire, je vois que monsieur bande comme un taureau.
Je suis étonnée mais je me laisse faire. Fabien m’embrasse sur la bouche, dans le cou puis il s’occupe de mes seins. J’avoue ne pas être indifférente à ses baisers. Malgré ma ferme opposition à toute relation amoureuse avec lui, je suis hypnotisée par ce garçon au magnétisme indéniable. Il me fait tourner la tête, je suis happée en permanence par son charisme solaire et par sa queue délicieuse. Surtout par sa queue délicieuse diront les mauvaises langues. Fabien descend doucement vers mon minou et il commence à insérer un puis deux doigts.
Il met maintenant sa langue dans l’antre de mon plaisir, je perds les pédales. Il ne m’avait jamais fait de cunnilingus jusqu’à maintenant. Fabien sait, là-encore, très bien se débrouiller. Ses mouvements sont rapides, c’est exquis. Je me cale contre le mur froid de la douche, j’écarte bien les jambes. Pour l’heure, le plaisir est au rendez-vous et je profite. Après cinq minutes, un violent coup de langue électrise tout mon corps du vagin jusqu’au cerveau. Fabien arrive à me faire jouir en me léchant. Je hurle, je gémis. Il ne m’était jamais arrivé un tel plaisir en me faisant brouter le gazon.
Je suffoque après cet orgasme. Il me faut quelques instants pour reprendre mes esprits. Le boxer de mon partenaire est déformé par une grosse bosse qui me fait imaginer que ce n’est pas fini. Alors que je me dirige pour lui enlever, Fabien m’arrête d’un coup net.
Le bel étalon sort de la douche, il enlève son boxer mouillé par ce cunni. Son énorme queue à l’air libre me fait baver. Je suis comme une nymphomane privée de sexe pendant des jours. Je l’imagine en train de me baiser sauvagement ici et maintenant mais il n’a pas l’air décidé. D’ailleurs, il est tellement excité qu’il doit prendre sa queue en main tout seul pour se calmer et pouvoir mettre un boxer tout sec.
Fabien me regarde et répond :
Triste de ne pas pouvoir me satisfaire tout de suite, je me console en me disant que dans quelques heures, je me ferai pilonner par mon amant préféré. Il m’embrasse dans le cou avant de partir. Cependant, je n’ai pas l’habitude d’être très patiente. Ce qui allait se passer pourrait changer la coloc à jamais.
OOOoooooOOOO
Deux heures passent sans que Fabien revienne. Je reçois un SMS dans lequel il m’avertir que sa beuverie avec ses potes risque de continuer jusqu’à tard dans la nuit. Je m’étale sur mon lit. Que vais-je faire ? Mon minou est humide en attendant celui qui arrive à me faire jouir en rafale. Alors que je me pose des questions sur ce que je vais faire le reste de la soirée, j’entends des violents coups contre le mur de mon lit. Il s’agit d’un bruit sourd venant de la chambre de Thibaut, mon autre colocataire. Je commence à m’inquiéter, j’espère que tout va bien. Je me dirige doucement vers la chambre de mon ami et j’ouvre délicatement la porte. Thibaut a les yeux fermés et il se masturbe avec sa main gauche. Le bruit sourd provient, en fait, de sa tête qu’il envoie violemment contre le lit en bois, au fur et à mesure de sa masturbation.
Je m’étonne, je reste à l’observer alors que j’attends son ami pour qu’il me baise. Son engin n’est pas aussi monstrueux que celui de Fabien mais sa taille est appétissante pour quelqu’un qui a le creux des reins en feu. Elle est moins grosse mais un peu plus large. Il n’a pas remarqué que j’étais là mais je l’entends murmurer pendant sa masturbation :
J’éclate de rire au fond de moi. Je toussote pour lui faire comprendre que je suis là. D’un coup, Thibaut devient rouge comme une tomate. Il continue à tenir sa queue dans sa main mais il la lâche rapidement pour essayer de cacher son engin.
Je commence à parler :
Thibaut n’est pas aussi musclé que Fabien. Son torse est légèrement plus velu que mon amant habituel mais il a un regard tout aussi envoûtant. Ses yeux bleu turquoise m’ont, à de nombreuses reprises, fait tourner la tête sans que je cède à la tentation. Je m’approche doucement de lui et je me mets à califourchon. Son épaisse queue se cale pile contre mon short. Je passe mes mains dans ses cheveux blonds taillés courts et je lui dis à l’oreille :
Thibaut déglutit doucement puis hoche la tête d’un air pervers. Il est comme un petit garçon à qui on présente une friandise démesurée. Il ne sait pas par où commencer. J’enlève doucement mon haut et je libère ainsi ma poitrine généreuse. Les seins ronds et fermes ont l’air de plaire à mon colocataire qui s’empresse de les malaxer. Thibaut les porte rapidement à la bouche et du naïf petit garçon, le jeune homme se transforme en parfait connaisseur de la chose. Il faut dire que vue sa beauté il a certainement baisé de nombreuses filles avant moi.
Il envoie rapidement ses mains vers mon minou. Je me remémore le cunni de Fabien plus tôt dans la soirée. Cet orgasme fulgurant pourra-t-il être battu par celui que j’attends de son ami au regard turquoise ? Je ne sais pas encore mais j’essaie de me laisser aller. Le besoin d’être baisée est plus important que ces questions. Thibaut veut m’embrasser mais il hésite. Nos regards restent fixés pendant quelques secondes puis je mets fin au suspens en l’embrassant. Je sens que sa queue appuie fort contre mon antre humide. Je lui présente mon minou contre son visage pendant que je m’occupe de sa trique assez impressionnante. Un 69 endiablé peut commencer.
Rapidement, je mets son engin dans ma bouche mais cette fois-ci, je m’attarde sur son gland. Thibaut gémit doucement. Il semble très réactif à ce traitement. Tellement réactif qu’il oublie de me lécher comme la position l’invite à le faire.
Le beau jeune homme ricane puis met sa langue goulûment dans mon minou en feu. À mon tour de gémir, il s’y prend plutôt bien. Cependant, dans ce registre, son ami est meilleur que lui. Ses coups de langues sont plus rapides mais il ne va pas autant en profondeur que Fabien. Je prends quand même du plaisir mais je sens que je lui en donne plus qu’il m’en donne. Comme d’habitude, j’utilise ma technique de la gorge profonde qui plaît tant aux hommes. D’ailleurs, il semblerait que le beau blond soit sur le point de jouir alors que j’avale une dernière fois son engin. Je dis alors :
Je me relève. Thibaut reste allongé sur le lit pour calmer ses ardeurs. Je me mets à nouveau à califourchon sur lui. Je l’embrasse tendrement pour le calmer peu à peu. Il me regarde : son air pétillant est teinté de perversité. Nous continuons des petits jeux coquins avec nos langues pendant quelques minutes. Puis Thibaut me repousse pour prendre sa chaussure. De celle-ci, il extirpe deux capotes. Je lui dis :
Le beau blond me rétorque :
Je ris pendant quelques secondes puis je prends le préservatif sorti par Thibaut. Je le coiffe sur son épaisse bite et je me demande dans quelle position il va pouvoir me prendre. Il m’invite à me mettre à quatre pattes. Ça sera la levrette pour cette fois-ci. Thibaut me pénètre rapidement et il me baise sauvagement. Contrairement à la levrette prodiguée par son pote, Fabien, Thibaut n’est pas aussi doux : il enfonce son pieux rapidement tout en jouant avec tantôt mes seins, tantôt mon clitoris. Pendant de longues minutes, Thibaut continue à me pilonner avec force. La disposition de sa chambre est parfaitement adaptée à la scène car un miroir est juste devant son lit : je me vois complètement perdre la tête au fil de ses coups de reins. Mon amant au torse finement musclé semble lui aussi prendre son pied.
Après quelques minutes de plus, Thibaut se retire et je m’allonge sur le lit. Je crois qu’il veut me prendre en missionnaire mais il me dit :
Je rétorque par la négative et j’apprends une nouvelle position. Assis, Thibaut m’invite à plier mes jambes autour de son torse musclé. Je m’emboite littéralement contre lui. La position n’est pas très profonde mais Thibaut peut jouer avec mes seins plus fréquemment que dans la levrette. J’avoue avoir besoin de ce petit temps de repos après la dernière position.
D’un coup, Thibaut me prend par les hanches et me soulève délicatement. Il faut une certaine force pour pouvoir tenir la position et je sens que Thibaut met toute sa condition physique à contribution. Je me sens décoller, la position est très profonde et me fait penser à l’union suspendue que m’avait prodiguée Fabien lors de notre première baise entre colocataires. Un nouvel orgasme me prend par surprise. Je perds la tête quelques secondes. Quand j’ouvre à nouveau mes yeux, Thibaut s’est arrêté et souffle après tant d’efforts.
Il se retire doucement et enlève la capote d’un geste brusque. Il se masturbe frénétiquement. Je me dirige vers lui et prends sa queue à pleine mains pour le stopper net.
Je presse mes seins contre sa queue tandis qu’il gémit. Ses bourses sont pleines, on dirait qu’il n’a pas fait l’amour depuis longtemps. Il a un petit regard détaché qui me fait vite comprendre qu’il apprécie le moment. Très vite, je le sens proche de l’orgasme. Sa queue tressaute, ses muscles se contractent. Je n’ai pas le temps de happer son engin dans ma bouche. Il jouit sur mon visage un sperme épais et laiteux. J’en ai partout mais j’arrive, heureusement, à éviter d’en avoir sur les yeux. Ses hurlements pendant l’orgasme ont certainement réveillé des voisins car nous entendons quelques protestations à travers les murs. J’apprécie le spectacle et je lèche avec plaisir sa queue une fois sa semence déversée. Nous nous embrassons et je me lève ensuite pour m’étirer un peu.
Thibaut me regarde en respirant fort. Sa queue baisse progressivement de volume. Mon amant me regarde en remettant son boxer. Nos échangeons un sourire. J’enlève le sperme de ma figure et je vais boire un verre d’eau dans la cuisine. Alors que je bois doucement, je sens les mains de Thibaut s’agripper à moi. Je sens aussi sa queue appuyer sur mes fesses. C’est reparti pour un tour, on dirait.
Je me mets à genoux et je prends son engin dans ma bouche. Je mets mes mains sur ses fesses imberbes pour avaler sa queue avec plus de force. Il me dit entre deux gémissements :
Ce compliment n’est que musique à mes oreilles. Alors que je le suce en mettant du cœur à l’ouvrage, il continue de gémir en balançant la tête en arrière. Je me demande où tout ceci nous mènera. Fabien ne va pas tarder à rentrer mais je ne peux pas m’empêcher de sucer cette queue épaisse qui me donne du plaisir. Prenant son deuxième et dernier préservatif, Thibaut me demande d’arrêter de le sucer.
Coiffant sa queue de cette protection, il me dit :
Je réponds par la négative et je sens ses bras musclés me prendre pour m’installer sur ladite table. Il installe mes jambes autour de son cou. Tandis qu’il pénètre en moi, je sens une forte chaleur au niveau de mon pelvis. Cette position est particulièrement confortable. La table de la cuisine est froide mais mes fesses apprécient le contact avec cette surface. Je peux admirer mon amant dans cette posture. Allongée sur la table, mon point G est fortement appuyé et je ressens une vague de plaisir intense. Je me fais prendre pendant de longues minutes mais Thibaut est tellement excité qu’il ne fait pas long feu. Après dix minutes, le beau blond enlève sa capote et jouit une nouvelle giclée de sperme sur mes seins.
Nous nous regardons d’un air hagard. Nous sommes fatigués mais nous avons envie de continuer. Je romps le silence :
Thibaut répond par la négative et ajoute :
Thibaut hoche la tête. Il remet son boxer à toute vitesse. Sa queue épaisse le déforme complètement. Il remet son jean mais sa trique apparaît tout autant. J’éclate de rire en voyant la scène. Il se dirige rapidement vers la porte d’entrée en boitant tellement il excité, il la claque et je me retrouve seule. Je pense à ce que je suis devenue. Suis-je une fille facile ? Je réfléchis quelques minutes en me versant un verre de Cola light. En fait, je m’en fous complètement. J’ai longtemps été coincée et j’ai mis mes envies au second plan. Maintenant, j’ai envie d’être baisée par les mecs qui m’excitent. Tant pis si cette image doit être véhiculée au sein de la colocation.
Dix minutes plus tard, j’entends la porte s’ouvrir. Pensant que Thibaut est revenu, je m’approche et je vois Fabien au seuil de la porte.
Je suis gênée. D’un moment à l’autre, Thibaut pourrait rentrer avec les capotes qu’il est parti chercher. Que faire ? Fabien est déjà en train d’enlever ses vêtements puis d’ôter les miens à toute vitesse. Nous nous retrouvons en sous-vêtements. Il me porte jusqu’à sa chambre et il se cale contre son lit. Il dit :
Avec un peu d’appréhension, je m’approche du boxer de Fabien et je délivre sa queue gargantuesque. La queue de Thibaut est déjà très appétissante mais celle-ci est un vrai régal. Je n’arrive pas à arrêter la comparaison dans ma tête. Je la suce plus par envie de découvrir laquelle est la plus délicieuse que par désir. Je le pompe pendant de longues minutes pour l’exciter. Fabien apprécie le moment mais il m’arrête très vite pour dire :
Il m’approche rapidement de sa grande baie vitrée. La chambre de Fabien est la plus grande et elle est dominée par une grande vitre qui propose une très belle vue sur Paris. Nous sommes au dixième étage et il n’y a pas de bâtiments très proches. Fabien me cale contre la vitre. La glace est fraîche et mon corps est brûlant. Les contraires s’attirent. Je m’étonne à me sentir bien collée contre cette vitre. Fabien met une capote et il me pénètre ainsi. Sa queue est adroite dans une telle position. Il lève une de mes jambes pour accéder plus facilement à son objectif.
Il me dit :
Je suis flattée par une telle déclaration de mon plan cul. Les remords m’ont quittée. J’essaierai de gérer la situation plus tard. La vitre froide devient de plus en plus chaude. De la buée se forme, mes mains laissent des traces de mon excitation. Heureusement que personne n’est présent en bas pour regarder. Mes seins complètement collés à la paroi de plus en plus chaude. Je commence à doucement glisser tellement la scène devient bestiale. Les cuisses de Fabien claquent contre mes fesses rebondies. Je hurle :
Je perds à nouveau les pédales pour la troisième fois de la soirée avec un deuxième garçon. Je n’arrive plus à me contrôler. Je me dérobe à son emprise. Voici que le beau mâle se retrouve avec sa queue dressée debout. Il a l’air complètement désorienté. Je m’offre à lui dans la position du missionnaire car j’ai envie de le sentir profondément en moi. Il vient en moi et me prend avec fougue.
Alors que je sens Fabien me pilonner avec force, j’entends la porte d’entrée claquer. Je ne peux m’empêcher de gémir tellement la queue de Fabien me fait du bien. Je hoquette de plaisir tandis que Fabien semble sur le point de jouir. Il se retire, il enlève le préservatif et présente sa queue à l’entrée de ma bouche. Pour plus de plaisir, je l’invite à se lever. Dos à la porte de sa chambre, je me mets à genoux pour capter le précieux liquide. Pile au moment où il déverse tout dans ma bouche, Thibaut hurle :
La porte de la chambre de Fabien s’ouvre. Thibaut regarde la scène en entrant. Il voit son colocataire intégralement nu en train de jouir dans ma bouche. J’avale avec appétit mais je suis en même temps gênée pour Thibaut. Je ne sais pas quelle sensation privilégier : le plaisir ou la honte. Fabien a pris ma tête dans ses mains pour mieux cadrer le tir. Cependant, il a tout comme moi entendu son pote hurler cette phrase. Il se retourne et regarde Thibaut avec des yeux revolvers tandis qu’il finit de jouir dans ma bouche.
Une fois que j’ai tout avalé, je me lève et je dis :
J’explique ce qui s’est passé cette nuit. Fabien me dit :
Thibaut répond :
Thibaut esquisse un sourire puis repart dans sa chambre. Je suis prise d’un violent mal de tête. J’ai aussi mal à la gorge car le sperme de Fabien était particulièrement abondant ce soir. Je discute un peu avec Fabien et je reste dans sa chambre pour la nuit. Je me blottis dans ses bras. Contre son torse musclé et imberbe, je me sens bien. Je frotte mon genou contre son boxer et je sens que le bougre rebande déjà. Nous nous regardons et je l’embrasse. Cependant, tout est terminé pour ce soir. Fabien devra attendre pour un nouveau round.
Vers trois heures du matin, je m’extirpe doucement du lit de mon amant. Le beau blond ne se réveille pas. Je fais le moins de bruit possible pour rejoindre la chambre de mon autre colocataire. À ma grande surprise, Thibaut ne dort pas. Il est en boxer sur son lit, torse nu, son casque de musique aux oreilles pendant qu’il pianote sur son ordinateur. Il me voit rentrer et il me dit :
Je ferme doucement la porte et je lui dis :
Thibaut sourit et met son ordinateur sur sa table de nuit. Je m’approche de lui et je me blottis dans ses bras. Il m’embrasse et nous restons là pendant quelques minutes sans rien faire. Mon genou se heurte à sa trique. Il n’est pas insensible à mes charmes et même pour un simple câlin, mon partenaire semble prêt à me faire du bien. Je suis fatiguée après cette soirée de baise avec mes deux partenaires. Je n’ai pas forcément envie de faire l’amour à Thibaut mais le pauvre a été déçu de ne pas pouvoir me baiser après être allé chercher des capotes. Je lui dois bien ça alors que je me faisais défoncer par l’un de ses meilleurs amis.
Pas de préliminaires, la scène est plus directe. Fabien enlève son boxer, enfile un des préservatifs achetés quelques heures plus tôt et il me propose de m’allonger sur son lit. Il place un coussin sous mon dos et me prend dans une variante du missionnaire. Alors qu’il me pénètre avec force, je mets mes jambes sur ses épaules et le voici parti pour me donner un fulgurant orgasme. Cette position est l’une des plus excitantes que j’ai jamais testées : elle me propulse au sommet du plaisir. Je gémis doucement pour éviter de réveiller Fabien. Thibaut ne contient pas ses râles de plaisir. Il arrive à m’embrasser de temps en temps. Je me sens une nouvelle fois perdre le contrôle sur la situation. Je jouis. Certaines filles pourraient me qualifier de fille facile mais je m’en fiche, je prends du plaisir et j’aime ça. Thibaut ne tarde pas à jouir aussi et déverse sa semence en moi.
Mon beau partenaire s’écroule sur le lit. Nous sommes essoufflés. Je me libère de son emprise et je lui fais un bisou pour la route. Je passe mes mains dans ses cheveux blonds… Son parfum musqué m’envoûte. Je pars avant de m’endormir. Je retourne doucement dans le lit de Fabien et je me blottis contre lui pour faire comme s’il ne s’était rien passé. Cependant, Fabien est réveillé et il me dit :
Interloqué, je lui réponds :
Fabien allume la lumière et me dit :
Je ne dis rien, je ne sais pas quoi répondre. Ce petit jeu a peut-être duré un peu longtemps. Doit-il cesser pour le moment ? Fabien reprend la parole :
Je suis assez étonnée de sa réaction.
Fabien me répond :
Au fond de moi, je me sens comme un vulgaire objet. Cependant, je ne peux pas lui en vouloir. J’ai voulu cette situation. Fabien dit alors :
Je suis bouche-bée. Je ne m’attendais pas à une telle révélation.
Il me sourit et me répond :
Je vois ainsi que je ne maîtrisais absolument pas la situation. Me prend-il pour une traînée ? Ils avaient même tout manigancé pour que je tombe dans le piège et que chacun puisse me baiser. Peu importe, j’aime trop cette situation pour y mettre un terme.
Je lui dis :
Fabien me répond en souriant. Je me mets à nouveau dans ses bras musclés tout en touchant ses abdominaux imberbes. Je me mets à rêver en sentant le parfum boisé de mon amant.