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Temps de lecture estimé : 20 mn
01/10/14
Résumé:  Anne est de plus en plus sensuelle avec moi, cela ne semble pas gêner Patrick qui nous observe, amusé.
Critères:  fh jeunes extraoffre cocus fépilée voir noculotte lingerie pied
Auteur : Taz      Envoi mini-message

Série : Eté 2010

Chapitre 03
La femme coupée en deux...

J’avais 21 ans, j’étais encore étudiant.

Ce récit est en partie réel, et en partie imaginé, je vous laisse démêler le vrai du faux dans cette histoire.



Résumé de l’épisode précédent : Anne a joué avec moi la veille, en ménageant le chaud et le froid à mon égard. Elle m’a envoyé des photos d’elle « par erreur », me permettant de lui fixer un rendez-vous dans la nuit. Nous nous sommes retrouvés en pleine nuit dans son salon et y avons vécu des moments torrides. Mais, aussitôt après nos ébats, quelqu’un s’est levé dans la maison et est entré dans le salon.



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Elle se relève et commence à ramasser ses affaires.

Je me demande bien où cette femme et cette histoire vont bien pouvoir me mener.


Soudain, dans le couloir, un rai de lumière apparaît, la porte du salon s’ouvre…

C’est Patrick, il glisse sa tête dans l’ouverture de la porte, allume la lumière et nous découvre Anne et moi, nus dans le salon.



Je suis tétanisé. Anne s’approche de lui, calmement, je sens l’orage approcher.



Décidément, cette femme a le don de ne pas répondre aux questions qu’on lui pose. Je profite de ce court répit pour ramasser mes affaires au sol et me rhabiller dans la pénombre d’un coin du salon.


Lorsque leurs lèvres se détachent enfin, Anne pose un doigt sur la bouche de son mari.



Il ouvre la bouche mais, ne trouvant rien à répondre à sa femme, il la referme presque aussitôt. Sans se retourner ni vers moi, ni vers son mari, Anne se dirige vers sa chambre, laissant Patrick incrédule. L’idée de me retrouver seul avec lui à cet instant précis m’effraie, si bien que j’effectue machinalement un pas en retrait. Il me jette un regard dont je ne saurais dire s’il était haineux ou inquiet, puis éteint la lumière avant de suivre sa femme dans le couloir.


Puérile vengeance, il me laisse comme un con dans le noir, à moitié à poil. J’ai connu des moments plus fastes. Je n’ose plus bouger. Lorsque j’entends la porte de leur chambre qui se ferme, je me décide à sortir et me dirige sans faire de bruit vers ma couche dans la chambre de Thomas.


L’avantage avec Thomas, c’est qu’il reste où on l’a laissé, et avec ses ronflements, on peut le surveiller à distance. Il dort comme un loir et n’a vraisemblablement aucune idée de ce qui vient de se passer. J’avance à tâtons vers mon matelas et m’y allonge fébrilement. Évidemment, je ne dors pas et, entre les respirations de Thomas, j’essaie de tendre l’oreille afin de percevoir un bruit provenant du couloir ou de la chambre de ses parents. Rien…


Le film de ces deux dernières journées repasse en boucle dans ma tête, je ne comprends pas le petit jeu que me mène ce couple, je pensais qu’ils étaient complices dans leurs jeux, mais la réaction de Patrick m’interroge. Il a joué au petit Poucet, semant des petits cailloux érotiques qui me menaient droit à sa femme mais, à son attitude, il semblerait qu’il n’était pas au courant qu’Anne ait accepté une entrevue coquine avec moi cette nuit.


Je tourne et retourne la situation dans tous les sens sans réussir à me convaincre de l’exactitude d’un scénario. Je finis par m’endormir au petit matin.



Nous sommes réveillés par Patrick qui ouvre les volets de notre chambre en nous disant qu’il est l’heure de se réveiller car ils doivent emmener Thomas à son stage de voile en Bretagne. La tête dans mon oreiller, je regarde Patrick du coin de l’œil. Il n’a plus la mine déconfite de cette nuit et a plutôt l’air de bonne humeur.



Je me retourne enfin et pose un pied par terre. Patrick me regarde en souriant.



Il quitte la pièce, juste avant de sortir, il se retourne à nouveau vers nous.



Il accompagne ses paroles d’un clin d’œil appuyé dans ma direction.

Je ne percute pas tout de suite, mais en baissant les yeux, je m’aperçois que mon caleçon est largement déformé par une belle érection matinale. À ce moment précis, je pense instantanément au fait que ma queue porte encore les effluves de la chatte d’Anne, ce qui, évidemment, ne m’aide pas à me calmer.

Thomas finit par se lever, il a encore une tête de champignon ce matin, j’ai peut-être un peu forcé la dose hier soir pour pouvoir être tranquille cette nuit. Les yeux gonflés, les cheveux en pétard, il m’adresse un « s’lut » avec une voix d’ours des cavernes.



Nous nous dirigeons tous les deux vers la cuisine. J’ai le cœur qui bat la chamade. À ma grande stupéfaction – mais pouvait-il en être autrement ? – ils agissent avec moi comme si de rien n’était, Anne se lève pour nous faire la bise, d’abord à son fils, puis à moi.



Thomas comme à son habitude s’installe à table et attend de se faire servir. Le repas se passe autour de sujets banals.



Pendant ses explications, Anne et Patrick me regardent tour à tour en me lançant quelques sourires, ceux d’Anne en particulier sont assez équivoques. Cela est bien la preuve que je n’ai pas rêvé la nuit passée…


Je n’avais pas osé la regarder lorsque nous sommes entrés dans la cuisine, au fur et à mesure du petit déjeuner, je prends de l’assurance et détaille tout son corps en partie dénudé en cette chaude matinée du mois de juin, de ses jambes, seulement recouvertes en haut par un petit short, à son cou gracile. J’allai replonger dans la profondeur du décolleté de sa nuisette lorsqu’elle m’adresse la parole :



Je regarde Anne depuis la proposition de Patrick, elle arbore un petit rictus au coin des lèvres. Les voilà qui recommencent leur petit jeu, c’est Anne qui me chauffe et Patrick qui me tend des perches. Thomas s’y met lui aussi maintenant, mais s’il abonde dans le sens de ses parents, c’est évidemment sans arrière-pensées.

Nous savons pertinemment Patrick, Anne et moi ce que signifie cette proposition. Les images et les sensations des doux moments passés avec elle cette nuit, me reviennent instantanément en tête. Je ne peux finalement qu’accepter l’idée de prolonger cette expérience.


Voyant mes yeux dans le vague, Anne interrompt ma rêverie :



J’ai involontairement appuyé sur le mot plaisir à la fin de ma phrase, Thomas ne s’est aperçu de rien, mais Patrick et Anne qui disposent de toutes les clés de lecture m’ont répondu par un large sourire.

Patrick et Anne se tournent alors l’un vers l’autre et s’embrassent à pleine bouche, comme si un pacte venait d’être scellé entre eux. Thomas les regarde éberlué :



Thomas sort de la cuisine, nous laissant tous les trois seuls. Finalement, le cocu dans cette histoire, c’est lui, Thomas, à cent lieues de se douter de ce qui vient de se tramer.


Anne lâche la bouche de son homme, elle se lève, vient vers moi et me dispense le même traitement, nos bouches se collent, nos langues se mêlent l’une à l’autre. Je regarde Patrick du coin de l’œil, il semble apprécier, j’en profite pour glisser mes mains sous son short et commence à lui malaxer les fesses. Elle quitte ma bouche et me regarde, amusée.



Patrick nous coupe :



J’ai l’impression qu’il a hurlé cette phrase, en fait il a parlé suffisamment fort pour être bien sûr que Thomas l’entende.



Anne m’embrasse le cou et me susurre à l’oreille :



J’abandonne instantanément toute envie de résister et me fie à ses conseils.



Elle m’embrasse à nouveau et quitte la cuisine pour aller se préparer.



J’en reste coi et demeure immobile quelques instants, Patrick qui m’observe en souriant me dit :



Houlà, il aborde d’emblée le sujet sensible. Ne sachant quoi répondre, car même si son attitude est bienveillante, je crains qu’il n’ait encore de la hargne à mon égard, je décide d’aller illico me préparer dans une autre pièce afin d’éviter cette conversation. Avant que je ne sorte, il m’interpelle :



Il m’envoie au passage une forte tape dans le dos alors que je sors de la cuisine.


Cette brève mise au point me rassure autant qu’elle me ravi, car le baiser d’Anne tout à l’heure, devant son mari, n’était pas une provocation à son égard mais bien la perpétuation du jeu que nous avions commencé tous les trois.


Une heure plus tard, tout le monde est prêt à partir, nous nous installons dans la voiture. Patrick prend la place du conducteur, Anne est assise à côté de lui, vêtue d’une petite robe verte à bretelle. Elle a eu le bon goût de mettre un soutien-gorge sans bretelles afin d’éviter les chevauchements disgracieux. Lorsqu’elle s’assoit dans son siège, sa robe remonte légèrement dévoilant ses cuisses jusqu’à la lisière de son entrejambe. Je repense instantanément à ce qu’elle m’a dit la veille : porte-t-elle le string noir avec lequel j’ai essuyé mon sperme après nos ébats de cette nuit ?

Décidément, Anne sait s’insinuer dans mes pensées à chaque instant. Sans un regard, sans un geste vers moi, elle me hante.


Thomas et moi nous installons à l’arrière, ce qui n’est pas aisé étant donné que nous avons dû rabattre l’un des sièges afin de pouvoir rentrer tout son matériel dans la voiture. Nous sommes tous les deux serrés l’un contre l’autre derrière Patrick dans une position assez inconfortable. La route va être longue !

Heureusement, après une heure de route, Patrick propose que nous nous arrêtions déjeuner, près d’Avranches.


Arrivés sur le parking du Buffalo Grill, Thomas et moi nous extirpons de la voiture et faisons quelques étirements pour nous détendre sous les yeux amusés de Patrick et Anne. Nous entrons dans le restaurant et prenons une table, je m’installe sur la banquette avec Patrick tandis que Anne et Thomas se placent sur la banquette opposée. Anne est en face de moi, elle me fixe de ses grands yeux verts en arborant un léger sourire en coin. Elle pose ses bras sur la table, accentuant la profondeur de son décolleté, et scrute la salle à la recherche du serveur qui nous a placés et qui devrait revenir incessamment avec les cartes.

Je ne perds pas une miette de chacun de ses mouvements tant elle dégage de sensualité.


Patrick et son fils entament une conversation passionnée sur la voile à laquelle je ne comprends rien. Pendant ce temps, Anne et moi plongeons dans nos cartes respectives afin de choisir nos plats.

Au bout de quelques instants, le serveur arrive pour prendre notre commande. Anne lui décoche son merveilleux sourire en lui annonçant son choix. Pendant que Patrick et Thomas passent leur commande à leur tour, je sens le pied d’Anne qui commence à m’effleurer la jambe. Par réflexe, je la retire, mais le pied d’Anne la retrouve rapidement et commence à me caresser doucement les mollets.



Anne me regarde, amusée, son pied remonte lentement le long de ma jambe. Je m’empresse de reprendre la carte et donne le nom du premier plat qui me tombe sous les yeux.



Le serveur s’éloigne, Patrick et Thomas reprennent leur conversation. Sous la table, le pied d’Anne continue ses explorations. Il glisse maintenant le long de ma cuisse et vient se poser sur mon entrejambe. Je joue machinalement avec la salière en scrutant la salle afin de me donner une contenance.


Je n’avais jamais réellement compris ce que revêtait l’expression « faire du pied » jusque-là, mais Anne, en professeure sensuelle accomplie, s’applique à me montrer par l’exemple les facettes les plus délicieuses de cette pratique. Son pied niché entre mes cuisses effectue des va-et-vient sur mon sexe qui vient de retrouver toute sa vigueur.


Anne a dû le sentir, car elle accentue la pression de ses caresses sur ma braguette. Je hasarde un coup d’œil vers mon entrejambe. Son pied nu, si fin, aux ongles soigneusement vernis, révèle toute la sensualité de cette femme. L’image qui me vient à ce moment précis est celle du célèbre tour de magie de « la femme coupée en deux ». Il y a en effet deux Anne face à moi : au-dessus de la table, la femme sage, tranquille, bonne épouse, mère de famille accomplie ; au-dessous, la femme sensuelle, torride, aventureuse qui embrase les hommes qui passent à sa portée – en l’occurrence à portée de pied.


Je glisse une main sous la table et lui caresse le pied en suivant ses ondulations. Ses joues rosissent peu à peu, Patrick a remarqué l’émoi de sa femme et le mien, il se tourne vers moi et aperçoit l’objet de notre excitation mutuelle. Il reste un instant les yeux fixés sur le pied de sa femme puis, afin de ne pas éveiller les soupçons de son fils, il reprend la conversation sur la voile. Après quelques instants, sa main quitte la table et vient rejoindre la mienne sur le pied de sa femme. Nous lui caressons tous les deux le pied et la cheville en suivant ses ondulations sur mon sexe. Anne est aux anges, elle se tortille sur sa chaise et se pince subrepticement les lèvres. Patrick et moi l’observons par coups d’œil furtifs, guettant toutes ses réactions de plaisir et d’abandon.


Malheureusement, après quelques minutes, Anne retire son pied, le risque devenant trop grand. Ses yeux brillent, elle nous jette un regard de feu à Patrick et moi, presque comme un reproche, et se lève.



Patrick et moi essayons de reprendre une attitude normale, le serveur arrive avec nos plats et les dépose sur la table, Anne est de retour, elle reprend sa place. Nous commençons à manger. Patrick lève son verre de bière en nous invitant à trinquer :



Nous répondons en cœur en entrechoquant nos verres :



Thomas bombe le torse, il est persuadé que c’est à lui et à son stage de voile que nous venons de porter un toast. Patrick, Anne et moi le lui laissons croire en nous échangeant un sourire entendu. Décidément, le cocu de l’histoire c’est bien lui.


Les conversations à table sont banales – comment pourraient-elles ne pas l’être après ce moment ? – et Anne y prend part sans sembler s’intéresser à ma présence. Thomas nous parle de ses projets de vacances après son stage de voile, ce à quoi ses parents répondent qu’il pourrait essayer de trouver un job afin de se faire un peu d’argent de poche. Ils me prennent en exemple afin d’étayer leur propos ce qui me gêne énormément.


À la fin du repas, je sens le pied d’Anne qui remonte le long de ma jambe et de ma cuisse. Ce n’est pas vrai, elle ne va pas remettre ça, elle a le feu au c…, me dis-je.


Mais cette fois pas de caresses. Lorsque je baisse les yeux sur son pied, ses orteils sont recroquevillés sur le fameux string noir, celui avec lequel j’ai nettoyé mon sperme sur son dos la veille et qu’elle m’avait promis de porter, sans le nettoyer, aujourd’hui.


Je m’en empare, il est encore poisseux, ce qui me confirme deux choses. D’une part, elle le portait lors de notre séance de massage de pied en début de repas, et d’autre part ceci lui a plu, intensément. Je le glisse dans ma poche. Je la regarde, avidement, en caressant machinalement le fin tissu noir et ses sécrétions dans ma poche. Pendant ce temps, elle a continué la conversation avec son mari et son fils comme si de rien n’était, en m’ignorant superbement – La femme coupée en deux, vous dis-je ! – réaffirmant une fois de plus la capacité intellectuelle des femmes à pouvoir gérer plusieurs activités simultanément.


Elle me regarde enfin lorsque je porte mes doigts à mes narines et que je me délecte de son odeur, de nos odeurs mélangées, en plongeant mes yeux dans les siens. Elle me répond par son sourire, radieux. Tout en la regardant, je vais même jusqu’à glisser un doigt dans ma bouche afin de retrouver le goût de sa chatte dont je me suis délecté la nuit passée. Elle me regarde en minaudant, faisant mine d’être choquée par ce que je viens de faire.



Anne bat des cils dans ma direction, feignant à nouveau d’être gênée.

Nous nous levons de table, Patrick paie l’addition pour tout le monde, malgré mes protestations, et nous repartons vers le parking.

Arrivé à hauteur de la voiture, Patrick demande :



Thomas, trop heureux de pouvoir conduire la berline surpuissante de son père accepte instantanément. Patrick lui remet les clés et lui dit :



Cela s’est passé sans que ni moi ni Anne n’ayons pu dire quoi que ce soit. Thomas est déjà installé au volant. Patrick se retourne vers Anne.



Puis, s’approchant de lui pour l’embrasser, elle lui glisse à l’oreille :



Ils me regardent tous les deux en s’embrassant. Anne lâche les lèvres de son homme et passe devant moi pour aller s’installer sur la place du milieu. Elle se penche ostensiblement afin de nous montrer ses fesses dénudées en rentrant dans la voiture, puis s’assied. Patrick, un peu inquiet car il vient de découvrir que sa femme avait oublié sa culotte quelque part, me regarde la suivre et m’asseoir à côté d’elle.


Bien qu’Anne soit plus fine que son fils, l’exiguïté de la banquette, en partie obstruée par le matériel de voile de Thomas, nous colle l’un à l’autre. Ma peau s’électrise au contact de la sienne, sa petite robe, légèrement relevée par la position qu’elle occupe, dévoile la quasi-totalité de ses jambes nues.


Thomas démarre, et nous roulons quelques kilomètres sans que ni elle ni moi n’esquissions le moindre geste l’un envers l’autre. Patrick relance le sujet de conversation préféré de son fils : la voile. Il le fait évidemment dans le but unique de monopoliser son attention afin qu’Anne et moi puissions nous livrer à quelques frivolités dans leurs dos. Il se retourne de temps afin de suivre l’évolution de la situation.


Une fois de plus, c’est Anne qui prend l’initiative, elle ouvre imperceptiblement ses cuisses en augmentant la pression que sa jambe exerce sur la mienne. Je regarde son jeu de jambes en ayant du mal à avaler ma salive et me décide finalement à glisser une main entre nos deux jambes afin de mieux ressentir le contact de sa peau. De temps en temps, prétextant un point d’intérêt sur le bord de la route, elle tourne entièrement son buste de mon côté pour regarder à la fenêtre. Sa poitrine se colle alors à moi au travers de sa robe, et je peux, dans ces moments-là, avoir une vue imprenable sur son décolleté qu’elle ne manque pas de me laisser admirer pendant de longues secondes.


Après quelques-uns de ses mouvements innocents, ma main s’est immiscée sous ses fesses que j’entreprends de malaxer au travers de sa robe. Elle ondule doucement. Lassée de ces caresses par tissu interposé, elle finit par m’aider un peu.



Anne s’est complètement retournée sur la droite pour le leur désigner, elle profite de ce moment d’inattention pour remonter sa robe au-dessus de ses fesses avec son autre main. Sitôt fait, elle se rassoit.


Je n’ai pas vu le Mont Saint-Michel ce jour-là.

J’ai juste eu le temps de voir les magnifiques fesses blanches d’Anne se reposer sur ma main qui attendait leur retour. Mes doigts s’immiscent en elle, fouillant ses chairs intimes. Son sexe est trempé, je fourrage la chaleur moite de sa chatte cependant qu’un de mes doigt titille son clitoris, puis mes doigts lubrifiés viennent chatouiller son anus. Elle se cambre afin de m’en faciliter l’accès, accentuant un peu plus le bombé de sa poitrine.


Son bassin ondule doucement en mouvements discrets, cherchant à se faire pénétrer plus profondément par mes doigts. La pointe de ses tétons est dressée, ses lèvres n’esquissent pas le moindre mouvement, en revanche, ses yeux clos sous ses lunettes de soleil trahissent son extase. Patrick se retourne régulièrement, il sait que sa robe est relevée, il sait que mes doigts sont en elle, il sait qu’elle est trempée, il sait qu’elle prend du plaisir en ce moment même. Il attrape la main de sa femme et la lui tient pendant qu’elle continue ses va-et-vient sur mes doigts… Elle se contracte de plaisir, de plus en plus fréquemment, ses chairs serrent mes doigts, elle est au bord de la jouissance.



Je retire instantanément ma main de sous son cul, elle est trempée, Patrick regarde mes doigts luisants, ébahi. Anne réajuste ses vêtements le plus discrètement possible, se recoiffe et s’étire quand Thomas coupe le moteur. Je plonge ma main dans ma poche et essuie mes doigts sur le string noir : c’est une véritable éponge, ce string !


Le directeur du stage de voile nous accueille. Après les formalités d’usage, il nous guide jusqu’à la chambre de Thomas. Nous sommes en file indienne, Anne et moi en queue de peloton, dans les pas du directeur. Dans l’escalier qui mène à la chambre, Anne passe devant moi, après s’être assuré que personne ne la voyait, elle relève sa robe et me dévoile ses fesses. Ses lèvres sont encore luisantes de plaisir.


Nous embrassons tous Thomas et lui souhaitons un bon séjour. Puis nous nous dirigeons vers la voiture.


J’attendais ce moment avec impatience, peut-être qu’Anne et moi pourront enfin avoir une discussion, car nos échanges – verbaux – ont été plus que limités pour le moment.


Patrick me propose de prendre la place du passager, Anne va s’asseoir à l’arrière de la voiture. Après quelques conversations banales et un peu gênées, Patrick me lance :



Je ne me fais pas prier et passe instantanément sur la banquette arrière. La conversation tant attendue attendra encore un peu, j’arriverai bien à me passer des explications que je souhaitais sur leur attitude à tous les deux pendant encore quelques heures. La banquette, sans le matériel de Thomas a retrouvé toute sa largeur. Anne me tombe dans les bras. Nous nous embrassons à pleines bouches, nos langues se fouillent mutuellement. Dans le rétroviseur, Patrick nous observe du coin de l’œil.


Je pars sous sa robe à la recherche de ses fesses, si douces et si fermes à la fois, elles sont encore poisseuses de nos caresses de tout à l’heure. Anne quitte ma bouche et s’attaque à ma braguette, elle défait ma ceinture et fait glisser mon short sur mes chevilles. Mes pensées s’égarent, la peur d’être vu, je réalise alors que les glaces arrière de la berline sont toutes teintées. Rassuré, j’abaisse les bretelles de sa robe et dégrafe son soutien-gorge, sa robe est maintenant roulée autour de sa taille à la manière d’une ceinture. Sa chatte rasée me semble encore plus belle que la nuit passée. Sa vulve est d’un rose vif, encore marquée de nos moments coquins de la journée, ses lèvres brillent. Mes mains glissent à nouveau sous ses fesses pendant que la belle entame une fellation profonde sur ma queue.


Comme la veille, elle fait parler tout son talent dans ces moments, alternant des petits coups de langue sur le nœud de ma verge avec des explorations profondes où je peux sentir le fond de sa gorge qui m’avale entièrement. Mes doigts s’insinuent entre ses fesses, fourragent sa chatte avec vigueur, écartant ses grandes lèvres, dilatant ses chairs. Anne accentue les mouvements de sa fellation, elle sent ma verge gonfler dans sa bouche, signe d’une éjaculation imminente, elle quitte alors ma queue et vient m’embrasser à pleine bouche. C’est à mon tour de la goûter, je m’allonge comme je peux sur la banquette afin de poser ma bouche sur sa vulve. Je l’embrasse d’abord le long des cuisses, en remontant doucement vers son sexe, sa peau est si douce, son antre si accueillant, son odeur si attirante… Je finis par poser mes lèvres sur sa chatte, en écartant ses lèvres avec deux de mes doigts, de mon autre main, je titille ses tétons que je sens durcir petit à petit.


Je la lèche maintenant avidement, ma langue parcourt sa vulve de bas en haut. Quand j’atteins son clitoris, gonflé par le désir, je m’arrête pour y déposer un baiser et le sucer. Tout son corps se contracte et se cambre… Puis ma langue redescend vers ses lèvres dans lesquelles je glisse facilement tant elle est trempée.

Mes doigts continuent de lui titiller le clitoris.


Patrick m’interpelle :



Je lui tends mes doigts qu’il entreprend de lécher avidement.


À ce moment, Anne se relève et me fait asseoir sur le siège, elle vient s’asseoir par-dessus moi, offrant la vision de sa chatte écartée au rétroviseur de Patrick, et elle s’empale sur mon pieu. Sa douce chaleur m’enveloppe, elle tend son cou en arrière pour que nos langues se mêlent. Patrick baisse le rétroviseur pour porter sa vision sur la chatte de sa femme complètement impudique dans cette position. Anne ondule comme une tigresse sur moi. J’attrape ses seins et les malaxe en lui pinçant les tétons, j’avais déjà observé la veille qu’elle se contractait de plaisir à ce contact. Nous restons dans cette position, qui me permet de pilonner Anne à loisir. Pour accompagner mes mouvements, son bassin ondule d’arrière en avant afin de sentir ma queue au plus profond de son vagin. Elle s’avance soudain vers le siège avant pour embrasser son mari, je vois la langue de Patrick fouiller la bouche d’Anne. Je profite qu’elle soit dans cette position pour lui masser l’anus, il est de plus en plus détendu à chacun de mes coups de reins.


Soudain il cède, mon pouce s’insinue en elle profondément. Elle pousse un cri rauque de plaisir et explose. Elle se contracte et se cabre, ses jambes se mettent à flageller sur moi. Je vois sa main qui écrase celle de son mari, pendant que les ongles de son autre main me griffent les fesses.


N’y tenant plus, je la fais se relever car je vais exploser.


Elle vient positionner sa bouche sur mon sexe et reprend sa fellation, méticuleusement, ses grands yeux verts plongés dans les miens, elle attend ma jouissance. À nouveau ma verge se gonfle en elle, cette fois elle ne s’arrête pas, j’explose au fond de sa gorge, et m’avachis au fond de la banquette.


Elle se relève et entreprends d’avaler mon sperme, après quelques déglutitions, elle peut à nouveau parler. Elle réajuste ses vêtements, ses cheveux, enjambe la banquette avant et vient s’asseoir à côté de son mari.



Le fait qu’elle vienne d’avaler mon sperme ne semble pas le déranger outre mesure.



À suivre…