n° 16625 | Fiche technique | 64419 caractères | 64419Temps de lecture estimé : 36 mn | 03/02/15 corrigé 09/06/21 |
Résumé: La jeune fille aux joues délicieusement roses et aux formes « là où il faut » se présente en me lançant : je suis fille d'agriculteur « Label Rouge ». Voyant ma surprise, elle poursuit : mon père cultive de l'ail rose à Lautrec, un ail « Label Rouge »... | ||||
Critères: fh hplusag jeunes campagne hotel fête voyage douche intermast fellation cunnilingu pénétratio champagne humour | ||||
Auteur : Pierre Pesgraud, dit P2 (Un érotisme en décors naturels) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Itinérances Chapitre 01 / 08 | Épisode suivant |
Universitaire de formation, j’ai bientôt trente ans et je fais partie de la grande famille des célibataires convaincus. Physiquement parlant je suis d’une taille assez grande, avec des cheveux châtains coupés court et des yeux bleus mêlés de traces de vert.
Dans la vie j’ai plusieurs grandes passions : les sciences, l’Histoire, les voyages, les grandes balades à pied, et les discussions autour d’un verre où l’on peut facilement refaire le monde.
Il faut bien sûr y ajouter les femmes, de tous types, de tous âges, de toutes origines, de toutes professions, de toutes confessions… pourvu qu’elles soient belles, sensuelles… et accessibles. D’une manière générale, je les préfère plutôt quadras, cultivées, décidées, et sur le plan physique avec un peu plus qu’un peu moins.
D’un point de vue professionnel, je travaille depuis presque cinq ans dans un grand groupe lié à l’aéronautique, en tant qu’ingénieur de contrôle « assurance-qualité » itinérant. Mon rôle consiste à débarquer quasiment à l’improviste dans un service ou chez un sous-traitant pour vérifier la conformité aux règles internes : procédures, documents et programmation.
Je vérifie dans les faits beaucoup plus les formes que le fond, dans des missions « flash » d’une durée de trois à quatre jours sur site… quand il n’y a pas de problèmes.
Ce lundi 6 juillet 2009 au matin, le service qualité me demande de me tenir prêt à aller inspecter, dès le lendemain, un sous-traitant dont l’usine est à Castres, la ville de Jean Jaurès. Cette ville du Tarn de plus de quarante mille habitants est située à soixante-dix kilomètres de Toulouse, ville phare de l’aéronautique.
Comme d’habitude, notre bureau interne des voyages gère toute la logistique. Pour me rendre sur place, il me faut un peu plus de quatre heures de transport entre le taxi, l’avion et le trajet final en voiture de location.
Malheureusement, la ville de Castres affiche complet. La cause : les vacances de juillet et une grande manifestation économique. L’hôtel le plus proche en mesure de m’accueillir se trouve à Castelnaudary. Cette ville, capitale mondiale du cassoulet, est à plus de cinquante kilomètres de l’usine à contrôler.
Pour cette tournée d’inspection à caractère généraliste, l’ingénieur en chef de la qualité m’a dit sur le ton de la plaisanterie :
Ce à quoi j’ai répondu très décontracté :
Le mardi matin, départ de Paris-Orly à six heures vingt. Comme prévu, j’arrive près de Castres chez mon sous-traitant à inspecter presque trois heures plus tard. Ici, le patron est multi-fonctions, il a l’œil sur tout. À midi, ne pouvant pas m’accompagner au restaurant, il confie cette tâche à son épouse Bernadette qui m’emmène dans un coin magnifique des environs.
Cette femme cultivée, mère de trois enfants, est d’un commerce agréable. Elle me parle de la région, de son histoire et se propose de me faire inviter à une « soirée tapas » chez sa belle-mère qui en organise tous les dimanches, dès la fin de l’après-midi, autour de sa piscine, face à l’Agout. Un salon campagnard en quelque sorte.
J’accepte cette invitation avec les plus grandes réserves. En effet ma mission, sauf imprévus, est censée se terminer vendredi soir. De plus, le samedi soir, j’ai rendez-vous dans un bar à huîtres de Saint-Germain des Prés à Paris avec mon ami Karl, un vieux copain d’études et de bringue. Il doit m’y présenter une copine de sa copine, une Allemande de Dresde plus que timide, mais super bien bâtie, qui serait en manque complet de garçons et à la limite de la déprime. Comme le 14 juillet tombe un mardi, j’aurai un week-end prolongé pour lui remonter le moral. Mais tout cela est une autre affaire.
En contrepartie, une « soirée tapas » au bord d’une rivière, c’est aussi une chose sympa… surtout si de nombreuses femmes belles, sympas et disponibles y participent. Mais je dois faire attention à ne pas trop rêver : du fantasme à la réalité, il peut y avoir un certain écart, pour ne pas dire un écart certain.
Le repas de midi terminé, Bernadette me raccompagne à l’usine où je reprends mon travail de fourmi sur les logiciels de contrôle-qualité. En fin d’après-midi je découvre un certain nombre de défauts très mineurs qui, dans certains cas, conduisent à saisir deux fois une même information. Malgré tout, le risque d’erreur est des plus limités.
À l’extérieur, le temps est au plus beau avec un ciel bleu pâle sans nuages. Cela a pour effet d’abaisser le niveau de mon attention au travail et la rigueur de mes critiques. Les défauts découverts étant de très faible gravité, je décide de ne pas les mentionner sur mon rapport.
Je n’ai qu’une envie : c’est de rentrer à l’hôtel le plus tôt possible, de baratiner éventuellement une cliente désœuvrée avant le dîner, puis d’aller m’installer dans ma chambre la fenêtre grande ouverte pour continuer la programmation de mon logiciel. Les belles balades régionales et les aventures éventuelles seront pour plus tard : demain, si j’ai plus de pêche.
Je quitte l’usine de Castres vers six heures avec mon moral en bandoulière d’avoir à faire un si long trajet. Environ une heure plus tard j’arrive à mon hôtel de Castelnaudary. Quelle n’est pas ma surprise de voir que la rue et le parking de l’hôtel sont pleins et archi-pleins. La première idée qui me vient à l’esprit est que la manifestation de Castres en est la cause indirecte.
Une fois entré dans l’hôtel, mon premier geste consiste à réclamer les clés de ma chambre à l’hôtesse d’accueil :
Le temps de dire merci, de prendre mes clés, et me voici dans la chambre. La pièce est effectivement très grande ; on fait plus que facilement le tour du grand lit. À l’autre extrémité de la pièce, je vois une porte coulissante très large. C’est elle qui donne accès à la salle de douche qui fait à elle seule plus du tiers de la surface de la chambre. Au mur, une pomme de douche comme on en voit encore dans les anciennes piscines municipales. Une pomme qui doit débiter des quantités d’eau impressionnantes, et tout cela en appuyant sur un simple bouton.
Je me déshabille en deux coups de cuillère à pot, je me positionne sous la pomme de douche et j’appuie sur le bouton fatidique. Là, je ne suis pas déçu : un déluge d’eau à la température idéale s’abat sur moi. C’est une chose tellement agréable après une journée de voyage et de travail !
Après quelques minutes à me tourner à gauche et à droite, je me mets à penser à ma soirée de ce soir. Faire de la programmation, c’est bien, mais avoir une belle fille ou une belle femme dans cette grande chambre, ce serait mieux. Surtout après une telle douche revigorante.
Je me rhabille donc avec des vêtements tout propres et je retourne à l’accueil de l’hôtel. Je m’inquiète de savoir auprès de l’hôtesse le pourquoi du nombre si important de voitures dans le parking et de cette agitation ambiante :
En quelques secondes mon moral vire au beau fixe, comme le temps. J’adore ce genre de banquet, car généralement il y règne une ambiance du feu de Dieu. Mon travail à l’usine de sous-traitance de Castres est déjà bien loin.
D’un naturel curieux, je m’approche du bar et, comme à mon habitude, j’attaque d’entrée les hommes qui me semblent les plus âgés pour tisser un premier lien. Je lie aussitôt connaissance avec l’un d’entre eux qui se présente comme étant un ingénieur agro-alimentaire proche de la retraite. Il me parle des balbutiements de l’informatique, des premiers automatismes, des machines d’emballage automatique. Je l’écoute avec intérêt et nous sympathisons assez rapidement.
Au bout d’une demi-heure, une fois le terrain largement déblayé, il m’annonce sur un ton très amical en terminant son apéritif :
N’attendant que cela, j’accepte avec plaisir. Reposant son verre vide sur le comptoir, il m’invite à me diriger vers la grande salle où la plupart des convives sont déjà installés.
Bien que la moyenne d’âge de l’assemblée soit voisine du demi-siècle, voire au-delà, je repère une grande table dont un certain nombre des convives semblent avoir entre vingt et trente ans. Cette table est d’autant plus intéressante qu’il reste encore deux places assises qui semblent vacantes. Sans m’adresser à quelqu’un de particulier, je demande si je peux m’installer et on me répond que cela ne pose pas de problème.
Une fois assis, je me présente à l’ensemble des convives pour qu’on fasse plus facilement connaissance :
Une jeune fille d’une vingtaine d’années aux cheveux bruns mi-longs se présente à son tour avec beaucoup d’aplomb :
C’est la première fois de ma vie que je suis assis à côté d’une jeune agricultrice. Cette jeune fille aux joues un peu roses comme son ail respire la fraîcheur. La discussion engagée, je laisse beaucoup parler les autres avant de poser moi-même une question marquant mon intérêt pour la ville :
À ma table, l’ambiance est excellente. Il fait chaud, et le vin rosé du Tarn archi frais commence à faire des ravages un peu partout dans la salle. Après avoir fait longuement discourir ma jeune voisine de table aux joues roses sur sa vie, ses contraintes et ses loisirs qui s’avèrent peu nombreux, j’en viens à mon tour à parler de mes études et des différents « outils informatiques » que j’utilise.
Le repas se poursuit par le dessert, une délicieuse charlotte à la fraise. Ensuite arrivent des bouteilles de Blanquette de Limoux, offertes par les représentants de la cave coopérative. Le temps de faire sauter les bouchons et de remplir les flûtes, l’ensemble de la salle se lève afin de boire une « santé générale ». Une fois les flûtes vidées, puis reposées bruyamment sur les tables, ma jeune voisine me relance :
Je me lève de table avec Mélanie et je lance à tout le monde, à la volée :
Il nous faut moins d’une minute pour arriver dans ma chambre. Mélanie marque sa surprise en entrant :
Je me dirige vers la sacoche de mon ordinateur portable et je demande à Mélanie ce qu’elle veut que je lui montre en particulier.
Embrasser une fille ne se refuse pas, surtout quand elle est jolie. Je m’approche de Mélanie, je la prends dans mes bras, et avant d’avoir à préparer un tant soi peu le terrain, elle part à l’attaque avec une force et une vigueur peu communes. Cette jeune fille est nature. Elle écrase sa poitrine contre moi, ce qui empêche mes mains d’en faire plus ample connaissance. Sa bouche a encore le goût délicieux de la fraise. Mélanie en veut et en reveut. Sa langue se fait fureteuse, investigatrice, langoureuse, puis soudain passionnée, impétueuse, voire déchaînée. En deux mots : de la vigueur et de la jeunesse.
Le fougueux baiser terminé, et avant même de partir à l’exploration de cette jeune agricultrice « Label Rouge », je décide de reprendre un minimum d’initiatives en lui disant :
Je me dirige vers la douche et j’y trouve bien évidemment un bonnet en plastique transparent. Avant que Mélanie n’ait le temps de réagir et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je me déshabille et je mets la douche en marche.
Mélanie ne s’attendait sûrement pas à ce que les choses aillent aussi vite. Avant d’aller plus loin, elle me dit avec une prudence qui contraste avec sa décontraction précédente :
Mélanie me regarde ; je suis nu comme un ver, et la douche débite sur moi une quantité d’eau impressionnante. Contre toute attente, elle me déclare avec une naïveté peu commune :
De la fille si sûre d’elle il y a quelques minutes, j’ai maintenant en face de moi une fille qui ne sait plus trop quoi faire pour se déshabiller en gardant toute sa contenance. Après quelques secondes d’hésitation, elle décide de faire comme moi, un déshabillage express, un peu comme une sportive dans son vestiaire quand toute son équipe l’attend sur le terrain. Ce n’est pas des plus sexys, mais c’est terriblement efficace.
Au moment où elle s’apprête à entrer sous la douche avec son bonnet sur les cheveux, je la bloque avec mon bras tendu et lui enjoins avec une pointe d’ironie :
Puis, après l’avoir contemplée plusieurs secondes, je poursuis :
Puis avant même de passer à l’action, elle me demande avec beaucoup d’innocence :
Mélanie me dévisage en prenant tout son temps. Je sens une pointe de regret ou de peur dans son regard. Il est évident qu’un jeune ingénieur qui a déjà cinq ans d’activité a plus d’assurance et d’expérience de la vie qu’un étudiant, même en fin d’études :
Je prends Mélanie par les deux épaules, je la regarde droit dans les yeux, puis je commence à faire glisser lentement mes mains vers le creux de ses hanches. Sa peau est particulièrement douce, de petits frissons parcourent son corps. Je profite de la situation pour lui lancer en boutade :
Mélanie a des fesses très fermes et toutes rondes, un peu comme certaines femmes africaines. Je les prends à pleines mains, je les frictionne, je les malaxe, je les pétris, je les triture, je les maltraite quelque peu tellement je les serre fort. C’est un vrai plaisir de tenir une jeune fille aussi fraîche dans ses bras, une jeune fille aux fesses et aux cuisses « Label Rouge ».
Ma fougue de fesses et de cuisses très provisoirement calmée, je me mets à laver Mélanie avec le gel douche de l’hôtel parfumé aux agrumes. C’est une odeur qui lui va parfaitement. Soudain, sans prévenir, elle s’éloigne de la douche et me dit, un peu affolée :
Très curieusement, avec cette fille je ne sais pas très bien par où commencer. D’habitude, je n’ai pas ce problème avec mes quadras. Je suis l’élève et elles sont le professeur. Mais aujourd’hui, c’est l’inverse.
Une autre chose m’étonne avec Mélanie : cette alternance d’aplomb et de manque d’assurance, voire de timidité. De plus, c’est bien la première fois de ma vie qu’une fille me demande de l’embrasser, sans préalable, au prétexte qu’elle n’a jamais connu d’étudiant en sciences.
Soudain j’ai un doute : et si cette fille était pucelle, et si elle avait décidé de franchir le grand pas aujourd’hui en injectant toute son énergie ? En réfléchissant plus avant, je trouve mon hypothèse un peu bancale, car même dans le petit village de Lautrec, une fille doit avoir connu d’autres hommes à vingt ans… Et si elle n’avait pas vingt ans… Et si elle était mineure et qu’elle n’ait que seize ou dix-sept ans… Tout cela demande une vérification des plus sérieuses avant de commettre l’irréparable. Depuis que je suis majeur, je ne suis plus ressorti avec une mineure, et aujourd’hui il n’y aura pas d’exception. Une règle, je dirais même une charte personnelle, cela se respecte, quoi qu’il puisse en coûter.
Je décide donc de sortir de la douche sans aller plus loin. J’essuie Mélanie, je la frictionne avec mon eau de lavande que j’emporte toujours avec moi et lui demande de suite après :
Je commence à être un peu plus rassuré sur son âge. Comme elle a déjà son bac pro et qu’elle a beaucoup d’assurance, elle doit avoir très certainement aux alentours de dix-huit dix-neuf ans. Avant de passer aux choses beaucoup plus sérieuses, je lui lance une dernière boutade :
Drôle de fille quand même, une sorte de première de la classe, mais tellement bien bâtie. Il n’y a pas que ses fesses, tout son corps est « Label Rouge ». Je reste dans mes pensées quelques instants en la contemplant, quand soudain elle me demande avec une assurance déconcertante :
Une fois de plus je décide de reprendre la main. Cette fille agit comme si elle avait fait un pari avec une de ses copines, voire même comme si elle s’était fixé un objectif à atteindre coûte que coûte :
Le moment de passer aux choses sérieuses est enfin arrivé. Je demande à Mélanie de s’allonger sur le lit en se mettant sur le ventre, puis j’ajoute :
Mélanie s’allonge sur le ventre et je peux la contempler. Elle a vraiment une chute de reins et un cul magnifiques. Je me mets à côté d’elle et je lui prodigue mes premiers conseils :
Mélanie s’exécute. Je prends tout mon temps pour caresser ses cuisses, ses fesses, le creux de ses reins et tout son dos, sans prononcer une parole. Ce n’est que beaucoup plus tard que j’aventure ma main vers ses zones plus intimes que l’on appelait « centre opérationnel de plaisir » quand j’étais étudiant. En passant délicatement mon doigt le long de ses grandes lèvres, je constate à l’évidence que le mot humidité est faible. Ce ne sont pas encore les grandes eaux, mais on n’en est plus très loin. Le simple fait d’effleurer ces zones la fait frissonner de tout son long.
La chatte de Mélanie, puisqu’il faut bien l’appeler par son nom, commence à s’ouvrir. Elle n’attend que la visite de mes doigts dans un premier temps et, j’en suis sûr, une visite plus virile par la suite. Je ne veux pas caresser son clitoris tout de suite, car je veux la faire patienter quelque peu, bien que je sente que sa résistance a des limites.
En poussant un peu plus loin mes investigations, je me rassure complètement : Mélanie fait bien partie de la grande famille des femmes qui ont connu le grand méchant loup, et non de celles qui aspirent à le découvrir.
Après mes premières explorations préliminaires, je m’apprête à introduire mon pouce au plus profond de sa chatte et, au moment où je commence à appuyer, je sens comme une petite résistance à l’intérieur, pas encore bien forte, mais prometteuse. L’heureuse surprise arrive quand après l’avoir entré à fond, je commence à le retirer. Mélanie se contracte et tente de l’en empêcher. La situation est des plus excitantes, j’adore ce petit jeu.
Malheureusement pour moi, il est clair que je ne vais pas pouvoir jouer aussi longtemps que je l’aurais souhaité. Le corps de Mélanie présente de nombreux signes d’impatience dans sa quête de plaisir. Les contractions à répétition de ses cuisses et de ses fesses en sont les signes précurseurs les plus évidents.
C’est Mélanie elle-même qui me sort de mes réflexions érotico-philosophiques en me demandant avec une voix suppliante :
Le pouce bien au chaud dans l’onctuosité de sa chatte, je rapproche mon index de son clitoris que je commence à masser avec beaucoup de délicatesse.
En garçon obéissant, je m’exécute immédiatement. Là, j’assiste à un spectacle formidable. Mélanie se met à bouger tout le bas de son ventre avec une fougue que ma main a du mal à suivre. J’ai comme l’impression qu’elle fait l’amour à un être invisible qui serait installé sous elle.
Allongé à côté d’elle, je passe mon bras sous son ventre pour la serrer au maximum. J’adore observer un visage quand le regard devient fuyant. Avec des femmes plus âgées, je ralentis volontairement mes caresses pour retarder l’apparition du bouquet final. Avec Mélanie, je renonce à le faire. Je ne suis pas certain qu’elle maîtrise suffisamment son corps pour apprécier des débuts de frustrations suivis très rapidement d’un redémarrage d’excitation.
Le moment tant attendu arrive : un orgasme très fort mais de courte durée, suivi de suite après par de nombreuses contractions plus modestes au niveau du bas de son ventre. Le spectacle est des plus sympathiques à observer. La respiration de Mélanie reste très saccadée, ponctuée de quelques râles bien sonores. Les voisins doivent s’en rincer l’oreille s’ils se trouvent déjà dans leur chambre.
Le dernier soupir et la dernière contraction passés, Mélanie se tourne sur le côté et me sourit sans rien dire. Elle fait partie des personnes qui partent vite et qui reprennent encore plus vite leurs esprits. Dans cette nouvelle position, je trouve ses fesses encore plus arrogantes. Je me redresse à côté d’elle et lui donne une vigoureuse claque au milieu de sa partie charnue. Mélanie pousse un petit « Aïe » très raisonnable et me demande :
Je me saisis des deux gros coussins qui sont sur le lit et je les dispose sous ma tête. J’adore cette position où je suis à la fois presque allongé et où je peux tout observer sans avoir à faire d’efforts.
Cette dernière affirmation me fait sourire. J’apprécie énormément l’écart qu’il peut y avoir entre les mots prononcés par Mélanie et le ton sur lequel elle les prononce. Mélanie se glisse vers le bas de mon ventre. Sa bouche se penche vers mon sexe et lui donne un rapide coup de langue, un peu comme si mon sexe était une belle glace à l’italienne. Je laisse faire, mais je ne peux pas agir. En effet son corps est trop éloigné de mes mains pour que je puisse les laisser vagabonder là où bon leur semble. C’est pourquoi je lui demande gentiment :
Mélanie s’exécute. Dans cette position, je me laisse complètement faire. J’ai un accès complet à ses fesses, à ses cuisses et à sa chatte. En faufilant une de mes mains, je pourrais même avoir accès à l’un de ses seins, mais ce n’est pas ma préoccupation du moment. Va-t-elle me faire jouir avec sa bouche ou avec ses mains, ou avec un peu des deux à la fois ? La réponse ne saurait attendre très longtemps, compte tenu de mon état d’excitation.
Ma main « prend son pied » avec les fesses rondes, fraîches et fermes de Mélanie. Moi, le non expérimenté avec les post-ados, je suis en train de revenir sur ma position. À la technique des quadras et à l’expertise des quinquas s’oppose la fraîcheur d’une première de la classe qui, à défaut d’expérience, m’offre toute sa jeunesse, sa sincérité et sa naïveté. Bien que n’ayant pas encore trente ans, je suis heureux de pouvoir lui offrir les quelques années de pratique dont j’ai déjà pu bénéficier.
Alors qu’avec une femme dans la force de l’âge je me serais laissé partir sans problème bien au chaud dans sa bouche, avec Mélanie j’ai repoussé délicatement sa tête sur le côté et je me suis répandu sur mon ventre. Elle s’est laissé faire et a pu ainsi contempler avec une satisfaction non dissimulée le fruit de son labeur.
Une fois ces premiers travaux manuels complètement terminés, un mix des fameux blowjobs et handjobs de nos amis anglo-saxons, Mélanie s’assied en tailleur à côté de moi et me lance, le sourire en coin :
Je trouve touchant que Mélanie me parle ainsi de son copain. Je la regarde assise à côté de moi : son dos est très droit et ses seins pointent droit devant, à l’équerre, avec impertinence. Je peux les prendre à pleines mains. Ils sont doux et fermes à la fois. Je laisse vagabonder mon esprit quand tout à coup je prends conscience que l’heure tourne beaucoup plus vite que souhaité.
Quitter Mélanie dans une heure environ est une véritable catastrophe. On a eu à peine le temps de commencer les hostilités qu’il faudrait déjà songer à partir. C’est pourquoi je prends les devants et lui demande :
Mélanie, très satisfaite, quitte la position assise pour s’allonger à côté de moi et se blottir dans mon cou. Je sens ses seins sur ma poitrine et sa chatte trempée sur ma cuisse. Son corps est brûlant. Dans cette position, mon bras n’est pas assez long pour atteindre ses fesses. Peu importe, je me contente de la caresser sur le côté. C’est alors qu’elle me demande avec une voix cachant mal sa surprise :
La proposition que me fait Mélanie est intéressante à double titre. Je gagne d’une part une heure et demie de temps de transport, et d’autre part une très belle fille dans mon lit. Par contre, je me dis que ce serait ridicule de continuer à payer l’hôtel et le petit déjeuner. Il faudrait donc que Mélanie ou quelqu’un d’autre puisse me faire une facture de type chambre et table d’hôte. C’est ce que je propose immédiatement à Mélanie sur un ton qui n’admet aucune contestation :
Mélanie se redresse et me réplique avec étonnement et désapprobation :
C’est alors que je me vois dans l’obligation de lui donner un minimum d’explications :
Ayant une pensée particulière pour le jeune copain de Mélanie qui semblait apprécier les gentillesses qu’elle lui prodiguait, je lui dis en toute simplicité :
Le temps s’avançant dangereusement, je coupe Mélanie dans ses explications :
Puis, après un petit temps de réflexion elle poursuit, très sûre d’elle :
Mélanie vient de prononcer la phrase de trop. Je suis désormais certain qu’elle n’a pas vingt ans. Comment pourrait-il en être autrement ? Les premiers de la classe s’arrangent toujours pour passer leur permis dans les semaines qui suivent leurs dix-huit ans. Mélanie fait forcément partie de cette catégorie, avec un bac qui frise les félicitations et une ambition démesurée.
Je n’ai pas l’expérience de ce genre de situation. C’est la première fois que je sors avec ce genre de fille. Je suis à la fois déçu et en colère ; c’est pourquoi je lui déclare sans ménagement :
De longues secondes se passent sans réponse de sa part. Le silence devenant très pesant, je reprends mes réprimandes sur un ton cette fois-ci beaucoup plus paternaliste :
L’argument de l’aménagement de la chambre au-dessus du hangar me convainc, c’est pourquoi je rajoute :
Mélanie et moi nous nous rhabillons. J’oublie de mettre mes chaussettes, mais peu importe, cela m’évitera tout à l’heure d’avoir à les enlever. Les cheveux en bataille, Mélanie se dirige vers la salle de réception et moi vers le comptoir d’accueil. J’informe l’hôtesse de mes intentions. Elle me sourit et me dit :
Quelques instants plus tard, l’hôtesse arrive avec une bouteille et deux flûtes. Elle me déclare en me les tendant :
J’entre en premier dans la chambre et je remplis les flûtes de Blanquette. Quelques minutes plus tard c’est au tour de Mélanie d’arriver. Je lui tends sa flûte ; elle est à la fois surprise et émue :
Mélanie se saisit de sa flûte, tend son verre vers moi et me dit avec son sourire retrouvé et quelque peu coquin :
Mélanie a l’air de tenir la forme, la vraie forme, tout comme moi du reste. Elle me lance, très sûre d’elle, avec une pointe de domination :
Très calmement, Mélanie s’approche de la chaise, enlève ses chaussures à lanières, commence à baisser son pantalon, puis s’assied. Ce n’est pas un strip-tease, mais quelque chose qui y ressemble. Mélanie enlève alors délicatement son pantalon, le plie, se lève et le pose soigneusement sur le dossier de la chaise. Elle se tourne vers moi, me sourit et enlève délicatement les boutons de son chemisier. Les sous-vêtements de Mélanie sont simples et sans prétention, mais ils mettent parfaitement son corps en valeur. Comme je me contente de la détailler, ma flûte de Blanquette à la main, elle me pose la question :
Mélanie entre dans le lit et s’assied avec un grand coussin dans le dos. Elle dégrafe son soutien-gorge et me le tend en me demandant :
En deux coups de cuillère à pot, Mélanie enlève sa petite culotte et me la tend en disant :
Fidèle à mes habitudes, il ne me faut que quelques secondes pour me déshabiller complètement : une chemise, un pantalon, un petit slip, mais pas de chaussettes… Je pose le tout sur la table de la chambre avec moins de précautions qu’en avait prises Mélanie et je bondis dans le lit.
Je fais un aller et retour express pour aller les chercher dans ma trousse de toilette et les poser sur la table de nuit. Je peux enfin prendre Mélanie dans mes bras et l’embrasser. Ce mélange de fraîcheur et de passion m’excite au plus haut point et m’incite à partir à l’exploration de nouveaux horizons.
Je fais sauter le drap de lit sans ménagement pour avoir toutes mes aises et admirer encore et encore le corps de cette fille. Je glisse ma tête lentement et avec précaution tout le long de son corps en la couvrant de baisers. Sa peau a un goût exquis. Arrivé au niveau de ses cuisses, je les écarte délicatement pour m’installer confortablement au niveau de sa zone la plus sensible.
La chatte de Mélanie est rose brillant. Je lui donne de petits coups de langue en évitant son clitoris qui est sûrement trop sensible. Il va falloir qu’il attende un tout petit peu. Je veux juste tout déguster avant de la pénétrer et de m’y installer le plus longtemps possible. Mélanie est brûlante et onctueuse, elle est en eau. J’ai peur qu’en insistant trop avec mes caresses elle ne puisse plus se retenir. C’est à cet instant que Mélanie me sort de mes pensées et me demande tout simplement :
Je remonte à côté de Mélanie ; son regard est déjà fuyant. Je prends la boîte de préservatifs, j’en sors en et le mets moi-même. Quel dommage que d’avoir à utiliser ce genre de chose ! Le plaisir est quand même plus fort sans cette protection, mais la question n’a pas à être posée.
Je m’allonge sur Mélanie, et avec sa main elle me positionne là où il faut, à l’entrée de sa chatte. J’entre. Quelle chaleur, quel bien être ! Mélanie se laisse faire ; seules sa bouche et ses mains participent à mon action, et c’est tant mieux. Nos excitations sont à leur comble. J’essaie de faire durer au maximum ce que nous ressentons. Mélanie part en premier ; elle sort des propos incohérents. Avec ses bras elle s’agrippe très fort à moi et me griffe un peu le dos. Je laisse faire. C’est tellement agréable de faire jouir une fille comme elle, de sentir son corps qui se contracte et ses muscles qui tremblent… L’orgasme terminé, il ne faut que quelques minutes pour qu’elle retrouve ses esprits. Elle me déclare alors en toute innocence :
Même sans les conseils de Mélanie, je n’aurais pas tenu bien longtemps. Quelques minutes après elle, c’est à mon tour de me retrouver dans une grande vague de plaisir. Trop courte à mon avis, bien trop courte. C’est toujours à cet instant que j’ai une pointe de jalousie, ou plutôt d’envie à l’égard des femmes qui arrivent à faire perdurer leur plaisir incroyablement plus longtemps que le nôtre.
L’instant magique complètement passé, c’est une Mélanie en très grande forme qui se détache de moi et me dit :
Mélanie est radieuse, l’après-jouissance lui va à merveille. Elle se lève avec beaucoup de féminité, remplit les flûtes et me tend la mienne. À ma grande surprise, elle la boit cul-sec.
Je m’assois dans le lit avec mon gros coussin dans le dos et la flûte à la main. Je souhaite la déguster à toutes petites gorgées pour faire perdurer ce plaisir aussi. Mélanie revient à côté de moi et en profite pour venir se blottir sur mon épaule. C’est le genre d’instant où j’aime penser à rien. Ma main libre peut aller librement sur le haut du corps de Mélanie, le bas de son dos en particulier.
Ma flûte reposée sur la table de nuit, je pourrais facilement m’endormir dans cette position, car un peu de repos me ferait le plus grand bien. Demain matin, on doit se lever vers six heures et demie pour être à Lautrec sur le coup des huit heures. Mais Mélanie est une infatigable bavarde :
Mélanie se remet en tailleur à côté de moi. J’adore sa manière de s’asseoir. C’est alors qu’en grande bavarde, elle reprend la conversation :
J’écoute les paroles de Mélanie d’une oreille un peu fataliste. J’aurais bien poursuivi mon aventure avec elle au-delà de trois nuits. Ne serait-ce que pour fêter ma première aventure avec une fille aussi jeune, aussi fraîche et aussi bien bâtie. Les quadras d’expérience et de pouvoir, je remettrai ça à un peu plus tard.
Tout à coup me revient à l’esprit le problème de double saisie sur le logiciel de mon sous-traitant. C’est un vrai miracle : je tiens le bon bout ! Je vais téléphoner dès demain matin à mon responsable parisien pour lui dire que j’ai découvert un « manquement mineur » à nos règles de qualité, mais un « manquement » quand même. Je vais donc demander l’autorisation de rester deux jours de plus pour régler le problème moi-même. Le logiciel étant écrit sous Access, cela rentre parfaitement dans mes attributions.
Compte tenu de ce long week-end du 14 juillet, cela fera six jours et six nuits en plus au total, dont deux avec Mélanie, ce qui est loin d’être négligeable.
Le dimanche soir il y a l’invitation à la « soirée tapas » chez la belle-mère de Bernadette. Si je me débrouille bien, je peux y faire la connaissance d’une célibataire ou d’une divorcée pour occuper la fin de ce long week-end. Sinon, je consacrerai mes soirées au développement de mon logiciel ; je lui fais beaucoup d’infidélités depuis quelque temps.
Tout est donc bien qui finit bien. Il ne me restera au final qu’à demander à mon ami Karl de déplacer d’une semaine notre rendez-vous parisien. La grande déprime de l’Allemande de Dresde qu’il doit me présenter n’en est plus à une semaine près.
Je suis donc en mesure d’annoncer très fier à Mélanie :
Mélanie est rayonnante, mais moi je suis fatigué. C’est un peu normal quand on est un vieux de trente ans et qu’on s’est levé la veille à cinq heures du matin. À mon téléphone, il est déjà plus d’une heure ; l’heure du repos est donc bien arrivée.
Alors que j’ai l’impression de ne pas avoir beaucoup dormi, Mélanie me secoue un petit peu et me demande :
C’est la phrase qui tue. Je ne peux que répondre, la voix extrêmement pâteuse et d’une humeur douteuse :
Je prends mon téléphone en main et je constate que si j’ai bien réglé l’heure, je n’ai pas activé la sonnerie. C’est donc normal qu’il ne se soit rien passé. Je me lève péniblement et me dirige vers la douche en titubant. Dès que l’eau se met à couler à flots, le miracle se produit : je reprends complètement mes esprits.
Mélanie arrive dans la salle de douche ; elle est encore à moitié dans les « vaps ». Ne réalisant pas qu’on est dans une douche à l’italienne et donc qu’il y a de l’eau partout, elle glisse mais ne tombe pas.
Je trouve dommage d’être aussi pressé ce matin. J’aurais tant aimé faire des bêtises avec Mélanie sous cette grande douche, mais faute de temps ce n’est pas possible. Mais ce soir il va peut-être y avoir une autre douche à découvrir, celle qui se trouve dans la chambre de Mélanie, au-dessus des tracteurs.
Castelnaudary
Capitale mondiale du cassoulet
Le grand bassin du canal du midi
Site officiel : http://www.ville-castelnaudary.fr
Office de tourisme : http://www.castelnaudary-tourisme.com
Le canal du midi : http://www.canaldumidi.com/
Castres
Musée Jean Jaurès
Musée Goya
Maisons sur l’Agout
Site officiel : http://www.ville-castres.fr
Office du tourisme : http://www.tourisme-castres.fr/
Lautrec
Appellation : « Les plus beaux villages de France »
Appellation : « Sites remarquables du goût »
Production d’ail rose « Label Rouge » et « IGP »
Site officiel : http://www.lautrec.fr/
Site de l’ail rose: http://www.ailrosedelautrec.com
Lavaur
Cathédrale Saint-Alain
Site officiel : http://www.ville-lavaur.fr/
Lycée agricole de Lavaur : http://www.tarn.educagri.fr/lpa/index.php
Peyrepertuse
Le plus beau des châteaux cathares
Site officiel : http://www.chateau-peyrepertuse.com
Site départemental : http://www.payscathare.org/
Michelin Voyage : https://www.youtube.com/watch?v=0lu2i9smfG4
81100 Castres - 31000 Toulouse : 71 km
81100 Castres - 11400 Castelnaudary : 47 km
81100 Castres - 81440 Lautrec : 15 km
81440 Lautrec - 11400 Castelnaudary : 54 km
81440 Lautrec - 81500 Lavaur : 32 km
81440 Lautrec - 11350 Duilhac-sous-Peyrepertuse : 156 km