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n° 16627Fiche technique19053 caractères19053
Temps de lecture estimé : 12 mn
05/02/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Il menait depuis quelques années une double vie. Et cela n'était pas sur le point d'arrêter...
Critères:  fh extracon collègues hotel voiture facial fellation pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Sweetguyqc            Envoi mini-message

Série : Du plaisir interdit

Chapitre 01 / 08
Premières aventures

Il allait lui dire de ralentir. Car s’il y a bien une chose qu’il souhaitait à ce moment bien précis, c’était que cet instant dure pour toujours. Bien installé dans le siège du passager de sa petite voiture stationnée sur une rue tranquille proche de sa résidence où sa conjointe l’attendait, il recevait une de ces pipes dont elle avait le secret. Depuis qu’ils s’étaient rencontrés au travail il y a de cela trois ans, cette relation en était devenue une remplie de sexe et de moments volés comme celui-ci. Que c’était bon d’être sur la route, parfois.


Penchée sur lui, elle l’avalait goulûment. En mettant beaucoup de salive, comme il l’appréciait grandement. Sa langue bougeait soigneusement sur l’extrémité de sa queue, juste avant qu’elle ne l’avale de nouveau, la mettant au complet dans sa bouche si chaude. Lorsqu’elle le branlait en même temps, c’était le paradis. Il baissa légèrement la vitre et s’alluma une cigarette. Il voyait dans la pénombre son visage s’éclairer et disparaître de nouveau dans la noirceur, selon qu’elle la sortait de sa bouche ou qu’elle la reprenait au complet.


Il prit une grande bouffée et l’inhala. Lorsque ce serait terminé, elle lui demanderait probablement s’il envisageait de quitter sa blonde. Et lui dirait qu’il savait très bien que jamais personne ne pourrait le sucer comme ça de toute sa vie. Il chassa ces pensées de son esprit et se concentra sur le moment présent.


Il sentait qu’il ne mettrait plus long à lui remplir la bouche de sperme bien chaud. Il sentait son orgasme approcher. Et il avait une envie animale de jouir. Il voulait sentir toutes les gouttes de son jus sortir et lui tapisser la bouche et la gorge. Il laissa la cigarette tomber par la fenêtre de la voiture et mit ses deux mains sur la tête de la fille qui lui procurait tant de plaisir. Il commença à lui imprimer un mouvement plus rapide et baisa littéralement sa bouche. Lorsqu’il sentit que c’était inévitablement le moment, il lui demanda :



Elle lâcha alors sa queue et un mince filet de bave s’étira de son gland jusqu’au coin de ses lèvres. L’œil animal, elle répondit :



Il ferma alors les yeux et lui rabaissa la tête des deux mains sur sa queue.


Il n’eut même pas besoin de la baiser. Elle allait au-devant et lui administra une solide branlette, la queue bien en bouche. Il jouit si fort qu’il crut qu’il allait s’évanouir. De très longues rasades de sperme brûlant se succédaient dans la bouche de sa jolie receveuse. Il sentit sa bouche déglutir, signe qu’elle n’en manquait pas une goutte. Cela prit de longues minutes pour qu’elle avale tout, et ce n’est qu’une fois fini qu’elle lâcha sa queue, maintenant molle, pour se redresser.


Elle l’embrassa, sa bouche ayant ce goût maintenant si familier et lui demanda s’ils se reverraient bientôt. Il lui dit que oui. Sans plus attendre, il sortit du véhicule et prit la direction de son appartement. Il entendit la voiture s’éloigner. S’arrêtant sous un lampadaire, il sortit son paquet de Dunhill. Il se dit qu’il n’y avait définitivement rien de mieux qu’une cigarette après la jouissance. Il se demanda combien de temps tout cela pouvait durer. Chassant ces pensées, il reprit son chemin.


Il fut chez lui quelques minutes plus tard. Il prit une longue douche brûlante. Sans savoir pourquoi, il passa de longues minutes à se savonner le pénis. Il aimait bien avoir la queue propre. Surtout après ce genre de chose. Lorsqu’il se coucha, elle dormait à ses côtés. Il ne fut pas long à dormir à poings fermés. Le sourire aux coins des lèvres…





Comme toutes les fois, les matins se suivaient et surtout se ressemblaient : il faisait comme si de rien n’était, et il réussissait très bien. Il ne pouvait s’enlever de la tête qu’il ne serait jamais en mesure de dire non au sexe. Et il avait toujours une petite pensée pour les Romains durant ces moments. Tout semblait si simple pour eux. Il aimait sa blonde. Mais il aimait plus le sexe.


Au réveil, il se fit un espresso bien tassé et il s’habilla, le cœur léger. Il ne pouvait s’enlever de la tête qu’il avait très hâte de sa prochaine pipe. Son pénis devint dur juste d’y penser.


La journée fut remplie de réunions mais il se surprit à être très excité. Chacune des femmes qu’il voyait lui sembla prête à plus, certaines encore plus que d’autres. Il ne manqua pas un décolleté et pas une marque de string sous une jupe bien serrée. Sa secrétaire, qui travaillait pour lui depuis à peine quelques mois, était celle qui accaparait le plus son regard. Avec sa petite jupe et son décolleté juste assez plongeant, elle lui semblait parfois être un fruit mûr qui n’attendait que d’être cueilli. Il adorait ses cheveux roux et ces lunettes que l’on associe généralement exactement au poste qu’elle occupait. Il l’imaginait à genoux, la tête légèrement penchée en arrière, pendant qu’il lui répandait son sperme sur le visage. Il prendrait un plaisir fou à viser les verres de ses lunettes. Il retourna à son travail avec une semi-érection de plus en plus désagréable.


Juste après le dîner, il reçut un message texte de sa maîtresse :


13:22 - Je voudrais goûter encore ton sperme. Il était chaud et sucré. J’ai dû aller me doigter tantôt pour être en mesure de travailler.


Sa semi-érection se transforma instantanément en une érection complète. Bien assis à son bureau, il pensa à sa réponse. Elle vint vite.


13:24 - Tu en aurais beaucoup. Je bande juste à penser à ta bouche.

13:25 - Tu veux me venir sur les seins ce soir ? J’ai envie de toi.

13:25 - J’ai envie de tes fesses.

13:26 - Au motel. Je te laisse prendre mon cul si tu éclates sur mes seins.

13:27 - OK. 19 h


Elle termina en lui envoyant une photo de sa poitrine, bien au chaud dans un soutien-gorge de soie noire. Son 36D était excessivement bien mis en valeur. Cette journée serait très longue. Il mit son agenda partagé du bureau à jour, le mettant en rencontre avec un client potentiel à partir de 19 h. Il envoya ensuite un texto à sa blonde lui disant qu’il travaillerait tard. Elle répondit vite qu’elle comprenait et qu’elle allait de toute manière s’entraîner. Il retourna à ses dossiers, l’esprit vagabond.





Il quitta le bureau à la même heure que d’habitude, mentionnant à sa secrétaire qu’il serait au bureau de bonne heure le lendemain. Jamais sa vie personnelle ne prendrait le dessus sur sa vie professionnelle, et il devrait reprendre le lendemain le travail qu’il n’aurait pu faire ce soir. Son adjointe le gratifia d’un grand sourire en lui souhaitant une bonne soirée. Savait-elle ? Sûrement. Mais il ne s’en préoccupait pas. Après tout, la seule chose qu’il lui avait demandée en l’engageant était une discrétion totale. Et elle s’en était montrée digne jusqu’à maintenant.


Il réussit à éviter le gros du trafic en quittant l’île et alla au même restaurant que toutes les fois qu’il avait ce genre de rendez-vous. Le maître d’hôtel l’installa à la même table et il attaqua rapidement son premier scotch en attendant son steak, parcourant le journal d’un œil distrait.


Il avait quasiment fini son repas et son troisième verre lorsque son iPhone émit un son.


18 h 24 - Je t’attends. J’ai hâte de te sucer.



Il régla l’addition et sortit dans le froid.





Lorsqu’il arriva au motel, il se stationna proche de la réception dans la grande cour intérieure. La vieille dame visiblement désabusée accepta son paiement pour un séjour de type « sieste » et lui dit que sa femme était déjà arrivée. Il la remercia et retourna dans sa voiture. Il récupéra un petit sac. À l’intérieur, il y avait des condoms.


Il déverrouilla la porte de la chambre du deuxième étage et s’engouffra rapidement à l’intérieur. Elle l’attendait sur le lit, simplement vêtue d’un string noir et d’un soutien-gorge en soie de la même couleur. Couchée sur le ventre, elle était plus que désirable. Il enleva son manteau, son veston. Il dénoua sa cravate pendant qu’elle le regardait en souriant. Elle se lécha les lèvres.


Il finit de se déshabiller et se coucha à ses côtés, dans les draps fraîchement lavés. Elle vint l’embrasser dans le cou, et sans plus de préambule saisit sa queue déjà bien dure. Elle se mit à le branler délicatement mais fermement. Il ferma les yeux.


La première chose qu’il sut, c’est qu’elle se plaça entre ses cuisses, à quatre pattes, et lui lécha les testicules tout en continuant de le branler. Il ne voulait qu’une chose : être dans bouche. Comme si elle l’avait senti, elle avala son gland puis la reste de sa queue d’un seul mouvement et se mit à lui faire une pipe dont elle seule avait le secret. Bien baveuse, sa queue devint dégoulinante très rapidement pendant qu’elle se démenait à la faire durcir encore plus, comme si la chose était possible. Il dut même penser à autre chose pour ne pas éclater trop rapidement. Son mouvement de tête sur sa queue était juste trop divin, et que dire de son mouvement de poignet… Ces deux composantes associées faisaient d’une pipe normale une pipe digne des meilleurs films X.


Elle modifiait la vitesse et la profondeur avec une précision chirurgicale. En fermant les yeux, il pouvait facilement croire que trois déesses s’occupaient de sa queue en même temps.



Il ne se donna même pas la peine de répondre et sortit du lit. Il se dirigea vers son veston et prit un condom. Il déchira le paquet avec ses dents et en extirpa l’instrument. Il le plaça sur son gland et tout en le maintenant en place, il le déroula sur sa queue. Elle était si humide que cela se fit aisément. Il se retourna vers le lit et il vit qu’elle l’attendait. Elle avait retiré son soutien-gorge et son string et elle était couchée sur le dos, sur le bord du lit. Elle maintenait ses jambes repliées sur sa poitrine. Il toucha sa chatte, et c’était tout simplement brûlant. Et surtout, elle était si humide que cela lui coulait sur les cuisses, mouillant son anus et un peu le lit. Ses seins dont il appréciait tant le volume était écrasés par ses genoux. Elle n’attendait que cela.


Il mit ses mollets sur les épaules et tout en tenant ses deux pieds, il la pénétra d’un seul coup. Elle poussa un petit gémissement, et sans la laisser reprendre ses esprits, il se mit à la marteler de grands coups de queue. Ses seins, d’un volume parfait mais fermes, se mirent à suivre la cadence et il les empoigna bientôt, ce qui décupla son plaisir. Il enchaînait les grands coups amples aux petits coups précis. Elle lui mentionna après quelques minutes qu’elle allait jouir, et sans terminer sa phrase, son corps se raidit. Elle essaya de parler mais n’en était pas capable. Et il ne l’aida pas. Il la baisa tellement fort que le lit bougea. Elle cria bientôt son orgasme si fort que cela l’encouragea à continuer de plus belle. Lorsqu’elle atteignit le paroxysme de sa jouissance, il s’immobilisa bien profond en elle, et il la laissa savourer le moment. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, il se retira tranquillement. Debout sur le bord du lit, la queue recouverte, mouillée à souhait, il le regarda.



Il sourit. Au loin, dans la chambre faiblement éclairée par une des lampes de chevet, il aperçut l’heure. Cela faisait trente minutes qu’il la baisait de la sorte. Et il n’avait pas joui. Il ne se sentait même pas proche d’éjaculer. Cela augurait très bien.


Elle se tourna et se plaça à quatre pattes, toujours sur le bord du lit.



Il observa le charmant cul qu’il avait à sa disposition. Sa queue semblait ne pas vouloir débander. Il mouilla son index et le plaça sur l’anus qu’il ne voyait que trop bien. Elle poussa un petit gémissement. Son doigt tourna sur ce petit trou et il déplaça à quelques reprises de sa mouille sur ce passage qu’il allait avoir tant de plaisir à conquérir. Il inséra tranquillement son doigt et sa proie dandinait déjà du cul. Elle poussait de petits sons et ne semblait qu’attendre le moment fatidique. Il retira son doigt et présenta sans plus tarder son gland. Il poussa et l’extrémité eut un peu de mal à entrer.



D’une poussée plus assurée et continue, il lui inséra son pénis au complet dans l’anus. La sensation était quasiment insoutenable de bonheur. Lorsqu’il fut bien à l’intérieur jusqu’à la garde, il observa son travail et en savoura chaque sensation. Il ne connaissait rien qui se rapprochait du bonheur procuré par le fait de sodomiser une femme. Sa maîtresse gémissait de plaisir. Il se mit alors à la limer bien profondément, la saisissant par les hanches. Chaque pénétration était si profonde et si serrée qu’il n’avait qu’une seule envie : jouir. Il pouvait voir les seins de sa pénétrée se promener d’avant en arrière pendant qu’elle agrippait les couvertures de ses deux mains. Il la sodomisa avec une vigueur telle qu’elle ne fut pas longue à avoir du plaisir. Ses cris devinrent rapidement moins espacés et il sentit rapidement ses fesses se contracter autour de sa queue. Elle recula alors violemment, s’empalant encore plus profondément et resta ainsi, se redressant complètement sur ses bras. Il lui prit les deux seins bien en main et la laissa jouir. Ce fut long. Chaque muscle de ses fesses transmettait de très agréables sensations sur sa queue. Elle fut prise de soubresauts pendant un très long moment. Elle s’effondra enfin sur le lit, haletante.


Il était toujours debout, l’air conquérant, la queue toujours bien droite dans les airs. Quelques instants plus tard, elle quitta le lit pour se mettre à genoux par terre, non loin de lui. Il saisit son paquet de cigarettes et son Zippo. Il se mit une cigarette en bouche et l’alluma. Épuisé, il prit place dans un des fauteuils. Sa queue tremblait. L’observant avec envie, elle attendit qu’il eût pris quelques bouffées et elle s’approcha. Ses seins, ses hanches, son corps au complet étaient si désirables. Il aurait lécher sa chatte détrempée et sa poitrine jusqu’au lever du jour. Rendue à destination, elle agrippa sa queue.



Elle saisit la base du condom et le retira délicatement avant de le projeter dans la chambre. Et elle le branla, lui prenant parfois le gland en bouche. Ses mouvements au début lents devinrent de plus en plus rapides. Il sentait la jouissance si proche. Tout en le branlant, elle maintenait ses deux seins bien collés de son autre main, attendant l’explosion. Il ferma les yeux. Lorsqu’il vint, elle dirigea la queue vers sa poitrine. Et ce ne fut pas un, pas deux, mais bien sept longs jets de sperme qui jaillirent, lui maculant la poitrine. Il dut arrêter de fumer tellement il avait l’impression de se vider. Tellement son orgasme était profond. La branlette dura encore longtemps. Elle réduit tranquillement la vitesse et il ouvrit les yeux de nouveau. Sa maîtresse, elle, les avait bien ouverts, un regard gourmand lui illuminant le visage, semblant surprise du plaisir qu’elle venait de donner.


Elle lâcha l’instrument de son désir et étendit sa récolte partout sur sa poitrine. Parfois, elle en prenait un peu en bouche, ayant un plaisir évident à l’avaler.


Il recommença à fumer et éteignit bientôt le mégot dans le cendrier, tout en continuant à se régaler du spectacle. Sa queue était maintenant ramollie et il se sentait bien. Très bien.


Le haut du corps complètement gluant de sperme, elle prit place dans le lit ferma les yeux, respirant fortement.


Il se leva et sans un mot, se dirigea vers la douche. À cet instant, il eut une pensée pour sa douce qui se démenait probablement sur un vélo, en sueur dans une salle de gym. Et encore une fois, il chassa ces pensées de son esprit. Il détestait les produits de toilette de ce motel mais la douche lui fit le plus grand bien. Sa queue était un peu douloureuse mais il se sentait si bien. Si vide et comblé. À la sortie de la salle de bain, il saisit une serviette et s’essuya longuement.


Dans la chambre, une lourde odeur de sexe envahissait la pièce. Il l’aperçut, sur le lit, toujours dans la même position. Son sperme, maintenant plus huileux, toujours bien en valeur sur sa poitrine. Il se rhabilla, remit ses cigarettes et son briquet dans son veston.


Il s’assit sur le lit et se pencha pour l’embrasser. Elle l’embrassa avec douceur, longuement. Elle lui demanda s’ils se reverraient bientôt et il l’en assura.



Il sourit.



Ils s’embrassèrent de nouveau et il quitta la chambre, replongeant bientôt dans la fin de soirée glaciale. Il reprit la route, le cœur léger, se dirigeant vers le nord. Au loin, la ville se dessinait. Il était bien.


Entre les deux bancs, son cellulaire vibra.


21 h 34 - J’ai déjà hâte à la prochaine. Je termine de me masser les seins avec ton sperme. Et mon petit trou te réclame déjà.



(À suivre)