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Temps de lecture estimé : 18 mn
13/02/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Il avait une amante depuis plusieurs années, avec laquelle il avait une entente. Mais à l'approche du congé des fêtes, une visite surprise d'une amie de sa femme allait déclencher beaucoup de jouissances et aussi d'inquiétudes.
Critères:  f ff ffh couple couplus extracon extraoffre cocus fdomine chantage noculotte ffontaine fmast facial fellation cunnilingu préservati pénétratio hdanus
Auteur : Sweetguyqc            Envoi mini-message

Série : Du plaisir interdit

Chapitre 02 / 08
A bad moon rising

Résumé de l’épisode précédent : professionnel accompli, dans la fleur de l’âge, et bien qu’heureux en couple dans tous les sens du terme, il menait depuis quelques années une relation adultère avec une fille connue dans le cadre de son emploi. Bien que cela n’était pas la première fois qu’il trompait son épouse, c’était la première fois que cela se déroulait sur une aussi longue période de temps. Son amante et lui avaient toutefois une entente qui les satisfaisait.



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En ce 23 décembre, il se disait que le repos du temps des fêtes allait lui apporter le plus grand bien. Pendant deux semaines, il n’aurait rien d’autre à faire que de se reposer. Bien sûr, cette période se déroulerait en grande partie à la maison avec sa douce, et il lui serait très dur de s’éclipser. Donc de voir sa maîtresse, par le fait même.

Cela n’était pas un mal en soi. Le sexe avec elle était très bien et ne s’était jamais amenuisé, en fréquence ou en qualité, depuis le début de leur relation. Il n’en avait juste pas assez. Il avait bien dû se rendre à la conclusion inéluctable : une femme ne lui serait jamais assez. De plus, ce repos serait des plus salutaires également car il n’aurait pas à mentir pour les deux prochaines semaines. Il ne le pensait pas, mais si jamais sa conjointe avait un doute, ce délai le réduirait peut-être.


Bien assis à son bureau, il observa la grande salle des employés déjà vide. Il devrait bientôt quitter lui aussi. Le dernier trimestre avait été assez ardu et il avait besoin de quitter ce lieu. Instinctivement, il ouvrit son deuxième tiroir de bureau et sortit sa bouteille de scotch ainsi qu’un verre. La première gorgée lui fit le plus grand bien. Et une solide envie de baiser le prit. Il n’aurait pas dû laisser partir sa secrétaire il y a deux heures de cela… Avec un peu de travail, il aurait peut-être pu la convaincre de partager un bon moment.

Il rangea la bouteille, enfila son manteau et éteignit la lumière. Dans l’ascenseur, il repensa à sa dernière baise avec sa maîtresse. Il y a une semaine. Cela lui parut une éternité. Son téléphone fit un bruit.


19:23 - Si jamais tu es disponible durant les vacances, tu sais comment me joindre. J’ai certaines envies, tu sais ;)

19:24 - Cela sera dur. Mais de retour le 4.


Il ne reçut pas de réponse. Il aimerait pouvoir tout faire ce dont il avait envie. Mais ce n’était pas toujours possible. Il devait s’y résoudre. Le téléphone reprit sa place dans sa poche.



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En arrivant à la maison, il lança ses clefs sur la petite table et elle arriva, sortant de son bureau. Un chaleureux baiser s’ensuivit. Elle était splendide dans son pantalon d’un bleu si foncé qu’il paraissait noir. Et que dire de son pull. Sa poitrine paraissait avoir grossi depuis la dernière fois qu’il l’avait regardée. Il se souvint pourquoi il l’avait trouvée désirable dès la première fois, il y avait maintenant dix ans. Une proportionnalité entre ses seins et ses hanches à faire damner un prêtre, surmontée d’une belle chevelure blonde aux omoplates et d’yeux d’un bleu profond.



Un sourire blagueur traversa son visage. Elle sait qu’il ne l’a jamais beaucoup appréciée. Trop légère à son goût, et il avait toujours été un peu mitigé par le fait que bien qu’hétérosexuelle, elle avait couché avec sa conjointe à quelques reprises dans le passé. Cela remontait au début de sa carrière, voire probablement à la fin de ses études, mais elle lui avait dit qu’elle ne retournerait pas en arrière. Bien que lorsqu’elle en parlait, elle semblait parfois regretter cette époque.



Il prit la direction de la douche. Alors qu’il y était quasiment rendu, il entendit sa douce voix dire :



Sa queue devint dure en une seconde.


La douche lui fit le plus grand bien et, en se séchant, il remarqua que sa queue bandait. C’était avec plaisir qu’il envisageait de l’honorer, de la pénétrer comme elle l’aimait. Et de la laisser faire ce qu’elle aimait plus que tout : être sur lui. Elle avait cette manière bien à elle de le monter et, lorsqu’il était au plus profond d’elle, de se déhancher jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme. Généralement, il suivait de proche. Elle terminait généralement par se doigter sa petite chatte ruisselante de sperme. Elle aimait se procurer un dernier orgasme par elle-même, pendant qu’il la regardait. Ses pensées n’aidaient en rien son état.


Finissant de se sécher, il entendit la sonnette d’entrée. Il maugréa instantanément contre la visiteuse qui était fort en avance. Il passa à la chambre et réfléchit à Anastasia tout en s’habillant. Petite brune aux yeux verts, elle était toujours vêtue sexy. Ses seins, plus petits que ceux de sa douce, étaient néanmoins très désirables. Vêtue d’un jeans, de ses havaianas ainsi que d’un polo léger, il prit la direction du salon.


Et tout en marchant, il se dit aussi qu’il n’appréciait pas nécessairement la compagnie d’Anastasia depuis le réveillon d’il y a deux ans. Celui durant lequel, ayant un peu trop bu, il se fit aborder par elle au détour d’un corridor, dans la résidence d’amis communs. Elle lui avait alors fait le signe de se taire, d’un doigt bien droit. Et dans la pénombre, elle s’était mise à genoux. Son pantalon avait été rapidement descendu, et la fellation qui s’en était suivie avait été un pur délice, pouvant se faire surprendre à tout moment pendant que sa femme était avec les convives à l’étage inférieur. Elle l’avait fait venir dans sa bouche et, avant de le quitter, lui avait dit que ça serait leur petit secret. Il se disait depuis qu’il avait été « victime » des envies d’Anastasia, cette éternelle célibataire qui prenait ouvertement le plaisir là ou il se trouvait.



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Ce qu’il vit en arrivant au salon lui plut toutefois bien. Sa compagne de vie et son amie dans un des deux grands chesterfields de cuir, devant le feu de foyer. Elles discutaient de manière excessivement enjouée. L’espace entre elles était quasiment inexistant, et la visiteuse avait sa main sur la cuisse de sa femme. Mais ce qui l’inquiéta bien davantage, c’est qu’Anastasia lui fit un sourire d’envie lorsqu’il apparut dans la pièce, pendant que son épouse le saluait.

Il s’informa sur les préférences de boisson et servit aux femmes deux grandes coupes de vin blanc, qu’il servit à partir du bar en coin du grand salon. Dès qu’il eut repris sa place dans le chertesfield opposé, un verre de scotch bien en main, il ne put s’empêcher de les détailler.


La petite brune s’approchait parfois de son épouse pour lui glisser certains mots à l’oreille, et lorsqu’elle le faisait, sa menue poitrine se déplaçait sous son pull. De toute évidence, elle ne semblait pas porter de soutien-gorge. Ses seins étaient parfaitement proportionnés à son corps, et elle pouvait fort bien se permettre de ne pas en porter. Cette nudité donnait à ses seins l’air de deux belles poires bien mûres qui bougeaient à l’unisson sous le vêtement. Mais il faillit bien avaler sa gorgée de scotch de travers lorsqu’au détour d’une conversation, elle décroisa les jambes et qu’il aperçut très clairement son entrejambe. Les jolis poils foncés formaient un joli ticket et il crut apercevoir un peu d’humidité juste en dessous.



Anastasia continua à parler d’il ne savait quoi pendant qu’il reprenait ses esprits. Elle lui adressa un sourire rempli au possible d’envie charnelle. Il commença alors à s’inquiéter un tantinet mais décida qu’il fallait bien continuer à faire comme si de rien n’était. Son érection devenait toutefois de plus en plus hors de contrôle. Il prit donc un livre sur la table basse devant lui et le feuilleta. Il continuait à apercevoir, de temps à autre, cette humidité qui l’avait chaviré de surprise la première fois.


Mais à quoi jouait-elle?


Les éclats de rire succédaient aux histoires plus ou moins frivoles que la brune prenait plaisir à raconter à la blonde. Il comprit pourquoi son épouse appréciait tant ses visites. Cela lui permettait de se détendre, de ne plus penser à rien. Il décida qu’il pouvait bien en profiter aussi et se resservit un autre verre, remplissant du même coup les verres de blanc. Il écouta d’une oreille distraite tout en consultant ses courriels sur son téléphone cellulaire, plaçant ça et là un mot pour les faire rire ou renchérir sur une de leurs conversations. La soirée se déroulait à merveille, et après plusieurs remplissages des verres, les esprits commençaient à se détendre. Les femmes étaient de plus en plus proches, leurs belles joues rouges dénotant un état d’ivresse grandissant. Leurs sujets de conversation semblaient inépuisables…


Il vit qu’il venait de recevoir un message texte.


22:44 - J’ai envie de toi. J’aimerais que tu me prennes. Viens me voir.


Sa maîtresse avait joint une photo de sa poitrine, dénudée, sur laquelle une main pinçait un des mamelons. Il aurait aimé la lécher, à cet instant précis. Mais le spectacle qu’il avait devant lui étant loin d’être désagréable ; il trouva la force de répondre.


22:46 - Non, je te l’ai dit. Pas pour les prochains jours.

22:47 - Tu ne sais pas ce que tu manques.


Le téléphone fut sagement placé sur la table basse et il observa alors sa femme. Ses yeux étaient pétillants et son décolleté, savamment éclairé par le feu du foyer, semblait d’une profondeur invitante. Ses jambes croisées donnaient l’impression d’être sans fin. Elle appréciait de manière très évidente la soirée et il ne put s’empêcher de se demander si elle avait envie de passer un bon moment de sexe avec son amie. Après tout, elle lui avait déjà tout avoué. Lui avait tout raconté dans le détail. Mais c’était elle qui avait choisi, il y a plusieurs années, d’arrêter le tout. Elle appelait simplement cela parfois « le bon vieux temps ».


Anastasia fouilla dans son sac à main, consulta son téléphone et le déposa sur la table. Comme elle allait reprendre sa conversation, elle le regarda et demanda :



Il sentit sa respiration ralentir, et un bref coup d’œil à sa compagne lui montra qu’elle était également perplexe par cet abrupt changement de conversation.



Elle arrêta de parler et les observa. Karen devint encore plus rouge instantanément, et quant à lui, il n’en croyait vraiment pas ses oreilles. Comprenait-il bien ? Était-ce l’excès de boisson qui lui jouait des tours ? Visiblement, son corps avait assimilé avant lui la nature de l’offre car il devint très dur, devant même réajuster sa position dans le divan. La proposition ayant été faite, Anastasia attendait. Il ne put s’empêcher de se dire que son regard semblait cacher quelque chose. En voulait-elle plus ?



Il sut à cet instant que s’il n’avait pas été là, ce serait déjà chose faite. Mais qu’elle hésitait en raison de sa présence. Elle chercha son regard. Il soutint le sien, le visage neutre. Mais cela n’était qu’apparence, car malgré son intuition que cela cachait plus, il ne pouvait s’empêcher de penser qu’il avait très envie de voir tout cela. Et surtout, qu’il n’en croyait pas ses oreilles. Il avait déjà abordé ce genre de possibilité à plusieurs, mais elle n’avait jamais réellement voulu en discuter sérieusement.


Après un long silence, Karen fit alors un petit signe d’acquiescement de la tête, les yeux perdus dans le vide.


Anastasia se leva alors et, à la lueur du feu de foyer, retira son pull très lentement, dévoilant sa poitrine. Il ne s’était pas trompé : ses seins apparurent alors, les pointes bien tendues. Elle retira sa jupe par la suite, en se tournant et se cambrant vers l’avant pour la retirer. Karen était comme hypnotisée, ne prêtant plus aucune attention à son époux. La nouvellement dévêtue reprit place dans le divan et s’y vautra bien profond dans l’angle. Elle déporta son bassin légèrement vers l’avant, rejeta sa tête vers l’arrière, sa chevelure pendante. Elle mit sa main sur sa chatte et la caressa, son humidité plus que perceptible. Elle ferma les yeux et attendit.


Karen se coucha alors et lentement, très lentement, avança. Il était paralysé devant le spectacle. À quelques millimètres de ses poils pubiens, elle ferma les yeux à son tour et prit une profonde inspiration, appréciant de manière plus qu’évidente ce qu’elle respirait. Et elle y plongea. Sa langue lapait la chatte de son amie avec un délicat bruit de succion. Elle léchait et avalait la mouille, s’assurant de récolter les gouttes à chaque passage de langue. L’atmosphère feutrée devenait de plus en plus chaude, le crépitement des bûches n’étant interrompu que par des gémissements épars.


Il observait, et son érection allait décuplant. Anastasia redressa alors la tête et le fixa, les yeux mi-clos. Il perçut alors dans son regard l’envie de plus. Cela paraissait qu’elle le voulait. Elle entrouvrit les lèvres pour parler, mais au moment où elle allait parler, les mots furent remplacés par un long gémissement et elle sembla se reconcentrer sur son plaisir. Karen, ne lui laissant aucun répit, inséra bientôt un doigt de la chatte chaude de son amie. Tout en la fouillant délicatement, elle lui suçait le bouton d’amour. Cela leur avait manqué à toutes les deux, il allait sans dire.



La tête de sa bienfaitrice continuait à bouger d’avant en arrière, les bruits d’humidité et de succion semblant ne jamais vouloir s’arrêter.



Le corps d’Anastasia se raidit par petits à-coups. Elle apposa ses mains sur la tête de Karen et la maintint bien en place. Pas que cette dernière semblât vouloir arrêter, mais elle voulait quand même s’assurer du maintien de la position. Elle respira fortement et poussa un petit cri, suivi d’un long gémissement et d’une période de silence, la bouche ouverte, les yeux clos. Elle semblait suspendue dans le temps.


Au bout d’un long moment, elle se relâcha, son corps reprenant contact avec le cuir du meuble et recommença à respirer fortement, le corps pris de spasmes. Et Karen cessa lentement, tel un decrescendo, de la lécher. Sa tête se posa sur la cuisse de sa vieille amie. Elle reprit elle aussi sa respiration, un sourire de bonheur sur le visage, le contour de la bouche luisant de mouille. Anastasia mit une main dans les cheveux de Karen et les caressa. Les yeux fermés, elles étaient bien concentrées sur les sensations qu’elles venaient de vivre.


Quant à lui, dans la même position qu’il y a vingt minutes, il n’en croyait toujours pas ses yeux.



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Au bout d’un moment, il trouva la force de prendre une gorgée de scotch. Cela lui fit le plus grand bien. Pas nécessairement qu’il en avait besoin de plus, mais il apprécia de pouvoir se concentrer sur le goût du liquide chaud lui descendant dans la gorge. Il se leva et alla attiser le feu, y remettant deux bûches.



En se retournant, il aperçut les deux femmes se lever. Toujours nue, Anastasia dévêtit alors Karen. Délicatement. Elle se laissait faire, semblant incapable de tout mouvement. Elle osa à peine un regard vers lui. Une fois dans la même tenue que son amante, elle se laissa tomber dans le chesterfield, bien assise et les jambes écartées, sa belle poitrine volumineuse se dressant, bougeant au rythme de sa respiration.



Elle avait prononcé cette phrase d’un air de défi. Il fit signe que non. À ce moment-là, elle se mit à quatre pattes sur l’épaisse moquette du salon, mit ses deux mains sur les cuisses de Karen et engouffra la tête entre celle-ci. Debout à quelques pas, le feu lui réchauffant le corps, il ne pouvait décoller les yeux de la chevelure brune. Elle pénétrait la chatte exempte de toute pilosité de son épouse, lui faisant très rapidement émettre des sons qui se transformèrent bientôt en cris.


Il prit alors conscience qu’il avait un point de vue très excitant sur les fesses d’Anastasia. Il aurait pu prendre sa chatte très rapidement, sans aucun préliminaire. Elle était mouillée à souhait. Et il en avait très envie. Mais comment réagirait-elle ? Et surtout, comment Karen réagirait-elle ?


La pièce était maintenant remplie d’odeurs charnelles. Et cela le rendait fou. Il ne comprenait plus vraiment ce qui se déroulait et décida d’arrêter de comprendre. Il termina son verre et commença à se dévêtir. Il éprouva surtout un grand bonheur lorsqu’il libéra sa queue. Enfin libre. Il fit le tour du meuble et vint se positionner derrière celui-ci. Sa queue, bien tendue, toucha la tête de son épouse. C’était maintenant ou jamais. Le spectacle d’Anastasia léchant avec doigté Karen était des plus splendides. Son épouse, les yeux en transe, profita alors du fait que le dos du divan était bas pour incliner sa tête vers l’arrière et ouvrit la bouche. Il ne se fit pas prier et s’y inséra.


La chaleur lui fit le plus grand bien et il commença à s’y activer, la pénétrant lentement et s’en retirant, avant de recommencer. Anastasia arrêta alors, le gratifiant d’un regard des plus sexuels, avant de se remettra à la tâche. Il recevait la fellation dont il avait tant envie depuis la charmante proposition, et c’est à cet instant qu’il prit conscience que sa douce l’avalait au complet. C’était la première fois et il observa ses testicules reposant sur son front. Ce petit manège dura un certain temps et il finit alors par se retirer. Elle allait jouir et il voulait lui permettre de savourer cet instant. La queue dégoulinante de bave, il se pencha légèrement et caressa les seins de son épouse, en pinçant parfois le bout avant de les reprendre en main au complet. Elle cria alors son plaisir, expulsant même quelques jets, inondant encore plus le visage d’Anastasia si la chose était possible. Cela faisait très longtemps qu’il ne l’avait pas vue jouir de la sorte. Son orgasme dura plusieurs minutes et cela sembla être à regret que la brune se retira des cuisses pour se laisser choir sur le sol, la poitrine bien en vue.


Se sentant maintenant si excité que ça faisait mal, il fit de nouveau le tour du divan. Il prit la place récemment libérée et, maintenant son organe dans le bon axe, il pénétra sa femme d’un mouvement du bassin. Anastasia à ses pieds, il commença à la limer, faisant onduler les seins qu’il aimait tant. Ses mains lui assurant une bonne prise sur les cuisses de la femme qu’il honorait, il commença par lui faire l’amour mais ses envies prirent rapidement le dessus et cela se transforma rapidement en baise.

Sa chatte était si chaude que même s’il voulait y aller tranquillement, il s’enfournait au complet.


Il sentit alors la paume d’une main qui lui touchait les testicules. Les doigts de cette main les soupesaient, d’une délicieuse caresse. D’un coup d’œil, il aperçut Anastasia sous lui, le regard gourmand. Par moments, un des ses doigts s’aventurait même autour de son anus. Il était amateur des ces caresses, mais comment pouvait-elle le savoir ? Il mit cela sur le compte d’un délicieux hasard. Son épouse, concentrée sur son plaisir, ne portait pas attention à cette partie des ébats, mais elle sentit bien les coups de queue augmenter en ardeur.


Elle jouit alors, et de ses jambes elle le maintint à l’intérieur jusqu’à la garde, criant et gémissant. Et Anastasia profita alors de l’occasion pour lui insérer un doigt dans l’anus jusqu’à la deuxième phalange et elle se mit à le remuer tout en maintenant son autre main sur ses testicules. Il se sentit alors partir instantanément suite à cette délicieuse pénétration de son cul, jouissant d’une manière qu’il ne se souvenait pas avoir connue. Ses jets de foutre étaient longs et il arrêta de les compter à huit. Il sentit même, en criant de bonheur, que son sperme avait rempli la chatte de sa femme et que cela débordait maintenant.


Lorsqu’il reprit ses esprits, l’insidieux doigt quitta alors son fondement et il vint prendre place à côté de Karen, assis et haletant. Son pénis était toujours bien droit et il ne sentait pas que son érection allait diminuer. Il avait toujours envie de baiser, même après un orgasme d’une telle ampleur. Il n’était que désir. Que sexe. Mais comment pouvait-elle savoir qu’il était de ceux qui apprécient se faire insérer un doigt dans l’anus juste avant la jouissance ?




Karen ne semblait pas pouvoir répondre, les sens toujours en éveil de ses dernières jouissances.



Karen sourit alors.



Sans avoir vu le tout se dérouler, il sentit bientôt la bouche d’Anastasia le saisir et l’avaler. Le branlant d’une main, elle lui suçait le gland. Avec aplomb. Cette pipe, elle semblait l’avoir attendue longtemps. Et vouloir en savourer chaque instant. Il était aux anges et lui prit à son tour la tête afin de la maintenir bien en place. Il lui imprimait le mouvement et lui baisait littéralement la bouche.

En se tournant, il aperçut Karen qui se caressait la poitrine, les regardant avec un air qu’il ne pensait pas voir un jour sur son joli visage. La petite brune arrêta alors, et sans qu’il sache d’où il venait, un condom apparut sur l’extrémité de son dard.



Il fut alors inquiet. Comment son épouse allait-elle interpréter cette phrase ? Mais un rapide coup d’œil lui permit de voir alors qu’elle se caressait maintenant le clitoris d’une main, les regardant d’un regard gourmand, prise à son plaisir.


Anastasia déroula alors le préservatif sur sa queue tendue, la prit d’une main et, tout en la maintenant droite, vint prendre place sur lui. Elle le regarda alors, et son regard devint froid l’espace d’un moment. Elle se laissa alors tomber vers l’arrière et il sentit sa queue prendre place dans ce petit vagin bien serré. Elle poussa alors un long râle tout au long de cette première descente et ne s’arrêta que lorsqu’elle fut bien remplie. Et elle se mit alors à monter et descendre, de mouvements si gracieux qu’il se compta quasiment chanceux de se faire baiser de la sorte.


La brune prit un de ses seins en main et le présenta à sa bouche. Il le goûta et adora immédiatement son goût, y passa la langue et prenant parfois en bouche le mamelon qu’il pinçait juste assez pour entendre sa nouvelle amante gémir et accélérer son déhanchement.


Il tourna alors la tête et vit que la place de Karen était vide. Et c’est alors qu’il sentit une chevelure sur ses cuisses. Et une langue sur ses testicules de nouveau. Karen lui gobait, tout en douceur, chacun de ses petits sacs. Un sourire carnassier illuminait le visage d’Anastasia lorsqu’elle arrêta momentanément pour l’observer. Cette observation dura quelques secondes et elle se remit aussitôt à le chevaucher, tout en gémissant fortement. Sa queue était si tendue à l’intérieur de ce vagin étroit qu’il avait l’impression qu’elle allait lui faire mal. Mais elle en redemandait, se laissant tomber avec force pour qu’il aille toujours plus loin en elle. Au son que faisait Karen, il sut avec certitude qu’elle était en train de se doigter. Et cette pensée décupla son plaisir. Cette cavalcade continua de longues minutes et il sentit son plaisir approcher. Les fesses de son amante bien en mains, il poussait des gémissements de plus en plus profonds.



Mais qu’allait-elle encore inventer ?


Elle se releva et se retira tout en maintenant la base de la queue et du condom. Il aperçut son épouse qui, toujours à quatre pattes, continuait de se doigter, voguant d’orgasme en orgasme. N’ayant plus rien à lécher, elle se coucha sur le tapis, n’en cessant pas pour autant ses caresses personnelles. Anastasia observa un court instant la scène, debout, la queue de son amant toujours en main, puis lui fit signe de s’approcher. Il se leva et prit place à genoux à côté du visage de sa femme.

Anastasia se mit au-dessus de Karen et lui retira alors le condom. Le laissant tomber par terre, elle se redressa et vint s’asseoir sur la poitrine de la blonde. Et elle commença alors à le branler avec vigueur. Il n’était que sexe. Il voulait jouir.



Pendant qu’il se concentrait sur son plaisir, elle s’approcha pour l’embrasser, insérant sa langue dans sa bouche. Au moment où il commença à jouir, elle vint lui mordre l’oreille et lui murmura :



Au moment où son sperme commença à jaillir, il lui fit un bref regard de surprise, lui intimant des yeux le silence. Mais son orgasme prit le dessus et il jouit. Avec force. Aspergeant le visage de son épouse et le bas du ventre de cette amante si douée bien qu’inquiétante, il cria sa jouissance. Il jouit pendant un moment qui lui parut être une éternité. Lorsqu’il observa finalement la scène, il vit Karen le visage plein de son foutre, et le bas du ventre d’Anastasia tout aussi gluant. Des traînées de sperme quittaient son corps pour venir terminer leur course sur les seins de sa douce.

Enfin il débanda. Son amante lâcha alors sa queue. Et c’est à bout de forces qu’il prit place dans le fauteuil, humide de leurs ébats. Il saisit son paquet de cigarettes et en alluma une, savourant la première bouffée avec un grand plaisir.


Anastasia lécha le sperme sur le visage de Karen, et c’est avec tendresse qu’elles s’embrassèrent, partageant le fruit de leur récolte. Ce partage mutuel l’émoustilla au plus haut point, mais il ne pouvait s’enlever de la tête le fait qu’elle semblait dangereuse, cette Anastasia. Elles s’enlacèrent finalement, devant le feu qui mourait.



Au bout d’un moment, elles se levèrent et prirent la direction de la chambre. Il les regarda partir en leur disant qu’il arriverait dans un instant. Il entendit les pas disparaître dans le corridor.

Il se leva et prit la direction du bar. Il se vida trois doigts de scotch et termina sa cigarette en sirotant le tout, observant pendant de longues minutes la neige qui tombait à plein ciel dans la nuit.



Il se retourna alors avec surprise : Anastasia se tenait là, dans le cadre de porte, le corps luisant.



Elle le fixa alors et lui dit sans broncher, d’un ton neutre :



Il eut alors de la difficulté à assimiler ce qu’il venait d’entendre. Son amante ? Comment savait-elle ? Elles ne travaillaient pas au même endroit. Il avait été très discret depuis ces dernières années. Elle ne pouvait pas savoir. Et pourtant elle savait.



Et sur un sourire annonciateur de grands bouleversements, elle lui tourna le dos et quitta la pièce.

Son cellulaire émit un son. Il le consulta.


01:24 - La baise a été bonne ? Nous en profiterons bientôt ensemble. Je suis bien contente de savoir que nous n’attendrons pas le 4 janvier pour nous revoir. N’est-ce pas ? ;)



(À suivre)