Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16667Fiche technique51375 caractères51375
Temps de lecture estimé : 28 mn
01/03/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Il prend la plus importante décision de sa vie, suite à une proposition surprenante...
Critères:  fh fhh ffh couple couplus extracon extraoffre cocus inconnu boitenuit travail voiture facial fellation préservati pénétratio double sandwich fsodo québec
Auteur : Sweetguyqc            Envoi mini-message

Série : Du plaisir interdit

Chapitre 08 / 08
Le plongeon

Résumé de l’épisode précédent : lors d’un séjour dans la vieille ville de Québec, il avoua à Sara avoir l’occasion de passer un doux moment avec une femme récemment rencontrée, et Sara accepta le tout. Un peu plus tard, il vécut la même situation à l’inverse, ce qui l’excita énormément. Suite à un discours qu’il prononça, son nom commença à circuler pour un éventuel saut en politique.





À sa sortie de la salle de bal, il avait littéralement été assailli de toute part. Pendant de longues minutes, il n’avait répété que ce qu’il avait toujours dit dans de pareilles circonstances : bien qu’étant une figure publique, il n’avait pas été approché par des partis politiques ; il était heureux de son champ de pratique dans le secteur privé et il ne fermait pas la porte à une modification de son implication dans le futur.


Lorsqu’il put enfin de libérer des représentants des médias, il prit la direction du bar de l’hôtel et se mit à réfléchir. Il aimerait bien, un jour, pouvoir devenir un élu afin de pouvoir mettre en place les politiques qu’il jugeait pertinentes, mais ce ne serait pas pour l’instant. Et de toute manière, il n’avait pas été approché, de près ou de loin, par quiconque.


À l’entrée du bar doté de la plus belle vue de Québec, il regarda à l’intérieur et perçut le genre d’atmosphère dont il raffolait tant. Des gens d’affaires qui festoyaient comme si c’était leur dernière nuit sur Terre dans cette ambiance chic et feutrée. Sous l’éclairage tamisé, il vit plusieurs belles femmes, généralement une coupe de champagne à la main, qui échangeaient avec des hommes qui avaient visiblement oubliés pour la plupart qu’ils avaient femmes et enfants. Lorsqu’il fit son entrée, les conversations baissèrent en volume et les regards se tournèrent vers lui.

Le majordome se dirigea vers lui d’un pas assuré.



Il le suivit alors et en contournant le bar pour emprunter un petit passage, il échangea des regards avec plusieurs femmes qu’il aurait bien aimé pouvoir inviter pour un verre. Il se demanda qui était son invité, et surtout ce que cette personne lui voulait. Ils passèrent devant trois salons privés, et c’est dans le quatrième qu’il pénétra après que l’employé lui eût ouvert la porte. Un homme, qu’il connaissait, venait visiblement de finir de manger. Il lui indiqua la seule chaise libre autour de la table et il y prit place ; au même moment, il entendit la porte se refermer. Il reconnut son interlocuteur en pénétrant dans la pièce.



L’homme prit la carafe devant lui et en versa un grand verre qu’il lui tendit. La première gorgée lui fit le plus grand bien, et lorsqu’il vit son interlocuteur s’allumer une cigarette, il en profita pour faire de même.



L’homme, qu’il trouvait plus imposant en réalité que dans les reportages qu’il avait vus, le fixait toujours, le visage exempt de toute émotion.



Il ne répondit rien, le fixant à son tour, s’efforçant de n’avoir à son tour aucune émotion.



L’homme qui lui défilait sa vie tel un roman était très calme, n’ajustant jamais sa position sur sa chaise, se contentant de tirer sur sa cigarette de temps à autre. Lui, en contrepartie, avait de plus en plus de difficulté à garder son sang-froid. Il avait été très discret ces dernières années ; alors comment l’homme qui s’adressait à lui pouvait-il savoir tout cela ?



En sa faveur ? Non seulement il n’avait rien demandé, mais il ne désirait rien. Les deux hommes écrasèrent leur cigarette au même moment, la pièce étant maintenant remplie d’effluves de tabac et de malt.



Il se demandait de plus en plus ce qu’il faisait là. Ce genre de défi l’avait toujours intéressé, mais il s’était vu le faire après son quarantième anniversaire, dans une deuxième carrière. Il en était encore bien loin.



Il la prit et quitta le salon. La première envie qu’il eut fut de contacter Sara afin de partager son désarroi avec elle, mais il se ravisa. Il convenait de réfléchir aux implications de cette offre qu’il venait d’accepter avant de la partager avec elle. Il s’élança dans le corridor, retraversa le bar, saluant une connaissance ci et là et prit la direction des ascenseurs.





À la mi-cinquantaine, le Premier ministre présidait aux destinées du pays depuis maintenant près de dix ans. Comme les hommes de sa profession, il ne faisait pas l’unanimité, mais il bénéficiait d’un solide appui régionalement bien réparti à la grandeur du pays, lui donnant un bon pourcentage de chance de remporter un quatrième scrutin. Ses adversaires, décousus, ne faisaient pas le poids.


Lorsqu’il arriva à la porte, c’est le cœur battant qu’il la déverrouilla. À l’intérieur, il fut accueilli par deux hommes des services spéciaux. Il aperçut la crosse des pistolets sous les vestes lorsqu’ils se tournèrent pour l’accueillir. À la demande du plus âgé, il vida ses poches sur la table. Il termina en plaçant son cellulaire bien en vue et prit finalement la direction du grand salon. Le Premier ministre, seul, l’accueillit ; après s’être serré la main, ils prirent place dans les fauteuils.



Sa réputation de franc-tireur ne lui faisait pas défaut.



Au moment où il ne sut plus quoi dire, pensif, il vit la porte d’une chambre s’ouvrir et en sortir une très grande rousse aux formes pulpeuses. Elle ne pouvait pas avoir plus de 25 ans ; vêtue d’une courte robe verte, elle se tenait debout, face à eux, les fixant.



Il réussit à peine à balbutier ce simple mot, surpris de voir apparaître une si splendide créature dans la chambre du plus important personnage de l’État. La fille ne répondit rien, lui souriant, simplement, avant de quitter le salon, refermant la porte derrière eux.



Lorsqu’il entendit le premier ministre prononcer ces mots, il fut pris d’une furieuse envie de s’envoyer une très grosse ration de scotch. Avait-il réellement bien entendu ?



Le Premier ministre remplit deux verres et lui en tendit un.



Il le fixa alors, sachant bien que le processus décisionnel de son invité avait bien avancé.






Le reste du congrès passa comme un coup de vent, et il fit une solide impression dans tous les ateliers auxquels il participa, ses collègues l’écoutant religieusement partager son expérience sur des sujets divers. C’est avec une envie de retourner chez lui voir Sara qu’il aborda la dernière nuit de son séjour à Québec. Cette dernière nuit, il l’avait imaginée à côtoyer de splendides créatures et finalement en baiser une dans sa chambre. Mais il était trop préoccupé par l’offre qu’il avait récemment acceptée pour se consacrer à ce genre de chose. Il avait pris place dans un fauteuil de sa suite, immédiatement après le souper, et avait sifflé la moitié d’une bouteille de scotch, fixant l’horizon, fumant plusieurs cigarettes, réfléchissant. C’est donc avec la gueule de bois qu’il avait repris le train le lendemain, essayant de dormir sans trop y parvenir. Lorsqu’il entra finalement chez lui après une journée de voyage, Sara vit immédiatement qu’il était troublé. Elle l’entraîna dans la chambre et elle se coucha sur le lit pendant qu’il prenait place dans le fauteuil.



Ils se sourirent, et il ne put s’empêcher de la trouver splendide, couchée de la sorte dans le grand lit.



Il oublia tout et se dévêtit alors qu’elle faisait de même. Elle voulut le sucer mais, pris d’une envie irrésistible, il l’avait immédiatement retournée et possédée. Complice devant l’avenir, c’est après de longues pénétrations qu’il s’était libéré en elle, lui procurant des spasmes de bonheur. Et quand il eut finit de se libérer, il l’entendit murmurer :






Les jours suivants s’étaient enchaînés très rapidement. Ses patrons avaient compris et lui avaient souhaité la meilleure des chances, franchement et simplement. Après tout, cela serait bon pour les affaires d’avoir un ministre issu de la société. Ses actions, qu’il ne pouvait garder en tant qu’élu, lui furent rachetées à un taux plus qu’avantageux ; et lorsqu’il vit le chèque, il se dit que cela le mettait à l’abri pour longtemps.


C’est de sa secrétaire qu’il eut le plus de mal à se séparer. De toutes les femmes qu’il avait désirées, c’était une des seules sur laquelle il n’avait pas tenté ne serait-ce qu’une seule avance. Il avait toujours voulu le plus possible séparer le travail du sexe, et dans son cas à elle, il y était parvenu. Il s’était assuré qu’elle serait réaffectée ailleurs dans la même société, et c’est le cœur léger, salué de tous, qu’il avait quitté son bureau pour la dernière fois, l’esprit rempli d’espoir en vue des défis à venir.


Accompagné du Premier ministre et de la quasi-totalité de sa députation, sa candidature fut annoncée en grande pompe, exactement huit jours après l’offre qui lui avait été faite. Rapidement, les médias le qualifièrent de candidat-vedette, et des acteurs de tous les milieux réunis saluèrent de manière unanime la qualité de sa candidature.


Son nouveau parti lui octroya une équipe, et avant qu’il n’ait le temps de s’en rendre compte, il enfilait des journées de 18 heures, voguant de dîners d’organismes communautaires à des brunchs de groupes de femmes. Il fut littéralement partout dans son comté, et les premiers sondages qui sortirent lui furent très favorables.


Ses horaires ne lui posèrent pas problèmes, mais l’absence de moments de relaxation et de sexe l’affecta davantage. De retour très tard, Sara l’attendait bien souvent éveillée pour prendre soin de lui ; mais il s’aperçut rapidement que ces ébats nocturnes l’épuisaient. Il avait donc pris l’habitude de se coucher sans la réveiller.


Cinq jours après le début de la campagne, ce fut toutefois avec grand soulagement qu’il savoura cette longue fellation qu’elle lui fit dans sa voiture, alors qu’il était au volant entre deux événements. Dans la voiture qui le précédait avaient pris place ses adjoints, et il appréciait le risque relié à cette fellation à la volée. Il était venu très fort, manquant de peu d’enfoncer l’accélérateur et d’emboutir plusieurs voitures. Il eut à peine le temps de se réajuster avant de sortir saluer ses partisans qui l’attendaient dans le grand parking. Elle lui avait donné un baiser au moment où il coupait le contact et lui avait dit, avec un sourire, qu’elle essaierait de faire ce genre de chose plus souvent.





Au douzième jour de la campagne, alors qu’il serrait des mains dans un marché public de son district, son cellulaire émit un son. Il s’excusa auprès de son équipe et des citoyens et partit un peu à l’écart pour le consulter.


12:32 - Et alors, cette journée ?


12:32 - Je serre des mains et je fais des sourires.


12:33 - Tu veux venir me rejoindre au club ce soir ?


12:34 - À quelle heure ?


12:34 - 21:00


12:35 - Avec plaisir.


12:36 - Je t’aime. On se voit là-bas.



Il retourna alors rencontrer d’autres citoyens, acceptant de se faire prendre en photo et, malgré le fait qu’il s’était interdit de faire ce genre de chose, serrer des bébés.


Ce n’est que plus tard en soirée, alors qu’il conduisait vers le club, qu’il ressentit le poids du manque d’érotisme des derniers jours. Ses horaires l’avaient tenu occupé à un point tel qu’il ne se souvenait même pas avoir désiré une inconnue, ce qui n’était pas dans son habitude. Après avoir pris place dans le parking souterrain de l’établissement, il monta dans l’ascenseur, se disant que cette soirée de repos bien méritée lui permettrait de finalement se laisser aller. Pour la première fois de la campagne, il avait même dit à son équipe de ne le déranger sous aucun prétexte.


Il aboutit dans le grand hall ; en cette soirée de début de week-end, l’endroit était bondé. Il reconnut plusieurs de ses amis, en transit par la grande pièce, partant ou arrivant, certains seuls, d’autres accompagnés. Il se dit alors que certaines de ces personnes qu’il connaissait depuis longtemps avaient très bien joué le jeu. Marco, le propriétaire de plusieurs restaurants haut de gamme où il avait ses habitudes, s’approcha.



Il disparut dans la foule juste après une franche accolade à l’italienne.


Cette habitude que Marc avait de toujours terminer ces conversations en insérant une expression en anglais ne mourrait donc jamais. Mais il appréciait vraiment ce type, spécialement depuis la fin de semaine de golf qu’ils avaient partagée l’année dernière. Franc et sincère. Cette rencontre acheva de lui prouver, hors de tout doute, que ce club comptait des membres dans toutes les sphères, qui avaient le même secret en commun.


Il s’approcha alors du bureau d’accueil.



La foule était dense et les yeux de tous brillaient d’une envie commune. Il interpréta rapidement ces regards comme étant celui de pouvoir, l’espace d’un moment, laisser aller leurs envies les plus folles, sans retenue. Il se sentit bien, épuisé par la première partie de cette campagne, mais enjoué à la perspective d’une soirée comme la dernière. Il était surtout content de pouvoir passer la soirée avec Sara dans ce genre de contexte.


Le grand corridor aux portes capitonnés était plus tranquille, les membres se trouvant probablement dans les divers salons, prenant un verre, échangeant, et surtout observant ce qui se déroulait certainement dans les diverses pièces que ces salons permettaient d’observer. L’envie lui prit d’en essayer un mais il continua son chemin, accédant à la section des vitres sans tain. L’employé le salua et lui ouvrit la porte. Les différents espaces étaient quasiment tous occupés ; il se dirigea vers la petite antichambre donnant accès au grand salon, entendant des bruits de plaisirs étouffés et de jouissance atteinte.


Une fois dans le grand salon, il vit que les tables au centre, dans la pénombre, faiblement éclairées par quelques lumières était quasiment désertes. La majorité des membres étaient sur les divans. Un enchevêtrement de beaux corps, féminins comme masculins, qui s’ébattaient dans une suite qui semblait sans fin. Il prit place au centre, entouré de gémissements et de bruits de coïts. Un verre de scotch apparut devant lui ; en prenant sa première gorgée, sa queue lui indiquant qu’il devrait bientôt rejoindre ses congénères, il prit plaisir à observer deux femmes en position de 69, rousses, minces et de son âge, se faire honorer par deux hommes qui auraient pu être leur père. De son point de vue, la moitié du 69 qu’il voyait l’excita énormément. Après une série de va-et-vient, la queue sortait du vagin de la femme et celle qui lui léchait le clitoris cessait ces caresses pour prendre la tige en bouche. Après quelques coups de langue, elle l’insérait de nouveau dans le vagin de son amante et reprenait son cunnilingus. Les deux hommes ne tinrent pas longtemps, et au moment où tous les observaient éjaculer à l’unisson, il porta ses yeux sur la scène adjacente. Ce qu’il vit le laissa sans voix.


Sara, complètement nue, était couchée sur un homme noir. La queue de celui-ci, surdimensionnée, entrait et sortait de son vagin sans être capable de posséder la femme sur toute sa longueur. Ses seins pendaient sur le visage de l’homme qui s’en régalait. Un autre homme noir à la verge légèrement plus petite que le premier possédait l’anus offert ; lui, il entrait de toute sa longueur. Les deux hommes ne pouvaient se retenir de crier fort le plaisir à venir, et Sara répondait à ces cris par des gémissements de bonheur. Il se dit alors qu’elle ne l’avait pas attendu, mais il fut heureux de la voir savourer son bonheur.


Un homme vint alors prendre place à sa table ; il reconnut le Premier ministre.



Les deux hommes l’observèrent alors et Sara eut son premier orgasme, criant maintenant à son tour à ses amants de ne pas arrêter.



C’est en continuant de regarder Sara qu’il suivit le Premier ministre derrière une autre porte.



Il salua les trois femmes et se dit qu’elles étaient vraiment splendides ; surtout que nues, elles n’avaient maintenant plus de secrets pour lui.



Les deux hommes se déshabillèrent ; il fut surpris, malgré tout, de voir l’homme d’État nu, la queue bien bandée. Il était bien monté. Chrystelle le prit immédiatement en bouche, l’avalant sur toute sa longueur.

Les deux autres filles, quant à elles, s’approchèrent et lui caressèrent le corps, le couvrant de baisers dans le cou. Sa queue devint rapidement très dure. Eva se coucha alors sur le dos sur le matelas et Martine le tira vers le lit. Les deux femmes furent rapidement couchées une par dessus l’autre, écartant les jambes rendant l’accès à leur intimité très facile. Eva, sous Martine, caressait la poitrine celle-ci, lui déposant des baisers sur l’épaule. Il s’approcha et s’inséra dans la chatte bien humide de Martine, alternant immédiatement coups profonds et coups légers, faisant bouger son amante au rythme de ses coups.


Du coin de l’œil, il vit Chrystelle qui chevauchait maintenant l’homme, le faisant aller venir dans son fondement pendant que celui-ci lui tenait les hanches, tout à son plaisir. Cela avait quelque chose de simplement surnaturel de voir cet homme non pas aux actualités télévisées, mais en train de sodomiser une splendide femme qui aurait pu, de surcroît, être sa fille.

Il sentit alors la main de Martine lui saisir la queue et la diriger vers l’intimité d’Eva, qu’il ne tarda pas à posséder, jouant de ses mains avec la poitrine de Martine, embrassant cette dernière à pleine bouche. Cette pénétration dura un bon moment, faisant jouir Eva à plusieurs reprises.


Lorsqu’il entendit un gémissement de plaisir, il se tourna et vit Chrystelle, penchée sur la queue du Premier ministre, le branler jusqu’à ce qu’il jouisse, envoyant de forts jets de sperme dans les airs maculer le visage de sa maîtresse.

Il saisit alors les hanches d’Eva et redoubla d’ardeur, avant de changer de partenaire et d’honorer de nouveau Martine.



Il observa alors le Premier ministre et Chrystelle, de nouveau vêtue, quitter le salon.



Au moment où il sentait qu’il allait bientôt défaillir, une troisième paire de mains prit possession de son corps. Il tourna le visage pour apercevoir Sara, vêtue et sentant divinement bon, se pencher sur lui. Elle l’embrassa alors avec tendresse pendant qu’il continuait de faire l’amour aux deux femmes.



Il sortit alors sa queue et Sara la saisit, le branlant avec vigueur. C’est dans un long râle qu’il jouit finalement, son sperme aspergeant l’intimité des deux femmes qu’il venait d’honorer. Pendant son éjaculation, Sara ne cessa pas de l’embrasser et de le masturber. Après de longs jets, il tomba dans le fauteuil le plus proche et Sara prit place dans l’autre. Ses deux amantes d’un instant reprirent leurs esprits et s’habillèrent. Elles vinrent l’embrasser et Sara échangea avec elles un baiser.



Les deux femmes partirent, les laissant seuls. Il s’habilla à son tour, satisfait et se sentant revigoré.



Malgré le lieu, ils se mirent alors à discuter de politique, et il apprécia de pouvoir obtenir ses avis et ses opinions franches sur une foule de sujets.





Au dix-septième jour de la campagne, il se rendit compte, lors d’une activité de soirée où il devait prononcer une allocution, que Sara lui manquait et qu’il ne l’avait pas vue récemment autant qu’il l’aurait souhaité. Surtout, il réalisa que malgré le sexe qu’il pouvait avoir avec d’autres femmes, il lui manquait celui qu’il pouvait avoir avec elle.


Perdu dans ses pensées, il repassait ses notes. Les organisateurs du débat avaient octroyé une salle de préparation à chaque candidat, et c’est assis derrière le bureau de cette petite pièce qu’il repassait ses notes. C’était la première fois qu’il allait débattre avec ses opposants, et le thème du jour, il ne le maîtrisait pas tant que ça. La pollution et ses effets sur la faune du Boisé Sacré ne constituait pas vraiment son domaine d’expertise. Il ne pouvait pas croire que tous ces gens qu’il avait salués à l’entrée étaient tous venus pour entendre parler de ce sujet. Mais il voulait quand même maîtriser chaque chiffre, chaque détail…


La campagne se déroulait bien, et malgré le fait qu’il ne baissait pas le régime, les derniers sondages indiquaient que son plus proche concurrent se rapprochait de lui. Après avoir pris connaissance de ces chiffres, il avait immédiatement voulu changer de stratégie et son équipe avait dû déployer de grands efforts pour l’empêcher de faire une sortie publique qui aurait été plus néfaste que bénéfique. Ce genre de soubresaut de l’opinion publique était normal en milieu de bataille et il s’en était vite rendu compte lui-même.



Sa directrice de campagne, aussi sur les dents que lui ce soir, s’était glissée par la porte pour lui dire cela. Femme d’âge mûr au comportement digne d’une Mère supérieure, il n’éprouvait aucun désir pour elle, et il soupçonnait même le bureau du Premier ministre de lui avoir envoyé cette femme pour s’assurer qu’il ne serait pas tenté par un acte de luxure. Si cela avait été le cas, il se dit que c’était mission réussie. Mais quelle organisatrice c’était ! Depuis le début de la campagne, c’étaient de réels miracles qu’elle faisait se produire à répétition, et s’il gagnait, ce serait grâce à elle en grande partie.


Perdu dans ses pensées, il reçut un SMS.


20:32 - Préparation finale pour le débat, mon chéri ?


20:32 - Oui. J’ai envie de toi…


20:32 - Moi aussi.


Il entendit alors un petit bruit contre la vitre derrière lui et il se tourna. Dans la pénombre, cachée derrière un arbre, il vit Sara sur la pointe des pieds, complètement vêtue de noir, agiter son cellulaire dans sa direction.


20:33 - Ouvre la fenêtre et aide-moi à monter.


Il ouvrit alors la grande baie vitrée et prit la main qu’elle lui tendait. En regardant, il vit que de l’autre côté d’une haie plusieurs des personnes venues pour les écouter fumaient et discutaient. Il l’aida à monter et referma la fenêtre dès qu’elle fut à l’intérieur.



Elle le poussa sur la chaise et alla verrouiller la porte. Vêtue de collants noirs et d’un top moulant, elle s’approcha de nouveau de lui. Elle déposa son manteau, prit les feuilles qu’il lisait avant son arrivée et les lui tendit.



Elle se mit à genoux entre ses jambes et défit sa fermeture Éclair. Lui, à quelques minutes du débat le plus important de sa campagne, allait se faire sucer. Sa queue fut vite entre les mains de Sara, et lorsqu’elle la mit en bouche, il poussa un grand soupir d’aise. Il eut quand même la présence d’esprit de défaire sa ceinture et de baisser un peu son pantalon de costume. Il ne pouvait se permettre une tache, le débat se déroulant debout, sans pupitre. Il relâcha même son nœud de cravate. Elle le suçait avec gourmandise, humidifiant bien toute sa hampe, jouant avec ses testicules de sa main libre.



Par chance, elle n’avait pas tenté d’entrer car Sara n’avait pas même pas ralenti ses mouvements. Elle joignit alors les deux mains à ses mouvements de bouche et se mit à le masturber de splendide manière. Il se sentit littéralement aspiré et, toute à sa tâche, Sara leva les yeux vers lui, y allant d’un regard purement indécent. Lorsqu’il fut sur le point de jouir, elle le sortit de sa bouche et continua à le masturber, d’une main plus qu’habile. Retenant ses soupirs, il lui barra le visage de plusieurs longues lignes de sperme qu’elle reçut sans dire mot, avant de finalement cesser ses mouvements.



Sa directrice tenta d’ouvrir la porte.



Sara se leva alors et vint l’embrasser sur la joue, faisant attention de ne pas mettre du sperme sur son visage.



Aussi rapidement qu’elle était venue, elle remit son manteau, ouvrit la fenêtre et sauta dans la nuit. Il remonta son pantalon, réajusta sa cravate et alla répondre à la porte.



Sa directrice de campagne regarda alors par-dessus son épaule et vit un peu de neige par terre ainsi que la grande fenêtre ouverte. Il s’en aperçut.



Se sentant dangereusement bien, il prit la direction du grand amphithéâtre. Et ce soir-là, il livra la performance de sa vie. Ses idées étaient bien en place dans sa tête et il réussit à s’imposer comme le grand expert d’un sujet qu’il ne connaissait pas vraiment, répondant aux attaques de ses opposants avec aplomb et réussissant à les coincer sur des questions très pointues, les faisant passer pour des débutants.






Le reste de la campagne se déroula à merveille. Ces événements attiraient de plus en plus de gens et les sondages indiquaient une très forte préférence des électeurs en sa faveur. Toutefois, ne prenant rien pour acquis, les journées étaient de plus en plus longues, et chaque jour il se demanda s’il pourrait survivre à cette campagne ne serait-ce qu’un jour de plus.


Le jour du vote, c’est accompagné de Sara qu’il fit son entrée dans le local de campagne, applaudi à tout rompre par plusieurs centaines de partisans. Il fut pris en photo et fit le tour de tous les bénévoles qui enchaînaient les appels de dernière minute pour faire sortir le vote.

Il prit alors place sur un podium et réclama le silence. En bras de chemise, Sara et son équipe rapprochée à ses côtés, il prit la parole :



Il descendit de l’estrade et embrassa Sara sous les applaudissements nourris.



Il monta et referma la porte derrière lui. Ce local, il avait appris à s’y sentir bien et il prit place dans un vieux fauteuil, posant les pieds sur une caisse de lait. C’était un ancien magasin de vêtements pour femme, et dans ce qui avait été le bureau du gérant, il ne tarda pas à s’assoupir, entendant les bruits de la grande salle devenir de plus en plus distants.







Il ouvrit péniblement les yeux et vit Sara, splendide dans sa jupe surmontée d’un tailleur bleu, penchée sur lui. Il la vit sourire paisiblement, attendant qu’il reprenne contact avec la réalité.



Il s’étira les bras.



Il tourna la tête et fut surpris de voir une des bénévoles, devant avoir à peu près 22 ans, se tenir un peu à l’écart d’eux. Fille menue à la poitrine menue, elle les regardait tous les deux. Son pantalon beige et son chemisier blanc la mettaient particulièrement en valeur, ses cheveux, attachés en queue, tombaient sur une de ses épaules.



Toujours à ses côtés, Sara fut amusée de le voir se redresser sur sa chaise, enlevant ses pieds de leur appui.



La bénévole avait prononcé cette phrase en regardant le plancher.



Sara se releva et le fixa.



Il se releva et enleva sa chemise, dévoilant son torse dont Pénélope sembla se régaler du regard.



Il l’entraîna devant la grande partie fenêtrée du bureau, celle qui donnait une vue imprenable sur le local du niveau inférieur où il voyait toute son équipe s’affairer aux préparations finales. Par chance, cette fenêtre empêchait de voir ce qui se déroulait à l’étage. Elle se mit devant lui et l’embrassa pendant que Sara lui caressait le dos. La nouvelle venue tomba alors à genoux et fit descendre son pantalon, libérant sa queue fièrement dressée.



Il la poussa jusqu’à ce que son dos soit en contact avec la baie vitrée et inséra sa tige dans la bouche de la jeune fille. Un peu maladroite au début, elle réussit finalement à la prendre de manière un peu plus convaincante en bouche et il se sentit apaisé. Sara, toujours derrière lui, observait la scène.



Après à peine quelques minutes dans la bouche de Pénélope, il eut besoin de plus et la redressa. Elle se tourna, prit appui sur la vitre et cambra le dos. Il fit délicatement descendre le pantalon à ceinture élastique de la fille et découvrit une charmante paire de petites fesses complètement nues. Ainsi donc, cette bénévole était venue travailler sans sous-vêtements. Sara lui tendit un condom, et rapidement il en couvrit sa queue. Fléchissant légèrement les genoux, il s’introduisit dans le vagin de la fille et la posséda très lentement. Elle était si étroite qu’il crut éjaculer dès qu’il sentit le vagin se resserrer sur sa verge.



Encouragé par Sara, il fit gémir Pénélope. Celle-ci, les bras bien en appui sur la vitre, sembla jouir de manière ininterrompue, bougeant sa tête de côté, n’étant pas capable de parler. Après un temps qu’il ne fut pas capable de quantifier, il se retira de sa nouvelle amante et enleva le condom. Elle voulut se retourner mais il la maintint en position pour se masturber au-dessus de ses fesses. Après quelques mouvements, c’est dans un long râle qu’il se sentit partir, Sara lui caressant toujours le corps. Lorsqu’il regarda les fesses de Pénélope de nouveau, ce fut pour les voir couvertes de sa semence.


Sara s’éloigna quelques instants et revint avec une grande serviette qu’ils utilisèrent pour s’essuyer avant de se rhabiller.



Sa queue encore humide remise dans son pantalon et sa chemise boutonnée de nouveau, il ouvrit la porte pour les deux femmes et les suivit dans l’escalier. Entouré des deux femmes et d’une horde de partisans, ils allèrent prendre place devant un mur de téléviseurs. Quelques minutes plus tard, la plus grande chaîne de nouvelles du pays interrompit le reportage en direct d’un de ses journalistes et le visage de leur présentateur vedette apparut.



Il avait entendu son nom prononcé des centaines de fois, mais celle-ci était toute spéciale. Sara le prit dans ses bras et le félicita ; et la deuxième à le féliciter fut cette jeune femme qu’il pénétrait quelques minutes plus tôt. Avec un petit sourire coquin, elle lui dit qu’elle avait été contente de travailler pour lui. Il la remercia et sentit son cellulaire vibrer sans interruption dans sa poche.

Sa directrice de campagne s’approcha alors d’eux, et quand il prit son cellulaire en main elle s’adressa à lui :



Elle lui tendit son téléphone, et c’est en enlaçant Sara qu’il prit la communication.


Quelques mois plus tôt, il menait une carrière florissante dans le secteur privé, ne désirant pas changer sa vie. Mais les événements récents lui avaient donné le souffle nécessaire pour s’investir dans de nouveaux défis, et ce soir, c’était la première étape d’une nouvelle vie dont il savourait l’accomplissement.









Je tiens à remercier l’ensemble des gens qui ont pris la peine de m’écrire. Je travaillerai dans les prochains temps à une autre série qui décrira les péripéties de notre homme, maintenant élu. Au plaisir d’échanger avec vous !