n° 16666 | Fiche technique | 34595 caractères | 34595Temps de lecture estimé : 19 mn | 01/03/15 corrigé 09/06/21 |
Résumé: Lors d'un congrès à Québec, il apprécie les plaisirs de sa nouvelle vie et prononce un discours qui aura de lourdes implications. | ||||
Critères: f fh couple couplus extracon extraoffre cocus inconnu hotel fête fmast facial fellation préservati pénétratio fsodo hdanus québec | ||||
Auteur : Sweetguyqc Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Du plaisir interdit Chapitre 07 / 08 | Épisode suivant |
Résumé de l’épisode précédent : Karen est revenue précipitamment du Nord, et lors d’une conversation surprise à quatre, elle et lui ont pris la décision de se quitter. Lors de la fête de Noël de son bureau, il a pu vivre à plein sa nouvelle vie avec une employée de son bureau et Sara.
Le retour au bureau avait vraiment été un des pires de toute sa vie. Il avait toujours adoré travailler, et cela n’avait jamais été dur de se réveiller le matin. Le domaine dans lequel il exerçait lui plaisait bien et son équipe de collaborateurs, maintenant rodée, faisait littéralement des miracles, ce qui faisait en sorte que les affaires étaient bonnes.
Mais cette année, après tant de bouleversements, c’est avec regret qu’il avait mis fin à ces doux moments passés avec Sara sous la couette. Ils se voyaient dès que possible le soir, saisissant toutes les occasions d’être ensemble. Et durant le jour, les SMS circulaient énormément aussi, pour leur plus grand plaisir à tous les deux. Il se sentait bien, et elle n’arrêtait pas de lui dire qu’elle aussi. Le bonheur, ce n’était peut-être finalement que ça. Pouvoir tout partager avec quelqu’un, sans retenue.
D’après ce qu’il avait su par des amis communs, Karen n’avait jamais aussi bien été, et il avait été très heureux de l’apprendre. Un soir, il avait même reçu un SMS d’elle. Y était joint une photo d’Anastasia, nue, qui semblait dormir.
22:08 - Je suis heureuse de l’avoir dans mon lit. Elle me fait jouir et me rend bien. Elle m’a parlé de toi récemment et ne serait pas contre le fait que l’on se revoie pour que tu la prennes. Qui sait, peut-être un jour ?
22:09 - Content pour toi. Tu le mérites.
Il avait alors montré son cellulaire à Sara qui avait ri, et qui semblait perplexe devant l’absence de réponse de sa part à cette offre.
À la fin janvier, le congrès annuel de son Ordre professionnel se tenait dans la magnifique ville de Québec. Il avait été approché par le Conseil d’administration pour y faire le discours d’ouverture, et c’est dans le train, en route pour cette vieille ville, qu’il y mettait la dernière touche. Cette présentation avait été écrite par son équipe, mais il aimait bien mettre sa petite touche magique à ce genre de discours avant de les prononcer en public.
L’hôtesse s’approcha de lui et il observa du coin de l’œil son mouvement de hanches alors qu’elle déambulait dans l’allée, les yeux bien fixés sur lui. Il aurait bien aimé lui enlever son uniforme ou l’inviter dans sa chambre, mais il était tellement comblé avec Sara qu’il n’en sentait plus le besoin comme avant. En fait, se dit-il à ce moment, il en sentait encore le besoin, mais il était juste moins grand.
Il reprit du vin et se remit à ses notes. Il serait arrivé à Québec dans moins d’une heure. Descendant à la gare du Palais, cela serait une courte balade en taxi pour arriver au Château Frontenac moins de dix minutes plus tard, et il avait hâte de prendre possession de sa suite. Il se dit que cela faisait bien trop longtemps qu’il y était venu. Cette ville, avec ses gens souriants, ses bistros à l’atmosphère feutrée et ses femmes splendides lui manquait. Depuis ses études, il y venait quelquefois dans l’année et chaque fois qu’il la quittait, c’était avec un peu de mélancolie au cœur. Et pour cause, car que de plaisirs divers avait-il eus à l’intérieur de ses fortifications…
Il éteignit la lampe de sa table, finit sa coupe de vin et se tassa confortablement dans son siège, tombant assoupi en observant le paysage enneigé qui défilait rapidement à l’extérieur.
En arrivant à la gare, c’est les deux pieds dans la neige qu’il tenta de héler un taxi. Ses petits souliers de cuir firent vite trempés, et malgré toute sa bonne volonté, il ne fut pas en mesure de héler un taxi, tous ceux qui passaient devant lui étant déjà occupés. Encore une fois, il aurait pu se rendre au terminus des taxis et faire la file avec le reste des passagers, mais il ne pouvait s’y résoudre. Le terminus, se trouvant dans la nouvelle partie, avait une architecture moderne jurant avec le reste des bâtiments ; et pour lui, prendre un taxi à la gare, cela se faisait à l’ancienne, dans le grand hall.
Alors qu’il allait se résoudre à faire comme tous les autres, un taxi s’arrêta devant lui et la portière arrière s’ouvrit. Une jolie blonde sortit le visage.
C’était l’hôtesse. Il fut un peu surpris et l’observa brièvement, le col de son manteau relevé sur le cou, le maintenant en place d’une main.
Il prit place dans le taxi après avoir mis sa valise dans le coffre et il dit au chauffeur de prendre la direction du Château après le premier arrêt.
Il regarda le paysage de tempête dans la nuit naissante mais il détourna vite le regard pour fixer la belle grande blonde qui prenait place à ses côtés. Elle était un peu plus petite que Sara, avec une poitrine qui semblait être de la même grosseur. Ses cheveux blonds, courts, touchant à peine la base de son cou, dégageaient une très bonne odeur. Une odeur d’agrumes, qu’il put finalement identifier comme étant du melon d’eau.
Le taxi arriva bien vite à l’hôtel et il sortit pour permettre à la jeune femme de regagner le trottoir du bon côté. Elle prit la valise que le chauffeur lui tendait et s’adressa à lui :
Et en le regardant dans les yeux, elle lui donna alors les dix chiffres de son numéro de téléphone avant de l’embrasser sur la joue et de disparaître dans le lobby.
À peine avait-il mis les pieds dans sa suite qu’il ouvrit le mini-bar. La température extérieure, proche de trente degrés sous le niveau de référence, lui avait littéralement glacé le sang. Étant devenu au fil des ans un client privilégié de cet établissement, le valet avait demandé un porteur immédiatement en l’apercevant, et c’est sans passer au comptoir qu’on lui remit deux clefs de sa suite avant de l’y escorter.
Il dévissa le bouchon d’une bouteille de Johnny Walker et s’en versa un verre avant de prendre place dans un des fauteuils, fixant de son salon faiblement éclairé le fleuve Saint-Laurent. Majestueux, même de nuit, il l’avait toujours attiré ; c’est une des raisons pour lesquelles il avait toujours choisi cet hôtel. Les pieds posés sur la table, il repensa aux derniers jours.
Sara, cette femme qu’il avait trop longtemps considérée comme étant sa maîtresse, était devenue suite à un concours de circonstances sa conjointe, et cela lui plaisait, rien que d’y penser. Son cellulaire émit un son.
19:07 - Tu es arrivé ?
19:08 - Oui, à peine.
19:08 - Ça s’est bien passé ?
19:09 - Oui. La température est exécrable.
19:10 - Ici aussi. J’ai hâte d’être à mardi pour te revoir. Et te réchauffer ;)
19:11 - Tu m’as bien réchauffé hier, pourtant…
19:12 - Je ne voulais pas que tu t’en ailles ;)
Hier, quand il était revenu du bureau, elle l’attendait dans le lit, nue, et s’était vraiment bien occupée de lui. Rapidement couché à côté d’elle, elle lui avait fait ce qu’il avait convenu de considérer à partir de ce jour comme la meilleure fellation qu’il avait reçue de toute sa vie. Lorsqu’elle avait en plus inséré le bout d’un doigt dans son anus, ce fut trop pour lui, et c’est dans un long râle qu’il s’était épanché dans sa bouche. Après un verre qu’ils avaient par la suite pris, c’est dans des positions diverses qu’ils avaient fait l’amour jusqu’à ce que le soleil soit bien couché. Lorsqu’elle l’avait chevauché, il l’avait bien observée alors qu’elle faisait osciller sa généreuse poitrine et savourait la longueur de sa verge, et il s’était dit, pour la énième fois au cours des derniers jours, qu’il était aux anges de ne plus se cacher. Quand ce fut à son tour de la prendre, alors qu’elle était étendue sur le ventre dans le lit, il avait apprécié de l’entendre gémir grâce à cette queue, maintenant à elle, qui lui procurait des sensations dont elle ne pourrait jamais se passer.
Au petit matin, il avait fait ses valises sans la réveiller et avait quitté la maison après l’avoir observée une dernière fois, dans cette chambre remplie d’odeurs de plaisirs chastes pas si lointains.
Il prit une longue gorgée de scotch et s’alluma une cigarette.
19:13 - J’ai bien failli rester.
19:14 - Je t’aime. Et j’ai hâte de te revoir. Et je te souhaite de pouvoir t’amuser malgré tout cette semaine.
19:15 - Nous verrons. N’oublie pas également : tu m’as beaucoup fait plaisir récemment, mais si tu as l’occasion d’avoir du plaisir, n’hésite pas non plus.
19:16 - Je n’hésiterai pas…
Allait-il regretter cette phrase ? Elle l’avait laissé s’amuser, avec ou sans elle, mais qu’en serait-il lorsqu’elle voudrait s’amuser également ? Il se dit alors que cette pensée, bien que troublante, l’amusait et l’excitait énormément. N’était-ce pas là, après tout, la nature de l’entente de transparence totale qu’ils avaient prise ?
Il composa alors le numéro qu’il avait mémorisé quelque temps plus tôt et écrasa sa cigarette dans le cendrier, devenant plus excité qu’il ne l’aurait cru possible.
19:20 - Bonsoir. L’offre est toujours valide pour ce verre ?
19:21 - Bien sûr. Je sors à l’instant de la douche.
19:22 - Où désires-tu le prendre ?
19:23 - Si cela ne te dérange pas… dans ta chambre ?
Eh bien, ce séjour à Québec s’annonçait prometteur.
19:24 - Ça ne me dérange pas, mais avons-nous les mêmes envies ?
19:25 - Oui, je crois bien que oui. Je veux passer un bon moment avec toi.
19:26 - Et je veux baiser.
19:27 - C’est ce que j’entendais par bon moment.
19:28 - Je suis en couple.
Mais pourquoi, grands dieux, avait-il mentionné cela ?
19:29 - Moi aussi. C’est la raison pour laquelle je ne t’ai pas demandé en mariage.
Il sourit alors, se disant que le fait de ne pas se cacher avait soudainement bien des avantages.
19:30 - ;)
19:31 - 21:00 ?
19:32 - 21:00 ce sera. À tantôt.
Il lui envoya son numéro de chambre et déposa son iPhone. Il reprit une autre gorgée de scotch, finissant le verre et s’en reversa un autre, se disant que cette petite blonde lui avait peut-être finalement fait plus d’effet qu’il ne le croyait. Il reprit son iPhone.
19:38 - Sara ?
19:38 - Oui ?
19:39 - J’ai rencontrée une femme dans le train aujourd’hui et j’en ai envie.
19:40 - Tu ne perds pas ton temps. Tu en as envie ?
19:41 - Oui.
19:41 - Eh bien n’hésite pas. Tu m’aimes ?
19:42 - Oui.
19:43 - Moi aussi. J’aime notre franchise. Tu me raconteras tout ?
19:44 - Oui.
19:45 - Je suis à la maison. J’attendrai donc les détails…
19:46 - Oui. Je t’embrasse.
19:47 - Moi aussi.
Il se leva alors et alla prendre une longue douche chaude avant de revêtir son pantalon de détente en soie légère et un tee-shirt, sur lequel il mit un gros pull confortable. Et il se dit que cette nouvelle vie, c’était finalement ce qu’il avait toujours souhaité.
L’inconnue arriva à l’heure convenue et il l’accueillit par un long baiser, debout, contre la porte ouverte, comme s’ils se connaissaient depuis toujours, puis il la fit entrer et prit son manteau. Elle aussi avait revêtu une tenue plus légère mais, malgré le fait que ses nouveaux vêtements fussent moins étroits que la dernière fois qu’il l’avait vue, elle était toujours aussi désirable, le regard coquin. Ils passèrent au salon et il lui offrit la coupe de rouge qu’elle avait demandée après qu’il lui eut offert à boire. Elle prit place à ses côtés, ce qui lui permit de humer son doux parfum, ce qui finit de l’émoustiller encore davantage. Après à peine quelques heures, il avait dans sa chambre cette splendide femme, sans trop d’efforts. Il se plut alors à penser qu’il n’était pas le seul à avoir ce genre d’envie.
Il se leva alors et commença à se dévêtir. Sa queue à peine libérée, elle s’avança et la prit en bouche, la suçant sur toute sa longueur, ne mettant pas longtemps à le faire durcir complètement. Il savoura chacun de ses coups de langue et le talent qu’elle déployait, le masturbant en même temps. Elle le suça pendant de longues minutes, et en observant ses cheveux aller et venir, il se surprit à croire que c’était Sara, là, assise sur ce divan, en train de l’honorer.
Il se surprit à poser la question, certain qu’elle allait dire non. Elle sortit la queue de sa bouche et répondit :
Elle remit sa queue dans sa douche, poursuivant ses doux attouchements, et il étendit le bras pour saisir son téléphone. Il prit une photo, de son point de vue à lui, et l’envoya à Sara.
21:14 - Hmmmmm… Elle semble se régaler…
21:15 - Oui. Elle est très belle car elle te ressemble.
21:16 - Tu es gentil.
21:17 - Ça ne te dérange pas, tu es sûre ?
21:18 - Non mon amour. Profites-en, et j’adore que tu m’envoies des photos.
Son cellulaire toujours en main, il la leva et l’embrassa à pleine bouche, lui serrant le cou. Elle frissonna et s’écarta un peu pour se dévêtir, ne le lâchant pas des yeux. Elle arrêta toutefois son effeuillage à la taille, se retrouvant la poitrine nue mais portant toujours sa jupe. Elle fouilla dans son sac et lui tendit un préservatif.
Il voulut l’embrasser de nouveau mais elle s’écarta doucement.
Elle se plaça sur le lit, son buste sur la couette hors de prix et fit jaillir ses fesses. Elle releva sa jupe et tassa son string d’un doigt, lui faisant dos. Il fut surpris qu’elle ne veuille même pas se dévêtir au complet mais décida qu’il pouvait bien accepter cette petite contrainte. Il aurait pourtant voulu voir son corps au complet et le caresser, de la tête aux pieds. Il sortit alors le condom de son emballage et le plaça sur sa verge bien tendue. Il humidifia d’un peu de salive la chatte qui lui était offerte et s’inséra en elle, lui arrachant un petit cri de surprise. Sans aucune douceur, il commença à la pistonner avec fermeté, y allant même après quelques poussées d’une claque sur sa fesse gauche. Ce contact surprenant la fit gémir plus fort et elle lui demanda de lui en redonner une autre, ce qu’il fit. Il lui tira les cheveux d’une main, observant son visage crispé par le plaisir qu’elle recevait et il reprit une photo, cette fois de sa queue à moitié entrée dans le vagin humide de cette inconnue dont il ne savait même pas le nom et l’envoya à Sara. La réponse ne se fit pas attendre.
21:34 - Tu m’excites de m’envoyer cela… Prends-la fort. Je me touche et je suis très humide. J’aime savoir que, pendant que tu la défonces, tu penses à moi.
Il continua alors ses mouvements, entrant et sortant de cet orifice, leur arrachant à tous deux des gémissements de plaisir. Lorsqu’il fut bien entré, il resta en elle et aventura un doigt sur son anus qu’il massa, essayant de le faire pénétrer.
Il enleva alors son doigt et recommença à la prendre avec encore plus force, lui tirant toujours les cheveux. Elle ne connaîtrait pas le plaisir qu’il pouvait lui procurer de ce côté, mais elle se souviendrait longtemps de cette soirée. Elle jouit peu après et il sentit un petit jet de liquide envelopper sa queue, finissant par couler sur le lit. Perdue dans son orgasme, elle s’effondra, la queue de son amant toujours bien en elle. Elle la quitta après quelques instants pour se mettre sur le dos, silencieuse.
Il la regarda brièvement et vint se mettre à ses côtés, à genoux, dans le lit. Il se masturba à quelques centimètres de son visage, et au moment de son éjaculation, il dirigea sa queue vers sa poitrine qu’il enduisit de sperme pendant qu’elle le regardait de ses beaux grands yeux évocateurs.
Elle rit, se leva et saisit une serviette dans la salle de bain pour s’essuyer le visage. Elle mit ses vêtements pendant qu’il la regardait, et se tourna vers lui :
Et elle quitta la chambre. Il recontacta Sara.
21:53 - Ce fut très bien. Merci de me permettre de vivre cela.
21:54 - Mon plaisir. J’ai aimé me toucher en pensant à vous.
21:55 - Pour ton information, elle ne m’a pas laissé prendre ses fesses.
21:55 - Elles ne peuvent pas toutes être comme moi… ;)
Le matin du début de l’assemblée, c’est le cœur léger et se sentant dangereusement en forme qu’il s’était éveillé tôt, le soleil filtrant par les rideaux de la grande chambre qu’il avait oublié de fermer la veille. Après une douche et un café, il avait enfilé un de ses complets noirs qu’il préférait et les boutons de manchettes que Sara lui avait offerts il y a quelques jours. Comprenant chacun un diamant bleu, ils allaient à merveille avec sa chemise et sa cravate dont les teintes étaient similaires. Au moment où il les attachait, Sara lui avait envoyé un message lui disant qu’elle l’aimait, qu’elle lui souhaitait bonne chance pour son allocution de ce soir, et aussi pour lui dire de ne pas s’inquiéter si elle ne répondait pas tout de suite après le souper car elle sortirait avec des amis. Il avait répondu qu’il l’aimait aussi.
La journée s’était déroulée de manière très agréable, lui permettant de reprendre contact avec de vieux collègues et également d’anciennes conquêtes. Il avait même revu la fille qu’il avait baisée le soir du nouvel an avec Sara. Celle-ci lui avait lancé un regard complice avant de s’éloigner au bras d’un homme plus âgé que lui. Elle avait su trouver quelqu’un pour assouvir ses envies, mais il se dit qu’il la prendrait bien de nouveau si l’occasion se présentait.
Vers 20 heures, après quelques verres lors de l’apéro, il entra dans la grande salle de bal et alla rejoindre sa place à la table d’honneur, saluant les convives qui le remercièrent d’avoir accepté son offre de venir prononcer le discours d’ouverture. Il leur dit que cela lui faisait grand plaisir, avant de s’assoir.
Quelques minutes plus tard, alors que tous commençaient à attaquer leur assiette au son d’un quatuor à cordes, le président de l’Ordre prit place au pupitre et attendit que la musique se soit tue avant de s’adresser à la foule.
« Mesdames et Messieurs, bienvenue aux 84èmes assises annuelles de notre Ordre. Au nom du Conseil d’administration, j’ai grand plaisir à vous accueillir dans le cadre majestueux de la ville de Québec pour que l’on puisse… »
Alors qu’il écoutait l’allocution, il sentit son cellulaire vibrer.
20:24 - Chéri, j’ai la chance de baiser un ancien amant. Cela te dérangerait ?
Son cœur ne fit qu’un tour. Nous y étions donc. Cette rivière, ce pont, il venait de l’atteindre.
20:25 - Si tu en as envie, je te souhaite du plaisir.
20:26 - Merci. Il est là et j’en meurs d’envie.
20:26 - Je t’embrasse.
« …permettez-moi donc d’accueillir sans plus tarder un homme, qui dans la dernière année, a fait rayonner notre profession autant au pays qu’à l’étranger. Un homme qui incarne littéralement ce que nous voulons être… »
L’esprit un peu troublé, l’excitation bien présente par ce qui allait se dérouler à des centaines de kilomètres de lui, il entendit des applaudissements et finit par se lever, rejoignant le président derrière le pupitre, le remerciant pour ses chaleureux mots.
Pendant que les applaudissements allaient diminuant, il plaça son téléphone sur le pupitre et ouvrit l’application qui lui permettrait de faire défiler le texte sur le téléprompteur. Lorsque tout fut bien en place, il fixa la salle, devenue silencieuse, fit une pause et se lança :
Il vit alors une photo apparaître sur son téléphone. Sara, les yeux taquins, s’était prise en photo en train de sucer une queue. Même dans ce genre de contexte, il ne put d’empêcher de la trouver belle. Il vit rapidement que cet organe n’était pas plus gros que le sien, mais son diamètre le rendait toutefois impressionnant. La main de Sara peinait à en faire le tour et elle semblait déjà bien enduite de salive, reluisant sous le flash de la photo. Il poursuivit :
Une autre photo apparut. Une main tenait la queue et la plaçait devant le visage de Sara, l’étendant de la base du menton jusqu’aux yeux. Il vit qu’elle était maintenant couchée, et surtout que ce n’était plus elle qui prenait les photos, ce qui, à sa grande surprise, l’excita encore plus.
20:44 - Merci de me permettre de la sauter. Je vais mettre un condom et la faire crier.
Un éclat de rire général s’éleva dans la salle. Il regarda de nouveau son cellulaire.
Une autre photo s’y trouvait et il vit la queue, cette queue complètement anonyme, maintenant coiffée d’un préservatif, insérée à moitié dans la chatte de Sara. Il vit les deux fesses bombées et son anus bien visible juste au-dessus de la queue. Il aperçut même le grain de beauté sur sa fesse droite, celui qu’il aimait tant caresser après l’avoir honorée. Cette position, elle l’aimait tant qu’il ne fut pas surpris que ce fût elle qu’elle avait choisie pour se faire baiser par son amant d’un soir. Ne ressentant aucune jalousie, il sentit même sa queue se durcir dans son pantalon, et c’est avec soulagement qu’il posa les mains de chaque côté du pupitre, sa masculinité grandissante étant à l’abri derrière celui-ci.
20:51 - Ça faisait trop longtemps. Elle est si chaude.
21:04 - Je vais maintenant lui prendre les fesses. Elle crie beaucoup. Et elle aime que je t’envoie des SMS en la prenant.
Une photo était jointe, encore une fois. Il aperçut la queue, le gland bien figé dans le fondement de Sara. Son érection devint rapidement insoutenable. La main de l’homme semblait exercer une pression sur le bas de son dos. Il put voir la main de Sara qui tenait la queue qui la sodomisait à la base, guidant probablement son avance.
21:07 - Merci de me la prêter. J’ai toujours raffolé de ses fesses étroites. J’ai toujours l’impression que c’est la première fois qu’elle se fait prendre par là.
Timides au début, les applaudissements devinrent de plus en plus nourris, et la grosse annonce qu’il venait de faire créa un tonnerre d’encouragements de la salle. Plusieurs journalistes présents dans la salle sortirent alors leur cellulaire et se mirent à diffuser la nouvelle, incrédules.
21:17 - Elle me dit qu’elle aime que je lui prenne le cul, mais que ce n’est pas comme toi. J’ai quand même réussi à la faire jouir, mais tu dois être bien monté. Je vais lui venir dessus bientôt.
L’assistance se leva d’un bond, le gratifiant d’une longue ovation. Levant les mains, il accueillit avec modestie le déluge d’applaudissements avant de regarder une nouvelle fois son cellulaire.
La photo de Sara, le visage souriant, était couvert de sperme et elle avait un doigt entre les lèvres.
21:24 - Ce fut splendide. J’ai joui très fort. Ils ont diffusé ton discours en direct à la TV. J’ai aimé me faire prendre et te voir recevoir mes SMS. Tu as très bien fait ça. Je t’aime.
Il quitta le pupitre et serra la main du président et des autres invités d’honneur, qui n’eurent de cesse pendant de longues minutes de le féliciter. L’esprit ailleurs, il les écouta tous d’une oreille distraite, étant pris d’une envie de savourer le corps d’une femme qui allait en décuplant.
Il écouta le président poursuivre son allocution et sortit son téléphone de nouveau.
21:29 - Tu m’as vraiment excité.
21:30 - C’était le but… Il vient de partir. Je suis bien, couchée dans le lit, et j’ai encore envie.
21:32 - Tu es insatiable !
21:33 - Tu m’aimes comme cela.
21:34 - Oui, en effet.
21:35 - Ils viennent de mentionner que ton nom circulait pour te présenter aux prochaines élections. As-tu oublié de me dire quelque chose ?
21:36 - Non.
Ce n’était pas la première fois que son nom circulait. Il vit alors les journalistes se rassembler à l’entrée de la salle et regarder dans sa direction.
Une des ces connaissances se pencha vers lui et murmura :