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Temps de lecture estimé : 14 mn
12/03/15
Résumé:  La vie d'un jeune coopérant à Madagascar est bien morne. Heureusement, les hasards du placement de cette soirée du Nouvel An m'ont assis à côté d'une jolie Malgache, qui semble elle-même trouver du charme à son vazaha (étranger) de voisin.
Critères:  fh jeunes couleurs vengeance intermast pénétratio init -prememois
Auteur : Seb Le Prestre      Envoi mini-message

Série : Madagascar

Chapitre 01
Anne-Marie et le vazaha

Cette histoire s’est déroulée au milieu des années soixante, alors que je fus convoqué pour mon service national. Comme j’en avais la possibilité, j’avais demandé une affectation dans la Coopération pour enseigner dans un des pays nouvellement indépendants. Je choisis dans l’ordre : le Gabon, le Cameroun et Madagascar. Je fus envoyé à Madagascar et affecté dans une petite ville de la côte nord-est.


Pour ceux qui ne le savent pas, Madagascar est dans l’hémisphère Sud, entre l’Équateur et le Tropique du Cancer. Il y fait donc chaud toute l’année. Et sur la côte est, et il y a deux saisons : la saison des pluies et… la saison où il pleut toutes les nuits.


Le Nouvel An arriva. Bien sûr, en tant que « pauvre » militaire du contingent, je fus invité sans frais au réveillon du Cercle Franco-Malgache. J’étais placé à une table de jeunes, pour la plupart plus ou moins dans mon cas, à savoir provisoirement sans famille. Il y avait surtout une majorité de garçons, les coopérantes n’existant pas, et pour cause. De jeunes filles du pays furent donc placées à notre table pour respecter les bons usages qui veulent qu’à une table il y ait alternance de sexe à chaque place.


Je trouvai ma place entre la femme d’un coopérant et une jeune fille de la ville, qui se présenta à moi comme étant Anne-Marie. Au cours du repas, elle me dit qu’elle était à la fac à Tananarive, ce qui expliquait pourquoi je ne l’avais encore jamais vue en ville. Nous parlions de tout et de rien ; entre les plats je reculais ma chaise pour m’asseoir de biais et la regarder plus facilement alors que nous discutions.


Elle était assez mignonne, mais quand même pas d’une beauté à se retourner sur son passage. Sa peau avait un grain très fin, chose courante dans les familles originaires de la Réunion. Son cou était gracile et posé sur de larges épaules. Sa robe en tissu léger laissait entrevoir qu’elle avait de beaux seins mais pas de soutien-gorge. Sa taille était étonnamment fine et choquait presque, comparée à sa carrure. La longueur de sa robe ne me laissait pas juger de ses jambes, bien qu’elle les croisât souvent.


Juste avant de servir le dessert, l’orchestre se mit à jouer, invitant les gens à danser. Notre table se vida de ses occupants, nous restâmes seuls à continuer notre discussion. Je lui demandai si elle voulait danser, elle me répondit qu’elle n’y tenait pas particulièrement. La première danse finie, ce fut le tour d’un slow. Cette fois je l’invitai à danser. Elle refusa. Comme je lui demandai pourquoi, elle répondit :



Cette assertion crue venant d’elle me surprit. Je ne m’attendais pas à un tel vocabulaire. Soudain, elle prit nos verres, les remplit et se leva en disant :



Il faut savoir que le 31 décembre là-bas, il fait aussi chaud qu’en France fin juillet et que le temps est tout sauf gris. La véranda donnait sur la plage, et un délicieux vent frais soufflait du large. Le ciel était étoilé et seuls quelques nuages passaient de temps en temps pour masquer le clair de lune. Nous discutions des études en général, et de l’intérêt de telle et telle matière scolaire.



Un rock venait de commencer, mais je décidai de le danser en slow. On aurait pu faire passer beaucoup plus qu’une feuille de papier entre nous.



Elle ne répondit pas et continua à onduler au rythme de la musique. Le morceau terminé elle me susurra un merci qui se perdit dans le bisou qu’elle me fit sur la joue. Comme minuit approchait, elle décida de rentrer dans le club car elle devait faire les vœux d’usage à ses parents et ses nombreux amis.


À minuit pile, je serrais des mains en échangeant des banalités avec différents convives lorsqu’elle vint vers moi en me disant :



Elle me présenta son père puis sa mère. Ils me souhaitèrent tous deux un bon séjour, et sa mère ajouta :



Ce propos était passablement équivoque, mais je ne le relevai pas sur le moment. Nous dansâmes encore une fois où deux, puis je décidai d’aller me coucher. En quittant le club je remarquai que le ciel s’était couvert de gros nuages, et pressai le pas pour arriver chez moi avant les premières gouttes.


J’habitais une maison en dur construite sous un manguier et un tulipier du Gabon. Deux arbres au feuillage particulièrement important. Bien que fatigué, je décidai de prendre une douche. Je finissais de me sécher quand la pluie se déclencha. Les gouttes, comme d’habitude, étaient tellement grosses et le bruit de leur impact sur les feuilles était tellement fort qu’il couvrait pas mal de bruits environnants. Je devinai plus que je n’entendis le bruit de pas de quelqu’un en train de courir, puis celui du portillon de ma véranda. Le bruit d’un doigt sur les persiennes de ma porte me fit sursauter. Je reconnus la voix d’Anne-Marie.



En effet, il faisait tellement chaud que je dormais habituellement dans le plus simple appareil. J’enfilai un short, et lui ouvris.



Elle me répondit qu’elle avait oublié de me dire quelque chose d’important. Elle était toute essoufflée par sa course sous la pluie, et sa robe toute mouillée. Le tissu léger ne cachait plus grand chose, et laissait voir des seins quasiment parfaits. Je voyais aussi qu’elle avait un minuscule slip noir… En se jetant littéralement sur moi, elle m’embrassa à pleine bouche. Elle avait bu et son haleine sentait l’alcool. Je lui rendis son baiser avec plaisir.


Puis elle me demanda une serviette pour se sécher. J’allai décrocher ma serviette et quand je la lui tendis, ce fut pour la découvrir vêtue seulement de son slip… Je me ravisai et décidai de la sécher moi-même. De la tête aux pieds, en passant par ses seins que je pus juger au travers de la serviette comme étant très fermes. Je lui proposai un de mes shorts et une chemise pour cacher sa nudité et elle accepta. Elle mit d’abord la chemise et s’en servant comme d’une protection, elle enleva son slip qu’elle remplaça par mon short.



Je restai estomaqué. Curieux comportement ! Une jeune fille assez belle, que je ne connaissais pas vingt-quatre heures auparavant, qui éprouvait le besoin de me faire un baiser en guise d’étrennes, baiser qui était beaucoup plus que fraternel…



Petitement meublé, je n’avais comme siège qu’un seul fauteuil, le lit pouvant servir de canapé. Elle s’assit sur le lit, l’air un peu gênée. Visiblement elle ne savait plus trop quoi faire. Elle frottait nerveusement ses mains sur ses cuisses, comme si elle avait froid. Malgré la pluie qui continuait de plus belle, il faisait encore très chaud, pas loin de 28 degrés, et il était environ deux heures du matin.



La rizière proche de la maison était un formidable vivier à moustiques.



Ce qu’elle fit tout de suite. Alors qu’elle plaçait convenablement le tulle afin de border complètement le lit, la lumière s’éteignit. Il arrivait souvent pendant les grosses averses que le courant soit coupé. J’en avais l’habitude et j’avais disposé en plusieurs endroits bougies et allumettes pour parer cet inconvénient.


Dès que la lumière tremblante fut établie, je la vis penchée sur le lit, le short baissé sur ses genoux… Trop grand, il avait glissé pendant ses efforts pour placer la moustiquaire. Elle le réajusta d’un geste rapide en riant. La chemise trop longue avait caché sa croupe, et je n’avais rien vu. Mais l’effet suggestif avait été intense, je commençai à bander. Je pense qu’elle ne pouvait rien voir, mon short étant très ample.


Puis elle s’allongea sur le lit en soupirant d’aise.



J’attendais une invite de ce genre tout en la redoutant. Je me glissai sous la moustiquaire, enjambai son corps et m’allongeai en profitant du peu de place qui restait sur le lit. Elle avait les bras repliés et les mains sous sa tête. La faible lueur de la bougie nous éclairait et je contemplai un instant son visage. Elle semblait détendue, presque heureuse du moment présent. D’une petite voix, elle me demanda de la caresser.


J’avançai ma main droite vers sa poitrine et la déposai sur son sein droit. Je sentis le téton très dur et jouai avec. Passant à l’autre je fis la même opération. Elle défit deux boutons de la chemise et, prenant ma main, elle la mit dans l’échancrure pour que j’aie un contact direct sans l’intermédiaire du tissu. Puis elle défit les autres boutons et repoussa les pans de la chemise pour dénuder complètement sa poitrine. Elle était belle ! Je restai un moment sans rien dire, sans rien faire, subjugué par la beauté de ce que je voyais.


Approchant ma tête de son buste, je pris un téton entre mes lèvres et commençai à le sucer. Elle poussa un petit gémissement d’aise. De ma main libre, je commençai à caresser son ventre, tournant autour du nombril. Tout en continuant à téter son sein, je m’enhardis à faire descendre ma main vers son entrejambe. Elle me laissait faire, m’aidant même en écartant ses jambes.


Elle retira le short d’un savant mouvement de hanche sans que j’arrête mes caresses. Mes doigts coururent sur son mont de Vénus, jouèrent avec les poils. Mon index explora sa fente. Je sentis une légère humidité qui n’avait rien à voir avec la transpiration ou un reste de pluie. Les lèvres de son vagin étaient glissantes.


Repliant mon index, je le poussai tout doucement vers l’intérieur de son vagin. Elle me laissa pénétrer sans protester, bien au contraire. C’est comme si elle n’attendait que cela. Je pus introduire mon doigt complètement sans rencontrer la moindre résistance.



Je lâchai un instant son téton pour répondre :



Je repris ma caresse buccale sur son sein et tentai d’introduire deux doigts dans sa fente. Il n’y eut pas d’avantage de résistance qu’avec un seul, mais elle gémit de plaisir :



Elle parut apprécier encore plus quand je commençai un mouvement de masturbation avec mes doigts. Elle accompagnait mes mouvements avec son bassin, venant à la rencontre de ma main à chaque insertion. J’eus l’impression que son mouvement devenait de plus en plus régulier. Je la masturbais, et elle venait à ma rencontre comme par réflexe. Elle se mit à caresser son sein libre d’une main, et de l’autre elle libéra le second sein pour aussitôt le caresser. Elle avait les yeux fermés et se passait la langue sur les lèvres d’un mouvement de rotation. Visiblement ma caresse lui plaisait… Je continuai ma caresse jusqu’à ce qu’elle se mette à gémir. Son bassin remua de plus en plus vite, avec des mouvements de plus en plus rapides et courts.


Soudain, elle poussa un petit cri et son corps trembla. Je compris qu’elle avait un orgasme et je cessai de mouvoir mes doigts dans son vagin, mais les y laissai. Elle resta un long moment sans bouger, les yeux fermés, la bouche entrouverte. Elle m’attira contre elle pour m’embrasser longuement.



Et elle se serra d’avantage contre moi.


À ce moment elle réalisa que je bandais, que ma verge était dure et que peut-être j’avais moi aussi besoin de quelque chose. Elle me jeta un regard étrange, comme si elle me faisait le reproche de la désirer, comme si elle redoutait ce qui risquait de lui arriver.



J’avais touché en plein dans le mille. Elle sourit faiblement et se détendit instantanément. Elle passa le revers de sa main sur mon short, comme pour tester l’effet qu’elle me faisait. Elle dut être satisfaite, car elle inséra sa main dans le short pour prendre ma verge à pleine main. Elle n’était pas très expérimentée, car sa caresse me fit un peu mal. Mais elle modifia très vite son geste.


Dans un souffle, elle me demanda de la prendre.



Cet aveu fut plus facile que je le craignais. Elle me sourit presque tendrement.



J’enlevai mon short pendant qu’elle retira la chemise. Puis je m’allongeai sur elle. La pénétration fut facile. Elle était lubrifiée par la masturbation précédente.



Elle découvrit que l’intromission après des prémices convenables était aisée et agréable… Moi aussi d’ailleurs… Je me mis à pomper en elle. J’étais tellement excité que je ne sentis pas mon plaisir augmenter. Je la besognai avec des mouvements amples et réguliers. Sans que je le sente arriver, elle eut un nouvel orgasme. Un peu plus violent que le précédent… Je restai immobile entre ses cuisses le temps qu’elle se calme. J’étais au bord de mon plaisir et je me remis à pistonner.


Elle me regarda d’un air étonné puis elle comprit très vite que je n’avais pas encore joui. Elle se détendit et me laissa faire, immobile. Elle se contenta de caresser mon dos d’une manière presque distraite. J’avais l’impression de faire l’amour à une poupée gonflable. Subitement, j’éjaculai en elle. Je contractai instinctivement mes fesses, envoyant ma bite le plus loin possible dans son vagin. J’avais l’impression de complètement me vider.



Lorsque je repris mes esprits je lui demandai où elle en était avec ses règles.



Ainsi donc cette expérience n’était pas le résultat de mon charme, j’étais simplement l’instrument d’une vengeance. Quand je le lui fis remarquer, elle m’embrassa comme pour essayer de me convaincre du contraire.


Un long moment plus tard, après d’autres baisers, elle se leva, alla sous la douche pour sa toilette intime. Je la contemplai sans qu’elle se sentit gênée. Elle me sourit tout en extrayant mon sperme de son vagin. Je lui fis des compliments sur son corps, ses seins et ses jambes.


Après qu’elle se fut habillée, je lui proposai mon parapluie pour rentrer chez elle. Elle accepta avec joie et partit dans la nuit, protégée par le large golaz. Ce n’est que longtemps après, alors que je cherchais le sommeil, que je réalisai que c’était une excellente occasion pour elle de revenir me voir. Mais je puis vous assurer, sur l’honneur, que ce n’était pas mon but. Enfin, si vous ne me croyez pas vous n’aurez peut-être pas entièrement tort.


Je fini par m’endormir pour me réveiller juste avant midi.


À mon retour de la popote, je m’allongeai pour faire une sieste. Sous ce climat une sieste est pratiquement indispensable, alors que chez nous elle est simplement agréable. Je laissai ouverte la porte de ma chambre afin de profiter de la fraîcheur du courant d’air.


Je fus réveillé par le contact de lèvres sur les miennes. En ouvrant les yeux je notai la quasi-pénombre de ma chambre. Anne-Marie était penchée sur moi, par l’échancrure de son corsage je pouvais voir ses seins, libres de tout soutien-gorge, pointer leurs tétons vers le bas.



Quelle question ! Je lui fis un peu de place et elle s’allongea. Elle ferma les yeux comme pour chercher le sommeil. J’en fis autant. Je ne tardais pas à réaliser que ce n’est pas le sommeil qu’elle cherchait ! Elle avait glissé sa main dans mon short et empoignait ma bite à pleine main. À travers la peau du prépuce, elle malaxait le gland avec ses doigts. Sans ouvrir les yeux je lui demandai si c’était bien raisonnable alors qu’elle était fiancée, et déjà vengée.



Tout en restant couchée, elle se déshabilla. Puis elle ouvrit le bouton de la ceinture de mon short, ceux de la braguette et fit glisser mon short le long de mes jambes. Elle s’allongea sur moi en prenant mon sexe bandé entre ses cuisses. Elle se mit à effectuer un mouvement de bas en haut avec ses fesses. Mon sexe coulissait mal, ce n’était pas très agréable.



Je pris ma verge et la dirigeai dans son trou. Elle commençait tout juste à mouiller. La pénétration fut nettement moins aisée que la veille. J’y allais doucement pour ne pas la blesser comme son rustre de fiancé. Après un court instant de va-et-vient ma verge entrait et sortait avec aisance de son vagin. Elle recommença le mouvement qui lui faisait plaisir.



Elle soufflait dans mon cou en activant son bassin sur le mien. Elle se sentait libre de tous ses mouvements. Elle prit l’initiative de s’asseoir sur moi tout en me demandant si elle me faisait mal.



Elle sautait maintenant sur ma bite enfoncée en elle comme une petite fille saute à la corde. Ses seins sautaient en opposition, ils descendaient quand elle montait, ils remontaient quand elle descendait. Je mis mes mains de façon à ce que les tétons frottent mes paumes.



Elle accentua ses mouvements jusqu’à ce qu’un orgasme la submerge. Je sentis son corps se contracter, se faire très lourd sur le mien. Elle chercha à se faire pénétrer au maximum, à accueillir ma verge au plus profond pendant qu’elle était agitée de petites saccades. Elle faillit perdre l’équilibre, j’eus juste le temps d’agripper ses bras pour qu’elle ne tombe pas. Je l’attirai vers moi pour qu’elle se couche sur mon corps. Ma verge, toujours plantée en elle, subissait une vague de petites contractions de son vagin. Que c’était bon…



Et se laissant rouler sur le côté, elle fit sortir ma verge de son vagin avec un bruit de bouteille que l’on débouche. Elle rit presque, trouvant le bruit marrant dans son obscénité. Elle me tourna le dos et s’endormit. Je restais là, tout seul, admirant sa nuque, son dos, sa chute de reins et ses fesses, assez frustré de ne pas avoir eu le temps de jouir. J’hésitai entre me lever pour aller me masturber sous la douche, et profiter de son sommeil pour la prendre et jouir à mon tour.


J’optai finalement pour la seconde solution. Dans sa posture de sommeil, elle me présentait la raie de ses fesses, son petit anus et plus bas je pouvais deviner l’entrée de son vagin. Ma bite était rendue bien glissante par sa mouille.


Je la frottai un instant contre son anus en essayant de l’y faire pénétrer. Mais rien à faire, elle était trop serrée. Avançant ma verge plus avant, je sentis ma verge glisser facilement. Appuyant avec la même vigueur que celle pour tenter de la sodomiser, je m’enfonçai d’un seul coup. Je stoppai tout mouvement de peur de la réveiller. Enchâssé en elle, je ne bougeais pas. La sensation de la pression de ses parois vaginales sur mon sexe, jointe à la presque honte de profiter ou abuser d’elle pendant son sommeil me causèrent un plaisir étrange. Elle respirait profondément et régulièrement. Je me mis tout doucement à pomper, au rythme de sa respiration. De plus en plus vigoureusement, je plantai mon organe dans le sien. Ne pouvant plus me retenir j’explosai en elle en essayant de ne pas trop la faire bouger. J’eus l’impression de libérer une quantité très importante de sperme en elle. Comme il n’y a pas de risque qu’elle soit enceinte, autant en profiter. Je m’assoupis à mon tour.


Nous nous réveillâmes ensemble. J’étais encore en elle et elle ne put que s’en apercevoir très vite. Nos poils étaient un peu collés par nos jus séchés.



Elle me donna une petite bourrade de son coude libre et rigola. Puis elle me dit que demain elle prenait l’avion pour Tana. Je sus que nous ne devions plus nous revoir.


J’en éprouvais un peu de tristesse, mais nous avions fait un échange honnête. Elle s’était vengée en se donnant à moi, je lui avais donné mon pucelage.