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Temps de lecture estimé : 27 mn
23/08/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Madagascar, années 1960. Je pars passer un long week-end dans un village de brousse. Le trajet en taxi-brousse puis le séjour au village seront l'occasion de rencontre(s) et de surprises.
Critères:  fh jeunes couleurs bain voyage odeurs fmast intermast entreseins fellation cunnilingu pénétratio fsodo -occasion
Auteur : Seb Le Prestre      Envoi mini-message

Série : Madagascar

Chapitre 02
Soa

Résumé de l’épisode précédent : « Anne-Marie et le vazaha »

Cette histoire se déroule au milieu des années soixante, alors que je fus convoqué pour mon service national et affecté dans la coopération à Madagascar, dans une petite ville de la côte nord-est. Au réveillon du Nouvel-An au cercle franco-malgache, je fis la connaissance d’une jeune fille de la ville, prénommé Anne-Marie, qui lors d’une journée torride se vengea d’un fiancé indélicat en me faisant perdre mon pucelage.



___________________________________________




Après avoir perdu mon pucelage un soir de réveillon, et m’être retrouvé seul, je ressentis rapidement le manque de satisfactions sexuelles avec une femme ou à tout le moins le corps d’une femme. J’en étais à un point où j’en rêvais d’un corps féminin.


À la veille d’un long week-end, je décidai de partir en brousse, dans un village situé à une vingtaine de kilomètres au sud de la ville. Je pris un taxi-brousse qui me conduisit vers le lieu de mon week-end. Le taxi – une R4 – transportait quatre personnes à l’arrière. J’avais une place d’honneur à l’avant avec le chauffeur. Bien sûr, la galerie du taxi était chargée de tous les bagages…


À environ cinq kilomètres de notre point de départ, le chauffeur arrêta la voiture pour prendre en charge une belle et grande jeune fille qui lui faisait signe de s’arrêter. Un palabre s’engagea pour savoir si oui ou non, il pouvait encore la faire monter. Pour autant que j’aie compris la discussion, il prétextait ma présence pour dire que la place manquait à l’avant. Elle, pour sa part, soutenait qu’il y a avait encore une place pour elle à l’avant. Elle ajouta qu’à son avis je serais heureux de l’avoir sur mes genoux, ce qui provoqua l’hilarité des passagers. Quand le chauffeur me posa la question, je haussais les épaules en demandant si elle allait loin. Il m’assura qu’elle allait au prochain village.


Le taxi reprit sa route. Il faisait chaud, très chaud. Malgré les vitres ouvertes et le courant d’air dû à la vitesse (environ 10 km/h dans les passages les plus rapides) l’odeur des transpirations des passagers devenait de plus en plus forte. La dernière arrivée, qui semblait contente de sa position assise sur mes genoux, dégageait une odeur agréable. Je pensais qu’elle avait dû mettre de l’eau de toilette avant de prendre le taxi.


Comme le taxi abordait une partie de piste particulièrement défoncée, je mis mes mains en avant pour me caler sur le rebord du tableau de bord. J’avais donc mes bras autour de son torse. Les cahots de la voiture nous ballottaient de gauche et de droite, d’avant en arrière. Je resserrai mes bras pour maintenir la passagère et l’empêcher de me faire mal par des mouvements de trop grande amplitude. Les passagers de l’arrière gloussèrent et firent des commentaires que je ne compris pas, mais qui provoquèrent chez la passagère un coup d’œil assassin à leur encontre. À chaque cahot, je sentais ses seins caresser mes avant-bras. Pas désagréable du tout comme contact…


Je commençai à trouver le trajet jusqu’au prochain village un peu long. Je m’enquis auprès du chauffeur qui me répondit que ce n’était plus très loin. La passagère me dit dans un excellent français :



Je mentis effrontément en disant que non… Elle changea imperceptiblement sa position, déplaçant son poids d’une de mes cuisses sur l’autre. Je me sentis tout de suite un peu mieux. Ce n’est qu’à partir de ce moment que je réalisai que ses fesses étaient fermes et bien remplies. Mais l’inconfort de la situation m’empêchait de fantasmer et les conséquences d’une éventuelle rêverie eurent été un calvaire dans ces conditions.


J’admirais autant le paysage que la nuque de la passagère. Parfois un cahot la projetait tout contre moi. Je pouvais mieux respirer son odeur. Je commençais à profiter de ces mouvements pour la serrer un peu plus entre mes deux bras. Elle ne manifesta pas de mécontentement… À ce petit jeu, le temps me parut court et finalement le village où elle se rendait apparut au détour de la piste. Elle dut expliquer au chauffeur qu’elle habitait plus loin car le taxi traversa le village pour s’arrêter un peu en dehors, au pied d’une colline. Elle descendit, reprit son bagage et me dit au revoir.


Le taxi reprit sa route et moins de cinq minutes plus tard, nous arrivions au village qui était ma destination. La voiture se vida de tous ses passagers en très peu de temps. Je fus le dernier à payer le prix de la course.


Puis je demandai au chauffeur s’il repasserait dans ce village pour le trajet de retour. Il me répondit qu’il faisait ce trajet tous les jours. Ensuite je m’enquis des possibilités de logement. Il me dit que le seul hôtel susceptible de recevoir un français était fermé. Il me conseilla, tout en me désignant la maison, de me renseigner auprès du maire du village. Prenant mon baluchon, je me dirigeai vers la maison désignée. Un homme assez âgé me renseigna en me disant que deux kilomètres en arrière, une femme construisait des cases pour touristes, et me conseilla d’aller y voir.


Je marchai dans la direction du village où était descendue la passagère ou plutôt l’ex-passagère. Arrivé à la hauteur de l’endroit où elle était descendue, je la vis qui dévalait la colline. J’attendis qu’elle soit sur la piste. Autant me renseigner auprès d’elle, comme elle parlait le français. Elle m’avait repéré de loin et vint vers moi en souriant. J’engageais la conversation en lui demandant où était la femme qui construisait des bungalows à louer.


Ma surprise fut de taille quand elle me dit :



Elle rit et accepta de me louer son premier et seul bungalow disponible. Elle m’expliqua qu’elle devait acheter diverses choses à la boutique et qu’elle n’en aurait pas pour très longtemps. Elle me proposa de l’attendre.


Un petit quart d’heure plus tard elle était de retour avec quelques provisions dans sa soubique. (La soubique est un panier en jonc tressé. Très souple et résistante, la soubique est d’un usage très pratique et sert à tout transporter à Madagascar.)


Elle me précéda pour gravir le sentier escarpé qui menait à ses maisons. Je notais qu’elle avait changé ses vêtements. Elle portait maintenant un corsage en tissu blanc et une jupette ample s’arrêtant à mi-cuisse. J’étais décidément abonné à la voir par derrière, mais cette fois le spectacle était plus distrayant encore. À chacun de ses pas, je voyais des jambes sculpturales. Elles étaient très musclées, mais pas déformée. Au milieu de la côte elle s’arrêta, et se retournant vers moi me dit :



Et elle reprit sa marche. Enfin nous étions à l’emplacement de son « hôtel ». Sur un vaste pan de terrain presque horizontal, il y avait deux maisons assez importantes distantes d’environ cinquante mètres. Accolée à chaque maison, une plus petite construction devait abriter la cuisine ou la salle d’eau. Ces bâtisses étaient construites en matériaux locaux, murs en bambou tressé et toits en feuille de bananier.


Chaque maison était entourée d’une véranda assez large pour s’y allonger à l’ombre de l’avancée du toit. Un peu plus loin, à l’orée du bois qui continuait vers le sommet de la colline, une autre construction nettement plus modeste devait abriter le trou faisant office de WC. À vue de nez, il y avait largement la place de construire cinq à six autres maisons. L’emplacement était bien situé, bien que d’un accès assez malaisé.


Aux fleurs entourant une des deux maisons, j’identifiai la sienne. Elle confirma ma déduction en souriant. Elle m’ouvrit ce qui allait être mon logement pour les deux nuits à venir, et me demanda si le repas traditionnel me convenait.



Ayant déposé mes affaires, je décidai de me promener un peu aux alentours. C’est alors que je réalisai que je n’avais vu aucun employé. Habituellement dès qu’il y a une maison, il y a plusieurs personnes qui y vivent et souvent une ribambelle de gosses. J’allai en reconnaissance vers les commodités. Effectivement, elle avait dit vrai, un simple trou dans la terre, et deux branches pour poser les pieds, rien pour s’accrocher et garder son équilibre… Je partis ensuite vers les profondeurs du petit bois. La végétation était dense, la fraîcheur du sous-bois était agréable et me reposait du voyage. Je m’assis sur le tronc d’un arbre mort après m’être assuré que ce n’était pas une autoroute à fourmis.


Je restai un long moment à rêvasser quand je l’entendis m’appeler. Un coup d’œil à ma montre me fit penser que c’était pour le repas. Les repas sont pris assez tôt, vers 18 heures, afin de profiter d’un reste de jour pour faire la vaisselle. Bien entendu dans ces coins de brousse, il n’y a ni électricité ni eau courante. On s’éclaire au pétrole et l’eau se cherche au puits, à la rivière ou dans une barrique qui récupère l’eau de pluie.


Elle avait dressé la table sur sa véranda et y avait mis un seul couvert. Je lui dis que je n’accepterai pas de manger seul, qu’elle devait se joindre à moi.



Je savais que c’était un des usages du pays, souvent les femmes mangent après avoir servi les hommes, et dans ce cas elles ne mangent jamais à la table des hommes, mais lui expliquai que j’étais ici pour découvrir et apprendre à connaître les gens. Elle finit par accepter et mit un autre couvert sur la table.



Elle disparut dans la maison et cinq minutes plus tard elle ressortit. Elle avait changé ses vêtements contre une jupe droite montant à mi-cuisse et un chemisier blanc. Elle était magnifique. Sa peau très foncée tranchait avec le blanc de son corsage. Elle s’assit et me tendit le plat de riz. Je lui expliquai que dans mon pays les femmes se servaient toujours en premier et que l’on ne commence à manger que lorsque la maîtresse de maison est en mesure de le faire.



Avec un sourire gêné elle obtempéra. Je pris une bonne portion de riz, puis un bon morceau de poulet. Les plats, bien que simples, étaient succulents. À la fin du repas, elle s’excusa presque de n’avoir que des bananes à me proposer. Je savais qu’en cette saison c’étaient les seuls fruits disponibles.


Elle se leva et se dirigea vers la planche qui servait d’évier pour faire la vaisselle. Je la regardai faire un instant. Elle se trouvait entre une lampe à pétrole et moi, de sorte qu’elle se détachait comme en ombre chinoise. Je voyais très bien la forme de ses seins se découper sous le tissu. Quelles belles formes ! Sa jupe moulait ses fesses prolongées par deux magnifiques jambes. Quel tableau…


La vaisselle finie, elle me fit remarquer qu’il n’y avait ni radio, ni cinéma comme distraction.



Elle me proposa une ballade. Comme je lui demandais si elle n’avait pas de domestique, elle me répondit que ceux qu’elle avait jusqu’à maintenant étaient partis pour des raisons familiales, et qu’elle était forcée de rester seule. Mais ils devaient revenir dans quelques jours.



À ce moment, je trébuchai sur une souche que je n’avais pas vue. Je m’étalais de tout mon long, en plein dans une petite flaque d’eau boueuse.



Elle m’aida à me relever et perdit à son tour l’équilibre. Je la retins de mon mieux et elle se retrouva dans mes bras.


Sa bouche était à quelques centimètres de la mienne. Je ne pus résister et posai mes lèvres sur les siennes. Elle me rendit mon baiser en mettant ses bras autour de mon cou. Je sentais sa poitrine effleurer la mienne. Ses seins étaient aussi fermes qu’ils le semblaient. Je mis mes mains sur ses hanches et l’attirai contre moi. Nos bassins se heurtèrent presque. Je caressai un instant ses fesses et m’enhardis à caresser un sein. Elle ne se défendit pas. Elle appréciait autant que moi. En se dégageant un peu elle dit :



C’est main dans la main que nous rejoignîmes la maison, la sienne. Elle chercha une cuvette, y mit de l’eau d’un seau qui était dans un coin de la pièce et m’enjoignit de me déshabiller. Je retirai ma chemise, mon pantalon et me retrouvai l’air un peu bête en slip devant elle. Puis elle enleva son chemisier et sa jupe pour tout faire tremper. Elle ne semblait pas gênée d’être devant moi en petite culotte et soutien-gorge.



Elle sembla chercher quelque chose et dit :



J’eus l’impression qu’elle ne trouvait pas l’idée très bonne… Elle finit par accepter, presque à contrecœur. Après avoir déployé la moustiquaire elle s’allongea et j’en fis autant. Elle me tournait le dos, prudente.


Elle avait laissé la lampe allumée. Cela se fait souvent là-bas, c’est difficile d’avoir à se lever en pleine nuit et de chercher dans l’obscurité de quoi éclairer la pièce à dormir… Les cloisons en bambou tressé laissaient passer la légère brise de la nuit. La lumière vacillante projetait nos ombres mouvantes sur le mur. Je n’arrivais pas à trouver le sommeil.



Elle se retourna sur le dos. Je m’accoudai pour la regarder et lui fis un petit baiser sur la bouche. Alors que je tentais de m’écarter, elle écrasa sa bouche sur la mienne.


Nos langues s’entremêlèrent en un baiser fougueux. Elle devait sentir qu’elle ne me laissait pas indifférent. Je bandais comme un fou. En roulant, elle monta sur moi. Puis elle releva son buste et éclata de rire. Ma verge tendue dépassait hors de mon slip. Elle me dit de l’enlever pendant qu’elle dégrafait son soutien-gorge. Ses seins, gros et bien formés, m’apparurent dans la lueur jaunâtre de la lampe à pétrole. Ils étaient aussi noirs que le reste de son buste. Il n’y avait pas comme chez les femmes blanches de différence entre les seins et le ventre… De larges aréoles foncées entouraient des tétons très bruns.


Elle avait un corps simplement magnifique.



Nous étions passés du vouvoiement au tutoiement sans nous en rendre compte.


Prenant ma verge dans une main, elle commença à me masturber doucement. Puis elle m’embrassa. Se remettant sur le dos, elle me demanda de m’asseoir sur son ventre et de poser ma verge entre ses seins. Elle serra ses deux seins l’un contre l’autre en enserrant ma bite entre deux.



Je commençai un lent mouvement de va-et-vient. La blancheur de ma bite contrastait avec le foncé de sa peau. En ramenant sa tête contre sa poitrine, elle arrivait à toucher mon gland avec ma langue à chaque mouvement que je faisais en direction de sa tête.


Ce contact fugace m’excitait beaucoup. J’éjaculai d’un seul coup, et un jet puissant arriva sur ses lèvres. Elle passa rapidement sa langue pour ramener mon sperme dans sa bouche, elle avala rapidement et ouvrit la bouche pour recevoir le deuxième. Le deuxième ne rata pas son but et elle avala le tout aussi vite que le premier.


Elle n’eut pas le temps de récupérer les suivants qui s’écrasèrent sur ses joues et son cou. Lorsque je fus calmé, elle étendit tout le sperme répandu sur elle et se massa jusqu’à ce qu’il disparaisse. Je la regardai faire, un peu étonné. Puis avec une main sur sa vulve, elle commença à se caresser, de l’autre elle massait ses seins.



Je voyais ses lèvres charnues laisser passer une langue gourmande pour les humecter… En m’agenouillant sur le lit, je dirigeai ma tête vers son entrejambe. Je forçais doucement sa main à abandonner sa caresse avec l’intention de lui faire minette.



Elle essaya de m’en empêcher, mais j’insistais. Elle protestait tout en écartant les jambes !



Enfouissant mon visage entre ses cuisses, je pus lécher les lèvres entourant son vagin. Je sentais quelque chose de gros et de dur sous ma langue. J’abandonnai un peu ma caresse pour découvrir un clitoris presque de la taille d’un petit doigt. Entendant mon « Oh ! », elle me demanda ce qui se passait.



Je décalottai son clitoris, et je mis à le sucer délicatement. Dès le premier coup de langue, elle sursauta comme sous l’effet d’une décharge électrique. Elle serra instinctivement les cuisses sur ma tête, comme pour me forcer à continuer. J’aspirais sa petite bite et promenais ma langue sur son extrémité. Elle était comme folle.



Puis elle se mit à parler en malgache. Le plaisir semblait lui faire perdre toutes notions de la réalité. Son orgasme me surprit, son corps se tendit. Elle cria à pleins poumons en serrant ma tête entre les cuisses à m’en faire mal aux oreilles. Et elle retomba brutalement à bout de souffle. Elle resta un long moment étendue, les yeux mi-clos, le souffle court. Elle souriait.



Elle buvait mes paroles pendant que je lui expliquais. Elle me dit avoir remarqué cette grosseur quand elle se caressait, mais n’avait jamais fait attention au plaisir que pouvait lui procurer ce petit bouton.

Essayant de le toucher, elle dit :



Elle parut satisfaite par mes explications. La séance qui venait de s’achever avait redonné de la vigueur à ma verge. Elle s’en aperçut.



Elle fouilla un court instant sous le lit et en retira une petite bouteille. Elle mit un doigt sur le goulot et humecta un doigt avec le liquide qui s’y trouvait. Elle passa ses doigts entre ses cuisses et recommença plusieurs fois l’opération. Déposant la bouteille par terre elle me dit de venir sur elle.


Couchée sur le dos, les jambes écartées et repliées sur ses épaules, elle était tout entière prête à me recevoir, m’offrant une vue splendide de son entrejambe. Prenant ma verge dans une main elle la dirigea vers l’entrée de son vagin et me dit :



Comme je poussai en avant elle fit descendre ma verge pour la présenter en face de son anus. J’eus l’impression de buter contre un mur doux mais ferme.



C’est aussi pour moi que j’avais peur… J’accentuai la pression. Rien n’y faisait ça ne voulait pas entrer.



Elle fit un drôle de mouvement avec son bassin et d’un seul coup ma bite entra en elle. La sensation, nouvelle pour moi, fut indescriptible. Mon gland était comme dans un étau, mais un étau terriblement doux. Je suffoquai presque sous l’effet du plaisir.



Elle me sourit tendrement.



Je poussai d’avantage et fus surpris de pouvoir la pénétrer encore plus loin.



Je la baisais dans son cul avec des mouvements amples. La pression de son anus sur ma queue était toujours importante, mais il me semblait qu’elle se relâchait pour mieux permettre mes mouvements de pénétration. Elle avait un peu resserré ses jambes et lorsque je m’affalai sur elle, je trouvai un appui bienvenu sur ses cuisses. Tout en faisant des mouvements brutaux pour la pénétrer à fond, je sentis mon sperme couler à torrent dans son cul. Je criai à mon tour mon plaisir.


Mes couilles complètement vidées, je cessai de bouger, et restai couché sur ses cuisses, comme anéanti. Je ne pouvais me résoudre à me retirer d’elle. C’était tellement bon que je voulais en profiter… Elle ne bougeait pas, elle caressait mon dos en me demanda si j’étais bien… J’étais merveilleusement bien.


Elle me dit qu’elle voulait changer de position et après une savante gymnastique, elle se retrouva couchée sur le côté, et moi derrière elle, toujours enchâssé dans son anus. Ma verge ne débandait pas. C’était peu ordinaire pour moi…



Un moment plus tard elle me dit :



Devant l’absence de réponse, elle continua :



Il est vrai que dans les années 60, la pilule n’existait pas, et les moyens contraceptifs de l’époque assez peu fiables. Je commençais à trouver cette méthode aussi efficace qu’agréable.



Elle me fit à nouveau remarquer qu’elle trouvait drôle que ma verge soit encore dure et enfoncée en elle.



Elle cria :



Elle me demanda si je voulais à nouveau remuer en elle ; je lui répondis que moi aussi j’aimais la situation actuelle. Il n’était pas loin de minuit et l’air était beaucoup plus frais. Elle tira le drap pour nous couvrir, et le sommeil nous gagna alors qu’elle était toujours prise par ma bite profondément enfoncée dans son anus.


Au réveil, je regarde ma montre, il est six heures. Elle est déjà levée. Je me lève et enfile mon short. Je vais vers la cuisine, le feu est déjà allumé et de l’eau est en train de chauffer mais elle n’y est pas.


Je me dis qu’elle doit être allée faire sa toilette. Arrivant au ruisseau je la découvre nue, allongée dans une cuvette naturelle du cours d’eau. Elle m’invite à la rejoindre. J’enlève mon short et rentre dans l’eau. L’eau est fraîche, presque froide. Mais je m’y adapte rapidement. En une reptation je suis près d’elle et elle me donne un petit baiser.


Je me mets sur le dos et m’allonge tout près de son corps. Je la vois entièrement nue et en lumière du jour. Bien que l’eau déforme ma vision d’elle, je jouis d’un spectacle de toute beauté. Ses seins flottent entre deux eaux et sont tels des obus, les tétons en forme de détonateurs. Elle a le ventre plat et des hanches très prononcées. Ses jambes sont fuselées et musclées. Elle se laisse admirer et y prend un plaisir non dissimulé. Elle glousse d’aise.



Elle se frotte contre moi le temps d’un baiser.



Elle se lève, enfile ses vêtements et se précipite vers la maison. Comme elle a laissé son savon, je me savonne des pieds à la tête, me rince et sors pour enfiler mon short et la rejoindre. Il fait déjà chaud aux premiers rayons du soleil, je ne tarderai pas à être sec…


Quand j’arrive à la maison, le café est servi, il y a un morceau de pain et de la confiture d’ananas. Comme nous avons très faim, le pot de confiture est terminé rapidement ! Elle prend la gousse de vanille qui reste dans le pot, et avant de la jeter la suce en entier pour retirer toutes traces de confiture. Pour apprécier le goût de la vanille également.



Elle a un haussement de sourcils d’étonnement puis elle comprend :



Avec un haussement d’épaules elle se lève en disant qu’elle doit faire la petite lessive que je l’ai empêchée de faire hier… puis elle doit aller au marché pour acheter de quoi manger à midi. Pendant ce temps, je vais dans la maison chercher des affaires pour me changer.


Elle ne voit aucun inconvénient à ce que je l’accompagne au marché, et bien sûr je l’aide à porter les produits achetés, dont la lampe qui avait fait défaut la veille. Revenus à la maison, elle me propose d’aller visiter sa plantation de café, sur la colline au-dessus de son terrain.


La journée se passe à se promener, et à discuter. Bientôt je n’ignore plus grand chose de sa vie civile, ni de ses projets d’avenir. Le soir tombe vite, et elle réalise que le repas n’est pas prêt, qu’elle manque à tous ses devoirs d’hôtesse. Je lui dis que ce n’est pas de sa faute mais de la mienne. Pendant qu’elle lance la cuisson du riz, je l’aide à préparer la viande. Le souper est identique à celui de la veille et après avoir fait la vaisselle, nous parlons un long moment assis sur la terrasse de « ma » maison. Elle veut connaître des détails sur la vie en France…



Je la retiens par la main en lui disant que je ne sais pas mettre la moustiquaire, et que je n’ai pas d’eau dans ma case. Je continue en prétextant que j’ai peur d’aller en chercher tout seul… Elle rit en me disant que je peux aller utiliser sa salle d’eau.


Nous y allons ensemble et pendant que je fais mes ablutions, elle enlève sa culotte, la pose sur une ficelle tendue en travers de la salle de douche puis s’accroupit pour se laver l’entrejambe. Quand elle se relève pour prendre sa culotte, elle a une surprise : plus de culotte sur la ficelle. Je l’ai prise, et la montre triomphalement.



Je sors de la salle et, portant mon trophée me dirige vers ma case. Elle prend la lampe et me suit. Elle entre après moi dans la maison et me demande sa culotte. Je la lui tends, et au fur et à mesure qu’elle s’avance vers moi je fais passer la culotte dans mon dos. Elle se retrouve bien vite tout contre moi et je l’enlace. C’est elle qui m’a embrassé en premier. Ses lèvres sont toujours aussi agréables à embrasser, je ne m’en prive pas. Elle se love contre moi, comme une couleuvre. Le frottement de ses seins m’émoustille. Je l’attire vers le lit et elle me suit.


Couchés, nous continuons à nous embrasser. Je lui enlève sa chemise, puis commence à dégrafer son soutien-gorge. Elle m’aide de son mieux tout en dardant sa langue dans ma bouche. Elle s’attaque à ma chemise avec succès. Je sens à nouveau le sublime frottement de ses seins sur ma poitrine.


Comme je bande fort et que j’ai toujours mon slip et mon short, je lui fais part de mon intention de les enlever. Profitant de ce que je suis debout, elle s’assied sur le lit pour enlever sa jupe. Au moment où ma verge se libère de l’emprise du slip, elle jaillit à l’horizontale à quelques centimètres de sa bouche. Elle pousse un petit cri de surprise, et lâchement je profite de son ouverture pour y insérer mon dard. Elle a un mouvement de recul et ma bite se retrouve à l’air.



Elle s’y essaye en prenant le gland entre ses lèvres.



Elle lèche le gland avec application. Puis s’enhardit à la prendre de plus en plus profondément dans sa bouche. Elle apprend vite… Pendant qu’elle s’évertue de son mieux à m’administrer une fellation, je lui caresse le visage, les oreilles, les épaules.



Elle éjecte ma queue pour me dire de laisser faire, et elle embouche à nouveau ma verge. Je sens l’orgasme arriver. Je fais de gros efforts pour ne pas prendre sa tête dans mes mains et la tirer à la rencontre de ma bite. Je ne souhaite pas la choquer.


Elle connaît déjà le goût de ma semence, mais pas par injection directe dans son gosier. Tout en me retenant de faire des mouvements trop brusques, j’éjacule puissamment dans sa bouche. Elle est surprise par la quantité, et de grosses coulées de jute sortent par les commissures de ses lèvres. Mais elle fait de son mieux pour tout avaler. Elle grogne de plaisir, du plaisir d’avoir su me dominer, d’avoir su tirer d’une manière nouvelle le plaisir d’un homme.


Une fois mon excitation un peu calmée, elle lâche ma verge ramollissante, et me sourit :



Je m’allonge à côté d’elle pour récupérer.



J’allonge ma main à la rencontre de son pubis. Je commence à le caresser. Puis je me couche sur le côté en lui faisant face. Ma main à plus de liberté pour taquiner sa vulve, masser son clitoris et insérer un doigt dans son vagin. Mon exploration dans son vagin s’arrête rapidement. C’est bien vrai qu’elle est vierge ! Je ne tente pas d’aller plus loin… Je m’active donc sur le clitoris et les lèvres. Elle commence à être mouillée.



Je plaque ma figure entre ses cuisses et commence à la brouter. Elle gémit et se tortille… Je réalise à ce moment que son clitoris est encore encapsulé. Avec deux doigts, je le décalotte délicatement. Elle pousse un petit cri.



Je me mets ensuite à lécher son clitoris et, comme la veille, elle ne tarde pas à avoir un terrible orgasme. Elle crie son bonheur et sa joie tout en appuyant ma tête sur sa vulve. Cette fois j’ai pris mes précautions en mettant ma tête un peu de travers, ce qui fait que je peux continuer à respirer, et branler son petit bouton avec ma langue pendant qu’elle hurle de plaisir. Sa furie cesse aussi rapidement qu’elle était venue.


À nouveau couché à côté d’elle, j’attends qu’elle ait repris ses esprits. Sa respiration est encore forte un long moment, et je vois ses seins monter et descendre au rythme de sa respiration. L’ombre de sa poitrine projetée sur le mur par la lumière de la lampe lui donne une poitrine immense et immensément belle. Je pose une main sur un sein et j’attends.


Tout doucement elle me dit que c’était encore plus fort qu’hier, et qu’elle ne sait pas comment elle pourra s’acquitter de sa dette, comment elle pourra me rendre le plaisir que je viens de lui donner encore.



Machinalement elle cherche quelque chose sous le lit, quand elle réalise que nous ne sommes pas dans son lit…



Elle ramène ses jambes sur ses épaules et guide ma verge vers son anus.

J’essaye de l’y enfoncer, mais malgré tous mes efforts je n’y arrive pas. Saisissant ma verge, je la promène un instant en ses lèvres pour la mouiller avec son jus, et tente à nouveau de m’introduire dans son cul.



Déçu, je laisse tomber de ma salive sur le gland et fais un nouvel essai. Le gland rentre à moitié, mais elle a mal et me demande d’arrêter. Je commence à penser qu’elle ne désire pas vraiment se faire enculer ce soir, et qu’elle ne se relâche pas complètement.


Elle semble aussi déçue que honteuse de notre échec. Je pose un petit baiser sur ses lèvres, puis lui dis que ce n’est pas grave et que le plaisir qu’elle m’a déjà donné est largement suffisant. De plus la nuit n’est pas finie, et je pourrai me masturber entre ses seins puis dans sa bouche ou simplement dans ses mains. Elle a un petit air buté de petite fille frustrée.

Elle me serre d’un coup très fort dans ses bras et me dit à l’oreille :



Je reste coi un moment et me mets à argumenter lui disant que ce serait un honneur et un grand plaisir pour moi, mais que je ne voulais pas contrecarrer son plan de se réserver pour celui qui l’épouserait. Elle se met à caresser ma verge qui prend de la vigueur très rapidement. Puis elle la place à l’entrée de son vagin et dit :



D’une légère poussée ma bite pénètre d’environ deux centimètres avant de buter contre son hymen. La douleur la fait grimacer. Je continue ma poussée. Une vilaine grimace déforme son visage. Au moment où je m’apprête à donner un grand coup de reins, elle me crie d’arrêter.



Je me retire et m’allonge sur elle. Elle se met à pleurer doucement.



Je la console de mon mieux. Je bande toujours, la friction de mon gland dans l’ouverture de son vagin m’a excité. Constater que ma verge est toujours triomphante la navre encore plus.



Je me remets en position, caresse un instant ses seins, et présente ma verge à l’entrée de sa grotte. Comme tout juste avant le gland pénètre en entier avant de buter sur son hymen. Je commence à forcer. Elle gémit et grimace de douleur. J’accentue la pression. De grosses larmes perlent dans ses yeux. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier. Puis elle capitule, me demande à nouveau d’abandonner. Le regard que je lui jette en cet instant doit lui faire peur…


Je me couche sur le dos, faisant exprès de ne pas la toucher. Elle ne bouge pas pendant un temps assez long. Je ferme les yeux, essayant de penser à autre chose qu’à cette situation tragi-comique mais frustrante en diable pour moi…



Je ne réponds rien. Elle caresse doucement ma bite qui n’a pas vraiment débandé. Elle regarde le gland jouer à cache-cache sous le prépuce. Puis elle se lève pour s’asseoir sur moi. Elle guide ma verge vers l’entrée de son vagin. J’ai les yeux entrouverts pour la regarder faire. Elle pèse pour faire entrer ma bite dans son vagin. Toujours la même résistance. Elle grimace tant sous l’effort que sous la douleur. Je lui dis d’y aller avec des mouvements de baise, au lieu de forcer continuellement. Du coup elle a moins mal, mais l’obstacle est toujours là…


Je tente d’aller à sa rencontre en levant mon bassin alors qu’elle amorce un mouvement de descente. Cela ne sert qu’à la faire sursauter. Mais je crois avoir senti ma verge pénétrer un peu plus loin. Je lui en fais la remarque.



Encore quelques mouvements et elle a la même impression. À ce moment une lueur de peur s’allume dans ses yeux et elle se retire.



Je monte sur elle. Elle cherche à serrer les cuisses mais je parviens à les écarter et m’insérer dedans. Ma verge est grosse, me paraît énorme. Je commence à la faire pénétrer. Arrivé en butée, je commence à pomper. Imperceptiblement je la sens aller de plus en plus loin à chaque poussée. Elle recommence à pleurer et me supplie d’arrêter. Ses paroles m’incitent au contraire à continuer ce que je fais.



Elle tente plusieurs mouvements pour s’échapper mais je contrôle la situation. Je m’arrête un peu, ma verge presque sortie de son vagin. Elle me regarde l’air incrédule. Elle croit un instant que je vais arrêter. J’hésite, je ne sais pas quoi faire. La déflorer et prendre mon pied au risque de la blesser moralement, ou l’abandonner intègre en supportant ma frustration de n’avoir pas joui…


Je la regarde droit dans les yeux, je prends une profonde inspiration et au moment où elle s’y attend le moins, je donne un grand coup de reins. Son hymen se déchire et laisse libre passage à ma verge qui s’enfonce de toute sa longueur dans sa grotte. Elle est tellement surprise qu’elle n’émet aucun son. Elle ne bouge pas, ne dit mot, me regarde d’un air étonné et terrifié. Quand je me remets à la pistonner, elle se met à gesticuler, cherchant à m’éjecter. Mais comme je suis assez lourd elle n’y arrive pas.



Progressivement, pendant que je la baise, elle commence à ressentir du plaisir. Elle se détend et lentement accompagne mes mouvements. Elle commence à jouir, elle me redemande de ne pas éjaculer en elle, mais je n’ai aucune envie de me retirer. Je crie ma jouissance au moment précis où un torrent de semence se déverse au plus profond, tout contre le col de son utérus que touche le bout de mon gland. Je suis agité de spasmes en finissant de me vider en elle. Finalement je m’effondre sur elle. Je ne tarde pas à m’endormir, et elle ne me réveille même pas quand elle me repousse pour se libérer.


Le lendemain matin je me réveille seul dans le lit. Je vais directement au ruisseau pour me laver. Je la rejoins pour le petit déjeuner. Elle me salue à peine. Elle a l’air plus soucieuse que fâchée.



J’ai beau lui expliquer que ce n’est pas forcément du premier coup que cela vient, que bien souvent il faut le faire plusieurs fois, elle reste inquiète.


L’heure de prendre mon taxi approche. Je range mes affaires dans mon balluchon et lui demande combien je lui dois pour les frais de mon séjour. Elle me dit que j’étais son invité. Je lui réponds que de toute façon je veux savoir le prix pour revenir en n’étant plus invité. Elle consent à annoncer le prix.



Elle me dit que oui. Je prends des billets dans mon portefeuille et les lui tends.



Ce que je lui donne représente le triple de ce qu’elle annonçait. Comme elle veut refuser j’ajoute :



Elle acquiesce et glisse les billets dans son soutien-gorge. Je lui fais un rapide baiser sur la joue, qu’elle transforme en un vigoureux baiser sur la bouche tout en se serrant fort contre moi.



Je la quitte pour descendre vers la route et arrêter le taxi.


Je ne l’ai jamais revue. Je n’ai jamais eu de nouvelles d’elle. Avant de nous séparer elle m’a dit son nom : Soa, ce qui se traduit par « douce. » Elle avait su me montrer combien elle était comme son prénom.


Encore aujourd’hui il m’arrive de me demander si je l’ai mise enceinte en la déflorant. Je ne saurai jamais si un petit métis est ou n’est pas loin là-bas, en train de jouer dans un village de brousse…