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Temps de lecture estimé : 26 mn
21/03/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Marc rencontre en Allemagne une ravissante Française avec qui il explore les joies de l'osmose des corps enflammés. Acceptera-t-elle la présence de Gérard ?
Critères:  fh hh hbi couple piscine sauna massage
Auteur : Caval      

Série : Je suis bisexuel

Chapitre 06 / 07
La fille de Bonn

Résumé des épisodes précédents : Marc et Gérard, bisexuels, ont emménagé dans une maison. Ils ne veulent pas se priver des bonheurs de l’hétérosexualité tout en continuant leurs jeux gays. Mais trouver des filles qui acceptent leur choix est une tâche ardue, avec beaucoup d’échecs.





La fille de Bonn




Je fus envoyé par mon entreprise à Bonn. Je devais passer une semaine dans l’ancienne capitale allemande. Je retrouvai là-bas quelques Français et je sympathisai avec eux. Un jour, Daniel – l’un d’eux – me dit :




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Voilà notre petit groupe rendu dans un espace de remise en forme. Les affaires rangées dans des casiers, nous partîmes à la découverte des lieux avec pour seule tenue une serviette nouée autour de la taille ou posée négligemment sur l’épaule, pour les moins pudiques et les plus habitués à vivre nus en commun. Il y avait une piscine, des bains de vapeur, un sauna, des douches froides et chaudes et même la possibilité d’avoir les services de masseurs ou masseuses. Et partout des hommes et des femmes nus sans aucune pudibonderie, comme il se doit dans un lieu naturiste comme celui-ci.


Dans ces lieux où la nudité est de rigueur, seuls les masseurs et masseuses sont habillés, mais la plupart du temps d’une blouse sous laquelle ils sont peu vêtus, voire totalement nus. Il n’est donc pas rare de découvrir, l’espace d’un instant, la rondeur d’un sein ou l’ombre mystérieuse d’un pubis lors de mouvements. Mais là encore, il n’y a aucune obscénité ni exhibition. Seulement la recherche du bien-être de se sentir libre de l’entrave de vêtements inutiles.


Je commençai par un plongeon dans la piscine, et après quelques moments de bonheur passés dans l’eau, je me dis qu’il fallait absolument que je goûte au sauna. Lorsque j’entrai, il y avait deux hommes et une femme d’une cinquantaine d’années. Je les saluai et ils répondirent à mon bonjour en allemand.


Je disposai ma serviette et me couchai sur le dos. Il ne se passa pas plus d’une minute avant qu’une femme n’entre dans le sauna. Je remarquai qu’elle était jeune et très belle, la taille fine, mais ayant des formes là où il fallait, deux seins pas très gros, mais aux pointes saillantes et haut perchées. Elle portait autour de la taille sa serviette. Lorsqu’elle la retira pour s’installer sur les bancs du sauna, je pus tout à loisir apprécier son petit cul rebondi, ferme et musclé, son bas-ventre orné d’une belle toison noire dont elle devait prendre grand soin, à la manière dont elle était taillée et à la brillance du poil. Mais je ne matai pas plus la nouvelle venue, ne voulant pas l’indisposer et afin que mon sexe ne gonfle pas ; car étant couché sur le dos, la moindre excitation de ma part ne lui aurait pas échappé.

Les premières personnes quittèrent bientôt la cabine et je me retrouvai donc seul avec la belle jeune femme.



J’appris par la suite qu’elle était venue de l’autre côté du Rhin avec son copain qui était allemand. Elle avait vécu avec lui jusqu’à leur rupture. Suite à celle-ci, elle avait choisi de rester en Allemagne où elle travaillait. Pour autant, elle n’excluait pas de revenir dans notre pays pour démarrer une nouvelle vie.


Nous passâmes la soirée ensemble entre le sauna, les douches, le jacuzzi et les autres soins proposés dans ce club. Parmi ceux-ci, il y avait le massage du corps avec des huiles essentielles. Nous étions dans la même pièce, Alexandra et moi, à proximité l’un de l’autre, avec une masseuse pour chacun de nous. Les bienfaits des attouchements, même s’ils n’avaient aucun caractère sexuel, ne se firent pas attendre. Tant que j’étais allongé sur le ventre, tout allait bien. Lorsque la masseuse me demanda de me tourner, je ne pus rien faire pour dissimuler mon sexe déjà gonflé. Je craignais plus la réaction d’Alexandra, dont le visage était tourné vers moi, que celle de la masseuse qui avait dû en voir bien d’autres.



En réalité, mes paroles s’adressaient également à Alexandra. Car la raison véritable de mon début d’érection, c’était de voir à quelques mètres de moi cette ravissante jeune femme se faire masser tout le corps, les mains de la masseuse parcourant ses épaules, ses seins, son ventre. Je voyais également les doigts s’insinuer entre les cuisses, au bord de ses muqueuses. J’aurais tant voulu être à la place de cette femme et m’occuper ainsi du corps de la jeune Française…

Alexandra s’aperçut de mon état ; pourtant elle eut la délicatesse de ne rien dire. J’ai tout juste décelé sur ses lèvres un sourire bienveillant, sans la moindre once de moquerie.


D’autant plus que la situation n’alla pas en s’arrangeant ; la masseuse, toute à son office, ne faisait aucun cas de mon membre viril. Je ressentais une certaine volupté à me faire ainsi caresser le corps. Ses mains parcouraient mon buste, mes pectoraux, mes bras, mon ventre. C’est là qu’elles heurtèrent à plusieurs reprises, mais sans brutalité, mon gland. Puis, les paumes enduites d’huile coururent sur mes jambes, remontant des pieds jusqu’à l’aine, n’hésitant pas à effleurer mes testicules et même, à déplacer ma verge du bout des doigts lorsque cela était nécessaire. Ces mouvements ne pouvaient assurément pas me laisser de glace.


Après une dernière douche, j’invitai Alexandra à prendre un verre. Ce qu’elle accepta. Après avoir discuté avec elle, je sentis que j’appréciais beaucoup cette jeune femme : sa beauté m’attirait naturellement, mais en plus j’aimais converser avec elle, partageant ses opinions et ses centres d’intérêt.



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Comme elle m’avait laissé son numéro de téléphone, je l’appelai le lendemain pour lui proposer de dîner samedi soir. Encore une fois elle accepta avec joie.


Après le repas, je la raccompagnai chez elle. Je pensais la quitter en bas de son immeuble, mais elle m’attira dans son appartement, ferma la porte derrière nous et m’embrassa fougueusement sur la bouche.

Puis s’étant détachée de moi elle me dit :



Je repris ses lèvres et nos langues se mêlèrent. Nous nous embrassâmes ainsi longuement, nous caressant à travers nos vêtements comme des adolescents, sans chercher rien d’autre, que ressentir une sensualité à la fois brûlante et chaste.

Cela ne dura pas, car bientôt mes mains se sont égarées sous son tee-shirt. Elle ne fit rien pour m’empêcher de caresser son ventre et de remonter vers ses seins. Bien au contraire, elle me facilita les choses en ôtant son vêtement. Elle portait un ravissant soutien-gorge blanc en dentelle. Je dessinai du bout des doigts sa poitrine au-dessus de l’étoffe à demi transparente qui laissait voir la partie supérieure de son mamelon brun. Comme je paraissais fasciné par la rondeur exquise de sa poitrine, elle s’amusa en me disant :



Alexandra se mit à réciter une adaptation d’une fable de La Fontaine :


Maîtresse Alex, dans sa chambre fermée,

Avait de belles rondeurs très sages.

Maître Renard, par la vue alléché,

Lui tint à peu près ce langage :

« Hé ! Bonjour, Madame aux si beaux lolos.

Que vous êtes jolie ! Tout ça me semble beau !

Sans mentir, si la douceur du ramage,

Se rapporte à votre plumage,

Vous êtes la reine beauté des rois. »

À ces mots la belle ne se sent pas de joie

Et, pour montrer ses beaux tétins,

Dévoile son torse et fait voir ses seins.



Elle dégrafa son soutien-gorge, libérant ses deux admirables petits globes. Même si elle n’avait pas une poitrine exagérément développée, elle ne ressemblait en rien à celles de ces mannequins filiformes. Je pouvais prendre ses appâts en main, en sentir les rondeurs. Je trouvais ses deux nénés admirables et dignes de mes plus douces attentions, d’autant plus que leur pointe était déjà érigée. Je pris donc ses deux seins dans mes mains, les malaxai doucement avant de les porter à ma bouche. Je les sentis durcir alors même que la respiration d’Alexandra se fit plus rapide. Durant mes attouchements, elle ne resta pas inactive, s’employant à me déshabiller, enlevant tout d’abord ma chemise, puis déboutonnant mon pantalon et le baissant. Elle extirpa ainsi mon sexe du caleçon, le prit en main et commença à le branler tout doucement, presque imperceptiblement.



Je lui ôtai sa jupe, caressai sa croupe, fis descendre son string et, une main sur ses fesses, l’autre sur sa toison, je la caressai. Elle m’échappa en glissant le long de mon corps, telle une couleuvre :



Se mettant à genoux entre mes jambes, elle entreprit de me faire une fellation tout en douceur. Il n’y avait ni précipitation, ni gêne, ni timidité, ni pudeur ; seulement une assurance dans le geste et dans les succions opérées par sa bouche. Malgré cette connaissance dans l’art de la fellation, elle ne montrait en la chose aucune routine fastidieuse ni contrainte. Elle n’était pas blasée de sucer ma queue qui n’était pas la première. Elle le faisait avec sensualité et attention.


Je la regardais faire, plongeant mes mains dans la toison brune de ses cheveux tandis qu’elle s’agrippait à mes hanches. Lorsqu’elle lâcha ma queue, elle se colla à moi, nos épidermes se frôlant, et m’embrassa voracement. Nous nous retrouvâmes en 69, ma bouche collée à son sexe, et la sienne enfournant ma tige. Je visitai alors son intimité le plus profondément possible, parcourant les moindres recoins de sa conque qui s’ouvrait devant mon visage. Les poils de sa chatte ne présentaient aucune gêne, aucune entrave, puisqu’ils étaient extrêmement courts aux abords de la vulve et égalisés sur le restant du pubis, avec un taille-barbe certainement. Ils étaient très doux également.


Détectant le clitoris qui s’érigeait tel une petite queue, je le pris en bouche pour le sucer. Le bas-ventre de ma compagne était littéralement inondé tant elle mouillait. L’excitation était à son comble pour elle comme pour moi.

Elle dut le sentir, car elle me renversa sur le dos, revêtit mon sexe d’un préservatif et vint s’empaler sur lui. Elle me faisait face, ce qui me permit de prendre en main ses deux beaux seins que je tripotai. Elle se penchait par instants tout contre moi pour que je puisse baiser les pointes brunes de ses fruits exquis. C’est elle plus que moi qui cadençait le rythme des va-et-vient de ma queue dans le doux et chaud fourreau de son vagin.


C’était un véritable bonheur ! Elle bougeait les reins en formant presque un « 8 », comme le font les danseuses du ventre. Cela permettait que toutes les zones de son vagin soient massées par mon sexe tout en me procurant une jouissance extrême. Elle changeait de rythme également, permettant de faire retomber l’excitation lorsqu’elle était trop forte et apposait ses mains à la base de mon sexe pour m’empêcher d’éjaculer trop vite.

Elle savait s’y prendre pour faire durer le plaisir le plus longtemps possible.


Pourtant, je sentis bientôt que je n’allais pas pouvoir tenir plus longtemps. Elle comprit également que mon éjaculation était proche. Elle se coucha littéralement sur moi et m’embrassa à pleine bouche, puis maintenant fermement ma tête d’une main, elle m’obligea à la regarder dans les yeux. Son regard m’excita encore plus et nous partîmes dans un orgasme conjoint. Nos yeux ne se quittèrent pas alors que nous étions envahis de plaisir et de jouissance.

Elle m’offrit son orgasme et se délecta du mien.

Je n’avais jamais senti une telle intensité, une telle osmose dans la jouissance. L’union des corps avec Alexandra était à la fois étroite et si fusionnelle alors que nous ne nous connaissions presque pas. Mais nos âmes s’unissaient également aussi intimement que nos chairs.


Mais elle n’en avait pas fini, car tout de suite après, alors que j’étais encore en elle, elle contracta le périnée. Je sentis qu’ainsi son orgasme durait plus longtemps, qu’il restait présent, qu’elle le savourait. Pour ma part, l’effet fut immédiat car mon sexe, au lieu de perdre de sa vigueur, resta bandé, prêt à l’emploi.


Je me dégageai et la pris en levrette, la maintenant par les hanches. J’enchaînai ensuite des positions alternatives à la pénétration en levrette comme la vache, la boîte ou l’exotique. Puis nous fûmes à nouveau face à face. J’entrais et sortais de son sexe avec vigueur et sans aucune retenue, avec fougue et passion. D’autant que ma partenaire ne semblait pas demander grâce, ne détestant pas quelques foucades dans les jeux de l’amour et du sexe.

Lorsque je m’enfonçais dans son vagin dans telle ou telle autre position, je m’efforçais que ma hampe aille au plus loin dans ses chairs ouvertes et offertes…



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Le dimanche matin, lorsqu’elle se leva, elle prit une chemise de nuit ; et avant qu’elle n’ait le temps de la passer je lui dis :



Alexandra racontait tout cela avec beaucoup de joie, riant de ces souvenirs de libération sexuelle.



C’est donc tous les deux nus que nous avons passé la journée. Nous sommes allés prendre une douche en commun en savonnant nos corps mutuellement. Puis, dans la cuisine, je regardai son admirable fessier alors qu’elle préparait le petit déjeuner. Elle joua à enduire ma verge de confiture avant de la lécher ; moi, la plaçant face à moi, assise sur la table, je fis couler sur son corps du lait que je lapai sur ses seins, sur ses cuisses, dans les poils de sa chatte, jusqu’à l’entrée de son vagin.



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J’étais entré dans son appartement le samedi soir et ne regagnai le mien que le dimanche dans la nuit, totalement épuisé, la verge presque douloureuse, mais ô combien ravi par la fougue et la spontanéité de cette jeune femme.

Oui, épuisé mais rassasié de sexe et de plaisirs voluptueux.


Je ne saurais dire pourquoi, mais après avoir passé quelques heures avec elle, j’avais l’impression qu’Alexandra était la femme qu’il me fallait. Qu’elle soit une magnifique maîtresse était un élément important, certes. Cependant, il y avait autre chose que je ressentis rapidement. Avant même d’avoir partagé son lit, j’avais eu pour elle des sentiments qui dépassaient ceux de l’amitié. Il s’agissait d’une attirance émotionnelle plus que d’une attraction purement sexuelle. Pourtant, je m’en défendais : « Je ne peux pas aimer cette fille, je ne la connais même pas. J’ai pris un verre avec elle, nous avons échangé des propos intéressants mais badins, ne dévoilant pas le fond de nos esprits. Je l’ai vue nue : ce n’est pas un élément probant ; ce n’est pas parce qu’une jolie fille passe près de moi que j’ai envie de la sauter… encore moins d’éprouver des sentiments sincères et purs pour elle. J’ai fait l’amour divinement avec elle. Mais je ne peux pas dire pour autant que c’est la femme de ma vie. »


Néanmoins, je pensais continuellement à Alexandra. Mes rêves étaient emplis de son image ; il ne se passait pas une heure sans que sa voix ne revienne à mes oreilles, que le souvenir de son visage, de son corps, de la douceur de ses seins, l’odeur suave de sa chatte ne vienne troubler mon esprit.



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Le week-end suivant, je revins voir mon amante et m’installai chez elle dès le vendredi soir. Nous nous étions revus dans la semaine, mais juste pour dîner, prendre un verre, sans faire l’amour. Nous voulions prendre notre temps pour savourer de douces étreintes. Ce week-end se promettait d’être particulièrement chaud.


Après une nouvelle nuit sublime à faire l’amour, le samedi au petit jour elle me demanda :



Elle me regarda fixement. Je profitai de son absence de réaction pour la basculer dans le lit et la pénétrer rapidement, sans préliminaire, enfonçant mon sexe profondément dans le sien. Alors que j’entreprenais de ramoner son fourreau humide avec des va-et-vient rapides, elle me dit :




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Un mois après, Alexandra arriva en France pour expérimenter une nouvelle vie. Elle vint habiter chez une copine en région parisienne, ne voulant pas brusquer les choses. Elle préférait garder son indépendance avant de venir habiter tout de suite chez nous ; car je lui avais dit que je partageais une maison avec un copain, sans pour autant lui avouer que j’étais bisexuel et que je comptais bien le rester. L’amour réel, sincère et profond que j’éprouvais pour elle ne me faisait pas perdre de vue que mon équilibre psychique était en grande partie basé sur le mode de sexualité que je pratiquais.


Elle se rendit chez nous un vendredi soir. Comme nous le faisions habituellement avec nos autres conquêtes, nous organisâmes un repas tous les trois pour faire connaissance.



En fait, les choses se passèrent totalement différemment. Le repas fut excellant, les sujets de discussion nous rapprochèrent tous les trois. Non seulement j’avais beaucoup d’atomes crochus avec Alexandra, mais elle en avait avec mon amant.

Enfin, l’heure d’aller se coucher arriva, et naturellement Alexandra partagea mon lit.


Ce soir-là, je fus peut-être moins tendre et plus empressé dans mes caresses et mes attouchements. Alexandra m’avait avoué qu’elle aimait les longs préliminaires, la montée progressive du plaisir, et je faisais tout pour la satisfaire. Cependant, parfois un peu de fougue n’était pas pour lui déplaire.


Lors de ces rapports pleins d’ardeur, j’aimais adopter des positions plus recherchées, moins conventionnelles, comme celle du clou où, debout, je chevauchais ma belle compagne qui exécutait une sorte de chandelle : la tête en bas, son sexe relevé à la hauteur de ma queue dressée. Alexandra comprenait tout de suite ce que j’attendais d’elle ; elle prenait appui sur ses coudes pour donner une certaine stabilité à son buste alors que je la pénétrais en enchaînant des séries de petits coups rapides. Mon membre plongeait profondément dans le vagin lubrifié alors que je pouvais contempler son intimité. Quel divin spectacle de voir ses lèvres se fermer sur ma tige !


En la positionnant en levrette, je ne pouvais m’empêcher d’admirer son anus. Je recueillis un peu de son jus intime sur le bout des doigts, introduisis ma queue dans son vagin tandis que mes phalanges vinrent visiter sa petite rosette. Lorsqu’elle sentit cette nouvelle introduction, je vis un léger frison la parcourir. Je ne l’avais jamais prise par là. Elle ne protesta pas et continua à feuler, la tête dans les oreillers. Son anus était extrêmement étroit ; cet orifice était-il encore vierge ? Mon excitation avait beau être à son comble, je ne souhaitais pas visiter son puits secret ce jour-là autrement qu’avec mes doigts.


Le ramonage de son con détrempé de cyprine eut raison de ma résistance. Alexandra elle-même était en partance pour un orgasme violent. C’est donc dans cette posture que j’éjaculai au fond de son vagin (nous avions abandonné l’utilisation des préservatifs après avoir fait des tests). Tous les muscles de ma compagne se contractèrent et elle poussa un rugissement alors que je déversais mon jus. C’était un coït extraordinaire où nous avions pris chacun autant de plaisir.



Je caressai l’un de ses seins sans rien dire, me laissant seulement porter par la grâce de l’instant. Je sentis sa douce main se poser sur mon sexe totalement inerte pour l’instant. Elle vint positionner sa tête près de lui et s’amusa à se caresser les joues, le front, les paupières et les lèvres avec le bout de mon gland. Elle me lança un regard plein d’espièglerie en disant :



Elle s’employa à laper ma verge comme si elle désirait la nettoyer de sa cyprine et de mon sperme. Tout en continuant sont ouvrage, elle me dit :



Je restai totalement interdit devant cette magnifique jeune femme sublime dans sa nudité absolue, dénuée de toute pudeur et de tabous en cet instant où elle prodiguait une agréable caresse à ma virilité. Elle paraissait si fière et sûre d’elle-même, à la fois farfadette et pondérée. Comment avait-elle pu percer mon secret sans que je ne lui en dise un seul mot ? Contente de l’effet qu’elle venait de produire, elle enfonça encore un peu plus le clou en ajoutant :



Ma queue ne pouvait que réagir sous ses coups de langue.



Elle quitta ma queue et vint se blottir tout contre moi, son corps au contact du mien ; je sentais la rondeur de ses seins contre mon torse. Elle continua :




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Le week-end suivant, Alexandra me dit, après de tumultueux ébats, dans l’intimité de notre chambre :




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Le samedi après-midi, je proposai à ma charmante partenaire d’aller faire une sieste crapuleuse. Je savais qu’elle appréciait tout particulièrement ces interludes qui ponctuaient la journée. Mais sa réaction fut inattendue :



Devant mon visage décomposé, elle me dit très calmement :



Je suis donc allé m’isoler avec Gérard. Cette séance avec mon ami ne reste pas un de mes meilleurs souvenirs sexuels, bien au contraire. J’étais extrêmement tendu de savoir que mon amante était toute proche, qu’elle allait entendre nos joutes amoureuses et que celles-ci seraient peut-être inacceptables pour elle. Pour que notre relation fonctionne, il fallait d’une part qu’elle surmonte ce sentiment bien naturel, la jalousie, et d’autre part qu’elle ne voie pas notre homosexualité comme des turpitudes déviantes.


Quand j’allai retrouver Alexandra, elle était divinement nue, allongée sur le lit, les jambes largement ouvertes, comme offerte. À son entrejambe maculé, je devinai aisément qu’elle s’était masturbée. Je vins entre ses cuisses pour à la fois lécher sa mouille et lui donner du plaisir.




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Alexandra venait tous les week-ends et, les beaux jours apparaissant, nous avons installé notre piscine hors-sol, prévoyant des baignades et des bains de soleil. Gérard et moi nous étions mis en maillot, et lorsqu’Alexandra s’approcha de la piscine, elle avait noué autour de la taille un léger paréo translucide, mais avait la poitrine nue.



J’ôtai sans hésiter mon slip de bain alors qu’elle-même dénouait son paréo sous lequel elle était totalement nue, sa petite chatte formant un triangle sombre au bas de son ventre. Gérard nous imita. Il dit tout de même :



Je trouvais Alexandra resplendissante dans cette nudité saine et sans fausse pudeur. Gérard avait du mal à dissimuler son trouble qui fit sourire Alexandra qui ne détourna pas le regard. J’étais un peu dans le même état que mon ami, et finalement j’ai laissé mon membre prendre l’attitude qu’il voulait : il se mit à gonfler.



Dès lors, Alexandra partagea notre vie. Elle vint même s’installer définitivement et constamment chez nous. Elle acceptait la présence de Gérard et les relations que j’entretenais avec lui. J’avais sous le même toit ma maîtresse et mon amant : deux partenaires partageant le même intérêt pour une vie dénuée de tabous et d’interdits.



À suivre