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Temps de lecture estimé : 32 mn
29/03/15
Résumé:  Vêtue de noir et diablement sexy, Cécile est face à nous qui l'admirons. Oui, c'est la même tenue que l'autre fois, tout au moins, ça lui ressemble fortement !
Critères:  fhh extraoffre fellation cunnilingu double sandwich fsodo -couple+h
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message

Série : 6809 - Saines émulations

Chapitre 01 / 03
6809 - Saines émulations - 1/3 : Implémentation

Chaque chapitre de cette série peut se lire indépendamment des autres.

Merci à "Richard" pour l’ambiance générale !




Causerie sur les remparts



Boulogne-sur-Mer, quelque part sur les remparts de la vieille ville. Il fait beau en ce milieu d’après-midi ; avec Fabrice, nous discutons, assis sur un banc. J’ai besoin de me changer un peu les idées après le rendez-vous professionnel que je viens d’avoir. Comme souvent, notre conversation a bien dérapé ! Mon ami réfléchit à haute voix suite à ma dernière phrase :



Étonné, je me tourne vers mon voisin :



Lentement, Fabrice se lève du banc et s’approche du muret. Il regarde le panorama qui s’offre à ses yeux, puis reprend :



Fabrice s’agite de plus en plus :



Acquiesçant, je le rejoins. Je regarde à mon tour le panorama tandis que mon ami développe son idée :



Fabrice se retourne, accoudé aux vieilles pierres. Tournant la tête vers lui, je demande :



Le regard perdu au lointain, vers la mer, je suis pensif.



Après un bref coup d’œil circulaire, je me penche sur mon voisin et je poursuis :



À cette évocation, j’ai un petit rire :



Un peu agacé, je soupire :



Tournant le dos à mon ami, je retourne vers le banc tout en parlant :



Resté derrière moi, j’entends Fabrice répondre :



Je ne réponds rien. Deux mariages ratés, deux ex imbuvables, je n’aime pas trop évoquer tout ça. Pourquoi ce n’est pas moi qui ai déniché Cécile le premier ? Pourquoi ? Et en prime, mon ex-entreprise qui a mis la clef sous la porte et le chômage à cinquante ans dépassés, ce n’est pas cool, même si nous revenons, Fabrice et moi, d’un rendez-vous qui me donne une lueur d’espoir.

C’est Fabrice qui relance la conversation sur le sujet d’avant :



Ça m’arrache de mes pensées moroses. Je soupçonne Fabrice savoir lire en moi. Je secoue la tête.



Fabrice pose sa main sur mon épaule.



Sourire aux lèvres, je secoue la tête.



Je marque un temps d’arrêt.



Plaquant ma main dans le dos de mon ami, je le pousse vers le chemin de ronde.





Têtes à têtes



Vêtue de noir et diablement sexy, Cécile est face à nous qui l’admirons. Oui, c’est la même tenue que l’autre fois ; tout au moins, ça lui ressemble fortement.


Intérieurement, je râle un peu : Fabrice est resté calmement au pays, et il a fini par dénicher Cécile. Moi, j’ai été en balade dans toute l’Europe ; je ne compte plus les villes et les pays dans lesquels j’ai posé ma valise pour quelques semaines ou quelques mois, et c’est en revenant, il y a quelques mois, que j’ai enfin trouvé la femme de mes rêves au bras de mon ami ! Il y a de quoi être frustré, non ?


C’est alors que Fabrice m’a confié qu’il était en couple libertin, et que je ne déplaisais pas à sa femme. Mes convictions initiales étaient plutôt contre ce genre d’arrangement, mais Cécile m’attirait énormément et ça n’a toujours pas cessé entretemps. Suite à un nouvel échec sentimental, j’ai fini par franchir le pas. Je regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt ; quel temps perdu !


Oui, quel temps perdu quand j’admire Cécile dans son ensemble noir de la tête aux pieds, ou plus précisément au bout de ses talons aiguilles ! Dix centimètres, peut-être douze… Un peu cliché, je l’avoue, mais très, très efficace pour la libido. En tout cas, la mienne et celle de Fabrice, si je ne m’abuse.



De bas en haut… Des cuissardes de cuir noir gainent ses jambes haut perchées sur des fins talons qui cambrent agréablement sa silhouette. Entre le bas de sa robe et le haut des cuissardes, une petite bande de chair rose fait contraste. Une robe de vinyle zébrée de reflets, noire comme les cuissardes, une robe-veste avec des boutons pression de haut en bas qui ne demandent qu’à être ôtés comme ils le sont déjà plus haut, un magnifique décolleté qui présente majestueusement bien deux globes laiteux qui sont des appels implicites aux lèvres et aux doigts ! L’échancrure en V du décolleté est telle que je peux distinctement voir la courbe basse des seins, cette courbe lourde et sensuelle ! Un fin cou blanc prolonge le sillon enjôleur de sa poitrine quasi offerte. Un visage comme je les aime, une bouche que j’ai envie de croquer, un petit nez, de grands yeux noirs joueurs qui accrochent incroyablement la lumière, et cette longue chevelure sombre aux discrets reflets auburn…


Mon Dieu, que je lui arracherais volontiers cette tenue si aguichante afin de lui faire l’amour toute la nuit, et les autres nuits ! Je suis prêt à parier très lourd que sous cette robe elle ne porte rien du tout ! Pas même un string. J’imagine sans problème ses belles fesses rondes et toutes douces, sans parler de sa fente épilée, surmontée d’un fin triangle noir bien taillé… Cécile est à mes yeux la définition exacte d’une allumeuse classe !


Plantée au milieu du salon, soutenant sans problème mon évident et scrutateur examen de sa radieuse personne, elle sourit.



Cécile se tourne vers moi, la tête un peu inclinée.



Pour le coup, je ne sais pas quoi répondre ; il y a comme un certain flottement. C’est mon ami qui me sauve la mise en intervenant. De la main, Fabrice me désigne le canapé.



Je fais comme on m’a dit. À peine ai-je mis mon dos contre les coussins que Cécile se place juste à côté de moi. Sa proximité me donne quelques bouffées de chaleur. C’est encore pire quand elle pose sa main sur mon genou !



Sans honte, elle vient taquiner du bout de ses doigts l’évidente bosse de mon pantalon. Il y a une grande satisfaction de sentir des ongles écarlates et taquins à travers le tissu tendu. Mais c’est aussi une grande épreuve, car si j’avais été un ado, je crois que mon slip serait déjà maculé au bout de quelques pas de promenade de ces doigts fins sur ma tige complètement raide !

Je me laisse faire ; c’est très agréable. J’en profite pour poser ma main sur son genou que je commence à caresser doucement. Cette sensation est très douce, surtout quand je remonte vers la peau de ses cuisses, après le cuir des cuissardes…


De son côté, Cécile ne perd pas trop de temps puisqu’elle a déjà ôté le gros bouton de mon pantalon. Je suis très content de n’avoir pas mis de ceinture aujourd’hui. La fermeture Éclair abaissée, mon caleçon forme un chapiteau dans l’espace dégagé. Je me soulève légèrement afin de faire coulisser mon pantalon et mieux révéler ma tente ultra-tendue et fièrement pointée vers le plafond. Taquine, elle joue des ongles à la limite de l’élastique, sur ma chair frémissante, s’aventurant parfois sous le tissu du caleçon. Se collant un peu plus contre moi, elle remarque :



Je le regarde, assez surpris.



Et elle plonge la main dans mon caleçon et commence à me caresser la tige d’une façon vicieuse, sans oublier mes testicules bien pleins qui frissonnent sous son contact sensuel.

Puis sans chichis, elle révèle petit à petit mon sexe au grand jour, le taquinant, caressant la tige palpitante, suivant les plis du bout des doigts, soupesant mes testicules puis recommençant plusieurs fois ce petit manège très agréable.


Je ne reste pas inactif : ayant remonté sa robe noire, je constate avec plaisir qu’elle ne porte rien par dessous. Je m’en doutais, mais j’aime avoir l’évidence sous les yeux. Du bout du doigt, je contourne son triangle noir, jouant parfois avec quelques boucles. Puis posément, je le caresse, c’est si doux !



Je continue à caresser cette petite toison bien taillée, puis je me lance :



Elle pouffe, puis elle répond :



Elle écarte alors un peu plus les jambes.



Je lui obéis illico : je me sers ! Je câline effrontément son triangle poilu, puis mes doigts descendent à l’orée de sa fente toute polie pour ensuite remonter vers sa mini-forêt. De son côté, elle n’a pas lâché ma queue bien raide qu’elle décalotte vicieusement par brèves saccades. Parfois, elle joue de ses doigts sur mon gland frémissant, osant le titiller de ses ongles, s’immisçant délicatement dans mon méat humide…



Aussitôt dit, elle se retire du canapé pour venir s’agenouiller entre mes jambes. L’instant d’après, ma queue disparaît dans une bouche chaude et suave à souhait. Je soupire d’aise… Décidément, Cécile est une bonne suceuse ; elle s’est sans doute affirmée et affinée dans cette pratique au fur et à mesure des années, tel que je crois connaître mon ami qui a dû servir de test grandeur nature à sa femme. Heureux homme ! Bien que je le soupçonne fortement d’avoir gentiment poussé sa femme sur cette voie… Et pas que sur celle-ci !


Soudain, sa bouche quitte ma tige.



Toujours agenouillée, elle me regarde, amusée.



Puis posément, elle capture à nouveau mon sexe luisant de sa salive pour entamer une fellation d’enfer ! Je savais que certaines personnes étaient douées quand elles sortaient le grand jeu, mais là ! Mes doigts se crispent sur le cuir du canapé, tant pis si je le griffe. Elle s’active plus encore, sa langue totalement vicieuse caresse mon gland avec virtuosité tandis que ses lèvres enserrent mon pieu dans une succion extraordinaire. C’est démentiel comme sensation !


Je n’arrive plus à me retenir ! Aussitôt, dans un grand râle, j’éjacule dans sa bouche si chaude, je me vide sur sa langue empoissée de sperme qui continue néanmoins de me caresser sensuellement tandis qu’elle avale par petites gorgées.

Oh, que j’adore qu’une femme avale, qu’elle me boive, qu’elle se remplisse de mon sperme, qu’il coule dans sa gorge pour aller ensuite se nicher au plus profond de son ventre !



Fabrice vient à l’instant d’entrer dans le salon. Je sursaute, un peu inquiet au fond de moi. Je suis vite rassuré quand j’entends sa femme lui répondre d’un air innocent :



Et il vient se planter face à Cécile. Quelques secondes plus tard, sa queue disparaît à son tour entre les lèvres suaves de sa femme qui s’activent autour de ce nouveau rafraîchissement en perspective. Contemplant le spectacle, je récupère de mes émotions car quelque chose me dit que ça n’en finira pas là tout de suite. Fabrice tourne la tête vers moi :



Il rit, et je vois bien que sa femme a l’œil pétillant. Je n’arrive pas trop à me faire à ce genre de convivialité, même si j’en suis quand même le principal bénéficiaire.



Et il le fait : plaquant ses mains, il couvre délicatement les oreilles de sa femme qui ne proteste même pas, puis il demande :



Il me regarde en souriant, sa bite toujours aussi bien choyée par les bons soins de sa femme.



Projetant son bassin encore plus en avant afin que Cécile l’engloutisse complètement, Fabrice soupire :



Je ne réponds rien tandis qu’il enlève ses mains des oreilles de sa suceuse. Puis, délicatement, il caresse les cheveux de sa femme. Ôtant la tige de chair de sa bouche, elle demande :



Amusé, Fabrice se tourne vers moi.



Cécile se relève du tapis, abandonnant la privauté qu’elle offrait à son mari pour venir se planter face à moi. Elle questionne :



Elle s’agenouille de part et d’autre de mes cuisses, mettant son sexe presque à mon menton. Devant cette invite explicite, je me fais un plaisir d’embrasser son pubis avant d’aller glisser impudiquement ma langue dans sa fente humide à la recherche d’un petit bouton rose. De temps en temps, je me retire pour mieux admirer ses lèvres toutes lisses, si goûteuses, le petit triangle noir assez fourni qui orne le bas de son pubis, tel une flèche pour m’indiquer la bonne direction, puis je replonge avec délectation.

Elle gémit doucement ; j’active un peu plus mes lècheries intimes ; elle plonge ses doigts dans mes cheveux, se laissant aller à mes caresses. Soudain son mari se plaque dans son dos tandis qu’il lui agrippe les seins. Il grogne :



À prime vue, il se frotte éhontément contre ses fesses, lui malaxant allègrement les seins tout en l’embrassant dans le cou. Coincée entre ma bouche et le corps de son homme, Cécile se laisse aller sans pudeur, poussant son sexe humide vers ma figure afin que je la satisfasse au mieux. Elle laisse échapper ci et là quelques soupirs… Soudain, elle murmure :



Elle proteste, mais ça ne l’empêche absolument pas d’écarter ses fesses de ses mains, cul projeté à présent en arrière, ce qui m’oblige à aller chercher ma divine friandise en nichant plus loin encore ma tête. J’entends alors un double cri : un petit ton de surprise, un grave grognement de satisfaction d’être là où on veut être…



Tandis que je la lèche, je sens distinctement les coups de boutoir que lui inflige son mari. Étrange sensation que d’avoir sous la langue la chatte détrempée d’une belle enculée ! Je me décoince plus vite que ne le supposaient mes hôtes.



Cécile vibre, elle crie, elle jouit sous notre double assaut. Elle jouit comme un feu d’artifice ; tremblements convulsifs, frissonnements vifs et spasmes épuisants. A-t-elle joui le plus sous ma langue ou sous la vile perforation de ses entrailles ? Ou des deux à la fois ? Je ne le saurai jamais puisque je n’oserai jamais poser la question.




Réjouissances triadiques



Affalée dans le canapé, toujours en cuissardes, sa robe largement béante laissant s’échapper deux beaux seins à notre vue, Cécile récupère petit à petit. Comme elle a les jambes largement écartées et une absence évidente de petite culotte, installé sur le fauteuil d’en face, je profite allègrement de la vue qu’elle m’offre. Son petit triangle noir m’amuse et me fascine ; il faut savoir l’entretenir. Ce petit manège n’échappe pas à son mari qui me glisse :



Cécile se mêle à la conversation :



Fabrice fond littéralement sur elle :



Ils font semblant de se battre. Mais on devine aisément qu’il s’agit d’un jeu. Fabrice en profite pour peloter éhontément sa femme, qui ne se prive pas pour lui retourner la pareille. Avec ce jeu de mains baladeuses, tous deux sont en équilibre précaire.



Soudain, chutant en arrière, Fabrice entraîne Cécile avec lui. Elle pousse un petit cri de surprise. Il se couche sur le dos tout en l’enlaçant fermement tandis qu’elle se vautre sur lui de toute sa longueur, présentant à ma vue son mignon cul aux fesses accueillantes. J’apprécie énormément ces courbes offertes à mon regard. Me penchant un peu plus, je constate certaines traces luisantes bordant sa rondelle sombre ainsi que l’arrondi des fesses. Je me souviens de ce qui s’est passé tout à l’heure.


Je m’égare momentanément dans mes souvenirs…


Puis je reviens sur terre, avec sous mon nez et sous mes mains un splendide popotin qui n’attend que moi ! Tandis que je capture son beau cul que j’écarte pour mieux l’admirer, un peu de sperme s’évade de son sombre tunnel. Ça me procure un singulier frisson. Une envie irrésistible s’empare de moi : moi aussi, je veux plonger de la sorte en elle afin de la remplir !


La température augmente singulièrement ; j’ai une envie folle de posséder cette femme de toutes les façons possibles et imaginables, sans parler de celles qui seraient acrobatiques ou risquées pour ma physionomie ! Je constate avec une certaine stupéfaction que la convoitise la plus sauvage et primaire cohabite très bien avec l’inclination la plus pure. Oui, j’adorerais jouer le preux chevalier défenseur de ma Dame adorée et vénérée, mais en même temps j’ai la volonté folle de l’accaparer pour moi seul, qu’elle soit ma chose, l’unique objet de ma concupiscence débridée !


J’aimerais réaliser tous les fantasmes avec elle ; tous, les uns après les autres, sans en oublier aucun. Adorables, gracieux ou sales, peu import : lumière ou ténèbres, je prends du moment que je la prenne, elle !


Toujours allongée sur Fabrice, Cécile ploie sous notre double assaut : moi qui me plaque contre ses fesses, son dos, elle écrasant ses seins sur un autre torse, deux hommes aux bites dures qui cherchent chacune leur chemin. Elle ondule contre nos deux corps robustes, minaudant, comme fragile face à notre double désir d’elle.



Synchronisés, excités, nous trouvons chacun de notre côté l’accès étroit qui nous permet d’aller plus loin encore dans la possession de ce magnifique corps qui nous est offert. Pour ma part, c’est avec une délectation sans nom que je fraie ma voie entre ces fesses toutes rondes et douces. Juste un petit ajustement du bout des doigts pour bien pointer l’entrée convoitée puis, sans vergogne je pousse mon avantage tandis de Fabrice en fait de même par-devant. Qu’il est étrange pour moi de sentir à travers une mince paroi une autre queue que la mienne dans ce corps que j’adore et que je possède !


Fébrile, je commence à pistonner cette femme que je convoite tant, à lui faire sentir ma présence, ma force, ma virilité. Avec un immense plaisir, je constate que – aidée par un certain lubrifiant naturel déjà présent – ma tige s’enfonce petit à petit dans ses profondeurs obscures et étroites. Puis vient le moment excitant de mes couilles qui viennent s’aplatir contre son cul écartelé, ce plaisir ultime d’être au fond des choses, d’y être complètement calé, de tout posséder !


De son côté, Fabrice n’est pas en reste pour tenter, lui-aussi, de s’enfoncer au plus lointain dans la caverne humide et chaude de sa femme ; il le fait avec maintes puissantes secousses, grognant bruyamment tandis qu’il assène d’offensifs coups de reins.

Sous notre double agression, Cécile gémit, se tord, refuse, réclame !



Cécile est totalement défoncée, écartelée, élargie, ouverte à fond à ces queues qui plongent férocement en elle, cette double queue qui la prend sans vergogne, devant comme derrière, puis qui jouit de tout son saoul à la fois dans ses profondeurs interdites et sa grotte rosée. Je rugis mon plaisir, j’expulse tout mon sperme en elle, me vide encore et encore, la remplis pour la faire déborder de partout !

C’est alors qu’elle crie son plaisir, une longue plainte, comblée intégralement par ses portes d’ébène et de jade, mélange de douleur de ses chairs déchirées, de sain plaisir, de fine souffrance, de royal ravissement…




Arguments sans arguties



Après tous ces amusements fort torrides, nous nous sommes endormis dans la quiétude de cette fin d’après-midi. Au bout d’un temps indéfini, j’ouvre un œil. Un peu vacillant, je me lève. Tiens, je suis seul dans le salon. Je pense que mes hôtes ont dû s’allonger dans leur chambre.


Afin d’être un peu plus présentable, j’ai remis ma chemise, mais sans plus. C’est alors que je constate que mon téléphone clignote dans ma poche : un SMS. Je le lis, étonné : c’est la boîte du rendez-vous qui m’écrit déjà. Je soupire ; ça doit être un refus pour que ce soit si rapide. Eh bien non, ma proposition est retenue ! Fébrile, je réponds aussitôt.

Une bonne chose ! Je vois déjà l’horizon plus dégagé. Sans parler de Cécile que j’ai eue le plaisir de posséder… Très bonne journée !


Guilleret, je pars faire un petit tour dans le frigo puisqu’on m’a donné la permission de me servir. J’avise une canette, puis je viens me poster devant la porte-fenêtre qui donne sur le jardin. Je bois une première gorgée, puis une autre. J’entends un bruit derrière moi ; je me retourne : juste vêtue d’une nuisette rouge et noire, Cécile est debout derrière la grande table. Elle est encore plus affriolante que complètement nue !

En dépit de ma chemise, elle regarde avec amusement une certaine partie de mon anatomie repartir à l’horizontale, puis à la verticale.



Cécile me lance par-dessus la table :



Perplexe, je souffle et me gratte la tête.



Lentement, Cécile contourne la table.



Elle se tient juste à côté de moi. J’ai une folle envie de la serrer contre moi. Je préfère fermer les yeux et continuer :



Je la dévisage, intrigué.



Alors je l’attire à moi et je la serre contre moi, entre mes bras. Je sens la chaleur de son corps à travers la nuisette, j’entends sa respiration apaisante, je joue avec les boucles sombres de ses longs cheveux… À travers les deux épaisseurs de sa nuisette et de ma chemise, mon mandrin bien tendu vient se plaquer contre son pubis.



Je la serre un peu plus contre moi.



Elle se niche un peu plus contre moi.



Ah, ces femmes… Je crois que je ne les ai jamais bien comprises ! Il faut dire que je n’ai jamais eu droit à une Cécile qui me mettre les points sur les i… Des envies, j’en ai plein, mais j’ai l’impression de ramer à contre-courant avec les femmes, que ce n’est jamais le bon moment. Combien de fois je me suis planté de la sorte ! Mais quelque chose en moi me dit que ça va être plus simple avec Cécile.

Alors, l’écartant légèrement de moi, je me penche sur elle et je l’embrasse.


Fougueusement, elle répond à mon baiser. Je m’enflamme petit à petit ; mes mains deviennent plus possessives. Nos lèvres se dévorent, nos corps se cherchent. Alors que je l’embrasse passionnément dans le cou, une main dans son dos que je caresse et griffe délicatement et l’autre sur une fesse fermement capturée, Cécile murmure :



Mon nez et mes lèvres toujours dans son cou, je demande :



Il ne me semble pas avoir dit de bêtises ; néanmoins j’obtempère, trouvant l’idée particulièrement agréable. Un long baiser nous unit à nouveau. Je me frotte éhontément contre elle, mes larges mains la caressant, la frôlant, la désirant. Soudain, Cécile s’échappe de mes bras, me désignant le couloir et les chambres :



Peu après, c’est un Fabrice assez fatigué qui fait son apparition dans le salon. Il me lance un bref bonjour ensommeillé, puis il s’approche de sa femme et l’embrasse tout en lui caressant les fesses. Puis il se sert un café.



J’interviens :



Il boit sa tasse, puis la remplit. Durant ce temps, tandis qu’il est perdu dans les brumes du réveil, Cécile s’approche de moi, me donne une fine tape sur mon sexe toujours pointé vers le plafond et murmure :



J’en profite pour lui mettre une petite fessée très légère.



Elle s’éloigne de moi pour aller s’asseoir dans un fauteuil. Fabrice la rejoint, s’asseyant dans le fauteuil voisin, tasse en main, l’air toujours embrumé. Quand je passe à côté d’elle pour aller m’installer dans le canapé, Cécile me chuchote :



Et elle me caresse prestement les fesses. Je m’attarde un peu, puis je vais m’asseoir à mon tour. Mon ami finit son café, se passe ma main dans les cheveux puis dit :



Fabrice se contente de rire doucement. La situation me semble un peu curieuse ; je n’arrive pas à m’y faire. Pourtant, il y a peu de temps, tous les trois, nous faisions l’amour… Pour changer de conversation, je lance :



Pour sa part, Cécile ne dit rien ; elle se lève et se jette sur moi pour me déposer un baiser furtif sur les lèvres. J’aime être félicité de la sorte ! Me surplombant toujours, un bras sur chaque accoudoir du fauteuil, m’offrant un point de vue inégalé sur ses seins, Cécile tourne la tête vers son mari :



Songeant à ce que Cécile m’a dit auparavant, étant caché de Fabrice, j’en profite ignoblement pour capturer les seins offerts et légèrement pendants afin de les avoir bien en main et de profiter de leurs doux poids sur mes paumes. Comme si de rien n’était, ma félicitatrice poursuit :



Fabrice assène calmement :



La réponse arrive de Cécile qui vient s’asseoir posément sur mes genoux, passant un bras autour de mon cou, ses jambes sur l’accoudoir. Aussitôt, une certaine partie de mon anatomie se réveille de plus belle !



Et ostensiblement, les yeux pétillants, elle remue ses fesses nues sur ma tige de chair qui n’en finit plus de durcir.



Amusé, Fabrice intervient :



Sans plus de préambules, j’enlace Cécile ; j’adore la sentir sous mes doigts, d’avoir sa chaleur et sa douceur tout contre moi.



Elle tourne la tête vers son mari.



Puis se plaquant entièrement à moi, écartant un peu les jambes, remuant vicieusement des fesses et du bassin à tel point que ma tige trouve sans détour l’entrée de sa fente si accueillante, à présent embrochée sur moi, elle m’embrasse. Sous son torride baiser, j’ai un mal de chien à me contenir ! Puis, n’y tenant plus, je réponds farouchement à son invite, capturant ses lèvres, puis perdant définitivement mon self-control sous la brûlure de notre baiser incandescent, un long jet explose en elle.


Avec de tels arguments, une semaine plus tard, valises en main, j’emménageais chez mes amis, partagé entre deux sentiments contradictoires : la joie de pouvoir profiter de Cécile, et la crainte de ne pas avoir la sérénité nécessaire à l’écriture du mon simulateur 6809.