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n° 16860Fiche technique47683 caractères47683
Temps de lecture estimé : 27 mn
16/06/15
corrigé 08/06/21
Résumé:  Fabrice est parti au boulot. Par contre, sa femme, Cécile, est restée avec moi : c'est son jour de repos. C'est pour cette raison qu'une séance avec un soumis a été programmée vers quinze heures.
Critères:  fh cocus hsoumis fdomine hmast rasage fellation cunnilingu pénétratio fsodo sm bougie fouetfesse piquepince confession -sm
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message

Série : 6809 - Saines émulations

Chapitre 02 / 03
Rodages

Chaque chapitre de cette série peut se lire indépendamment des autres.

La séance D/s est une description point par point.

Merci à « Richard » pour l’ambiance générale.




Préparatifs



Fabrice est parti au boulot. Par contre, sa femme, Cécile, est restée avec moi : c’est son jour de repos. C’est pour cela qu’une séance avec un soumis a été programmée aujourd’hui, cet après-midi vers quinze heures. C’est en quelque sorte la répétition de la peut-être future activité de mon amante… Nous sommes en train d’aménager le salon afin de dégager de la place au milieu. Nous avons presque fini. Je demande à Cécile :



Je vais chercher ce qu’il faut, puis je reviens. Nous buvons en silence, appréciant cette petite pause bien méritée. Soudain, Cécile m’interpelle :



Je m’approche prestement d’elle :



Après un bref instant, je soupire :



Et je l’embrasse tandis que nous chutons voluptueusement dans le canapé…


Peu après, sans que j’aie bien compris la manœuvre, mon pantalon éjecté de l’autre côté du salon, je me retrouve couché sur elle, en elle, toujours en train de l’embrasser, tout en étant bien au chaud en elle, dans sa chatte accueillante et détrempée tandis que je coulisse voluptueusement et lentement. Notre câlin poussé perdure longtemps, agréablement, sensuellement. Puis, afin de reprendre un peu de contenance, je me retire doucement. Elle proteste un peu :



Mais ce n’est pas à nouveau vers sa fente bien humide que je darde mon pieu, mais vers son petit trou.



Mais ce n’est pas pour autant qu’elle refuse. Avec une grande satisfaction, mon gland imprégné de sa cyprine entre aisément en elle. Je marque un petit temps d’arrêt pour jouir pleinement de la situation et aussi pour éviter d’éjaculer trop vite, car la situation est très excitante ! Puis, la regardant bien dans les yeux, je force un peu plus mon avantage pour entrer petit à petit en elle, tandis qu’elle me sourit assez vicieusement.


Que j’adore cette femme !


Tandis qu’elle est toujours plantée sur ma queue, j’attrape ses cuisses, et sans trop d’efforts, sans tenir compte de ses cris de surprise, je la soulève, la décollant du sol. Sous l’effort, elle s’empale plus loin encore sur mon fier mandrin qui lui sert à présent en quelque sorte de siège improvisé et très intrusif !



Ce qui ne l’empêche pas de me tendre ses lèvres afin que je l’embrasse tandis qu’elle commence à se masturber du bout des doigts. Alors que nos bouches sont rivées dans un furieux baiser, elle augmente de plus en plus la cadence de sa caresse intime qui devient petit à petit frénétique. C’est alors que j’en profite pour la pistonner du mieux que je peux, l’abaissant, la soulevant dans mes bras, la faisant coulisser diaboliquement autour de mon pieu qui se fiche bien profondément en elle.


Elle ôte momentanément ses lèvres des miennes :



Pour la faire taire, je l’embrasse. Non, je ne me sens pas encore prêt à modifier mon vocabulaire, c’est mon éducation qui veut ça. On ne jette pas à la poubelle si facilement des décennies de conventions.

Mais voilà, elle insiste, s’arrachant à mes lèvres :



Je lui donne un bon coup de reins pour m’enfouir au plus profond de son petit trou du cul qui doit être nettement plus élargi que tout à l’heure, puis je grogne :



Puis je recapture sauvagement ses lèvres, continuant de la sodomiser au plus profond, au plus bestial, pour bien lui faire sentir que c’est moi qui ai le manche. Un bref instant, je m’étonne de me comporter de la sorte : je ne me reconnais pas, mais avec Cécile comme amante, je franchis décidément vite diverses étapes !


J’ôte ma bouche de la sienne, et j’annonce :



Aussitôt dit, aussitôt fait : j’accélère la cadence, et tant pis si ma bite en prend un coup ; mais c’est trop jouissif d’enculer une si belle salope ! C’est délirant comme sensation. Comme je la malmène, elle gémit doucement, puis de plus en plus bruyamment. C’est divin et infernal. Si c’est ainsi l’enfer, je postule tout de suite !


Soudain, une digue craque en moi. C’est avec une immense satisfaction qu’en rugissant je jaillis en elle, que je sens mon sperme dégouliner le long de ma verge en feu, glisser sur mes couilles pour venir ensuite s’aplatir au sol, tandis que mon amante est secouée de spasmes et de petits cris désarticulés…




Mise au point



Dans la salle de bain, tandis qu’ils se changent pour aller coucher ensemble, Fabrice demande à sa femme :


  • — Alors, tu en dis quoi de notre cohabitation à trois ?
  • — Que du bien. Pourquoi ?
  • — Je te posais la question, c’est tout.

Se brossant toujours les cheveux, Cécile rit doucement :


  • — Non, non, non, mon cher mari. Je te connais suffisamment pour savoir que tu ne demandes pas ça comme ça… Tu as fatalement une idée derrière la tête, non ?
  • — Ah bon ?
  • — Allez, accouche !
  • — Je suis un homme, je te signale.
  • — Ne joue pas sur les mots, s’il te plaît ; tu sais très bien où je veux en venir.

Fabrice s’adosse au mur avant de poursuivre :


  • — Je voulais avoir confirmation que tout se passait bien. Et je pense que tout va bien. J’espère que ça ne va pas « trop » bien…
  • — Euh… tu fais allusion à quoi, mon chéri ?
  • — Je fais allusion au fait que tu pourrais devenir trop proche de Richard. Je sais qu’il t’appelle « ma chérie »…

Ayant posé sa brosse, Cécile s’approche de son mari, elle lui caresse la joue :


  • — Serais-tu jaloux ?
  • — Non, mais… peut-être un peu… inquiet…

Elle capture sa nuque pour l’obliger à se pencher sur elle ; leurs fronts se rejoignent.


  • — Je vais être claire avec toi, grand nigaud : oui, j’aime bien Richard, mais c’est toi que j’aime tout court !
  • — Mais tu aimes bien Richard quand même… Et si je n’étais pas là, c’est lui que tu choisirais, je me trompe ?
  • — Tu es décidément un grand nigaud ! Je te signale que tu es là et que tu es mon mari. Et que je n’envisage certainement pas de te remplacer par quelqu’un d’autre. Sauf si tu me fais faux bond et que tu me quittes pour une pétasse.
  • — Tu es…
  • — Arrête de causer et embrasse-moi, grand nigaud !

Ce qu’il fait illico.



C’est ainsi que Cécile m’a relaté sa conversation d’hier soir avec son mari, là, juste après le repas du midi. Elle a un air très sérieux, elle semble vouloir mettre les points sur les i avec moi. Ce qu’elle fait tout de suite :



Je vois bien qu’elle ne sait pas quoi faire à présent. Elle souhaite que cette conversation soit sérieuse, mais son sens du tactile est puissant : je le vois à ses mains dont elle ne sait pas quoi faire. Je m’approche un peu d’elle ; elle ne bouge pas.



Prestement, elle intervient aussitôt :



Je la prends dans mes bras ; elle ne résiste pas. Peu après, ses mains glissent dans mon dos. Je lui murmure :



Je la berce tout en la serrant contre moi, mais pas trop fortement ; j’ai appris à doser la force de mes bras. Elle se laisse aller contre moi, elle soupire :



Alors que je la renverse sur le canapé, elle rit :



Je commence à la dévêtir ; elle continue, se laissant faire :



Et elle rit, tout en dégrafant mon pantalon. Tandis qu’elle l’abaisse, elle continue :



Plongeant sa main dans mon caleçon, elle s’empare sans vergogne de mes couilles.



Dévoilant ses seins avec délectation, je riposte :



Il est bientôt quatorze heures ; le soumis arrive vers quinze heures. Sauf erreur de ma part, ça nous laisse un peu de temps… Alors je décide d’accélérer un peu le mouvement en la tripatouillant de partout. Elle se laisse faire, puis soudain :



Elle secoue la tête, tout en continuant à jouer avec mon service trois pièces, ce qui est d’ailleurs très agréable. Elle m’explique :



Je fronce les sourcils. Je demande :



Ça, c’est une lacune dans mes compétences, mais je ne demande qu’à apprendre. Ceci étant, c’est quand même un endroit délicat et j’ai peur de la couper.



Prestement, je la plaque contre moi, ses seins dénudés contre ma poitrine :



Puis elle s’agenouille, s’emparant de mon sexe au garde-à-vous depuis un certain temps. Elle me jette un regard très équivoque puis me lance :



Et elle entame une fellation d’enfer dont je me souviendrai longtemps !




Dernières retouches



Oh oui que ce fut une splendide sucette très ravageuse ! À tel point que je n’ai pas résisté bien longtemps et que cette éjaculation m’a semblé d’une intensité rare, comme si je me vidais entièrement de la tête aux pieds ! Il m’a fallu un certain moment pour récupérer.


Je remplis la bassine d’eau chaude. J’ai pris un rasoir neuf à trois lames, la mousse spéciale-fraîcheur. Ah, j’allais oublier le gant de toilette !


Cécile m’attend sur son lit, largement ouverte. Hélas, ce n’est pas pour m’accueillir en elle ; mais ce n’est que partie remise. Je m’installe, je me penche sur la délicate fente qu’elle m’offre. Pour ma part, la mise au net n’était pas une urgence, mais puisque c’est ça qu’elle désire…


Petit à petit, la mousse disparaît sous le passage du rasoir que je manie avec le plus de délicatesse possible. Il y a quelque chose d’émouvant à ce qu’une femme vous laisse disposer de son intimité de la sorte, une preuve de confiance !


Je m’applique au mieux, faisant un certain effort pour ne pas me laisser distraire par ce sexe offert et luisant. Pas évident, surtout quand on désire ardemment la personne en question. Je suis totalement fou de cette femme, c’est incroyable l’effet qu’elle me fait ! C’est assurément la première fois que je ressens de tels sentiments multiples et intenses.


J’écarte une dernière fois ses lèvres afin de vérifier si tout est OK. Je tâte du bout des doigts si c’est lisse comme elle le souhaite. Un dernier coup de gant de toilette, et son mignon sexe est à nouveau tout lisse comme une pêche bien juteuse, exception faite du petit triangle sombre de son pubis. Petit triangle qui indique assurément la direction à prendre !


Je ne peux m’empêcher de déposer divers petits bisous furtifs sur ces lèvres glabres et toutes douces. Elle frémit. Je m’enhardis à glisser ma langue vers son clitoris. Je constate avec une certaine satisfaction qu’elle mouille. Mais hélas, elle s’éloigne de ma bouche :



Puis elle s’échappe vers la salle de bain. Je suis un peu frustré, mais j’ai compris qu’elle ne souhaite pas que je la suive. Alors je vais dans le salon mettre en place la caméra afin que Fabrice puisse voir la séance en question quand il rentrera ce soir du travail.


Je pense que jouer les cameramen sera agréable ; j’ai vu nettement pire comme activité. À mes heures perdues, je pense que je me ferai un montage des meilleurs moments de cette vidéo. En attendant, je m’entraîne à bien faire pivoter la caméra sur son trépied et à jouer avec le zoom.




Séance Domina-soumis



Comme lors de ce fameux soir qui a marqué ma venue ici, j’admire Cécile dans son ensemble noir de Domina, de ses longs cheveux sombres aux bouts de ses hauts talons-aiguilles.



De bas en haut, je promène mon regard sur son magnifique corps… Des cuissardes de cuir noir gainent ses jambes haut perchées sur de fins talons qui cambrent agréablement sa silhouette. Entre le bas de sa robe et le haut des cuissardes, une petite bande de chair rose fait contraste. Une robe de vinyle zébrée de reflets, noire comme les cuissardes, une robe-veste avec des boutons-pressions de haut en bas qui ne demandent qu’à être défaits comme ils le sont déjà plus haut, un magnifique décolleté qui présente majestueusement deux globes laiteux qui sont des appels implicites aux lèvres et aux doigts… L’échancrure en V du décolleté est telle que je peux distinctement voir la courbe basse des seins, cette courbe lourde et sensuelle. Un fin cou blanc prolonge le sillon enjôleur de sa poitrine quasi offerte. Un visage comme je les aime : une bouche que j’ai envie de croquer, un petit nez, des grands yeux noirs joueurs qui accrochent incroyablement la lumière, et cette longue chevelure sombre aux discrets reflets auburn…


Oui, je sais, je me répète ; mais c’est si bon de se refaire le film !


Driiing ! On sonne à la porte. Je jette un coup d’œil à l’horloge murale : ce soumis est plutôt ponctuel ; il est même légèrement en avance.



Partant ouvrir, je secoue la tête. Chemin faisant, je me demande à nouveau si je saurai un jour me maîtriser devant elle.

Le soumis en question est lui aussi assez grand, moins que moi. C’est vrai que, quelque part, il a la tête de l’emploi. C’est avec une grande déférence qu’il salue sa Domina, avec une très nette lueur admirative dans les yeux. Je le comprends.


Je pourrais écrire tout un roman sur cette séance de Domination/soumission, mais je vais faire un peu plus vite, sinon il y en aurait pour de pages et des pages ! De plus, comme je vais filmer tout ceci de A à Z, rien ne sera perdu. Et quand la caméra sera sur son pied, je prendrai des photos.


Le soumis se déshabille, sans perdre des yeux sa Domina. Il est plutôt pas mal bâti, et je vois bien que Cécile le considère d’un bon œil. Sur son ordre, il se met à quatre pattes, et elle commence à l’agacer avec une cravache flexible.



Je suis étonné du ton de la voix qu’elle a employé. Il s’exécute et elle pose la pointe de son talon-aiguille sur son dos qu’elle pique à de multiples reprises tandis qu’elle cingle parfois les fesses offertes qui se zèbrent de rouge petit à petit. Moi, je filme le tout du mieux que je peux.

Puis elle vient se planter sous son nez et ordonne :



Rampant sur le ventre, il passe amoureusement sa langue sur les bottes noires. Cécile me fait signe de lui donner le fouet qui gît sur la table basse. Je le lui donne. Elle cingle à présent le cul ferme de son soumis toujours au sol, avec parfois quelques égarements sur son dos.

Puis, cessant de cingler son soumis, Cécile se lève et ordonne :



Une fois qu’il est en position, elle cale délibérément la tige de sa cravache dans la raie des fesses offertes. Puis elle admire le tout, une expression assez inquiétante sur le visage. Cécile me surprendra toujours ! Puis elle enlève la cravache de son présentoir improvisé.

Alors qu’il est toujours à quatre pattes, elle s’empare d’un collier qu’elle lui met autour du cou tandis qu’il se laisse faire docilement. Elle accroche ensuite une laisse à l’anneau puis, se redressant, elle annonce d’une voix badine :



En effet, Cécile balade son chien humain à travers toute ma maison, ou presque. Je plains les genoux du soumis ! Mais ça n’a pas l’air de le préoccuper car, visiblement, il semble très content de ce qui lui arrive. Il est vrai qu’il a aussi une vue imprenable sur le haut des jambes de sa Domina, et même plus haut encore, et qu’elle ne porte rien en dessous…


Puis une petite pause s’impose ; tout le monde boit quelque chose.


La pause finie, de face, le soumis se laisse docilement attacher sur la croix, dos offert. Elle en profite pour palper les fesses fermes offertes avant de commencer toute une série de fessées sonores. Elle fignole avec quelques coups de cravache puis de martinet. Puis, passant d’un extrême à l’autre, elle caresse délicatement le cul martyrisé. Le soumis semble beaucoup apprécier cette alternance…

Puis elle le détache afin qu’il puisse se retourner. Elle lie à nouveau ses poignets sur la croix. Le soumis est dans une heureuse prédisposition, comme on dit. Je le comprends un peu. Elle s’exclame :



Quelques instants après, Cécile accroche des pinces à linge aux testicules de son soumis, puis sur la fine peau de la verge. À ma grande surprise, il bande encore plus. Je me demande comment il arrive à être en érection avec son sexe transformé en oursin ! Décidément, je ne suis pas de ce monde…


Cécile joue avec les pinces qu’elle tapote pour les faire balancer. Son soumis est visiblement aux anges. Puis aidée par sa cravache, elle enlève une à une les pinces ; son soumis grimace, et moi j’ai mal pour lui. Mais je continue de filmer.

La dernière pince enlevée et jonchant le carrelage, elle détache son soumis qui est visiblement soulagé. Elle désigne le sol en ordonnant :



Trois grosses bougies sont à présent allumées. Cécile a un curieux sourire sur les lèvres…


Bougie en main, Cécile fait tomber une première goutte à bonne hauteur ; elle s’aplatit sur le torse du soumis qui n’a pas frémi sous l’impact. Il est vrai qu’il y a une certaine hauteur entre le torse et la bougie qui est plus « froide » que les bougies classiques. Puis d’autres gouttes tombent, de moins en moins haut, maculant le torse et le ventre. Le soumis frémit un peu plus ; la bougie danse, montant, descendant, selon l’humeur de la Domina. Quelques gouttes s’écrasent alors sur le pubis, puis le sexe.


Puis Cécile s’empare d’une autre grosse bougie et projette de bien en hauteur la cire sur le corps allongé au sol, laissant des traînées chaudes et rouges sur son soumis qui frissonne. Vicieusement, elle couvre de cire ses tétons. Puis à l’aide de la première bougie, elle trace un fin trait qui descend vers les jambes. Après un bref temps d’arrêt, la Domina prend la dernière bougie et couvre franchement le sexe de cire. Sous cette pluie chaude, le soumis vibre, gémit, mais son érection perdure ; je dirais même qu’elle s’intensifie, malgré la cire qui couvre de plus en plus sa verge.



Puis se tournant vers moi :



Je ne réponds rien, occupé à filmer, mais je me pose quand même la question si elle ne le fera pas quand même un beau jour. On croit connaître les personnes, mais souvent il n’en est rien…

Du bout de la pointe de sa botte, elle taquine la verge cireuse, et parfois elle pique les testicules avec la pointe de son talon-aiguille. Et son soumis semble manifestement priser cette double torture !


Cécile se tourne vers moi :



Je m’exécute, afin de ne pas perdre le moindre plan de ce soumis constellé de cire. Puis négligemment, de la pointe de son talon, elle commence à enlever quelques morceaux de cire. Bien sûr, je n’oublie pas de filmer en gros plan. Ensuite, elle s’accroupit pour enlever petit à petit le reste de cire ; elle s’attarde vicieusement sur la queue toujours tendue qui frémit sous cet étrange mélange, symbiose de suaves caresses et de brutalité sadique. J’imagine que si le soumis avait eu encore des poils, ils auraient été arrachés férocement dans la foulée : une épilation de première main ! Déjà, quand je vois ce que subit sous mes yeux la peau fragile de cette queue…


Nouvelle petite pause durant laquelle le soumis part se nettoyer dans la salle de bain. Me tournant le dos, Cécile farfouille dans un sac, ce qui ne l’empêche pas de me demander :



Elle se retourne, un sourire amusé aux lèvres :



Entre-temps, le soumis revient. Elle aboie :



Une fois qu’il est en position, Cécile l’enjambe et s’assied posément sur ses lombes, donnant quelques tapettes sur les fesses bien présentées. Puis elle lui caresse le cul, s’attardant de plus en plus dans la raie. Elle taquine du bout du doigt une entrée qui est de plus en plus réceptive puis, prenant un tube, elle met une noisette de produit sur son index et commence à masser la rondelle de son soumis qui en frémit d’excitation. Elle dépose une autre noisette de lubrifiant avant de commencer à s’aventurer plus loin, une première phalange disparaissant à présent dans l’anus. Puis longuement, c’est tout un doigt qui s’engouffre, à la grande satisfaction de son soumis qui tremble de bonheur. Elle joue visiblement avec les parois internes, allant, venant dans ce trou sombre. Après quelques allers-retours, elle retire son index, l’essuyant avec un mouchoir en papier.


Tendant la main, elle s’empare d’un godemichet assez gros qu’elle enduit de lubrifiant, puis sans aucun préliminaire elle enfonce quelques bons centimètres dans l’anus de son soumis. Vicieusement, elle amorce quelques va-et-vient. Le soumis soupire, tendant bien les fesses pour aider à la pénétration. Cécile dit :



Et elle lui enfonce la totalité du gode ! Le soumis glapit. Cécile le pistonne impitoyablement ; je m’inquiète de la tournure des événements, mais je suis vite rassuré par les petits cris de jouissance insolite que j’entends à présent. À prime vue, il aime qu’on lui défonce le cul, comme le dit si bien Cécile ; et pas qu’un peu !



Le vocabulaire de Cécile devient nettement plus relâché, vulgaire ; je n’aurais pas cru. Et je ne vous dis pas ce que j’ai pu entendre par la suite !


Le soumis criaille, glapit, couine à la façon d’un petit animal. C’est très étrange à entendre. Il se trémousse sur place mais ne fait rien pour se dégager tandis qu’il se fait littéralement défoncer, c’est le cas de le dire ! Puis il explose dans une jouissance très bruyante, Cécile lui ramonant toujours le conduit obscur de façon effrénée.

Impériale, après avoir posé le gode au sol, Cécile se relève, laissant son soumis s’affaisser au sol. Elle contemple quelques instants la chose à ses pieds, puis elle se tourne vers moi :



Et donnant un petit coup de talon-aiguille à son soumis :



Majestueuse, face à nous, Cécile, jambes écartées, descend lentement, sensuellement la tirette de la fermeture Éclair de sa tenue, dévoilant sa poitrine toute blanche par contraste avec le noir du vinyle. Elle descend ainsi jusqu’à l’orée de son pubis tout lisse, exhibant au passage son nombril. Puis, calmement, elle écarte les pans de son haut, révélant ses beaux seins appétissants.



J’avoue que là, je prendrais bien la place du soumis ! Celui-ci ne se fait pas prier pour honorer comme il se doit les deux masses laiteuses qui lui sont offertes. Avec suavité, il lèche amoureusement la peau délicate, s’attardant autour des aréoles, titillant les tétons érigés. Il niche ensuite son nez et ses lèvres sous les seins, s’offrant le luxe de les ressentir sur son visage en extase. Puis remontant lentement, il capture un premier téton pour le sucer comme un gros bébé. Oui, j’aimerais beaucoup être à sa place. Il fait de même à l’autre sein, toujours aussi voluptueusement, le suçant sans retenue, avidement, goulûment…



Tandis que son soumis reste debout, les bras le long du corps, Cécile lui tourne alors le dos et commence à se frotter lascivement sur sa queue au garde-à-vous. Elle fait exprès de caler le gland écarlate dans la raie de ses fesses, juste à l’entrée de son petit trou pour s’adonner à un frotti-frotta particulièrement vicieux. Décidément, cette femme a un côté plutôt pervers. Pour ma part, je ne sais pas si je résisterais longtemps.


Pire encore : écartant les jambes, elle fait à présent coulisser la tige de chair sur ses lèvres humides, le gland surgissant près de son pubis. Je me demande comment ce soumis peut rester impassible, les bras le long du corps, immobile.

Puis se retournant, elle saisit à pleine main le sexe tendu à mort de son soumis. Elle joue lascivement quelques instants à touche-pipi avant de bien presser le bâton qu’elle a en main. Puis, vicieusement, elle le branle un peu ; le soumis a de plus en plus de mal à se contenir.


Soudain elle l’abandonne et vient s’asseoir sur un haut tabouret, sa magnifique poitrine toujours somptueusement révélée. Elle tend une botte :



Obéissant, il commence à s’astiquer, se frottant impudiquement tel un caniche sur la botte offerte. Je suis assez étonné, mais je n’en perds pas une seule seconde. Il ne faut pas attendre bien longtemps pour qu’une première salve de sperme souille la cuissarde noire, laissant petit à petit des traînées luisantes et incongrues. Le soumis jouit en glapissant, tel un petit animal de compagnie. D’autres salves se répandent, dégoulinantes.



Amoureusement, il commence à lécher son sperme, à ôter lentement la moindre parcelle, ne ménageant aucun endroit, appliqué à sa tâche, docile et méticuleux, sous l’œil sévère et cynique de sa Maîtresse. Oui, décidément, quand je vois le visage luciférien de Cécile, ses yeux étrangement brillants, je me pose bien des questions. Mais je reconnais que cette ambivalence est très attirante, comme la flamme de bougie pour le frêle papillon …




Après séance



La séance étant terminée, le soumis s’en va, repu et content. Toujours en tenue, Cécile lui dit au revoir, postée au milieu du couloir afin qu’on ne puisse pas la voir de la rue, sauf pour la personne parfaitement dans l’axe. Puis la porte se ferme.



Sans attendre, je lui prends la main et je l’entraîne vivement dans ma chambre. Je la jette littéralement sur le lit. Je n’ai jamais été aussi rapide pour ôter mon pantalon et mon caleçon ! Puis sans plus attendre, je me couche sur elle, introduisant ma queue bien dure dans son antre bien détrempé.



Mais elle ne se débat pas pour autant, tandis que je me fais une joie de la pistonner. Elle lance même ses bras autour de mon cou.



Je me déchaîne, la pistonnant à fond, cette allumeuse qui m’excite depuis des heures avec ses tenues indécentes, ses jeux pervers ! Je ne fais pas dans le détail, trop préoccupé à lui faire son affaire, là, maintenant, sans chichis. Et le pire, c’est qu’elle aime visiblement ça ! Elle pousse des tas de petits cris, s’agrippant encore plus à mon cou, levant bien haut les jambes pour que je plonge encore plus loin en elle.



Je ne réponds pas ; j’essaie de me pas me laisser aller tout de suite, afin de profiter le plus longtemps possible de cette adorable vicieuse. Cette catin joue lascivement du bassin, pivotant autour ma queue qui la perfore sans relâche ; l’impression est trop forte, trop puissante ! Échaudé comme je suis, je ne résiste pas bien longtemps, et dans de formidables coups de reins je me plante en elle pour expulser un maximum de sperme afin de la remplir, bestialement, férocement ! C’est bien l’une des premières fois que je me vide autant, comme si j’avais des litres de foutre à évacuer, pour que ma pute adorée déborde de toute part !


La bestialité, ça a aussi franchement du bon !




Débriefing



Fabrice est de retour depuis une demi-heure ; nous sommes tous les trois attablés dans la salle à manger afin de faire le point. Cécile explique :



Amusée, Cécile s’exclame :



Cécile se lève et vient déposer un bisou sur la joue de son mari.



Avec fébrilité, Cécile raconte en détail la séance ; parfois j’interviens pour préciser divers points. Fidèle à son habitude, Fabrice écoute religieusement. Une fois le récit terminé, je m’adresse à mon ami :



Peu après, nous regardons tous le petit écran de mon portable. Les scènes défilent les unes après les autres. Fabrice est attentif. Assise sur les genoux de son mari, Cécile commente de temps à autre. J’ai même l’impression qu’elle se serre de plus en plus contre lui. Quelque part, je suis un peu jaloux ! Mais bon, ils sont quand même mari et femme…



Puis Fabrice serre sa femme contre lui.



Et il l’embrasse.


Le reste de la soirée se déroule sans encombre. Après le repas, je vais dans ma chambre afin d’avancer sur mon fameux programme tandis que mes deux hôtes vont se coucher pour visionner la vidéo complète de la séance.


Je me dis alors que la vie est étrange : je vis sous le même toit que mon amante et que mon ami, et que nous formons un ménage à trois. De plus, je sers de garde du corps pour les séances de domination de Cécile. Une personne m’aurait prédit tout ceci, je l’aurais traitée de cinglée ! J’aurais lu ça dans une histoire, que j’aurais traité l’auteur d’affabulateur. Et pourtant, c’est devenu mon quotidien.


Alors que je finis de mettre la dernière main à un module de mon fameux émulateur 6809, celui qui me vaut d’être ici, j’entends distinctement Cécile crier de plaisir. À mon avis, ils ont dû finir de regarder la vidéo de la séance. Pour être passé par là, je comprends parfaitement le concept de la libido boostée quand sa femme fait des grosses cochonneries avec quelqu’un d’autre !