Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16832Fiche technique23753 caractères23753
Temps de lecture estimé : 14 mn
24/05/15
Résumé:  Kris découvre son neveu et ses amis.
Critères:  fh ff fplusag jeunes voir fmast fellation cunnilingu 69 fdanus -tante -fellation
Auteur : Kristal      Envoi mini-message

Série : Les stagiaires

Chapitre 01
Les stagiaires - 1

Les stagiaires – 1




Dring… ! La sonnerie du téléphone me fait sauter du lit. Qui peut bien me déranger aussi tôt ?



Isabelle est ma belle-sœur, la sœur d’Alain, mon cher mari. Nous nous entendons très bien toutes les deux, et nous nous rencontrons régulièrement bien qu’elle habite à plus de cent kilomètres de chez nous. La quarantaine épanouie, blonde autant que je suis brune, elle est mariée à Bruno, un garçon charmant dont elle a deux enfants, un garçon, Florent, et une fille, Françoise.



Alain fut évidemment d’accord et, le week-end suivant, nous vîmes arriver Florent au volant de la voiture que sa mère lui avait prêtée pour la durée de son séjour chez nous.

Les premiers jours, consacrés à son installation, à la préparation de son stage, se passèrent sans anicroches. Le beau temps (si rare cette année !) nous permit de profiter largement de notre terrasse, de la piscine et du jacuzzi. Florent se montra charmant, poli, et d’une compagnie agréable.


Effectivement, ma belle-sœur avait raison : son fils est on ne peut plus discret, voire timide me semble-t-il, et sa présence passe presque inaperçue. Je dis « presque » car j’ai tout de même surpris à plusieurs reprises ses regards glisser sur moi comme autant de caresses, mais il détourne la tête dès que je risque de le surprendre.

Par jeu (et parce que j’aime aussi sentir le désir que j’inspire aux hommes, leur offrir de quoi nourrir leurs fantasmes les plus fous en leur laissant deviner, entrevoir discrètement mes jambes, mes seins…) je décide de le déstabiliser un peu, ne serait-ce que pour voir ses réactions. Je m’étais déjà laissée aller entre les bras d’un jeune garçon, mais dans des conditions où c’est lui qui avait fait le premier pas (vite rejoint par son camarade, tout aussi entreprenant que lui !). Je suis tout de même sa tante par alliance, et cela ajoute un piment nouveau à mes jeux.


Au long des trois ou quatre jours suivants, je multiplie les occasions d’attirer son attention. Oh, rien de particulièrement provocant, ce n’est pas trop mon style ! Mais je choisis avec un peu plus d’attention mes robes, privilégiant celles dont on pouvait par inadvertance (?) oublier de fermer un ou deux boutons. Et, surtout, je laisse mes soutiens-gorge dans les tiroirs de ma commode. De toute façon, mes seins ne réclament pas encore de supports, et j’en suis très fière.


Le résultat ne se fait pas attendre ! Chaque fois que je me retrouve en présence de notre protégé, je sens ses yeux courir sur ma silhouette pour tenter d’entrapercevoir un petit bout de peau, une courbe dévoilée subrepticement lorsque je vaque à mes tâches ménagères. Il prend très rapidement l’habitude de se retrouver dans la même pièce que moi, me proposant son aide pour ranger la vaisselle, étendre le linge, mettre la table… Serviable ? Un peu. Curieux ? Beaucoup ! Quant à moi, son omniprésence ne fait que renforcer mon envie de prolonger le jeu, ne serait-ce que pour voir jusqu’où Florent oserait aller.


Quelques jours ont passé. À part des regards de plus en plus curieux, favorisés par ma négligence lorsque je ne me rends pas compte que ma robe bâille largement si je me penche un peu en avant ou quand je m’assois dans notre trop profond canapé qui, immanquablement, fait glisser le tissu, découvrant mes cuisses un peu trop haut, rien.


J’en suis arrivée à penser que, de par mon âge et ma situation, je ne présentais pas d’attraits pour ce trop beau garçon… Erreur ! Quelques jours plus tard, en fin d’après-midi, je profite d’être seule à la maison pour me relaxer dans notre jacuzzi. Nue dans l’eau bouillonnante, je me laisse aller à quelques caresses, mes mains frôlant mes seins, mon ventre… Mes pensées vagabondent vers un jeune homme curieux, timide, mais cependant si beau et si viril ! Ce ne sont pas mes mains mais les siennes, ses lèvres qui courent sur mon corps offert. Tant et si bien que mes doigts s’égarent dans la fourche de mes cuisses. La grande vague de l’orgasme monte doucement en moi… « Florent ! » Ce cri m’échappe au moment où mon ventre explose sous ma caresse. Un instant plus tard, mon corps apaisé, j’ouvre les yeux. Oh, stupeur ! Un large sourire aux lèvres, Florent me regarde, debout face au jacuzzi !



Cette fois, c’est sur moi que le piège vient de se refermer. Florent s’approche au bord du jacuzzi, tout en me fixant dans les yeux. Il se débarrasse de sa chemise, fait glisser son pantalon, puis son dernier vêtement. Je vois se dresser un sexe long, large, au gland trapu déjà décalotté, disproportionné pour un si jeune homme. Il enjambe le bord du jacuzzi pour s’enfoncer dans l’eau face à moi.



Trop tard : Florent est déjà penché sur moi, ses mains glissent sur mes flancs, son visage s’approche. Ses lèvres frôlent les miennes, et c’est notre premier baiser. Après mes caresses de tout à l’heure, mon corps encore en émoi, ce baiser m’arrache un long frisson. Les mains masculines remontent, empoignent doucement mes seins. Sa bouche abandonne mes lèvres pour glisser dans mon cou, sur une épaule avant de venir agacer tendrement un téton durci par le désir. Je ne suis pas en reste et je trouve sous mes doigts une tige dure, tendue, longue et épaisse, presque monstrueuse, mais ô combien agréable pour moi. Je ne résiste pas à l’envie de laisser glisser ma main sur ce mandrin palpitant, repoussant la peau pour agacer le gland du bout des doigts puis remontant pour le couvrir à nouveau. Douce masturbation qui arrache de longs gémissements à mon jeune partenaire.


Jeune, mais a priori, il n’en est pas à son coup d’essai ! En une lente caresse, sa main droite longe mon corps, glisse sur mon ventre et atteint doucement ma courte toison tandis que la gauche parcourt mon dos, rejoint mes reins pour s’insinuer entre les globes charnus de mes fesses. Même sous l’eau, son habileté me fait frémir. Mes jambes s’ouvrent sous les doigts curieux et agiles, offrant en toute impudeur mon intimité à ce jeune fou. Ses attouchements sont en train de me faire perdre la raison ! Les multiples caresses des bulles du jacuzzi ajoutées à celles, plus précises et habiles, de mon jeune neveu terminent de mettre mon corps en feu. J’ai envie ! Envie de tout, de jouir, de crier mon plaisir, de m’offrir totalement, mais aussi de donner à cet adorable garçon tout le plaisir qu’il mérite.


Toujours à demi allongée dans l’eau bouillonnante, je l’attire à moi en le prenant par les hanches. Il se redresse, une main sur le bord du jacuzzi, et je peux maintenant admirer ce pieu viril brandi juste devant mon visage. Mon regard accroche celui de Florent ; je lui souris, pointant un petit bout de langue entre mes lèvres. D’une ondulation des reins, il fait glisser son sexe orgueilleux sur mes joues, puis au bord de mes lèvres. Je n’ai qu’à entrouvrir la bouche, et le coquin se glisse lentement sur ma langue. Il est vraiment disproportionné ! J’ai du mal à emboucher son gland bouillant, mais après deux ou trois va-et-vient, il coulisse enfin sur mon palais et s’enfonce jusque dans ma gorge. Quel plaisir… Quelle jouissance de déguster une telle virilité !


Je le branle lentement d’une main tout en aspirant le maximum de cette trop belle colonne. Nos regards ne se quittent plus ; il a déjà compris que ma caresse ne cessera que lorsqu’il m’aura offert son plaisir. Et je le veux, je veux sentir sa jouissance sur ma langue, dans ma gorge. Je veux le déguster jusqu’à la dernière goutte ! Penché sur moi, il m’embrasse dans le cou et, de sa main libre, torture délicieusement mon sein gauche. Soudain il se redresse, ses reins se creusent, je le sens se raidir. C’est le bouquet final ! Il explose en longues giclées brûlantes en poussant un cri rauque. Je suis moi aussi emportée par un fabuleux orgasme lorsque sa sève inonde ma gorge.


Florent se laisse tomber dans l’eau à mes côtés. Ses mains glissent tendrement sur mon corps, mes seins, mon ventre encore frémissant du plaisir qui vient de m’envahir. Il se penche sur moi ; nos lèvres se joignent en un long baiser. Mais l’heure passe, Alain ne va pas tarder à rentrer. Je n’ai pas l’intention, pour l’instant, de lui avouer ma petite folie avec mon neveu.



La soirée se passe dans le calme. Après le souper, un petit verre en terrasse. Ambiance agréable ; mes deux hommes, souriants, discutent d’une prochaine sortie qu’organisent des copains de Florent. Celui-ci me jette discrètement de petits coups d’œil, tentant de plonger son regard où il avait déjà posé les mains et les lèvres. Les deux ou trois éternels boutons indisciplinés de ma robe favorisent largement sa curiosité. Alain s’en est aperçu et me fait un sourire de connivence en s’amusant du comportement de mon neveu. Plus tard, dans notre chambre, Alain me taquine :



Le lendemain matin, Alain me prévient qu’il doit s’absenter deux jours. Je prépare le petit déjeuner pour Florent et moi puis m’installe sur la terrasse pour boire tranquillement mon premier café. Lorsqu’il descend, il est tout sourire, me fait la bise, laissant traîner ses yeux dans l’échancrure de mon léger peignoir de plage.



Assis face à moi, il se met à dévorer son déjeuner, mais ses yeux brillants ne me quittent pas et semblent dire que c’est moi qu’il aimerait croquer. De mon côté, j’avoue que je me complais à l’admirer discrètement. C’est vraiment un très beau jeune homme ! Mon esprit se met à vagabonder en revivant ma découverte de la veille. Je repense à cette virilité dressée pour moi, à ces instants d’égarement, à ce pieu magnifique au fond de ma gorge. À l’instant même, c’est profondément enfoncé dans mon ventre que je voudrais le sentir ! De longs et puissants va-et-vient qui me combleraient de plaisir. D’un autre côté, ma conscience m’interdit de renouveler cette folie, avec mon neveu qui plus est ! Si ma belle-sœur pouvait se douter…

Son petit déjeuner englouti, Florent remonte prendre sa douche. Un petit quart d’heure après, il repasse sur la terrasse, prêt à partir.



Il disparaît en chantonnant. Je me retrouve seule pour la journée. Vers quinze heures j’entends des voix, des rires, et le portail s’ouvrir. Florent arrive, accompagné de deux garçons et d’une jeune fille. Il fait rapidement les présentations :



Après m’avoir tous fait la bise, ils s’installent autour de la table de la terrasse. Moi, je me laisse aller dans un fauteuil tout en les observant derrière mes lunettes de soleil. Amélie, jolie brunette, doit avoir une vingtaine d’années. Mince mais la poitrine opulente, une cambrure de reins agréable ; elle ne doit pas manquer de soupirants. D’ailleurs, François la dévore des yeux ! Brun, lui aussi, plus petit que Florent, plus musclé aussi me semble-t-il. Quant à David, c’est un grand blond à la carrure de Viking, un regard clair et un sourire craquant.

Ils discutent en riant comme des enfants, préparant l’itinéraire de leur sortie, les lieux de halte, etc. Je me lève pour aller leur chercher à boire et reviens avec un plateau sur lequel j’ai disposé des verres et plusieurs boîtes de boissons diverses.



C’est un éclat de rire général. Amélie se lève ; je surprends aussitôt le regard de François se poser sur elle, mais une petite pointe d’orgueil me fait sourire car David et Florent, de leur côté, semblent me déshabiller des yeux. J’avoue avoir rentré le ventre et bombé le torse avant de me retourner, suivie de la jeune fille, non sans ajouter à ma démarche une ondulation quelque peu provocante à l’intention des garçons.

Dans la chambre, j’ouvre un tiroir de mon dressing pour étaler sur le lit trois ou quatre maillots de bain. Bien qu’Amélie soit dotée d’une jolie poitrine, mes maillots semblent un peu trop grands pour elle.



Hésitante, elle paraît ne pas oser enlever sa robe légère pour enfiler un de mes maillots.



Amélie fait passer sa robe par-dessus sa tête, m’offrant la vision de son corps svelte et musclé. Elle se penche pour ôter sa culotte puis dégrafe son soutien-gorge. Nue, elle est en effet à croquer avec son ventre plat, ses jambes galbées et sa jeune poitrine arrogante. Je ne peux m’empêcher de l’admirer, de ressentir un trouble bien agréable avant qu’elle ne fasse glisser une culotte de maillot sur ses hanches, masquant la courte toison de son pubis. Hélas (ou tant mieux ?) le haut du maillot est trop grand pour elle. M’approchant, je tente de resserrer un peu les bretelles puis de tirer l’agrafe du dos. Je suis face à elle. Son parfum léger, la douceur de sa peau que je frôle pour tendre le tissu, tout en elle est en train de me troubler profondément. Je fais un véritable effort pour ne pas poser la bouche sur ses lèvres pulpeuses, pour ne pas laisser mes mains s’emparer de ses seins à demi découverts. Je la sens frémir et fais un pas en arrière.



La coquine… Elle vient de remarquer en effet que je suis nue sous ma robe, et que mon trouble face à elle a fait durcir les pointes de mes seins qui tendent maintenant le tissu léger. Sa remarque ne fait qu’accentuer la chaleur au creux de mon ventre. J’ai envie de cette jeune femme…



Puis, sans complexe, elle s’admire dans les grands miroirs couvrant les portes du dressing. Elle va même jusqu’à laisser courir ses mains fines sur ses seins, son ventre, ses hanches. Elle se tourne vers moi au moment où je laisse glisser ma robe sur mes épaules, son regard brillant fixé sur mes seins maintenant découverts.



Nos regards se croisent à nouveau. Le sien brille de mille feux. Ses lèvres humides semblent attendre un baiser, sa poitrine se soulève par à-coups au gré du rythme de sa respiration qui s’accélère. Une boule s’est formée dans mon ventre, je sens les pointes de mes seins se raidir sous ses regards. Elle s’approche lentement, tend la main et, du bout des doigts, frôle mon sein gauche, m’arrachant un long frisson. Sa paume recouvre le globe frémissant. Elle incline son visage vers moi, les yeux plongés dans les miens. Je sens son souffle sur mes lèvres avant qu’elle ne pose sa bouche sur la mienne.


Notre baiser est d’une douceur infinie, mais très vite nos lèvres s’entrouvrent, nos langues se mêlent en un délicieux combat. Elle referme les bras sur moi, nos corps se joignent, seins contre seins, ventre contre ventre. Sa jambe droite force lentement mes genoux à s’écarter, et très vite sa cuisse musclée vient s’appuyer sur mon pubis. Mes mains partent à la découverte de ses hanches, ses fesses rondes et fermes. Enlacées étroitement, nous tombons sur le lit, nos corps soudés. Elle s’arrache à ma bouche pour laisser courir ses lèvres dans mon cou, puis descend pour mordiller mes seins…



Ses lèvres descendent encore, sa langue s’attarde sur mon nombril avant de glisser plus bas encore. Affolée par cette caresse, je la bascule à côté de moi et nous nous retrouvons vite tête-bêche. Son sexe est doux sous ma langue qui découvre une jolie perle de chair tandis que, d’un doigt, j’explore lentement les parois de sa grotte intime, lui arrachant un léger cri et faisant se cambrer ses reins comme pour approfondir ma caresse.

Elle n’est pas en reste : ses lèvres s’emparent de mon clitoris, sa langue pointant au creux de ma féminité. Je suis la première à pousser un long cri lorsque la jouissance s’empare de moi ; mais Amélie me suit de très près lorsque je pince de mes lèvres son clitoris gonflé, deux doigts enfoncés en elle et un troisième glissant brusquement dans son anus dilaté par mes caresses.


Nous échangeons un nouveau baiser et quelques caresses avant de reprendre nos esprits et de nous lever pour enfiler nos maillots afin de rejoindre les garçons. C’est à cet instant que j’aperçois une ombre devant la fenêtre de ma chambre. Qui pouvait être ce petit curieux ? Florent ? David ? François ? Ou les trois peut-être… Je n’en dis rien à Amélie, et nous sortons de la pièce.



Que nous réserve la suite de cette folle journée ? Il m’a fallu partager mon texte en deux, comme je me suis moi-même partagée, pour mon plus grand plaisir et, peut-être, pour le vôtre. Alors, lisez la suite !