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Temps de lecture estimé : 15 mn
27/05/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Kris termine sa découverte...
Critères:  ff fhhh fbi oncletante fellation anulingus pénétratio double sandwich fdanus
Auteur : Kristal      Envoi mini-message

Série : Les stagiaires

Chapitre 02
Les stagiaires - 2

Résumé de l’épisode précédent : « Les stagiaires - 1 »

J’héberge pour quelque temps mon neveu, qui ne me laisse pas indifférente… Après m’avoir surprise dans mon jacuzzi en train de me caresser, il bénéficie d’une fellation dont j’ai le secret. Plus tard, afin de préparer l’organisation d’un week-end, il invite à la maison trois camarades de stage, deux garçons et une fille. C’est avec cette dernière que j’ai une relation saphique ; mais je crois que nous avons été épiées…


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Les stagiaires – 2




Sur la terrasse, les trois garçons sont encore assis et discutent. Brutalement, le silence se fait : trois regards se figent sur nous, plutôt sur nos seins offerts au soleil et à leur libido de jeunes mâles.



En riant, nous nous jetons à l’eau comme des gosses avant de nous retrouver côte à côte, adossées à la margelle. Les garçons n’hésitent pas longtemps, Florent se jetant à l’eau le premier après avoir ôté son jean et son tee-shirt. Les deux autres font de même, et ils commencent à chahuter entre eux. Disparaissant sous l’eau, Florent émerge devant nous, un grand sourire aux lèvres.



Riant toujours, nous sortons de l’eau pour nous allonger sur les transats et admirer les facéties des trois amis. C’est encore Florent qui sort le premier et qui vient nous rejoindre. Sans aucun complexe, il arbore une bosse significative sous son maillot encore humide. De quoi faire naître des envies à bien des femmes ; mais trop tard : j’avais déjà envie… Il remarque rapidement l’intérêt que je porte à sa virilité. A priori, je ne suis pas la seule : Amélie a les yeux rivés sur la même cible que moi.



Nous partons vers la cuisine, Amélie devant moi, Florent dans mon dos. Le coquin pose ses mains sur mes hanches… Un nouveau frisson parcourt mon dos ; son souffle sur ma nuque est brûlant. Ses lèvres effleurent mon cou, une main remonte sur mes seins. C’est le moment que choisit Amélie pour se retourner.



Amélie s’approche, saisit mon visage entre ses mains douces, et un baiser torride nous unit. Les pointes de ses seins agacent les miens. Les mains de Florent glissent l’une sur mon ventre, l’autre sur les reins d’Amélie pour nous serrer l’une contre l’autre. Je ne résiste pas à l’envie de poser une main sur la lourde tige de chair dressée contre mes reins et à malaxer tendrement de l’autre main les fesses d’Amélie. Je les entraîne vers le canapé où je me laisse tomber. L’esprit totalement déconnecté, je ne suis plus qu’un objet de plaisir offert à leur jeune lubricité, à leur fougue amoureuse !


Amélie se retrouve à genoux entre mes jambes et défait les nœuds retenant mon maillot de bain pour découvrir mon sexe déjà humide et palpitant. Elle plonge la tête vers mon ventre offert, sa langue vient caresser mon petit bouton tandis qu’elle joue de deux doigts avec mes chairs affolées. Florent n’est pas en reste ! Après avoir longuement léché, mordillé, titillé mes seins durcis de désir, il se redresse et fait glisser son caleçon, m’offrant la vue splendide de son sexe déjà tendu, énorme, long, large, au gland luisant.


Penché sur moi, il pousse lentement son pieu vibrant sur mes lèvres, et je peux à nouveau me régaler de sa splendide virilité. À petits coups de reins, il me viole la bouche ! Je gémis et me tords sous les assauts de mes deux jeunes partenaires, sentant le plaisir monter en moi. Une main dans les cheveux d’Amélie, l’autre autour de la tige qui coulisse entre mes lèvres, fouillant ma gorge, je me tends et explose dans un orgasme fou.


Florent s’arrache à ma bouche gourmande, se redresse et vient s’agenouiller derrière Amélie, qu’il saisit par les hanches. Celle-ci abandonne sa caresse au creux de mon ventre en feu. J’attire son visage entre mes mains pour mordre ses lèvres en un baiser sauvage. Florent a écarté les fesses rondes à deux mains puis, d’une lente poussée, il s’enfonce dans le sexe ruisselant de la jeune femme. Elle se raidit brutalement ; nos lèvres se séparent et elle me fixe d’un regard effrayé.



D’une main je pince un téton durci, de l’autre je me saisis de son clitoris, sentant sur mes doigts les va-et-vient puissants de Florent. Les yeux révulsés, la bouche ouverte, Amélie se met à crier, jouissant sans cesse, le corps tendu, ballottant sous les assauts du mandrin qui vrille ses chairs en folie. Dans un ultime hurlement, elle s’écroule entre mes bras. Florent se retire, son sexe toujours dressé comme une lance.



Florent me tend la main, m’aidant à me relever tandis qu’Amélie, qui a repris ses esprits, nous contemple avec un sourire mutin. Il m’entraîne vers ma chambre dont la large baie vitrée, ouverte, donne sur notre terrasse et la piscine. Amélie nous suit en silence.



Les mains d’Amélie sur ma peau me confirment qu’elle le désire, en effet. D’une poussée légère, elle me fait basculer sur le grand lit, s’allonge, et ses lèvres viennent déguster mes seins à nouveau gonflés de désir. Florent, à genoux à mes côtés, nous admire d’un regard rieur, son énorme corne virile toujours dressée au bas de son ventre. L’envie de tendre la main, de laisser mes doigts courir sur son mandrin me tenaille, mais Amélie, à demi allongée sur moi, m’empêche de bouger. Elle dévore mon corps de petits baisers pendant qu’une main de mon neveu progresse le long de mes jambes pour atteindre rapidement ma fourche humide et offerte. Un doigt curieux, habile, s’immisce dans mes chairs affolées, m’arrachant un petit cri. Je ferme les yeux, abandonnée à leurs caresses, au plaisir que je sens monter en moi. C’est Amélie qui m’arrache à ma torpeur.



Devant mes yeux, les doigts fins de la jeune femme coulissent sur la tige énorme, découvrant un gland luisant, humide, gros comme une belle prune gorgée de jus. Florent, les reins cambrés, suit des yeux le jeu d’Amélie sur son sexe, puis plonge son regard dans le mien.



Le visage d’Amélie s’incline lentement, ses lèvres s’ourlent autour du gland tumescent. Je vois le sexe viril s’enfoncer jusque dans la gorge de ma jeune partenaire qui ne peut en engloutir qu’un petit tiers. Impressionnant et terriblement érotique ! Excitante, cette fellation d’une lenteur exquise.


Florent ne me quitte pas des yeux. Amélie libère son amant qui se penche au-dessus de moi, en appui sur ses deux mains tandis qu’elle guide le pilon de chair vers mon ventre. C’est elle qui joue un instant à caresser mes lèvres avec l’énorme engin, appuyant par à-coups sur ma perle sensible. Je me tords sous le contact brûlant en gémissant, les jambes largement écartées pour m’offrir totalement à mon futur amant. Maintenant, le gland est immobile, légèrement fiché entre mes lèvres qu’Amélie a entrouvertes du bout des doigts.



D’un puissant coup de reins, mon neveu m’investit, se plantant totalement dans mon sexe en feu ! Je ne peux m’empêcher de hurler de plaisir lorsque le monstre atteint le fond de ma grotte, butant violemment sur mon utérus ! Débute alors une lente chevauchée. Florent m’écartèle, me pilonne, fouillant mon ventre de toute sa puissance de mâle. Je suis pleine de cette chair brûlante ; jamais je n’avais éprouvé de telles sensations, livrée à ce serpent qui n’en finit pas de m’investir, d’affoler la moindre de mes terminaisons nerveuses. C’est démentiel, mais ô combien délicieux ! Amélie torture mes seins, Florent me domine, le regard toujours planté dans le mien, comme pour surveiller la montée de mon plaisir.



C’est du délire ; les longues giclées brûlantes heurtent mes parois les plus secrètes, me faisant hurler une dernière fois avant que je ne perde conscience.


Lorsque je rouvre les yeux, seule Amélie est encore à mes côtés, ses mains douces courant sur ma peau en de tendres caresses apaisantes. Le sourire aux lèvres, elle contemple mes seins à peine apaisés.



Sitôt dit, sitôt fait ! L’eau fraîche ruisselant sur nos corps nus est délicieuse. Surtout accompagnée des caresses que nous nous offrons mutuellement. Propre, séchée et revigorée, j’enfile une légère saharienne de coton sur mon corps nu. Amélie remet sa robe fleurie et nous rejoignons la terrasse.

Les garçons sont encore dans l’eau. Nous papotons un peu comme deux vieilles copines avant qu’ils ne viennent s’ébrouer comme de jeunes chiens autour de nous. Vu l’heure, je propose de faire une grosse salade pendant que Florent s’occupe de commander des pizzas. Ravis, ils acceptent de bon cœur.


Nous dînons joyeusement, assis dans les fauteuils du salon de jardin. Les garçons, aux ordres de Florent, débarrassent la table puis font du café. David revient, un plateau chargé de tasses fumantes.



Je n’avais pas remarqué en effet que François se tenait derrière moi. Il pose les mains sur mes épaules, me maintenant doucement mais fermement contre le dossier de mon fauteuil. David tombe à genoux devant moi, les mains sur le bas de ma robe qui découvre largement mes cuisses. Lentement, il dégrafe quelques boutons, en écarte les pans jusqu’à la ceinture. Honnêtement, je ne cherche pas à me défendre, troublée moi aussi par l’audace de ce beau blond.



Ses paumes viennent couvrir les globes de mes seins ; ses lèvres se posent dans mon cou puis glissent jusqu’à mordiller tendrement un bourgeon sensible. Cette fois, je suis vaincue ! Les doigts de David ont atteint leur but : ils écartent les lèvres humides de mon sexe. Sa langue vient flatter la perle de mon clitoris, me faisant gémir, me cambrer pour m’offrir à cette nouvelle caresse. Florent s’approche à son tour.



Il repousse François, prenant sa place sur mes seins. Son camarade fait le tour du fauteuil ; il est déjà nu. Son sexe dressé n’a rien à envier à celui de mon neveu. Agréablement dévorée par David, la poitrine à la merci des mains de Florent, je pose la main sur la barre de chair vibrante. Je ne résiste pas longtemps à l’envie de faire coulisser mes doigts sur la tige offerte, découvrant un gland rond, luisant de désir. En quelques allers et retours, le sexe de François durcit encore.


D’un léger mouvement des reins, il vient frôler mes lèvres. Je dépose un petit baiser sur la hampe qui dépasse largement de mes doigts et, du bout de la langue, j’agace la chair soyeuse. Le jeune homme pousse un gémissement, sursautant légèrement. Il vient de franchir le cap ; mes lèvres s’ouvrent, j’embouche cette nouvelle virilité. Pendant quelques instants, je m’en donne à cœur-joie, aspirant la lourde colonne, la recrachant pour mieux l’engloutir à nouveau, resserrant les lèvres autour du pieu, tétant de la langue le gland qui s’enfonce jusque dans ma gorge.


Mais c’est sans compter sur l’habileté de David dont la bouche et les doigts s’activent entre mes cuisses largement ouvertes, affolant mes chairs intimes. Il force même du bout de la langue, puis d’un doigt audacieux mon intimité la plus secrète, déclenchant en moi de longs frémissements de plaisir. La queue de François m’échappe quand je jouis dans un long cri ! C’est sur mon visage et sur mes seins qu’il s’épanche en longues traînées de semence, criant lui aussi.


Mais ils n’en ont pas fini avec moi ! Comme dans un rêve, je vois David se redresser, arracher son caleçon pour libérer un mandrin en pleine érection. Florent, derrière moi, se penche, saisit mes cuisses qu’il écarte sans ménagement en les relevant, m’offrant à l’assaut de son camarade. Il prend tout son temps, frottant doucement son gland sur mes lèvres, donnant de petits à-coups sur mon clitoris. Même Florent est battu par les dimensions incroyables du sexe de David. Sa largeur surtout est impressionnante ! J’ai comme un hoquet quand il commence à s’enfoncer en moi, très lentement. Je me sens écartelée, dilatée affreusement. À chaque centimètre qui m’ouvre encore plus, les parois de mon sexe enserrent l’énorme cylindre. Toutes mes terminaisons nerveuses sont électrisées par cette possession hors normes.



Dans un dernier coup de reins, il se fiche en moi jusqu’à la garde ! J’hurle vraiment, de joie mêlée de douleur. Mon ventre s’ouvre encore pour m’offrir plus profondément, plus totalement à mon jeune amant. Je croyais connaître l’extase après avoir vécu de nombreuses expériences sexuelles, mais là, c’est pire que tout ! David entame de lents va-et-vient. À chaque retrait, je me sens vidée, un grand manque au fond de moi. Mais à chaque nouvel assaut, c’est la plénitude ! Je m’abandonne totalement ; je laisse le plaisir me submerger et me mets à hurler mon bonheur.


Brutalement, David s’immobilise. Je sens son gland enfler au fond de mon ventre torturé. Il se penche sur moi, me prend par la taille et m’attire à lui. Soudée à son ventre, je me sens soulevée. Il bascule sur le dos, allongé sur le bois de la terrasse. Je suis toujours empalée sur lui lorsqu’il saisit mes hanches et entame de longs à-coups de reins pour m’embrocher de toutes ses forces. Je sens des mains caresser mon dos, mes reins, mes fesses. Une langue coquine vient longer ma raie, tournant sur ma fleur anale, la perforant insidieusement. Quel délice ! Le supplice cesse ; un nouveau contact m’arrache un grand frisson. Non ! Ils ne vont pas faire ça ?


Une pression impérieuse a raison de mes chairs. Un ultime hurlement fait écho à la lente poussée dans mes reins, et deux sexes victorieux se partagent mon corps. Je suis pleine, cette fois, pleine de deux mâles qui déclenchent un ballet sulfureux. Le ventre envahi, les reins fouillés, je perds la notion du temps et des choses ! Je ne suis plus qu’un objet de jouissance pour mes deux amants lorsque Florent s’incline vers mon visage… François a déjà retrouvé toute sa vigueur et perfore mes reins. Le sexe de Florent force mes lèvres.



Une main sur ses seins, l’autre entre ses cuisses, elle se masturbe frénétiquement pendant que les trois garçons continuent à me perforer. Une immense vague de jouissance m’emporte quand mes partenaires se déchaînent littéralement. Jouissance décuplée par les longs jets brûlants qui inondent mon ventre, mes reins, ma gorge !


Abandonnée, écartelée, allongée sur le bois tiède, je reprends lentement mes esprits. Mes quatre invités m’attirent jusque sous la douche. Rafraîchis, nous nous retrouvons devant nos cafés froids et nous terminons la soirée dans de grands éclats de rire en nous partageant une bouteille de champagne qui est la bienvenue.


Plus tard, au fond de mon lit, je pense à Alain. Vais-je lui avouer mon ignoble délit ? Oui, car je sais d’avance qu’il ne pourra que se réjouir pour moi !