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Temps de lecture estimé : 11 mn
31/08/15
Résumé:  Une vidéo indiscrète lui révèle que son épouse le trompe avec leur voisin. Il découvre à cette occasion qu'il aime voir sa femme se faire posséder par un autre homme, sans qu'elle le sache.
Critères:  fh hplusag extracon cocus voisins grossexe voir photofilm lingerie fmast hmast anulingus pénétratio fouetfesse journal
Auteur : André3            Envoi mini-message

Série : Les vidéos personnelles de Sandrine

Chapitre 01
Une vidéo très instructive

Une vidéo très instructive



À 42 ans, Sandrine est ce que l’on peut appeler une belle femme.

Grande, une poitrine splendide, une belle paire de fesses, des cheveux foncés mi-longs et bouclés, des yeux noirs étincelants magnifiques, difficile de rien oublier. En un mot, malgré ses tenues généralement très strictes, Sandrine fait partie de ces femmes qui ne passent que très rarement inaperçue, et même si ma gorge se noue parfois, je suis fier de voir encore aujourd’hui toutes ces têtes masculines se retourner sur son passage.

Nous sommes mariés depuis quinze ans, et comme vous pouvez vous en douter, je ne m’attendais absolument pas à ce qui vient de m’arriver.


Pourtant, quoi de plus banal qu’un homme qui découvre brusquement que sa femme le trompe régulièrement depuis des mois sans qu’il s’en doute ? Bien sûr, je ne m’en souciais plus tellement depuis plusieurs années déjà, avec Internet, le boulot et tout le reste, je la délaissais régulièrement, même le week-end où je partais faire du sport.

Mais de là à être cocu ! Cela me paraissait tout à fait impossible.


Dans ce cas alors, comment expliquer ce caméscope que j’avais caché dans notre chambre à coucher ce jour-là ? Pourquoi en venir à espionner ma femme de cette manière en la filmant à son insu ? Jalousie ? Doutes, même inconscients ? Ou alors, plus simplement, pourquoi ne pas dire que ma femme était le sujet idéal, naturellement tout désigné pour tester ma nouvelle carte graphique 3D avec toutes ses possibilités de branchements informatique ? Je n’ai toujours pas la réponse à cette question.


Toujours est-il que ce jour-là, après le déjeuner, je dissimule soigneusement le caméscope dans la bibliothèque vitrée qui se trouve juste en face de notre lit. Ma femme est dans la salle de bain. J’ai tout mon temps. L’appareil est totalement invisible. La lumière en ce début d’après-midi se réfléchit sur les vitres, me renvoyant mon image. J’actionne le bouton « marche », et après un instant d’hésitation, je laisse une des portes légèrement entrebâillée de manière à assurer la qualité sonore de l’enregistrement. Ma femme se trouve dans la salle de bain lorsque je quitte l’appartement. La batterie a trois heures d’autonomie…


Le soir même, sans me poser de question, je commence à visionner la carte SD sur mon PC. L’image est excellente. L’on peut voir notre chambre presque entièrement, avec le lit au centre. Le silence est parfois entrecoupé par quelques bruits diffus. À un moment Sandrine entre et je l’entends clairement prendre des vêtements dans la commode située à droite de l’entrée, dans la partie invisible de la pièce. Je vais passer en défilement rapide lorsque je commence à entendre des voix étouffées.


Ma femme parle et un homme lui répond. J’entends des pas, et brusquement je vois effectivement apparaître un homme dans le champ de la caméra. Mais tout va très vite et je n’ai plus le temps de me poser de questions.


L’homme vient de s’arrêter. Il est face à la caméra. J’ai à peine le temps de reconnaître notre voisin que déjà ma femme vient d’apparaître à son tour. Se postant devant lui, elle le masque presque entièrement. Elle commence aussitôt à se frotter contre lui. Elle porte une robe rouge et des escarpins noirs. Il la prend par la taille, et dans le mouvement sa robe se relève, révélant qu’elle porte des bas noirs retenus par des jarretelles.


Sandrine tourne le dos à l’objectif. Notre voisin lui retrousse rapidement sa robe jusqu’à la taille, dévoilant ses fesses qu’il se met à caresser lentement. Sandrine porte une culotte rouge transparente par-dessus son porte-jarretelles, rouge également. Cela m’excite incroyablement de la voir dans cette tenue. C’est la première fois que je vois ma femme en bas. Malgré mon insistance, Sandrine a toujours refusé d’en porter avec moi.

Quelle salope ! Notre voisin tire sur l’élastique de sa culotte et la lui remonte jusqu’à ce qu’elle disparaisse complètement entre ses fesses. De temps en temps, il tire une jarretelle qu’il fait claquer sur ses cuisses puis, insensiblement, il commence à lui donner une fessée.


Ils n’ont toujours pas bougé. Je comprends que l’image de Sandrine se reflète dans la vitre de la bibliothèque et que notre voisin garde les yeux rivés sur le cul de ma femme qui commence à rougir. Sandrine se tortille dans tous les sens. Elle caresse le bas-ventre de l’homme avec sa jambe gauche repliée et tend même ses fesses en arrière. Visiblement, elle apprécie la fessée et en redemande.


Je n’entends pas ce que l’homme lui murmure à l’oreille. Mais à voir les réactions de mon épouse, je sais qu’il lui dit des cochonneries. Du reste, elle lui répond parfois et j’entends quelques mots scabreux sortir de sa bouche. Je comprends qu’en fait il lui pose des questions dans le seul but de lui faire dire des mots crus, espérant ainsi provoquer chez elle une excitation humiliante.

Mais Sandrine n’est pas vraiment disposée à se soumettre de cette manière. Pourtant, à force d’insistance, il finit malgré tout par lui faire répéter quelques phrases obscènes.

Je règle le son au maximum. Je ne peux toujours pas l’entendre lui, mais certaines paroles de mon épouse deviennent intelligibles. Et là, j’ai vraiment du mal à ne pas couper le son ! Je n’arrive pas à croire ce qu’il arrive à lui faire dire ! Des trucs comme : « Je suis contente de tromper mon mari. » ; « Ça m’excite ! » ; « Oui, j’ai envie de me faire baiser. » ; « Je suis une véritable salope ! » ; « Oui, j’adore me faire enculer par ta grosse queue. »


Jamais je n’aurais pu imaginer ce que je suis en train de voir et d’entendre.


Notre voisin de palier habitait l’immeuble à notre arrivée dix ans plus tôt ; il était déjà veuf à ce moment-là. Toujours très agréable, toujours très poli. En le croisant ce midi, je m’étais justement dit qu’il n’avait que peu changé depuis que nous nous étions installés, Sandrine et moi. Je n’arrive pas à lui donner d’âge, 56-57 ans peut-être. Plus ? Moins ?

Je réalise d’un coup que je ne l’ai jamais vu en compagnie féminine. « Bon Dieu… Depuis combien de temps baise-t-il ma femme ? »


En attendant, il vient de la faire se retourner et il s’est plaqué dans son dos. Il attrape sa robe qui est restée enroulée autour de sa taille et la soulève jusqu’à dégager ses seins. J’entends clairement ma femme gémir lorsqu’il lui sort les nichons des balconnets.

Sandrine aime se laisser caresser les seins, mais là, c’est vraiment autre chose : il lui attrape les nichons à pleines mains et les tire dans tous les sens, il lui frotte les mamelons et lui pince les bouts tant qu’il peut. J’entends ma femme crier de plaisir et le supplier de tirer plus fort. En même temps, elle baisse sa culotte et commence à se caresser. Bien installés devant la bibliothèque, ils n’ont pas bougé d’un poil. Cela les excite de se regarder faire. La vitre réfléchit leur image et je vois tout, comme eux.


Notre voisin baisse pantalon et slip et il en profite pour frotter son sexe entre les fesses de ma femme qui tortille du cul dans tous les sens pour l’exciter. Elle passe sa main libre dans son dos et lui tripote la queue. Cela dure deux minutes, peut-être trois. Elle se branle de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je ne l’ai jamais vue dans cet état, les narines pincées, la bouche ouverte, les yeux dans le vague. Puis d’un coup elle tire la langue et se met à gémir. Très vite, ses gémissements deviennent de véritables hurlements et elle enchaîne sous mes yeux une série d’orgasmes incroyablement violents.


Sandrine est maintenant assise sur le bord du lit. Elle n’a plus sur elle que ses bas, son porte-jarretelles et son soutien-gorge qui comprime ses seins toujours dehors. Notre voisin, debout devant elle, s’approche et vient frotter sa queue contre sa poitrine. Il ne bande qu’à moitié ; son sexe est gros, et bouge dans tous les sens. Sandrine s’en saisit, le cale et le fait rouler entre ses nichons. En même temps elle se penche en avant et lui donne de petits coups de langue vicieux sur le gland. Ce traitement fait grossir sa pine à vue d’œil.

Mais ma femme n’en a pas terminé.


Elle le fait se retourner et lui colle aussitôt sa langue entre les fesses. Cela me rend complètement dingue de voir mon épouse lécher le cul de notre voisin. Sandrine n’a jamais accepté de me faire ça, à moi, son mari. Jamais je n’aurais pu imaginer… Elle se déchaîne. Elle lui enfonce sa langue tant qu’elle peut. Le plus profond possible dans le trou du cul, puis elle se recule un peu pour respirer. Alternativement elle lui lèche l’anus et lui souffle de l’air dessus. Notre voisin gémit, l’air et la sensation de froid produit par la salive qui s’évapore le comblent d’aise. Sandrine coule ses deux mains entre ses cuisses et se saisit de son sexe. D’une main elle le branle et de l’autre elle tire sur ses grosses couilles. Elle les attire en arrière, vers ses lèvres. Elle fait mine de les gober puis elle se met à les léchouiller. Maintenant, ma femme le fait bander à mort. Je réalise qu’il l’a très grosse. Beaucoup plus grosse que la mienne, et visiblement Sandrine apprécie la chose.


Je suis terriblement excité par tout ce que je suis en train de découvrir. Ce type se sert de ma femme comme je ne l’ai jamais fait et comme je n’aurais jamais osé le lui demander. Et elle adore ça. C’est dingue ! De voir Sandrine faire tous ces trucs, je n’en peux plus ! J’essaie de me retenir. Je pense que je ne suis pas normal de m’exciter ainsi à regarder ce type se faire ma femme. Mais tout au contraire, la pression monte encore d’un cran et je lâche tout dans mon pantalon en gémissant.


Reprenant mes esprits, je vois que Sandrine s’est agenouillée sur le bord du lit.

Je comprends que notre voisin est loin d’en avoir terminé avec ma femme. La tête enfouie entre ses bras repliés, le dos creusé, elle roule du cul et lui offre ses fesses. Debout derrière elle, la tenant par la taille, il essaie de l’enfiler en soufflant comme un phoque. Sandrine n’a toujours sur elle que ses bas noirs et son porte-jarretelles.

Elle est décidément terriblement excitante ainsi.


Je réalise alors que l’homme a un peu débandé mais sa taille n’a pas diminuée. Ma femme est déchaînée ; elle cambre les reins au maximum et balance son cul en arrière, le plus haut possible. Il l’enfile d’un seul coup. Jusqu’aux couilles. Je réalise qu’ils ne prennent aucune précaution, et visiblement cela n’est pas un oubli. Je comprends que ma femme est d’accord pour que cela se passe de cette manière, et compte tenu de ce que je viens de découvrir, je ne suis pas du tout certain que notre voisin cherchera à se retirer au dernier moment.


Sandrine n’utilise aucun moyen contraceptif. Je me demande où elle en est de son cycle.

Son partenaire la besogne avec la régularité d’un métronome. Ses grosses couilles gonflées se balancent et viennent frapper en cadence les belles fesses de Sandrine. Ma femme est aux anges. De voir son sourire – ce sourire d’extase qui ne la quitte pas – me fait très mal. En même temps je m’aperçois que je recommence à être excité. Il la tient toujours par la taille et il se la met bien profond, lui arrachant un petit cri à chaque coup de pine.


Oui, j’en suis presque certain maintenant : Sandrine doit être en pleine période féconde !

Elle est dans sa période d’ovulation, et cela ne l’empêche pas de me cocufier ! Bien au contraire, je réalise que le risque d’être engrossée par notre voisin augmente certainement encore son plaisir. Du reste, ce dernier en profite au maximum ; il se régale du beau cul de ma femme comme jamais je n’aurais cru possible de le faire. Par moments, il accélère le rythme jusqu’à la faire couiner d’une manière quasi continue. Puis, insensiblement, il ralentit et lui claque les fesses avec la main, lui arrachant soupirs et gémissements.


L’armoire vitrée sur la gauche du lit est idéalement placée dans le champ de la caméra.

Le spectacle de ses beaux seins blancs pendouillants qui se balancent et viennent s’entrechoquer dans tous les sens à chacun de ses coups de queue ravit visiblement notre voisin. Ma femme aussi semble apprécier cette position ; de temps en temps elle se tourne elle aussi vers la glace, et j’aperçois son visage déformé par le plaisir, la bouche entrouverte, la langue à moitié dehors mais recourbée à l’intérieur de sa bouche vient presser sa lèvre inférieure, la déformant d’une manière obscène.


C’est très dur pour moi de voir à quel point ce petit homme rondouillard et presque chauve peut faire jouir ma femme. Ce monsieur qui aura bientôt soixante ans (presque vingt ans de plus qu’elle !) la comble et la régale sous mes yeux. Et cela fait bientôt une heure. Sandrine a plusieurs orgasmes en route. Je me demande comment il parvient à se retenir. Elle roule du cul dans tous les sens et le balance en l’air comme pour décrocher le lustre, le suppliant de venir, de tout lui mettre…


Cela dure encore et encore puis, brusquement, le rythme s’accélère encore. L’homme, la tête penchée en arrière, claque maintenant frénétiquement son bas-ventre contre les belles fesses blanches de ma femme. Sandrine tire la langue, le supplie de venir, de tout lâcher. Puis d’un coup, sentant le moment venir, elle se met à hurler son plaisir sans se soucier des fenêtres ouvertes. Notre voisin se crispe, bien plaqué contre les fesses de Sandrine. Il l’a bien à fond. Il se redresse, regarde ses fesses offertes et il lui lâche toute sa purée au fond du ventre. Sandrine reste encore ainsi sans bouger plusieurs minutes à savourer l’instant, le cul en l’air.


J’imagine qu’elle a pu sentir le sperme de notre voisin venir la remplir jusqu’au fond de la matrice et qu’elle a adoré. Je me repasse la scène finale et je mouille une nouvelle fois mon slip sans même avoir besoin de me toucher. Ma femme est endormie. Je la fixe un instant dans la semi-obscurité, puis je regarde notre chambre. J’ai du mal à réaliser que tout ce que je viens de voir s’est réellement déroulé là, il y a seulement quelques heures.

Je retourne sur mon ordinateur et passe le reste de la nuit à traiter le film. Un peu plus d’une heure de film, cela nécessite beaucoup de ressources.


Les jours suivants, je suis revenu sur mon ordinateur presque tous les soirs. J’ai commencé par capturer des images vidéo, ensuite je les ai mises en forme sur un document en les commentant. Pour l’instant, je n’ai pas du tout l’intention de parler de tout ça à ma femme. Nous nous entendons toujours très bien. Et puis, je ne sais vraiment pas comment je pourrais présenter la chose, surtout je ne veux pas risquer de la perdre : j’accepte mon état de cocu.


Pourtant je me demande souvent si les autres voisins sont au courant, et surtout j’aimerais savoir depuis combien de temps dure cette liaison. Depuis que nous sommes revenus de congés, je me suis remis à dissimuler notre caméscope. J’ai récupéré aujourd’hui plusieurs autres vidéos, toutes plus bandantes les unes que les autres. Je sais maintenant que notre voisin se fait ma femme tous les jours en dehors des week-ends et qu’il peut être très pervers. Il lui arrive parfois de demander à Sandrine de faire certaines choses très très… mais alors, très vicieuses. Quant à moi, j’ai fini par accepter l’excitation que j’éprouve à la regarder se faire baiser par un autre.

J’ai compris que mon plaisir pervers de voyeur était décuplé par l’’humiliation résultant du spectacle de cet homme faisant jouir ma femme comme jamais je ne serais capable de le faire.


Ce texte, moins les photos, est directement issu de mes commentaires sur la première vidéo de Sandrine. Je ne sais plus où tout cela va me mener, et je me demande pourquoi il m’est venu cette envie de livrer à tous les détails de cette aventure si humiliante pour moi.