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n° 17039Fiche technique21320 caractères21320
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Temps de lecture estimé : 13 mn
26/09/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Après plusieurs semaines d'indécision, il décide de continuer à espionner sa femme Sandrine totalement sous l'emprise de Georges, leur voisin. Entièrement soumise à cet homme, elle accepte toutes les turpitudes qu'il lui impose régulièrement.
Critères:  fh hplusag extracon cocus voisins grossexe voir photofilm lingerie fmast hmast anulingus pénétratio fouetfesse journal -extraconj -candaul
Auteur : André3            Envoi mini-message

Série : Les vidéos personnelles de Sandrine

Chapitre 02
Dans la cage d'escaliers

Résumé de l’épisode précédent :


« Une vidéo très instructive »

Une vidéo indiscrète lui révèle que son épouse le trompe avec leur voisin. Il découvre à cette occasion qu’il aime voir sa femme se faire posséder par un autre homme, sans qu’elle le sache.



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Cette première vidéo m’avait anéanti.

J’étais furieux contre ma salope de femme qui était devenue la pute de notre voisin. J’alternais périodes d’intense jalousie et de folle excitation.


Quelle humiliation… mais surtout, quelle honte !

Je veux parler de la honte qui m’envahissait lorsque je me mettais à bander en regardant ma femme prendre plaisir en se soumettant à tous les caprices de ce vieux pervers. Je me sentais honteux mais pourtant, tous les soirs, j’attendais avec impatience le moment où, une fois mon épouse endormie, je pourrais me repasser encore et encore ce satané clip. Voir le plaisir intense et partagé qu’ils se donnaient dans tous ces excès de débauche me rendait fou de jalousie. Dans le même temps, je ne pouvais m’empêcher de bander tout seul dans mon coin à regarder ce vieux cochon déshonorer ma femme.


J’étais en pleine confusion.


En attendant d’y voir plus clair, j’aurais voulu ne rien laisser paraître mais je sentais que mes proches, pas seulement Sandrine, n’allaient pas tarder à se poser des questions sur mon comportement. Heureusement, les congés étaient arrivés et nous étions tous partis en Italie.


Au bout de deux semaines nous étions de retour et je ne savais toujours pas quelle conduite adopter pour faire face à la situation. Après tout, cela durait peut-être depuis longtemps et j’aurais pu continuer encore à tout ignorer. Pourquoi ne pas attendre d’en savoir un peu plus ?

Après tout, il n’y avait rien d’urgent.


Son nouveau poste d’enseignante à mi-temps laissait beaucoup de temps à mon épouse ; de plus, en partant travailler, j’accompagnais les enfants à l’école, lui laissant ainsi très tôt le champ libre. J’étais persuadé qu’elle avait des rapports quasi quotidiens avec notre voisin ; pourtant il me fallut attendre une bonne dizaine de jours pour récupérer une deuxième vidéo.

Tous les matins je dissimulais notre caméscope dans la bibliothèque. Le soir, je visionnais régulièrement des cassettes vides montrant pendant trois heures une pièce calme et déserte. L’image était fixe, mais j’entendais toujours des bruits étouffés, et souvent la porte d’entrée s’ouvrir ou se refermer.


Mon épouse avait ses cours l’après-midi, mais à sa façon de se préparer et de se pomponner dès la première heure, je savais que ce salaud devait se la baiser tous les matins. Mais ils faisaient peut-être cela chez lui ou alors dans toutes les pièces de la maison, sauf dans le lit conjugal.


Ce soir-là… Une fois de plus, rien ne se passait puis brusquement mon épouse est apparue sur l’écran. Je me souviens que ma femme m’avait téléphoné le matin même, à mon travail, pour me faire plein de bisous et me donner une liste de courses à faire entre midi et deux. Ce n’était pas dans ses habitudes et de ce fait, allez savoir pourquoi, je m’attendais encore moins que les jours précédents à la voir sur l’écran.

Si j’avais pu me douter…


Je l’ai vue arriver dans notre chambre pratiquement à poil, vêtue simplement d’une guêpière noire et de bas à coutures, le cul et les nichons déjà à l’air. Sa façon de marcher en se tortillant, cette poire au bout d’un tuyau qui sortait d’entre ses fesses, j’avoue n’avoir pas compris tout de suite. À ce moment précis j’ignorais jusqu’ à l’existence de ce genre d’ustensile, et encore moins la manière dont il pouvait fonctionner ; ce n’est que plus tard que j’ai compris que Sandrine était arrivée ce jour-là dans notre chambre avec un plug anal déjà bien en place. Visiblement, elle en sentait l’effet à chaque pas et je compris qu’elle aimait la sensation. Elle aimait sentir son rectum bien rempli. Ma femme s’assit sur le bord du lit et notre voisin apparut dans le champ de la caméra. Il était complètement nu et en érection.


Elle commence par lui lécher le gland. Elle le léchouille par petits coups rapides de la langue pour bien le mouiller, puis projetant son torse en avant, elle se le frotte rapidement sur le bout des seins. Alternativement, elle lui lèche la queue consciencieusement sur toute sa longueur jusqu’à ses grosses couilles qu’elle mordille et aspire en penchant la tête. Puis d’un coup elle s’arrête, le regarde droit dans les yeux et commence à ouvrir la bouche. Je n’aurais jamais cru que ma femme puisse ouvrir une bouche aussi grande.

Je n’arrive pas à le croire.


Cette salope va maintenant le prendre dans sa bouche. Et c’est bien la même femme qui un jour m’avait déclaré qu’elle ne pouvait pas faire ce genre de chose car cela lui provoquait des nausées.

Cela dure, et j’ai tout le temps de voir mon épouse se la faire lentement rentrer. Par petits coups, je vois la queue de notre voisin avancer et disparaître progressivement. Maintenant elle en a bien englouti la moitié, mais ma femme ne peut en prendre davantage. Ses lèvres sont distendues et elle a commencé de sucer. Ses lèvres vont et viennent d’avant en arrière en enserrant toujours fortement la grosse queue, une queue d’au moins cinq centimètres de diamètre.


Jamais je n’aurais cru qu’il puisse exister des machins pareils et, bon Dieu, il a fallu que cela tombe sur mon épouse. Putain ! Il l’a plus grosse que le poignet de ma femme, et elle est longue comme son avant-bras. Si l’on oublie longueur et diamètre et que l’on s’intéresse au volume de sa queue, ce type l’a au moins cinq ou six fois plus grosse que la mienne, peut-être même davantage. Tous les hommes essaient un jour de se situer par rapport à la longueur ou à la circonférence de leur sexe, mais cela ne m’était jamais venu à l’idée de faire le calcul en volume.


Que ressent-elle lorsqu’il la lui met toute dedans ? Impossible qu’elle ne fasse pas des comparaisons avec la mienne. En un éclair, j’imagine qu’il la lui a peut-être déjà mise toute dans le cul. Entièrement. En même temps, je me dis qu’elle n’a pas pu accepter une chose pareille. J’essaie en vain de chasser cette image de mon esprit en revenant à mon écran. Elle continue ainsi de longues minutes, les larmes aux yeux. Je suis certain que sa mâchoire est tout ankylosée.


Sandrine s’est mise à se caresser, et je vois qu’elle jouit de sa soumission, de l’offrande qu’elle est en train de faire à cet homme. Je suis persuadé que peu de femmes pourraient parvenir à emboucher un engin pareil sur une telle longueur. Cela m’excite énormément de voir faire ma femme. Je réalise que je suis en train de branler ma toute petite bite. Sandrine, elle aussi, se tripote de plus en plus vite. De son autre main elle triture et tire sur les grosses couilles de l’homme, comme pour les traire. Lui, la regarde faire d’un air satisfait. Il garde les yeux fixés sur ses belles lèvres maquillées qui coulissent sans interruption tout au long de sa longue pine. Puis il commence à l’insulter. À la traiter de salope et de catin.



Cela dure un bon quart d’heure (comment fait-il pour se retenir ?) puis il lui annonce qu’il veut la baiser maintenant. Sandrine s’allonge aussitôt sur le dos, les cuisses bien écartées. Ma femme pousse de petits cris. Il la met bien à fond ; régulièrement son gland vient buter contre le col de son utérus. Mais il n’en a pas terminé. Il la soulève et, balançant ses jambes par-dessus ses épaules, il se l’enfonce encore plus. Ma femme a toujours le plug dans le cul, et à plusieurs reprises je le vois actionner la petite poire qui est maintenant accessible. Ma femme gémit et crie que c’est trop bon.


Sur le moment, je ne comprends pas vraiment ce qui est en train de se passer. En fait, il attend d’être bien en place dans le vagin de ma femme pour gonfler le plug à fond de manière à obtenir la dilatation maximale. Sandrine se sent complètement remplie : tout le volume de son rectum est occupé, augmentant la tension sur les parois de son vagin qui vient enserrer encore plus étroitement la grosse queue de son partenaire. Georges prend le temps de bien savourer la position puis il reprend ses allées et venues dans le ventre de ma femme. Sandrine, qui s’était un peu calmée, se déchaîne à nouveau aussitôt qu’il commence à lui triturer le bout des nichons.



Sandrine prend son pied, mais cela lui a échappé.



Elle pousse de petits couinements.



Je vois ma femme se cambrer ; sa respiration s’arrête, puis d’un coup elle gueule des mots sans suite.



Au fur et à mesure que son plaisir monte, les coups de bite de notre voisin se font plus rapides. Ses couilles viennent s’écraser contre la partie plane du plug plaqué aux fesses de ma femme. Sandrine a maintenant les yeux complètement révulsés. Elle continue de se mordre les lèvres sans se rendre compte qu’en fait elle ne s’est jamais arrêtée de couiner.



Et puis Sandrine décroche d’un seul coup. L’orgasme l’emporte au moment même où notre voisin commence à décharger au fond de son ventre. Il pousse encore plus profond, plus loin, Sandrine gueule encore plus fort en le sentant cogner contre ses ovaires qu’il lui remonte encore et encore. Je pourrais imaginer tout ce sperme qu’il lui crache à gros bouillons direct dans son utérus mais cela est inutile : Sandrine dit tout, elle décrit, elle raconte, elle crie qu’elle le sent, que c’est bon. Elle le supplie de tout lui lâcher et de l’engrosser.



Je reviens d’un coup à la réalité. En voyant Sandrine éprouver un plaisir dingue à se faire remplir le ventre pendant sa période féconde, je me suis mis à éjaculer sur le carrelage. Je constate qu’une fois de plus cela se termine de la même manière pour moi.


Je viens d’appuyer sur avance rapide ; il reste une petite heure d’enregistrement, mais j’ai l’impression que la séance n’est pas terminée. Quinze minutes se passent en silence. Rien, tout est immobile. J’ai l’impression qu’ils se sont assoupis, puis d’un coup je perçois une agitation dans le lit. Je reviens en arrière : la conversation a repris.



Ma femme ne répond pas mais ils se lèvent ensemble et quittent très vite la chambre. Elle a toujours sa guêpière et ses bas sur elle. Je perçois un mouvement vers la cheminée lorsque Georges passe près de la bibliothèque.



J’entends encore que ma femme lui répond mais ils sont déjà sortis de la pièce. Je repasse plusieurs fois l’extrait sans parvenir à décrypter sa réponse. Quelques minutes passent en silence puis j’entends qu’il lui claque les fesses. Les claquements sont forts et irréguliers, et à chaque coup mon épouse pousse un petit cri que j’entends très nettement. Je comprends qu’ils sont sur le palier qui sépare l’entrée des deux appartements situés à l’avant-dernier étage.


J’imagine ma femme à quatre pattes, juste devant la porte de l’ascenseur. La cage d’escalier se continue vers le dernier étage où se trouvent d’anciennes chambres de bonne, souvent occupées par des étudiants. Notre chambre à coucher jouxtant la porte d’entrée de notre appartement, le palier est tout proche et le micro de la caméra reste efficace, même si les sons parviennent très assourdis et affaiblis.


La fessée se termine enfin et mon épouse se met à parler. Je sais qu’elle répète ce qu’il lui demande de dire mais je n’entends distinctement que ma femme qu’il oblige à parler le plus fort possible pendant qu’il la filme. Elle s’interrompt souvent et je me demande ce qu’il lui fait et si elle n’est pas en train de lui lécher le trou du cul comme dans la vidéo précédente.



On peut entendre Georges, mais ses phrases restent difficiles à déchiffrer.



On peut les entendre maintenant distinctement tous les deux. Encore une dernière claque et je comprends qu’ils se dirigent vers la salle de bain. Je suis presque sûr qu’il l’oblige à faire le trajet en marchant à quatre pattes… Ils se sont arrêtés dans le couloir, à la hauteur de notre chambre à coucher.



Je n’entends plus rien ; je pense qu’ils sont arrivés dans la salle de bain. Cela fait un bon moment que je n’ai que le son mais plus d’images ; pourtant, moi aussi je me suis remis à bander. Des images me traversent l’esprit. Tout en essayant d’imaginer ce qui est en train de se passer maintenant, je m’enfonce sans réfléchir, et pour la première fois, un doigt dans l’anus. Je me serre les couilles de l’autre main et j’éjacule aussitôt.


Aujourd’hui encore, j’ai toujours honte de ce plaisir que j’éprouve à voir ma femme se faire sauter et s’exhiber ainsi. Pour couronner le tout, voilà que j’en rajoute encore en racontant tout et en l’exposant à la demande.


Lorsque j’ai découvert qu’elle me cocufiait, j’ai bien évidemment cherché à en savoir plus. L’époux bafoué veut connaître immédiatement tous les détails, des précisions et des explications circonstanciées. Depuis quand ? Comment cela est-il arrivé ? Y avait-il d’autres hommes ? Après cette deuxième vidéo, je dois reconnaître que j’étais mûr pour me conformer à la tradition, avec des explications musclées à la clef. Mais cela ne s’est pas du tout passé ainsi et j’ai obtenu mes réponses sans avoir à tout déballer.


Je pense que l’idée m’est venue après cette émission d’actualité sur l’informatique et les dangers d’Internet. Notre voisin venait juste de partir chez sa fille en nous laissant ses clefs. Il fallait essayer. Comment n’y avais-je pas pensé avant ?


Banco : un simple PC devait m’apporter presque toutes les réponses, avec les preuves en prime… Photos, commentaires, dialogues, illustrations, vidéos : tout y était. Je dis presque toutes les réponses, car reste et restera toujours, je pense, une question embarrassante : Georges avait-il alors réellement cherché à engrosser ma femme derrière mon dos et avec son accord, ou bien s’agissait-il d’un fantasme ? Un fantasme pour lequel elle se serait prêtée au jeu.


Et surtout, comment avais-je pu être excité en entendant de telles horreurs ? Tous les « cocus contents » ont-ils le même genre de réaction ?


Peut-être un prochain épisode pour apporter des réponses.


Ou même plusieurs, car un simple PC peut contenir bien des dossiers et autant de secrets inavouables.