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Temps de lecture estimé : 9 mn
27/10/15
Résumé:  Un couple part en vacances avec leur nièce de dix-neuf ans et son copain. La relation sexuelle torride entre les deux jeunes ranime la flamme du couple.
Critères:  fh 2couples hagé fagée jeunes couleurs couplus cocus oncletante grossexe complexe vacances piscine hsoumis fellation pénétratio -voyeuroca
Auteur : Cocu consentant  (Curieux de partager mes expériences et de découvrir celle de)      

Série : Souvenirs d'un cocu consentant

Chapitre 01
Episode 1

Un couple d’amis nous avaient prêté leur maison dans le Sud, un petit pavillon dans l’arrière-pays de Béziers, un week-end prolongé à l’occasion du pont du 8 mai. Quelques jours avant le départ, Émeline, la nièce de ma femme, était passée prendre un café. Cette belle blonde sportive et élancée de dix-neuf ans travaillait comme secrétaire d’accueil dans une agence, tout en terminant un BTS de comptabilité. Venue de province, elle avait l’habitude de nous rendre souvent visite. Son entrain, sa joie de vivre, nous la rendait très chère. On lui proposa tout naturellement de nous accompagner. Elle accepta avec joie, mais tint à demander, mi-hésitante mi-curieuse, si elle pouvait amener son petit chéri, comme elle dit.


On savait qu’elle sortait avec un collègue de l’agence, qu’on avait croisé une ou deux fois, un trentenaire plutôt fade pour une fille si vive. À priori on n’avait rien contre, les regards de ma femme et moi se croisèrent pour juger de cette éventualité d’avoir le rond-de-cuir dans les pattes pour ces trois jours au soleil du Midi, quand Émeline ajouta, comme pour défendre son dossier, qu’ils étaient ensemble depuis quelques jours seulement, et que c’était l’occasion de mieux se connaître. On apprit ainsi qu’elle avait un nouvel amoureux, toujours selon son expression, du même âge qu’elle, étudiant en BTS également. Ma femme fut ravie, lui assura-t-elle, elle trouvait son ancien compagnon trop terne, et on accepta avec joie d’être accompagné des deux tourtereaux.


Le vendredi suivant, à l’aube, alors que je plaçais la dernière valise dans le coffre pendant que Michelle triait du petit courrier, les deux jeunots nous rejoignirent, comme prévu. Émeline portait une petite robe rouge clair mouchetée de points blancs, précoce pour la saison, qui lui arrivait à mi-cuisses, et laissait à découvert ses épaules et le haut de sa gorge pigeonnante. Manifestement, elle avait mis un soutien-gorge très minimal en forme de bandeau autour des seins, et je ne pus m’empêcher de remarquer, lorsqu’elle bougeait ses hanches amples et fermes, les filets d’un string. Aux pieds, elle avait des spartiates de cuir plates, mais elle me dépassait encore de plusieurs centimètres. Je l’embrassai et remarquai, comme chaque fois, l’odeur enfantine de savon frais qui émanait de son cou. Quant à son « petit amoureux », je fus surpris de voir à ses côtés un grand Black souriant, au torse large et puissant, et qu’un tee-shirt Lakers moulait à peine. Elle me présenta Manuel, qui me salua chaleureusement et me fit un grand sourire. Émeline et Manuel coincèrent leur valise unique dans le coffre, quand Michelle nous rejoignit. Elle semblait encore plus étonnée que moi, et un trait de rougeur zébra ses joues lorsqu’Émeline fit les présentations et que Manuel lui claqua une bise.


Le voyage se déroula sans encombre : on prit d’abord l’autoroute, puis, après quelques heures, on passa à la nationale et on pique-niqua près de Montluçon. Manuel et Émeline ne cessaient de s’enchanter des paysages, comme des enfants, et de parler de leur vie parisienne. Manuel venait de Guadeloupe. Émeline ajouta qu’il était le meilleur de la classe. Ma femme les pressa alors de questions : ils se connaissaient depuis quand ? Et depuis quand étaient-ils amoureux etc. ? Émeline répondait avec entrain : ils se sont connus dans un nouveau module, il y a tout juste un mois. Dès le début, ils se sont bien entendus, assis côte à côte, discutant dans les couloirs etc. Mais ce n’est que le week-end dernier qu’ils prirent leur premier café hors du bahut. Comme Manuel habitait chez sa tante et qu’elle-même était en collocation, ils n’avaient pas vraiment eu l’occasion de beaucoup se voir en dehors du boulot.



On rit tous, et je vis dans le rétroviseur les deux amoureux échanger un regard langoureux. Émeline avait les yeux brillants et se mordait la lèvre inférieure en souriant béatement.


La maison était coquette, rustique mais confortable, aménagée avec soin. Nos amis venaient souvent dans le Sud, et prévoyaient même de s’y installer pour leur retraite. Chaque couple posa ses valises dans une des deux chambres de la petite maison qui n’avait qu’un seul niveau, et on se rejoignit dans le salon. Je relevai le rideau déroulant de la porte vitrée : elle donnait sur un petit jardin planté de thym et de romarin, et d’un petit citronnier. On fut tous étonnés par la petite piscine au milieu.

Émeline, tirant Manuel par la main, courut vers la piscine.



On n’avait pas prévu la chose. Le soleil n’allait pas tarder à se coucher, mais l’air était doux et vibrant, chaud pour la saison.



Michelle partit chercher des serviettes. Aucun de nous quatre n’avait de maillot de bain. Manuel, intimidé, attendait. Émeline enleva sa petite robe. Son corps était splendide, enveloppé par la lumière du soleil qui se couchait. Le string faisait ressortir des fesses pulpeuses et des hanches de paysanne, puissantes et généreuses. Le bandeau autour des seins laissait apercevoir de grosses galettes dorées qui semblaient vouloir déchirer le tissu qui les étouffait.


Manuel s’enhardit alors et enleva son tee-shirt et son pantalon de toile. Il avait un poitrail massif, et des muscles saillaient littéralement de partout, des bras, des cuisses, des épaules, des fesses. Mais je fus surtout hypnotisé par son boxer, qui comprimait une virilité impressionnante. On pouvait percevoir le dessin de la verge, épaisse, qui penchait vers un côté, et des bourses lourdes et un peu tombantes, qui semblaient posées sur ses belles cuisses. Il inspira fortement en ouvrant largement la bouche et les narines, comme pour happer l’air des collines désertes autour de nous.



Michelle étala les serviettes sur l’herbe un peu folle du jardin. Elle avait déjà enlevé sa robe, ne portant plus qu’une culotte, les seins ballants, comme elle a toujours l’habitude de le faire à la plage ou à la piscine. Je me déshabillai, un peu honteux quand même de mon corps ramolli par l’inactivité. La courbure de mon ventre me cachait mon slip, mais j’imaginai Émeline devinant mon sexe minuscule à côté de celui de Manuel. L’idée me sembla quand même absurde et je m’avançai bravement vers l’eau, tenant virilement ma femme Michelle par la main.


Émeline et Manuel étaient déjà dans l’eau, s’ébrouant. La piscine n’était pas profonde, Manuel avait l’eau jusqu’au bassin seulement, Émeline au niveau du nombril. Elle sautait sur les épaules de son copain, et retombait en émettant des rires saccadées et agréables. Ma femme et moi avions l’eau à mi-poitrine. C’était agréable, car l’eau était plus chaude que l’air environnant, et dans la pénombre du crépuscule, je pus jouer avec Michelle : je me collai à elle par derrière et jouai discrètement avec ses gros lolos qui tanguaient sous la surface. Les deux jeunes folâtraient à l’autre bout du petit bassin.



Les yeux de Michelle luisaient dans l’ombre. Je sentais les gros mamelons poindre.



J’aimais quand Michelle prenait son air de matrone sensuelle et goulue, connaisseuse des besoins du sexe féminin. On regarda encore Manuel et Émeline. Ils ne nous faisaient plus attention. Malgré la nuit qui tombait, on pouvait, à la lueur de la lampe dans la véranda, les voir s’embrasser avidement. Les grosses lèvres de Manuel happaient la bouche, le menton, le nez d’Émeline. Je percevais parfois une grosse langue rouge-sang laper le minois de la blonde, puis une langue agile, rose, sortait entre les petites dents nacrées d’Émeline et se perdait dans la bouche de Manuel. Elle lui griffait doucement le torse d’une jolie main effilée, pendant que l’autre était sous l’eau. Je l’imaginai caressant les fesses de son mec, ou fouillant dans son sexe. Michelle à mes côtés était fascinée aussi…


L’air de la nuit était froid. On s’ébroua et on prit les serviettes, puis on entra se changer dans la maison. Je notai que Michelle, dans le salon, scruta le boxer de Manuel, avant qu’il ne s’engouffre avec Émeline dans leur chambre. On se changea dans la nôtre, j’avais le pénis et les testicules rétractés par le froid. Mais Michelle généreusement, s’agenouilla, et prit le petit escargot dans sa bouche. Je bandais un peu, en regardant ses seins lourds balancer presque contre ses cuisses pliées sur le sol, et aussi, je l’avoue, en pensant à la bite de Manuel.


Après un dîner rapide, on alla se coucher, exténués par la journée de route et la petite séance impromptue de piscine. Comme souvent avant de dormir, je malaxais les seins de Michelle pendant qu’elle me masturbait, puis elle me prit dans la bouche et avala la petite goutte que j’émis. On s’assoupit en se souhaitant bonne nuit lorsqu’on entendit un léger bruit, très discret mais on le remarquait parce qu’il revenait, cadencé. Après plus ample attention, on remarqua deux bruits entrelacés : un grincement sourd de lit, et un halètement rapide. « Ah l’amour », dit Michelle en rigolant.


Ce double bruit dura bien une demi-heure. On admira la performance et on allait s’endormir pour de bon lorsque ça reprit. Ce n’était donc qu’une pause ! Je me remis à bander et je sentais Michelle s’agiter contre ma hanche. Je la pris par le côté, en la pénétrant par petits coups rapides. J’éjaculai et m’effondrai contre elle. Le bruit continuait, enveloppant, en réalité plutôt agréable, une espèce de berceuse. On s’assoupit sur son rythme. Une ou deux heures passèrent.


Fatigués et excités, dans un demi-sommeil, on se berçait au rythme du halètement d’Émeline que bourrait son mec. Puis il y eut un long râle déchirant. Il nous réveilla complètement. Dans la chambre d’à côté, il y eut un silence, puis des chuchotements. Sans doute qu’ils s’inquiétaient du bruit que venait de faire Émeline. Nous, on ne bougeait pas. Alors ils reprirent. Michelle me saisit la bite et se remit à la branler, doucement, la tête posée sur mon épaule, ses seins chauds contre mes côtés. Sans qu’on se le dise, on avait décidé de ne pas faire dormir, et de suivre ce marathon érotique qui avait lieu dans la chambre à côté. Toutes les demi-heures environ, Émeline, comme un métronome, lançait son râle de louve, puis il y avait un petit silence, et ça reprenait. À un moment, j’allumai mon portable, il était trois heures du matin. Je montrai l’écran à Michelle. « Ouah ! » chuchota-t-elle simplement. Cela faisait bien quatre heures que Manuel fourrageait dans le vagin d’Émeline. Je dis à Michelle :



Michelle est une femme dominante, mais pas par l’humiliation, plutôt par un « maternalisme » sexuel sympathique. Elle aimait jouer avec mon pénis, même quand il était au repos, et n’hésitait pas à se caresser ou même à se doigter pour achever son plaisir, quand j’éjaculais un peu vite. Mais je devinais ses besoins infiniment plus vastes que les capacités de mon sexe. Si, exceptionnellement, je tenais plusieurs minutes de pénétration, sa chatte s’élargissait toujours, comme si elle s’éveillait à peine, et je sentais ma verge perdue contre les parois de son vagin qui s’écartaient.

On finit par s’endormir vers trois heures et demie ou quatre heures.


Le lendemain, on s’éveilla agréablement, vers dix heures. Ma femme me précéda dans la douche, puis prépara un petit déjeuner copieux avec ce qu’on avait apporté de Paris. Manuel et Émeline nous rejoignirent vingt minutes plus tard. Émeline portait un tee-shirt que tendaient ses tétons, et un petit boxer. Elle s’assit et nous fit un sourire radieux et las à la fois. Ses beaux yeux vert-bleu étaient cernés légèrement, ce qui lui donnait un air encore plus évaporé. Elle soupira et s’exclama :



Manuel la rejoignit. Il portait un marcel qui dégageait de puissantes épaules, et un short à mi-cuisses. Il s’assit près d’elle, bâilla et posa sa grosse main dans le creux de sa cuisse. Elle écarta instinctivement les jambes et soupira encore.



Michelle aimait taquiner, avec indiscrétion, les intimes. Et Émeline et Manuel semblaient l’être désormais. Émeline et Manuel se regardèrent, longuement.



On pouffa de rire, ma bite se remit à durcir, et Michelle qui devine ces choses, glissa sa main sous la table et me caressa par-dessus le pantalon, comme pour calmer un petit chiot.

On mangea de bon appétit, surtout les jeunes « amoureux », et on décida de passer la journée à Agde.



À suivre