n° 17104 | Fiche technique | 14489 caractères | 14489Temps de lecture estimé : 9 mn | 13/11/15 corrigé 07/06/21 |
Résumé: Comment Olivier introduisit sa femme au porno. | ||||
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Auteur : Cocu consentant |
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Résumé de l’épisode précédent : Épisode 1
Olivier et Michelle, un couple de quarantenaires, partent en vacances avec Émeline, la nièce de Michelle, et Manu, son copain. Le couple est séduit par l’érotisme qui émane des deux jeunes. Ils décident d’aller passer une journée à la plage. Mais avant, Olivier raconte son couple…
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Avant de raconter cette journée exceptionnelle qui marqua un tournant dans la vie sexuelle de notre couple, il faut peut-être revenir sur l’histoire de ce couple, justement.
Je m’appelle Olivier. À l’époque de cette virée à Béziers, j’avais trente-six ans, et ma femme Michelle trente-huit ans. On s’était rencontrés lors d’un stage, le premier pour moi, le second pour elle. À vingt-quatre et vingt-six ans, on prenait à peine nos marques à Paris. Michelle était dans une vague relation avec un gars de Clermont, une histoire qui traînaillait depuis le lycée. Moi-même j’étais célibataire depuis deux ans déjà et je souhaitais me caser au plus vite. J’avais eu quelques aventures après le lycée, bien sûr, mais elles ne duraient jamais. J’étais alors décidé à trouver la « bonne ». Michelle me plut d’emblée. Petite blonde pulpeuse, pas une franche beauté intimidante, mais du charme, et beaucoup de malices dans les yeux, elle me séduisit surtout par son mélange de timidité feinte et de caractère, et je sentais en elle une sensualité inentamée. Sans s’en rendre compte, en quelques semaines on passa du statut de collègues à meilleurs camarades, à amants puis à couple installé.
Si nous étions tous les deux amoureux et portés sur le sexe, nos relations par contre souffraient de la rapidité de nos rapports. J’ai toujours été très excitable, et la seule vue de la poitrine généreuse de Michelle suffisait à me faire bander puis à éjaculer après quelques coups de rein. Par contre, je « rechargeais » vite, comme elle disait. On s’habitua donc à des rapports courts, mais fréquents, et aussi à beaucoup de masturbation mutuelle. Michelle aimait me branler de la main, et j’adorais me laisser faire. Au lit, sous la douche, au cinéma, parfois même sous les tables dans les restaurants, elle m’agrippait le membre et le secouait avec fermeté et doigté. Il lui arrivait ensuite de se lécher les doigts devant moi. Il faut dire que mes éjaculations n’ont jamais été abondantes, deux ou trois gouttes chaudes faisaient l’essentiel de ma semence, et je me demande si notre incapacité à avoir des enfants ne viendrait pas de là. Par ailleurs, mon pénis était petit.
Jusque vers mes trente ans, j’en étais fier, m’admirant dans la glace en l’étirant, l’exhibant devant ma chérie, le frottant sur son visage. La révélation se produisit lorsque je me mis au porno. Ce fut lors d’une absence de Michelle, partie rendre visite à sa famille, et qui se prolongea dix jours. Je me mis à surfer sur Internet, à la recherche de choses et d’autres. Le manque et l’ennui me portèrent vers des sites érotiques. Depuis, je pris l’habitude de visiter en cachette de Michelle quelques sites avant le coucher.
Au bout de quelques semaines, j’étais déjà passé des sites érotiques soft à du porno plus affirmé. C’est là où je découvris que si les femmes ont des poitrines de tailles très variées, les hommes sont aussi disparates quant à la verge. Un genre en particulier, l’interracial américain, me fascina. Les membres des blacks dans les films étaient démesurés. Des bites de cheval, de toute beauté, grosses, veineuses, et qui déchargeaient des litres de sperme chauds. Les actrices m’intéressèrent de moins en moins, ce n’était plus qu’un accessoire pour voir jaillir puis travailler les pieux des acteurs. Je me mesurais bien sûr, et mes douze centimètres me confirmèrent mes impressions visuelles, et aussi mes lectures sur internet. Non, je n’avais pas une grosse bite, j’étais même, à ce propos, plutôt petit. Michelle ne s’en rendait pas compte, elle n’avait connu que deux hommes avant moi, et la taille de ma bite ne l’avait jamais dérangée. Il m’arrivait, en la pénétrant, de lui demander si ma bite est grosse, et elle répondait invariablement « oh oui », j’éjaculais immédiatement à la reconnaissance de ma virilité.
Mais depuis que j’avais découvert les verges du porno, je me mis à changer. J’admis d’abord avec réticence que j’étais « court ». Ensuite, je découvris que cela pouvait être source de plaisir, paradoxalement. Il suffisait d’accepter la réalité, puis de jouer avec. Des scénarios où Michelle s’amusait avec des godes, puis avec un homme membré, se mirent à me trotter dans la tête.
Je n’en parlais pas à Michelle, pas directement. Je me mis à lui demander si elle ne trouvait pas ma bite petite, ou si elle n’aurait pas préféré une plus grosse. Ses réponses semblaient dire qu’il n’y avait pas autre chose sur terre, elle ne se doutait manifestement pas de l’existence de bites de plus de douze centimètres, et même de vingt, de vingt-cinq, peut-être de trente centimètres. Ce monde lui était inconnu, et ses aspirations étaient limitées à ma petite bite et ma maigre éjaculation.
Puis il y eut sa révélation à elle. Michelle s’inscrivit dans une salle de sport il y a deux ans, pour lutter contre sa tendance à s’enrober, ce qui personnellement ne me dérangeait pas, son corps ayant le goût de placer le superflu dans ses seins et ses hanches. Deux semaines plus tard, un soir au lit, elle me raconta, encore impressionnée, les joues en feu, qu’il lui était arrivé une « drôle » d’histoire. Après le sport, elle s’était déshabillée dans le vestiaire puis avait voulu essayer le sauna. Après les douches des femmes, elle prit un mauvais couloir et se retrouva, avec juste une serviette autour de la taille, dans les douches des hommes. Je fis semblant de trouver l’aventure banale, mais en vérité j’étais excité, et la poussait à détailler.
Ma bite me faisait mal tant elle me tirait, j’imaginais Michelle nue, un paréo autour de la taille, autour de basketteurs nus aux bites énormes. Je me mis à la caresser. Ses mamelons pointaient, je mis ma main dans sa chatte, elle commençait à mouiller.
Je m’enhardis et lui demandai :
Ça lui était sorti de la bouche comme un soupir, c’était incroyable. Elle dut s’en rendre compte et ajouta :
Mais elle dégoulinait entre ses cuisses. Je lui fis alors l’amour, avec dans ma tête son « énorme » explosif, qui semblait appeler à l’aide. Voulant battre le fer tant qu’il était chaud, je lui proposai, après, d’aller voir sur internet si on trouvait des photos de basketteurs nus. Elle trouva l’idée drôle. La requête bien sûr était farfelue, mon but était d’arriver à un site copieusement fourni en photos et en films d’hommes nus bien membrés. Je n’eus que l’embarras du choix. Michelle était hypnotisée. Je fis défiler devant ses yeux des photos de stars pornos, de préférence des blacks musculeux aux bites épaisses. Puis on regarda quelques courts clips, mes préférés, que je faisais semblant de découvrir avec elle, des trailers de films, avec des morceaux de choix : des dizaines de bites énormes enfilaient des vagins, des culs, des bouches, et des compilations d’éjaculations abondantes, ruisselants sur des visages, des seins, des ventres de femmes hurlant de plaisir. Michelle n’en croyait pas ses yeux. La bouche ouverte, les yeux ronds, je voyais sa poitrine haleter.
Et je fermai l’ordinateur comme si on avait consulté la météo. En réalité, j’étais curieux d’entendre ses commentaires et je feignais l’indifférence en attendant ses réactions.. Je me rendis compte alors que j’avais éjaculé dans les draps. J’allumai ma lampe de chevet. À mes côtés, Michelle, silencieuse, regardait ses cuisses. Elle me montra une flaque entre ses jambes. Tout le lit était mouillé.
Je me remis à bander. On changea les draps, et j’essayai de détendre l’atmosphère :
Depuis lors, on épiçait nos soirées de courts films pornos, en majorité du style interracial. Petit à petit j’introduisis Michelle à mes genres favoris, le cuckolding interracial, et le gloryhole. J’adorais la scène de la femme qui compare le pénis de son mari avec celui de l’amant noir. La bite du mari, pourtant souvent plus grosse et plus longue que la mienne, avait l’air d’un zizi de bébé à côté du chibre noueux. Michelle avait enfin compris qu’en mensuration de bite, j’étais plutôt un bonnet A maigrichon.
Je n’ai pas regretté mon stratagème pour lui faire découvrir le porno et la réalité de son petit mari. Son côté dominateur s’affirma de plus en plus. Elle se mit à m’appeler sa « petite bite », ou la « petite bite », tout court. Dorénavant, elle m’attrapait le sexe, bite et testicules, dans sa main, pas très grande pourtant, et m’entraînait vers la chambre quand elle voulait que je la pénètre. Elle me suçait aussi, de plus en plus, et menaçait de manger mon petit bonbon si je n’étais pas sage.
Par contre, on n’avait pas franchi le pas des godemichés, auxquels j’avais pensé avant, ni des amants réels. Depuis deux ans, nos séances devant l’écran suffisaient à nos besoins respectifs.
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La bouillabaisse fut excellente. On termina par des glaces. La terrasse du restaurant donnait sur la plage. Notre escapade dans la piscine hier soir n’était donc pas une lubie : quelques dizaines de vacanciers précoces tâtaient la mer du pied puis s’affalaient sur le sable. Le soleil était haut et particulièrement chaud. Émeline, qui avait été tout le midi à moitié endormie s’était requinquée avec le repas et proposa qu’on aille nager. Le même problème se reposa, on n’avait pas de maillot. Le plus simple était encore de passer à la boutique la plus proche. C’est ce que je proposai.
Michelle parlait sérieusement, en me toisant malicieusement du regard. Après tout, pourquoi pas ? L’idée ne parut pas déranger Émeline. Sans être d’une famille totalement libérée, ses parents, sa mère particulièrement, la sœur de Michelle, étaient larges d’esprit, comme ma femme. Manu hésita un peu, et eut un sourire crispé.
Avec Michelle, nous fûmes une seule fois dans une plage de naturistes, en Belgique. Nous étions seuls dans une plage très dégarnie, l’expérience fut plaisante, mais pas particulièrement marquante. Cette fois-ci, on était accompagné de proches à qui on allait dévoiler notre nudité, et eux la leur. Ce n’était pas la même approche.
On reprit la voiture. Je suivis les panneaux, avec un peu d’appréhension. On atteignit finalement une espèce de parking qui se trouvait contre des dunes. Quelques voitures, quelques camping-cars. Fallait-il se déshabiller ici ? Je me trouvais ridicule. Michelle prit des serviettes restées dans le coffre et on partit, précédés par Émeline lovée comme une liane contre Manu.
La plage était vaste, sablonneuse, agréable aux pieds. On installa les serviettes à une quinzaine de mètres de l’eau. L’heure de vérité approchait, je ne savais comment commencer. Mais Émeline et Manu s’étaient déjà débarrassés de leurs jean, tee-shirt et slip, et couraient vers les vagues. Je vis le dos musculeux de Manu et les fesses rondes d’Émeline plonger dans l’eau. Ma femme et moi nous déshabillâmes en pliant nos affaires précautionneusement. Je m’allongeai sur les coudes et frétillai un peu des orteils dans le sable, pendant que Michelle écartait largement les cuisses et offrait son buste au soleil, en fermant les yeux. Mes yeux à moi étaient par contre bien ouverts. Peu de monde, des quadras, des quinquas, quelques enfants aussi. Beaucoup de chair blanche étalée, abondante, parfois appétissante comme cette brune au beau fessier qui était sur ma gauche. Je laissais mon pénis respirer, en écartant un peu les cuisses. Émeline et Manu jouaient à se faire noyer. Je fermai à mon tour les yeux et me laissai aller à écouter le bruit mêlé du vent, de la mer et des gens.
À suivre