n° 17099 | Fiche technique | 12771 caractères | 12771Temps de lecture estimé : 9 mn | 03/11/15 corrigé 07/06/21 |
Résumé: Première sortie Parisienne d'un couple marié. | ||||
Critères: fh extracon toilettes hdomine jalousie contrainte noculotte jeu -couple+h -prudes -boitenuit | ||||
Auteur : Parisfou Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Le dilemme de l'épouse Chapitre 01 | Épisode suivant |
Le dilemme de l’épouse
Vendredi soir. 21h. Rue de XXXX Paris 9. Petite pluie fine.
Elle : Allô… T’es où ? Je suis à la sortie du métro, j’ai eu un peu de retard.
Moi : Bouge pas, j’arrive.
J’attrape ainsi mon épouse après une longue semaine de travail. Rien d’excitant dans sa tenue. Le tailleur habituel blanc et noir qui sied bien dans les bureaux, la petite odeur de RER A à l’heure de pointe, l’imper qui évite les soucis, pas ou peu de maquillage… bref une soirée d’automne.
Mais au lieu de rentrer nous allons dîner en tête à tête dans un des restaurants du quartier de la bourse à Paris. Les enfants – deux charmants ados – sont suffisamment grands pour rester seuls devant leurs jeux vidéo ou leurs Ipads jusqu’à minuit. Il suffisait juste d’acheter des hamburgers à faire au micro-onde. Je sais, c’est lâche.
Christelle, ne voulait pas les laisser seuls et sortir. Mais trop c’est trop, et elle a craqué la semaine précédente. À midi, elle a passé se refaire une beauté chez une des esthéticiennes de la défense, pour une première sortie en amoureux dans un club. À 43 ans, elle ne paraît pas vraiment son âge. C’est une jolie brune-châtain, petite et assez fine, avec une peau très claire.
Passée la première par la porte de la brasserie, j’en profite derrière elle pour regarder ses jolies hanches partiellement masquées par l’imperméable. Elle commande rapidement et me fait culpabiliser à cause des enfants abandonnés. Je ne l’écoute pas vraiment. Tans pis s’ils se couchent tard, s’ils ne mangent pas bien, et oublient de se brosser les dents. Je regarde sa coiffure – un carré – sa tenue de bureau, sa poitrine, ses yeux verts et ses nouvelles lunettes pour voir de près. Ça faisait longtemps que je ne l’avais pas regardée. Je suis un peu jaloux car elle s’habille mieux pour travailler que pour les week-ends. Elle est encore très belle, elle n’est pas très à l’aise. Ma main sous la table, sur ses genoux, la détend un peu malgré un zeste d’agacement. Un verre de vin blanc fait le reste. Conversation banale mais au moins sans être interrompue. Son embarras est perceptible.
Arrivés au dessert, je lui donne sa trousse de maquillage, et une paire de collants neufs. Elle hésite encore mais finit par descendre aux toilettes. J’ai encore refusé sa troisième proposition de film pour la séance de 22h30. Je reste seul dix minutes le temps de finir le bordeaux et de régler la note.
On se dirige vers la voiture garée quelques rues plus loin. Je la laisse entrer seule. Elle trouve à ses pieds un petit sac avec la jolie robe bleue achetée lors d’une soirée d’anniversaire. Je refuse encore une fois d’aller sur les grands boulevards voir le dernier film à la mode (ou pas). Je fais le guet en dehors pendant qu’elle se change. Heureusement à cette heure, en novembre et avec un peu de pluie, les rues de Paris sont presque désertes. Sa robe lui arrive juste au-dessus des genoux et laisse voir un joli décolleté.
Nous nous dirigeons vers un club du quartier. Juste pour voir, par curiosité. Pour ne pas regretter plus tard de n’avoir pas vécu.
Une fois entrée, mon épouse donne son imper et semble resplendissante. Le N°19 a gommé l’odeur du RER A. Elle me tient par le bras. Terriblement jalouse, Elle a préféré m’accompagner plutôt que d’avoir un mari cavaleur. Est-ce une version moderne de la morale bourgeoise ? Il faut dire qu’à 45 ans sans cheveux gris ni aucun embonpoint, je dois me méfier des jeunes divorcées…
Assis au bar, nous profitons de la vue des couples. Habitués, intimidés, aguicheurs,… des tenues sobres aux plus provocantes. Surtout ne pas appuyer le regard, ce serait prendre le risque d’un conflit conjugal. La jalousie ne connaît pas de trêve.
Un verre de gin plus loin, quelques tendres caresses et beaucoup de bisous dans le cou et l’ambiance se réchauffe un peu. Mon épouse commence à se prendre au jeu de la séduction. Je la soupçonne de jouer un peu les vierges effarouchées. D’autant plus qu’à chaque fois que je passe ma main sous sa jupe, elle serre très fort les cuisses en transpirant. Il est temps de profiter de la soirée.
Mon épouse détourne alors son regard, étudie le jeune homme qui doit avoir 35 ans, bien habillé, avec une veste de costume gris et un pantalon noir et de jolies lunettes. Elle vide doucement son verre sans rien dire, puis…
Je l’embrasse. Elle se lève, fait quelques pas et revient.
Elle me tourne le dos, fait quelques pas et s’adresse à l’oreille du jeune homme. Ils échangent quelques mots, il finit son verre, me jette un regard pour vérifier si tout cela est bien réel puis la prend par la main et l’entraîne dans les escaliers.
*****
Quel imbécile je fais, tout seul au bar. Ma voisine est vraiment attirante et souriante mais j’ai fait une promesse. Reste plus qu’à me recommander une puis deux vodkas en regardant la montre. Je ne veux surtout pas me faire surprendre avec une autre, ma femme deviendrait alors insupportable.
Quinze minutes plus tard, je vois enfin passer mon épouse seule par la porte. Elle n’a plus ses collants. Elle vient s’asseoir sur la banquette près du bar et me fait signe de la rejoindre. J’essaie de l’embrasser mais elle me tend seulement la joue. Elle est toute rouge. Elle me tend discrètement sa culotte et son collant que je glisse immédiatement dans ma poche.
Je ne dis rien, l’embrasse dans le cou et pose ma main sur sa cuisse. Son odeur a changé. Ma main remonte le long de sa jambe mais elle resserre ses cuisses et je ne peux monter plus haut. Je dois faire machine arrière.
Elle a commencé son récit.
J’étais furieuse quand tu m’as demandé ça. C’est un manque de respect. Et puis je me suis dis que tant pis, alea jacta est, qui vivra verra, hasta la vista, il l’aura bien cherché…
Je me suis approchée de lui et lui ai dit que mon mari, toi, voulait que tu m’enlèves mes collants. Que c’est complètement stupide mais qu’il – toi – était assez idiot pour ça. Le jeune homme a ri et m’a demandé mon prénom. Il m’a dit que j’étais magnifique avec ma robe bleue et que j’avais une très belle coupe de cheveux. Les compliments ça fait toujours plaisir.
Ensuite, il m’a prise par la main. Je t’ai lancé un dernier regard en espérant que tu interviennes mais tu regardais déjà ailleurs.
Je l’ai suivi en silence dans les escaliers, et nous avons débouché dans une salle où des couples discutaient ou s’embrassaient autour de tables basses. Nous avons regardé la scène deux minutes ensemble sans rien dire. Il a poussé la porte d’une salle de bain. Il y avait deux bidets en plus d’une douche et des toilettes. Étrange, les bidets c’est complètement passé de mode. J’en ai jamais utilisé.
Il ma demandé gentiment de me tenir face à lui et de relever ma jupe avec les mains. Il s’est accroupi face à moi. Je t’ai cherché du regard par-dessus ses épaules en espérant que tu m’aies suivi mais il n’y avait personne. Alors, j’ai fermé les yeux et j’ai soulevé ma jupe en serrant les jambes très fort. Je me mordais les lèvres presque jusqu’au sang.
Il me regardait. Je sentais de loin son souffle sur mes collants. Rien d’autre. Ça m’a semblé durer des heures. J’étais effrayée que quelqu’un d’autre ne rentre dans la salle de bain et l’espérait terriblement aussi pour être délivrée. Je me sentais très mal à l’aise. Je voulais que tu viennes.
Il m’a dit des compliments et m’a rassurée. Ça m’a détendu un peu. Puis j’ai senti ses mains chaudes se poser sur mes hanches. J’ai voulu lâcher ma jupe mais il m’a fait la reprendre. Son contact m’a apaisé. Je me suis un peu détendue.
Il a commencé à rouler mes collants sous ma jupe, découvrant ainsi mes sous-vêtements. J’avais mis la jolie culotte en dentelle noire qu’on avait achetée cet été pendant les vacances.
Il me tenait fermement par les collants partiellement roulés. Je ne pouvais plus vraiment bouger sans risquer de tomber. Il ne disait rien mais semblait tout près de ma culotte. Je n’osais pas ouvrir les yeux. Mes lèvres me brûlaient.
D’un geste sec, il m’a fait me retourner et c’est maintenant mon derrière qui se présentait à lui. J’ai pu m’appuyer sur le mur face à moi. J’avais honte, peur de décevoir, peur de mes fesses un peu trop grosses, un peu trop molles, un peu trop blanches, pas très bien épilées.
Il m’a fait une bise sur l’une d’elle, s’est redressé et a immédiatement attrapé le collant, le descendant sur mes genoux avec ses deux mains. Je ne pouvais plus bouger sans risque de tomber. Il a pris son temps avant de poser ses mains sur mes hanches et d’écarter mes fesses.
Je me sentais comme la dernière des traînées. Les collants à moitié baissés avec un inconnu dans dos.
Il a ensuite embrassé le tissu de ma culotte et l’a descendue au niveau des collants. J’ai voulu me dégager mais il m’a remise en place en m’écartant un peu les jambes. Il m’a dit :
Il a fait trois pas et s’est mis contre la porte. Je me suis sentie un peu rassurée et j’ai refermé les yeux. Il m’a demandé de remuer les fesses. Je n’ai pas osé refuser. Je ne savais plus ce que je faisais et j’ai commencé à onduler pour lui.
Tout à coup j’ai senti son nez puis sa langue. Il avait repris mes collants avec ses mains. J’étais sa prisonnière. Il semblait chercher un chemin entre mes fesses et me tirait le bassin en arrière vers ses lèvres.
C’était trop pour moi. Je pensais à toi. J’avais honte d’être ainsi souillée mais c’est toi qui m’avais mise dans cette position.
Brutalement j’ai serré les fesses, mes jambes se sont mises à trembler. C’était fini je ne pouvais plus rien endurer.
Alors, il s’est relevé et m’a prise par les épaules avant de me retourner et de m’embrasser de force. Son visage était trempé. Tu sais que j’ai horreur de ça mais cette fois je n’ai rien dit. Ensuite, il a fini de descendre mon collant et de retirer ma culotte en un seul geste rapide.
En me les donnant, il m’a pris la main et l’a posée sur son pantalon. Il était dur. Très, très, dur. Sans me lâcher, il a ouvert son pantalon et sorti son sexe. Je ne regardais pas. Je ne l’ai même pas vu. Il a mis ma main dessus. Je n’ai rien pu faire pour l’en empêcher.
Je l’ai caressé jusqu’au à ce qu’il perde sa vigueur. Je ne voulais qu’une chose maintenant : qu’il me rende mes affaires, partir, fuir.
Voilà mon chéri.