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Temps de lecture estimé : 9 mn
26/11/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Mon épouse me raconte ce qui c'est réellement passé pendant que je l'attendait au bar lors d'une sortie.
Critères:  fh extracon toilettes jalousie contrainte noculotte jeu -couple+f -boitenuit
Auteur : Parisfou      Envoi mini-message

Série : Le dilemme de l'épouse

Chapitre 02
L'aveu

Le dilemme de l’épouse


Résumé des épisodes précédents : Le dilemme de l’épouse

Christelle a accepté à ma demande qu’un inconnu lui retire son collant et sa culotte lors d’une première sortie en club pendant que je l’attendais au bar. Elle vient de me rejoindre sur la banquette et de me raconter son aventure.



—————




L’aveu. Part II





Je la prends alors dans les bras et l’embrasse. Cette fois elle ne me rejette pas. Au contraire elle s’abandonne enfin. J’en profite pour caresser sa jolie chatte poilue. J’adore les bouclettes. La banquette dans la pénombre nous laisse un peu d’intimité relative. Pas besoin de mouiller mon doigt. Elle est trempée et le toucher est très doux. J’adore ça. J’ai l’impression être un peintre qui a réussi sa toile, un cuisinier qui a lié sa sauce, un ministre qui a réussi une réforme… Elle a beaucoup transpiré tout à l’heure, mais pourtant il y a un truc bizarre lorsque je l’embrasse. Je ne dis rien et continue à lui caresser doucement son petit bouton rose sans chercher à rentrer dans son intimité. J’aime faire durer son plaisir. J’aime la sentir s’avancer vers mes doigts, j’aime la faire languir. Mais, comme d’habitude, elle se laisse faire en soupirant doucement. Elle a l’air si innocente, comme d’habitude. L’ennui, la paresse, la fatigue ?


Assise en face de nous, une jolie brune bien coiffée d’une quarantaine d’années en chemisier et jupe droite nous observe d’un air sévère. J’ai toujours aimé les chemisiers blancs avec les colliers en perle d’or. Les « miaulements » de ma femme semblent attirer son attention. Elle n’arrête pas de croiser et de décroiser les jambes au fur et à mesure que je relève discrètement la jupe de mon épouse, Christelle. Cela lui permet de deviner ou d’imaginer sa nudité dissimulée par sa courte robe bleue. Cela me permet aussi de regarder ses belles jambes fines et ses bas ou ses collants noirs. Je sors alors la culotte de mon épouse de ma poche et la porte à mes lèvres avec un air provocateur. J’hume avec plaisir cette odeur sucrée jusqu’à ce que ma femme m’oblige à ranger mon trophée, ma victoire. Ses seins sont collants. Ils ont un goût différent. Je ne saurais pas dire quoi. Mais je les embrasse avec avidité. Ils sont petits, mais bien dressés et je n’hésite pas à les faire sortir de leur décolleté pour mieux en aspirer la pointe et laisser la jolie brune les observer de loin.



Je n’ai pas envie d’aller trop vite. C’est le genre de soirée dont il faut savoir profiter. Chaque seconde est unique et je ne veux pas en perdre une miette.


Nous descendons ensemble et profitons de l’ambiance et de la musique des années 80. Pas de nouveau tube, c’est rassurant. On a rien raté de l’époque. De toute manière on droit au cours de rattrapage avec les programmes télé. Des couples flirtent de manière plus ou moins poussée. Certaines osent même sucer leurs partenaires. Les strings ne sont pas toujours du meilleur goût, mais est-ce bien important ? Du moment que leur heureuse propriétaire et le joyeux locataire s’en satisfassent. La tolérance passe aussi par les sous-vêtements. Tant pis pour les couleurs vives et les tissus bas de gamme. Christelle est gênée. Elle n’aime pas regarder les autres couples. Moi, j’ai les yeux exorbités. J’adore ça. Ça l’énerve ! Toujours cette jalousie mal placée. Pour la rassurer, je lui caresse les fesses pendant qu’elle danse ce qui l’amuse beaucoup, et elle n’hésite pas à rouler des hanches pour me faciliter la tâche. Toujours les vieilles recettes…


Arrivé dans la salle de bain, j’imagine la scène qui s’est déroulée en mon absence : ma femme appuyée sur le mur, la culotte sur les chevilles, tournant le dos à cet inconnu en train de lui embrasser les fesses. Bizarrement, je bande.



Je l’embrasse à nouveau sur les lèvres.



J’écarte sa robe, la repose sur les bords du bidet pour ne pas la mouiller et ouvre doucement le jet. Je lui applique délicatement un peu d’eau tiède savonnée sur les poils et l’écoute se pâmer doucement.



La porte de la salle de bain s’ouvre alors laissant entrer à pas feutrés la brune élégante qui nous observait tout à l’heure près du bar. Je fais semblant de ne pas la remarquer.


Mon pantalon me fait horriblement souffrir et je dois libérer mon sexe.


Christelle qui ne peut pas voir l’intruse, a commencé à me faire des bisous sur le bout du zizi. La température de l’eau ne la gêne plus. Je ne veux pas la laisser me gober tout entier et lui retire de temps en temps ma bite – elle a une saine horreur de ce mot – la maintenant ainsi en haleine. Je veux faire durer le plaisir.


La dame, doit se tenir dernière nous à quelques pas. On ne l’entend presque pas. Juste quelques petits soupirs et un petit bruit de tissu froissé. Je crois que Christelle ne l’a pas remarquée. Elle n’a pas de miroir lui permettant de regarder derrière elle. Je l’imagine en train de se caresser debout contre le mur. Une main sous sa jupe, l’autre se caressant les seins. Je bande. Ma femme lèche. La dame se caresse.



Christelle tousse brutalement, mais ne dit rien. Elle reprend ma bite entre ses lèvres et semble pressée de recevoir le jus tant convoité. L’eau du bidet s’écoule toujours faisant un délicieux petit bruit de cascade.



Christelle fait semblant de rien et accélère son geste, elle semble pressée d’en finir. Je me retourne et regarde derrière moi. La dame évite mon regard et s’approche sans retirer la main de son chemisier. Elle caresse son long collier constitué de jolies boules d’or en les faisant rouler sur sa poitrine. J’adore.


Elle me souffle alors à l’oreille :



Joignant le geste à la parole, elle se lèche le majeur et l’introduit dans l’anus de mon épouse sans y rencontrer aucune résistance. Christelle ne dit et ne suce plus rien. Elle se contente de souffler doucement essayant de se faire oublier, comme une petite fille qui se serait fait attraper en faisant une bêtise. Comme si elle n’était plus là, comme si elle n’avait jamais été là. Ses joues sont écarlates.



Je me recule un peu pour regarder la situation. J’ai peur de dire une ânerie. C’est irréel. Ma femme en jupe assise sur un bidet me tourne le dos alors qu’une inconnue lui ramone le derrière avec sa main ! Pourtant je ne me sens pas vexé et je l’embrasse à nouveau. Après tout, c’est moi qui l’ai mise dans cette situation. Je ne peux quand même pas lui en vouloir ensuite. Tout va très vite dans ma tête. Heureusement c’est pas toujours elle qui commande.



Christelle fait mine de se relever, mais la brune lui appuie fermement sur les épaules. J’avale ma salive bruyamment. Je renifle alors son cou, un peu comme un chien cherchant une piste, une trace. Ses cheveux sont collants. Il n’y a pas de doute. Elle a tout reçu sur le visage. Elle a dû se détourner au dernier moment. Je ne laisse rien paraître et embrasse à nouveau mon épouse – du bout des lèvres cette fois ! La dame continue à faire entrer et sortir son majeur du cul de ma femme. Elle y joint un deuxième doigt - non au préalable me l’avoir fait lécher - et s‘allonge littéralement sur son dos pour faciliter son mouvement et empêcher Christelle se relever. Je regarde, captivé, la main qui s’agite dans le tréfonds de mon épouse qui se pince les lèvres pour ne rien laisser échapper.



Mon instinct reprend un peu le dessus. À mon tour d’embrasser cette femme possessive qui me fait tant bander, à mon tour de découvrir cette jolie culotte rouge délaissée par un mari volage et peut être un peu maladroit. À mon tour de déguster cette foufoune juteuse à souhait. À mon tour de croquer ces belles pommes à pleine dent…


Mais j’ai à peine le temps de lui faire deux ou trois caresses en écartant l’élastique de sa jolie culotte en dentelle que je la sens brutalement jouir sur mes doigts. Christelle, elle, se contracte à son tour et se met à rire bruyamment. C’est ce qu’elle fait parfois dans ses grandes jouissances. Je retire ma main, étranglée par les cuisses musclées soudainement refermées, et la dame fait de même en sortant sans ménagement ses deux doigts de son cul avant de me les mettre sous le nez avec un geste de victoire.



Christelle a discrètement éteint l’eau du bidet et se lève sans rien dire. Elle évite mon regard et baisse les yeux. Devant le miroir, elle fait mine de rajuster un peu sa coiffure avant de se laver les mains. Je range mon sexe dans mon pantalon. Il n’a pas encore débandé. Elle joue les honteuses. Elle n’aime pas les mensonges et prend l’air du chat qui vient de se faire attraper la langue dans le bol de lait. Pas du chat battu, non ! C’est juste l’innocence même !


Nous quittons le club, presque sans rien dire. Juste quelques banalités, comme « ferme bien ton imper ma chérie. La pluie est glaciale ce soir, ta robe était très jolie, etc., tu sais où es la voiture j’ai oublié le numéro de la place… Je lui tends mon bras et c’est un retour très convenable malgré une jupe un peu au-dessus de genoux, mais bien cachée par l’imper beige, jusqu’à la voiture. Malgré les traces de sperme dans les cheveux, nous sauvons les apparences !


Arrivés à la maison vers 1 h 30, nous allons directement au lit. Toujours sans rien dire d’important, en gardant les mains sur le volant, les yeux sur la route, et surtout sans faire de bruit pour ne pas réveiller les enfants en arrivant.


Une fois couché, mon sexe me fait franchement mal. J’ai vraiment de la chance, car c’est encore un modèle bio sans pilule bleue ajoutée et j’abaisse donc sans trop de ménagement, vu l’heure tardive, le pyjama en coton de ma femme. Cette étape est absolument nécessaire pour la suite. Elle profite de l’occasion pour s’emparer de mon douloureux attribut et l’introduire dans son vagin ruisselant sans autre forme procès. Je ne sens presque rien, tellement elle est mouillée. C’est pas grave, plus rien n’a d’importance à cette heure, il faut juste que je jouisse, ça me brûle trop : je dois me libérer. Il faut que ça sorte. Je dois exploser. J’empoigne sa poitrine et lui mords le cou comme le font les chats pour maintenir leur partenaire en place. Les animaux font toujours comme ça. Toujours cette foutue odeur sucrée dans son cou. Elle se cambre presque immédiatement, contracte son vagin et inonde littéralement mon sexe. Rhaâ lovely,… J’ai les couilles trempées et la bite flasque. La gloire ! Enfin…


L’a-t-elle fait par envie ou pour se faire pardonner ou pour se débarrasser d’un mari entreprenant et s’endormir au plus vite ? Je ne sais pas. Il faudra que je le lui m’en assure demain. Pour l’instant, je m’en fou, j’ai les couilles vides. Il me faut dormir, il est trois heures du mat’, j’ai de frissons.




(À suivre)