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Temps de lecture estimé : 18 mn
30/11/15
Résumé:  Notre séjour s'anime toujours plus.
Critères:  fh grp couple vacances plage entreseins facial
Auteur : Caribonex      Envoi mini-message

Série : Vacances à la Grande-Canarie

Chapitre 03 / 07
À la plage

Résumé des épisodes précédents : « Un voyage mouvementé » et « Le début du séjour »


Mon épouse Aline et moi Axel, partons en vacances à la Grande-Canarie, pour nos dix ans de mariage. Un vol mouvementé nous permet de nous retrouver et Aline se confie et s’ouvre enfin à moi. Elle me promet un séjour animé et a commencé à mettre ses menaces à exécution. Le quatrième jour commence…



______________________________




Nous sommes assis au bord du jardin exotique de l’hôtel, près de la terrasse des repas et je regarde Aline m’exposer le programme de la journée tout en savourant mon jus d’orange. Je la fixe, mais n’écoute pas vraiment ce qu’elle dit. Je regarde sa bouche et je pense à la merveilleuse fellation dont elle m’a gratifié hier soir juste avant qu’on ne s’écroule tous les deux.



Un moment plus tard, bien chargés, on part pour la traversée des dunes, histoire de jouer un périple au Sahara.


C’est beau, c’est grand, visuellement splendide, j’adore les traces du vent qui a dessiné les lignes sinueuses dans le sable. Bon il y a aussi de nombreuses traces de pas, mais dès qu’on sort un peu des sentiers battus, c’est plus vide et le sable reprend son aspect virginal. Les couleurs sont chaudes, ces ocres, ces beiges pâles…


Au bout d’une bonne marche, on aboutit quasiment au niveau de la plage sans textile. Il est encore relativement tôt et ce n’est pas la place qui manque.

On s’installe, serviettes, notre vieux parasol et enfin, on se regarde et ensemble, avant de tergiverser plus avant, on se met nus. Évidemment comme on a passé déjà du temps au soleil, nos fesses sont pâles et ses seins aussi alors on se tartine de crème solaire. Je lui en mets sur le dos, elle aussi et je réussis à rester détendu… partout.


On regarde l’océan au loin, quelques rangées de personnes nous séparent un peu de l’eau et on se détend doucement, personne ne nous regarde particulièrement même si çà et là derrière des lunettes sombres on est un peu regardé, mais c’est discret et on se laisse tranquillement aller sous le soleil. On bouquine un peu, on prend le temps de voir les usages, les gens restent naturels, vont dans l’eau nus, des corps de tous âges et de toutes corpulences, c’est détendu, simple.



Effectivement, plusieurs personnes sont totalement imberbes, le sexe est devenu le point focal. Il est plus visible en fait, la plupart des hommes sont au repos et deux ou trois en semi-érection.



Elle a raison puisque la majorité des imberbes sont des femmes, certaines ont vraiment de grandes lèvres très visibles, mais à part une qui visiblement a envie d’être vue à s’étirer, à faire une espèce de gymnastique, toutes les autres ont le même comportement que sur toutes les plages du monde.



On va donc nager et j’avoue que c’est vraiment une sensation étonnante, grisante, d’être libre. Ce mince bout de tissu enlevé on se sent si différent, si autre, même si beaucoup est dans la tête, l’effet physique du vent, du soleil de l’eau est génial.

Quelques hommes et femmes nous ont regardés plus longtemps, mais je suis fier d’elle et me sens vraiment bien.


Cette longue baignade nous a vraiment fait du bien et je prends le temps d’observer un peu mieux maintenant. Je me suis habitué à tous ces corps nus et ne ressens pas d’excitation particulière, sauf si je regarde le corps d’Aline. Après toutes ces années, je ne m’en lasse pas. « Aïe, stop regarde ailleurs sinon ça va gonfler. » De jolies femmes sont allongées ou assises, mais il n’y a rien de malsain à les regarder, on s’y fait vraiment vite et si c’est plaisant aux yeux, des gros seins, de plus petits. En forme de poire, d’orange, de gros pamplemousses, des bouts bruns, roses, le choix est large et superbe à contempler derrière mes lunettes noires.

Je me suis un peu endormi et Aline me secoue un peu.



Je n’y prête pas plus attention et repars dans une semi-léthargie, mais elle me secoue à nouveau je ne sais combien de temps plus tard.



Bon, j’ai compris… Quand elle est ainsi, avec une idée fixe elle n’a pas de répit avant d’avoir vérifié et découvert le pourquoi du comment.



On suit donc la "piste" qui monte, serpente dans les dunes. Le paysage est un peu différent puisque quelques bouquets d’arbres rabougris parsèment les dunes. Un couple revient d’un de ces bouquets au loin et nous sourit bizarrement quand ils passent à côté de nous. Un soupçon se fait jour et quand nous passons le bouquet végétal, il se trouve confirmé. Un couple est en train de copuler, allongé sur une grande natte de plage, deux hommes et un autre couple les regardent faire, debout à quelques mètres.



Les deux hommes se masturbent en fixant le couple. La femme est prise en levrette et son compagnon la pénètre avec des coups de reins lents, mais puissants à en juger par son expression ravie. Le couple voyeur se tient serré, l’homme est aussi en érection et la femme masturbe lentement l’homme.


Aline ne dit rien, mais me regarde avec des yeux brillants et je comprends qu’elle attend mon accord. C’est différent d’un film à l’écran, c’est du vécu, du réel et ça se passe juste devant nous. Comme je ne bouge pas et la serre en l’entourant de mes bras, elle tourne juste la tête et, les yeux brillants de plaisir passe rapidement sa langue sur ma bouche avant de retourner la tête vers le couple pour mater.


Je me cale derrière Aline, et, la tête sur son épaule je regarde avec elle ce joli duo.


Le couple a la trentaine, la femme (je me focalise plutôt sur elle évidemment) est toute bronzée, des seins lourds qui ballottent à chaque coup de reins de son compagnon. Des cheveux noirs courts encadrent son visage un peu rouge et en sueur, échauffée par l’acte. Elle a un corps attrayant et je comprends qu’on soit excité. L’homme est à genoux derrière elle et œuvre avec la régularité d’un métronome, il semble tout à fait à l’aise, détendu, le visage souriant. Lui et elle regardent les deux hommes se caresser devant eux ; ceux-ci ont la vingtaine, sont athlétiques et beaux gosses.

L’autre couple est debout comme nous. Simplement c’est la femme qui est derrière et qui caresse son homme, ces deux-là ont une bonne cinquantaine et doivent passer leur temps au soleil vu leur bronzage intégral.


À force d’observer cela, mon sexe a grossi et je l’ai calé entre les deux globes de chair ferme des fesses d’Aline. Mes mains ont empoigné ses seins et je les caresse doucement. Ses mains sont posées sur les miennes et elle me donne une espèce de rythme très lent.


Les deux jeunes hommes se caressent désormais l’un l’autre et je comprends qu’ils sont gays ou plutôt bisexuels puisqu’ils apprécient visiblement le spectacle.

Je sens Aline frémir en voyant les deux gars se masturber réciproquement, surtout qu’ils sont ma foi, assez bien montés.


Il me semble que le couple a accéléré ses mouvements ; lesquels sont moins cadencés. L’homme lève une main, qu’il avait jusqu’à présent comme l’autre sur les hanches de sa compagne ; et fait signe aux deux jeunes de se rapprocher. Ils sont visiblement bisexuels, car ils obéissent immédiatement comme s’ils n’attendaient que cela. La scène est très excitante, mais le climat est détendu, rien ne semble forcé, tout se passe simplement, tranquillement…

L’homme y va désormais plus fort et les seins de la femme bougent sur le même rythme, ses deux bras en appui sur le sol, frémissent un peu et elle se redresse en arrière, son empaleur s’asseyant presque derrière elle.


Les sexes des deux hommes sont désormais juste devant son visage et on entend l’homme dire en allemand qu’il est excité et qu’il la sent venir. La femme qui se malaxe les seins avec frénésie, crie qu’elle veut leur sperme. Tout comme nous, l’autre couple s’est rapproché et la femme masturbe rapidement son compagnon.

Je continue à me frotter derrière Aline que je sens toute chaude.


Soudain dans un grand feulement, les deux jeunes éjaculent de concert sur la femme. La jouissance du premier atteint le visage de celle-ci et des zébrures blanches s’étalent sur son nez et ses joues. L’autre a principalement joui sur sa poitrine et les seins plantureux et tendus, trempés de semence.

Le couple semble au bord de la jouissance et les deux crient encore dans leur langue.


Nos voisins mateurs se rapprochent et la femme se colle contre son compagnon pendant que celui-ci se branle comme un fou devant le visage de l’Allemande coquine ; encouragé par des paroles incompréhensibles de sa compagne, il finit par jouir à plusieurs reprises sur le visage offert et qui semble proche de l’extase. De lourdes gouttes de foutre maculent rapidement le visage de la demanderesse qui se lèche les lèvres, le foutre coule vers ses seins, des seins tendus avec des tétons complètement érigés.

Je n’ai pas le temps de me poser de questions, car Aline me pousse en avant et, se lâchant me branle juste devant la bouche de l’Allemande.



Jamais Aline n’a été aussi crue dans son langage. Elle n’arrête pas de dire, de répéter comme un mantra sexuel : « Donne-lui ton foutre, donne-lui ton foutre… »


Ses paroles, son branle rapide, le couple qui explose et me regarde me font jouir. Une jouissance venue du plus profond de moi qui me fait lâcher de gros jets de sperme. Aline, au comble de l’excitation crie toujours « Gicle, gicle, donne tout ! » et dirige ma queue sur le visage de la femme, comme si elle dirigeait le jet.


J’ai l’impression de me vider encore et encore, je n’avais jamais encore pratiqué l’éjaculation faciale, mais pour une première fois, c’est énorme. Je gicle comme elle dit, ou plutôt crie à plusieurs reprises, et ma semence et celle des autres couvre désormais le visage de la femme. C’est obscène et hyper excitant, et cette vision, je sais déjà qu’elle ne me quittera plus. La femme est complètement partie et s’écroule au sol où son compagnon la rejoint, les deux se léchant mutuellement, partis dans leur monde où nous n’avons finalement été que des accessoires.


Quand je reviens un peu au réel, les bisexuels sont déjà partis, l’autre couple reprend aussi son souffle, nous échangeons un sourire puis nous nous éloignons ensuite chacun de notre côté. Je marche doucement, étourdi par la jouissance et les ondes sexuelles émises par Aline.



Elle n’a plus de freins dans son verbiage et j’avoue que le contraste entre son air de sportive angélique et son discours dans l’amour me plaît. J’ai toujours été très sensible aux mots et là, je suis gâté. Elle continue son discours :



On arrive de nouveau en bord de plage et on se désaltère longuement. Puis, on se jette ensuite dans l’eau, se poursuivant en nageant. Il ne doit être pas loin de la pause de midi, et il n’y a quasiment plus de promeneurs qui passent sur la plage. Je la rattrape sans difficulté, car chasser quelqu’un qui veut être attrapé est facile et on s’embrasse à perdre haleine.



Je me cale à nouveau derrière elle, une jambe un peu entre les siennes, car pour l’instant, avec la jouissance que je viens d’avoir, je ne suis pas apte à être tendu tout de suite et pendant qu’une main caresse son sein gauche (elle caresse elle-même l’autre) je la masturbe avec ma main droite. Elle est humide et ce n’est pas de l’eau.

Il ne lui faut que quelques minutes de caresses, sans, cette fois échanger de paroles, nos souffles simplement lourds se mêlant avant qu’elle ne jouisse dans un long frémissement…

On se laisse ensuite porter par l’eau, quelques mouvements basiques suffisent pour rester à la surface, nos mains se cherchent, se touchent, on se sent libre, détendu, ivre de plaisir.


Revenus sur le sable chaud, on va se rallonger et après s’être un peu restaurés, on discute sur ce qu’il s’est passé. Aline me reparle de son plaisir, de sa jouissance physique et intellectuelle et je ne puis que surenchérir.

C’est finalement elle qui attaque le sujet en me demandant :



Un peu plus tard, alors que nous sommes tranquillement allongés, je la vois tressaillir, puis soulever ses lunettes miroirs, les remettre, comme si elle fixait un point précis. Je tourne la tête dans la direction où elle regarde, mais ne vois rien de particulier, quelques personnes sont allongées, une jeune femme est en train de s’installer, un couple se prépare à partir…



Et voilà qu’Aline se lève et se dirige vers la jeune femme désormais assise et qui fixe l’océan.

J’adore voir mon épouse bouger, elle est sexy en diable et les regards qui se posent sur elle pendant son déplacement en sont la preuve.

La jeune femme paraît fine, un peu menue, mais je ne vois que son dos…


Aline est arrivée devant elle et, debout devant elle, lui adresse la parole. J’ai le sentiment qu’elle s’est placée ainsi exprès, des idées (dont je me plains pas du tout) doivent lui traverser l’esprit après tout ce temps à se freiner.

Elles discutent un long moment, puis Aline et elle viennent vers moi.


Je profite des quelques mètres pour bien observer la jeune femme. Des cheveux bruns assez courts, un sourire un peu crispé. Un beau visage. Un peu plus petite que mon épouse, plus fine, des seins quasi similaires, mais qui paraissent plus gros en raison de sa corpulence. Des petits tétons assez pointus et puis un buisson brun, plus fourni que celui d’Aline.


Quand toutes les deux arrivent vers moi, c’est la conversation tout à fait normale d’une rencontre de vacances qui s’engage : « Je te présente mon mari » « C’est drôle que tu viennes ici », « Je le savais pas », etc.

La différence (de taille) c’est que nous sommes nus tous les trois. Je l’invite à se mettre à l’aise et cela fait rire tout le monde puisqu’il est difficile d’être plus nue. Ma vague plaisanterie ayant atteint son but (elle qui devait penser être tranquille loin du bureau se retrouver nue là avec nous).


Élodie s’assied donc près de nous et la discussion reprend un peu. Elle est arrivée ce matin, vient pour la première fois sur l’île, mais pas la première fois aux Canaries. Nous parlons des autres îles de l’archipel et échangeons alors des considérations sur tel ou tel endroit. Enfin, apprenant qu’elle se trouve dans le même hôtel que nous, on se met à rire et à divaguer sur le hasard, les coïncidences, le destin. Elle avoue finalement qu’elle devait venir avec une autre personne, mais que l’histoire a pris fin peu avant le départ (le fait d’être nus rend peut-être plus loquace ?) Elles discutent alors de la difficulté des relations humaines et, me retirant un peu de la discussion, j’en profite pour mieux mater (je ne suis qu’un mâle lambda après tout !) à l’abri de mes lunettes noires.


Élodie est vraiment attirante, apparemment elle fait beaucoup de footing et cela se voit. Des jambes fines et musclées, un ventre plat, un corps fin et sexy. Ses aréoles sont petites et ses tétons m’évoquent des petites fraises des bois ; son triangle sombre laisse voir, du fait de sa position l’amorce de sa fente et on a envie de saisir ses hanches fines pour la pilo… « Stop Axel, concentre-toi, sinon tu vas devoir te remettre sur le ventre et tout le monde comprendra pourquoi. » Je fais comme avant et fixe un pachyderme échoué pour souffler mentalement et stopper tout. Puis, je réalise soudain, que les deux jeunes femmes arborent elles aussi des lunettes noires et que cela se voit moins chez elles pendant qu’elles matent. Encore que je trouve que les tétons d’Aline n’ont pas tout à fait leur taille normale…



J’emporte notre frisbee et on se retrouve tous les trois dans l’océan en train de se lancer l’engin tout en continuant à discuter.



Nous jouons encore un peu, et la vue de ces corps splendides, de ces seins qui tressautent, l’idée des idées possibles d’Aline font que je ne puis retenir mon érection. Aline qui essaye de me prendre le frisbee le voit en se rapprochant et en profite pour me frôler de sa main à quelques reprises. Je ne sais si elle le fait exprès, mais elle propose ensuite de sortir et comme j’indique avoir envie de rester encore dans l’eau elle me lance dans un rire :



Comme Élodie sourit aussi et semble bien plus à l’aise, j’ose répondre :



Les deux jeunes femmes sortent en riant et je suis obligé de rester un long, long moment dans l’eau avant de pouvoir ressortir.


Je les retrouve allongées l’une près de l’autre puisqu’Élodie a ramené ses affaires et la discussion reprend tranquillement. Est-ce l’atmosphère, la situation ? En tout cas, on se sent à l’aise, comme si on se connaissait depuis longtemps. Comme on avait prévu de louer une voiture et de découvrir d’autres sites le lendemain on l’invite à se joindre à nous ce qu’elle accepte avec plaisir.


On alterne entre discussions et jeux dans l’eau et je me sens fier d’être en compagnie de si belles naïades. Plus tard, une fois rhabillés on reprend le chemin de notre hôtel.

On mange à la même table se découvrant encore des centres d’intérêt commun. Plus tard on papote dans le petit jardin exotique. Je serre Aline dans mes bras d’une façon nonchalante puis, profitant de la musique, emmène danser Aline. Elle se colle à moi et m’indique qu’elle se sent toute chaude, pleine d’envie.



Puis, pensant à autre chose :



Aline se presse encore contre moi puis rajoute plus sérieuse :



Et je rajoute :



Elle m’embrasse en me mordillant la langue comme pour sceller un accord.

On est revenu de notre slow et Aline, déclare alors :



Celle-ci hésite un peu, mais Aline sait se faire entendre et j’entame donc un slow avec Élodie.



On s’est progressivement un peu plus serré et je sens son corps chaud contre moi, c’est agréable et je dois retenir un début d’érection.

La musique se termine et, vu l’heure on regagne nos chambres respectives, dans l’ascenseur on se fait la bise et Aline n’attend pas que les portes se referment sur elle pour m’embrasser voluptueusement. On oscille jusqu’à la porte de notre chambre et c’est très emmêlé qu’on entre et qu’après avoir refermé d’un coup de pied, on se jette sur le lit.


On est sauvages, impatients, et nos vêtements sont plutôt arrachés qu’enlevés lentement. Nos mains se caressent, se touchent, nos peaux fusionnent, c’est un peu violent, mais si excitant.

Je me couche sur le dos, la regarde empoigner mon sexe tendu comme un arc et s’empaler dessus rapidement avec un bref cri de satisfaction.

Elle a pris ses aises et monte et descend rapidement sur ma verge, je la tiens aux hanches et l’aide dans ses mouvements pour bien finir avec un coup de reins puissant. Je regarde ses seins qui bougent librement, les pointes érigées, par le désir, elle se les caresse, les triture fortement, c’est super érotique et nos corps s’accordent merveilleusement dans nos gestes.


Elle se lèche et salive sur les pointes des seins pour mieux se caresser. Comme elle se frotte d’avant en arrière le bouton sur mon pubis on ne pourrait pas y glisser un doigt !

Elle est de toute façon hyper excitée et n’arrête pas de répéter son désir : « C’est bon… J’adore… Plus fort… Oooh tu me fais du biiiieeen… Vas-y, vas-y. », toutes ces expressions du plaisir qui déclenchent des feux d artifice dans ma tête… Surtout vu la façon dont elle les prononce !


Ivre de plaisir, sa voix tremble et monte dans les aigus. Elle dégouline sur ma toison, je suis aspiré dans un volcan chaud et doux, brûlant et humide, serré et glissant… Je la vois enfin, se tordre, son vagin se serre sur ma queue ; elle pousse un cri bref qui s’achève dans un long soupir de plaisir qui se prolonge délicieusement longtemps.

Elle se dégage ensuite doucement de moi pour s’affaler contre moi tout en disant :



On respire tranquillement allongé l’un contre l’autre, puis elle reprend un rythme de respiration plus tranquille. Avise ma queue toujours tendue et me dit, dévoilant ainsi qu’elle a décodé mon envie :



Je me mets à califourchon, le sexe devant sa poitrine et dis :



Elle se redresse un peu, me regarde dans les yeux puis crache sur ses seins avant d’étaler la salive avec sa langue et ses doigts ; un fil de salive relie son sein gauche et sa bouche et elle le laisse pendre avec un sourire coquin.

Je glisse ma queue entre sa poitrine qu’elle presse et elle reprend :



Elle s’exécute et ma queue se redresse de plus belle.



Ses yeux brillent de plus en plus…



Puis me regardant d’un air quand même un peu crispé :



Et je remonte tout doucement ma queue vers sa bouche.



Je me redresse, positionne ma queue juste devant son visage excité et me branle rapidement devant elle. Ses mains sont calées sur mon dos, comme si elle avait peur que je m’échappe et elle part dans un délire verbal dans lequel je la rejoins.



Sa bouche à moitié ouverte, elle pointe la langue et m’effleure à peine le bout du gland ce qui suffit à déclencher mon éjaculation. Je jouis, plusieurs jets puissants se succèdent, le premier aboutit dans sa bouche et les suivants maculent ses joues, son front, perlant ses cheveux, car je tressaute et suis tendu à mort.

Elle avale ce qu’elle peut, utilise ses doigts pour guider le reste dans sa bouche et ne cesse de me regarder avec des yeux brillants, comme en transe. Elle est belle, excitante, je l’aime.


Puis, sa soif un peu comblée, des gouttes de sperme sur son front, ses cheveux, sa joue, des gouttes de sueur s’y mêlant, elle me dit :