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n° 17155Fiche technique16074 caractères16074
Temps de lecture estimé : 9 mn
01/12/15
Résumé:  Nous avançons dans nos envies.
Critères:  fh couple exhib photofilm fellation cunnilingu fdanus -exhib -lieuloisi
Auteur : Caribonex      Envoi mini-message

Série : Vacances à la Grande-Canarie

Chapitre 04 / 07
Sorties photos

Résumé de l’épisode précédent :

Mon épouse Aline et moi Axel, partons en vacances à la Grande Canarie, pour nos dix ans de mariage. Un vol mouvementé nous permet de nous retrouver, elle se lâche de plus en plus et nous avons rencontré une timide collègue à elle.



Le cinquième jour commence…


Les jets puissants de la douche commencent enfin à faire leur office et je reprends doucement figure humaine. J’ai dû rester un long moment sous l’eau car la nuit a été intense et j’ai pour la première fois l’impression d’être vraiment "vidé".

Tout en me savonnant, je repense à ce voyage qui, par son intensité dramatique a enfin ressoudé notre couple miné par les soupçons d’Aline et son immersion complète dans son travail et sa carrière. Le chemin parcouru en quelques jours, la découverte d’actes sexuels que j’avais même renoncé à avoir en rêve avec elle… Si je suis physiquement un peu fatigué, mon esprit est complètement ragaillardi et je me sens vraiment vivant.


Une fois habillés tous les deux, on descend prendre le petit déjeuner et on retrouve Élodie qui a les traits un peu fatigués. Bises, saluts…



Nous sommes équipés et après avoir récupéré la voiture de location, nous nous engageons sur les routes tortueuses (très très) qui montent, montent…

Je suis très concentré sur ma conduite et c’est à peine si j’entends qu’elles papotent du bureau puis de l’histoire d’amour qui s’est mal finie d’Élodie.

Finalement nous arrivons au premier village et entamons notre visite sous un soleil radieux comme souvent aux Canaries.


La matinée se passe fort agréablement, les sites sont somptueux et l’alternance entre paysages, architecture ancienne, forêt ombragée… fait qu’on ne se lasse pas. La température clémente nous a permis de nous passer des pulls et pantalons longs.

Pour la pause, nous aboutissons finalement dans le parc naturel et trouvons un bel endroit à l’écart pour y pique-niquer. Il est près de 14 heures et après un repas partagé avec de multiples anecdotes, on se met à l’aise pour se détendre. Deux nattes nous isolent du sol et on s’étend tranquillement.



On est d’accord (après tout on s’est déjà vus nus) et on quitte nos shorts et t-shirts. Je suis en boxer simple et Aline arbore un bel ensemble vert pâle qui met en valeur sa peau désormais bien hâlée et son corps de nageuse, cela lui va à ravir et je le lui dis sans détour.

Élodie nous laisse voir un ensemble blanc très fin, culotte tanga montant haut sur ses fesses de coureuse, soutien-gorge mettant en valeur ses seins. Le tout est agrémenté de dentelles qui laissent voir l’ombre de ses aréoles et la rendent très sexy.



On n’insiste pas, mais Aline me fait un grand sourire quand on s’allonge pour se détendre. C’est agréable, bucolique, le vent fait une musique dans les arbres ; j’ai la vision de leurs jolis ensembles en tête et on finit par s’endormir. Ce sont de petits rires qui me réveillent et, en ouvrant les yeux, je vois les deux jeunes femmes pouffer et m’aperçois en baissant les yeux que je tiens de nouveau une érection imposante qui déforme de façon imposante mon boxer. Je n’ai que deux attitudes possibles : soit je rougis comme un collégien et je suis gêné, soit je fais comme lors de nos jeux aquatiques et j’utilise l’humour.



Elles rient à nouveau et Aline rajoute :



Et, se tournant vers Élodie :



Je sens que beaucoup de choses se jouent à cet instant. Soit elle cesse de rire et s’offusque devant une allusion si claire, soit elle acquiesce.



Elle s’arrête et rougit un peu.



Comme Élodie se joint à elle, je comprends que les deux ont dû pas mal discuter pour aborder ce genre de sujet avec humour.

Je rajoute mon grain de sel et plaisante sur le fait de tout visiter en-dessous afin que je ne sois pas le seul à être perturbé. Élodie déclare alors et je sens là qu’elle a été atteinte par sa rupture :



J’attrape mon numérique et je leur dis de mettre leurs chapeaux devant leurs visages (cela détendra notre amie), puis de poser l’une à côté de l’autre, ce qu’elles font rapidement.

Je prends la photo et leur présente le résultat en disant :



Aline renchérit et Élodie rosit de plaisir et dit :



Les deux prennent des poses amusantes, le chapeau toujours devant la tête, puis Aline, sous prétexte de déconnade, fait semblant d’embrasser Élodie, leurs visages cachés par les chapeaux, et je prends photo sur photo dans de grands éclats de rire.



La vision de leurs beaux seins libres de tout tissu est un plaisir pour les yeux. Je suis concentré sur mon appareil, mais des frissons me parcourent le corps. Elles sont somptueuses et leur potentiel érotique est au plus haut. Surtout que bientôt, les chapeaux valsent et qu’elles continuent à faire les pitres avant de prendre des poses serrées l’une contre l’autre, je vois leurs poitrines se toucher par moment et si c’est fugitif, mes neurones en prennent quand même chaque fois une décharge ! Pour rire, elles s’échangent enfin une bise rapide.


Cela a duré deux secondes, mais je suis sûr d’avoir vu jaillir la langue de ma femme et effleurer les lèvres d’Élodie qui ne doit être sûre de rien devant l’attitude innocente d’Aline.

Qui sait jusqu’où irait la séance si un bruit de discussion ne nous alertait de l’arrivée de randonneurs. On passe tous notre haut et le groupe nous trouve assis en train de discuter.

Le charme et la magie de l’instant passent mais je note quand même que, outre les gouttes de sueur sur leurs fronts, les seins des deux modèles pointent sous le fin tissu de coton…


On repart et le reste de la journée se passe à admirer d’autres panoramas, à prendre des photos (bien plus sages) et à faire fonctionner le commerce local avant de rentrer à l’hôtel juste à temps pour le repas du soir.

Celui-ci se déroule dans une ambiance toujours plus détendue. On décide d’aller admirer les dunes sous le clair de lune et, une fois sur place, on marche un peu pour se mettre vraiment à l’écart. Les lumières du phare et de la cité au loin, les étoiles, le bruit lointain du ressac, tout cela crée une ambiance magique et on reste assis à discuter. Et savourer l’instant.


Je serre Aline dans mes bras, sentant sa chaleur et Élodie est tout contre nous ; elle se redresse soudain et dit :



On lui donne satisfaction et les images sont magnifiques, son appareil étant de qualité et la lune pleine et claire.

On s’embrasse, on prend la pose et elle tourne comme une artiste autour de nous. La situation, les baisers d’Aline et ses léchouilles dans mon cou, font leur effet et mon short se déforme rapidement sous l’effet de mon sexe tendu.



Tiens c’est la première fois que j’entends parler d’un tel album !



On enlève notre haut et j’embrasse le sillon profond de la poitrine d’Aline, y pointant ma langue pour y dessiner de sensuelles arabesques. Aline met la tête en arrière et savoure. Élodie tourne autour de nous, prend des clichés de près, de loin, je ne sais plus, je suis concentré sur ma femme que je sens tout aussi excitée que moi.

Je lui dégrafe son charmant soutien-gorge et je câline ses seins avec mes mains puis ma bouche. Ses tétons sont durs comme de la pierre et une douce odeur commence à me chatouiller les narines, mon odorat étant très sensible à son odeur intime.

On pose l’un en face de l’autre puis l’un derrière l’autre avec mes mains en coupe sur ses seins puis avec ses mains dans mon short, puis de nouveau de face.



On se regarde Aline et moi et d’un commun accord on enlève nos bas de vêtements avant de se serrer de nouveau. Je suis totalement en érection et j’entends le soupir de notre photographe qui continue à mitrailler. Aline et moi nous regardons dans les yeux, comprenant instinctivement que pour ce soir, l’appareil lui est nécessaire, dernier rempart face à ses désirs non exprimés.


Je me mets à genoux et lèche l’intimité veloutée et humide d’Aline qui se presse les seins en offrande à la lune. Elle nous évoque une prêtresse païenne rendant un culte à quelque mystérieuse divinité nocturne. Sa mouille coule sur ma langue qui alterne entre succions de ses lèvres, aspiration de son clitoris et petits coups sur le haut de ses cuisses et les côtés de son pubis.

Elle a posé ses mains sur mes cheveux et presse ma tête contre sa chatte que je savoure amoureusement.

Je sens la présence d’Élodie toute proche ; le bruit du déclencheur dans mes oreilles, sens son mouvement juste à côté de moi, ses petites phrases :



Cela fait pendant aux petits bruits de plaisir qu’émet ma femme. Je lèche, je lape, je déguste, l’odeur est entêtante, lourde, capiteuse…

Je la sens au bord du plaisir et je continue mon œuvre si plaisante, mais elle me repousse et stoppe en disant :



Je me redresse donc et c’est elle qui se positionne à genoux devant moi. Elle me lèche d’abord comme une glace, la pointe de sa langue courant sur toute la longueur de ma tige ; permettant à notre observatrice (qui respire toujours plus fort et photographie moins, de ce que j’entends) et placée de côté pour bien voir toute la longueur de mon sexe. C’est délicieux, excitant, et la présence proche donne du relief supplémentaire à ce que nous vivons. Élodie peut voir en direct la façon qu’a mon épouse de me lécher puis de… mmm m’avaler en gorge profonde. Aline reste quelques secondes le nez dans ma toison puis reprend son souffle. Je baisse les yeux sur son sourire vicieux, sa moue satisfaite de maîtresse du jeu. Les doigts de sa main jouent avec son clitoris et de l’autre elle me malaxe délicatement les testicules. C’est terriblement bon et je me sens moi aussi monter.

Elle refait encore quelques allers-retours sur ma bite en m’avalant entièrement et c’est alors à mon tour de la faire se relever. On se serre l’un contre l’autre et on s’embrasse en sortant bien nos langues pour notre voyeuse photographe, échangeant nos senteurs intimes si affolantes…



Je m’assieds sur mon t-shirt et Aline vient s’asseoir à califourchon sur moi, glissant doucement sur mon sexe afin que notre amie puisse saisir chaque seconde de la pénétration. Je sens son souffle lourd tout près de nous. Aline monte et descend doucement sur mon sexe, tout en regardant l’objectif et s’adresse à elle.



Je renchéris :



Élodie n’arrive plus à mitrailler autant, de plus en plus captivée, tendue, oui excitée…

Je caresse les fesses d’Aline et d’un index fureteur lui effleure son anus, elle apprécie en ronronnant et ayant enduit mon index de ses sécrétions, je le fais pénétrer dans son orifice le plus secret.



Aline se caresse les seins, m’embrasse, nos langues se mélangent, jouent un ballet endiablé et excitant. Je caresse ses fesses, je la sens se tendre, ma queue grossit, grossit…

Un second doigt entre dans ses fesses et c’est le déclencheur de son plaisir. Elle jouit dans un long cri inarticulé et je la rejoins aussitôt dans l’orgasme, ma semence venant jaillir en elle.


On reste un long moment serrés l’un contre l’autre afin de reprendre notre respiration. Élodie est assise à côté de nous, le regard brillant, son appareil est encore devant elle comme un rempart dérisoire face à nous.

Finalement Aline la fixe, lèche son index, descend vers sa chatte encore brûlante, l’y plonge, le retire luisant de ses sécrétions et avec deux gouttes blanches de sperme, le tend vers la bouche d’Élodie en lui disant :



Élodie nous fixe quelques secondes, la tension est à son comble et, enfin, vaincue, comprenant confusément qu’elle n’a en fait rien dirigé, ouvre la bouche pour y recevoir entièrement le doigt d’Aline et nos offrandes.