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n° 17158Fiche technique19989 caractères19989
Temps de lecture estimé : 12 mn
02/12/15
Résumé:  Rose a trompé Jean pendant les vacances. Jean veut profiter de son avantage pour réaliser un vieux fantasme.
Critères:  fh extracon cocus inconnu boitenuit danser voir nudisme intermast fellation -extraconj -boitenuit
Auteur : Jeanpas      Envoi mini-message
Hésitations

Suite du texte n°16297 « De l’importance des vipères », où Rose se surprenait déjà…



Rose et Jean étaient rentrés de vacances depuis quelque temps. Le fait d’avoir été trompé par Rose au début de leur séjour travaillait toujours Jean, ils en avaient beaucoup parlé depuis leur retour, mais Jean se sentait en position de force pour lui demander des choses qu’il n’aurait jamais osé évoquer autrement.



Rose s’est laissé faire et le samedi suivant, ils sont allés tous les deux dans un club que Jean avait repéré sur un site spécialisé.




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L’été n’était pas fini, il faisait encore assez chaud et Rose s’était habillée avec une petite robe assez légère, tandis que Jean portait un pantalon de toile et une chemisette aux couleurs joyeuses. Ils arrivèrent au club vers minuit, c’était encore un peu calme puisque les vacances scolaires n’étaient pas terminées et ils s’installèrent au bar pour prendre un verre en regardant autour d’eux. Ils furent bientôt rejoints par un homme d’une quarantaine d’années, très cordial, qui se présenta comme le patron de l’endroit. Il se nommait Marco, c’était un colosse barbu et au crâne rasé. Il savait mettre à l’aise ses interlocuteurs.



Marco se tourna vers Rose :



Rose se tourna vers son mari. Elle se sentait mal à l’aise. Elle en voulait à son homme de lui imposer cette situation. En fait, elle n’avait qu’une envie, c’était de rentrer chez elle. Le sourire que Jean lui adressa la fit fondre et elle accepta de suivre Marco. Ils firent le tour de la boîte de nuit, les deux salles de danse, les zones plus calmes, s’arrêtèrent à la limite de la partie détente ou il aurait fallu se déshabiller. Enfin, ils suivirent un couloir dans lequel des gens se promenaient, s’arrêtant pour regarder par les vitres des coins câlins quand les rideaux restaient ouverts.


Rose commençait à se détendre. Plus elle avançait, plus elle prenait conscience que tant qu’elle restait proche de Jean, personne ne semblait faire attention à elle. Elle vit des couples, des trios et même des groupes, certains faisant l’amour, d’autres discutant et se reposant. Ils semblaient épanouis et heureux d’être là.


Dans une alcôve plus éloignée, une image happa le regard de Rose. Il y avait là un couple qui faisait l’amour avec une tendresse étonnante dans cet environnement. La femme chevauchait son partenaire en lui tournant le dos. Un rayon de lumière colorée lui effleurait les cheveux. Elle tourna la tête et son profil parut auréolé d’une clarté diffuse. Elle était belle. Son corps semblait pulser sous les vagues de plaisir qui la traversaient, on aurait dit qu’elle était en transe. Rose avait l’air hypnotisée et la dévorait des yeux par la porte entre-ouverte. Son regard ne quittait plus la jeune femme blonde dont le corps se mouvait régulièrement, écartelée par le sexe de son compagnon que l’on voyait aller et venir dans son intimité.


Rose sentit une bouffée de chaleur l’envahir devant le spectacle offert et se sentit heureuse de sentir son mari se glisser contre son dos. Sa chaleur d’homme, sa poitrine, ses mains et la bosse de son sexe aussi, à travers son pantalon, participaient à la montée de sensations qui se superposaient à la progression du plaisir de la jeune femme de l’alcôve.


Des mains allaient et venaient de sa poitrine à ses cuisses et leurs caresses entraient en résonnance avec la tension du couple qui faisait l’amour. Le regard de Rose était scotché à la femme blonde, dans le carré câlin, qui gémissait maintenant continuellement. Les mains passèrent sur son ventre et ses seins. Rose frémit sous les caresses, mais ne quitta pas la femme de l’alcôve du regard. Enfin, elle sentit sa robe remonter et les mains atteindre la fourche de ses cuisses. Rose glissa sa main entre leurs deux corps sur le pantalon de toile. Elle sentit les doigts se glisser dans son string, atteindre son sexe, frotter sa vulve et son clitoris et même glisser légèrement dans son vagin. Elle était trempée d’excitation.


Entre l’alcool bu avant de venir, le spectacle incroyablement érotique de ce couple dans le coin câlin et les caresses qu’elle subissait, toutes ses défenses s’écroulaient. Elle baissa la fermeture éclair du pantalon et ses mains écartèrent le slip pour caresser un membre dur comme du bois.


La femme, dans le coin câlin, s’allongea enfin près de l’homme qui l’avait tant fait jouir et ses yeux se fixèrent dans ceux de Rose. L’intensité du regard entre les deux femmes tétanisait Rose qu’affolaient en même temps les mains dans sa culotte et le sexe qu’elle caressait dans son dos.


Son compagnon se baissa un peu pour que son sexe soit à la hauteur de celui de Rose, il tira le string sur le côté et se positionna pour la prendre en levrette. Rose passa sa main entre ses cuisses et se caressa avec la queue comme elle aimait le faire. Sa main la guida enfin dans son sexe. Elle recula et se pencha légèrement pour mieux se faire pénétrer. La femme dans l’alcôve s’était levée et s’approchait du couple maintenant appuyé au chambranle de la porte. Leurs regards ne s’étaient pas quittés. Le rythme de la pénétration s’accéléra et Rose se sentit partir dans un spasme de jouissance qui lui coupa les jambes. Elle ferma les yeux. La femme de l’alcôve s’approcha et vint caresser le visage de Rose sublimé par la jouissance et l’embrassa avec une tendresse d’amante.


Rose était maintenant appuyée des deux mains sur le montant de la porte du coin câlin, les jambes légèrement écartées, pilonnée avec force et la femme l’embrassait sur le seuil. Rose avait toujours les yeux fermés, elle jouissait presque continuellement au rythme des coups de boutoir de son compagnon. Enfin, il la rejoignit dans la jouissance et jaillit en elle avec une force qui la subjugua.


Elle rouvrit les yeux et son regard fit enfin le tour du couloir pour se rendre compte du nombre de témoins de son lâcher-prise. Elle vit alors son mari qui la regardait, les yeux écarquillés. Elle se retourna brusquement, s’arrachant au sexe encore enfoncé en elle, pour regarder celui qui lui avait donné tellement de plaisir. L’homme, qui ne comprenait pas pourquoi elle semblait si surprise, la remercia cordialement de ce moment de bonheur et l’invita à boire quelque chose avec lui au bar. La femme du coin câlin lui proposa de rester avec elle et son amant, peut-être pour jouer encore avec eux. Rose refusa tout en balbutiant, se rajusta et se tourna vers son mari en essayant de comprendre pourquoi il n’était pas intervenu. Elle marcha vers lui pour l’enlacer et l’embrasser avec tout l’amour qu’elle avait pour lui.



De retour au bar, ils retrouvent Marco en grande conversation avec un autre couple. Marco les présente, lui se nomme Alain, elle s’appelle Marie, puis les interroge sur la manière dont s’est finie leur expérience avec l’homme du couloir, il ne pensait vraiment pas que Rose allait se laisser aller, mais elle lui semblait prendre tellement de plaisir et Jean ne voulait manifestement pas intervenir. Rose lui expliqua sa méprise, qu’elle était convaincue que c’était son mari et qu’elle ne s’était rendu compte de son erreur qu’après que tout soit fini.



Marie intervient :



Rose est embêtée.



Finalement, ils se sont assis ensemble à une table et ont passé un bon moment à discuter de leurs vies respectives. Rose trouvait Alain et Marie vraiment agréables. Quand la musique se ralentit un peu et qu’on entendit des slows, Alain invita Rose à danser pendant que Jean faisait de même avec Marie. Après quelques morceaux de musique bien choisis, Rose était tout alanguie dans les bras d’Alain et se laissait doucement caresser le dos, un peu les fesses, tout en étant serrée contre son partenaire au point de se rendre compte qu’elle ne le laissait pas indifférent. Jean et Marie dansaient non loin de là, se parlaient par moment, se serraient et finalement s’embrassèrent doucement.


Lorsque la musique reprit un rythme plus rapide, ils retournèrent s’asseoir tous les quatre, mais les couples s’étaient modifiés. Marie se serrait contre Jean, et Rose avait la tête posée sur la poitrine d’Alain. Alain regarda Jean, puis Rose et leur demanda s’ils avaient envie d’aller dans un coin câlin. Rose ne savait pas quoi répondre. Alain lui plaisait, mais faire l’amour avec lui, comme ça, elle ne sentait pas ça possible.



Alain voyait bien les réticences de Rose. Il proposa de passer par le jacuzzi et peut-être ensuite d’aller au hammam, après, on verrait bien. Rose accepta. Le petit groupe passa par les vestiaires, les douches et se retrouva dans le jacuzzi en compagnie d’une demi-douzaine d’autres personnes. Rose ne savait pas trop comment se comporter, elle était nue devant des inconnus pour la première fois de sa vie. Plusieurs hommes les avaient regardées avec attention, elle et Marie à leur arrivée. Nue, Rose n’osait plus s’approcher de trop près d’Alain, elle restait collée à son homme et c’est à peine si elle levait les yeux sur les autres participants.


Jean faisait son possible pour la rassurer, la gardait contre lui et lui caressait doucement les jambes. Marie, elle, s’était installée entre son mari et Jean et semblait partie en exploration autour du bas ventre de son homme. Il y avait dans le bassin deux autres femmes et quatre hommes. Une sorte de subtile reptation des hommes se produisait vers les femmes, après quelques minutes, les deux autres femmes installées en face, semblaient les proies d’un nombre de mains bien supérieur à la normale. Rose sentait la main de Jean sur ses cuisses, mais fut surprise de se rendre compte que l’homme à sa gauche s’était considérablement rapproché et tentait un discret contact le long de sa fesse. Elle le fit remarquer à Jean qui se contenta d’un sourire en coin. Elle se tourna vers l’homme et lui fit comprendre qu’elle ne voulait pas aller plus loin. Il n’insista pas, mais laissa sa main au contact de Rose. Rose demanda à Jean de changer de place avec elle et se retrouva entre son époux et Marie. Celle-ci semblait aux anges, les mains d’Alain plongées au plus profond de son entrecuisse, elle se laissait caresser en gémissant doucement, tout en faisant aller et venir sa main sur le sexe de son homme.


La main de Jean s’insinua à son tour entre les jambes de Rose, qu’il força un peu à s’écarter pour atteindre le cœur de son plaisir. Rose ne trouvait pas ça spécialement agréable, elle se trouvait trop exposée malgré les bouillons d’eau qui l’éclaboussaient. Des sentiments mêlés de gêne et de honte, malgré l’excitation du moment, l’empêchaient de se laisser aller en public.


Tout d’un coup, Marie se laissa glisser dans l’eau, tomba au milieu de bassin puis réapparut entre les jambes d’Alain. Elle prit bien vite son sexe dressé dans sa bouche et débuta une fellation langoureuse. Rose se collait à Jean en profitant de ses doigts dans son vagin. Elle commençait à se détendre. La main de Jean provoquait des éclairs de plaisir qui la collaient au bord du bassin. La vue de la bouche de Marie, montant et descendant sur la tige dressée d’Alain, lui donnait des envies qu’elle avait de plus en plus de mal à réprimer.


Rose se rendit vite compte que personne ne faisait attention à elle, les deux femmes installées de l’autre côté du bassin étaient prises à partie par trois des hommes qui avaient insinué leurs mains et même leurs langues dans tous les coins de leur corps. Le plaisir qu’elles prenaient à ces attentions était plus qu’évident. Le quatrième homme, celui qui était près de Jean, semblait se contenter de regarder le groupe en question, mais sa main posée sur son sexe bougeait avec régularité.


La vision de la fellation que Marie faisait à son homme, cette bouche qui s’empalait sur cette barre de chair si dure et si douce en même temps hypnotisait Rose. Marie s’en rendit compte et, l’œil coquin, lui proposa de partager. Rose ne savait plus où se mettre, la queue tendue d’Alain l’attirait comme un aimant, mais elle craignait de décevoir Jean en ne s’occupant pas de lui. Jean bandait tellement fort que son membre dépassait de l’eau. Il regardait l’autre côté du jacuzzi où la situation se simplifiait : les deux femmes sortaient de l’eau et emmenaient les quatre hommes dans un lieu plus discret.


Finalement, Rose se blottit contre son mari, caressa son sexe quelques minutes puis lui demanda de s’en aller. Elle ne se sentait pas bien dans cette situation, Alain était gentil, lui plaisait sûrement, mais elle ne pouvait pas tromper son époux comme ça, cela ne lui paraissait pas possible. Jean et Rose expliquèrent tout à leurs nouveaux amis, échangèrent leurs numéros de portables et se promirent de se revoir bientôt. Ensuite, ils quittèrent le club pour rentrer chez eux.