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Temps de lecture estimé : 15 mn
07/12/15
Résumé:  L'attente, la tension monte entre nous trois.
Critères:  ff ffh fbi couplus vacances fmast fdanus fsodo -coupleà3
Auteur : Caribonex            Envoi mini-message

Série : Vacances à la Grande-Canarie

Chapitre 05 / 07
Une journée de complicité commence

Résumé des épisodes précédents:

Mon épouse Aline et moi Axel, partons en vacances à la Grande-Canarie, pour nos dix ans de mariage. Un vol mouvementé nous permet de nous retrouver, elle se lâche de plus en plus et nous avons rencontré une timide collègue à elle qui nous a servi de photographe… Le 6° jour commence…






Le chant des oiseaux ; un petit vent chargé des senteurs océanes toutes proches ; le bruissement des feuilles… Tout s’accorde pour faire de notre petit déjeuner au bord de la piscine un moment délicieux. Aline et moi savourons ce moment de détente et échangeons tranquillement.


La soirée d’hier a été un pur moment de plaisir et de sentir Élodie si excitée, si proche donnait un cachet très particulier à ce moment. La sentir basculer vers le côté obscur de la For… euh pardon, sur la voie du plaisir, la voir comprendre et surtout en accepter toutes les joies…


Hier soir, nous sommes revenus détendus (et repus) de notre escapade au clair de lune et avons laissé notre amie se reposer dans sa chambre, sentant qu’elle était en proie à bien des confusions et espérant qu’elle commencerait à se voir comme elle est. Nos doigts se rencontrent et dans ce simple contact passe tout un courant de complicité et de tendresse.


Élodie arrive et, encore une fois, nous remarquons ses traits tirés ; elle semble en effet ne pas avoir dormi de la nuit. Néanmoins nous remarquons aussi sa jupette courte qui dévoile ses jolies jambes, son haut léger qui met en valeur sa belle poitrine et surtout le sourire radieux qu’elle arbore.

Nous nous saluons et après quelques minutes, elle s’enquiert du programme de la journée.



Le choix est vite fait, vu qu’on s’est couchés tard et que nous avons peu dormi.

Aussi, moins d’une heure plus tard, sommes nous dans le guagua (le bus local) en route pour le gros bourg côtier.


Au bout de quelques minutes à peine, Élodie a fermé les yeux et s’est endormie. Nous la regardons, un peu émus par cet abandon si plein de confiance. Sa jupette de sport, remontée vu sa position assise, dévoile à notre vue des choses intéressantes et son décolleté devenu plongeant laisse voir deux globes jumeaux fort appétissants.


Il est d’ailleurs toujours étonnant de noter que, alors même que nous avons déjà vu tout son corps nu, c’est bien plus érotique de la voir un peu alanguie, détendue dans son sommeil, le souffle régulier. Le nôtre de souffle l’est d’ailleurs moins, puisque générateur d’idées fort peu convenables. Nous savons avoir les mêmes en nous regardant avec un sourire mutin.


Les tétons d’Aline pointent sous son petit débardeur et ses jambes bronzées et fines font pendant à celles de notre amie dans mes visions réelles et rêvées.


Inutile de dire que le voyage nous paraît court entre le spectacle extérieur de larges ravins, de vues sur l’océan, de petits villages balnéaires et celui tout proche d’Élodie.


Le bus se gare sur un grand terre-plein à l’entrée du village, son circuit normal modifié par le marché. Marché coloré avec ses stands de nourriture, ses vendeurs de t-shirts bigarrés, de paréos aux couleurs éclatantes, de jupes de lin blanches, de souvenirs variés et provenant parfois de partout sauf des Canaries. Nous trouvons pourtant notre bonheur et nous rendons ensuite sur le port. Le village est très fleuri, les couleurs éclatantes, les poissons qui nagent tout près des dizaines de voiliers et de bateaux à moteur font qu’on se trouve dans un aquarium à ciel ouvert. On s’achète des glaces et on finit par se trouver un endroit tranquille à l’ombre qui permet d’observer le paysage enchanteur, la foule des visiteurs ayant eu la même idée que nous et surtout d’échanger nos confidences.


Nous sentons qu’Élodie a envie, besoin de parler et, après quelques propos anodins, elle entre directement dans le vif du sujet.



Elle a les yeux rougis et ses larmes semblent prêtes à jaillir :



Aline me fait taire d’un regard et la prend dans ses bras pour la consoler. Je l’entends murmurer à son oreille un long moment puis, la situation se calme doucement et elles sont souriantes pour poursuivre la visite. Le moment de tension est passé, Élodie semble comme libérée et le reste de la ballade n’est plus qu’éclats de rire et discussions détendues.


L’après-midi file et nous reprenons le bus pour rentrer. Durant tout le trajet, les deux, assises de l’autre côté du bus ne cessent de parler et je note que mon épouse a la main sur la cuisse d’Élodie et que ses doigts dessinent de petits cercles très lents sur sa peau. C’est diabolique comme effet (je le sais pour y avoir souvent goûté) et notre amie montre par certains… enfin deux signes, qu’elle apprécie beaucoup.


Une fois à l’hôtel, nous l’invitons à venir profiter des possibilités de jacuzzi dans notre suite, la sienne étant dépourvue de cet attrait. Elle accepte avec joie et nos sourires complices promettent beaucoup. Pendant qu’elle fait un passage par sa chambre, Aline m’explique que l’ancien et seul amant d’Élodie ne l’a jamais fait jouir, ne s’est jamais occupé d’elle, se considérant comme le mâle à qui tout est dû et que sa petite affaire ne durait jamais plus de dix minutes, douche comprise. Bref beaucoup de jamais faisant que l’amour et le plaisir ne sont pas associés pour elle.


Je fais couler l’eau et une fois tout le monde prêt, notre amie nous ayant rejoints, nous nous glissons nus dans ce chaudron accueillant. Comme c’est un peu étroit, Aline s’est allongée sur moi et Élodie a pris la place en face, nos jambes se touchent, l’heure est à la détente, enfin, à cette détente savoureuse dont tout le monde sent, sait, qu’elle est le prélude à l’action, à d’autres joies…


J’ai posé mes mains en coupe sous les seins d’Aline et du bout des pouces, je taquine doucement les pointes déjà bien tendues de ses doux globes.



Elle est entrée dans le jeu et la situation fait que je me tends davantage, le sexe calé entre les fesses d’Aline.



Elle s’exécute et sans que nous quittions du regard, commence par empaumer ses seins, puis en serre, en tire les pointes avant de baisser sa tête et de lécher ses tétons.



Effectivement, Aline effectue les mêmes mouvements que notre amie, comme dans un miroir dédié à la sensualité. Les deux jeunes femmes se prennent au jeu, ce mimétisme de geste les fait fondre et je sens dans la tension du corps d’Aline la montée du plaisir. Élodie lèche son téton et dès qu’Aline en a fait de même quelques secondes, elle change de geste ; glisse un doigt sur sa fente puis remonte, se tire de nouveau fort le téton et redescend avec son autre main.

Le spectacle est extrêmement excitant, nous ne parlons quasiment plus, les regards sont tendus, les langues se pourlèchent les lèvres… Mon sexe est dur contre Aline, mais je ne veux pas la pénétrer, cela les rendrait moins synchrones, moins siamoises.


Des gémissements s’élèvent doucement. Si leurs jambes sont bien emmêlées, la fourche de leurs cuisses est bien ouverte, puisqu’elles se masturbent en symbiose. La main gauche tire, titille, joue avec le téton et la main droite caresse le clitoris, plonge et pénètre leurs buissons si attrayants. L’eau clapote au rythme de leurs masturbations. Le rythme s’accélère et devient doucement plus désordonné, le plaisir montant rendant leurs gestes plus saccadés, plus forts.


Je suis spectateur privilégie de la montée du plaisir de ces deux sirènes, voir notre amie se lâcher, voir ma femme la précéder sur ce chemin. C’est devenu un séjour de rêve, un séjour de tous les possibles.

Je suis vraiment tendu et c’est difficile de ne pas intervenir, car c’est si beau. Élodie fait toujours plus fort et régulièrement vient sucer son index humide de son plaisir, elle le suce, le lèche puis vient le replonger dans sa chatte, le regard brillant fixé sur Aline qui fait alors de même.



Celle-ci ne répond rien, nous regarde, suce bien son index, soulève son bassin, passe sa main sous les fesses et tout en ne cessant de nous fixer, caresse son petit anneau plissé avec son doigt avant de l’y introduire doucement.



Elles accélèrent le mouvement qui devient de moins en moins similaire, leur plaisir propre prenant le dessus. Élodie se branle frénétiquement, tire fort sur ses tétons et Aline, qui a gardé un doigt entre ses fesses, se touche profondément, plonge et replonge ses doigts dans son entrejambe écarté.

Je contemple et ressens leur plaisir et savoure l’explosion finale qu’elles se procurent dans un grand cri commun.


Ô temps, suspend ton vol…


Je réussis en me contorsionnant un peu à sortir de l’eau, les y laisse reposer pendant que je me sèche puis leur apporte à boire. Leurs regards sont perdus dans leur vague, la chaleur de l’eau et leur orgasme (qui a bien donné la preuve que notre complice n’est pas du tout frigide) font que leurs visages sont tout rouges, perlés de sueur et que leurs poitrines se soulèvent (agréable spectacle évidemment pour un voyeur comme moi) à un rythme encore un peu rapide.


Je les regarde, si sensuelles, me repaissant de la vision de deux jeunes femmes sexy, des seins superbes, des hanches faites pour être saisies, des buissons que je meurs d’envie de déguster.


Finalement, je saisis Aline, la sors, la sèche puis la conduis sur le grand lit où elle s’allonge avant de revenir chercher Élodie à qui j’applique le même traitement. Les deux femmes se sont laissé faire, encore sous l’effet de leur plaisir si intense. Elles me regardent, allongées, offertes, pendant que je suis encore debout, ma verge tendue battant sur mon pubis au rythme de ma marche.

Je m’assieds ensuite au bord du lit et Élodie me dit :



Je me penche alors sur Élodie et après un dernier regard à ma femme si complice qui est allongée à côté d’elle, commence à plonger ma langue dans sa petite chatte.

Son miel est délicieux, je lèche de bas en haut, aspirant son clitoris, mordillant ses lèvres des miennes, lapant fort puis doucement son intimité, c’est enivrant. C’est très chaud aussi, car je la vois, les yeux clos, les bras allongés, tendus en arrière au-dessus de sa tête, les cuisses ouvertes, la poitrine qui se soulève rapidement. Je vois aussi ma femme qui me regarde et me sourit, la bouche ouverte, qui murmure doucement :



C’est devenu fou, sensuel. Finalement elle se laisse glisser vers moi, écarte de ses mains les cuisses de notre amie et m’embrasse follement, goûtant sur ma langue le plaisir d’Élodie. Plusieurs fois je vais lécher sa chatte puis partager le fruit de ma récolte d’amour avec ma femme qui, entre chaque attente, me regarde fiévreusement, amoureusement ; des gouttes de suc féminin perlant de sa bouche entrouverte et haletante.

Elle descend encore ses mains, touchant la toison d’Élodie et finit par en écarter les lèvres afin de me donner un meilleur accès à son intimité trempée.


Je ne sais pas, je ne sais plus depuis combien de temps je déguste sa jolie chatte nacrée, mais je sens que son corps se tend, s’arc-boute de plus en plus. Nous entendons ses gémissements toujours plus forts. Je ne peux plus embrasser ma femme, concentré sur le coquillage rose du sexe d’Élodie, même si le visage d’Aline est quasiment collé au mien. Je sens son souffle sur moi et finalement je sens nos nez qui se touchent puis nos langues qui se rencontrent. Aline a craqué pour notre plus grand plaisir et donne de petits coups de langue de plus en plus appuyés sur le clitoris de notre amie. Nos langues humides se rencontrent un peu pendant qu’on lèche, mais c’est surtout car nous nous concentrons sur le même endroit. Le flot de mouille ne tarit pas, on entend vaguement un long cri pendant que sous nos langues le corps se soulève dans un sursaut de plaisir.


On se redresse et on s’embrasse longuement au-dessus du corps alangui de notre complice.

Nos langues se mêlent, le miel du plaisir est savouré longuement, si longuement que l’on sent le corps sous nous bouger, se redresser puis Élodie vient pointer sa langue et participe à notre baiser enfiévré. Les sucs se mélangent, les corps perlent de sueur, je sens une main puis une autre saisir ma verge tendue et la caresser. Une main forte, une main douce qui me font comprendre que chacune me touche en même temps.

On se recule un peu, des fils de salive nous relient encore, témoins de la fièvre, de la force de nos embrassades et Élodie dit :



Aline me regarde et surenchérit :



Élodie s’allonge sur le dos, les fesses sur l’oreiller, la chatte déjà suintante et prête à me recevoir. Elle est un peu surélevée et je me positionne devant elle. Aline me sourit, attrape ma queue, la fait aller et venir de bas en haut sur la fente brillante d’Élodie qui gémit déjà de ce traitement. Ma femme, guide d’une main ma verge désormais humide dans le con brûlant et de l’autre appuie sur mes fesses pour me faire aller en avant.

Malgré son vagin brûlant, Élodie est étroite et je m’introduis doucement en elle, savourant le contact serré de son intimité.



Évidemment les paroles sont plus décousues, entrecoupées de gémissements qui nous excitent terriblement.



Je ressors un peu ma queue, juste la place pour laisser Aline mettre un doigt puis le ressortir, le goûter et me le tendre, je suce, je lèche son doigt gluant de la mouille d’Élodie et de sa propre salive.



Je me retire de la chatte brûlante :



Aline la fait se tourner sur le ventre, se mettre à peu près à quatre pattes sur l’oreiller, je me place bien derrière elle, puis Aline se colle derrière moi, place ma queue devant l’entrée et me pousse de tout son corps en me tenant par les hanches.



Je me suis enfoncé d’un coup puissant dans la chaleur d’Élodie et Aline, son souffle dans mon oreille, ne cesse de me dire :



Élodie bouge la tête dans tous les sens, son visage est en sueur, elle est vautrée sur le ventre et je donne de grands coups de queue dans sa chaleur, son vagin est brûlant, sa mouille dégouline le long de nos cuisses et je me lâche totalement moi aussi encouragé par les : « Encore ! Encore ! » des deux femmes. Je m’enfonce à fond dans sa chatte, serrant ses hanches entre mes mains, je sens bouillonner en moi.



Je sens ma queue gicler, gicler encore et toute l’accumulation de la journée explose en feu d’artifice.

Comme un jeu de domino, on s’écroule les uns sur les autres, soudain épuisés.


Au bout d’un long moment, je sens Aline me tirer en arrière et me faire basculer sur le côté, m’évitant ainsi d’écraser trop longtemps Élodie qui n’a pas bougé depuis son cri libérateur.

On reprend doucement notre souffle, nos corps alanguis, mélangés.


Cette fois c’est Aline qui se lève la première et nous cherche à boire. Nous récupérons plus vite qu’Élodie qui en est à trois orgasmes, elle qui se croyait frigide.

Nous le lui disons et elle en rit, preuve que cet épisode dû à un amant de bas étage est bien oublié.

On se désaltère, on se nettoie rapidement avant de s’allonger à nouveau.



Aline rit et lui dit :



Elle se tourne vers mon amour et l’embrasse aussi sec en se serrant contre elle. Je regarde, ravi, ce spectacle, rêve de nombre d’hommes et qui est un enchantement pour les yeux. Elles sont serrées l’une contre l’autre, leurs mains folâtrent sur tout le corps de l’autre, seins, fesses, épaules, nuque… rien n’est oublié dans ce baiser qui se prolonge.


Je regarde, regarde, me remplissant la mémoire de ces images bandantes.


Élodie pousse Aline en arrière. Ma chérie se laisse volontiers faire et savoure les baisers et les léchouilles de notre complice sur ses seins, puis sur son ventre, puis…



C’est à mon tour de regarder mon épouse qui savoure le cunnilingus que lui fait Élodie.

Celle-ci, d’abord un peu malhabile semble y prendre goût et ses coups de langue sont visiblement du goût de ma femme qui me regarde avec un sourire adorable.



Aline me fait alors un grand sourire et fait un geste de la tête vers notre amante.


Je regarde à nouveau le tableau. Aline allongée sur le dos, les yeux de plus en plus dans le vague, les mains sur les seins, à se caresser. Élodie accroupie qui la lèche et lui doigte habilement chatte et anus. Dans cette position, les fesses d’Élodie sont relevées et comme si c’était une invite, ses cuisses un peu écartées me laissent voir tout son entrejambe. Sa chatte est à nouveau suintante de mouille et le petit anneau étoilé de son anus est visible et m’attire inexorablement.


Je me mets derrière elle et la caresse doucement, ses fesses, son bouton, mes mains touchent son délicieux postérieur, son dos, effleurent l’ensemble, puis mes doigts lui caressent son intimité, sa mouille rend la caresse facile, mes doigts se retrouvent rapidement humides et glissants. J’entre un doigt de la main gauche dans sa chatte et de l’index droit, je viens titiller le petit anneau plissé. J’effleure le pourtour et Élodie réagit positivement en tendant ses fesses en arrière ; je n’oublie pas que tout à l’heure elle a mis elle son doigt au même endroit pour nous exciter. J’entre mon doigt et, après une faible résistance, l’enfonce plus profondément aidé par l’huile produite en quantité…


J’entends en écho Aline qui me dit :



Je m’exécute et après quelques minutes de ce traitement, fais entrer un second doigt dans son fondement, il entre plus facilement, toujours aidé par la lubrification de son plaisir. Élodie pousse toujours son adorable petit cul vers moi et je sens qu’elle est prête pour la découverte d’une nouvelle forme de pénétration. Aline ne fait plus que gémir et j’entends juste les bruits de léchouilles délicieusement obscènes que produit Élodie.


Je me recule, humidifie ma queue dans le sillon trempé de son entrejambe puis positionne mon gland sur le petit trou tentateur. Je laisse mon gland quelques secondes sur l’anneau puis le petit coup de reins que fait Élodie me marque son accord et je m’enfonce doucement en elle. Je vais très lentement et le gland gonflé entre en elle. Je force la résistance et d’un coup suis en elle, elle pousse un petit cri, je ne bouge pas et puis elle replonge la tête sur la chatte de ma femme. Je m’enfonce plus en elle, progressant par étapes et lentement mais sûrement, je suis entièrement dans son petit cul serré.


Élodie a dû stopper un instant, car Aline reprend un peu contact avec la réalité et demande :



C’est Élodie qui répond :



Elle reprend la phrase plusieurs fois comme un leitmotiv et j’accélère un peu le rythme, étroitement serré dans le fourreau de ses fesses, ma queue est comprimée, c’est délicieux, c’est bon, son anus est brûlant et je sens que ma sève monte, monte…

Élodie ne parvient plus à lécher la chatte d’Aline et feule de plaisir.

Les propos d’Aline qui répète elle aussi :



Font écho au :



Je donne de petits coups de rein et sur une dernière demande d’Élodie :



Je l’empale totalement ; mon pubis cognant ses fesses, la queue totalement avalée par son petit cul ferme.

Elle crie soudain :



Tout son corps se raidit ce qui déclenche immédiatement ma jouissance et celle d’Aline dans un bel ensemble.


Maintenant, nous sommes ivres et repus de plaisir…



To be continued…