n° 17193 | Fiche technique | 20871 caractères | 20871 3621 Temps de lecture estimé : 15 mn |
26/12/15 |
Résumé: Réveil dans ce manoir peuplé de loups-garous... Vais-je me sauver, corps et âme, de ce "roman noir" ? Vais-je aller au bout ? Et... eux ? | ||||
Critères: #fantastique fhhh grp couleurs grossexe poilu(e)s bizarre fsoumise soubrette facial double fsodo partouze | ||||
Auteur : Lucy G |
Épisode précédent | Série : L.uc.ycanthropie Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Résumé de l’épisode précédent : « Première nuit ; première journée »
En vue d’une thèse de littérature sur les lycanthropes, mes recherches sur le terrain m’ont amenée aux abords d’un manoir où se déroulent d’étranges agissements les soirs de pleine lune. Alors que je m’étais introduite dans la bâtisse, deux loups-garous me découvrirent et me firent subir les derniers outrages. Dans la journée, ce sont les femelles, humaines, qui me révélèrent de nouveaux plaisirs. Moi qui appréciais tant les romans gothiques du pré-romantisme, j’en touche à présent la noirceur…
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Noir sous mes paupières. Même odeur de fleurs, de femmes : je suis toujours dans ce lit.
Deux hommes se tiennent à côté du lit. Je cache précipitamment ma poitrine et mon pubis de mes bras, futilement. Le plus vieux esquisse un sourire malgré ses yeux mélancoliques. Je le reconnais : il s’agit du comte. L’autre, beau comme un diable, les cheveux très longs, a le regard beaucoup plus dur. Il doit s’agir du loup-garou dont parlait une jeune femme dans un témoignage effectué récemment. Leur pilosité, leur voix sont déjà au-delà de l’humanité.
Le premier me dit :
Il me tend des habits pliés, sombres.
À dire vrai, je dois avouer que je l’espère un peu, c’est une expérience tellement incroyable, unique, extrême que, si ma vie n’est pas en danger, je suis prête à revivre une dernière fois. Oui, qu’une fois encore mes sens revivent ça !
Le jeune éclate alors en fureur :
C’est comme s’il avait ajouté : "la nuit va être longue"…
Encore nue, je m’empare d’un morceau de pain sur la petite table, puis déplie les vêtements : une jupe longue et noire, à jupons, parsemée de dentelles, sans doute anciennes, comme le joli corset finement ouvragé, avec dentelle et jarretelles. Il y a aussi des bas noirs opaques, qui ont l’air "moderne", eux. Je souris : on peut être monstre et avoir des idées coquines, semblerait-il !
Je commence par mettre le corset, difficilement avec ce laçage d’un autre âge. J’enfile un bas, puis l’autre. Je réalise alors qu’il n’y a pas de culotte. Un luxe inutile qui finirait déchiré, je suppose. Je pense alors aux étreintes à venir, un peu pour épuiser ma peur, un peu pour voir si j’en ai vraiment envie : oui, indéniablement, même si je ne ressens pas d’excitation dans mon bas-ventre – elles m’ont trop épuisé de ce côté-là…
Je mets enfin la jupe, lourde et tombant aux chevilles. Je remarque au pied de la table des bottines, montantes, et elles aussi paraissant des siècles passés. Là encore, le laçage est d’un fastidieux… comme on est bien au XXIe siècle !
Ceci dit, je me trouve vraiment belle ainsi, si seulement il y avait un miroir. J’ai l’impression d’être accoutrée davantage pour une messe noire que pour une orgie. Nous verrons bien.
Je m’allonge et ne tarde pas à m’endormir, me demandant si je n’ai pas été droguée.
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Lorsque je me réveille, il fait nuit noire dehors, de nombreuses bougies donnent une ambiance feutrée à la pièce.
Les monstres sont là. Mon Dieu, ils ne sont pas deux… ils sont cinq !
Une sueur froide m’emplit ; je n’avais pas prévu ça. Dire que je ne savais même pas combien ils étaient dans cette communauté !
Tant pis, il est trop tard pour reculer, d’ailleurs ça n’est pas possible. Autant garder bonne contenance.
Je me lève pour me diriger vers ces créatures haletantes, bavantes. Ils sont décidément très impressionnants. J’essaye de ravaler mes craintes.
Ils m’entourent, semblent renifler l’odeur de la robe. Elle leur rappelle certainement quelque chose, ou quelqu’un…
Je dois me lancer. D’un air (faussement) hautain, je porte ma main à leurs attributs, palpe des bourses volumineuses et des verges au repos, bien que déjà fermes. C’est avec les mains ce qu’ils ont conservé de plus humain.
Je les sens se durcir peu à peu, un à un. C’est extrêmement jouissif de les sentir à ma volonté, "à ma main". Ils semblent apprécier, j’ai presque envie de dire tout haut : "braves toutous", histoire de détendre l’atmosphère. Mais je préfère éviter.
Un est particulièrement réceptif : il est déjà dressé, résolument dur. Un jeune ? Mon Dieu, ces sexes sont vraiment intimidants, pas tant dans leur épaisseur que dans leur longueur qui les fait presque paraître fins… Quand je pense à la préoccupation principale des garçons, je rigole intérieurement.
Je m’accroupis alors, pour flatter un peu mieux le jeune vaillant. Je lui donne un coup de langue, le tiens fermement et lève les yeux. Mais croiser son regard est tout de même effrayant, je préfère me concentrer sur l’objet, que je polis sur mes lèvres et ma langue, avant d’engouffrer le premier tiers dans ma bouche. C’est chaud, palpitant, d’un goût certes un peu animal, mais supportable (après tout, ce sont des hommes qui se lavent, quand même !)
Deux autres s’approchent et veulent leur part. Ils me frôlent les joues, je les empoigne, tourne la tête à droite puis à gauche, pour les emboucher ou les mordiller (ce qu’ils semblent apprécier).
Tous m’entourent, et me voilà à choisir, à passer d’une queue à l’autre, le plus souvent pour les engloutir autant que je le peux, les faisant glisser de l’orée de mes lèvres jusqu’à ma gorge. Moi qui n’avais fait des fellations à mes partenaires que de façon très "classique", j’ai le sentiment d’être une actrice hard perdue dans un film d’horreur. En tout cas, ça m’émoustille follement. Simplement, s’ils pouvaient arrêter de me baver dessus !
Combien de temps je passe ainsi ? Peut-être une demi-heure, ou plus.
Tout décrire serait fastidieux. Il y a seulement un des hommes-loups qui est beaucoup moins agréable, avec des manières un peu violentes. Souvent il me prend la tête pour m’enfoncer plus encore ; j’en étouffe. Je suis prête à parier qu’il s’agit du "jeune diable". J’aimerais lui dire : "Eh bien, tu l’as, ta petite pute… Tu te sens assez dominant comme ça ? "
Au bout de tout ce temps, mon sexe est plus trempé encore que ceux-là ; mes poignets et surtout ma mâchoire commencent à être douloureux. Je faiblis, puis m’arrête. Je ne peux plus…
Deux monstres saisissent subitement mes poignets, les soulèvent : je décolle avec un cri ! Ils me font traverser la pièce, me plaquent sur le mur, à peut-être trente centimètres du sol.
Deux autres empoignent les bottines, les lèvent plus haut que l’horizontale ! Ce n’est pas très douloureux, mais je ne dois pas avoir l’air très glamour ainsi ; cela ne doit pas être leur souci principal. Je me sens un peu ridicule. J’ai en tout cas "tout" de visible ; je sens que mon minou s’est ouvert avec l’écartement de mes jambes, face à celui qui doit être le chef de meute.
Il s’approche, son sexe dressé, le pose à mon entrée, et d’un léger coup de reins, il envahit ma cavité intime, m’arrache un long cri de plaisir. À peine ressort-il qu’il replonge, plus profond encore, puis encore. À chaque fois qu’il s’écrase au fond, des spasmes me tirent des râles. Les coups de pilon se succèdent, me compriment le ventre, me font tressauter à chaque fois. Bientôt, le plaisir ne cesse plus, et pendant peut-être dix minutes, ce n’est qu’une longue jouissance, qu’un long cri ponctué de hoquets.
Il pose ses mains griffues sur mes fesses, les soulève sur sa queue. Peut-être trente fois je gémis des "oui… oui".
Son sexe quitte alors le mien dans un bruit liquide. J’ose murmurer un "encore".
Celui qui me tenait la jambe droite la donne à celui qui me tient un poignet, m’écartelant un peu plus. Il se met à quatre pattes, dans une posture des plus animales, et entreprend de me pourlécher la vulve. Je gémis de plus belle. Puis il se redresse et me pénètre d’un coup. Il me baise rapidement, je ne suis plus que plaintes lascives. Il appuie sur mes cuisses, ses griffes en déchirent les bas.
Lorsqu’il se dégage, sans avoir joui, c’est celui qui me tient l’autre jambe qui s’approche à peine et me plante simplement son gland qui ressort à chaque fois. C’est un autre plaisir qui m’étreint.
Bientôt je succombe, les jambes me font mal ; ils le sentent et les abandonnent ; je suis toujours tenue en l’air, les jambes pendantes. Le dominant vient me retirer délicatement - pour un lycanthrope - ma jupe, lourde et inutile. Je me lâche complètement et enserre mes jambes gainées autour de son bassin. Il me tient alors par le cul, il me libère les bras et je m’agrippe à la toison de ses épaules. Je m’empale sur son sceptre de chair, et avec mon poids dessus, j’ai l’impression que je le prends entièrement, ce qui n’est pas possible. Ses coups de reins m’achèvent, mes yeux se révulsent.
Il me pose sur la petite table, me tenant toujours de ses mains et de sa queue. Enfin allongée, à part les jambes qu’il me tient écartées, je me repose un peu le corps, à défaut des sens. Il continue de me baiser, tandis qu’un autre monstre s’approche de mon visage. Étant sur le dos, je ne peux rien lui prodiguer. Mais celui qui me pénètre me bascule alors sur le côté gauche, me tient une jambe en l’air. Encore écartelée… tant pis.
Son pénis gigantesque à nouveau me comble le vagin. Devant mon visage, l’autre a tout loisir à présent de me présenter sa queue qui finit par investir ma bouche.
Alors que je prie pour qu’il n’éjacule pas dedans, l’autre se dégage, pousse un grognement terrible, et je comprends qu’il jouit lorsque je sens un liquide lourd et épais me couvrir la jambe jusqu’à la cuisse nue. Il s’éloigne et j’en profite pour abaisser ma jambe épuisée. Deux s’approchent et j’imagine qu’ils vont se disputer les faveurs de ma chatte. Un frisson de peur me gagne lorsque je les sens toujours avancer. Non ! Que font-ils ?
Celui près de mon cul ne cède pas et appose son pieu sur mon anus. Non ! J’ai presque toujours refusé cette entrée à mes amants et ne suis pas prête à accueillir ne serait-ce que le gland qui se presse, s’immisce déjà. J’ai beau serrer, elle s’entrouvre, se distend jusqu’à la douleur qui me fait crier. Au plus large, il me semble que je vais me déchirer, me fendre comme une bûche. Quand il est passé, c’est au tour d’en éprouver la longueur, durant de longues minutes, où je m’épuise à crier, où je sens chaque millimètre m’accabler. Devant moi, le monstre essaye de retrouver ma bouche qui se dérobe : je ne peux qu’anhéler, en larmes. Je mets du temps aussi à sentir que mon sexe est pris, timidement, dans le peu d’espace qu’il reste.
J’ai l’impression de perdre la tête lorsque je sens qu’il est au bout, que tout en est entré ; je suis investie à en fusionner avec ce corps plaqué à mes fesses. Je me dis que rares sont les êtres à avoir été si profondément visités.
Dans mon délire, je crois découvrir que je le recherchais : avoir des sensations extrêmes, être une aventurière du vice, comme j’ai pu l’être pour la science paranormale. Dans ma folie, je me crois héroïne sadienne qui dépasse les sens humains. Cela me donne un semblant de courage.
Tandis qu’il s’éloigne quelque peu pour mieux replonger, que les courts va-et-vient me martèlent jusqu’à la nausée, je me prends à murmurer – plus pour m’exciter et me donner du courage : "Oui, oui, encore, prends-moi comme ça. Oui, encule-moi, défonce-moi, baise-moi le cul à fond"…
Je sens les deux phallus se toucher dans mon bas-ventre, jouer de connivence. Peut-être que je perds alors momentanément connaissance. Je reprends mes esprits lorsqu’il quitte mes fesses. La seconde d’après, il écarte violemment le loup-humain devant moi – je devine qu’il s’agit du "diable" – et m’empoigne le bas du visage. Son doigt velu, répugnant, se glisse entre mes dents, me force à ouvrir la bouche, alors qu’il se masturbe rapidement.
Je comprends qu’il veut m’humilier, finir de m’écraser. Je ne lui ferai pas ce plaisir et mes yeux se durcissent, je le regarde sans faiblesse. Lui-même ne manifeste aucune émotion lorsque son sperme épais vient me frapper l’intérieur en une giclée qui n’en finit pas. D’autres encore finissent par me remplir à moitié la bouche. Ma langue en est noyée, c’est spécialement écœurant. Je surmonte un haut-le-cœur et j’avale deux turpides gorgées, avant qu’il ne me lâche.
Je me recroqueville, brisée, sur la minuscule table ; à quatre pattes et la croupe en l’air.
Vais-je vomir ? La sueur colle mes cheveux. Finalement, je reprends ma respiration ; ils me laissent tranquille, conscients que je ne peux plus rien donner.
Je reprends mes sens lorsque des griffes les réveillent sur mes fesses.
Un autre membre appuie sur l’orifice, le force à peine ; je pousse un petit cri et agrippe le bord de la table. Il a le bon goût de ne pas trop se perdre dans mes profondeurs, mais ses mouvements rapides les mettent en feu. Je gémis d’une voix chevrotante. Il finit par me quitter, sans doute au bord de l’explosion.
Un autre phallus encore se presse, glisse sans effort dans ma chatte, en agresse les abysses. Puis, jaloux, lui aussi va fouiller mes entrailles, s’y perd à chaque coup plus profondément, presque aussi intérieurement que précédemment. Un plaisir nouveau commence à poindre, mais le sexe me quitte précipitamment et se répand abondamment sur mes fesses. Les deux derniers sont de part et d’autre de mon visage, mais je n’ai plus la force de les emboucher. Lorsque celui de droite me force les lèvres et s’y perd, je sursaute sous une gifle poisseuse qui m’inonde la moitié gauche du visage.
Le dernier n’est pas en reste, il sort et se répand de l’autre côté sur mon épaule et mon cou. Ils avaient donc juré de me faire subir les pires avanies. Dégoulinante, épuisée comme jamais, je m’affale dans la torpeur sur la table. Je ne pourrais plus rien.
J’entends du bruit, indéfinissable ; ils semblent ne plus s’intéresser à moi. J’ai l’impression qu’ils mangent, des os craquent lugubrement. Quelqu’un me passe des linges chauds et parfumés sur le visage, en retire consciencieusement les outrages gluants, puis sur mes fesses également. Je plisse les yeux sur une jolie métisse.
Elle me regarde fixer dubitativement sa poitrine transparaissant largement de sa nuisette. Une culotte bouffante, très sexy, complète sa tenue.
Les griffures les ont effectivement lacérés. Elle me déshabille entièrement, puis me prend par la main, me soutient lorsque je descends de la table. Elle m’allonge au sol.
Quel froid ? Je suis brûlante, sans doute fiévreuse.
Je m’allonge tout du long sur le sol. Elle s’accroupit sur mon visage ! Oh, mon Dieu, non, je n’ai jamais fait ça, et n’y tiens pas du tout ! Mais avant que je puisse protester, son sexe entrebâillé est à deux doigts de mon visage ; les créatures l’entourent. Elles sont à nouveau vigoureuses, et se pressent vers la "servante" qui prodigue de nombreux coups de langue. Les membres durs s’enchaînent régulièrement dans sa bouche, elle a indéniablement un talent pour la fellation. Son entrecuisse descend encore : elle ne m’a pas oubliée ; et sa chatte se pose sur ma bouche et mon nez. Moi qui n’ai jamais touché que la mienne ! Le goût et l’odeur me déplaisent, mais la douceur est incomparable, plus encore qu’une bite - humaine - s’entend.
Elle se frotte à moi qui ne fais rien. Je l’entends haleter, cela me motive pour participer à son plaisir. Et puis j’en ai assez d’être manipulée ! Je tente de sortir ma langue, et bientôt elle fouille l’entrée de son intimité, trouve son bouton sous le capuchon. Je délaisse les lèvres, flasques à mon goût et insensibles : en fait, j’essaye de faire et ne pas faire ce que j’ai vécu avec mes amants. L’expérience en devient… ludique. D’autant que ma gaucherie laisse parfois place à des éclairs de plaisir qui la font miauler. Je lui serre les chevilles, quand mes deux pouces n’ouvrent pas son calice.
J’en oublie qu’elle a la bonté de me "remplacer" : j’entrevois comme elle les suce, à tour de rôle. C’est très excitant à voir selon cet angle de vue. Par contre, le gros plan sur son pubis me dérange un peu, tout comme la cyprine qui oint ma langue. J’agace son clitoris, là où naissent tous ses spasmes. Elle finit par en jouir, la bouche comblée et chantante. J’en suis fière.
Elle se relève un peu, m’offrant la vue de sa corolle ouverte, suintante de salive, palpitante de l’orgasme. Quelle étrangeté qu’un sexe féminin ! Vivant, beau et difforme à la fois ! Une liqueur blanchâtre s’en détache, je clos vite mes lèvres. Elle continue à donner de vives succions ; je m’aperçois qu’ils se caressent vigoureusement !
C’est alors qu’une des bêtes se pose à quatre pattes sur moi, m’écarte les jambes et me pénètre. Il lèche ma joue et la fesse de ma compagne. Pour la première fois, j’ai le réel sentiment d’être prise par un animal. Je préfère fermer les yeux. La servante se déplace et les autres grognent ensemble. Ballottée sous l’assaut, je gémis. Je jurerais qu’il s’agit de mon beau cerbère. Il m’abandonne, plutôt élégamment. Je me retourne alors, pour être aussi à quatre pattes. Jouons une dernière partie. Je recule pour qu’il me prenne et m’applique à des va-et-vient jusqu’à ce qu’un grognement terrible accompagne son orgasme.
La servante se lève et me tend sa main. Une ultime libation commune tranche obscènement sur sa peau mate, de la tête aux pieds dirais-je, en exagérant un peu.
Elle me soulève vigoureusement, et m’entraîne dans une autre pièce. Celle du bain.
Je ne vois plus les créatures.
Je glisse dans l’eau fumante. Ignorant ses propres souillures, elle s’emploie à m’ôter toute trace de sperme. Elle sourit :
Je la fais s’asseoir contre moi, entre mes jambes. Le reste de la nuit est passé à lui masser les épaules, le ventre, les seins, à la serrer contre moi. Alors que le sommeil me gagne, je retrouve la sensualité, la douceur, l’humanité.
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Épilogue
Durant les mois suivants, je n’ai eu aucune activité sexuelle. J’ai juste fréquenté Marie.
Puis, peu à peu, l’envie revint. Je retournais au manoir, en journée, y retrouvais trois des femmes et Marie, la servante. Je n’ai eu que des relations saphiques le temps que je termine la thèse. Toujours sur la lycanthropie, uniquement dans son aspect littéraire.
Deux jours avant la remise, je reçus la visite du "beau diable". Il voulait lire mon travail, prêt à y mettre un terme le cas échéant. Nous fîmes l’amour le soir même. Nous sommes devenus amants, sans jamais nous préoccuper du jour, et surtout de la lune…