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n° 17204Fiche technique19838 caractères19838
Temps de lecture estimé : 12 mn
01/01/16
Résumé:  Lors d'un séminaire professionnel long, un homme et une femme vont jouer un jeu dangereux et se faire prendre au piège...
Critères:  fh extracon collègues hotel voyage douche nopéné -extraconj
Auteur : Indigosecret  (Jeune homme, séduisant et joueur)      Envoi mini-message

Série : Le séminaire

Chapitre 01
Le séminaire - Partie 1 - Jeu dangereux

Je ne suis pas très fier de cette « aventure », mais le fait d’y penser et surtout de l’écrire fait apparaître un petit sourire en coin lié à une certaine nostalgie…




Le séminaire


Cette histoire se déroule pendant un long séminaire loin de mon domicile et de ma merveilleuse épouse. Un groupe majoritairement composé d’hommes et de quelques jeunes femmes avec un certain charme et un joli physique de la même entreprise se rencontrait pour la première fois. Dès le début, je me suis très bien entendu avec un collègue d’une autre antenne également en déplacement et, comme le séminaire se déroulait sur plusieurs semaines, nous prîmes la décision de louer un gîte plutôt que de séjourner à l’hôtel.


Au début du séminaire, tout le monde faisait connaissance et, des affinités commençant à apparaître, des petits groupes se formaient. Mon colocataire et moi étions au centre du nôtre composé de quelques collègues hommes ainsi que d’une jeune fille (un peu plus que la vingtaine), très charmante.

Très souriante, elle était svelte et surtout toujours habillée de façon élégante (petites blouses ou hauts assortis de jupes mettant en valeur ses longues jambes parfaites). Ces tenues lui allaient parfaitement bien et mettaient en valeur son corps mince. Elle s’appelait Léa.


Dès le début j’avais remarqué sa beauté et surtout son allure, mais n’étant pas célibataire, je n’y accordais pas plus d’attention. De plus, apprenant qu’elle ne l’était pas non plus et qu’elle venait tout juste d’emménager avec son Jules, aucune ambiguïté n’était possible. Léa n’était pas en déplacement, le séminaire avait lieu dans les bureaux de l’agence de notre société où elle travaillait toute l’année. Elle habitait dans une ville voisine avec son copain. Ils formaient tous les deux le stéréotype du couple formé au collège : ils étaient ensemble depuis plus de sept ans et n’avaient chacun connu qu’une seule personne dans leur vie (aussi bien en amour qu’en sexe).




Léa


Au cours du séminaire, d’autres avaient également choisi l’option du gîte et des petits « afters » ou dîners étaient improvisés deux à trois fois par semaine tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre. Lors de ces afters, je discutais beaucoup avec Léa. Bien que timide et peu bavarde, nous partagions beaucoup de points de vue et avions le même sens de l’humour. J’aimais beaucoup la taquiner et, à chaque petite pique, je récoltais un de ces regards pleins de malice que j’adorais et qu’elle faisait avec ses grands yeux, un de ses principaux atouts. On aurait dit des yeux de manga qui lui ajoutaient un charme fou et pouvaient déstabiliser n’importe qui !


Bref, le courant passait bien, très bien. Cependant, avec mon colocataire, nous constations que quelque chose la travaillait de façon continue et au fur et à mesure qu’elle nous parlait de sa relation avec son compagnon, la source du problème semblait évidente ! Son copain semblait être un garçon immature, jaloux, possessif et qui, étant rentré dans une routine de vieux couple, ne faisait plus aucun effort pour la séduire ou la satisfaire tous les jours.


Ayant déménagé pour la suivre, il n’avait pas d’emploi et ne faisait aucun effort pour en trouver un. Ses journées consistaient à glander devant la TV, ne connaissant personne dans le coin, il n’appréciait pas que Léa puisse s’amuser et passer du temps hors du boulot avec des collègues. Ce qui me paraissait le plus triste était la résignation de Léa. Cette situation paraissait justifiée, voire normale pour elle. Nous avions beau lui expliquer qu’il fallait du piquant dans une relation, de la passion, casser la routine, qu’elle devait avoir des étoiles plein les yeux au moment d’en parler, elle trouvait des excuses et n’ayant connu que ça, n’avait ni point de comparaison, ni possibilité d’imaginer autre chose. L’illustration de cette triste routine était leur vie sexuelle. Un rapport toutes les deux semaines maximum d’une durée de dix minutes dans les meilleurs (préliminaires inclus) et aucun orgasme à l’horizon…


Cette situation m’a donné envie de faire quelque chose pour la « réveiller ». Je me suis dit qu’il fallait lui montrer comment devait se comporter un petit ami, c’est-à-dire en gentleman, et ce qu’elle devait réellement en attendre. Bien sûr, je pensais essentiellement au comportement de tous les jours, pas à celui de toutes les nuits, et, après tout, j’étais en couple, elle aussi, il ne pourrait rien se passer… L’objectif étant qu’elle se rebelle un peu, prenne son destin en main et fasse changer son compagnon, sûrement pas qu’elle se sépare.




Opération séduction


L’opération séduction commença doucement, mais surtout innocemment. Le matin, à l’arrivée de Léa, je la complimentais régulièrement sur la façon dont elle était habillée, bien coiffée, jolie, sur son parfum qui sentait très bon et lui correspondait parfaitement. Lorsqu’on sortait d’une salle ou d’un bâtiment, je lui tenais la porte, je faisais tout pour la mettre au centre de l’attention et faire en sorte qu’elle se sente importante, valorisée. Bref, énormément de petites attentions.


Les différents afters ou dîners s’enchaînaient également. Elle était conviée, je m’occupais de préparer des petits plats tous meilleurs les uns que les autres. Je pense que, petit à petit, elle comprenait comment devait se comporter un homme qui voudrait séduire. Cependant, ce que j’ignorais, c’est qu’au lieu de travailler à ce que son couple s’améliore, c’est l’effet contraire qui se produisait. Cette part d’ennui dans son couple s’était transformée en fossé, puis le fossé avait fait place à un gouffre. Elle n’avait plus l’envie de rentrer chez elle et passait de plus en plus de soirées avec nous. Son copain lui faisait de plus en plus de reproches et s’éloignait.


La réelle première ambiguïté entre nous apparue un week-end où j’étais rentré chez moi. Elle m’écrivait des messages en me racontant de ce qui n’allait pas dans son couple puis la conversation dévia sur les semaines à venir et les futurs plats à cuisiner :


« Tiens, j’en ai rêvé l’autre soir, tu cuisinais, mais tu étais nu sous ton tablier. Le repas était excellent, le dessert encore meilleur…


Ses messages étaient plus désinvoltes que d’habitude, j’étais surpris de son comportement. Je plaçais ça sur le ton de l’humour, cependant un début de doute apparut.


La semaine suivante tout continua comme si de rien n’était, dont ma petite opération séduction. Cependant, la situation de son couple se dégradait à grande vitesse et un matin elle arriva très triste. Elle passa l’ensemble des sessions, soucieuse, à textoter. À la fin de la journée, elle nous annonça que son homme venait de faire ses affaires et de quitter le logement. Décidant qu’elle ne devait pas rester seule, nous l’invitâmes à dîner chez nous. Cependant, le moral n’y était pas et au bout d’une demi-heure, elle s’isola dans la chambre de mon colocataire pour pleurer. Je la rejoignis pour tenter de la consoler, tout d’abord en discutant avec elle, mais les paroles restèrent sans effet. Je la pris donc dans mes bras puis, instinctivement, commençai à lui faire des bisous. Tout d’abord sur le haut du crâne, puis sur le front, puis sur les joues là où perlaient ses larmes. Elle se laissait faire et ce traitement semblait l’apaiser.



Je continuai donc mon traitement, lui embrassant toujours le front, les joues, continuant à descendre, à sentir son parfum fruité, envoûtant, jusqu’à ce que le coin de me lèvres chevauche légèrement les siennes. Toujours pas de réaction, je retente un deuxième baiser « ambigu » et aucune désapprobation. Son visage est entre mes mains, je suis touché par cette belle fille triste qui ne me rend pas indifférent et, cette fois, j’y vais franchement, mes lèvres contre les siennes. Elle lève alors légèrement la tête pour en redemander et nous continuons à nous embrasser tendrement d’abord uniquement avec nos lèvres, puis, avec autant de tendresse, nos langues viennent s’entremêler.


Cette situation inattendue m’émoustille. Je sens un début d’excitation dans mon jogging « maison » et une petite bosse se forme, inaperçue heureusement.



Ce qui clôt notre séance « câlins ». Nous sommes désormais un peu gênés. Heureusement, un petit mot sur le ton de l’humour nous détend tous les deux. Nous redescendons comme si de rien n’était et la soirée continue sans rien de notable. Les jours suivants, le sujet n’est pas évoqué et tous les membres du groupe s’appliquent à essayer de la faire sourire et penser à autre chose qu’à sa séparation.




Une nuit pleine d’excitation


Nous arrivons finalement à la fin de la première partie du séminaire. La majorité des gens rentrant chez eux le vendredi soir, je fais le choix du samedi matin afin de ne pas voyager tard. Étant le seul externe à rester et Léa seule chez elle, je lui propose d’aller dîner en ville. Elle accepte et me répond qu’après nous pourrions même regarder un film chez elle. C’est ainsi qu’en sortant du séminaire, j’achète une bouteille de vin à boire et déguster devant le film puis j’en profite pour m’habiller de façon élégante et direction un restaurant bien noté, plutôt gastro avec un beau cadre.


Peu habituée à ce genre de restaurant (son ex ne l’emmenait que très rarement au restaurant, pas du tout dans ce type-là et, quand c’était le cas, c’est elle qui réglait l’addition…) Elle est impressionnée, peu bavarde, mais affiche un grand sourire. Sa séparation est derrière elle et ne semble plus la tracasser. Le repas est excellent, le vin également, et, à la fin de celui-ci, elle semble étonnée que je règle l’intégralité. À la sortie du restaurant, nous allons directement chez elle et nous installons, bouteille ouverte, devant le film. Elle me demande si elle peut venir se blottir conte moi et, avant que j’aie eu le temps de répondre, la voilà installée.


Les cinq premières minutes du film se déroulent calmement, sa main caressant ma cuisse, mais nous paraissons tous les deux absorbés par le film. Puis, d’un coup, elle se redresse et sans aucune hésitation vient m’embrasser. Ses baisers sont langoureux, comme s’ils libéraient une retenue contenue depuis plusieurs heures. Nous langues apprennent à se connaître, malgré la seule expérience de son ex elle embrasse plutôt bien. Je mordille ses lèvres, je joue avec la pointe de sa langue, je me sens bien, après tout, embrasser ce n’est pas tromper… Puis elle se lève :



J’éteins la télévision, puis je la suis dans sa chambre. Elle disparaît alors dans la salle de bain. J’enlève tous mes vêtements excepté mon caleçon, ce dernier bastion qui quoiqu’il arrive ne devra pas tomber. C’est alors qu’elle revient et s’arrête sur le seuil de la porte, en T-shirt et avec un shorty en dentelle qui met parfaitement en valeur la courbure de ses petites fesses rebondies. Elle est si belle et tellement désirable : une peau claire et lisse, de longues jambes fines, un ventre plat qui apparaît timidement entre son shorty et son T-shirt, ses tétons dont la forme se dévoile à travers le tissu et ses grands yeux qui me regardent…


Impossible de deviner ses pensées ! Néanmoins, je sens désormais une petite retenue, elle n’a pas l’habitude de ce genre de situation. Nous prenons place dans le lit et elle vient se coller à moi.



Elle se redresse et enlève son haut. Ses seins apparaissent, ils sont magnifiques, pas énormes (85C, je dirais), mais d’une très jolie forme (anatomique) et se tiennent bien hauts, ils doivent être fermes ! L’un d’eux est décoré de taches de rousseur. Les tétons pointent, je ne saurais dire si c’est d’excitation ou à cause de la température. Ils m’invitent à les dévorer. Il ne m’en faut pas plus, je ne peux plus me contrôler et, avant qu’elle ait fini d’enlever le haut, ses hanches sont entre mes mains et son sein droit dans ma bouche. Ma langue commence à s’occuper de son téton, le lèche, joue avec, le stimule, le titille. Puis je passe au sein gauche avant de l’embrasser langoureusement. Nous sommes dans son lit, quasi nus, nos deux corps en contact, peau contre peau, moi au-dessus, main droite sur sa hanche, main gauche au niveau de ses fesses, elle en dessous, ses mains dans mon dos, à nous embrasser langoureusement pendant de longues minutes.


Mon excitation ne fait plus aucun doute et déforme mon caleçon. La bosse de mon sexe en érection est plus que visible, même dans la pénombre et je suis collé contre elle. L’excitation continue de monter au profit de ma raison et bientôt toute pensée de fidélité ou de retenue m’abandonne. Je veux continuer à explorer son corps avec ma langue, je veux qu’elle libère mon sexe de sa prison, je veux la prendre, lui faire l’amour. Mes mains cherchent les bords de son shorty pour lui enlever, mais, à ce moment-là, elle m’arrête net :



Je n’en crois pas mes oreilles, aucun doute dans ses mots. Je me mets alors en tête de la faire changer d’avis en faisant monter son excitation… Ma langue continue de parcourir son corps, tantôt ses jambes, tantôt son ventre, un long moment sur ses seins, mais lorsqu’elle s’approche de sa culotte, je me heurte à son refus.


Après plusieurs tentatives, je commence même à douter de mes talents de séduction et d’amant. Je la fais donc basculer au-dessus de moi, commence à remonter ma main le long de sa cuisse et, avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, glisse deux doigts sous la dentelle de sa culotte. Elle les enlève aussitôt, mais j’ai le temps de constater que son excitation est au moins aussi intense que la mienne. Sa culotte est totalement humide et la chaleur qui s’en dégage est impressionnante. Rassuré, mais malgré tout frustré, je décide après plus d’une heure de bécotage d’adolescents de me résigner, après avoir de nouveau profité des zones qui m’étaient accessibles et je m’endors avec elle dans mes bras.




Douche crapuleuse


Au petit matin, le réveil sonne. La nuit a été courte. Plusieurs fois réveillé avec une excitation impressionnante dans mon caleçon, nos petites séances « câlin » se sont répétées toute la nuit entre de petits sommeils. Il est temps de me préparer pour mon train et mon retour de trois semaines à la maison, avant la deuxième et dernière partie du séminaire.


Lorsque Léa le réalise, elle se met à pleurer, en silence. Gêné, je la prends dans mes bras en lui rappelant que cette nuit était une exception, une bêtise et que l’un comme l’autre nous ne pouvions rien en espérer. Mais le fait de se retrouver seule et les bons souvenirs de la nuit n’aident pas à lui remonter le moral. Je lui propose alors une petite douche commune. Elle acquiesce de la tête et je la prends par la main et l’emmène dans la salle de bain.


Je fais couler l’eau, me mets face à elle et lui demande d’enlever mon caleçon. Elle est hésitante et gênée à l’idée de se retrouver nue devant moi, mais surtout de me voir également nu. Elle s’exécute, se baisse et descends mon boxer. Mon sexe est libéré et après une telle nuit de privations, se retrouve bien dressé à hauteur de son visage. Elle le regarda furtivement puis rougit et se relève aussitôt. À mon tour je m’accroupis et fais descendre son shorty. Je découvre une petite toison taillée. Je ne peux m’empêcher d’envoyer ma langue en exploration, deux ou trois petits coups qui la font frémir, puis je me relève.


Elle entre en premier sous la douche et je viens me placer juste derrière elle. Pendant que l’eau chaude coule le long de nos corps, je vins me coller à elle. Mes mains parcourent son corps, prennent possession de ses seins, les caressent, jouent avec ses tétons… Ma bouche vient se perdre le long de son cou et, pendant ce temps, mon sexe vient se glisser entre ses jambes, entre les deux lèvres de son vagin. Le frottement de mon sexe contre le sien me procure un plaisir immense et m’excite encore plus, je sens cette excitation s’accumuler en plus de celle de cette nuit, la chaleur si particulière de son entrejambe et son humidité n’ont rien à voir avec la douche.


Léa a fermé les yeux et entrouvert la bouche, entre son excitation et sa timidité, elle est comme paralysée et m’est totalement offerte. Je n’ai qu’à ajuster le mouvement de mon bassin et mon sexe prend tout seul possession du sien, sans aucune résistance. Cependant, je ne veux pas trahir sa confiance et j’ai récupéré mes esprits. Après cette nuit, cela serait dommage de céder au dernier moment, surtout vis-à-vis de ma femme. Je décide donc de ne pas m’immiscer en elle.


La douche crapuleuse continue et je décide de lui laver le corps. Avec un peu de savon, mes mains parcoururent l’intégralité de sa peau, ses seins ont droit à un traitement de faveur et, enfin, je puis aller visiter ce lieu interdit. Ma main en profite pour titiller son clitoris. Celui-ci est particulièrement gonflé et, malencontreusement, pendant que ma main joue avec celui-ci, elle glisse et mon majeur se glisse dans son petit minou avec un mini gémissement de surprise au passage, quelle maladresse ! C’est ensuite à son tour de me savonner. Ses gestes sont hésitants et elle n’ose pas explorer l’intégralité de mon corps. Je saisis donc sa main par le poignet et la pose sur ma verge bien droite. Elle fait quelques va-et-vient, mais ne s’attarde pas.


Nous sortons de la douche, puis après m’être habillé et avoir bu un café, je l’embrasse et me sauve.