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Temps de lecture estimé : 74 mn
10/01/16
Résumé:  Presque deux ans se sont écoulés depuis mon mariage avec Angeline, que je ne regrette absolument pas, même si souvent ma charmante femme et élève se révèle plus que douée, voire rouée.
Critères:  fh ff 2couples couplus voir intermast fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio historique -entrecoup
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
1709 - Les Cinq-Bois


Ce texte est un arc narratif de l’histoire 15264 (1707 – Les cinq questions).


Il n’est pas indispensable d’avoir lu le récit initial.





Presque deux ans se sont écoulés depuis mon mariage avec Angeline, un peu plus de vingt mois que je ne regrette absolument pas, même si souvent ma charmante femme et élève se révèle plus que douée, voire rouée. J’avoue qu’ainsi, je ne tombe point dans la routine.


De temps à autre, je retourne à Versailles auprès de notre grand roi vieillissant, faire acte de présence, et jamais bien longtemps, car entre ce grouillement de courtisans mielleux et fielleux, et ma douce et tendre épouse, je n’hésite absolument pas ! De plus, Louis le Quatorzième est fort occupé par les suites du terrible hiver que nous avons eu, la Seine ayant gelé, et même le bord de mer ! Puis, hélas, la disette s’est installée en plus de la guerre avec la plupart des royaumes voisins. Notre bon Roi a même lancé un appel au peuple qui a été lu dans toutes les églises du royaume. Que Dieu nous vienne en aide !


Moi, égoïstement, je me moque de tout ceci, je suis en train de poursuivre ma femme à travers les différentes pièces du château de mes aïeuls, les Mestrevant. Alors que j’étais à deux doigts de pouvoir enfin capturer ma femme, je tombe nez à nez avec mon père, intrigué par tout ce charivari :



Assez interloqué, mon père ne répond pas, et semble chercher ses mots. Derrière lui, ma femme passe la tête dans l’embrasure de la porte afin de savoir pourquoi je ne suis plus sur ses talons. Voyant le dos de mon père, elle se recule précipitamment pour qu’il ne la découvre pas, m’adressant au passage un bref geste de la main accompagné d’un petit sourire moqueur, avant de disparaître de ma vue. Je lui aurais bien envoyé un bisou, mais ce serait signaler sa présence à l’auteur de mes jours qui vient de retrouver le fil de ses pensées :



Une fois de plus, mon père en reste bouche bée, tandis que je jubile intérieurement ! Il secoue la tête pour lâcher d’un ton désabusé :



Mon père devient écarlate :



Je souris, mon père me tend décidément la perche :



L’auteur de mes jours lève les yeux au ciel, en même temps que sa canne enrubannée :



Avisant un fauteuil, mon père s’assied dedans, puis me lance :



Et je sors en courant de la pièce. Il ne me faut pas bien longtemps pour capturer ma biche juste derrière un bosquet. Et je viens cueillir ma récompense sous ses jupons qui me sont largement acquis ! Et il ne me faut pas bien longtemps pour que, du bout de la langue, je fasse jouir ma coquine et insatiable épouse…




--ooOoo--




En ce milieu d’été, nous sommes partis depuis hier matin, et d’ici quelques heures, nous serons enfin arrivés chez mon ami Jean-Armand que je n’ai pas vu depuis un certain temps. J’ai demandé à ma femme de se vêtir assez simplement, car les robes trop amples se marient mal avec l’intérieur d’un carrosse. En bonne épouse, elle m’a obéi.



Du bout de son éventail, gracieusement, elle me désigne une certaine protubérance au sommet de mes chausses.



Un peu surpris, j’hésite entre faire comme si de rien n’était, ou de m’occuper sérieusement de ma chère et tendre femme. Était-ce une invitation déguisée, ou une simple constatation ? Je reste sage ou moins sage ? C’est un cahot de la route qui décide pour moi en nous jetant l’un sur l’autre.


Je ne cherche pas à comprendre, je profite de la situation, je l’embrasse tout en égarant une main sous ses deux jupons légers. Elle ne s’oppose nullement à mon baiser, ni à ma main, écartant même les jambes pour que je puisse mieux remonter. Mes doigts touchent son petit bosquet, puis dénichent dans son nid douillet, un mignon bouton que je taquine avant de m’en occuper plus assidûment. Elle soupire d’aise, jambes largement écartées pour me faciliter la tâche.


Son petit con est déjà tout détrempé, je me fais un plaisir de cueillir sa mouille pour mieux agacer son clitoris bien roide. Je m’amuse à décrire de larges cercles taquins autour de cette tour érigée, le frôlant très souvent, sciemment !


Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour qu’elle jouisse malgré les chaos du chemin. Ou peut-être aidée par ceux-ci… Elle se pelotonne contre moi, comme très souvent après être repue. Je l’enlace. Elle reste blottie ainsi. J’aime ces instants.


Soudain, elle me lance :



Elle change soudain de conversation :



Elle me bouscule légèrement :



Elle ne répond rien, se contentant de me fixer, les yeux brillants. Je m’approche d’elle, bien décidé à cueillir un baiser sur ses lèvres sucrées, et même plus. Soudain, le carrosse s’immobilise. Intrigué et un peu dépité, j’ouvre un petit volet puis je passe la tête dans l’écoutille qui sépare les deux cochers :



Je sors du carrosse, le vent souffle actuellement assez fort dans le Marquenterre. En effet, plus aucune indication, pas même une borne. Pourtant, j’aurais juré qu’il y avait une indication, la dernière fois que j’étais venu. Je regarde la position du soleil, d’où vient le vent, j’hume l’air qui est à présent salin. J’opterai bien pour la gauche. Au pire, je tombe sur Saint-Quentin-en-Tourmont, qui est proche d’une lieue de l’endroit qui m’intéresse.



Puis après un dernier coup d’œil, je remonte dans le carrosse, rejoindre ma femme. Celui-ci reprend la route assez chaotique. Peu après, Angeline m’interroge, vaguement inquiète :



Empressé, je m’approche à nouveau d’elle, bien décidé à continuer ce que j’avais commencé, il y a peu de temps. Les yeux toujours brillants, sourire aux lèvres, elle me répond :



Une phrase à double sens, mais qui va dans le sens qui me convient. Je passe mon bras autour de sa taille, elle ne proteste aucunement, je murmure :



Soudain, le carrosse s’immobilise à nouveau, une voix rude crie :



Encore un autre carrefour et déjà ? Un peu plus désappointé, je sors à nouveau, mais cette fois-ci, à la grande stupéfaction de mes cochers, je viens me jucher sur le toit du carrosse. Debout, je scrute l’horizon. Je distingue clairement un clocher. Je demande à Jean, l’assistant du cocher, de me rejoindre :



Je descends rejoindre ma femme. Je ne suis pas à l’aise dans mon titre de Monseigneur, mais comme je suis à présent l’héritier. Je m’assieds à côté d’elle, je passe mon bras autour de son épaule pour l’attirer à moi, et je dépose un doux baiser sur ses lèvres sucrées. Puis après une longue accolade très tendre, nos bouches se séparent à regret, elle pose sa tête contre mon épaule, et nous restons ainsi jusqu’à ce que, une dernière fois, le carrosse s’immobilise.



Nous sortons. Angeline est un peu surprise du vent, elle a juste le temps de poser sa main sur sa coiffe pour l’empêcher de s’envoler. Alors je noue son ruban rose sous son menton. Ceci fait, je vérifie du coin de l’œil où sont passés mes deux cochers : ils sont partis se libérer d’un besoin naturel plus loin. Puis, à la grande stupéfaction de ma femme, m’accroupissant, j’ôte ses chaussures, puis, m’approchant d’elle, je retire ses bas, elle se laisse faire. J’en fais ensuite de même pour moi, puis je dépose le tout à l’intérieur du carrosse.



Main dans la main, nous nous engageons vers une petite dune.



Nous marchons sur le sable chaud, lentement, car Angeline n’est pas habituée à cet environnement. À mi-chemin du passage dans les dunes, elle constate :



Et elle rit. Je l’accompagne. Encore quelques pas, puis au détour de la petite dune, nous arriverons face à la mer.



Personne sur cette vaste plage. Sauf au lointain, une barque et deux silhouettes. Des pêcheurs sans doute.



Elle se penche sur moi, pour me poser un furtif baiser sur la joue :



Je lui prends la main et je l’entraîne vers la mer, d’abord sur le sable sec puis sur le sable mouillé. Nous traversons ci et là des petites bâches pleines d’eau légèrement chaude, ça lui plaît beaucoup, elle s’arrange à rester le plus longtemps possible dedans. Puis petit à petit, les bâches deviennent plus profondes et plus froides. L’eau monte jusqu’à nos genoux. Elle pousse des petits cris quand le clapotis commence à caresser l’intérieur de ses cuisses toutes blanches, car elle est obligée de remonter ses deux jupons pour ne pas les mouiller.



Enjouée, elle rit :



C’est à moi de rire !



Elle n’a pas tort de demander la précision…



Elle rougit. Ça m’étonnera toujours, surtout quand je sais ce que nous faisons durant nos nuits et certains de nos jours. Nous continuons à marcher vers la mer. Soudain, je pense à voix haute :



Elle s’arrête, et dit doucement :



Elle reprend sa marche vers la mer :



Elle tourne sa tête gracile vers moi :



D’un bond, je la capture dans mes bras, elle pousse un petit cri de surprise. Je l’embrasse aussitôt, elle s’abandonne. C’est elle qui se sépare de moi peu après :



Quelques minutes plus tard, elle court comme une petite folle, jupons haut relevés, parmi les vaguelettes, dans de grandes gerbes d’eau salée. Plus tard, fatiguée, endormie dans mes bras, portant avec délicatesse mon précieux fardeau, je rejoins le carrosse, elle si frêle, si attendrissante…




--ooOoo--




Alors que l’après-midi touche doucement à sa fin, nous arrivons enfin au château de nos hôtes, les Maye-Authy, au lieu-dit des Cinq-Bois. Le carrosse s’immobilise aux pieds du grand escalier en pierres blanches. Je sors le premier afin d’aider Angeline à sortir.



Angeline ouvre de grands yeux en découvrant un géant d’environ sept pieds de haut, venir à eux, bras largement ouverts :



Et mes pieds décollent de terre quand mon ami me serre contre lui. Il a toujours été démonstratif. Puis il me repose afin de demander :



Celle-ci amorce une révérence, Jean-Armand s’incline, je pense qu’il doit avoir une certaine vue sur le décolleté de ma femme… Je le reconnais bien là. Notre hôte se penche sur moi et me confie :



Et le géant remonte les marches du grand escalier. Angeline se penche vers moi :



Arrivé à l’intérieur, en homme du monde, Jean-Armand saisit la main d’Angeline et la baise comme il se doit ; sans doute aussi pour « goûter » ma femme… Précédés par mon ami, nous traversons diverses pièces pour arriver à un petit salon assez intimiste, au milieu une menue jeune femme attend, debout. Le géant se place derrière, accentuant encore plus la fragilité de la jeune femme qui n’a visiblement pas ses vingt printemps.



Je m’approche de cette petite, mais mignonne créature, pour baiser sa main :



Jean-Armand se contente de sourire, tandis que les deux femmes se saluent réciproquement. Quelques instants plus tard, tandis que nos femmes devisent comme si elles se connaissaient depuis des lustres, je demande en catimini à mon ami :



Je regarde prestement vers nos femmes, je secoue la tête :



Puis nous prenons momentanément congé de nos hôtes, une jeune chambrière nous conduit à notre chambre que je trouve très plaisante et bien disposée ; la jeune servante nous aide à défaire notre malle et à ranger son contenu. Mes deux cochers se sont déjà éparpillés dans le domaine, à la recherche sans doute d’une bonne fortune pour cette nuit…


Le repas est très agréable. Les femmes ont visiblement sympathisé. J’avais eu quelques doutes à ce sujet, mais elles ont au final beaucoup de points communs, dont un certain amour des livres. Je me suis alors demandé si ces points communs se poursuivaient jusqu’aux choses intimes de la chambre…


Puis c’est l’heure d’aller nous coucher, car après deux jours de carrosse, nous aspirons à un bon lit. Nous nous retirons dans notre chambre. Celle-ci est confortable, ni trop grande, ni trop petite, avec un balcon donnant sur le grand jardin à la Française et ses bassins symétriques. Une belle vue au clair de lune…


Tandis que nous nous déshabillons, Angeline me fait remarquer :



Je suis en chemise, assis sur le rebord du lit :



Elle semble sortir d’une sorte de rêve éveillé :



Elle ôte un jupon qu’elle pose sans égard sur une chaise à haut dossier :



Elle pouffe puis déclare :



Je m’approche d’elle :



C’est elle qui se rapproche de moi :



Elle sourit, les yeux brillants :



Je ne peux réprimer un frisson devant l’intensité de son regard et de la façon qu’elle a eue de prononcer ces mots. Elle continue :



Je ne me fais pas prier ! Je l’attire à moi, je la couche aussitôt sur mes genoux, et une première main claque sur ses fesses blanches qui rosissent. Docile, elle se laisse faire, elle sait parfaitement que c’est un prélude à bien d’autres jeux qu’elle adore et qu’elle réclame !




--ooOoo--




Baignée dans la lueur des bougies, allongée sur le ventre, ses mignonnes fesses bien en évidence, balançant les jambes, elle déclame :



Adossé à un large oreiller, j’attends la suite, me reposant de mon précédent assaut. Angeline ne lance pas sans arrière-pensée ce genre de fil dans l’eau de la conversation. Comme rien ne vient, je me décide :



Elle croise et décroise les jambes :



Elle rit, croisant et décroisant toujours les jambes :



Elle pose ses talons sur ses fesses, jouant à les faire tressaillir :



Elle lève les yeux vers le plafond, cherchant ses mots… Elle hésite, puis en me regardant, poursuit sa phrase :



Ma femme va un peu plus vite que je ne l’aurais cru. De plus, elle prend des initiatives. Quelque part, je ne puis lui dire non, c’est bien moi qui l’ai initiée.



Elle redresse, s’agenouille auprès de moi, ses seins délicats trop proches de mon nez et aussi de ma bouche qui salive déjà :



Elle s’approche un peu plus près, ses seins à portée de mes lèvres :



Il est vrai qu’avec ce genre d’argument, il m’est difficile de dire non…


Inutile de préciser que notre fin de soirée fut torride, et c’est avec une grande satisfaction que je me suis écroulé jusqu’au petit matin dans les draps défaits.




--ooOoo--




Laissant Angeline dans la chambre, je descends saluer nos hôtes. Me voyant seul, mon ami demande :



Henriette-Louise intervient, l’air chagriné :



Puis sur ces bonnes paroles, nous nous sommes entretenus de tout et de rien. Versailles fut souvent le centre de notre conversation. La situation politique n’étant pas des meilleures, nous avions quand même quelques inquiétudes pour l’avenir du Royaume. J’ai été surpris par la profondeur des réflexions d’Henriette-Louise. Qui a dit que le sexe faible était sans cervelle ? Jean-Armand avait fait un bon choix. Je me suis même demandé s’il ne faisait pas la même chose avec sa femme que moi je ne faisais avec la mienne…


Il faudra que je sonde le terrain auprès de mon ami. Car plus Henriette-Louise parlait, plus je me disais que je retrouvais des morceaux d’Angeline en elle.


Puis quittant momentanément mes hôtes, je me suis dirigé vers notre chambre, officiellement pour m’enquérir de la santé de ma femme. Arrivé sans bruit à la porte, j’ôte mon chapeau et je pose l’oreille sur le panneau laqué : des bruits incongrus, mais pas inconnus, retentissent !


J’en conclus que ma chère femme est arrivée à ses fins. Mais je serais fort aise de pouvoir voir ça de mes yeux. Hélas, j’ai promis de ne pas entrer la déranger en pleine action. C’est alors que je songe au balcon de notre chambre. J’avise la fenêtre la plus proche que j’ouvre aussitôt sans bruit. Environ dix pieds me séparent du balcon désiré. Je baisse la tête ; il y a une corniche d’à peine un pied de large. J’aurais aimé plus, mais il faut savoir se contenter de ce qu’on a sous la main, ou plutôt sous le pied !


Avec précaution, plaqué contre le mur, mon chapeau entre les dents, je progresse vers le balcon. J’espère ne pas tomber. J’espère aussi ne pas être surpris dans cette position par nos hôtes ! Peu après, j’enjambe le parapet du balcon convoité, puis m’accroupissant, je remets mon chapeau puis je jette un coup d’œil dans la chambre. Je ne vois rien ; il me faut changer d’endroit. C’est à quatre pattes que je change de côté. Ah ma chère coquine de femme, que me faites-vous faire !


Je jette à nouveau un coup d’œil dans la chambre et je découvre deux corps féminins dénudés dans le lit. Je reconnais sans problème celui de ma femme ; je suis assez surpris des courbes de son amante : ma femme a décidément un bon coup d’œil. Je n’aurais pas supposé que cette Toinette fut si avenante ! Je me redresse pour avoir un meilleur point de vue. Mes yeux à la hauteur de la commode qui jouxte la fenêtre, j’ai à présent un beau spectacle sous les yeux !


Elles sont parties toutes les deux dans une figure de style que les libertins ont chiffrée comme étant un trois fois vingt-trois. C’était un sujet de plaisanteries entre nous, quand je faisais mes humanités, que de prendre un paquet de trente-deux cartes, de les retourner et d’annoncer à la cantonade qu’on désire deux autres jeux de cartes ainsi ! Ne comprennent alors que les initiés… et aussi certaines dames toujours prêtes à rendre service…


Quelque chose me dit que la Toinette en question n’est pas une débutante dans les amours saphiques, ce qui n’est pas un mal pour Angeline. En tout cas, j’ai sous les yeux un gracieux spectacle que bien des hommes paieraient très cher. On dirait qu’au petit jeu auquel mes donzelles se livrent, ce soit Angeline qui perde. J’en ai confirmation en la voyant jouir sous les coups de langue efficaces de sa chambrière !


Que ma femme est adorable dans sa jouissance !


Après qu’elle se fut un peu reposée, c’est elle qui enfouit sa tête entre les blanches cuisses de Toinette qui apprécie énormément l’initiative. Elle se caresse voluptueusement les seins qu’elle a assez lourds et avenants. Je la vois trembler de plaisir avant de se laisser aller à son tour à la jouissance. Ma femme lape visiblement avec ravissement toute la mouille qui envahit le con de cette libertine. Mon vit bien roide aimerait bien qu’on lui fasse la même chose !


Les deux femmes sont épuisées et reposent à présent dans les bras l’une de l’autre. Moi, j’en profite pour quitter mon poste d’observation, très réjoui d’avoir vu ce que j’ai pu découvrir derrière la fenêtre. Je repasse par la corniche puis par la fenêtre ouverte. J’attends un peu afin de retrouver une bonne contenance avant d’aller rejoindre mes hôtes. Je prétexterai qu’Angeline était assoupie et que je l’ai veillée un peu, ce qui est plausible. Au pire, mon hôte pensera que nous avons fait quelques galipettes, mais je le vois mal me le reprocher, lui qui était de toutes les sorties festives possibles et imaginables quand nous étions sous les ordres de Sa Majesté !


Ensuite, je patienterai un peu avant de revenir dans notre chambre. Ma femme sera peut-être alors moins occupée…




--ooOoo--




Angeline est descendue à mes côtés pour le repas du midi. Quand je suis entré dans la chambre, elle n’a rien dit, mais son visage radieux parlait pour elle. Patient, je lui demanderai son impression et des détails plus tard.


Le repas est très agréable, ma femme joue très bien son rôle de petite chose moulue par le dur et difficile voyage, c’est une rusée ! Je me dis même qu’il faudra que je me méfie dans certains cas, tant elle paraît crédible !


Le repas pris, nous nous baladons, tous les deux, dans le parc de nos hôtes, promenade digestive, et bon bol d’air pour ma femme soi-disant souffrante. Nous devisons de tout et de rien. Soudain, Angeline lance :



Pour toute réponse, j’éclate de rire. Angeline en fait autant.


Alors que nous arrivons à un petit pavillon de chasse, et que nous nous apprêtons à nous asseoir, Angeline demande à brûle-pourpoint :



Je sens indistinctement un danger :



Adossé au banc de pierre, je ris :



Elle est toujours debout, face à moi, en train de me dévisager comme si elle tentait de lire en moi. Elle ignore qu’à la Cour, on se doit de savoir se dissimuler des autres courtisans, tant la concurrence est rude, voire cruelle et sans pitié ! Et je ne suis pas mauvais à ce genre de jeu, même si celui-ci m’insupporte de plus en plus, surtout depuis mon mariage !



Elle s’assied à mes côtés, posant sa main sur la mienne :



Angeline rougit à ces mots, elle me surprendra toujours… Elle éclaircit sa voix avant de reprendre :



Je lui capture les mains :



Elle ne répond rien, elle se contente de poser sa délicate tête sur mon épaule. Nous restons quelques instants ainsi, sans rien dire, parmi les arbres qui bruissent.


C’est elle qui rompt le silence :



Je la serre très fort contre moi, à l’étouffer :



Je la relâche aussitôt, elle souffle, une main sur sa poitrine :



Elle se lève, en souriant :



Elle rit doucement :



Et aussitôt, elle s’agenouille entre mes jambes, et avec dextérité, elle met à jour mon dur mandrin, celui qui s’occupe d’elle tous les jours ou presque. Tandis qu’elle le taquine, elle commence à raconter son expérience lesbienne :



Elle donne un petit coup de langue sur le bout de mon gland tout écarlate. Je tressaille un peu, c’est très efficace ! Je réponds du mieux que je peux :



Et elle engloutit ma verge entre ses lèvres et commence une splendide fellation, jouant vicieusement de la langue autour de ma tige veinée ! Je sens que je ne vais pas résister bien longtemps, surtout que j’ai toujours devant les yeux les deux corps féminins en train de s’offrir mutuellement du plaisir !


Il n’y a pas à dire, ma femme sait s’y prendre avec la verge des hommes. J’imagine bien qu’un jour, elle s’attaque de la sorte à dix, vingt verges, qu’elle les épuise les unes après les autres, joyeusement, coquinement ! Ce voluptueux spectacle me plairait bien ! Ma si délicate Angeline en train de s’occuper de tant de verges à la fois !


Je serre les dents, il y a des choses auxquelles il ne faut pas songer dans pareil cas ! Cette coquine a dû bien sentir que j’avais quelques soucis, car, à présent, elle s’active vicieusement et j’ai des difficultés à me retenir !


Soudain, elle capture mes boules soyeuses et les masse avec application tandis que sa bouche se fait encore plus charmeuse. Un premier jet fuse, lourd de sperme, sa langue caresse lascivement mon gland, je soupire :



Un second jet bondit dans cette bouche si accueillante et suave, je me libère, j’expulse, j’explose. C’est divin que de remplir de foutre une si jolie bouche, sa verge dure et virile entre de si exquises lèvres roses ! Je me sens transporté vers d’autres cieux, nettement plus ravissants que ceux promis par la religion. Le paradis sur terre est finalement nettement plus intéressant que l’hypothétique enfer de l’au-delà ! Surtout dans la bouche sensuelle d’une délicieuse et adorable catin qui sait indéniablement s’occuper d’une verge, et qui continue de la choyer après qu’elle se soit entièrement vidée !


J’adore le regard trouble qu’elle m’envoie, une fois qu’elle m’a ôté de sa bouche souillée, ses lèvres barbouillées de sperme, puis sa petite langue rose qui lèche voluptueusement les traces poisseuses…


Main dans la main, joyeusement, nous retournons au château. C’est alors que je réalise que ma femme ne m’a finalement pas parlé de son expérience matinale avec Toinette !




--ooOoo--




Le soir commence à tomber. Après le repas, nous devisons, Jean-Armand dans le petit salon quand soudain ma chère femme entre dans la pièce, l’air assez contrarié, ayant visiblement quelque chose à me dire. Me levant à moitié, je dis à mon hôte :



Je m’isole dans un coin reculé avec elle. Angeline me confie alors d’un air navré :



Délicatement, je l’attire à moi :



Elle prend un air pensif, un doigt sur les lèvres :



Me penchant un peu plus, je dépose un preste baiser sur ses lèvres roses auquel elle répond avec une certaine ardeur. Après cette petite conversation, nous profitons de nos hôtes, nous parlons un peu de tout, nos femmes s’exercent parfois au clavecin, nous jouons un peu aux cartes avec de menus gages, dont le plus osé est un petit baiser entre Adeline et Henriette-Louise, répété trois fois, il est vrai. Je soupçonne mon ami d’avoir testé les bonnes dispositions de ma femme, mais n’ayant pas réussi à gagner, ce n’est jamais tombé sur lui. Pour ma part, je comprends qu’il semble y avoir une possibilité, mais pas tout de suite, du moins, pas ce soir.


Tardivement, nous prenons congé de nos hôtes après moult embrassades. Arrivée la première dans la chambre, Angeline me déclare sans complexe, une fois la porte fermée :



Je ne réponds rien, pensif. Ça confirme ce que je pensais. J’aide ma femme à ôter son corset, d’autant qu’elle ne peut pas y arriver seule. Et puis, ça m’amuse de le faire, de révéler lentement sa blanche chemise assez transparente, et de goûter des yeux les courbes de son corps que je connais si bien à présent, mais dont je ne me lasse point ! D’ailleurs, m’en lasserai-je un jour ?


Le corset enlevé, je m’allonge sur le lit, me calant dans les oreillers, puis j’ordonne à ma femme et élève :



Elle s’exécute avec grâce, ce n’est pas la première fois que je lui propose une amazone, et je sais qu’elle aime cette position, car elle peut mieux contrôler mon pieu en elle, et se donner ainsi un maximum de plaisir. Mais j’ai prévu autre chose…


Avec lenteur, elle pivote, elle ondule autour de mon mandrin rivé en elle. Visiblement, elle apprécie beaucoup ! J’aime voir se peindre petit à petit sur son visage la couleur du plaisir puis celle de la jouissance… Je la laisse profiter de moi encore quelques instants. Elle ferme les yeux pour mieux profiter du plaisir qu’elle s’inflige.


Avant qu’elle ne parte complètement, je décide de passer à la suite :



Ce qui ne l’empêche pas de se retirer pour positionner ma verge juste à son entrée des artistes. Je lui ordonne :



Elle guide sans faiblir mon gland vers sa sombre entrée, puis quand elle pense avoir trouvé le bon angle, elle s’assied posément dessus, le faisant entrer lentement mais sûrement dans ses profondeurs. Elle pousse divers soupirs au fur et à mesure que mon vit disparaît en elle.


Puis arrive le moment où tout a été englouti en elle. Elle soupire longuement, l’anus écarté, ses entrailles envahies. Elle demande :



Elle exécute ce que je lui ai ordonné. Elle pivote, ondule, se tord autour de mon pieu de chair. Elle le fait sortir un peu pour mieux replonger dessus. Elle halète, elle soupire longuement, mais elle ne faiblit pas, en bonne élève appliquée qu’elle est. Soudain elle accélère son va-et-vient autour de ma verge qui commence à souffrir un peu de cette malaxation forcenée. Elle se pistonne carrément sur mon vit que je vois sortir puis entrer dans son étroit tunnel. Les bougies jettent sur elles leur lueur blafarde, étirant les ombres de ses courbes si féminines, faisant luire ses lèvres entrouvertes.


Je constate qu’Angeline commence doucement à décoller, je décide de la faire retomber un peu sur terre, la leçon étant loin d’être finie :



Je me repositionne mieux, pour jouir du spectacle qu’elle va m’offrir. J’espère ardemment que je ne craquerai pas entre-temps, car ça promet d’être très excitant dans la dégradation ! Et je reconnais avoir une petite arrière-pensée, mais je tiens à vérifier les aptitudes de mon élève.



Docile, elle se positionne comme je le lui ai indiqué, sans s’évader de mon mandrin fermement rivé en elle. Une fois arrivée en bonne situation, elle constate :



Admirable ! Ma femme est impudiquement ouverte à mes caprices, ses délicates lèvres intimes à ma portée. Je me fais un plaisir de jouer avec, d’abord doucement puis de plus en plus rudement. Durant ce temps, elle pivote lascivement autour du pieu qui la rive à moi. Je décide de franchir un premier pont :



J’arrête de jouer avec ses lèvres, pour mieux me caler sur les oreillers :



Angeline semble avoir compris les nouvelles règles du jeu. Je vais donc me faire un plaisir d’entamer la partie. Et une incroyable chevauchée commence, autant de mon fait que de l’ardeur qu’elle y met !


Au bout d’un certain temps, je préfère lui demander de se retirer, car je crains que mon cinquième membre finisse par subir bien des mortifications, tant cette chevauchée est diabolique ! Ma femme ne s’est guère ménagée depuis tout à l’heure, et en a fait de même pour moi !



Elle s’exécute sans discussion. Sa délicieuse sucette me permet de reprendre contenance et surtout faire que ma verge ne soit plus soumise à un traitement forcené ! J’aime son cul, je l’adore même, mais ses lèvres et sa langue sont très douces !


Puis j’exige d’elle à nouveau diverses choses, la traitant en vraie fille à soldat, elle semble beaucoup apprécier ce nouveau jeu, en élève appliquée qu’elle est depuis notre mariage. Oui, je ne pouvais pas rêver de meilleure femme et maîtresse qu’Angeline !


Je me surprends à caresser ses cheveux. Elle lève alors la tête, ses yeux sont brillants, elle sourit étrangement. Je fronce les sourcils pour paraître plus méchant, mais elle ne change pas d’expression pour autant. J’ordonne :



Me tournant lascivement le dos, elle est agenouillée, le séant bien en évidence, la tête dans l’oreiller, les bras en arrière, abandonnée, totalement docile. Pas tout à fait l’image d’une fille à soldat, mais ce n’est pas déplaisant ! Je suis en train de lui ramoner impétueusement le con, sans trop d’égard, comme je le faisais parfois juste après une bataille, pour oublier l’odeur de mort qui nous imprégnait tous, comme pour faire la nique à tous ces malheurs, pour me sentir vivant et puissant.


C’est une période de ma vie que j’aurais aimé effacer de ma mémoire, même si souvent elle revient périodiquement à mon esprit. Angeline m’aide beaucoup à oublier, à sa façon…



Elle se laisse faire passivement, totalement abandonnée à mes coups de boutoir. Mon corps claque sur ses fesses dont les masses tremblotent sur les divers impacts, telles des masses gélatineuses. Ton corps est au diapason de mon braquemart qui rythme impitoyablement son con offert et défoncé. C’est une immense jouissance que de la posséder ainsi, sans retenue, bestialement !



Je ne résiste pas bien longtemps et dans un grand râle, je me vide en elle, férocement, en longues salves, tout en la pistonnant sans relâche, indifférent à mon sperme qui déborde, qui dégouline ! A-t-elle joui ? Je ne sais pas ! Sans doute, si j’en crois certains tressaillements. Je dois reconnaître que sur le moment, j’ai un peu oublié d’être un mari équitable…


Peu importe ! Emporté par mon élan, je continue à plonger en elle et à sortir, tant que ma verge, qui s’amollit de plus en plus, me le permet encore ! Et même si j’en mets partout ! C’est si bon de revenir à des comportements primitifs ! Trop bon !


Puis épuisés, nous nous effondrons dans les draps. Pas pour bien longtemps, car bien vite, nous reprenons nos turpitudes, Angeline ne semblant pas détester son nouveau rôle de fille à soldat. Et bien sûr, je me fais un plaisir de lui enseigner ce que je sais et même un peu plus ! Il y a toujours moyen d’explorer certaines voies qu’on aurait aimé sillonner sans avoir osé le faire à l’époque ! La relation professeur-élève est décidément bien pratique !


Hélas, tout possède une fin, même les meilleures choses ! Et bien même que l’appétit vienne en mangeant, nos corps ont finalement besoin de repos, nous ne sommes malheureusement que des êtres humains. La Divine Providence n’a pas toujours bien fait les choses ! Quelle tristesse de devoir s’arrêter quand l’esprit veut et que le corps n’en peut plus…


Nous sommes avachis dans les draps complètement froissés et souillés, l’un contre l’autre. Dans un dernier sursaut, je me redresse pour souffler et moucher les chandelles. Puis à nouveau enlacés, nous nous endormons bien vite !




--ooOoo--




Après cette nuit assez mémorable, nous avons dormi, Angeline et moi, une bonne partie de la matinée. Ce fut un doux réveil très tendre, bien différent des turpitudes d’hier, comme quoi nous pouvons avoir en nous une face blanche et une autre noire, tel des Janus à deux visages… Plus tard, Jean-Armand et moi devisons dans un petit salon, nos femmes faisant dehors la causette en ce début d’après-midi. Je demande sans fard à mon hôte :



Attrapant sa chopine, mon vis-à-vis soupire :



Il brandit sa chopine, j’en fais de même. Il sourit :



Puis nous buvons. C’est lui qui attaque sans détour :



Posant sa chopine, il rit bruyamment :



Il rit bruyamment à nouveau :



Sans attendre ma réponse, il se lève et va vers la fenêtre. Après avoir jeté un coup d’œil, il dit simplement, d’un ton enjoué :



Je me lève pour aller voir à mon tour ce qu’il y a derrière la fenêtre. Comme je le pensais, il fait bien allusion à nos deux femmes qui devisent près d’un bosquet parfaitement taillé. Mon ami est resté un peu trop longtemps dans l’armée, il en a gardé quelques rudes manières peu compatibles avec la Cour. Peut-être est-ce mieux ainsi…


Soudain, il s’enflamme :



En effet, ce n’est pas faux. Posant ma main sur son épaule, je réponds :



Hilare, il se tourne vers moi :



Il s’appuie contre le mur qui borde la fenêtre. J’attends la suite, même si je pense avoir une petite idée de ce qui va être dit… Il se décide peu après :



Enjoué, il s’esclaffe :



Il ne répond rien, nous nous contentons de regarder à nouveau nos femmes en train de papoter avec enthousiasme. C’est alors que je pose la question qui me trotte dans la tête depuis que je connais Henriette-Louise :



Je me contente de sourire ; amusé, il me regarde du coin de l’œil. Je développe ma pensée :



Il regarde une fois de plus par la fenêtre. Je lui demande :



Je pose à nouveau ma main sur son épaule, tout en souriant :



Jean-Armand pose son front contre la vitre :



Rêveur, je regarde mieux par la fenêtre :



Les mains sur les hanches, il soupire :



Étonné, je lui fais remarquer :



Soudain, Jean-Armand reprend du poil de la bête :



Je suis assez surpris de cette proposition. Il y a bien des années, elle ne m’aurait pas étonnée alors que nous étions tous les deux dans l’armée, mais là, il s’agit de nos épouses légitimes et non de filles à soldat ! Je le fais remarquer :



Je lui explique, ça l’amuse beaucoup. Une fois mon histoire achevée, il me donne une grosse bourrade dans le dos qui manque de me faire choir, et il s’esclaffe :



Sur ce, il ouvre grand la fenêtre et hèle les deux femmes :



Puis il se tourne vers moi :





--ooOoo--




De retour du dehors, nos deux femmes sont à présent avec nous, dans le salon. Je m’approche de la mienne et je lui glisse à l’oreille :



Durant ce temps, Jean-Armand s’entretient avec sa femme qui rougit. Les yeux grand ouverts, elle se tourne vers nous et bafouille :



Henriette-Louise bredouille :



Et aussitôt, sous le regard étonné de ma femme, elle relève tous ses jupons pour venir allonger son buste sur la table, les fesses délicatement blanches, encore plus mises en valeur par les bas et leurs rubans. De sa large main, Jean-Armand caresse ce mignon petit fessier et demande à Angeline :



Sans sourciller, il révèle au grand jour sa grosse verge. Écarquillant les yeux, ma chère femme lui répond néanmoins sans ciller :



Angeline se tourne vers moi, me questionnant du regard. Je lui murmure :



Elle s’exclame :



À petits pas, Angeline s’approche du couple. Elle interroge du regard sa nouvelle amie qui lui répond en souriant. Elle demande à Jean-Armand :



Toujours allongée sur la table, fesses nues, celle-ci répond, enjouée :



Elle s’approche alors de Jean-Armand, puis d’une main, elle capture la base de sa grosse verge palpitante :



Ils se déplacent de quelques pas, Angeline dirigeant Jean-Armand par le vit comme s’il s’agissait de la main d’un enfant. Puis elle s’agenouille, capturant le mandrin de chair à deux mains :



Angeline ouvre grand la bouche et accueille sans ciller le gros gland écarlate. Jean-Armand soupire d’aise, il apprécie vivement ces nouvelles lèvres qui s’occupent ainsi de lui. Henriette regarde avec attention. Elle n’est visiblement pas une oie blanche, et mon ami a dû le deviner assez vite. Angeline câline de la langue la large tige, suivant du bout de la langue diverses veines palpitantes, avant d’aller chapeauter à nouveau un gland qui semble se gonfler encore plus, envahissant sa bouche, déformant ses joues.



Et je m’agenouille devant cette belle croupe offerte, jouant de la langue du mieux que je puis. La réaction à mes caresses insidieuse est assez rapide ; déjà la cyprine humecte ses lèvres intimes. Je me fais un plaisir d’aller boire à cette source. Henriette-Louise soupire d’aise. Mes doigts remplacent ma langue, et commencent à taquiner un petit bouton rose qui s’avère être très sensible. Mon nez remonte dans le sillon fessier où je déniche un petit trou palpitant. Je m’aperçois que celui-ci s’entrouvre déjà, sans doute l’habitude, surtout quand on connaît l’importance du pieu qui s’enfonce dans ce délicat endroit.


Durant ce temps, Angeline joue toujours avec son nouveau jouet qu’elle manipule avec dextérité malgré son épaisseur. Jean-Armand est aux anges, je le comprends ! Alors que je joue sensuellement de la langue à l’orée de son anus délicatement ouvert, Henriette-Louise s’agite, vibre, halète ! Son mari me lance :



Ôtant la verge raide de sa bouche, Angeline proteste :



Entre deux soupirs d’aise, celle-ci arrive à répondre :



Jean-Armand s’approche de sa femme, je m’écarte un peu, je positionne ma main autrement pour continuer à masturber Henriette-Louise. Puis posément, il darde son gland plein de salive vers l’entrée sombre et pousse pour venir s’engloutir sans trop de difficulté, tandis que sa femme gémit faiblement. Angeline ne peut s’empêcher de s’exclamer :



Et sans vergogne, il commence des va-et-vient pour s’enfoncer pouce par pouce entre les fesses tendues de sa femme. Je dois reconnaître que ça me fait tout drôle de voir un tel engin s’enfouir dans un si frêle petit cul !


Henriette halète, je ne saurais dire si c’est l’effet de mes doigts ou celui du mandrin qu’elle a à moitié en elle. Ou les deux. Jean-Armand marque un petit temps d’arrêt, puis écartant bien les fesses de sa femme, il s’enfonce lentement et impitoyablement jusqu’à la garde, tandis qu’elle hulule. Puis il relève la tête, majestueux :



Soudain, il commence à pistonner furieusement sa femme ; elle se débat, mais elle le ne chasse pas. Il accentue ses terribles va-et-vient, sortant presque pour venir ensuite disparaître totalement. Henriette-Louise s’agrippe à la table, poussant des tas de petits cris désarticulés, subissant cet assaut impitoyable, les fesses bien tendues vers son tortionnaire.


Puis elle se dresse à moitié, se fige…


Elle explose, jouissant comme une petite folle, toujours pistonnée sans relâche par son mari qui, visiblement, éjacule en elle dans un grand râle bestial.


Angeline et moi sommes assez impressionnés par cette sodomie très ardente ! Rivé dans sa femme, Jean-Armand reste immobile, sans doute pour bien ressentir sa présence en elle. C’est quelque chose que j’aime bien faire, moi aussi. Je retire ma main toute détrempée des lèvres moites d’Henriette-Louise. À ma grande surprise, ma femme s’en saisit pour lécher un de mes doigts. Comme visiblement elle aime, elle lèche mes autres doigts.


Après un faible grognement, Jean-Armand se retire lentement des entrailles de sa femme qui reste prostrée sur la table, secouée par diverses vagues. Abandonnant ma main, fascinée, Angeline s’approche, mettant presque son nez sur la tige qui s’extirpe peu à peu du corps de sa nouvelle amie.


À peine le gland est-il sorti qu’elle le capture dans sa bouche, le savourant comme un bonbon, saisissant la tige molle et poisseuse de ses deux mains, indifférente à la souillure de ses doigts. Jean-Armand se tourne alors vers moi et dit d’une voix hachée :



Envoûté, je regarde Angeline qui s’active toujours autour de sa nouvelle friandise. Puis me tournant vers la femme de mon hôte, je suis impressionné par l’ouverture béante qu’elle possède encore entre les fesses, d’où ruisselle un foutre qui dégouline suavement le long de ses cuisses puis de ses bas…


Je me dis alors que ça ne fait que commencer !




--ooOoo--




Après, tout s’est enchaîné avec une facilité stupéfiante, une sorte de tourbillon des sens, nos femmes nues, ayant néanmoins gardé leurs bas, leurs rubans qu’il a fallu remettre plus d’une fois. J’ai pu goûter à la saveur onctueuse du fruit d’Henriette, tout comme Jean-Armand a pu le faire avec Angeline. J’ai pu couvrir deux corps de femmes de moult baisers, de caresses à la fois voluptueuses et insidieuses…


Nous avons fait beaucoup d’agaceries entre nous, découvert petit à petit les autres corps, goûté, caressé, patiné, mordillé. Henriette a peut-être un physique de poupée quand elle est vêtue, mais c’est incontestablement une femme, une fois ses habits ôtés. Et c’est une bonne découverte pour moi. De son côté, Angeline ne semble pas se lasser de découvrir son nouveau et géant partenaire.


À présent, nos femmes sont à quatre pattes, toutes les deux, elles sont face à face, leurs lèvres soudées dans un long et sensuel baiser. C’est très émoustillant de voir à quel point elles sont devenues plus qu’amies. Peut-être un souvenir du couvent. Nous, les hommes, nos mains sur leurs hanches charnelles, nous sommes agenouillés entre leurs jambes, en train de les prendre de concert en levrette. Nous synchronisons nos va-et-vient en elles, profitant de ce moment de parfaite harmonie. Je me laisse aller à dire :



Fourrageant toujours ma femme avec volupté, levant les yeux, je réponds :



C’est ma femme qui répond à ma place :



Nous échangeons nos places. C’est avec un grand plaisir que je dirige puis enfonce ma verge dans l’antre accueillant et humide d’Henriette qui semble apprécier ma venue en elle. De son côté, Jean-Armand s’apprête à entrer dans ma femme qui appréhende un peu la chose.



Jean-Armand se contente de rire. Guidant précisément son gland, il s’introduit sans trop d’effort dans ma femme qui se pince les lèvres, anxieuse. Il demande :



Puis, par-dessus nos femmes toujours à quatre pattes, Jean-Armand me dit :



Jean-Armand rit de bon cœur :



Puis doucement, délicatement, il commence ses va-et-vient, ma femme est partagée entre le plaisir et la crainte. J’en fais de même, cherchant le meilleur angle dans le vagin offert. Soudain, Henriette me souffle :



Je m’applique au mieux, comprenant ce qu’elle essaye de me dire en catimini. Il est vrai que son mari explore plutôt plus loin, alors que certaines femmes préfèrent qu’on reste plus au bord, elles sont plus sensibles et réceptives ainsi. Mon expérience des femmes m’a fait savoir qu’il y a des femmes qui préfèrent très profondément, certaines moins, d’autres juste au bord, et même pour certaines, ce n’est pas du tout !


Je crois avoir trouvé le bon endroit, au vu des réactions de ma partenaire de jeu. Angeline subit les yeux fermés, la bouche ouverte, l’entrée progressive en elle du gros mandrin de mon ami qui s’applique à ne pas forcer trop les choses et ma femme. Elle gémit :



Durant les instants qui suivent, je vois bien qu’Angeline subit l’assaut intrusif de son amant du jour. La sueur perle sur son front, elle a peur, elle a envie. Elle désire être complètement comblée, écartelée. Face à elle, Henriette l’encourage, baisant parfois ses lèvres.



Jean-Armand projette son bassin en avant, entrant visiblement de toute sa longueur dans ma femme. Surprise, elle crie :



Et il commence à la pistonner dans vergogne ! Elle crie, elle hurle, elle se tord, elle proteste, mais jamais, elle ne se dégage. Elle s’offre impudiquement à ce sexe de cheval qui la laboure. De son côté, excitée, Henriette se laisse aussi aller, tortillant de la croupe pour mieux me ressentir en elle. C’est ensemble que nos femmes jouissent dans de multiples cris !


Quelques instants après, c’est dans leurs bouches avides que nous nous soulageons à notre tour ! Insatiables, elles boivent tout jusqu’à la dernière goutte.




--ooOoo--




Nos femmes se reposent ensemble dans le canapé d’angle. Verre en main, nous récupérons à notre façon. Jean-Armand me confie :



Il vide son verre :



Il se ressert un autre verre et change de sujet :



Nous restons là à contempler nos femmes endormies.



Il se contente de sourire, il boit à moitié son autre verre. Il le regarde puis le pose sur la table :



Et c’est en effet la fête, la célébration des corps…


Après quelques agaceries pour remettre nos chères femmes dans le bain, je constate qu’elles sont fin prêtes pour bien d’autres aventures ! À commencer par ma femme qui semble avoir jeté son bonnet par-dessus tous les moulins du comté !


Angeline est actuellement agenouillée sur le canapé, dos tourné, les jambes bien relevées, présentant impudiquement ses deux entrées. La mine effrontée, elle s’adresse sans détour à Jean-Armand qui la lutine sans relâche depuis son réveil :



Pour toute réponse, il vient positionner son sexe bien raide sur l’entrée convoitée. Angeline précise quand même :



Tandis que sa femme part à la recherche de l’ingrédient recherché, Jean-Armand écarte bien les fesses convoitées, met un coussin dessous, puis pose son gros gland sur la petite cuvette de l’anus d’Angeline qui se prépare à l’assaut.



Elle se détend un peu, il en profite pour pousser son sexe en elle. Les doigts crispés sur les coussins, elle respire bruyamment durant l’introduction puis pousse un petit cri quand le gland s’engloutit d’un coup en elle.



Henriette revient avec l’ingrédient. Elle se penche sur son amie :



Angeline la regarde droit dans les yeux :



Tandis que Jean-Armand se prépare, se badigeonnant de beurre, avisant un siège bas, je m’en empare pour m’asseoir dessus. Puis j’attrape Henriette pour l’attirer à moi :



C’est en riant doucement qu’elle s’exécute de bonne grâce, s’empalant sur mon sexe pointé vers les cieux. Je soupire d’aise quand je me sens entrer dans ses profondeurs humides et chaudes. J’enserre sa taille de mon bras puis je pose mon menton sur son épaule, tandis que je caresse un sein qui tient merveilleusement dans ma main. Elle se laisse faire. J’en profite alors pour glisser vers son ventre, puis son pubis afin de lui procurer du plaisir. Elle arrête mon geste et murmure à mon oreille :



Jean-Armand a commencé son travail d’introduction sous nos yeux attentifs. Son pieu coulisse petit à petit dans la sombre entrée. Angeline respire de façon saccadée, presque comme si elle accouchait. Le parallèle me frappe, ayant déjà assisté à diverses naissances. Jean-Armand se retire un peu, au soulagement de ma femme, mais c’est pour mieux revenir, sous un angle différent. Visiblement, ça passe mieux, la moitié du sexe de mon ami est à présent dans le corps de ma mie qui a commencé à se masturber pour supporter cette violation contre nature.



Jean-Armand rit :



Il se retire un peu à nouveau, puis replonge lentement en elle. Toujours sur mes genoux, Henriette se trémousse, excitée. J’en profite pour pincer délicatement son téton. Elle apprécie, se plaquant un peu plus sur moi, tout en commençant à se caresser l’autre sein.


Angeline ferme les yeux, gémissant doucement. Agiles, ses doigts jouent avec ses lèvres, avec son petit bouton rose turgescent. Son ton monte un peu quand son tourmenteur commence à coulisser doucement en elle, s’avançant à chaque fois plus loin en elle. Les va-et-vient deviennent de plus en plus amples, elle se tord, mais résiste, vaillante. Je vois bien que cet énorme pieu la tourmente, mais elle le réclame malgré tout.


Soudain, Jean-Armand s’immobilise :



C’est alors qu’Henriette me fait comprendre qu’elle souhaite que je l’entreprenne. Ce que je fais sur le champ, il ne faut jamais faire attendre une dame. Tandis que je torture toujours un téton et qu’elle se caresse l’autre sein, entre ses cuisses largement ouvertes, mes doigts câlinent, caressent, frôlent son intimité très réceptive ! Elle ondule autour de mon vit planté en elle, cherchant son contact en elle. Tendue comme un arc, elle me susurre :



Je l’embrasse dans le cou, elle se raidit. Elle proteste mollement :



De son côté, Jean-Armand a commencé son travail d’artilleur, il coulisse à mi-chemin, entrant, sortant sans pitié pour le pauvre rectum de ma femme qui se tord sous l’effet conjugué de ce supplice et de ses doigts qui agacent son clitoris. Jean-Armand donne un bon coup de reins pour tout entrer :



Satisfait, il ressort un peu, attend quelques secondes, puis s’enfonce à nouveau sans aucune mansuétude :



Il se retire un peu à nouveau, Angeline attend le prochain coup, se masturbant comme une folle. Mais ça ne se passe pas comme prévu, car à présent, il la pistonne frénétiquement :



Henriette fait des efforts désespérés pour se contenir ; pour l’aider, je ralentis un peu. Merci, me souffle-t-elle. Jean-Armand est reparti dans un pistonnage plus violent, chaque coup faisant tressaillir ma femme. Elle souffre, mais elle aime, c’est évident. Une facette d’elle que je n’avais pas explorée…



Démoniaque, il lui donne de grands coups qui se fichent profondément en elle, c’est assez incroyable ! Henriette est subjuguée par ce spectacle décadent. Moi aussi, je le reconnais…



Il explose, éjaculant dans de grandes secousses, tandis que ma femme crie de multiples fois :



Pour toute réponse, Jean-Armand se contente de grogner, occupé à se soulager dans l’anus déformé d’Angeline. Devant cette scène avilissante, Henriette jouit à son tour intensément, se trémoussant autour de mon vit ancré en elle. C’est alors que je me laisse aller, maculant l’intérieur de son vagin si accueillant, sentant ensuite mon sperme dégouliner sur mes testicules, mes cuisses. C’est dans un brouillard que je vois Jean-Armand s’extirper des profondeurs de ma femme pour lui imposer une grosse couleuvre baveuse dans la bouche, chose visqueuse qu’elle accepte sans broncher, comme en adoration.




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Après nos exploits, une bonne heure plus tard, je devise avec mon hôte qui range divers papiers, tandis que nos femmes font la causette dans une autre pièce.



Il se tourne vers moi :



Puis nos femmes sont entrées dans la pièce, Angeline venant se planter devant Jean-Armand. Elle annonce :



Il se gratte la tête :



Interrogatrice, Angeline se tourne vers moi :



Angeline se penche vers moi, puis murmure prestement à mon oreille :



Inclinant la tête, elle se redresse, me sourit puis elle nous tourne le dos, rejoignant son amie :



Elles s’assoient toutes les deux, l’une à côté de l’autre. C’est Henriette qui continue la conversation dont nous sommes exclus :



Saisissant le bras de sa voisine, Angeline rit :



Et elle embrasse Henriette qui répond à son baiser, sous nos yeux étonnés.


Je pensais bien que notre venue ici serait l’occasion de franchir une étape, comme ce fut le cas avec Toinette, mais je ne pensais pas que ça irait si loin en si peu de jours, là où je pensais raisonnablement en avoir pour des mois dans le meilleur des cas. Le reste de notre séjour me prouva qu’une autre page avait été écrite.




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Puis il a fallu partir. Nous aurions aimé rester encore quelques jours, ce que nous avons fait, mais nous ne pouvions pas plus. Après une dernière nuit mémorable, Angeline dans la chambre de notre hôte et Henriette dans la mienne, nous nous sommes séparés, bien tristes.


Notre carrosse a déjà parcouru la moitié du chemin. Angeline dort contre mon épaule, moi, je regarde le paysage en songeant à ce qui s’est passé ces derniers jours. Je songe au terrible hiver que nous avons subi, il y a quelques mois. Notre domaine a été miraculeusement assez épargné, mon père avait raison de dire que nos terres avaient quelque chose de particulier. Je crois surtout que votre petite vallée est abritée des vents trop froids, tout en étant exposée au sud, ce qui a limité les dégâts. Ce qui n’a pas empêché d’avoir moult arbres fruitiers qui ont éclaté sous l’intensité du gel ! Par bonheur, le blé semé tardivement est sorti de terre, et même s’il ne porte pas autant de grains que les autres années, avec nos réserves, nous devrions nous en sortir. Du moins, je l’espère, car la guerre n’arrange pas les choses.


Tout ceci, je l’ai caché à Angeline, je ne désire pas l’inquiéter avec ces problèmes d’intendance. Et puis, que pourrait-elle faire ? Je la préfère joyeuse et sa chaleur me fait tant de bien !


En parlant de chaleur, j’ai cru comprendre qu’un des cochers n’était pas trop ravi de repartir chez nous. Par contre, l’autre aspirait manifestement à revenir. Un heureux, un malheureux. À moitié malheureux, car je lui ai signifié que nous reviendrons de temps à autre, et là, son visage s’est éclairé.


Angeline vient de se réveiller. Nous discutons un peu de tout, surtout de nos amis et de ce que nous avons pu faire ensemble. Elle est positivement ravie de son séjour, mais avoue qu’elle est aussi bien contente de revenir au domaine, retrouver son foyer. Soudain, sans raison apparente, elle change d’attitude :



Secouant la tête, elle soupire :



Elle rit franchement :



Elle se ressaisit aussitôt, devenant plus sérieuse :



Et je lui explique. Elle me pose diverses questions auxquelles je réponds au mieux. Puis elle s’immobilise, perdue dans ses réflexions. Soudain elle déclare :



Elle rougit, elle toussote, puis elle reprend :



Et je l’embrasse, elle se laisse faire, coulant son corps contre le mien.


Je me laisserais bien aller, et aller plus loin, mais Angeline me repousse délicatement. Ses yeux brillent étrangement, je la soupçonne d’avoir en tête une idée assez spéciale. J’attends donc la suite qui ne tarde pas à venir :



Je pose mes mains sur mes genoux, pour éviter la tentation de la prendre dans mes bras :



Ma chère femme m’étonne ! Je n’en demandais pas tant ! Il est vrai que ça peut nous aider beaucoup par la suite, c’est indéniable. Nous sommes assez près de Versailles tout en étant assez loin. Fidèle à une certaine habitude, j’argumente :



Prestement, elle saisit mes mains, fébrile de son idée qui suit son cheminement :



Elle n’en dira pas plus ; avidement, je me jette sur elle. Malgré l’exiguïté du lieu, nous faisons l’amour de grandiose façon, nos corps qui se cherchent, qui se veulent.


Ce séjour fut une belle expérience. Et Angeline est assurément la femme idéale et coquine que je rêvais, elle est docile, inventive, imaginative et avide d’apprendre. Il ne me reste plus qu’à être le meilleur professeur qu’il soit pour elle et à ne jamais la décevoir ! Aurais-je assez d’une seule vie ?



Un grand merci à Jakin pour ses divers conseils…