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n° 17227Fiche technique15110 caractères15110
Temps de lecture estimé : 9 mn
15/01/16
Résumé:  Les trompés commencent la punition.
Critères:  fh 2couples extracon cocus collègues vengeance fellation cunnilingu pénétratio -vengeance
Auteur : Coquin63            Envoi mini-message

Série : Le supplice de Tantale

Chapitre 02 / 03
Crescendo

Résumé du précédent épisode : Christine et Daniel ont découvert que leurs conjoints respectifs Paul et Delphine ont une liaison amoureuse.



Effectivement la nuit fut longue pour Delphine et Paul. Surtout que rapidement après s’être couchés, essayant de ne pas se toucher, les premiers gémissements n’ont pas tardé à leur parvenir. Et ça a duré longtemps ! Plus longtemps que lorsqu’ils baisaient, avec moins de bruit certes, mais longtemps. Et le pire, c’est qu’ils entendaient bien que Christine et Paul y prenaient du plaisir, le même plaisir qu’eux même prennent d’habitude avec leur mari et femme.


Lorsqu’ils vont se coucher, Christine et Daniel n’ont nullement l’intention de faire l’amour. Mais ils sont excités. La soirée s’est déroulée comme prévu, mais elle a fait monter la pression chez eux. Voir les deux amants si soumis les a perturbés.


Alors que Daniel est assis sur le lit, en boxer, il voit Christine sortir de la salle de bain, uniquement vêtue d’un long tee-shirt. Il ne peut s’empêcher de la désirer, et ça se voit vite. Christine s’approche alors de lui.



Et, regardant la bosse du boxer, alors qu’il la regarde dans les yeux.



Il l’enlace, et la serre fort. Elle met sa tête dans son cou, il sent son souffle chaud. Il la repousse doucement sur le lit et l’embrasse, tendrement. D’abord les lèvres, puis les yeux qu’elle a fermés. Ses mains la caressent d’abord sur le tee-shirt et, alors que les lèvres atteignent le cou puis les épaules, elles passent sous le vêtement et se saisissent des fesses qu’elles palpent doucement.


Christine n’est pas inactive, et, alors que les premiers gémissements sortent de sa bouche quand Daniel lui retire son tee-shirt, elle met la main dans le boxer et commence à le branler.


Ils vont ainsi se caresser longtemps avant que Daniel ne descende lentement vers le sexe de sa maîtresse, l’embrassant sur tout le corps pour atteindre son puits d’amour qu’il se met à lécher tendrement.


Après un premier orgasme, qui a été entendu depuis la chambre à côté, Christine fait allonger Daniel sur le lit, et le prend en bouche. Elle le suce, le lape, le mordille. Daniel est aux anges et des grognements lui échappent. La fellation est lente au début, comme une découverte, puis elle accélère petit à petit, faisant monter le plaisir, mais s’arrêtant juste à temps.


Christine remonte alors le long du corps de son amant. Elle parsème son ventre et son torse de centaines de petits bisous avant de l’embrasser à pleine bouche. Ils s’enlacent, et elle s’empale doucement sur la verge tendue, faisant jouer ses muscles intimes autour du pieu tout au long de la descente.


Ils font ainsi l’amour une bonne partie de la nuit. Christine a eu plusieurs orgasmes que Paul a parfaitement entendus. Delphine aussi a compris que Daniel et la femme de son amant ne baisaient pas, elle a compris qu’il y avait plus que ça dans cette étreinte.


Delphine et Paul le savent, tout a changé ce soir. Ce qu’ils ont entendu leur fait terriblement mal, mais ça les excite. Ça les excite beaucoup, mais ils ne craqueront pas, ils ne se toucheront pas, même s’ils en meurent d’envie. Ils veulent reconquérir leurs époux respectifs donc ils subiront.


Le samedi matin, lorsque Delphine et Paul se rendent à la cuisine, toujours nus, ils trouvent Christine et Daniel en train de converser tranquillement devant un café.



Delphine le regarde, alors qu’il lui sourit.



Elle est contente et elle se précipite pour l’enlacer. Daniel la serre dans ses bras quelques instants, alors que Christine fait de même avec Paul. Les étreintes sont tendres. Daniel reprend la parole :



Quand ils sont assis, le plus loin qu’ils puissent l’un de l’autre, Daniel et Christine se posent entre eux, chacun à côté de sa moitié, dos à dos. Dans un bel ensemble, ils commencent à les caresser. Pendant que Daniel s’occupe des seins de sa femme, Christine caresse le torse de son mari. Lentement, ils descendent vers les deux sexes.


Paul est en érection, et Delphine écarte les cuisses, laissant Daniel s’emparer de son abricot. Christine entame une masturbation, alors que les doigts de Daniel entrouvrent les lèvres de Delphine. Les premiers gémissements commencent à monter des gorges des deux amants nus. Le plaisir monte lentement, et ils sont presque à l’unisson.


Ils sont prêts à exploser, les têtes en arrière, les yeux fermés quand Christine et Daniel stoppent leurs caresses et se lèvent.



Il se penche vers Delphine et l’embrasse sur la bouche.



Et ils partent tous les deux.


Delphine et Paul passent une drôle de journée. Suite aux caresses de leurs époux, au souvenir des gémissements entendus durant la nuit, ils sont en état d’excitation permanente. Et, le fait d’être nus, l’un à côté de l’autre, n’ayant ni le droit de communiquer, ni celui de se toucher n’arrange rien. Delphine coule en continu, à tel point qu’elle doit faire suivre une serviette de toilette lors de ses déplacements. Paul de son côté est en semi-érection durant toute la journée, il en a presque mal.


Et puis tous deux se posent des questions. Que font Christine et Daniel ? Et que préparent-ils ? Les étreintes qu’ils n’ont fait qu’entendre cette nuit leur posent aussi problème. Ça n’avait rien à voir avec leurs ébats à eux, bestiaux, mais sans sentiments. Ils ont vite compris cette nuit que quelque chose de plus fort existait entre leurs époux, et ça les ronge tout en les maintenant excités.


Mais, s’ils veulent pouvoir retrouver l’amour de leurs conjoints, ils doivent se plier à leur volonté. Et comme tous les deux le désirent plus que tout, ils s’astreignent bien volontiers à leur punition.


De leur côté, Christine et Daniel sont partis à leur rendez-vous. Ils ont une bonne heure de route avant d’y parvenir. À peine partis, Christine pose une question :



Le silence s’installe dans la voiture jusqu’à ce que Daniel le brise au bout de quelques kilomètres.



Ils sonnent à l’entrée d’une grande bâtisse du XVIIIe située en pleine campagne. Une jeune femme leur ouvre la porte et, après avoir pris leurs identités, les invite à entrer.


Lorsqu’ils rentrent chez eux, peu avant 17 h 30, après avoir fait quelques courses, ils trouvent Delphine et Paul endormis chacun dans un fauteuil du salon. Ils les réveillent doucement, tendrement et, alors que Delphine est blottie dans les bras de Daniel et que Paul tient amoureusement Christine dans les siens, Daniel leur annonce la suite de la soirée.



Delphine et Paul écoutent, sans rien dire, à la fois rassurés et inquiets par les propos.



Les deux amants sont interloqués, ils ne savent comment réagir à cette demande. Paul s’adresse alors à Christine :



Delphine et Paul sont debout devant leurs époux assis dans les fauteuils. Delphine regarde Daniel comme si elle le voyait pour la première fois.



Delphine et Paul se regardent et, alors que leurs époux se lèvent dans un bel ensemble, ils se jettent sur eux.


Les vêtements volent à travers la pièce, quasiment arrachés des corps. Christine et Daniel sont nus en quelques secondes et se voient projetés sur le canapé. Alors, les deux amants plongent littéralement entre leurs cuisses.


Christine est surprise, elle a presque peur du désir qu’elle lit dans les yeux de Paul alors qu’il la regarde en lui mangeant la chatte. Il est si doux d’habitude. Là, il la dévore, sa langue danse follement sur ses lèvres intimes et sur son clitoris. Pas de caresse comme avant, pas de mots doux, juste sa langue qui la lape, ses dents qui la mordent, ses doigts qui la pénètrent, un puis deux, trois, alors que de la deuxième main il lui en met un autre dans l’anus. Elle sent monter le plaisir plus rapidement que jamais, une boule part de son sexe et monte au cerveau. Elle s’en étonne une seconde avant d’exploser, la bouche grande ouverte, les yeux révulsés.


De son côté, Delphine n’est pas en reste. Elle aussi, elle surprend Daniel. Elle qui sait si bien prendre son temps pour le mettre en condition, faisant durer longtemps une fellation, là, elle taille une pipe, elle ne le masturbe pas, elle le branle. Tout passe par sa bouche et sa langue, le gland, la hampe et les couilles qu’elle embouche. Elle mord aussi un peu, elle le dévore. Et, quand elle sent qu’il va se lâcher, elle l’embouche entièrement et se met à aspirer avec force. Alors, Daniel explose avec l’impression que son cerveau se liquéfie.


Lorsque Christine et Daniel rouvrent les yeux, ils voient leurs conjoints toujours à genoux devant eux. Leurs regards semblent à la fois interrogateurs et excités. Paul est en érection, alors que Delphine a les mains plaquées sur son sexe, essayant de limiter le flot de cyprine qui s’en échappe.



Delphine réplique :