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Temps de lecture estimé : 10 mn
07/02/16
corrigé 07/06/21
Résumé:  Un belle conférencière qui aime le sexe, un beau retraité qui aime et respecte les femmes et leur plaisir, et un inconnu très chanceux qui passait par là.
Critères:  fh fhh travail fdomine voir exhib ffontaine fellation sandwich fdanus hdanus -occasion -fhh
Auteur : Swingueur      Envoi mini-message

Série : Une très belle conférence

Chapitre 02 / 02
La conférence - Suite et fin

Résumé de l’épisode précédent :


Une très belle conférence

Une très belle femme descend d’un tramway et attire l’attention d’un jeune retraité désœuvré. Il la suit et découvre qu’il s’agit d’une conférencière. Il décide d’assister à la conférence et un très joli rêve l’emporte… La conférence commence et il se réveille !

La conférencière Katia Joly reprendra-t-elle le tramway pour retourner chez elle ?

Vous allez le découvrir maintenant.


__________________________




Katia Joly, la jolie conférencière, est assise derrière son bureau sur l’estrade. Ses fesses sont juste posées sur l’extrémité d’une chaise de bureau et sa jupe qu’elle a remontée pour s’asseoir plus facilement en me laissant admirer la lisière de ses bas et son string noir, découvre maintenant très largement ses cuisses.


J’ai choisi une place au premier rang et à droite de l’estrade. Je suis le seul à pouvoir apprécier cette vision très agréable car le bureau la masque aux yeux des autres spectateurs assez peu nombreux.

Elle commente avec assurance, d’une voix ferme, chaude et agréable les diapos qui s’enchaînent et dont elle contrôle le défilement avec son portable posé devant elle.

Son regard balaie régulièrement l’assistance et j’aimerais croire qu’il s’attarde, un peu plus souvent que nécessaire, dans ma direction…


Je n’écoute pas vraiment son discours. La conférence porte sur les neurosciences, sujet qui ne m’intéresse que très moyennement mais, lors de la présentation du contenu de son exposé, Katia a évoqué que depuis les années 2000, des sujets comme la récompense ou le comportement, étaient en partie expliqués par les neurosciences. Et en bonne communicante, pour mettre un peu de légèreté dans son propos, elle a ajouté avec un sourire entendu :



J’attends donc avec impatience ce chapitre qui devrait être un peu plus croustillant.

Régulièrement, pour souligner un point particulier, elle se lève pour utiliser un tableau blanc situé derrière elle. Elle procède toujours de la même façon et c’est un délice.

Elle imprime une rotation à sa chaise en prenant appui avec son pied et en ouvrant le compas de ses cuisses. À cet instant, je peux admirer à chaque fois, le haut de ses bas et tout au fond son string noir contrastant avec la blancheur de ses cuisses.


Elle prend ensuite appui sur le bureau puis se lève en me regardant avec un très léger sourire. Elle fait quelques pas, perchée sur ses escarpins, dessine quelques éléments sur le tableau blanc puis revient vers sa chaise. Elle reste parfois debout quelques instants pour poursuivre ses explications, avant de se rasseoir en me faisant admirer de nouveau à chaque fois ses trésors cachés au reste de l’assistance.


Mais cette fois, alors qu’elle est encore debout, tout en parlant, elle joue machinalement avec le feutre qu’elle avait utilisé pour griffonner… Et elle le laisse tomber… Maladroitement ?… Ou pas ? Elle s’accroupit en s’appuyant sur le bureau pour le ramasser. Elle est, à cet instant, totalement masquée aux yeux des participants par le bureau… sauf de moi. Elle relève la tête et très lentement, en me regardant intensément, ouvre ses cuisses. Beaucoup plus que nécessaire. Je baisse les yeux vers les jambes ouvertes, perchées sur ses escarpins, un mètre au-dessus de mes yeux, le spectacle est magnifique ! Le temps s’est arrêté ! Sa jupe est totalement remontée et je peux admirer le triangle étroit de dentelle noire moulant la fourche de ses cuisses, gonflé par son sexe. Mon regard est revenu vers son visage. Elle me fixe toujours, la bouche entrouverte, les lèvres brillantes. Comme à regret, elle resserre ses cuisses et se relève.


Elle a repris le fil de sa conférence. Elle semble légèrement essoufflée. Deux fois encore, son feutre lui échappe. Deux fois, elle me rejoue la même scène, de plus en plus lentement. Mon sexe dur est à l’étroit et me fait presque mal.


Et la conférence est terminée. Je n’ai pas vraiment compris les explications sur le comportement sexuel et le système des récompenses sexuelles associées au pénis/clitoris, qui est impliqué dans les apprentissages sexuels. Il faudrait faire quelques travaux pratiques.


Quelques questions sont posées, auxquelles elle répond avec le sourire. Et doucement les spectateurs quittent la salle. Je suis toujours assis cherchant désespérément une question intelligente sur les neurosciences et le comportement érotique lorsqu’elle se retourne vers moi avec un grand sourire, en me demandant :



Je suis évidemment très surpris, mais ravi de cette aubaine. Mes activités professionnelles m’ont souvent conduit à réaliser ce type d’opération. Je m’approche et gravis les trois marches de l’estrade. Elle s’écarte légèrement et se penche vers l’écran de son Mac pour me désigner le fichier à convertir. Sa cambrure s’accentue et sa jupe légèrement retroussée se tend sur ses fesses rebondies. Je suis à côté d’elle.

Elle pousse la souris vers moi. Je tends la main pour la saisir sans attendre qu’elle retire la sienne. Le contact de sa peau me fait frissonner. Elle enlève sa main, doucement, comme à regret. Sur un Mac, transformer un fichier Office en PDF est élémentaire. Imprimer ! Enregistrer au format PDF ! Le tour est joué.



Elle ajoute en se rapprochant :



Sa bouche entrouverte laisse apercevoir ses incisives entre lesquelles passe sa langue.

J’approche ma bouche de la sienne doucement. Elle ne bouge pas. Nos lèvres se frôlent, nos langues se trouvent… Notre premier baiser… Sa bouche aspire ma langue en gémissant. Elle me fait presque mal. Fougueux. Mes mains trouvent tout naturellement ses fesses fermes et douces à la fois. Je les caresse doucement… fermement. Mon sexe s’appuie sur son ventre. Elle ondule contre moi. Je sens ses seins contre ma poitrine. Je glisse doucement une main sous sa veste dans son dos. Je caresse sa peau nue. Elle soupire. Mon autre main descend et trouve le bas de sa jupe fendue, caresse l’arrière des ses jambes, de ses cuisses…


Elle s’écarte et glisse une main vers mon sexe et commence à me caresser à travers mon pantalon. Nos langues sont toujours emmêlées. Nos soupirs et parfois même nos gémissements emplissent la salle de conférence. Elle s’est attaquée à mon ceinturon… à mon zip… Elle tient mon sexe dans ses mains.



Le vouvoiement alors qu’elle me masturbe avec ses deux mains a quelque chose de surréaliste. Très excitant ! Soudain, elle s’écarte, remonte sa jupe et enlève très rapidement son string, puis s’accroupit en face de moi. Sa jupe est complètement retroussée, ses cuisses sont écartées, sa bouche entrouverte est à dix centimètres de mon sexe qu’elle tient avec une main.

Son autre main est maintenant entre ses cuisses. Elle se caresse en me regardant et… doucement sa bouche s’approche… sa langue lèche avec délicatesse l’extrémité de mon gland. Elle le suçote du bout des lèvres.

Elle ouvre enfin la bouche et m’engloutit lentement… profondément. Elle m’aspire la queue maintenant en gémissant et en faisant de longs va-et-vient. Sa main me caresse les couilles et lentement trouve mon petit trou qu’elle caresse très délicatement en m’observant. Je suis surpris mais j’aime ça. Peu de femmes osent cette caresse pourtant si agréable. Elle prend un peu de salive au bout de ses doigts et, en reprenant sa caresse, tout doucement elle enfonce son doigt… s’immobilise… et commence de délicieux petits mouvements au fond de moi.

Son autre main maintenant s’active plus vite entre ses cuisses. Elle gémit plus fort… moi aussi. Soudain, elle se relève, me pousse en arrière avec ses deux mains !



C’est un ordre… Ça ne se discute pas ! Mais avant de m’exécuter, j’enlève mon pantalon. Jamais je ne l’ai enlevé si vite. Je suis allongé sur le dos, mon sexe au garde-à-vous.

Elle monte sur le bureau en m’enjambant. Elle prend ma queue dans sa main et doucement approche son sexe. Elle me regarde, le regard un peu hagard. Elle gémit doucement en se caressant avec l’extrémité de mon gland. Elle est tellement humide…

Mon sexe glisse entre ses doigts, entre ses lèvres, contre son clitoris. J’ai ouvert sa veste et remonté les bonnets de son soutien-gorge. Ses seins sont magnifiques. Leurs extrémités sont dures. Je les caresse doucement du bout des doigts.

Elle gémit plus fort !



Elle accélère sa caresse… de plus en plus fort… et soudain, en s’empalant sur mon sexe, elle pousse un grand cri en libérant un flot de cyprine sur mon ventre ! Sa jouissance est impressionnante ! Mon sexe bute sur son utérus… Je ne peux pas aller plus loin… Elle se penche vers moi en soupirant et en fermant les yeux. Nos bouches se trouvent, nos langues se mêlent dans un baiser profond.

Je bande toujours. Mes couilles sont pleines. Je bouge doucement mon ventre… de petits va-et-vient… et je perçois bientôt ses muscles internes se contracter sur mon sexe en écho à mes mouvements.



Et soudain je l’aperçois ! À quelques mètres de nous, dans la salle, en contrebas.

L’homme qui contrôlait les billets à l’entrée. Le sexe à la main, il se caresse en nous regardant ! Il a dû entendre les cris…

Katia a perçu mon hésitation. Elle ouvre les yeux et le voit… et après quelques secondes, sans rien dire, elle tend la main vers lui en souriant ! Surpris, il hésite… me regarde, interrogateur. Je cligne des yeux en signe d’acquiescement. Il avance, monte sur l’estrade et approche son sexe de la main de Katia. Elle le saisit et le caresse doucement.


Je regarde sa main aller et venir sur cet autre sexe. Elle est toujours empalée sur moi.

Penchée vers moi elle m’embrasse tendrement… et en regardant sa main masturber l’autre, elle recommence son massage interne sur mon sexe. Nos mouvements s’amplifient doucement. Son bassin commence à onduler. Elle monte et elle descend en se servant de mon sexe comme d’un gode tout en continuant à branler l’homme. Elle gémit de plus en plus fort. Et soudain, se penchant vers moi, lâchant le sexe de l’homme, elle écarte ses fesses avec ses mains et ordonne :



L’homme se place derrière elle, mouille ses doigts en me regardant. Elle tressaille légèrement. Je sens son doigt qui bouge lentement contre ma queue.



Je sens de nouveau son deuxième doigt s’introduire. Sa main s’anime doucement.

Il me masse la queue en même temps. Je découvre sur le tard un plaisir nouveau, très agréable !



L’homme retire ses doigts. Je sens comme un vide ! Il mouille son sexe et s’enfonce lentement mais d’une seule poussée. Je sens sa queue contre la mienne. Le vide est de nouveau comblé… et moi aussi ! La pression sur mon sexe augmente de nouveau. La sensation est énorme, fantastique ! Katia gémit longuement :



Doucement d’abord, un peu maladroitement nous commençons, elle, lui et moi, à bouger… nos ventres, nos hanches, nos sexes. Puis, nous réussissons à nous synchroniser. Les va-et-vient deviennent plus souples, plus profonds. Nos gémissements emplissent la salle de conférence. Nos sensations s’enchevêtrent.

Nos plaisirs montent doucement.


J’ai réussi à placer mes doigts sur ses tétons qui tout à l’heure ont déclenché sa jouissance.

Et Katia commence à crier… à crier encore… de plus en plus fort… de façon discontinue.

Des cris stridents qui résonnent dans cette salle vide. Et de nouveau elle coule… Son liquide chaud se répand de nouveau sur mon ventre.

L’homme explose à son tour avec un grognement, les mains crispées sur ses hanches.

Et enfin mon plaisir se déclenche et je me déverse en elle noyant son ventre de longs jets brûlants. Ses cris doucement se calment. Elle m’enlace tendrement en gémissant doucement. Je ne sens plus le sexe de l’homme contre le mien, mais seulement les contractions des muscles internes de Katia qui doucement s’apaisent également. Et je le vois à quelques mètres. Il referme sa braguette, puis juste avant de sortir me fait un signe de la main et lève le pouce vers le haut en souriant. La porte claque. Elle tressaille légèrement et surprise, lève la tête.



Quelques minutes plus tard, Katia se redresse et lentement descend du bureau.

Elle tire sa jupe vers le bas en la lissant pour la défroisser, remet en place les bonnets de son soutien-gorge et reboutonne sa veste de tailleur. Elle passe rapidement ses doigts dans ses cheveux pour leur redonner une allure un peu moins négligée. Elle ferme son ordinateur, le glisse dans porte-documents en raphia bleu et le place sur son épaule. Perchée sur ses escarpins, elle est redevenue la conférencière si séduisante qui, quelques heures plus tôt, avait retenu toute mon attention. Elle me regarde en souriant, se penche vers moi et dépose un rapide baiser sur mes lèvres en murmurant :



Avait-elle prévu ces travaux pratiques du système des récompenses sexuelles associé au pénis/clitoris ? Je m’interroge encore. Elle se baisse et en se redressant, dépose sur mon ventre une petite boule de dentelle noire : son string.



Et elle quitte la salle de conférence sans se retourner pour aller, peut-être, reprendre le tramway !


Aujourd’hui, devant mon clavier, cette petite boule de dentelle noire me confirme que ce ne fut pas totalement un rêve…