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Temps de lecture estimé : 14 mn
11/02/16
Résumé:  Julie vient d'arriver au camping. Elle rencontre par hasard Clarisse et ses deux amies.
Critères:  ff fff jeunes inconnu copains vacances douche
Auteur : Soyouz

Série : Les vacances de Julie

Chapitre 01
Clarisse

Il est dix-sept heures, c’est le milieu du mois d’août ; un chaud soleil tape sur le camping de bord de mer. Trois jeunes filles, pétillantes, sortent en riant de la piscine.



En riant encore, l’interpellée, une jolie brune d’à peine vingt ans, repositionne le bas de son bikini, puis prend une serviette qu’elle frotte sur le haut de son corps avant de l’enrouler autour de sa taille. Elle essore ensuite sa longue chevelure ondulée par l’humidité.



D’un rapide mouvement de la tête à l’attention de ses amies, Clarisse désigne un groupe de garçons de l’autre côté de la terrasse entourant la piscine.



Et d’un geste, Océane arrache la serviette qui ceint la taille de Clarisse. Les garçons, plus loin, rigolent.



Toutes les trois se regardent tour à tour avec intensité.



Clarisse jette un insistant regard vers les garçons qui dévorent des yeux les trois amies. Lisa s’approche juste derrière elle et referme ses mains autour de sa taille, provoquant un instant les jeunes hommes, puis chuchote à l’oreille de sa copine :



Toutes les trois rigolent puis s’éloignent de la piscine en marchant d’un pas vif. Les garçons dégustent en silence leurs démarches chaloupées. Au moment où elles vont sortir de la terrasse, elles croisent un jeune homme qui leur adresse un charmant sourire.



Mais elles ne s’arrêtent pas et poursuivent d’un pas décidé, remontant l’allée du camping qui mène jusqu’à un bloc de sanitaires. Chemin faisant, elles discutent :



Elle s’interrompt et semble chercher ses mots. Lisa lui pince les fesses en riant, et poursuit à sa place :



Océane et Lisa gloussent tandis que toutes les trois entrent dans le couloir des douches. Il est encore tôt dans l’après-midi, il n’y a personne.



La porte résiste un peu. Machinalement, Lisa insiste et à son tour pousse la porte, qui s’ouvre brutalement. Mais la cabine n’est pas vide et les trois jeunes femmes, sur le point d’y entrer en rigolant, s’immobilisent soudain en écarquillant les yeux et en hoquetant de stupeur et d’incrédulité.



Toutes les trois n’en croient pas ce qu’elles voient. Devant elles, la personne dans la douche a d’abord sursauté en apercevant la porte qui s’ouvrait et a tenté de cacher son entrejambe, mais s’est détendue ensuite en découvrant les belles jeunes femmes et leur étonnement. Plusieurs secondes s’écoulent ; ni Clarisse, ni Lisa, ni Océane ne parviennent à détacher leur regard du corps qui leur fait face ; elles le parcourent de haut en bas à plusieurs reprises, bouche bée.


De longs cheveux cuivrés ondulent autour d’un joli visage aux yeux facétieux, tombant sur de fines épaules jusqu’à une poitrine voluptueuse, tout en harmonie avec des hanches sensuelles et des jambes longues à peine écartées. Mais ce n’est pas cette beauté qui provoque tant la stupeur des trois amies : derrière les mains qu’elle écarte doucement de son entrejambe se distingue très nettement une verge impressionnante, et c’est cela surtout que les jeunes femmes peinent à quitter des yeux.


Quelques secondes s’écoulent encore. Dans la douche, l’être a relevé les mains, l’une dans son dos pour appuyer sur le bouton déclenchant le jet d’eau, l’autre sur son corps, caressant sa poitrine. Le tout en observant l’une après l’autre celles qui ont fait irruption dans sa cabine, et qui n’ont toujours pas bougé d’un poil, leurs regards encore fixés sur le gros pénis qui déforme anormalement ce beau corps, et qui semble de plus se gonfler à vue d’œil.



La voix est très nettement féminine, et tout aussi nettement provocante. Clarisse, la première dans la cabine, réagit enfin et relève la tête vers la personne dans la douche, puis sourit dans un soupir d’ébahissement.



Julie acquiesce en hochant la tête, avant d’ajouter :



Clarisse pouffe.



Elle jette ses affaires par-dessus celles de Julie sur le banc à l’entrée de la cabine.



En guise de réponse, Julie contracte ses adducteurs et fait bouger d’un à-coup son sexe masculin toujours plus gonflé. Clarisse se retourne :



Clarisse, hésitante, mais souriant, s’engage vers le fond de la douche, toujours en bikini. Julie bande désormais franchement. Sa grosse verge tendue pointe vers la jolie brune qui s’approche encore, happant son regard. Celle-ci finit par refermer une main chancelante sur le pénis rigide. Julie, amusée autant qu’excitée, l’observe découvrir avec étonnement son attribut masculin. Elle appuie une nouvelle fois sur le bouton déclenchant de chauds jets d’eau qui aspergent tout son corps frémissant et ruissellent aussi maintenant sur celui de Clarisse. La jeune femme a passé son autre main sous la première, explorant le bas de la hampe, touchant les bourses qui ornent étonnamment ce corps anormal.


Les caresses maladroites de la brunette sont un délice d’excitation pour la chair avide de l’hermaphrodite. Celle-ci darde des yeux attisés alternativement sur les trois qui sont entrées par mégarde dans la cabine. Lisa et Océane, stupéfaites, mais curieuses, ne cessent de contempler son entrejambe, et l’impressionnante verge que leur amie s’est maintenant mise à masturber avec frénésie. Ni l’une ni l’autre n’ont jamais vu un pénis de cette taille.



Pour toute réponse, Clarisse relève les yeux vers Julie et son sourire avide, et la fixe un instant d’un regard fiévreux. La créature aux cheveux cuivrés l’attire alors pleinement contre elle, pressant d’une main ses fesses contre son corps, et de l’autre sa tête vers la sienne. Elles s’embrassent passionnément, et le ventre de la brune appuie contre celui de sa partenaire la grosse queue rigide qui s’écrase jusqu’à leurs estomacs, touchant presque le bas de leurs poitrines gonflées d’excitation et comprimées aussi l’une contre l’autre.


Clarisse sent le désir grandir en elle ; elle devine sa vulve s’humecter, une chaleur irradie dans tout son abdomen. Elle a déjà fait l’amour avec des garçons, elle a déjà caressé des filles, et quand elle est entrée dans cette cabine, c’était dans le but de se masturber avec ses copines ; mais jamais elle n’a éprouvé une telle excitation. Le sexe gigantesque dont elle ressent les pulsations et les soubresauts contre son ventre ; les seins lourds de cette créature, cette « fille », bien plus gros que les siens, et qui les compriment ; leurs langues entremêlées dans un ballet infernal.


Sans cesser de l’embrasser, elle referme ses mains sur la poitrine de l’hermaphrodite, et agite son bassin d’avant en arrière, et de haut en bas, massant lentement dans des mouvements de va-et-vient la verge tendue entre leurs deux corps.


Julie est surexcitée ; cette jolie brunette s’abandonne complètement à elle ; à l’évidence, elle meurt d’envie de se faire sauter, et sa queue immense la rend folle de désir. Mais ses seins l’excitent aussi, elle les caresse avec ferveur. Décollant leurs lèvres et leurs visages, elle la repousse de quelques centimètres pour lui ôter le haut de son bikini qu’elle a dégrafé. Vers l’entrée de la cabine, les deux autres jeunes filles ont toujours les yeux braqués sur elle et sur son organe. Elles dansent d’un pied sur l’autre, elles sont excitées aussi. Océane frotte ses mains sur ses hanches, pour se retenir de les glisser dans des endroits plus intimes de son corps tout aussi avide.


Clarisse sent son bas-ventre ruisseler de désir entre ses cuisses ; elle a envie de ce sexe monstrueux ; elle a envie de le sentir la pénétrer, écarter ses chairs impatientes. Un instant, elle se dit qu’elle pourrait s’agenouiller pour aller sucer l’énorme chose, mais non, l’excitation est trop intense. Elle se recule quelque peu pour enlever la culotte de son bikini. Elle est nue, face à cette grosse queue qui pointe droit vers elle. L’eau de la douche continue de couler le long de leurs deux corps.


Elle referme une main sur la hampe, et appuie doucement pour amener le gland gonflé à hauteur de son pubis. Mais la bite résiste, tendue et rigide. Julie écarte les jambes et plie quelque peu les genoux, guidant son énorme engin dans une position qui facilitera la pénétration. Clarisse, brûlante de désir, ouvre ses cuisses et lève la droite comme pour enjamber la verge imposante, dont la tête vient bientôt se frotter contre sa raie.


Ses lèvres intimes s’écartent doucement sous la pression de Julie ; le chapeau gonflé de sa queue assoiffée fouille l’entrée de la vulve ardente de Clarisse, qui gémit déjà comme ses chairs s’entrouvrent pour livrer passage au monstre rigide. Mais son gémissement se transforme soudain en une longue plainte quand un ample coup de bassin de sa partenaire l’introduit profondément en elle. La sensation est intense, jamais elle n’aurait cru mouiller autant, jamais elle n’aurait cru qu’une bite de cette taille pourrait entrer si vite, si fort, si profond dans son vagin sans lui arracher de douleur.


Julie gémit à chaque mouvement de bassin qu’elle donne. Sa position est inconfortable, mais le plaisir physique est tel qu’elle n’y pense pas. Son gros attribut masculin est entré sans le moindre effort dans la vulve accueillante de sa jolie partenaire qui dégouline autant de volupté que de désir. C’est la première fois qu’elle pénètre une femme aussi facilement, aussi profondément. D’habitude, elle doit s’y reprendre à plusieurs fois avant de s’enfoncer autant. Mais cette petite salope est réellement trempée entre ses cuisses, plus encore que sur le reste de son corps où l’eau de la douche s’écoule toujours.


Sur la pointe de son pied gauche, sa jambe droite refermée autour des fesses de sa partenaire, et les deux mains accrochées derrière ses épaules, Clarisse savoure en criant les coups de boutoir qui s’amplifient déjà. Les seins de Julie se pressent sous les siens, contre ses côtes. Et son souffle chaud accompagne d’un soupir d’extase tous les va-et-vient qu’elle imprime.


Derrière le couple enlacé, Océane a ôté le haut de son maillot et palpe doucement sa poitrine d’une main. Elle a passé l’autre dans son slip de bain et caresse sa vulve et son clitoris gonflé. Elle n’a jamais assisté à une scène aussi excitante. À côté d’elle, appuyée contre la porte de la cabine, Lisa résiste encore, mais ses soupirs de plus en plus fréquents qui assèchent ses lèvres entrouvertes trahissent son état. À moins de deux mètres d’elle, sa copine Clarisse, qu’elle s’était imaginé masturber sous la douche, est en train de se faire défoncer par la queue immense d’une créature incroyable, plus jolie que Clarisse, aux seins et aux hanches plus envoûtants que ceux d’Océane, et pourvue d’une verge plus grosse que toutes celles qu’elle a jamais vues.


Un instant, Julie a une pensée pour les autres campeurs, pour les autres usagers des douches. Elle espère qu’il n’y a personne, parce que les cris que pousse la jolie brune qu’elle défonce risquent de leur attirer des ennuis. Mais son esprit revient vite se concentrer sur sa partenaire délicieuse et sur l’intensité de leurs ébats. L’eau de la douche a cessé de couler, mais aucune des deux jeunes femmes n’a la présence d’esprit d’appuyer de nouveau le bouton, tout occupées qu’elles sont à savourer leur plaisir.


Elle ne pourra pas tenir cette position très longtemps, ses jambes commencent à lui faire mal, mais Julie accélère encore le rythme de ses assauts. Sa grosse queue gonflée et ruisselante du désir de la jeune femme qu’elle défonce vient buter tout au fond de son antre, puis en ressort presque entièrement, avant d’y replonger à toute allure.


Clarisse est crispée d’extase, elle sait qu’elle va jouir rapidement, elle n’attend que ça. Et sa partenaire hermaphrodite augmente encore la cadence et l’ampleur de ses va-et-vient. Sa grosse queue est un délice, elle l’électrise à chaque mouvement, lorsqu’elle s’extirpe quasiment de son vagin et frotte contre l’intérieur de sa vulve. La tension sexuelle s’accroît, Clarisse sait qu’elle ne s’arrêtera plus. Elle crie de plus en plus fort alors qu’elle sent monter depuis le fin fond de son corps la vague d’énergie, le flot de plaisir qu’elle attendait. Et la jouissance l’inonde, immense, stupéfiante. Elle se contracte par à-coups, serrant contre elle sa partenaire qui assène toujours de puissants coups de bassin. Elle sent ses ongles griffer la chair à laquelle elle s’accroche. Sa conscience l’abandonne presque, perdue dans l’intensité du plaisir qui remplit tout son être.


Les mouvements violents de la jouissance de la jeune femme manquent de déséquilibrer Julie, et celle-ci pousse finalement leurs deux corps en avant, écrasant son amante contre la cloison de la cabine de douche avant de continuer de la défoncer un instant à toute allure. Tant qu’elle crie, tant que sa dernière plainte d’extase résonne encore dans le couloir des douches.


Puis elle s’immobilise, quelques secondes. On n’entend plus que les soupirs de Lisa et Océane, dont les doigts s’agitent et tournoient plus vite entre leurs cuisses. Lentement, Julie s’extirpe du corps de Clarisse. Celle-ci, à peine remise de sa jouissance, et toujours appuyée contre la cloison, se laisse glisser dans un ultime soupir jusqu’à tomber accroupie. Et lorsqu’elle rouvre les yeux, elle découvre, oscillant encore tendue à quelques centimètres de son visage, la longue verge épaisse et luisante qui lui a procuré tant de plaisir.


Julie contemple un moment sa partenaire abattue lorgner sa grosse queue. Elle pourrait s’avancer et lui mettre dans la bouche, lui ouvrir sa mâchoire comme elle ne l’a sûrement jamais fait, elle est sûre qu’elle accepterait de la sucer, qu’elle pourrait même sans doute jouir entre ses lèvres. Mais elle n’a pas envie de cela pour le moment, elle a encore envie de baiser, et elle pense aux deux petits culs tout chauds qui l’attendent à l’entrée de la cabine.


Maintenant qu’elle a joui, maintenant qu’elle retrouve sa raison, Clarisse voudrait savoir, elle voudrait comprendre à qui elle a affaire. Son phallus toujours rigide pointe encore vers le haut ; surmontant deux gros testicules tout gonflés, prêts à décharger. La brunette lève une main épuisée pour aller tâter un instant les bourses lourdes, mais pour surtout s’aventurer et explorer plus loin ce que recèle l’entrejambe de sa partenaire. Et ses yeux s’écarquillent dans un nouveau hoquet de stupeur lorsque ses doigts rencontrent derrière les glandes masculines la douce chaleur d’une vulve humide.



Elle se tourne résolument vers l’entrée de la cabine ; sa verge oscille un instant puis se tient figée pointée vers Océane et Lisa qui ont cessé leurs caresses et, le cœur battant, regardent l’hermaphrodite avec un mélange toujours plus indistinct de stupéfaction, d’appréhension, d’excitation et d’envie. Julie s’avance de deux pas. Sans un mot, Océane se débarrasse en hâte du bas de son maillot et se retourne pour s’appuyer mains en avant contre la porte de la cabine de douche. Elle écarte un peu les jambes et se cambre, arrondissant et offrant ses fesses, sous le regard mi-concupiscent mi-apeuré de sa copine Lisa.


Julie, un sourire lascif aux lèvres, s’approche des fesses troublantes de la blonde. D’une main, elle s’assure qu’elle est prête à l’accueillir ; de l’autre, ensuite, après s’être positionnée juste derrière elle, les jambes écartées pour être à la bonne hauteur, elle guide son gros gland jusque contre l’intimité de la jeune femme. Puis, doucement, lentement, avec plus de difficulté qu’avec sa partenaire précédente, elle s’enfonce en elle. Océane gémit par à-coups, à mesure de la progression de l’énorme engin entre ses chairs. Julie referme ses mains sur les hanches de la jeune femme et, les yeux fixés dans ceux pétrifiés de Lisa qui a recommencé de se masturber vivement, imprime peu à peu un lent rythme d’amples mouvements qui arrachent à chaque déhanchement un gémissement à la belle blondinette.


Mais cette fois, cela ne dure pas ; Océane a rapidement passé une main entre ses jambes et caresse à toute allure son clitoris. Entraînée par la vitesse de ces attouchements, Julie a accéléré la cadence de ses va-et-vient. Mais c’est Lisa qui jouit finalement la première, crispée debout contre la cloison de la cabine qu’elle heurte du dos par spasmes en s’agitant de convulsions d’extase.


Et la petite blonde, défoncée à toute allure par la grosse queue de sa partenaire hermaphrodite, et excitée, électrisée par ses doigts transportés, se fige bientôt dans un début de cri interrompu. Elle semble un court instant avoir perdu conscience, puis elle s’agite soudain dans une série de spasmes qu’elle accompagne de hurlements saccadés pendant une vingtaine de secondes. Elle s’effondre finalement en avant contre la cloison, retenue derrière par les mains de Julie autour de ses hanches et par la puissante verge qui continue d’aller et venir en elle à fond de train dans quelques derniers coups de bassin trépidants. La violence des ultimes assauts de l’hermaphrodite fait buter le corps d’Océane contre la porte de la cabine qui tape par à-coups en produisant un bruit sec, que ne couvrent qu’à peine les grognements de Julie lorsqu’elle éjacule dans le bas-ventre de sa partenaire qui se laisse ballotter dans ces derniers soubresauts comme une poupée de chiffon.


Océane ressent un grand vide lorsque Julie se retire. Un long filet de sperme s’échappe de sa vulve encore ouverte, un instant accroché au gland de la grosse verge, puis s’échoue sur ses jambes.



Lisa met quelques secondes à réaliser que Julie s’adressait à elle. Elle a joui, elle aussi, excitée comme rarement. Et d’un côté, elle est contente de ne pas s’être abandonnée à cette inconnue. Mais d’un autre, elle a l’impression d’être passée à côté de quelque chose.



Personne ne lui répond. Chacune à sa manière, les trois jeunes femmes sont épuisées.



Julie frotte un instant tout son corps sous la douche.



Machinalement, l’interpellée s’exécute. La rouquine avec le gros phallus désormais presque redevenu flaccide s’en verse un peu dans la main et se savonne le ventre, les seins, la verge.



Julie lui sourit.



Clarisse sourit. Elle est toujours assise par terre, appuyée contre la cloison. En se relevant enfin, elle répond :