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n° 17930Fiche technique20458 caractères20458
Temps de lecture estimé : 12 mn
29/05/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Après avoir rencontré Clarisse et ses amies, Julie rentre au mobil-home qu'elle occupe avec sa tante, pour se reposer un peu en attendant de profiter de la soirée.
Critères:  f fbi jeunes grossexe grosseins vacances revede trans fmast fgode jouet
Auteur : Soyouz

Série : Les vacances de Julie

Chapitre 02
Interlude

Résumé de l’épisode précédent : Clarisse


Samedi après-midi, un camping de bord de mer, c’est le moment d’arrivée et de départ de nombreux touristes. Clarisse est une jolie jeune femme brune d’à peine vingt ans, qui passe ici des vacances avec sa mère et son frère. Elle s’est fait deux copines : Océane, petite blonde pulpeuse, et Lisa, à la silhouette athlétique, avec qui elle a passé du bon temps toute la semaine, allant même jusqu’à se doucher ensemble après les baignades. Mais Océane et Lisa partent demain, dimanche, et les filles se sont promis de passer une dernière soirée mémorable.


En sortant de la piscine, les trois jeunes femmes sont excitées par les jeux de séduction qu’elles ont imaginés avec un groupe de garçons qui les observaient s’amuser dans l’eau. Elles vont ensemble prendre leur douche, décidées à apaiser ces tensions par quelques caresses. La porte de la large cabine pour handicapés qu’elles utilisent depuis quelques jours est fermée, mais, excitées et ricanant, les filles poussent assez fort la porte qui finit par céder. Et, estomaquées, elles découvrent un être hermaphrodite : le corps magnifique d’une femme arborant un long et large pénis stupéfiant !


Il s’agit de Julie. Elle a un corps, un visage, des cheveux, une voix de femme, mais elle a aussi une impressionnante verge masculine qui, passés les premiers moments de stupeur réciproque, démontre sa fonctionnalité en se gonflant peu à peu sous les yeux interloqués des trois amies. Clarisse finit par céder à son excitation et s’avance vers l’hermaphrodite pour profiter de son corps. Julie baise tour à tour Clarisse et Océane tandis que Lisa se caresse en les observant.




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Julie s’est finalement lavée puis séchée sous les regards toujours incrédules des trois jeunes femmes qui ont forcé l’entrée de sa cabine. Sans pudeur, elle tourne et se déhanche devant leurs yeux troublés, alternativement fixés sur sa verge redevenue flaccide, mais d’une taille toujours impressionnante, et sur le reste de son corps féminin somptueux. Sans passer de sous-vêtements, elle enfile un tee-shirt plutôt moulant qu’elle ajuste par-dessus sa lourde poitrine, et un court short en jean un peu trop petit dans lequel ses hanches et ses fesses n’entrent qu’après deux ou trois dandinements. Et dans lequel, surtout, Clarisse, Océane et Lisa, qui sont, elles, toujours nues, la voient positionner et caler sa verge avant de fermer les trois boutons.



Ainsi vêtue, avec ses seins qui pointent, provocants, sans retenue sous le tissu du tee-shirt, impossible en effet de deviner ce qu’elle est vraiment.



Ses trois interlocutrices la dévisagent avec stupeur et incrédulité.



Mais elles ne répondent toujours pas, encore ébahies par la situation. Seule Clarisse finit par acquiescer du bout des lèvres. Et Julie, ramassant ses affaires, passe devant les jeunes femmes toujours nues pour sortir de la cabine.



Lisa et Océane s’écartent en saisissant en hâte leurs serviettes de bain pour se cacher tandis que la porte s’ouvre.



Et elle sort, abandonnant ses trois « victimes » abasourdies, toujours incrédules. Clarisse, sa serviette ceinte autour de sa taille, fait un pas hors de la cabine de douche, observant Julie s’éloigner en roulant de ses fesses sublimes.




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Le cœur léger, après avoir passé un peu de temps dans une cabine avec lavabo à se coiffer et finir de se préparer, Julie marche lentement à travers les allées du camping. Elle a encore un peu de mal à s’y repérer, mais elle retrouve sans peine l’allée du mobil-home qu’elle occupe avec sa tante. Depuis qu’elle est ado, elle part en vacances avec sa tata adorée, la plus jeune sœur de sa mère, qui est prof et régulièrement célibataire, et a donc du temps pendant les vacances scolaires. Elles n’ont qu’une quinzaine d’années d’écart, et elle se sent bien plus proche d’elle que de qui que ce soit d’autre, notamment de ses parents. Même si ceux-ci se sont toujours montrés les plus bienveillants du monde, la différence physique de Julie lui a rendu la vie et les relations sociales assez difficiles. Elle n’a jamais eu d’amitiés fortes, proches, durables, que ce soit avec des filles ou des garçons. Et n’a même pas osé envisager l’amour, le vrai, le grand.


Mais depuis quelques années, depuis que son corps s’est épanoui pleinement, elle considère les choses autrement. Elle sait qu’elle est belle et désirable ; elle sait l’effet qu’elle produit sur les hommes. Elle connaît cet effet mieux que personne, même, car elle le subit elle aussi lorsqu’elle croise de belles femmes, voluptueuses, excitantes. Bandantes. Alors elle a décidé qu’à défaut d’amitiés durables ou de pleines amours, ce serait dans le sexe qu’elle s’épanouirait. Et depuis quelques années, elle se fait un jeu d’essayer les hommes, les femmes.


C’est loin de lui être facile, cependant. Comme elle vient de l’expliquer à Clarisse et ses amies, la plupart des gens réagissent assez mal en apprenant qu’elle est hermaphrodite. Souvent ils se sentent trahis, les hommes surtout. Mais dans le feu de l’excitation, ils lui cèdent régulièrement, emportés par sa beauté et son tempérament de feu.


Tout ça, elle n’en parle pas, ou presque. Un peu seulement avec sa tante. Le reste, c’est son jardin secret. De toute façon, personne ne comprendrait qu’elle soit aussi salope. Qu’elle cherche à consommer les femmes et à se faire sauter par les hommes. Mais personne ne peut la comprendre, de toute façon : personne n’est comme elle.


Balayant cette triste pensée, elle songe plutôt que ses vacances ont bien commencé, et c’est donc bien enjouée qu’elle rejoint le mobil-home où sa tante Cécile achève de ranger ses affaires.



Elle sourit doucement ; sa tante ne semble pas faire attention à elle et continue de plier quelques vêtements, mais elle sourit à son tour.



Julie acquiesce d’un nouveau sourire délicieux.



Cécile n’est pas dupe ; elle voit bien que sa nièce est dans la pleine force de l’épanouissement physique, comme elle voit bien l’attrait qu’elle exerce sur les hommes. Et même sur les femmes. Et surtout ses yeux à elle, Julie, lorsqu’elle dévore du regard une autre femme. Elles ne parlent pas vraiment de sexe ensemble, mais elle sait bien ses attirances, ses envies.



Cécile écarquille un instant les yeux, se demandant si elle a bien compris ce qu’il fallait comprendre. Toutes les deux s’observent, cherchant à déceler un soupçon de malice dans leurs regards, mais la trentenaire élude rapidement le sujet.



Cécile s’étonne un instant du demi-sourire qu’elle croit encore lire sur les lèvres de sa nièce, mais poursuit sans relever :



Mais Julie ne l’écoute déjà plus ; elle est entrée dans sa chambre et se laisse tomber sur le grand lit en soupirant. Sa partie « mâle » est satisfaite, pour le moment, mais tout au creux de son ventre, elle sent autre chose…




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C’est le bruit des phalanges cognant à la porte de sa chambre qui la réveille.



Elle émerge avec peine de la sieste dans laquelle elle s’est laissé glisser. Ouvrant les yeux, elle cherche sa montre. Presque une demi-heure depuis qu’elle s’est allongée.



La porte du mobil-home claque. Julie se redresse en se frottant les yeux. Elle s’est endormie alors qu’elle pensait à un garçon, à des relations sexuelles avec un homme. Sa verge est gonflée, comme souvent lorsqu’elle se réveille, mais ce ne sont pas ces pulsions-là qui la travaillent. Sa tante vient de sortir. Elle en a au moins pour un quart d’heure, peut-être plus ; Julie la connaît bien : elle sait qu’elle aime prendre son temps sous la douche, et puis ensuite dans les cabines lavabos.



En se déhanchant sur le lit, elle retire peu à peu son short en jean serré, dégageant d’abord sa grosse verge à demi gonflée dès qu’elle a ouvert les boutons, puis frottant le tissu le long des courbes de ses hanches et de ses fesses avant de retirer complètement le vêtement. Machinalement, Julie saisit son pénis qui se tend encore et le caresse doucement ; mais son autre main descend plus loin entre ses jambes, soulevant ses testicules, effleurant la fente humide qui s’ouvre juste en dessous. Elle écarte ses cuisses, et deux doigts ouvrent ses lèvres, s’enfonçant doucement dans les chairs de son vagin tandis qu’elle pousse déjà un léger soupir.


En quelques secondes seulement son entrejambe s’est trempé de l’excitation qui coule de son sexe dans lequel s’agitent deux doigts de sa main droite. De la gauche, elle branle légèrement son pénis presque tendu, ou masse doucement ses bourses gonflées ballottées par les mouvements de ses doigts. Elle n’a pas de clitoris, ou alors il est à l’origine de sa verge. Alors elle aime bien masturber quand même sa grosse queue masculine quand elle caresse ses organes féminins. Même si ce n’est pas ça qui la fait jouir.


Avec ses amants, elle a du mal à atteindre l’orgasme, l’orgasme de fille. C’est souvent assez long ; il lui faut une bonne pénétration, longue, précise, variée. Mais avec la plupart des hommes qu’elle a connus, c’est compliqué : soit ils jouissent trop vite, soit ils finissent par perdre leurs moyens. Toute seule, elle arrive à se faire jouir assez rapidement, et c’est bien ce qu’elle compte faire maintenant.


Heureusement, il y a eu quelques exceptions. Et c’est à ces exceptions qu’elle repense en s’enfonçant ses doigts aussi loin qu’elle le peut, les agitant dans sa vulve sur la face antérieure de son vagin, par à-coups, comme le ferait un petit sexe.


« Pas besoin d’une très grosse bite… » se dit-elle. Et puis elle regarde la sienne, gonflée, impressionnante, bien plus grosse que toutes celles qu’elle a eues entre les mains. Et elle se dit finalement qu’une grosse queue lui ferait du bien, là, maintenant.


Mais sa tante ! Cécile ! Elle est sûre qu’elle a apporté un sextoy ! Elle en a déjà vu dans ses affaires, à d’autres occasions. Abandonnant momentanément ses caresses, Julie se lève en hâte, et toute nue, sa verge tendue en avant, traverse le mobil-home jusqu’à la chambre de sa tante. Où aurait-elle caché un gode si c’était la sienne ? Elle fouille rapidement dans les piles de vêtements, puis dans les sacs restés visibles. Et si sa tante l’avait emporté dans la douche ? Son sexe masculin perd peu à peu de sa vigueur, mais elle s’en fiche. Ce n’est pas cette partie-là qui la titille, ce n’est pas ce morceau-là qu’elle veut satisfaire.


Et là, dans l’armoire, derrière une pile de sous-vêtements, une trousse de toilette… Drôle d’endroit pour un tel petit sac. Julie sent qu’elle brûle. Elle s’en saisit et l’ouvre : gagné ! Un gros vibromasseur, presque aussi gros que sa queue lorsqu’elle est gonflée. Ça devrait bien lui convenir. Il ne faut pas qu’elle traîne, alors elle ne jette qu’un œil distrait dans le reste des affaires que contient cette trousse, mais elle se dit qu’il faudra y revenir plus longuement : il y a là divers objets intéressants.


Après avoir refermé et remisé le sac, la jeune femme retourne dans sa chambre, ferme et bloque la porte avec une valise et s’allonge de nouveau sur son lit, écartant aussitôt les cuisses. Elle relève sa verge molle et guide doucement le phallus factice tout contre son intimité, le frottant à deux ou trois reprises contre sa vulve pour l’humecter de son excitation avant de le glisser en elle en réprimant un gémissement.


Elle soupire par à-coups à chaque mouvement du sexe en plastique dans son corps. Sa verge se regonfle doucement, mais elle la délaisse et accompagne plutôt de mouvements de son bassin les va-et-vient qu’elle commence à imprimer. Et son autre main effleure puis caresse ses seins, l’un après l’autre. Elle aime ses seins ; ils sont gros, mais elle sait qu’ils excitent les garçons. Et même les filles. De plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus profond… Le son de succion que produit le gode à chaque extirpation trahit l’état d’excitation et de plaisir dans lequel elle se trouve.


Ses déhanchements sont véloces, amples ; le vibromasseur entre et sort rapidement de sa vulve, très rapidement. Elle en a presque mal aux mains. Son lit grince ; ça aussi, ça l’excite encore. Elle se trémousse, elle trépide. Elle geint. Elle va jouir. Très vite. Si vite. C’est bon. Ça mouille, ça coule, ça ruisselle sur ses doigts. Elle se crispe, le plaisir monte ; elle continue d’agiter le gode entre ses cuisses en soupirant de plus en plus fort.


Et soudain tout son corps se tend, figé un instant, comme inanimé. Un flot de plaisir physique naît dans le bas de son ventre et l’envahit à toute allure. Et prise alors dans des soubresauts extatiques, elle continue d’enfoncer son jouet à quelques reprises, gémissant à chaque spasme de son corps en ébullition jusqu’à se relâcher et s’effondrer enfin complètement, se laissant dans un profond soupir flotter dans le bonheur et l’apaisement que lui a offerts sa jouissance.


Elle savoure quelques secondes ces moments de plaisir qu’elle adore, après l’orgasme, mais elle sait qu’elle ne doit pas traîner : sa tante peut revenir d’un moment à l’autre. Pas de temps à perdre. En premier lieu, il faut aller nettoyer et remettre en place le sextoy. Elle dégage la valise qu’elle a calée derrière la porte, puis l’ouvre et fonce jusqu’à la cabine qui fait office de salle d’eau dans le mobil-home. Elle y rince et savonne le jouet à grande eau puis l’essuie. Le passant sous son nez, elle vérifie qu’il n’y reste plus qu’une simple odeur de plastique. Puis elle sort pour aller le ranger là où elle l’a pris.


Et elle s’immobilise soudain : devant elle, sa tante vient d’entrer dans le mobil-home, exactement à l’instant où Julie sortait de la salle d’eau, complètement nue, le gode à la main. Tout aussi surprise, Cécile s’est immobilisée aussi, la fixant un court instant dans ses yeux gênés avant de baisser le regard pour observer tour à tour son corps troublant, les courbes parfaites de sa poitrine et de ses hanches, sa grosse verge pendante, et pour finir l’imposant vibromasseur qu’elle tient en rougissant de tout son être.



Celle-ci passe par toutes sortes d’états d’âme. D’abord la surprise, teintée d’amusement. Puis la colère : sa nièce est allée fouiller dans ses affaires intimes. Et aussi de l’excitation ; le corps bisexué époustouflant de Julie ne la laisse pas indifférente ; et plutôt que de jouer ainsi avec un vulgaire sextoy, elle pourrait…

Elle rougit elle aussi à son tour, comme des pensées concupiscentes l’envahissent. Les deux femmes baissent finalement les yeux, toutes les deux gênées.



La raison, l’amusement et la gentillesse l’emportent finalement chez cette dernière.



« Ou peut-être que je n’en aurai pas besoin… » ne peut-elle s’empêcher de penser en jetant un dernier regard à la verge incroyable de Julie.




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Une heure et tous ces embarras ont passé ; à nouveau complices, Cécile et sa nièce ont fini de s’installer et de se préparer. Elles claquent la porte du mobil-home et se préparent à aller visiter enfin le camp et ses environs, les dunes et la plage, le bar et le coin des animations. Julie consulte sa montre ; il est dix-neuf heures trente passées. Elle repense aux trois jeunes femmes qu’elle a « rencontrées » tout à l’heure dans les douches. Son sexe masculin se regonfle un peu. Elle a déjà oublié leurs prénoms, sauf celui de Clarisse, la jolie brune, assez fine, la moins timide. Celle qu’elle a fait jouir en premier. Elles s’étaient donné rendez-vous à vingt heures près du bar. Elle pourra sans doute les baiser de nouveau…



Elle réajuste discrètement son short en jean serré qui lui fait un peu mal à présent qu’elle bande en se rappelant Clarisse et ses deux copines. Puis les deux femmes s’éloignent de leur mobil-home, traversant le camping sous les regards affamés de quelques hommes qui les observent à la dérobée tandis qu’elles passent devant leurs emplacements pour se diriger vers le bar.



À suivre.