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Temps de lecture estimé : 34 mn
30/03/16
Résumé:  Pour mon anniversaire, Louise a organisé un séjour surprise sur un magnifique voilier. Une très jolie skipper nous accueille. Comment va se dérouler ce séjour ?
Critères:  fh ff ffh vacances bateau nudisme fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fdanus fsodo hsodo -couple+f -fellation -fsodoh
Auteur : Surcouf14            Envoi mini-message

Série : La vie commence à cinquante ans

Chapitre 01
Quelques jours à la voile

Je trouve Louise étrange ce matin alors que nous prenons notre petit-déjeuner, elle a son air de « Je te cache quelque chose, mais j’ai vraiment hâte de te dire ce que c’est ! ». Elle a ce petit sourire en coin que je connais bien et n’ose me regarder trop longtemps dans les yeux.



Je me lève, et par-dessus la table du petit déjeuner l’embrasse tendrement pour la remercier.



En cette fin juin, le temps est déjà au beau fixe, nous préparons rapidement notre valise que je charge dans la voiture, je relève la capote de mon cabriolet et nous prenons la route. Dans une heure, en prenant la route du bord de mer, nous serons sur place pour profiter de ce séjour.

Les cheveux dans le vent, j’ai déjà l’impression d’être en vacances, Louise est tout contre moi et ne manque pas de me câliner alors que je pilote ma petite berline. Arrivés sur place, nous nous garons et partons à la recherche de notre bateau.



Nous avançons sur la panne et trouvons Colibri.



Notre skipper ne semble pas à bord.



Aussitôt, je vois apparaître par l’escalier du carré une très jolie jeune femme.



J’ôte mes chaussures et en montant sur le pont, je serre la main de Sophie. Très jolie femme, me dis-je, on n’a pas perdu au change. Jolie blonde aux yeux bleus, elle semble avoir un peu plus de 40 ans, vêtue d’un soutien-gorge de maillot de bain blanc plutôt minimaliste et d’un petit short moulant en jean. Oui, une très jolie femme.



Nous rangeons rapidement nos affaires dans notre cabine qui est assez spacieuse. Nous y serons bien pendant ce séjour. Nous retournons sur le pont pour retrouver Sophie.



Je file à l’avant et défais la pendille tout en veillant à ne pas la coincer dans une chandelle ou sur un taquet. Sophie a démarré le moteur du voilier et libéré les bouts qui le maintenaient à quai. Notre bateau commence à avancer tout doucement, notre « voyage » peut commencer. Louise commence à défaire à tribord les pare-battage et les pose sur le pont. Sophie la remercie et lui fait signe de les ranger dans le compartiment prévu à cet effet. Je passe à bâbord et fais de même. Sophie à la barre nous guide dans le labyrinthe du port jusqu’à sa sortie. Rapidement, nous nous retrouvons en mer, nous suivons le chenal d’accès et comme le vent est face à nous, Sophie appuie sur les commandes des voiles. Je vois la grand-voile s’extraire sans effort du mât. Le winch électrique déroule le grand foc. Je n’avais jamais navigué sur un voilier ainsi équipé et je me dis que c’est ce que l’on doit appeler « la plaisance ». La voile que j’avais pratiquée jusqu’à présent était beaucoup plus rudimentaire et il fallait avoir des bras costauds pour manœuvrer à chaque virement de bord. Nous allons vraiment pouvoir profiter pleinement de ce séjour, accompagné de deux très jolies femmes, sur ce navire, tout va pour le mieux.

Sophie règle les voiles, ajuste le cap et laisse le pilote automatique s’occuper de nous mener vers l’île du Levant, enfin c’est ce qu’elle nous a dit.



Louise accompagne Sophie pour l’aider à tout préparer. Elle dit que ce n’est pas la peine mais accepte quand même son aide. Quelques minutes plus tard, la table est mise, il y a même une nappe à carreaux. Une belle salade posée, une bouteille de rosé dans un bac à glace. Nous pouvons passer à table.



Nous rions tous les trois de bon cœur à ma réponse que je n’ai pu m’empêcher de prononcer. Je me rends compte que j’ai dit tout haut ce que je pensais tout bas.

Louise ne m’en tient pas rigueur et défait immédiatement son maillot. Sophie fait de même et pose le sien à côté d’elle. Ses seins ne sont pas très gros mais ils semblent fermes et effectivement ne nécessitaient pas de soutien, la pesanteur semble n’avoir aucun effet sur ces deux jolis petits globes bronzés comme le reste de son corps.

Je nous sers un verre de rosé et nous trinquons.



Nous goûtons à ce rosé frais et fruité et commençons à manger notre salade. Je profite de ce repas et du spectacle offert par mes deux charmantes compagnes. Admiratif de ces deux superbes poitrines qui semblent pointer vers mon regard, je sens mon sexe durcir et être de plus en plus à l’étroit dans mon maillot de bain. Heureusement que je porte un shorty, car mon sexe ne manquerait pas de dépasser si j’avais un maillot de piscine. Je n’ose bouger et je vois que Louise a dû repérer mon « problème ».



Alors que nous finissons notre café, nous sommes maintenant tout près de l’île du Levant connue notamment pour ses naturistes et sa base militaire. Sophie reprend la barre et nous guide jusqu’à la baie où nous allons passer l’après-midi. Elle appuie sur deux commandes et les voiles s’enroulent dans leurs logements respectifs. Louise est assise à mes côtés, elle est blottie dans mes bras alors que Sophie, concentrée sur sa manœuvre, nous mène jusqu’à la baie. Je vois que Louise regarde Sophie manœuvrer, elle semble autant perturbée que moi par le spectacle offert par notre skipper. Je suis sûr qu’elle mouille, je la connais, je sais qu’elle aime les jolies femmes et qu’elles peuvent même la troubler.



Je vais à la proue et attends les consignes.



Heuuu comment ça « lâche tout » ? Ah ! mince, oui, elle me parle de l’ancre, je dois faire descendre l’ancre. Décidément je dois avoir la tête ailleurs. Ou alors, je suis un obsédé ou elle l’a fait exprès. Bon, je pense que je suis un obsédé et j’obéis à Sophie et fais descendre l’ancre jusqu’au fond. Après quelques secondes, je la vois juste en dessous bien posée sur le sable à une dizaine de mètres de profondeur.



Marche avant, marche arrière. Sophie arrête le moteur et vérifie que notre bateau ne dérive pas. Nous sommes à moins de cinquante mètres du rivage. Nous vérifions que le bateau est bien stabilisé et nous nous préparons pour notre premier bain. Je prends mon masque, mon tuba et plonge à l’eau sans hésiter. Je sais qu’à cette saison l’eau est déjà bonne et je ne me suis pas trompé, elle est excellente. J’enfile mon masque, ajuste mon tuba et je commence à profiter des fonds marins. Louise m’a rejoint rapidement, elle s’équipe et se colle sur mon dos tel un poisson-pilote. Elle adore que je la traîne comme cela frottant sa poitrine contre mon dos. Une vraie coquine ma Louise chérie. Sophie s’assure de son côté que le bateau ne bouge pas et nous rejoint à l’eau. Elle nous invite à la suivre pour nous faire voir une zone de la baie où évoluent de nombreux poissons. Nous la suivons de près, l’eau est limpide, la visibilité est maximale. Je ne me fais pas prier pour la suivre. Tout comme Louise, elle porte uniquement sa culotte de maillot de bain échancrée et la vue de cette sirène qui nage deux mètres devant nous est on ne peut plus agréable. À chaque brasse, une vue imprenable s’offre à mes yeux, ses fesses légèrement bombées, ses seins qui flottent dans l’eau, j’aperçois presque sa vulve moulée par son maillot de bain. Et voilà que ça me reprend, je bande à nouveau. Louise qui nage à côté de moi joint son pouce et son index pour former un cercle et me montrer que tout va bien. Je lui réponds aussi que tout va bien tout en me demandant si elle me parle de cette vue de Sophie devant nous ou du plaisir de nager ici.


Nous arrivons rapidement au-dessus de rochers autour desquels évoluent des dizaines de poissons multicolores, spectacle merveilleux que d’admirer ce ballet féérique. Girelles, saupes, petits mulets, curés, sarres, étoiles de mer, oursins, anémones de mer. Nous flottons tous les trois admiratifs. Sophie pointe tout à coup son doigt en direction d’un rocher. Un poulpe se cache juste en dessous, il se rétracte quand Sophie commence à approcher sa main. Je continue à nager ainsi un bon moment, puis constatant que je suis seul, je retourne au voilier. J’aperçois Louise et Sophie en train de se rincer à l’échelle du bateau. Je les rejoins rapidement, grimpe à l’échelle et attrape la douchette pour me rincer et ôter l’eau de mer. Je me sèche rapidement et rejoins Louise et Sophie qui ont filé à l’avant du bateau sur les matelas de bronzage. Elles commencent à s’enduire le corps d’une huile protectrice.



J’enduis mes mains de ce baume et l’étale sur le corps de Louise encore pâle en ce mois de juin. Je profite de cela pour la caresser délicatement, sur le ventre, les cuisses, les seins. Elle semble heureuse que je m’occupe d’elle et me sourit. Elle se retourne pour que je continue sur son dos. Je m’applique tant que je peux et j’en profite pour lui caresser les fesses et l’intérieur des cuisses. Elle ne semble pas gênée que je fasse cela devant une autre femme.



Je me penche maintenant sur Sophie et continue sur son corps somptueux mon travail délicat. Je commence à verser un peu d’huile sur son dos et l’étale sur sa peau soyeuse. Je ne me presse pas et compte profiter de ce moment-là. Je vais et reviens faisant attention de n’omettre aucun centimètre carré de sa peau si douce. Ma main parcourt son dos de haut en bas, je n’omets pas de caresser également le côté de ses flancs, j’effleure le bord de ses seins.



Si fine cordelette que je peux voir le pourtour de sa petite rondelle !


Je rajoute un peu d’huile et l’étale maintenant sur ses fesses fermes et bronzées, aucune trace de maillot de bain n’étant visible, je me dis qu’elle ne doit pas souvent porter ce maillot de bain quand elle est en mer. Mes doigts glissent jusqu’au bord de son maillot, ils entament leur parcours à la lisière de sa vallée des plaisirs et manquent de prolonger leur course sous ce maillot protecteur. Je continue sur l’arrière de ses cuisses et glisse mes mains entre ses jambes qui s’écartent juste assez pour que mes mains puissent les enduire de l’huile de bronzage. Je m’applique du mieux que je peux et effleure le mince tissu qui protège sa vulve que je vois distinctement dessinée. Je crois percevoir un léger gémissement alors que mes doigts la frôlent. À regret, je délaisse sa zone érogène et poursuis mon parcours lentement jusqu’au bas de ses jambes fines et bronzées.



Nous poursuivons une bonne partie de l’après-midi entre bains et bronzage dans ce splendide endroit. En raison du vent qui va se lever dans la nuit, Sophie nous propose de changer de baie pour passer la nuit. Nous levons l’ancre et commençons à naviguer en direction de la rade de Port Cros où nous serons à l’abri de la houle d’est.



Sophie me sourit et va nous préparer un rafraîchissement.

Nous arrivons une heure plus tard dans la rade. Sophie a repris la barre pour les dernières manœuvres. Nous ancrons le voilier tout près du rivage.



Arrivés dans notre cabine, Louise me demande :



J’aime toujours sentir sa peau contre la mienne, sa poitrine nue appuyée sur mon torse. Sentant mon sexe qui durcit contre son ventre, elle me dit :



Alors que je ne m’y attendais pas, Louise s’agenouille, descend mon shorty et commence à me sucer la queue. Comme toujours, elle y met beaucoup d’application, ses mains agrippent mes fesses alors que sa bouche s’empare avidement de mon sexe raidi. D’une main, elle attrape mes bourses, malaxe mes couilles, son autre main se saisit de ma queue, alors que sa bouche se veut plus entreprenante encore. Rarement elle ingurgite ainsi mon sexe avec autant d’envie, aussi profondément. Sa langue tourne autour de mon gland gonflé de plaisir. Elle me lèche sur toute la longueur tout en me regardant droit dans les yeux. Elle recommence à me pomper, à engloutir mon sexe, ses va-et-vient se font encore plus intenses, plus profonds. Ses yeux ne lâchent pas mon regard alors que mon sperme envahit sa bouche en de longues giclées. Un filet de ma semence coule à la commissure de ses lèvres, elle s’empresse de le nettoyer avec son doigt qu’elle lèche avec application. Elle finit de me lécher, de me nettoyer en veillant à ne rien oublier.

Elle me dit alors, comme si rien ne s’était passé :



Nous nous préparons et, comme convenu, nous retrouvons Sophie qui a de l’avance sur nous et a déjà préparé un plateau avec l’apéritif et trois coupes de champagne.



Je m’exécute tout en admirant mes deux équipières. Louise a mis un short court et un petit chemisier sous lequel flottent ses seins libérés de toute emprise. Sophie, quant à elle, a enfilé une mini-jupe très très mini et un pull blanc en coton à mailles larges qui permettent de deviner ses seins magnifiques. Son ventre plat découvert laisse apparaître un piercing au nombril. Beaucoup d’hommes aimeraient être à ma place en cet instant.



Je nous sers et nous trinquons à notre séjour. Louise qui ne boit pas beaucoup d’habitude accepte avec plaisir que je la serve et la resserve. Les rires se font de plus en plus forts, Louise se colle à moi, pose sa main sur ma cuisse et ne se gêne pas pour me caresser par-dessus mon pantalon. Sophie, amusée par la scène, fait semblant de ne rien voir, mais je vois bien son sourire quand ses yeux attirés comme par aimant regardent mon entrejambe.



Nous embarquons sur ce petit navire et Sophie nous emmène jusqu’au rivage. Nous passons le reste de la soirée dans ce restaurant de plage à déguster de délicieux produits de la mer, huîtres et poissons grillés au menu. Nous passons une soirée on ne peut plus agréable, la compagnie de Sophie est très plaisante. Il y a déjà une grande complicité entre nous trois. J’ai l’impression d’avoir mon harem avec moi. Quelques verres de rosé et beaucoup d’éclats de rire plus tard, nous retournons au voilier dans notre petite embarcation. Je sens Louise très amoureuse ce soir, je sais que dans ces soirées-là, sa libido est totalement débridée, la nuit va être longue.

Nous saluons Sophie et nous rendons dans notre cabine.

À peine arrivée, Louise se dévêt et s’étale de tout son long sur notre lit. Elle a envie que je m’occupe d’elle, c’est évident !


Après un bref passage par la salle de bain, je la rejoins et je constate dépité qu’elle s’est endormie. Moi qui croyais passer une soirée mémorable, je crois bien que c’est foutu. Je regarde Louise si belle, si désirable allongée là sur le lit. Je pourrais peut-être même profiter de sa torpeur, mais je ne veux pas la réveiller. Je la caresse tout doucement, mes mains glissent en douceur sur sa peau si douce, ses cuisses, son ventre, ses seins… Je sens l’envie monter en moi, je préfère arrêter là ce doux supplice. Je remets mon short, un tee-shirt et sors de la cabine pour aller me fumer une cigarette au-dehors. Il fait nuit dans le carré, Sophie doit être endormie elle aussi, seule dans sa cabine.

J’arrive sur le pont du bateau et aperçois dans l’obscurité la lueur rouge d’une cigarette allumée. Tiens, je ne suis pas seul.



Nous restons quelques minutes dans l’obscurité, juste éclairés par la lune gibbeuse à admirer ce spectacle merveilleux de l’astre lunaire qui se reflète sur les flots et des étoiles qui emplissent le ciel de ce début d’été.



Elle joint alors le geste à la parole, se lève et se dévêt devant moi. Malgré la faible luminosité, je distingue très bien ses formes parfaites qui se dessinent juste éclairées par les rayons lunaires.



Je me lève face à elle et lentement j’ôte mon tee-shirt, mon short et mon boxer. Je me rends alors compte que mon sexe a une vitalité que je ne peux contrôler. Sophie s’en aperçoit et me dit :



Nous nous rendons à l’arrière du bateau pour nous mettre à l’eau, Sophie commence à descendre à l’échelle, je suis juste derrière elle. Elle se retourne et son visage se trouve à quelques centimètres de mon sexe qui n’a pas perdu de sa vigueur. Elle lève la tête, me regarde puis lentement commence à caresser mon sexe d’une main ferme et délicate. Je m’accroche au bastingage.



Elle ne me répond pas et donne un petit coup de langue sur ma queue un peu plus gonflée par la pression de sa main. Ses coups de langue s’accentuent sur toute la longueur de ma hampe. Puis, elle entreprend maintenant de l’avaler. Le gland d’abord, qu’elle prend en bouche tout en faisant tourner sa langue, la sensation est exquise de se faire sucer par cette femme sublime que je ne connaissais pas quelques heures plus tôt. C’est tout mon sexe qu’elle avale maintenant, ses va-et-vient me procurent une sensation merveilleuse de bien-être. Soudain elle cesse et se jette à l’eau.



Je ne me fais pas prier et plonge à mon tour. Je la rejoins et instinctivement, nous nous rapprochons l’un de l’autre. Nos corps s’enlacent, nos bouches s’entrouvrent, nos lèvres se touchent, nos langues s’emmêlent. Je ne me rends même pas compte de la fraîcheur de l’eau.

En appui contre l’échelle du bateau, Sophie de ses jambes encercle mes hanches. Je m’accroche à elle et la pénètre aussitôt. Ainsi plongé, je n’ai aucun appui, je m’accroche alors à l’échelle pour ne pas couler, ne pas sombrer et surtout continuer à la limer. Bien calé maintenant, je vais et je viens en elle. Sophie s’accroche à moi et semble comme prise de frénésie empalée sur ma queue. Sa bouche s’empare de ma bouche, une main accrochée à l’échelle et l’autre agrippée à mes cheveux, elle semble comme prise de convulsions. Elle ondule, vibre sur ma bite figée en elle. Les sensations sont comme exacerbées par ce milieu aquatique que je n’avais jamais connu d’une telle manière.


Sophie semble comme prise de spasmes alors que je jouis en elle longuement, intensément. Elle émet un long cri presque plaintif, rejetant sa tête en arrière puis m’embrassant longuement.

Je n’en reviens pas d’avoir fait l’amour comme cela à une autre femme, c’est la première fois que je trompe Louise et n’en éprouve aucun remord, aucune culpabilité.

Ressentant maintenant le froid de l’eau, nous remontons sur la plage arrière du voilier et nous enveloppons dans un grand drap de bain. L’un contre l’autre, nos peaux collées, nous nous réchauffons tout en nous caressant.



Nous restons là encore un bon moment à nous réchauffer. Je me sens bien tout contre elle, sentir sa peau contre ma peau est une douce sensation que je n’ai pas envie de voir cesser.



Nous nous séparons, descendons dans le bateau et nous rendons chacun dans notre cabine après avoir échangé un dernier baiser. Je retrouve Louise toujours endormie, elle n’a pas bougé d’un centimètre. Je m’allonge tout contre elle, remonte le drap sur nos deux corps et tout en me remémorant les instants passés avec Sophie, m’endors paisiblement.


C’est l’odeur du café qui me réveille de bon matin. Louise s’est déjà levée. Je rejoins mes équipières dans le carré où la table du petit déjeuner est déjà prête. Du pain frais et des viennoiseries sont posés ainsi que du jus d’orange frais. Je les vois toutes les deux souriantes et papotant comme deux vieilles copines.



Louise m’embrasse tendrement en me souhaitant à nouveau un bon anniversaire. Je me tourne ensuite vers Sophie qui me fait deux bises si proches de ma bouche que j’en rougis de plaisir. Louise semble ne s’être aperçue de rien…



Nous prenons notre petit déjeuner et rapidement levons l’ancre. Direction Porquerolles, Sophie me confie la barre et m’aide à manœuvrer à chaque virement de bord. Comme prévu, deux heures plus tard, nous approchons de l’île et jetons l’ancre tout près de la côte à l’abri des falaises de ce cap magnifique et impressionnant par ses falaises presque verticales. Dès que le voilier est stabilisé, je me jette à l’eau et commence à observer les fonds marins. Les filles sont encore sur le voilier. Je les appelle pour qu’elles me rejoignent. Je suis un peu éloigné mais je me rends compte, alors qu’elles vont se jeter à l’eau, qu’elles sont totalement nues. Elles plongent et me rejoignent rapidement.



J’ôte alors mon maillot et le brandis fièrement hors de l’eau.



En revenant, je vois sous l’eau Louise et Sophie qui nagent juste devant moi. Magnifique spectacle que ces deux jolies femmes libérées de toute contrainte qui profitent des eaux limpides de la Méditerranée. Nous nageons ainsi un bon moment à admirer la beauté de ces fonds marins, parfois mon regard s’attarde sur le corps de Louise ou sur celui de Sophie. Tout à coup, je me rends compte que je suis seul. Je regarde vers le voilier et je vois qu’elles sont retournées sur celui-ci, je les vois en train de se rincer avec la douche de bord. Je continue à nager et les rejoins un peu plus tard. Je les trouve toutes deux sur le pont avant. Louise finit d’enduire Sophie d’huile de bronzage.



Aussitôt, elle commence à faire couler un peu de crème sur mon dos et à l’étaler doucement.



Commence alors un massage dont je n’avais jamais bénéficié. Quel plaisir de sentir ces quatre mains parcourir mon dos. Rapidement, ce sont mes fesses, mes cuisses dont elles s’occupent avec application. Je sens mon sexe durcir rapidement, comment résister à de telles sollicitations ?



Je me retourne comme demandé.



Louise verse un peu de crème sur mon torse et mon ventre et les quatre mains continuent leur course effrénée. La raideur de mon membre ne se calme pas, bien au contraire. Ces mains frôlent maintenant mon sexe. J’admire en même temps Louise et Sophie nues penchées sur moi appliquées à m’enduire. Chacune s’occupe de m’enduire les jambes maintenant. Elles ont presque terminé leur dur labeur. Louise se penche alors sur ma queue et lui donne un petit coup de langue.



Sophie n’a pas besoin de plus d’encouragement et vient me lécher le sexe. Son habileté buccale est merveilleuse. Je suis aux anges. Louise et Sophie s’occupent maintenant toutes deux de me lécher la bite. Parfois, l’une la prend en bouche alors que l’autre m’embrasse langoureusement. Sophie se montre de plus en plus entreprenante et avale maintenant ma bite avec passion. Louise voyant Sophie ainsi affairée sans me le demander positionne sa chatte sur mon visage. C’est une position qu’elle adore prendre parfois et apprécie particulièrement ma langue experte qui lèche longuement son petit minou. Sans ménagement, elle écrase presque mon visage coincé entre sa vulve et son petit trou. Sophie de son côté ne cesse de me pomper.



Le visage coincé je ne peux rien dire mais je suis tout à fait d’accord avec les propos de Louise. Sophie se redresse, m’enfourche, et vient s’empaler sur mon pieu turgescent.



Je n’entends aucune réponse et ne peux voir ce qui se passe mais je devine Louise et Sophie, leurs bouches soudées l’une à l’autre, leurs langues qui s’emmêlent et leurs mains qui se caressent mutuellement. Je sais Louise attirée par les jolies femmes, elle avait même avant de me connaître connu quelques aventures avec certaines étudiantes à l’université. Malgré leurs baisers, elles ne cessent d’onduler sur ma bite et ma bouche.



Les deux se retirent, rapidement Louise me reprend en bouche avant de venir me chevaucher à son tour. Peut-être avait-elle envie de goûter la mouille de Sophie qui a inondé ma queue. Avant de venir sur mon visage, je vois Louise et Sophie qui s’embrassent avec délectation, je pense qu’elle en a fait exprès pour que je profite de ce spectacle et j’apprécie de les voir ainsi se caresser, s’embrasser. Sophie vient maintenant à son tour me chevaucher et présenter son sexe contre ma bouche. Pour la première fois, je goûte à sa vulve gonflée de plaisir, elle présente même sa petite rondelle contre ma bouche et alterne de l’un à l’autre. Coincé entre ma femme et notre skipper, je ne peux résister trop longtemps à un tel assaut.



Elle me connaît par cœur et sait que je vais bientôt tout lâcher.

Toutes deux se penchent sur ma queue au bord de l’explosion, elles me caressent, me lèchent avidement, m’avalent goulûment. Sentant mon sexe grossir, elles offrent leurs bouches ouvertes à ma semence qui jaillit maintenant. Chacune me lèche, me lape, avale chaque goutte de mon sperme gluant. Il n’en reste plus une goutte mais elles continuent avidement de nettoyer ma queue à la recherche d’une dernière trace.



Nous retournons nous baigner tous les trois et profitons au mieux de cette matinée. Jamais, je n’avais pratiqué le nudisme et je me sens on ne peut mieux avec Louise et Sophie. Admirer leurs corps respectifs est un enchantement permanent. Depuis quelque temps, j’appréhendais ce passage de la cinquantaine. J’espère que mes années futures seront à l’image de la première journée de ma cinquantaine.


Dans l’après-midi, je retourne me baigner alors que les filles restent à bord. Après avoir profité longuement de ces eaux turquoise, je finis par retourner au bateau. Je me sèche et vais m’allonger sur le pont pour bronzer un peu. Je pense que Sophie et Louise sont allées se baigner en mon absence. Je suis allongé depuis quelques minutes quand j’entends un gémissement jaillir par le hublot de notre cabine. Je m’approche de celui-ci et aperçois stupéfait Louise et Sophie en train de faire l’amour. Je n’en crois pas mes yeux. Elles sont en plein 69. Sophie sur le dos se fait brouter par Louise les jambes écartées. Le cul en l’air, Louise se fait lécher la chatte par la langue habile de Sophie. Par moments, sa langue tournoie sur sa petite rondelle puis revient lécher sa vulve et son clitoris. Sophie caresse en même temps les fesses de Louise alors que son pouce commence à tournoyer aux alentours de son petit trou. J’entends alors distinctement ma Louise gémir et dire à Sophie.



Sophie introduit alors la première phalange de son pouce dans ce petit trou auquel je n’ai jamais accès. Ce n’est pas faute d’avoir essayé, mais jamais Louise n’avait accepté que je la prenne de ce côté-là et quel que soit le moyen utilisé. Délicatement, d’abord, je vois Sophie entrer et sortir son pouce de cet étroit conduit. Ensuite, la pénétration se fait plus intense, plus profonde. Les gémissements de Louise sont alors de plus en plus forts. À ma grande stupeur, le deuxième pouce de Sophie vient rejoindre le premier et pénètre également ce petit trou maintenant comblé, écartelé. Les deux pouces vont et viennent synchronisés alors que la langue de Sophie lèche avec une envie débordante le clitoris et la vulve de ma Louise. Parfois Sophie alterne entre le pouce droit, puis le gauche, puis le droit. Parfois, les deux pouces ressortent de l’étroit conduit, aussitôt remplacés par la langue de Sophie qui baise alors à son tour ce petit trou qui semble de plus en plus dilaté.


Dans cette position de voyeur, je reste sidéré, incapable de dire et faire quoi que ce soit. Et pourtant, je suis fasciné par ce spectacle, par ce que je découvre. Après quelques minutes de cette sollicitation intense tantôt introduite par ces deux pouces, tantôt baisée par cette langue experte, alors que la langue de Sophie fouille à nouveau le petit trou de Louise, celle-ci semble ne plus pouvoir résister. Comme prise de convulsions, Louise se redresse brusquement et, semblant écraser Sophie entre ses deux fesses, elle jouit longuement, se cambre tel un arc bandé, rejette la tête en arrière, puis s’écroule libérant ainsi Sophie de cette emprise. Elle se retourne alors et vient embrasser Sophie à pleine bouche pour la remercier de s’être ainsi occupée d’elle.


Je m’éclipse alors discrètement et retourne me baigner. De retour après une dizaine de minutes, je retrouve Louise et Sophie allongées sur le pont du bateau comme si de rien n’était. Je me joins à elles et m’allonge entre ces deux cachottières qui viennent aussitôt se blottir contre moi, me caressent tendrement et même si mon érection reprend dès qu’elles sollicitent mon sexe, nous restons sages collés l’un à l’autre. Ainsi s’achève cet après-midi qui, je dois l’avouer, m’a quand même perturbé, mais je ne laisse rien paraître de mon émoi.

Quand le jour commence à tomber, Sophie va s’affairer en cuisine quelques moments.



Nous arrivons et découvrons un magnifique apéritif dînatoire agrémenté d’une bouteille de champagne plongée dans un seau à glace. Nous nous installons et rapidement commençons à trinquer à nouveau à mes cinquante ans et à ce merveilleux week-end. Après quelques toasts avalés et autres flûtes ingurgitées, Sophie me dit :



Elle sourit, les joues un peu rougies par l’alcool, se penche vers moi et aussitôt entreprend de me sucer la bite. Bien sûr, cela ne me déplaît pas, bien au contraire, mais je ne m’attendais pas à une telle initiative, même si aujourd’hui plus rien ne me surprend. Louise reste bien sagement assise à côté de moi à observer la scène. Vu son sourire, elle semble apprécier ce spectacle que je n’imaginais pas vivre sous ses yeux. Elle attrape alors l’appareil photo et s’amuse en prenant quelques clichés. Elle demande à Sophie :



Sophie s’exécute et avale ma queue entièrement, j’entends le déclic de l’obturateur se déclencher en rafale. Louise modifie un réglage et maintenant filme la scène en s’amusant à varier les plans. De près, de loin, en cadrant sur mon visage réjoui de la situation.



Sophie me libère de son étreinte, nous finissons nos flûtes et descendons dans le bateau. La tête me tourne, les effets de l’alcool peut-être, il faut dire que le niveau de la deuxième bouteille de champagne a sérieusement baissé…


Arrivé dans notre cabine, je me jette sur le lit, aussitôt rejoint par Sophie et Louise tout sourire. Je n’ai pas le temps de dire un mot que Louise s’est jetée sur ma bite et commence à son tour à me sucer. De voir Sophie s’affairer sur ma bite, Louise devait quand même avoir envie d’être à sa place. Maintenant c’est son tour.

Sophie, quant à elle, à défaut de s’enfiler sur ma bite, s’assoit sur mon ventre. Je profite de cette position pour caresser sa poitrine magnifiquement formée, telle Marie-Antoinette, on la dirait moulée sur une coupe de champagne. À moins que ce ne soit le contraire et que sa poitrine ait servi de gabarit pour la forme des coupes de champagne. Elle m’embrasse maintenant à pleine bouche, nos langues s’emmêlent, instants délicieux. Sophie se retourne et vient offrir sa croupe à ma bouche assoiffée. Ma langue s’occupe maintenant de lécher sa vulve dont les lèvres gonflées sont la preuve de son excitation. J’ai l’impression maintenant que Louise et Sophie s’occupent maintenant toutes deux de lécher et d’avaler ma bite avec la plus grande délectation. Je leur propose alors de changer de position.



Elles s’exécutent rapidement et semble-t-il avec plaisir, s’offre alors à moi ce magnifique spectacle de ces deux culs en l’air qui ne demandent qu’à ce que je m’occupe d’eux. Alors que je commence à lécher l’un des deux, mon pouce disponible pénètre la vulve délaissée par ma langue. Sophie et Louise s’embrassent langoureusement alors que je m’occupe de leurs deux petits culs. De temps en temps, ma langue s’occupe de ces deux petits trous, alors que je ne fais jamais cela à Louise, me reviennent les images de tout à l’heure et du dévergondage de Louise. Je décide alors de caresser avec chacun de mes pouces les petites rondelles de Louise et Sophie. Ni l’une, ni l’autre ne me demandent d’arrêter. Vu l’ondulation que je ressens de leurs bassins, elles semblent apprécier cette sollicitation. Je pousse alors un peu plus loin ces caresses et commence alors à les pénétrer avec chacun de mes pouces. Pour la première fois, j’entends Louise gémir alors qu’un de mes doigts l’encule.


Tout en continuant à caresser Sophie, je décide de prendre Louise en levrette, tout en maintenant mon pouce dans son étroit conduit. Elle se cambre de plus en plus alors que je la baise sans management. Je présente alors ma bite à l’entrée de son petit trou et pour la première fois m’introduis en elle de la sorte. Ses mains écartent ses fesses pour faciliter cette pénétration anale. Brusquement, elle jouit, enculée pour la première fois par la bite de son homme, plus tout à fait vierge de ce côté-là, puisque Sophie m’avait précédé tout à l’heure. Toujours en forme, je m’occupe maintenant de Sophie et décide de directement la sodomiser après avoir auparavant lubrifié son petit trou en le léchant abondamment. Je présente ma verge à l’entrée de cette petite porte qui s’entrouvre sans difficulté. J’ai l’impression que je ne suis pas le premier à passer par là !



Toute ma queue est dans son étroit conduit, je suis en butée, mes couilles battent sa vulve et son clitoris à chaque va-et-vient. Pendant ce temps, Louise qui a repris ses esprits et son appareil photo prend de nombreuses photos et vient éclairer cette scène par de multiples flashs. Sophie ne résiste plus, elle se redresse, se colle à moi, m’attrape comme pour que je sois un peu plus en elle et jouit longuement. Je ne sais comment j’ai fait pour résister, d’habitude je lâche tout beaucoup plus rapidement. Peut-être l’envie que cette soirée dure plus longtemps, beaucoup plus longtemps qu’à l’accoutumée.


Sophie se relève, m’embrasse et me demande de m’allonger sur le lit. J’obéis à cet ordre sans discuter. Elle vient alors s’allonger sur moi en position 69 et me lèche immédiatement la bite, la prend tout entière dans sa bouche. Je n’en reviens pas qu’elle m’avale ainsi alors que je viens de l’enculer quelques secondes auparavant. J’avais déjà vu ce genre de pratique sur internet dans des vidéos pornos, le fameux « Ass to mouth » ! Alors que je prends à pleine bouche la vulve de Sophie, Louise se place alors juste au-dessus de moi et lèche la rondelle de Sophie, je vois très nettement sa langue pénétrer son petit trou. La fellation de Sophie se fait plus intense, plus profonde à chaque fois que Louise la pénètre avec sa langue ou que je mordille son clitoris. Après quelques minutes de ce trio, Louise s’allonge aux côtés de Sophie.



Sophie me libère alors de son étreinte et je viens me positionner sur Louise pour lui dévorer le minou et me faire sucer la queue en même temps. Elle m’avale immédiatement alors que je m’occupe de la satisfaire comme elle me l’a demandé.


Alors que je suis à mon affaire, j’entends Sophie fouiller dans un tiroir puis revenir vers nous. Je vois qu’elle s’approche de moi et sens couler sur mon anus un liquide un peu froid. Elle me caresse alors avec un doigt puis, lentement, fait pénétrer ce doigt dans mon conduit anal. Je ressens alors une sensation inconnue pour moi, un mélange de douleur qui s’estompe rapidement et de bien-être alors que son doigt pénètre un peu plus en moi. Pour la première fois, je me fais enculer, pour la première fois, je découvre cette sensation. Après quelques va-et-vient, elle cesse sa pénétration et me lèche langoureusement la rondelle. Tout en écartant mes fesses, sa langue s’introduit en moi à plusieurs reprises. Je ne peux m’empêcher de gémir face à cette double sollicitation de la part de Louise qui me suce toujours et Sophie qui me baise. Sophie cesse son exploration et je sens à nouveau le liquide qui se répand sur mon anus. Sophie l’étale avec un objet qu’elle fait glisser entre mes fesses. Celui-ci me semble assez long mais je ne me rends pas compte de son diamètre car j’ai l’impression qu’il est composé de multiples boules plus ou moins grosses. Sophie joue avec un godemiché, j’en suis certain maintenant.



Je ne sais comment réagir, mon éducation me dit de refuser cela, ma virilité d’homme me commande de crier « Non ! » et pourtant…



Elle introduit alors dans mon orifice encore vierge une première boule de cette tige. Je pousse à nouveau un petit cri qui ne l’empêche pas de poursuivre sa pénétration. Je sens s’enfiler en moi ce chapelet de boules qui sont de toute évidence de plus en plus grosses. Je ne sais combien il y en a, cinq, six, peut-être plus ! Elle me baise maintenant ainsi en faisant aller et venir ces boules en moi. D’abord doucement, puis plus rapidement. La sensation inconnue que je ressens est maintenant extraordinaire, intense, presque violente. Je ne peux plus me retenir et explose dans la bouche de Louise qui n’avait cessé de me sucer alors que Sophie me sodomisait. Je m’écroule sur le lit et Louise et Sophie viennent se blottir tout contre moi.



Deux jours plus tard, alors que ce week-end à la voile est terminé et que je me sens encore plus proche, plus amoureux qu’avant de Louise, je me prépare à partir au travail. Alors que j’enfile ma veste, je vois le téléphone de Louise, déjà partie au travail, s’éclairer. Un SMS qui vient d’arriver. Mince, me dis-je, elle a oublié son téléphone. Instinctivement, je lis le message qui s’affiche. C’est un certain Christophe qui écrit :



Je ne peux m’empêcher de me saisir du téléphone et de lire les autres SMS de ce Christophe.

Je découvre alors plusieurs messages échangés entre Louise et Christophe sur l’organisation de notre séjour, le voilier, les tarifs et surtout sur la recherche d’une call-girl capable également de piloter le voilier et de me faire passer un « bon moment » pour le passage de la cinquantaine. À priori, pas facile de trouver la perle rare, vu les difficultés que semble avoir eues Christophe pour la trouver.


Je comprends mieux pourquoi Sophie avait un tel sex appeal et pourquoi elle avait autant envie de sexe.

Louise l’avait payée pour cela !


Toute la journée, je reste perturbé par cette découverte. J’hésite sur ce que je dois faire ou dire à Louise. Après moult réflexions, je décide de ne rien lui dire et me promets de lui rendre la monnaie de sa pièce à l’occasion de ses cinquante qui arrivent bientôt. Je trouverai bien quelques idées pour me venger et lui faire passer un « sale moment » aussi désagréable que ceux que j’ai subis sur ce bateau…