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Temps de lecture estimé : 30 mn
02/05/16
Résumé:  Après avoir “subi” les assauts d'une escort-girl louée par Louise pour fêter les cinquante ans de son mari, celui-ce décide de se venger et de rendre à Louise la monnaie de sa pièce.
Critères:  fhh vacances ffontaine cunnilingu double fsodo
Auteur : Surcouf14            Envoi mini-message

Série : La vie commence à cinquante ans

Chapitre 02
Louise va subir la vengeance de son mari

Dans le premier épisode : « Quelques jours à la voile »

Pour les cinquante ans de Serge, son mari, Louise lui offre, sans qu’il le sache, une call-girl lors d’un séjour à la voile. Celle-ci se fait passer pour le skipper du voilier et charme immédiatement Serge décidément bien naïf est conquis rapidement par cette charmante jeune femme peu farouche. Il ne se doute de rien et apprécie pleinement ce week-end sur l’eau avec sa femme et cette call-girl qui lui offrent un cadeau d’anniversaire inhabituel.



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Vendredi soir, je rentre à la maison épuisée de cette semaine bien chargée et je compte vraiment profiter de ce week-end pour bien me reposer. J’ouvre la porte de la maison et je retrouve Serge afféré à fouiller dans les placards et à sortir nos affaires de ski.



J’étais épuisée de cette semaine de travail et d’un coup toute la fatigue a disparu. Je t’aide à préparer les valises et en avant.


Serge a visé juste avec ce séjour, j’ai passé toute mon enfance dans une station de ski et j’ai grandi les skis aux pieds. Il sait que j’adore skier et que quand je suis heureuse, je suis disons, encore un peu plus, « ouverte » que d’habitude. J’espère bien qu’il saura en profiter ce coquin, à moins que ce ne soit moi la coquine…

Très vite, nous bouclons nos valises et prenons la route pour la montagne.



Au bout d’une heure, nous commençons à rouler dans les premiers lacets qui mènent à la station que l’on peut apercevoir tout en haut dans la nuit. Éclairée par les feux de la voiture, la neige est déjà présente sur le bord de la route. Cela s’annonce de bon augure pour notre séjour. Encore quelques minutes à enchaîner les virages et nous arrivons devant notre résidence. Magnifique immeuble recouvert de bois tel un chalet montagnard. Nous récupérons nos clés et découvrons rapidement notre appartement. Il est assez spacieux avec une vraie chambre et une pièce à vivre très agréable et joliment décorée. Nous posons vite nos affaires, prenons une douche et filons au restaurant que Serge a réservé pour notre arrivée.



Je sais ce qu’il pense en réalité et m’étonne toujours quand il me dit des âneries tout en restant le plus sérieux du monde. Un vrai pince-sans-rire, mon homme. Le repas est formidable et nous passons là un excellent début de week-end. Nous quittons notre table et découvrons en sortant que la neige a commencé à tomber alors que nous mangions. Bras dessus, bras dessous, nous marchons dans cette neige fraîche. Malgré le froid glacial, je sens la chaleur qui envahit mon bas-ventre, l’excitation me gagne à mesure que nous nous rapprochons de notre appartement, j’espère que Serge va vraiment assurer ce soir, le champagne a décuplé ma libido. Je suis prête à tout subir de sa part et même plus…


Il faut dire que depuis notre escapade sur ce voilier cet été, j’ai retrouvé une nouvelle jeunesse sexuelle et nos acrobaties sont plus inventives que jamais. C’est comme si cette expérience avait débloqué quelque chose en moi. J’ai découvert de nouveaux plaisirs comme l’amour à trois et aussi la sodomie qui m’avait toujours dégoûtée jusqu’alors. Il faut dire que je n’avais jamais voulu essayer jusqu’à ce que Sophie notre skipper fasse sauter ce verrou que Serge n’avait su crocheter malgré ses multiples tentatives. Depuis, plus de six mois ont passé et il n’est pas rare, en fait, je devrai dire qu’il est même plutôt fréquent, qu’il emprunte ce passage étroit pour ma plus grande satisfaction et la sienne bien sûr. C’est vraiment étrange ce que je ressens maintenant quand il s’occupe de ma porte de derrière, avant, cela me bloquait presque quand il se faisait trop insistant, alors que maintenant… il m’arrive de lui réclamer de me prendre de la sorte.


À propos de sodomie, je n’ai pas tenté depuis le dépucelage de Serge par Sophie de le sodomiser, enfin, je me dois d’être précise, je n’ai pas utilisé de gode. Il m’est juste arrivé quelquefois, alors que je lui suçais la bite, de lui enfiler un doigt dans son petit trou, le résultat a, à chaque fois, été très rapide et s’est conclu par une grosse giclée de sperme au fond de ma gorge dès que mon doigt devenait un peu trop entreprenant et s’immisçait, peut-être, un peu trop profondément. Il faudra peut-être que je change de méthode et ne m’occupe que de sa petite rondelle, il en a peut-être envie, mais ne m’en a pas parlé.


En ce qui concerne, une partie à trois, depuis que nous avons quitté Sophie, nous n’avons pas renouvelé l’expérience, j’ai bien tenté de recontacter Sophie, mais elle était toujours surbookée et ses tarifs sont assez prohibitifs. C’était peut-être la première et la dernière fois…


Quand j’y pense, dire que Serge ne s’est douté de rien et qu’il a toujours cru que Sophie était uniquement skipper « un peu » en manque de sexe. Les hommes sont vraiment naïfs, jamais il n’a imaginé que c’est moi qui lui avais fait ce cadeau un peu spécial !


En attendant, il n’est pas question de trio, mais plutôt de duo, c’est avec Serge et lui seul que je suis. Dès que nous fermons la porte de notre appartement, je me jette sur lui et commence à le déshabiller, il fait de même et jette mes vêtements n’importe où dans la pièce. Peu importe, je les retrouverai bien demain matin.


Nous sommes nus l’un contre l’autre, il m’embrasse, me caresse de toutes parts, me soulève puis m’emmène jusqu’à notre lit sur lequel il me pose délicatement. Il s’allonge sur moi et m’embrasse comme rarement, je sens déjà la raideur de sa queue contre ma jambe, tout s’annonce pour le mieux. Après quelques instants, sa bouche commence à s’occuper de mes tétons qu’il lèche et mordille avec application, puis vient le tour de mon ventre qu’il embrasse avec passion. Enfin, il commence à me brouter la chatte. J’adore quand il s’occupe de moi comme cela quand je le sens plein d’envie, du désir de me baiser. Sa langue commence à titiller mon clitoris, à lécher mes lèvres que je sais gonflées par l’envie, par le désir de son corps dans mon corps.



Je bascule alors mes jambes par-dessus ma tête et me retrouve le cul en l’air. Cela lui offre toute possibilité pour me lécher encore un peu mieux ma vulve et ma petite rondelle. Ma souplesse naturelle et mes cours de yoga me permettent de tenir sans problème dans cette position, c’est une position relaxante pour moi, sauf que là, elle est franchement… excitante ! Serge comprend bien ce que je désire et ne se fait pas prier pour prendre à pleine bouche mes deux orifices. Rapidement, sa langue caresse ma petite rondelle, puis force doucement ce passage qui est devenu beaucoup plus souple qu’auparavant. Je maîtrise mieux mon corps et sais me détendre dans ces moments-là.


Je sens sa langue pénétrer de plus en plus profondément en moi et dilater encore un peu plus mon petit trou excité. Parfois, c’est ma vulve qu’il lèche avec délectation, parcourant mes lèvres avec la pointe de sa langue puis remontant jusqu’à mon clitoris qu’il n’oublie pas de solliciter pour mon plus grand plaisir. Bien sûr, il a compris de quoi j’ai envie et n’oublie pas de jouer avec mon anus en faisant tournoyer un de ses doigts qui ne manque pas de pénétrer un peu plus profondément accompagné parfois d’un deuxième doigt. Cette position, cette double sollicitation m’affolent et rapidement, je sens l’orgasme monter en moi. Mes cris se font plus fort alors que ses doigts me fouillent un peu plus et que sa langue accentue sa pression sur mon clitoris. Tout à coup, je sens comme une décharge électrique en moi, une sensation quasi inconnue me fait me contracter un peu plus.



Je sens alors couler sur mon ventre, ma poitrine, mes épaules mon jus intime. Je viens de comprendre que je suis devenu une femme-fontaine.



Il se met alors sur le dos et rapidement, je commence à m’occuper de son sexe tendu comme un arc. J’aime le lécher, l’ingurgiter, mais ce qui me plaît le plus au début d’une fellation, c’est de goûter à son jus sucré qui s’écoule de sa tige érigée. Je le lèche ensuite en faisant glisser doucement ma langue le long de sa hampe pour faire encore monter l’excitation. Je l’avale ensuite autant que je peux, aussi profondément que ma gorge me le permet. Il faut dire qu’il est plutôt bien membré et la taille imposante de sa queue ne me permet pas toujours de l’avaler autant que j’en ai envie. Je continue à lui sucer la bite jusqu’à ce qu’il me dise :



Je m’exécute et me retrouve rapidement le cul en l’air. J’aime cette position où, la poitrine posée sur le lit et les bras au-dessus de la tête, je maintiens mon cul bien en l’air offert à tous ses fantasmes. Il se positionne alors derrière moi et commence d’abord par me lécher à nouveau mon petit minou et ma rondelle prête à l’accueillir. Ses mains caressent en même temps mes deux fesses alors que sa langue fouille successivement chacun de mes deux orifices. Mes gémissements l’incitent à poursuivre autant qu’il lui plaît ce doux supplice, la douceur de sa langue brûlante qui va-et-vient en moi me fait regretter ces années passées à refuser cette expérience dont je ne me lasse plus maintenant que j’y ai goûté.

Alors que sa langue abandonne mon petit cul, je sens Serge qui se redresse. Je ressens son gland qui commence à glisser sur ma vulve humide. Il joue à le faire glisser ainsi quelques instants.



Je sens alors son sexe pénétrer en moi, sans effort, dans mon sexe accueillant, humide comme jamais. Il est maintenant tout au fond de mon ventre, à chaque va-et-vient en butée au fond de mon vagin, cela me fait pousser un cri plaintif que je ne peux retenir.


C’est maintenant à l’un de ses pouces de tourner autour de l’objet de ses désirs qu’il n’a pas oublié de lubrifier abondamment. Il avait dû préparer un flacon d’huile silicone dont je reconnais l’odeur parfumée à la noix de coco. Ce pouce s’introduit dans mon anus alors qu’il me pistonne encore, je suis surprise alors qu’un deuxième doigt l’accompagne, peut-être l’autre pouce qui vient me dilater un peu plus. Deux doigts dans le cul, sa bite bien profonde dans mon ventre, jamais je n’avais eu droit à pareil traitement. Peut-être n’en avait-il pas encore eu l’idée ou bien il n’avait osé essayer cela ou alors il se réservait pour mon anniversaire. Peu importe, en attendant je profite de l’instant présent et imagine déjà la suite des événements.

Suite qui ne se fait pas attendre très longtemps.



Je l’entends s’éloigner, fouiller dans un sac et revenir vers moi. Il s’approche, me caresse un peu et fait alors glisser sur ma vulve un objet assez long qui semble être en plastique souple et flexible. Jamais il n’a utilisé ce type d’instrument, il doit s’agir d’un long godemichet que j’imagine, il a dû l’acheter pour l’occasion et viendra compléter notre collection. Je n’ai pas le temps de me poser plus de questions qu’il l’introduit dans mon vagin. Je me sens pleine, comblée, emplie profondément de cet objet inconnu qui va-et-vient en moi sans ménagement. Serge le ressort et le présente devant ma bouche pour me le faire goûter. Je peine à le prendre dans ma bouche, il est nettement plus gros que la queue de Serge, je comprends alors pourquoi je ressens toutes ces sensations quand il est en moi. Il le retire de ma bouche puis m’enfile à nouveau avec, il me masturbe longuement avec son nouveau jouet tout en léchant mon petit trou, je le laisse faire, heureuse d’être ainsi aimée par mon homme.



Serge ne se fait pas prier, et tout en maintenant le gode en place, il présente sa queue à l’entrée de mon petit trou. Je pousse légèrement pour faciliter la pénétration, son sexe en appui ne demande alors qu’à entrer dans mon étroit conduit. J’ai beau maintenant avoir l’habitude de la sodomie, la sensation cette fois-ci est décuplée par la présence du gode dans mon vagin.


L’étroitesse de mon conduit, la nouveauté de cette position semblent exciter mon Serge comme jamais. Son rythme s’accélère un peu plus, mes sensations se font encore plus intenses jusqu’à ce que je le sente jouir dans mon étroit conduit et l’emplisse par de longs jets de sperme. Il s’écroule sur moi, reste quelques instants figé ainsi puis se retire tout doucement. Je sens son jus s’échapper de mon anus libéré, je retire le gode et vient me coller tout contre lui. Nous nous endormons, je crois, presque aussitôt.


Je suis réveillé par le jour qui pointe. Je me lève, tire le rideau et admire le paysage enneigé. Il semble avoir neigé une bonne partie de la nuit, les arbres sont recouverts de cette neige douce, floconneuse. Éclairé par le soleil levant, j’admire ce paysage magnifique presque irréel. Je vois Serge couché et décide de le réveiller.



Il ne nous faut pas longtemps pour nous préparer et nous retrouver sur les pistes. Après quelques échanges de SMS, nous retrouvons assez vite Enzo, le nouveau collègue de Serge. Très beau garçon, me dis-je. Les yeux bleus, la peau mate, les cheveux bruns ondulés, une allure sportive. Le véritable italien dans toute sa splendeur.


Enzo nous explique qu’Antonella sa compagne n’a pas pu venir. Un problème familial l’a contrainte, très tôt ce matin, à se rendre à Milan. Il l’a posée à l’aéroport avant de nous rejoindre, il la récupérera demain soir à son retour des pistes.


Nous passons la journée à skier avec lui, effectivement, c’est un excellent skieur. Il nous explique qu’il faisait partie de l’école de ski à Milan quand il était enfant et qu’il passait tout son temps libre hivernal à « taper du piquet » comme on dit. Serge nous suit tant bien que mal dans les descentes vertigineuses. Heureusement, il peut se reposer sur les télésièges. Me reposer ne me déplaît pas non plus, car, souvent, je me retrouve assise à côté d’Enzo et le contact de ma cuisse contre sa cuisse a une fâcheuse tendance à provoquer en moi une émotion que je peine à contrôler…


À la fin de la journée, nous nous rendons chacun dans notre hôtel. Le temps de prendre notre douche, le téléphone de Serge se met à vibrer, il décroche.



Enzo arrive un peu plus tard avec sa valise. Je lui ouvre la porte.



Alors que je prépare un apéritif dînatoire, Serge s’amuse sur son téléphone, j’entends Enzo qui prend la douche. Je me dis que j’aimerais bien lui frotter le dos, à ce bel italien. Je regarde instinctivement du côté de la salle de bain et me rends compte que la porte de celle-ci est légèrement entrouverte, j’aperçois Enzo qui vient de sortir de la douche en train de se sécher. Je manque de faire tomber mon couteau, surprise par cette vision inattendue. Je ne le vois que de dos, mais l’envers est très prometteur, un dos taillé en V, des fesses fermes, des jambes musclées. Je l’observe furtivement en train de sécher, je le vois enfiler un boxer puis un polo moulant. Je fais mine de rien alors qu’il sort de la salle de bain, mais ne peux m’empêcher de le mater alors qu’il finit de se vêtir dans le couloir de l’entrée.



Nous nous installons et commençons par trinquer et à grignoter toutes ces bonnes choses posées là. Serge parle du travail et explique à Enzo le fonctionnement de la société qu’il ne connaît pas encore très bien, les gens sur qui il peut compter, ceux dont il doit se méfier, etc.

Cette discussion ne me passionne pas vraiment, je suis plus intéressé par les beaux yeux d’Enzo et par ses muscles qui se dessinent sous son polo. Les coupes se vident régulièrement et rapidement, nous sortons la bouteille amenée par Enzo.



Enzo va chercher ses cartes et nous commençons à jouer. Ils m’expliquent comment jouer, les meilleures combinaisons, comment bluffer, etc.



Pour agrémenter le jeu, Serge propose que le gagnant choisisse le vêtement à enlever au perdant et qu’il le fasse lui-même, de plus, il devra caresser la partie découverte. Je rechigne un peu, même si au fond cela ne me déplaît pas, et finalement tout le monde est d’accord avec cet avenant à la règle.

À ma grande surprise, la chance du débutant sûrement, j’emporte la première partie. Enzo qui a perdu la manche sera donc ma victime. Serge hilare se moque d’Enzo qui se lève bon joueur, prêt à subir cette épreuve. Je m’approche de lui silencieuse et un peu hésitante.



En passant près de Serge, j’attrape son verre et en avale une bonne gorgée pour me donner du courage. Je suis maintenant face à Enzo, j’hésite et je me lance, je commence à soulever son tee-shirt. Il lève les bras, prêt à se laisser déshabiller. Je continue à le retirer et découvre un corps encore plus beau que ce que j’avais pu l’imaginer tout à l’heure quand je l’observais dans la salle de bain. Des abdominaux parfaitement dessinés, des pectoraux de rêve, taillé comme un nageur de haut niveau. Je pose maintenant ce tee-shirt et caresse son torse pour le punir un peu plus. Mes mains glissent en douceur, presque tremblantes sur sa peau, je caresse son ventre musclé, sa poitrine, pour achever mon travail, pour caresser son dos, je dois me coller tout contre lui, mes bras l’enlacent, mes doigts continuent leur parcours sur chaque centimètre carré de cette peau si douce. Je suis maintenant collée tout contre lui, tellement proche que le nez dans son cou, je sens son parfum qui m’envoûte. Je me rends compte tout à coup d’une bosse qui appuie sur mon bas-ventre. Visiblement, je lui fais de l’effet, profondément troublée, je lâche ma prise et retourne à ma place pour reprendre une nouvelle partie.


Certainement perturbée, cette fois-ci, c’est moi qui la perds et Serge qui emporte la mise.



Serge n’hésite pas et se présente face à moi.



Je me lève docile. Il attrape mon tee-shirt et l’enlève très lentement comme pour faire durer ma peine un peu plus longtemps. Je me retrouve en soutien-gorge devant mon mari et ce quasi-inconnu. Serge me caresse de toute part, sa main caresse ma poitrine.



À la partie suivante, c’est Serge qui gagne encore et Enzo subit sa deuxième défaite.



Je ris, peut-être un peu saoule aussi, de voir Serge ôter ce pantalon et caresser les jambes d’Enzo qui accepte la sentence. À la partie suivante, je sens la défaite approcher à grands pas, je tente un dernier coup de bluff et perd finalement la partie emportée in extremis par Enzo. Je sens bien que l’enjeu les motive. Et l’enjeu, je suis sûr que c’est mon soutien-gorge qui ne demande qu’à être dégrafé.



Enzo passe derrière moi et défait tel un expert mon soutien-gorge. Je tiens encore les bonnets avec mes mains. Enzo les écarte en douceur et retire délicatement mes seins de cette emprise. Absolument excitée par la situation, je sens mon corps entier frissonner, mon sexe couler dans ma petite culotte. Je ne vois même plus Serge qui observe la scène et n’en manque sûrement pas une miette. Toujours placé derrière moi, mon vainqueur se colle contre moi et commence par caresser mes tétons érigés, à les pincer légèrement sans que cela ne soit douloureux, il prend maintenant à pleines mains mes deux seins alors que je sens nettement son sexe gonflé contre mes fesses. Soudain il cesse et me laisse pantelante et frustrée. J’aurais tellement aimé que cela continue encore un peu.


Les parties s’enchaînent jusqu’à ce que l’inévitable se produise, j’emporte la partie et devinez quoi, Enzo qui n’a plus conservé que son boxer a perdu. Il comprend ce qui va se passer et se lève prêt à subir mon courroux.

Je me présente face à lui et je m’agenouille. Je vois bien que la situation lui fait un certain effet. Je descends alors ce boxer qui laisse apparaître juste devant mes yeux un sexe d’une taille vraiment imposante et en parfaite érection. Érigé tel un mât de cocagne, je commence à caresser son sexe d’une main et de l’autre ses bourses bien remplies. Je continuerai bien plus longtemps et pas seulement avec les mains, j’ai une envie folle de le prendre en bouche, de l’avaler, de l’engloutir au plus profond de ma gorge… mais Serge me rappelle à l’ordre.



À contrecœur, je retourne à ma place et ne peux détacher mon regard de l’entrejambe d’Enzo dont le sexe ne faiblit pas. Cela doit perturber ma concentration, car je perds rapidement cette partie emportée ex aequo par Serge et Enzo qui vont devoir ôter ensemble ma culotte en dentelle, dernier élément que je porte encore.



Cela ne semble pas les perturber outre mesure. Serge vient se positionner derrière moi et Enzo face à moi. Quatre mains saisissent alors ma culotte qu’elles descendent sans aucune hésitation alors que j’écarte légèrement les jambes pour leur faciliter la tâche. Enzo presque collé à moi descend en même temps, son visage frôle presque ma poitrine, mon ventre et se retrouve face à mon petit minou qu’il découvre tout sourire. Heureusement, je suis passée quelques jours auparavant chez l’esthéticienne qui m’avait refait une beauté de ce côté-là. Sans me demander quoi que ce soit, ils commencent à me caresser. Serge s’occupe de mes deux globes et n’oublie pas de glisser ses doigts jusqu’à ma petite rondelle. Enzo quant à lui fait glisser ses doigts sur ma petite chatte puis les faits glisser sur mon clitoris et pénètre presque entre mes lèvres humides. Je ne peux m’empêcher de pousser un léger gémissement alors que la pression se fait un peu plus intense.



Encore une ou deux parties et nous nous retrouvons nus tous les trois.



Vu son grand sourire, nul besoin de traduction. J’ai parfaitement compris qu’il acquiesce sans retenue aucune. Serge propose que le vainqueur lèche le sexe du perdant. Je suis stupéfaite d’une telle proposition, je ne reconnais plus mon mari, d’habitude beaucoup plus sage.



La partie commence et semble acharnée comme jamais. En réalité je bluffe comme un joueur pro, sauf que ce n’est pas pour gagner, mais pour perdre ! Je me rends compte qu’Enzo semble avoir une bonne main et je fais tout pour qui l’emporte. J’ai envie de hurler de joie quand je constate qu’il a gagné et que je suis « malheureusement » la perdante de cette partie. Instinctivement, je bascule mon bassin en avant et écarte les jambes prêtes à l’accueillir.



Enzo s’approche, son sexe toujours érigé, il s’agenouille et commence à lécher mon petit minou fraîchement taillé qui ne demandait que cela. Ses mains en appui sur mes cuisses, sa langue glisse le long de mes lèvres que je sens on ne peut plus humides. Elle pénètre légèrement entre celles-ci tout en remontant vers mon clitoris sur lequel elle s’attarde maintenant longuement. J’ai envie de prendre sa tête entre mes mains, de l’appuyer encore un peu plus contre mon sexe, mais je crois que le règlement ne me le permet pas et je ne suis pas certaine que Serge apprécierait cet enthousiasme débordant, quoique…



Tout le monde est d’accord, je compte bien prendre ma revanche cette fois-ci. Ma concentration, ma motivation et peut-être une bonne main me permettent d’atteindre l’exploit. De plus, ma victime est Enzo qui a lamentablement perdu, je me demande quand même si cette défaite n’était pas légèrement volontaire. Je ne me pose pas plus de questions et me lève déjà, tout sourire, pour punir Enzo. Alors que je m’approche, je constate que son sexe reprend rapidement une vigueur juvénile. Je me penche sur ma proie et prends d’abord à pleine main ce pieu qui m’est offert.


Je commence par lécher son gland et goûte les quelques gouttelettes sirupeuses qui s’en échappent. Les veines semblent un peu plus gonflées le long de sa hampe alors que je prends en bouche son gland et que ma langue tournoie autour de ce fruit divin. Alors que je l’avale un peu plus, je le fixe droit dans les yeux, en appui sur son fauteuil, il semble apprécier sa punition, en tout cas, je n’aperçois aucune contrariété s’exprimer sur son visage. Jamais je n’ai eu une telle bite à ma disposition, je compte bien profiter de la situation et ne pas lâcher ma proie aussi facilement. Je me délecte de ces va-et-vient de ce sexe dans ma bouche.


C’est à ce moment-là que je sens mon sexe pris d’assaut !

J’avais oublié momentanément la présence de Serge qui se rappelle à mon bon souvenir. Trop affairée à mon affaire, je n’avais pas vu qu’il s’est approché de mon arrière-train et entreprend de brouter ma vulve folle d’excitation. Bien sûr, il ne manque pas de s’occuper de ma petite rondelle qui a aussi droit à quelques coups de langue bien appuyés.


Je crois comprendre que notre partie de poker est terminée et qu’une partie d’un nouveau genre vient de débuter. Il ne me vient pas à l’idée de protester. Pour la première fois, j’ai deux hommes rien que pour moi, égoïstement, je compte bien en profiter et sans limites aucunes.

Serge entreprend maintenant de me limer, ses mains bien agrippées sur mes hanches, il vient au plus profond de moi pour mon plus grand bonheur.

Après quelques minutes à me faire prendre en levrette et à sucer la bite d’Enzo du mieux que je peux, j’ai envie de changer de position et de prendre, un peu, les choses en main.



Il ne se fait pas prier et s’exécute aussitôt. Je me penche sur lui et avale immédiatement sa queue humidifiée comme jamais par mes sécrétions. J’aime le lécher ainsi alors qu’il vient de me baiser. J’espère bien sûr qu’Enzo profite de cette position pour s’occuper de moi, et me prenne par surprise… Nul besoin de le supplier pour qu’il vienne derrière moi. Il commence d’abord par me lécher la vulve, rapidement, ce sont de mes deux orifices dont il s’occupe alors que je suce Serge comme rarement. Tout à coup, je sens la langue d’Enzo qui commence à s’introduire dans mon anus, je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi entreprenant, en tout cas, pas aussi rapidement. Il caresse en même temps mes fesses et, par moments, les écarte pour faciliter un peu plus cette intromission. Je le sens se relever et positionner sa queue à l’entrée de mon sexe qui n’attend que cela. La bouche pleine, je ne peux m’empêcher de gémir alors que sa queue entre profondément dans mon vagin. Son engin est plus épais que celui de Serge et me fait ressentir des sensations incroyables.


Alors qu’il va-et-vient en moi depuis quelques minutes, il me colle une grande claque sur les fesses. Mais, jamais Serge ne s’était permis cela ! Je devrais être furieuse d’un tel geste et pourtant, je l’accepte à mon grand étonnement, malgré la douleur ressentie, j’ai envie qu’il recommence, ce qui ne tarde pas à arriver à quatre ou cinq reprises. Les fesses en feu, je propulse mon arrière-train en arrière pour le sentir encore un peu plus profondément enfiché en moi. Après cette fessée inattendue, il commence à faire tourner son pouce sur mon anus et commence à l’introduire un peu, puis plus profondément. Encore une nouveauté pour moi, je suis prise par tous les trous à la fois, merveilleuse sensation.



Ils me posent alors sur le dossier du canapé, le cul en l’air et la tête basculée en arrière vers le sol. Serge passe derrière le canapé et commence à me faire un cunni comme rarement il m’en avait fait. Mes deux trous sont introduits chacun leur tour par sa langue vicieuse et avide de me donner un maximum de plaisir. Pendant ce temps Enzo me baise littéralement la bouche, habituellement, c’est moi qui donne le rythme de la fellation, là, je ne fais que subir ses va-et-vient rapides et profonds.

Je gémis comme une folle comblée par mes deux amants d’un soir.



Serge s’assoit sur le canapé la queue en l’air. Je viens alors sur lui et m’enfile sur sa bite qui m’attend impatiemment. De son côté, Enzo commence à caresser mes fesses et mon anus.



Il ne se fait pas prier, présente sa queue à l’entrée de ma rondelle dans laquelle il s’introduit sans forcer. Il ne me ménage pas et s’enfonce rapidement jusqu’à la garde. Très vite, ces deux bites vont et viennent en moi. Je n’avais jamais imaginé être prise par deux hommes à la fois. J’avais déjà vu avec Serge des films pornos dans lesquels des jeunes actrices étaient prises comme cela, mais je ne pensais pas être capable d’un tel exploit et pourtant… et pourtant, je suis bien, follement heureuse d’être la chose sexuelle de ces deux hommes qui ne me ménagent pas.

Leurs mains ne restent pas inactives et me caressent de toutes parts.

Par moment, une gifle inattendue s’abat sur mes fesses me fait sursauter, suivie aussitôt de caresses d’une grande tendresse, d’une grande douceur, comme pour me réconforter. Enzo ne manque pas, également, de prendre mes seins à pleines mains et de les malaxer.



En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, Serge et Enzo échangent leurs places respectives et je me retrouve rapidement prise des deux côtés. Serge semble fou comme jamais de me baiser ainsi et va-et-vient en moi avec une incroyable frénésie. De mon côté, j’embrasse Enzo avec la plus grande avidité, nos langues s’entremêlent, je mordille ses lèvres, cet étalon italien me rend folle.

Alors que je ne m’y attendais pas, Serge se retire brusquement, a-t-il déjà joui ? Ah non, heureusement !

Il s’assoit sur le canapé et m’ordonne de le sucer. Je me retire alors d’Enzo, me mets sur le côté et viens sucer la bite de mon mari qui, quelques secondes auparavant, était bien au fond de mon cul. Étrangement, je ne suis même pas dégoûtée et je la suce avec envie et application.

Enzo n’est pas en reste et sa bite vient remplacer aussitôt celle de Serge, elle ouvre comme il se doit ma petite porte de derrière qui n’est plus si petite cela. Au vu du calibre de son engin, elle doit même être franchement dilatée. D’autant plus dilatée qu’il me l’enfonce bien au fond à chaque aller et retour. Il joue même à ressortir et à rentrer à plusieurs reprises comme pour solliciter cette rondelle que je n’imaginais pas aussi accueillante il y a peu de temps encore.



Je comprends bien qu’il est d’accord et que je vais rapidement goûter à une autre queue. Ils n’ont pas le temps d’esquisser le moindre geste que je me retourne et me mets à lécher cette tige encore humide alors que je présente mon cul à mon mari.

Alors que je m’attendais à me faire à nouveau enculer, Serge se met à me lécher la vulve et plus particulièrement mes lèvres que je sens gonflées par toutes ces sollicitations. Sa douceur me semble alors extraordinaire, je sais que ce n’est que passager et apprécie ce moment inattendu à sa juste valeur. Il passe par moments de petits coups de langue sur mon clitoris qui n’en demandait pas tant.



Il se positionne derrière moi et introduit sa verge dans mon sexe humide. Je me dis qu’il avait envie de goûter à nouveau à un peu plus de conformisme, en fait non, il ressort rapidement puis remplit à nouveau mon petit trou. Il alterne ainsi entre mes deux orifices comblés successivement. Je ne regrette pas les idées lubriques qu’il a ce soir ni les envies qu’il avait dû accumuler et mettre de côté depuis un certain temps. Il attendait certainement le bon moment pour passer à l’action et me faire découvrir toutes ces nouveautés. Alors qu’il pilonne mon anus et que je lèche Enzo depuis un bon moment, je sens qu’ils sont tous deux prêts à exploser.



Serge et Enzo se mettent alors face à face, je devrai plutôt dire, « bite à bite ». Je comprends alors ce que voulait dire Serge. Dans cette position, je peux lécher une bite tout en masturbant l’autre et passer de l’une à l’autre rapidement, ce que je fais avec la plus grande application.



Je n’avais pas pensé que ce soit possible, et pourtant, et pourtant j’arrive sans trop de difficulté à sucer ces deux bites en même temps, à les avaler, à les pomper du mieux que je peux. Mes deux mains les prennent en tenaille et les branlent en même temps que ma bouche les suce du mieux qu’elle peut. Je sens que Serge ne va plus résister bien longtemps, tout en continuant à branler Enzo, j’insiste un peu plus sur sa queue en le pompant activement. Comme je le pensais, je sens jaillir au plus profond de ma gorge de longs jets de spermes. Serge retire alors sa queue de son emprise buccale et m’arrose le visage des derniers jets de son sperme gluant. J’avale comme d’habitude toute cette semence dont il m’a fait cadeau et m’occupe maintenant de la bite d’Enzo. Je compte bien lui faire subir le même sort et savourer son sperme dont j’essaie d’imaginer le goût. Je le pompe du mieux que je peux et pense atteindre bientôt mon but.


Contrairement à Serge, il se retire et se branle face à mon visage, j’ouvre grand la bouche, tire la langue pour attraper sa semence qui jaillit maintenant de son sexe turgescent. Certains jets pénètrent directement dans ma bouche, d’autres sur ma joue ou sur mes lèvres. Je reprends alors son sexe dans ma bouche pour le nettoyer avec application. Mes doigts ôtent les dernières traces de sperme qui ont arrosé mon visage. J’avale toutes ces dernières gouttelettes et les déguste avec délectation.



Je les embrasse tous les deux et file dans la chambre.



Ils me rejoignent rapidement après avoir trinqué tous les deux avec un dernier verre de génépi.

Le reste de la nuit ne me permet pas de beaucoup me reposer. Je continue à être comblée pendant de nombreuses heures par ces deux amants déchaînés, tantôt avec l’un pendant que l’autre reprend quelques forces, tantôt avec les deux. Ils me font subir toutes sortes de perversités que j’accepte et réclame avec plaisir.


Au petit matin, après avoir très peu dormi, je me réveille entourée de ces deux hommes dans une odeur de sexe dont je semble être totalement recouverte. Ils me regardent tous les deux souriants. Ils semblent avoir, tout comme moi, apprécié cette longue nuit.



Je me lève et file sous la douche pour me nettoyer des traces de cette nuit. Tous deux me rejoignent aussitôt et entreprennent de me savonner, de me laver du mieux qu’ils peuvent.


Je ne sais comment j’arrive à ne pas m’endormir et à réussir à skier avec plaisir tout au long de cette journée. Je devrais être totalement exténuée et pourtant, je suis en pleine forme.

Arrive la fin de l’après-midi, nous disons au revoir à mon bel italien qui doit retrouver son épouse Antonella, quelle chanceuse me dis-je alors qu’il démarre sa voiture. Nous prenons aussi la route pour retourner chez nous. Dès les premiers lacets, je tombe dans un sommeil profond et ne me réveille que lorsque la voiture s’arrête devant notre maison. Nous mangeons à peine et nous couchons rapidement. Ce soir-là, Serge est beaucoup plus sage et me fait gentiment l’amour dans une position beaucoup plus traditionnelle que la veille.


Quelques jours ont passé, et avec Serge, nous n’avons jamais évoqué cette nuit-là passée avec Enzo. Peut-être s’agit-il d’une pudeur réciproque.


Alors qu’il est parti faire du sport avec des amis, je recherche sur l’ordinateur familial une recette de cuisine. Je clique sur l’historique de navigation pour retrouver une recette que j’avais trouvée quelques semaines auparavant. Je découvre le nom d’un site qui attire mon attention, je clique sur ce lien et s’affiche une page que je ne connais pas. Il s’agit d’un site d’escort-boys, en première page, je reconnais immédiatement la photographie d’Enzo ! Stupéfaite, je clique sur cette photographie et découvre une page qui lui est entièrement consacrée avec d’autres photos très explicites, des descriptions de ses prestations, des commentaires de clientes plutôt satisfaites…

Mince alors, tu parles d’un collègue cet Enzo, en fait Serge m’a offert un escort-boy pour mon anniversaire !

J’ouvre alors le logiciel de messagerie et trouve assez facilement tout un tas de messages qui confirment ce que je viens de découvrir. Plusieurs échanges avec Enzo, sur le tarif, la durée de la prestation, les frais pris en charge, etc.


Je me demande si ce cadeau est la réponse à ce que je lui avais offert pour son anniversaire, pourtant il n’en avait rien su, sauf si, sauf s’il est moins naïf que je ne le pensais…


Je décide alors de ne rien lui dire de ma découverte, mais excitée par ce que je viens de trouver et par le souvenir de cette nuit-là, je lui offre le soir même une nuit exceptionnelle et sans tabous pour l’en remercier. Avec peut-être Enzo au fond de ma tête !