n° 17332 | Fiche technique | 99520 caractères | 99520Temps de lecture estimé : 75 mn | 11/04/16 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Comme souvent, pour les vacances d'été, nous allons à Platja d'Aro, une station balnéaire catalane, et ce, pour le plus grand plaisir de mes yeux, car ma délicieuse Sophie aime bronzer, seins nus. | ||||
Critères: fh couple extracon revede noculotte intermast pénétratio -extraconj | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Sophie sans sophisme Chapitre 01 / 06 | Épisode suivant |
Il y a quelque temps, Soda, un lecteur de Rêvebébé, m’a contacté pour me demander si ça pouvait m’intéresser de coucher sur papier (aidé par un traitement de texte) un de ses fantasmes récurrents.
La réponse est dans les lignes qui suivent…
Comme souvent, pour les vacances d’été, nous allons à Platja d’Aro, une station balnéaire catalane, et ce, pour le plus grand plaisir de mes yeux (et aussi ceux des autres), car ma délicieuse Sophie aime bronzer seins nus.
Bien qu’ayant dépassé deux fois vingt ans, ma chère femme a gardé une silhouette juvénile, fruit acharné de diverses activités sportives et d’une hygiène de vie pointilleuse, voire parfois draconienne. Même si parfois, j’estime qu’elle exagère, je reconnais que le résultat final est largement à la hauteur des attentes. De plus, ça me permet, à moi aussi, de ne pas trop me laisser aller, contrairement à bien des collègues…
Et puis, je n’avais pas trop envie de passer pour le père de ma propre femme, bien que nous ayons le même âge, ou presque. Un des petits plaisirs de ma femme est de se faire traiter de grande sœur de notre fille… En parlant de ma fille, les enfants ne nous gênent pas trop, ils retrouvent ici, comme presque chaque année, leur petite bande qui s’en va vivre sa vie loin des parents, ces créatures qui ne comprennent rien à rien, comme chacun le sait.
Je suis allongé sur le ventre, avec en point de mire les beaux seins en poire de ma femme. C’est une vision agréable dont je ne me lasse pas depuis tant d’années. Il faut dire que, contrairement aux nombreux mateurs qui déambulent et re-déambulent sur la plage, moi, j’ai l’immense avantage d’en profiter tactilement ! Et je sais que ce va-et-vient ne déplaît pas à ma femme qui est un zeste exhib à sa façon.
Non, décidément, rien à jeter chez ma blondinette de femme, de la tête aux pieds, rien ! De sa coupe au carré à ses jambes fuselées, de ses doigts fins à ses mignonnes fesses, arrondies juste comme il faut, rien de rien !
Amusée, elle me regarde par-dessus ses larges lunettes de soleil. Elle se penche sur moi et murmure :
Ça la fait sourire. Elle s’expose à nouveau au soleil afin de dorer cette belle peau satinée que je caresserai et que je câlinerai ce soir dans l’intimité de notre chambre. Elle lance :
Et après avoir résolu mon problème physique, je la quitte à regret pour lui rapporter ce qu’elle me demande.
Ahlala, ces hommes ! Pas un pour racheter l’autre ! Quand même, il faut le faire, mon homme bande encore rien qu’à voir mes seins ! Pourtant il les connaît, il passe son temps à les tripoter, tout comme mes fesses d’ailleurs !
Enfin bref ! Néanmoins, ça me flatte de savoir que mon mari a toujours le béguin pour moi. Ce n’est pas le cas de tout le monde, malheureusement. Bon, il est un peu possessif avec moi, un peu jaloux même, mais ça va encore, il y a pire…
Damien, mon mari, s’assied, puis il répond :
Je me penche vers lui pour lui déposer un furtif petit bisou sur ses lèvres. Je me recule à temps avant qu’il ne cherche à en avoir plus !
Je secoue la tête, évitant de répondre. Je préfère commencer à déguster petit à petit ma glace. Oh, je sais très bien quelles idées vicieuses mon homme doit avoir dans la tête. Pas que mon homme d’ailleurs…
Mais tout ceci m’amuse. Je reconnais sans honte que je ne déteste pas faire saliver ces mâles, le mien surtout. C’est si excitant, si on n’en abuse pas. C’est comme la glace d’ailleurs…
Pour m’occuper l’esprit autrement, je décide d’aller barboter seul dans la mer, ma femme n’ayant pas trop l’esprit à ça. De retour, je m’allonge pour bouquiner un peu, tandis que je surveille du coin de l’œil tous ces hommes qui tournent autour de ma chère femme que ça amuse beaucoup. Souvent le soir, à la résidence, nous en parlons.
Soudain une voix retentit derrière nous :
Je relève le nez de mon livre et je découvre face à moi, Antoine. Nous le connaissons depuis cinq-six ans environ, par le biais du sport. Il y a six mois de ça, il était au trente-sixième dessous, sa femme l’ayant quitté. Nous avons fait ce que nous avons pu pour lui remontrer le moral, mais ça n’a pas été facile. Il y a environ deux mois, il commençait à aller mieux, il avait repris le sport comme avant. Par contre, toujours pas de femme dans sa vie. Ou bien, il a oublié de nous le dire.
En parlant de femme, la mienne est tout étonnée. Gênée, elle se couvre prestement la poitrine. Cette pudeur subite m’amuse : elle se fait mater à tout va par plein d’inconnus lubriques, mais pas par les personnes que nous connaissons…
Je me relève pour serrer la main d’Antoine :
Antoine se contente de rire. C’est une Sophie à présent en bikini qui demande :
Puis goguenard, il poursuit :
Sophie pique aussitôt un fard. Elle pourrait se nicher dans un trou de souris ou de crabe, elle le ferait illico ! Pour ma part, je me contente de sourire, il est toujours flatteur d’être envié.
Je me tourne vers ma femme :
Nous bavardons encore quelques moments, puis nous nous séparons, nous étant donné rendez-vous vers 21 heures, au rond-point qui possède un cube rouge au milieu, avec un MacDo à côté. Ce fast-food n’est pas une référence gastronomique, mais on le voit de loin ! Bref, pas loin de l’Office du tourisme.
Chemin faisant, Sophie et moi discutons. Je lance la conversation sur notre ami :
Je tourne la tête vers ma femme :
Et elle boude. Je préfère changer de sujet :
Je suis un peu étonné de sa réflexion :
Cette réponse me laisse songeur… Encore quelques mètres à cheminer, nous sommes presque arrivés. La détermination de Sophie m’amuse, je lui demande :
Nous arrivons à la résidence, nous prenons chacun notre douche, puis nous vaquons à diverses occupations. Les enfants faisant toujours bande à part, à l’heure dite, Sophie et moi allons au lieu du rendez-vous. Ma femme est très mignonne avec son top moulant rose, qui s’harmonise très bien avec ses mignons seins, et sa jupette chatoyante. Elle est habillée, couleurs locales ; ici, les femmes se permettent bien des choses que nous, les hommes, aurions du mal à leur reprocher, sauf jalousie extrême. Et puis, nous sommes en vacances !
Aucun soutien-gorge, ce qui est assez flagrant, mais une petite culotte, j’espère… Chemin faisant, nous rencontrons d’autres personnes, et souvent, c’est un régal pour les yeux. Le blanc, c’est très beau sur une peau bronzée, mais c’est quand même assez transparent à sa façon ! Au moins, ma femme a quelques couleurs sur elle…
Néanmoins, je constate que, décidément, l’éternel féminin n’est pas très logique, car tout à l’heure, Sophie était gênée d’être seins nus face à Antoine, alors que, maintenant, son top moulant laisse tout entrevoir sans montrer, ce qui est encore pire pour la libido. Surtout pour celle d’un homme qui ressort de six moins de frustration… Du moins, je le suppose…
Nous avons facilement déniché un petit restau sympathique, et nous prenons l’apéritif en terrasse, ce qui est très agréable. Antoine est un convive aimable, capable de parler plaisamment de tout et de rien, il a en plus un certain charme, je le reconnais. Je constate avec plaisir qu’il va mieux, nettement mieux, si j’en crois les rapides coups d’œil qu’il ne peut s’empêcher de donner à ma petite personne, surtout en haut… Sans parler de mes gambettes croisées à côté de la table. J’aurais dû mettre une jupe un peu plus longue, car là, il me matte posément les cuisses. Idem pour mon top, quelque chose me dit que les jeux de lumière doivent aider l’imagination que ces hommes ont trop grande !
Soudain, Antoine se lance sur une pente que j’estime glissante :
Mon mari intervient :
Piquée, je me lance dans la conversion :
Je ne sais plus où me mettre, Antoine me drague ouvertement et mon mari qui ne dit rien ! Ou bien, il ne voit rien, même si ça se passe sous son nez ?
On dirait bien qu’il est en train de draguer ma femme sous mon nez ou je me trompe ? Bon, il a des circonstances atténuantes avec son divorce et je reconnais que ma femme est très tentante. Moi-même, si j’étais célibataire, je tenterais bien ma chance. Pourtant, son ex, Béatrice, ne ressemblait pas à Sophie. Peut-être a-t-il décidé de changer de « modèle », de type de femme, qui sait. C’est une bonne façon de mieux tourner la page…
Mais bon, Sophie, c’est quand même ma femme ! Même si je suis flatté d’être l’époux d’une belle femme qui ne fait pas son âge… Je vais laisser un peu couler les choses, on verra ce que ça donne par la suite et si je dois recadrer ou pas Antoine. Je lui demande :
Un peu surprise, ma femme rougit. Secrètement flatté, je réponds :
Antoine pose son menton, sur ses poings fermés :
Sophie se retourne quelques secondes, puis demande :
Antoine a tout du chasseur de gazelles :
Puis il se tourne vers moi :
Il désigne de la main ma femme :
Ma femme ne sait plus du tout où se mettre. Pour couper court, je réponds sur le ton de la plaisanterie :
Le repas se passe très bien, Antoine s’étant un peu calmé, mais il continue de draguer gentiment ma femme, c’est plus subtil, plus délicat. Sophie semble d’ailleurs apprécier, contrairement à tout à l’heure, elle est nettement moins gênée par les compliments de notre hôte. Parfois, il me chambre encore un peu avec le top moulant de ma femme, mais c’est plus léger. Le repas, bien que simple, est très bon, le cadre très typique, la musique de fond aussi. Ils savent cuisiner par ici, et c’est autre chose que du congelé réchauffé à la va-vite ! Soudain, je me lève :
Je m’éloigne. J’ai la curieuse impression qu’on vient de dire dans mon dos quelque chose comme : qui va à la chasse perd sa place…
Me voici seule avec Antoine. Je parie qu’il va en profiter. Je ne sais pas quelle attitude adopter, je le remets à sa place, car je suis une femme mariée et fidèle, ou bien je le laisse faire un peu, car c’est quand même flatteur pour ma petite personne…
Aie, aie, aie, il attaque fort, je trouve ! Posément, je lui réponds gentiment, en essayant de limiter la casse :
Ça, c’est bien une logique d’homme. J’avoue que ça me plaît un tantinet d’avoir un admirateur secret, enfin, s’il ne raconte pas de mensonges. Mal à l’aise, j’essaye de plaisanter :
Franchement, ça me trouble nettement plus que je ne veuille me l’avouer. Il regarde autour de lui, puis se penche un peu vers moi :
Il se penche à mon oreille pour me murmurer sa demande, ce que j’entends me stupéfait :
Il me regarde avec un grand sourire comme si c’était naturel ! Abasourdie, je lui demande :
Assez troublée, je ricane devant cette dernière phrase :
Eh oui, monsieur ne me demande rien d’autre que ma petite culotte ! Le plus curieux est que je me pose la question du oui ou du non, alors que je devrai l’envoyer balader ! Antoine continue son petit monologue :
Antoine rit franchement :
Il me lance un sourire lumineux et à la fois navré ; ça me retourne :
Je ne sais pas quoi répondre. Non… Oui… Curieusement, le défi me tente, me titille. Je chasse l’idée, mais elle revient, plus séduisante. Et puis, ce n’est qu’une culotte. Mais c’est quand même ma culotte. Et ce grand dadais qui me regarde de son air de chien battu !
Pour toute réponse, je tortille ; Antoine me regarde d’un air très étrange. Peu après, je me penche alors vers lui et je souffle :
Assez surpris, il prend en main sous la table une petite boule de tissu. Il la regarde entre ses jambes, la contemple longuement. Il lève ensuite la tête, puis se penche vers moi, par-dessus nos assiettes. Sans que je n’y prenne garde, il m’embrasse furtivement sur le nez puis me dit :
Et son compliment me va droit au cœur, beaucoup plus que je ne l’aurais souhaité !
Après avoir échangé nos numéros de portable, nous nous séparons sur le trottoir et nous rentrons chacun de notre côté. Silencieusement, nous regagnons lentement la résidence. Je sens bien que ma femme est nerveuse. Non, c’est autre chose, mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus. Enfin, je sens qu’elle n’est pas dans son état habituel. Je lui demande :
Sophie soupire :
Je n’avais pas vu la situation sous cet angle-là. Je réponds :
Et pour appuyer mes dires, je lui mets joyeusement la main aux fesses. Soudain je réalise quelques choses : on dirait qu’il n’y a rien sous le tissu de sa jupe !
Surpris, je demande à ma femme :
Je vois bien qu’elle est évasive, mais moi, je veux savoir ! Alors je la presse de questions, mais elle répond toujours confusément ou à côté. Alors que nous ne sommes plus très loin de la résidence, assez énervée, elle finit par lâcher :
Quand on sera rentré, il faudra que j’aille vérifier dans la salle de bain cette histoire de culottes pas sèches ! Quoique… elles doivent être sèches et archisèches à présent. Ce n’est pas la première fois que Sophie oublie de mettre une culotte, mais ça commence à dater ! C’est curieux, tout ça ! Mais bon, c’est aussi très excitant !
Néanmoins, je préfère me taire et c’est en silence que nous arrivons à la résidence…
À peine sommes-nous entrés dans notre appartement, que je plaque ma femme sur le mur, bien décidé à profiter d’elle, suite à l’état incroyable d’excitation dans lequel elle me met avec son absence de culotte et son attitude équivoque !
Il n’y a pas que moi qui sois dans un drôle d’état, Sophie m’embrasse férocement, avidement, tandis que m’empare sans équivoque de ses fesses bien fermes ! Il ne nous faut pas bien longtemps pour rouler au sol, insouciant du confort, peu regardant sur la dureté du plancher, bien trop occupés à agripper, nous caresser, nous découvrir dans une sorte d’urgence, comme aux premiers jours.
C’est carrément elle qui me plaque au sol puis qui s’empale sans préliminaire sur ma queue bien raide ! Ses lèvres détrempées enveloppent sans effort mon fier mandrin pour l’engloutir dans un antre bien chaud et humide que je connais bien depuis toutes ces années, mais qui me fait toujours un bien fou !
Déchaînée, elle s’agite, elle oscille autour de ma tige comme un pivot, elle s’empale dessus par secousses vibrantes, en longues saccades, comme pour me déraciner… Moi-même, je suis entraîné dans ce tourbillon, tout ce que je veux, c’est elle, elle sur ma bite, elle en qui j’irai me vider, pour la faire mienne, ma femme !
Soudain, dans un long gémissement, elle s’agite frénétiquement, usant de mon sexe comme un piston, haletante, bestiale. Elle renverse la tête, agrippe mes cuisses, y plantant ses ongles, toujours agitée de soubresauts, telle une poupée désarticulée. Fébrile, j’accompagne ses mouvements de grands coups de reins afin qu’elle sente mieux ma queue virile en elle, pour que je l’envahisse encore plus loin, plus fort !
L’instant d’après, elle éclate, elle jouit comme une petite folle, complètement ailleurs, partie beaucoup plus loin que le septième ciel, son corps assailli de longues et puissantes vibrations, tandis que dans de longs râles, bouche ouverte, je me vide totalement, je remplis son antre chaud, je le submerge pour qu’il déborde, complètement rassasié !
Le lendemain, nous nous retrouvons sur la plage, comme convenu. Je suis assez fébrile, Antoine ne va pas lâcher l’affaire, je le sens. Et visiblement, que je sois marié ou pas, ça ne lui fait ni chaud ni froid, je penserais même que ça l’aiguillonne plutôt qu’autre chose. Mais en même temps, ça me flatte. Et en plus, ça booste ma libido avec mon mari ! Bref, je ne sais plus sur quel pied danser !
Et pour ne rien arranger, mon homme annonce :
Pourtant il sait bien que je vais à l’eau plus tard ! Peut-être espère-t-il qu’Antoine viendra avec lui, mais là, je pense qu’il se leurre !
Et il s’éloigne, me laissant seule avec Antoine. J’aurai dû parier, j’aurais gagné ! Comme si mon séducteur allait laisser passer sa chance ! Qui va à la nage perd sa place, ça rime moins, mais l’idée est là !
Pour l’instant, il est très occupé à gonfler son canot pneumatique, mais je sais que je ne perds rien pour attendre. D’ailleurs, il m’envoie ci et là quelques compliments sur ma tenue très estivale.
Sous l’œil très intéressé d’Antoine, j’ôte mon haut pour pouvoir bronzer comme les autres jours. Alors que je prends en main le tube de crème, arrêtant aussitôt de « pomper », il offre illico ses services :
Je commence à me mettre de la crème sur les épaules et dans le cou. J’hésite à me badigeonner la poitrine sous ses yeux, ce serait de la provocation. Sourire charmeur aux lèvres, il relance :
Je soupire, je sens que ça ne va pas être de tout repos ! J’entrevois néanmoins un compromis :
Ça me fait rire malgré moi. Mais je reste ferme :
Il s’empare du tube tandis que je m’allonge sur le ventre. L’instant d’après, il commence à me badigeonner le dos. Je reconnais qu’il sait s’y prendre, ses mains sont douces et fermes, ses doigts pratiquent même une sorte de massage plutôt efficace, je me détends peu à peu.
Tandis qu’il fait glisser agréablement ses mains sur mon dos, je lui confie :
Les mains qui me caressent le dos se figent un court instant. Puis Antoine continue à étendre la crème solaire, je me demande bien d’ailleurs s’il y en a encore. D’un ton un peu moqueur, il conclut :
Je ne réponds rien, me laissant aux caresses très douces et agréables. Ça me détend incroyablement. Je m’endormirais bien comme ça ! Soudain je sens une petite claque sur mes fesses accompagnée d’un retentissant :
Un peu agacée, je soupire :
Je le regarde sévèrement, il me fait une tête de petit garçon contrit. Ce type est impossible ! Ce duel silencieux dure quelques instants, mais hélas, je cède la première :
Je me redresse un peu puis je m’accroupis. Avec un large sourire, il me tend le tube de crème. Sous son regard, je dépose une noisette blanche sur mes doigts puis je commence à l’étendre sur ma poitrine. Il suit avidement des yeux les traces blanches sur ma peau bronzée. Curieusement, ça ne me gêne pas tant que j’aurais pu le croire.
Je dirais même que ça m’amuse de le voir suivre les doigts qui étalent la crème sur la peau fragile de mes seins, les faisant frémir. Je taquine mes tétons déjà bien dressés. Antoine contemple le tout avec un intérêt évident et flatteur. Mes mains ne s’arrêtent, elles étalent la crème, encore et encore. Je crois même que je suis en train d’en ajouter dans le malaxage de ma poitrine…
Une fois mes seins tout luisants, je les malaxe une dernière fois. Je constate qu’Antoine n’est pas le seul à m’avoir vue mettre de la crème sur moi, et je pense que ces autres voyeurs n’ont pas été dupes… Ça me flatte et ça me gêne en même temps. Pour couper court à mes problèmes, je lance :
Antoine a un air navré, il incline la tête pour dire à voix basse :
En effet, du coin de l’œil, je vois revenir mon mari. Je suis presque déçue.
Ayant « abandonné » Sophie sur la plage, Antoine et moi sommes en train de faire un petit tour sur son canot pneumatique. Nous laissant ballotter par les vagues, nous regardons vers la terre. C’est vrai que vu d’un peu loin de la mer, la côte est très belle. Enfin, si on excepte les endroits un peu trop bétonnés. Je demande à Antoine qui rame allègrement :
Mettant ma main dans l’eau, je me cale mieux :
Il se contente de sourire. Je reprends :
Il regarde au lointain, vers le nord, vers la France. Je décide de le taquiner un peu :
Cessant de ramer, le regard perdu au lointain, il soupire :
Il tourne la tête vers moi :
Amusé, je souris :
Puis il change complètement de sujet, me proposant une sortie sur un mini-voilier pour demain. J’accepte. Quelques minutes plus tard, nous sommes de retour sur la plage, auprès de Sophie qui lit, allongée sur le ventre, un slip de bain presque transformé en string. C’est vrai qu’elle est belle et bandante, ma femme !
Si l’objet des désirs d’Antoine est effectivement comme ma Sophie, j’espère pour lui qu’il sera au moins aussi heureux que moi !
C’est à mon tour d’aller faire un petit tour sur la grande bleue, mon mari insiste, me disant que la vue est belle. Fermant mon livre, je me relève, j’enfile mon top en forme de bandeau, j’ajuste mieux mon slip. Puis je me dirige vers le canot où m’attend déjà Antoine, qui m’aide à monter. Il est un peu pressant dans son genre, mais reste galant, voire légèrement suranné. Durant ce temps, Damien, maintient le canot afin qu’il soit plus stable.
Il se contente de rire puis il s’éloigne. Un peu surprise, je le regarde s’éloigner. Je trouve ça curieux. Ils se sont dits quoi, ces hommes ?
Me voici à quelques encablures du rivage avec un Antoine tout en muscles qui souque ferme. Nous nous dirigeons visiblement vers la pointe rocheuse.
Il arrête de ramer et me montre du doigt quelques rochers affleurants :
Quelque chose me dit qu’il a surtout envie de me visiter, moi. Mais néanmoins, je me laisse portée par les événements comme je me laisse portée sur l’eau dans ce canot pneumatique. Je lui souris :
Je ne m’attendais pas trop à cette déclaration incongrue, je rougis !
Je rougis à nouveau. Antoine change complètement de sujet. Peu après, nous abordons la petite crique en question. Galant homme, Antoine me donne la main pour m’aider à sortir du canot. Par contre, bien que je sois arrivée sur le sable sec, il « oublie » de lâcher ma main et la garde fermement dans la sienne. Nous visitons donc, main dans la main, l’endroit. Soudain, il se plante au milieu de la minuscule plage :
Profitant d’un léger relâchement, je dégage ma main de la sienne :
Il se plante devant moi, mains sur les hanches, portant en avant son bassin :
En effet, je ne peux pas dire le contraire ! Pour un machin, c’est incontestablement un machin dur ! Son short est tendu à craquer. Je me demande ce qu’il doit avoir entre les jambes pour que ça donne ce tel résultat ! Je chasse vite cette pensée, ce n’est pas trop le moment !
Je m’énerve un peu :
Un peu désabusé, il lâche :
Je suis un peu déboussolée :
À la fois attendrie par ses sentiments et agacée par son insistance, je rétorque :
Dans quel pétrin je me suis foutue ? Je m’assieds sur un rocher :
Avec un naturel que je ne lui soupçonnais pas, Antoine extirpe de son short une verge bien tendue. Je reconnais que j’ai vu pire dans ma vie, je dois aussi admettre que c’est une belle verge. C’en est même étonnant. Mais ce n’est pas pour autant que je changerai d’avis, le zizi de mon mari me convient très bien !
Il commence à se branler sous mes yeux, lentement, délicatement. Puis il accélère le mouvement. Je me dis alors qu’Antoine doit être bon amant, une intuition subite. Je pourrai détourner la tête, mais je ne le fais pas, comme troublée par cet étrange spectacle de cet homme qui se masturbe pour moi.
Je ne réponds pas, mais j’accède à sa demande, abaissant mon bandeau de quelques centimètres, lui dévoilant à nouveau ma poitrine. Dans cette atmosphère un peu étrange, ça ne me gêne pas de constater que mes tétons sont durs. Et je parie que mon voyeur-exhibitionniste attitré a dû le remarquer lui aussi.
Nous restons face à face, lui se masturbant de plus en plus fort, et moi, je regardant faire. J’essaye d’imaginer ce que ça doit être pour un homme d’être privé de femme depuis des mois, et de fantasmer sur une femme inaccessible ! Ça me trouble énormément de savoir que c’est moi, cette femme inaccessible…
Prise d’une impulsion subite, je tends la main vers cette verge si droite. Antoine empoigne alors la base de son mandrin, laissant mes doigts effleurer la fine peau chaude. Je la caresse d’abord lentement puis je m’enhardis, saisissant à pleine main cette queue bien chaude. J’aime sentir cette tige palpitante sous mes doigts, savoir qu’elle va gicler dans quelques instants, et que ce sera grâce à moi et pour moi.
Peu de temps après, une première salve lourde jaillit pour venir se perdre dans le sable. Une autre suit bientôt, puis bien d’autres. Je suis étonnée de tout ce sperme qui s’éparpille ainsi. Je sais bien qu’il n’a pas connu de femme depuis quelques mois, mais de là à en avoir tant à écouler, ça me sidère ! Et pourtant, je parie qu’il a dû se branler entre-temps !
Je lâche sa verge, me contentant de la regarder fléchir petit à petit. Je ne dis rien, j’attends. Antoine sort un mouchoir en papier et s’essuie posément. Puis me regardant bien dans les yeux, il me dit simplement :
C’est la façon dont il me le dit qui me retourne…
Il me semble que je les vois revenir de leur balade en mer. Je n’ai pas vu le temps passer, mon bouquin était captivant. C’est Antoine qui descend le premier, il est en grande forme. Il aide ma femme à descendre du canot. Par contre, elle a une drôle d’expression sur le visage.
Et elle s’affale sur sa serviette, allongée sur le ventre, dans un grand soupir. Antoine a un sourire en coin :
C’est vrai que même la Méditerranée peut être sujette parfois à de grosses tempêtes.
Sophie ne bouge plus, comme endormie. Elle reste ainsi un bon quart d’heure, remuant un peu de temps en temps pour faire voir qu’elle est toujours de ce monde, puis elle revient à la vie. Je constate qu’elle est quand même plus atone que les autres jours, mais elle participe bien à nos conversations et qu’elle vient aussi se baigner avec nous. Puis le soir arrive.
J’ai demandé à Damien pour manger à la résidence, prétextant mon indisposition. Je n’avais pas trop envie d’être à nouveau en tête-à-tête avec Antoine, car Dieu sait ce qu’il aurait eu alors derrière la tête ! Déjà le coup de la culotte d’hier soir ! Et moi, comme une conne, j’ai accédé à sa requête ! Je me demande bien ce qui m’a pris de le faire ! Même si je dois reconnaître que ça m’a… enfin bref…
Et Damien qui m’a sauté dessus dans la foulée ! Moi aussi, un peu d’ailleurs… Je dois reconnaître que ce fut très bon ! Mais la situation est quand même foireuse, même si avoir un mari fougueux et un prétendant entreprenant n’est pas mal du tout, c’est valorisant pour la quadra que je suis !
Je suis allongée dans le lit, Damien dort déjà, mais pas moi. Je repense à ce qui s’est passé dans la petite crique. Et dire que j’étais à deux doigts de lui sucer la queue ! J’espère qu’Antoine ne s’est aperçu de rien ! Ça me démangeait de le faire ! Eh merde, je suis une femme fidèle, moi ! J’ai déjà croisé des autres hommes et des pas mal, mais cette fois-ci, ça me retourne ! Il va falloir que je me reprenne en main et vite !
N’empêche que j’y pense toujours. Pourtant, ce n’est pas la première fois que je vois une queue de près ! Ah pourquoi a-t-il fallu que ce fichu Antoine pointe le bout de son nez dans mes vacances !?
Et pourquoi je pense à cette queue ? Et à son propriétaire ? L’attrait de la nouveauté, sans doute… N’empêche que… dans l’absolu, ça ne déplairait pas d’essayer… Mais qu’est-ce que je raconte, moi ? J’ai déjà mon homme sous la main, je n’ai pas besoin d’aller m’enquiquiner avec un autre bonhomme ! Pas du tout !
N’empêche que j’y pense encore et encore. Et pourtant, ce n’est pas la première fois que je vois une bite de près, celle d’un homme qui me désire ! Ah pourquoi a-t-il fallu que ce fichu salopiot d’Antoine pointe le bout de sa queue dans mes vacances ?
Nous attendons sur la plage depuis quelques minutes, Antoine n’est toujours pas arrivé. Je commence à me demander quoi, car ce n’est pas le genre à arriver en retard. Soudain mon portable sonne :
Je me tourne vers ma femme qui me regarde un peu soucieuse, je lui explique :
Sophie secoue la tête :
Je ne réponds rien, je me contente de sourire. Ma femme soupire, elle me donne son sac de plage, gardant sa petite sacoche, puis elle se décide :
Je le lui donne. Elle consulte son smartphone :
Puis elle s’éloigne, retournant vers les habitations. Je la regarde s’éloigner, ondulant du bassin. C’est un beau petit lot, ma femme, incontestablement. Puis elle disparaît de ma vue. Alors je décide d’aller faire un peu de voile, la petite séance d’hier avec Antoine m’a donné envie.
Aidée par le GPS de la voiture, j’ai vite trouvé le camping en question, puis je n’ai pas mis beaucoup de temps à dénicher le camping-car d’Antoine. J’ai toqué à la porte :
À demi allongé une banquette-lit, mon malade me semble néanmoins pas si mourant que ça. Ou bien Damien a exagéré, ou bien Antoine en a ajouté une louche. Ou les deux à la fois. Je tends mon sachet en papier :
Un certain silence s’installe. Quelque chose me dit que la situation est faussée, mon malade me semble diablement bien portant ! Surtout si j’en crois ce que je crois deviner du côté de son short ! Je fais comme si de rien n’était, j’insiste lourdement :
Il chasse cette contre-indication du revers de la main :
Les mains sur les hanches, je soupire :
Sans prévenir, Antoine me capture dans ses bras et bascule en arrière, m’entraînant avec lui. Surprise par cette subite manœuvre, je me retrouve à la fois captive et vautrée sur lui. C’est de justesse que j’évite ses lèvres sur les miennes, il doit se contenter de ma joue ! Ce qui ne le traumatise pas d’ailleurs, puisqu’il en profite pour me plaquer un gros bisou…
J’essaye de me dégager, mais c’est peine perdue, il est beaucoup trop fort pour moi. J’essaye de le raisonner :
J’essaye de me dégager, mais ce n’est pas évident, il me tient captive. Il pourrait sans problème me broyer contre lui, mais je constate qu’il évite de me faire mal, me laissant un peu de jeu entre ses puissants bras. Je soupire bruyamment :
Soudain il me regarde très sérieusement, ça me donne des frissons. Il enchaîne :
Sa façon de me regarder me chamboule, je ne sais pas comment décrire ce que je ressens actuellement. D’une faible voix, je finis par concéder :
Un large sourire éclaire son visage, ça me fait aussi de l’effet ! Pourquoi ? Il dépose tendrement un baiser sur ma joue puis déclare :
Je pouffe de rire :
C’est alors que, n’étant plus sur mes gardes, il m’embrasse !
Faire de la voile tout seul, c’est moins amusant, même s’il y a d’autres participants autour de moi. Dommage qu’Antoine soit tombé malade, ce sont des choses qui arrivent…
Surpris, je me retourne. C’est une femme de mon âge, plutôt mignonne qui vient de me parler. Lui adressant l’un de mes plus beaux sourires, je réponds :
Et je lui fais un petit topo des environs avec les choses à faire et celles à ne pas faire. Elle me remercie chaleureusement, en me disant un « à bientôt ». Belle femme, et j’avoue que j’avais une belle vue sur son décolleté, ce qui était très agréable…
En parlant de femme, je n’ai pas encore vu Sophie sur la plage. Il est vrai que le camping est assez loin. Elle devrait être de retour dans quelques minutes, je l’espère. En attendant, je vais aller faire un petit tour sur l’eau, histoire de profiter quand même de mon mini-voilier.
Je n’ai rien compris au film, mais me voici allongée dans le même lit qu’Antoine, couverte de baisers, enlacée dans des bras puissants, et je me laisse faire ! Je me laisse aussi faire quand sa bouche se pose sur la mienne et quand il m’embrasse à la fois tendrement et férocement !
Je me laisse porter par la vague, telle une simple brindille, bercée par tout ce désir, cette volupté, et ce plaisir qui monte en moi…
Il niche son nez dans ma poitrine à présent dévoilée, il embrasse sensuellement mes seins, mordille lascivement mes tétons, il éveille en moi des tourbillons de sensation !
Pourtant, je sais que je ne devrais pas, mais c’est si bon d’être désirée ainsi ! Je suppose innocemment que si on en reste au stade des gros câlins, ça ne devrait pas trop me poser de problème. Mais est-ce que nous en resterons qu’au stade du flirt très avancé ? Je me le demande ! Aussi bien de la part d’Antoine que de la mienne !
Mais il ne semble pas avoir entendu ma réponse, et moi, je me défends vraiment mollement, très mollement ! Je m’aperçois avec stupéfaction qu’il est tout nu, et ce qu’il a entre les jambes est plutôt bien raide ! C’est vrai qu’Antoine est mieux physiquement que mon mari, mais ce n’est pas une raison de se laisser aller ! Je dois avouer que son… machin est très… comment dire… beau…
C’est bien la première fois que je décrète que la queue d’un homme est belle ! Et ça me donne envie de la posséder ! C’est dingue comme sensation !
Pour ne rien arranger, Antoine met carrément son sexe à quelques centimètres de mes doigts. Curieuse, je la touche, elle palpite. Puis j’ouvre la main pour la capturer. La sensation est très excitante ! Pourtant ce n’est qu’un morceau de chair, mais j’éprouve comme un sentiment de puissance et de satisfaction à tenir en main puis à branler cette queue frémissante !
Je ne réponds rien, je découvre ce nouveau plaisir étrange. Pourtant j’aime faire l’amour avec mon mari, il est parfois imaginatif, et il sait me faire jouir, mais là, c’est différent. De son côté, Antoine ne reste pas inactif, puis que je n’ai plus grand-chose sur moi ! Il me caresse, il m’effleure du bout des lèvres, de la pointe de la langue, et ça me donne de doux frissons dans tout le corps ! Il égare parfois ses doigts entre mes cuisses, ça m’électrise !
Nous nous retrouvons enlacés l’un contre l’autre, goûtant la saveur de nos peaux, de nos lèvres. Puis il m’allonge sur le dos, écartant mes jambes, je sais très bien ce qu’il souhaite, il veut plonger en moi, mais moi, j’hésite…
Tout en m’embrassant, il arrive à enrober sa queue d’un préservatif. Au moins, il prend ses précautions ! Avoir une bite étrangère en soi, c’est tromper, mais avoir un morceau de plastique en soi, c’est aussi tromper ? N’est-ce pas comme un gode ? Je me cherche des excuses…
Le pire, c’est que c’est moi qui viens de prononcer ces mots ! On dirait que mon corps ne m’appartient plus ! L’instant d’après, Antoine s’installe entre mes jambes, et entre doucement, mais posément en moi !
Je gémis, c’est tellement bon d’avoir sa chatte envahie par une bonne bite ! Après je perds la notion de réalité, je flotte carrément, je pousse cent soupirs, mille petits cris, je me sens chaude, brûlante, bouillante ! Soudain j’explose, je m’éparpille partout, la tête vide, le ventre si plein ! À travers une sorte de brouillard, j’entends ses grognements de satisfaction, je comprends que lui aussi a joui…
Nous sommes à présent allongés l’un à côté de l’autre. C’est donc ça que de tromper son mari ? Je n’ai pas de regret, je n’avais qu’une seule envie : posséder cette queue ! C’est étrange que tout ça, la vie, l’amour et toutes ces considérations…
Pour toute réponse, il me sert contre lui. Comment lui en vouloir ? Et comment m’en vouloir, quand on se sent si désirée ? Puis il recommence à me câliner, à couvrir mon corps de baisers. Quelque chose me dit qu’il souhaite recommencer, et je ne suis pas contre, alors je me laisse à nouveau faire.
C’est à nouveau cette sensation de plénitude quand je laisse glisser mes ongles sur sa peau, quand je m’empare de son gourdin de chair, quand revient cette folle envie de l’avoir en moi, de l’engloutir, de la dévorer même !
Il tend le bras sur le côté, ramène quelque chose puis jure :
Secouant la tête, il soupire :
Je comprends sa déception, moi-même, ça me chagrine un peu. Mais il reprend vite du poil de la bête en me proposant :
Surpris, il me regarde avec des gros yeux ronds. Son expression m’amuse beaucoup. J’attends un peu. Mettant fin à son supplice, ayant pitié de lui, j’avoue :
Je reconnais que ça ne me déplairait pas qu’il me pénètre sans morceau de plastique, mais là, ce serait nettement tromper mon mari… Quoique, avec ce que nous venons de faire, je pense avoir changé de catégorie, je suis passée de femme vertueuse à salope !
Je soupire. Oui ça me tente. Je ne devrais pas, mais ça me tente !
Pour toute réponse, je tends les bras, lui disant :
Il ne faut pas lui dire deux fois ! Fou de joie, il s’empare de mes lèvres et m’embrasse comme un fou ! Puis il couvre mon cou et mes seins de cent, de mille baisers brûlants. Sa joie manifeste, et tous les frissons me disent que je ne regretterai pas d’avoir dit oui ! Puis lentement mais sûrement, il se positionne entre mes jambes écartées. C’est avec une énorme joie que je sens son gland venir cogner à ma fente déjà bien ouverte…
Je ne réponds rien, je suis trop occupée à ressentir les moindres millimètres de sa puissante queue qui s’introduit en moi. Dieu que c’est bon ! Très bon ! Trop bon ! Des types avec des queues pareilles, ça ne devrait pas être permis ! !
Voulant me démontrer son vigoureux désir de ma personne, Antoine se déchaîne ! C’est bien la première fois que je me fais entreprendre de la sorte ! C’est… fort, c’est robuste ! Il plonge comme un fou en moi, sa touffe de poils agaçant à chaque fois mon clitoris en feu ! Il me regarde dans les yeux, ça me procure des tremblotements incroyables ! Sa voix devient sourde, rauque :
Un autre coup de piston, puis un second et il éjacule en moi. Ça me fait un effet dingue, mirobolant, de savoir, de sentir son sperme envahir ma grotte ! Je pars moi aussi dans une jouissance électrique, tandis qu’il se déverse impudiquement en moi, tandis qu’il me remplit, tandis que je déborde !
Par trois autres fois, je suis à lui.
Par trois autres fois, il me remplira, il me comblera.
Par trois autres fois, je jouis, je déborde, je suis rassasiée !
Comblée, épuisée, heureuse, je gis à ses côtés. Ses mains me caressent tendrement. Puis il se redresse sur un coude :
Il me serre contre lui, tendrement :
Surprise par son ton franc et direct, je rougis. Embarrassée, je me lève. Je constate que j’ai plein de sperme partout ! Antoine me désigne un placard, c’est une petite salle de bain miniature. Tandis que je me nettoie tant bien que mal, il en profite pour me mater, mais son regard sur moi est tout doux, pas pervers. Ça me fait tout chaud au ventre !
Avant de nous séparer après un dernier énorme baiser, nous nous mettons d’accord pour nous revoir au plus vite. Antoine se propose de louer une chambre pour après-demain. Sans réfléchir, je dis oui. Je n’ai pas le temps d’en dire plus, car il m’embrasse fougueusement et j’aime ça !
Sophie semble planer à quinze miles, comme on dit. On dirait que tout glisse sur elle, comme si elle avait pris des substances illicites, mais je sais que ce n’est pas son cas, elle déteste ce genre de truc. D’ailleurs, elle ne fume pas et ne boit pas.
Je ne vais trop me plaindre, car elle est anormalement gentille avec moi, me traitant même parfois comme un enfant ! C’est amusant cinq minutes, mais lassant à la longue ! Et impossible de lui faire expliquer quoique ce fut ! Ce n’est quand même pas le mal de mer qui lui fait cet effet-là à retardement ? La conséquence de son petit périple en canot gonflable ? Ou un début de sa maladie que lui aurait refilé Antoine ?
En parlant d’Antoine, il n’a pas ralenti ses mots doux et ses compliments envers ma femme. Mais comme il sait se tenir, je ferme les yeux. Je n’aimerais pas être à sa place, un divorce, ce n’est pas la joie ! J’espère que ça marchera avec sa conquête en vue, ça lui fera du bien d’avoir une femme dans sa vie !
En parlant de femme, j’y songe, c’est vrai que Sophie a déjà été dans cet état-là : c’était un an environ après la naissance du premier. Elle était redevenue une femme amoureuse, comme avant. Une histoire d’hormones m’avait expliqué un médecin de mes amis. Et ça m’avait bien plu, beaucoup même ! Qui sait, un retour de flamme de ma femme au bout de vingt ans, je ne suis pas contre ! Faut dire que ces derniers jours, elle est beaucoup plus… accessible, on fait beaucoup l’amour, et pas de façon pépère !
Rien qu’hier soir, ce fut épique ! Une très bonne suceuse ! Elle a royalement englouti ma queue dans sa bouche pour me faire une série de pipes inoubliables ! Et je me suis déversé plusieurs fois en elle. Faire l’amour que dans la bouche, ce n’est pas mal non plus ! Elle m’a littéralement vidé les couilles hier ! Vidées, vidangées, asséchées ! Plus une seule goutte !
Les vacances, ça a du bon, il n’y a pas à dire !
C’est avec un petit pincement au cœur et une sourde joie que je rejoins Antoine dans la chambre d’hôtel qu’il a louée juste pour nous deux. À peine ai-je tapé à la porte que je suis happée par deux puissants bras. Même pas eu le temps de dire bonjour que ma bouche est close par ses lèvres ! Décidément, Antoine va droit au but ! Mais ce n’est pas déplaisant d’être désirée ainsi ! !
Pour toute réponse, il m’embrasse dans le cou et ça me procure plein de délicieux frissons !
Alors je me laisse aller à sa frénésie, goûtant le plaisir de son désir pour moi, de ses lèvres, de ses mains. Très peu de temps après, nous sommes sur le lit, à moitié nus tous les deux, sans que j’aie compris comment j’ai pu me retrouver à moitié déshabillée !
C’est un vaste tourbillon des sens qui s’empare de moi, ma peau contre la sienne, le goût de ses lèvres sur les miennes, sa chair sous mes doigts, toute cette sensation charnelle, ce moment présent à vivre intensément, comme si demain n’existait plus ! Comme s’il n’y avait plus que les minutes, les secondes qui viennent, plus qu’elles qui sont mon avenir avant un grand néant !
Soudain je pousse un petit cri, Antoine vient de me pénétrer ! Et visiblement, il se laisse aller, me pistonnant intensément. Je le sens bien en moi, dans mon antre totalement détrempé, mais j’aurais aimé un peu plus de préliminaires. Mais je comprends aussi l’impatience de mon amant, alors je laisse faire, espérant qu’il y aura une suite. Mes doigts dans sa peau, je l’attire contre moi, pour mieux l’avoir à moi !
Il jouit très vite, dans de grands coups de boutoir, comme s’il voulait que son sperme se diffuse dans tout mon corps, comme s’il voulait m’inonder. Bien qu’il jouisse intensément, il prend néanmoins garde à ne pas m’écraser de son poids. Petit à petit, je sens sa verge dure s’amollir en moi. Puis il roule sur le côté, murmurant :
Je me lève, allant dans la salle de bain, faire une rapide toilette. C’est vrai qu’il m’en a mis partout ! Je suis même étonnée de la quantité de sperme qu’il a éjaculé en moi ! Peut-être qu’il ne m’a pas menti concernant son célibat pur et dur, il a dû faire des réserves !
Antoine possède un beau corps, et aussi une belle bite. C’est curieux de raisonner ainsi, d’habitude, je n’accorde pas beaucoup d’importance à la queue des hommes. Mais je suis prête à faire une petite exception. Et je dois aussi reconnaître que son sperme gélatineux, ça me fait quelque chose ! Je me demande si je ne perds pas le sens commun !
Je reviens dans la chambre, il semble à nouveau d’attaque, si j’en crois ce que je vois entre ses jambes. Il me prend dans ses bras :
Je me dégage de ses bras pour m’asseoir au bord du lit. Je me fais lascive et coquine :
Puis j’écarte les jambes, le message est clair, il me semble ! Sans plus tarder, Antoine pose ses lèvres sur mon pubis qu’il embrasse puis commence à glisser plus bas. Il ne lui faut pas longtemps pour dénicher mon petit bouton rose très sensible, petit bâton de joie qu’il titille du bout de la langue, ce qui me met tout de suite en émoi !
Puis il se déchaîne entre mes jambes, j’adore ça ! J’adore quand une langue inquisitrice me farfouille, j’adore quand des lèvres se plaquent aux miennes, j’adore quand je sais que je barbouille une bouche de ma cyprine, j’adore être ouverte et offerte ainsi !
Comme mon élève s’applique bien entre mes jambes, je sens le plaisir monter doucement, mais sûrement. Et quelque chose me dit que je vais à mon tour décoller vers d’autres cieux dans peu de temps ! En tout cas, Antoine sait admirablement se faire pardonner ! Je gémis :
Il s’applique du mieux, me laissant guider sa tête, afin que je dose l’effet de sa langue, car à trop tournoyer autour de mon clitoris en feu, ça va finir par être douloureux !
Soudain au détour d’un coup particulièrement vicieux de langue, la digue, tant longtemps contrainte, saute, les flots impétueux m’envahissent, je tremble de la tête aux pieds avant de m’engloutir dans un long gémissement ! Je soubresaute sous ce plaisir électrique, telle une marionnette désarticulée, avant de sombrer totalement dans une petite mort !
Mon réveil est tout doux sous les câlineries et les baisers d’Antoine. Je me laisserais bien faire durant des heures ! Au bout d’un certain temps, j’ouvre les yeux, je caresse sa joue :
Puis il m’embrasse, nous faisons d’autres préliminaires. Il couvre mon corps de baisers, tandis que ses doigts me frôlent, me cajolent. Durant ce temps, je m’amuse à le branler doucement, la sensation de sa verge dure et chaude entre mes doigts me plaît beaucoup ! Soudain, il ordonne :
Obéissante et joueuse, je me couche sur le ventre, lui offrant mes fesses bien rondes. Il se positionne de part et d’autre de mes jambes, puis s’accroupit, frottant lascivement son sexe dur et chaud sur mon popotin. J’en frémis. Il joue de sa tige sur mon cul, se glissant parfois dans mon sillon. Ça me fait tout drôle, mais ça m’excite.
Soudain, il me demande :
Pour toute réponse, j’accède à sa demande, écartant lentement mes fesses, lui dévoilant mon sombre petit trou interdit. Il me murmure un « merci » qui me donne à nouveau des frissons, puis il commence à venir se frotter juste au bord, épousant ma petite cuvette du bout de son gland. Je dois reconnaître que ça me fait de l’effet ! Pourquoi ? Le goût de l’interdit ? Parce que j’aime ça et que je l’ignorais ? Je ne sais pas, mais j’aime cette pratique un peu… débauchée…
Tout en gardant une main pour continuer d’écarter une fesse et laisser un bon accès à ma fente, je glisse mes autres doigts sous mon pubis pour venir taquiner le haut de ma fente. Cela n’échappe à pas à mon amant qui se fait un plaisir d’accentuer ses mouvements et ses agaceries. Que c’est étrange de se masturber tandis que de l’autre côté, une bite volontaire fait semblant de forcer mon anus…
C’est très agréable de se laisser aller ainsi… C’est aussi très vicieux, très pervers, mais si bon, à en avoir d’étranges sensations dans le corps et surtout le ventre !
Je me laisse aller, lentement, doucement, je sens que ça vient. Aux halètements que j’entends au-dessus de moi, je pressens bien qu’Antoine va, lui aussi, jouir. C’est alors que quelque chose de chaud vient noyer ma petite cuvette. Quelle délicieuse sensation que ce foutre copieux qui s’égare, masse compacte à l’orée d’un puits interdit !
Complètement excitée par la situation, je pousse un premier râle de plaisir, tandis qu’entre mes fesses, mon amant s’active, répandant son sperme entre mes fesses accueillantes ! Ma jouissance jaillit, impétueuse ! Avide, je tends le cul vers cette bite qui se vide. Avant de sombrer totalement dans ce plaisir qui me ravage, il me semble bien que quelque chose est entré en moi, et m’inonde par dedans. Mais je m’en fous, je jouis comme une petite folle, dans mille cris, tant c’est bon, tant c’est fort, tant c’est divin !
Le soleil perce à travers les volets, une nouvelle journée commence. Hier soir, nous avons à nouveau fait l’amour, les vacances réussissent à ma femme, bien que je la sente quand même un peu tendue. La faute à Antoine et ses compliments ? Faut dire qu’il y va de bon cœur ! Encore heureux que je ne me formalise pas beaucoup ! Dans d’autres temps et d’autres siècles, nous aurions dû régler ça en duel, à l’épée ou au pistolet…
Pour l’instant, je dois gérer un truc plus préoccupant : une piqûre de guêpe qui est en train de dégénérer sur mon avant-bras. Antoine agit promptement :
Heureusement qu’il a prévenu ! Je ne sais pas bien ce qu’il m’a fait avec ses doigts, mais après une sacrée douleur avec du sang qui coule, ça semble s’apaiser.
Quelques minutes plus tard, ça s’est en effet calmé. Je pense que j’aurai une marque durant deux-trois jours. Sophie me demande toutes les cinq minutes si ça va ; son côté mère poule. Néanmoins, je constate qu’elle est parfois ailleurs, comme perdu dans un rêve. De temps à autre, elle semble contrariée…
Même si je viens de jouir comme une petite folle, je me sens quand même mal dans ma peau ! Jamais je n’aurai dû céder à Antoine ! Jamais ! Même si j’ai eu beaucoup de plaisir avec lui, je le reconnais. Mais là, franchement, ça ne va pas bien dans ma tête !
Antoine et moi avons réussi à nous isoler dans un coin, et nous avons faitl’amour à la sauvette. Que c’était bon ! Surtout quand il m’en a mis partout ! À sa grande surprise, j’ai même léché mon doigt après avoir taquiné ma fente poisseuse de son sperme si consistant. Moi-même, j’ai été surprise de mon propre geste, et ça commence à m’affoler !
Pourtant je ne suis pas la première femme à tromper son mari… Mais comment elles font, les autres ? Je pense à Nathalie, une collègue de travail, elle saute d’un homme à un autre, sans remord, par pur jeu. Elle doit se taper un nouvel amant tous les quinze jours, si ce n’est pas toutes les semaines ! Je l’ai déjà vue à l’œuvre, c’est dingue comment elle se met les mecs dans la poche et surtout dans son lit !
Mais voilà, je ne suis pas comme Nathalie, hélas, et ma conscience me tourmente ! Ça va faire deux bonnes heures que nous sommes tous les trois sur la plage, et j’ai l’impression que tout le monde autour de nous sait que nous formons le classique trio : la femme, le mari et l’amant. Alors que mon mari est parti faire trempette, je m’en ouvre à Antoine :
Je me tortille sur place :
Sourcils rehaussés, Antoine me regarde étrangement :
Antoine n’a pas tort, j’ignore comment mon homme va réagir, mais le poids de ma culpabilité est très fort. Je questionne :
Un pli amer au coin de la bouche, Antoine fronce des sourcils :
Et merde, il me fait la tête, à présent ! Antoine était finalement sérieux ? Aie, aie, aie ! C’est encore pire ! Et les minutes qui suivent n’arrangent pas les choses : Damien qui ne sait rien, Antoine qui m’en veut de ne pas l’avoir cru, et moi qui culpabilise !
La journée n’est pas terrible : je me suis fait piquer par une guêpe, ça a enflé comme pas possible, je me suis un peu foulé la cheville et j’ai bu la tasse !
Pour me changer les idées, j’avais décidé d’inviter Antoine à boire un petit quelque chose à la résidence, mais je me demande si c’est le bon moment, Sophie a été comme absente toute la journée, et Antoine comme agacé par un problème que je ne cerne pas bien. Quand je lui ai posé la question, il m’a répondu qu’en effet, un truc le tracassait, mais que ça ne dépendait pas de lui. J’avais laissé tomber et Antoine semblait avoir surmonté ce souci.
Nous sommes à présent dans notre appartement, à la résidence. Je le fais visiter à Antoine qui me concède que c’est un bon choix que d’avoir loué ici. Alors que je vais chercher une bouteille, dans le reflet de la fenêtre, je vois que Sophie s’approche d’Antoine pour lui dire quelque chose.
À mon retour, je vois bien que quelque chose ne va pas, Sophie est très gênée et Antoine fait visiblement la tête. Je pose la bouteille sur la table. Alors que je m’apprête à la déboucher, elle m’arrête d’un geste de la main :
Eh bé, c’est la journée ! C’est même ma journée ! Ça se bouscule dans ma tête, je suis partagé entre divers sentiments. Mais quelque chose commence à germer en moi. Ou comme quelque chose qui attend derrière la porte, et qui n’attend plus qu’on tourne la poignée. Oui, c’est ça…
Ma femme a une mine contrite, celle d’une petite fille qui a fait une grosse bêtise, genre manger toute la confiture du pot. Par contre, Antoine est nettement plus décontracté, je le sens même capable de venir me disputer ma femme, genre deux cow-boys qui s’affrontent en duel en plein milieu de la grande rue poudreuse… Il a presque un air à la Clint Eastwood !
J’en ai la confirmation quand il se décide à ouvrir la bouche :
Antoine a un sourire étrange :
Sentant que ça peut mal tourner, Sophie intervient, assez désemparée par la tournure des choses et devant le fait qu’Antoine cherche plus ou moins l’affrontement :
Vivement, je me tourne vers elle :
Cyniquement, je rétorque :
Soudain, à ma grande surprise, Sophie se fâche :
Antoine intervient, volant au secours de ma femme, cassant envers moi :
Sophie s’énerve un peu plus encore :
Quelle mauvaise foi ! Ça me coupe le souffle ! Antoine se déplace dans le dos de Sophie, et puis tenant la tenant par les épaules, il refoule délicatement ma femme sur le côté :
Antoine se plante carrément devant moi :
Sophie intervient timidement :
Un certain silence suit cet échange assez acide. Je me les dévisage tous les deux, ma femme et son amant. Je n’aurais jamais pensé être mis un jour dans pareille situation, un vrai vaudeville à l’ancienne ! Finalement, je questionne ma femme :
Antoine s’est un peu calmé, il écoute attentivement. Sophie continue sa phrase :
Sophie s’anime :
Eh bé, quand elle y va, elle y va ! Je me tourne vers Antoine :
Sophie rougit, ne sachant plus où se mettre. Moi, ça me fait sourire malgré moi. Sans trop y prêter attention, Antoine continue :
Je soupire bruyamment, puis je me tourne vers ma femme :
Elle ne répond pas, c’est son amant qui enchaîne :
Eh bé, c’est décidément la journée ! C’est même franchement ma journée ! Ça se bouscule à nouveau dans ma tête, je suis partagé entre divers sentiments. Et cette chose qui continue à germer en moi. Ce quelque chose qui attend derrière la porte, et qui n’attend plus qu’on tourne la poignée. Oui, c’est ça…
Antoine ajoute entre ses dents :
Je me plante devant ma femme :
Antoine me regarde avec inquiétude, il se demande si cette condition ne repose pas sur lui, sur le fait que lui et ma femme ne se voient plus. Il a raison, en ce sens que cette condition repose aussi sur lui, mais pas comme il croit. Je fais mariner un peu ma femme, ma petite vengeance un peu mesquine, mais qu’importe :
Je respire un grand coup puis je me lance :
Deux paires d’yeux me regardent assez ahuris. Dans d’autres circonstances, je serai fier de mon petit effet, mais comme je suis placé dans la situation fantasmée, autant y aller de bon cœur. De plus, cyniquement, ma femme aurait mauvaise grâce à me refuser quoique ce fut, après son aveu…
C’est Antoine qui saisit la balle au bond. Ce qui ne m’étonne pas trop de lui, il sait se placer, et c’est tout bénéfice pour lui :
Ça, c’est la réaction de ma femme, totalement éberluée. Je reconnais qu’il y a de quoi. Par contre, Antoine pèse visiblement le contre et le pour. Je le vois placer ses pions, je crois savoir ce qu’il va me dire :
Il sourit, je souris, Sophie a toujours la bouche ouverte, sans aucun son qui en sort. Antoine se gratte la tête, puis demande :
Je n’avais pas trop songé à cet aspect des choses… Je suis partagé entre trois attitudes : dire non, dire oui, mais seulement en ma présence, ou accepter qu’ils se rencontrent, mais pas dans mon dos. Antoine, qui doit avoir compris mon dilemme, intervient :
Sophie vient de retrouver l’usage de la parole. Elle est assez choquée de ce qu’elle vient d’entendre. Je lui explique :
Elle me regarde assez interloquée :
Elle en a la larme à l’œil :
Elle ne répond rien. Antoine se penche à son oreille et lui murmure quelque chose que je n’entends pas. Sophie hausse les sourcils, il continue à lui marmotter la suite. Elle fait une sorte de grimace, une sorte de sourire étrange. Soudain il la capture dans ses bras et l’embrasse passionnément. Elle résiste bien un peu, puis comme vaincue, se laisse faire.
Puis Antoine se tourne vers moi, tout en caressant posément ma femme qui est étrangement docile, le tout sous mes yeux :
Il ne faut pas bien longtemps pour qu’Antoine la couche sur le lit, lui ayant déjà dévoilé les seins qu’il embrasse et cajole. De temps à autre, Sophie me jette un regard étrange, je la rassure en souriant. Puis elle semble s’abandonner à cette curieuse situation qui, visiblement, la dépasse.
Je déplace une chaise que je dépose face au lit, puis je m’assieds dessus. J’ouvre ma braguette, j’attends la suite.
Petit à petit, Antoine la dévêt complètement, sans qu’elle s’y oppose. Elle se laisse faire telle une poupée de chiffon, apathique, osant parfois quelques timides caresses sur le corps de son amant, qui est, lui aussi, nu. Je dois reconnaître qu’il est mieux physiquement que moi, j’en aurais presque de la jalousie !
Je me cale dans la chaise, sexe bien à l’air, puis je commence à me masturber devant le spectacle que m’offre ma femme et son amant. Mon fantasme se réalise enfin !
Me voici embarquée dans une étrange situation : faire l’amour avec mon amant devant mon mari ! On m’aurait parlé de ça, il y a quelques jours, j’aurais demandé : qu’est-ce que c’est que ce scénario pourri à deux centimes d’euro ! Eh bien, c’est ce que je suis en train de vivre !
Antoine avait raison : pourquoi se casser le crâne si je peux avoir le beurre et l’argent du beurre, ou en plus clair, mon mari et mon amant sans avoir à choisir entre les deux. Oh, je sais très bien que c’est Damien que je choisirai dans tous les cas. Mais ça m’aurait peinée de faire une croix sur Antoine, c’est si… si différent avec lui. Je n’arrive à mettre des mots sur ce que je ressens quand je suis avec lui…
Peu importe, du moment que j’en profite !
Du coin de l’œil, je constate que mon mari se branle comme un fou, il va finir par se faire mal, à ce tarif ! En tout cas, il a l’air d’aimer le spectacle que nous lui offrons. Ceci étant, ça me bloque quand même un peu beaucoup ! Faire l’amour avec son amant sous le regard de son mari, ce n’est pas évident du tout. Mais pas du tout ! Soudain mon homme s’adresse à moi :
Quelque chose me dit que, dorénavant, il faudra que je fasse attention à mes gestes et à mes paroles. Antoine avait raison, il valait mieux que je la boucle plutôt que de soulager ma conscience. Maintenant, j’ai donné à mon mari une sacrée arme dont il se fera un plaisir de se servir par la suite ! Qui sait si un jour il ne va pas lui arriver la lubie de vouloir me jeter en pâture à plusieurs hommes en même temps ? Je suis même persuadée qu’il va vouloir faire de l’échangisme quand nous serons rentrés à la maison !
Échangisme ? Peut-être pas. Je le crois capable de rester simple voyeur tandis que je me fais tringler à tout va ! Je ne serais pas étonnée… Ça m’arrangerait, car je ne sais pas si je supporterais de le voir avec une autre femme. Même si de mon côté, je ne peux guère la ramener sur ce sujet, puisque c’est moi qui aie fauté en premier. Oui, jamais je n’aurais dû le dire, Antoine avait raison…
Ah, et merde de merde ! Il veut du spectacle ? Je vais te lui en donner, moi, du spectacle ! Il va voir ! Toujours caressée par Antoine qui s’enhardit petit à petit, je tourne la tête vers mon mari qui est inlassablement en train de s’astiquer :
Alors j’attire Antoine à moi afin de l’embrasser voluptueusement, à pleine bouche. Mon amant est particulièrement heureux de mon initiative, son baiser fougueux me le prouve ! Ses mains baladeuses sur tout mon corps aussi ! De doux frissons zèbrent ma peau, c’est extra ! Je me laisse doucement sombrer dans le désir de ce corps qui est à moi, qui est pour moi et qui sera bientôt en moi !
Je me laisse aller, ignorant royalement où je suis, qui me regarde. Mes lèvres dévorent ce nouvel homme que la vie m’a offert, mes doigts palpent ce corps que je désire, mon ventre se frotte contre ce vit tout dur que j’adore déjà.
Il rit joyeusement ! Il descend petit à petit, couvrant mon cou, mes seins, mon ventre, mon pubis de délicieux baisers. Il me fait sursauter d’un vicieux coup de langue qui s’insinue dans ma fente entrouverte et ruisselante. Il me lèche quelques instants, histoire me m’attiser encore plus, puis il se redresse afin de plonger en moi. Son gland taquine ma fente, glissant dedans avant de s’engouffrer sans plus de préliminaires. Je pousse un énorme soupir de contentement quand je le sens s’introduire en moi ! Je savoure chaque centimètre qui entre. Je ne pensais pas qu’on puisse être folle ainsi d’une queue !
Il me pistonne doucement, lentement puis accélère le rythme. Ses coups sont puissants, je le ressens parfaitement au plus profond, c’est délicieux ! Très délicieux ! C’est si bon ! Soudain il sort pour venir se frotter impudiquement sur mon clitoris. Il fait quelques allers-retours très vicieux et suprêmement jubilatoires. Je ne résiste pas, je décolle aussitôt, je jouis dans une débauche de petits cris.
Et nous recommençons, une fois, deux fois, sans qu’Antoine éjacule. Je vois bien qu’il se retient, mais que c’est quand même de plus en plus dur pour lui. Alors, levant le menton, dégageant mon cou, je lui désigne mes seins. Il comprend où je veux en venir, et il commence à se masturber. Pour l’aider, je lui caresse les testicules. Je vois bien que sa verge frémit, se gonfle, ses veines palpitent. Je masse posément ses boules qui roulent entre mes doigts. Regardant du coin de l’œil mon mari qui regarde avec attention, je murmure :
Un premier jet vient s’écraser sur mon sein gauche, puis dégouline lentement. Une autre salve l’accompagne. Ma poitrine subit d’autres jaillissements qui la couvrent partiellement. Puis, Antoine s’essuie posément sa verge, laissant de longues traces luisantes…
De son côté, mon mari a éjaculé de bruyante façon, je le vois reprendre petit à petit son souffle. Je souris, la situation me semble étrange, mais excitante. Très excitante. Alors je vais continuer mon petit spectacle puisque Damien, mon cher dépravé de mari, l’a souhaité ainsi, lui qui est actuellement avachi sur son siège, à la fois radieux et épuisé !
Mes seins couverts de sperme, je m’approche de mon amant, de sa bite qui ramollit, épuisée, vidée, puis avec gourmandise, je la mets délicatement dans ma bouche bien chaude pour lui refaire une beauté ! Antoine en soupire d’aise, mon mari s’astique de plus belle. Lentement, suavement, je traite cette belle queue comme il se doit, la choyant, la léchant, la suçotant, telle une adorable sucette ! Et exprès, je lance de temps à autre des regards vicieux vers mon mari dont la bite est rouge vif ! Ça va faire au moins trois fois qu’il éjacule et il ne semble pas avoir épuisé ses ressources !
Il me vient une idée incongrue, je décide de l’appliquer aussitôt. J’abandonne la queue de mon amant qui commence à se remettre en forme, puis je m’approche de mon mari, qui est un peu intrigué. Je m’agenouille devant lui, caressant mes seins pleins de sperme, les soupesant pour bien les lui faire voir. Les doigts empoissés, de ma voix la plus troublante, je lui susurre :
Il ne répond rien, mais je sais que j’ai gagné ! Quelques instants plus tard, son sperme vient s’aplatir en longs jets visqueux sur ma poitrine tandis que je me masse avec toute cette crème de beauté improvisée. Je pousse le vice à m’en mettre un peu sur le ventre puis de m’en barbouiller ensuite le cou, sous l’œil très intéressé de mes deux hommes. Ils rebandent aussitôt dès que, le regardant à travers mes cheveux défaits, je lèche langoureusement mes doigts gluants !
Finalement, ce n’est pas si compliqué que d’être une salope dotée d’un bon amant, tout en étant aux petits soins pour son cher mari !