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14/12/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Bien qu'ayant dépassé deux fois vingt ans, j'ai la chance d'avoir gardé une silhouette juvénile. Même mon mari en convient. Entre autres...
Critères:  fh extracon fmast intermast entreseins fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio fsodo confession -extraconj
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Sophie sans sophisme

Chapitre 02 / 06
Explorations immobilières

Il y a quelque temps, j’avais couché sur traitement de texte le fantasme de Soda, un lecteur de Rêvebébé ; ce fut l’histoire Platja d’Aro. Puis étant visiblement satisfait du résultat, le même lecteur m’a fait part d’un autre fantasme auquel j’ai ajouté ma petite part de turpitudes.

Le résultat est dans les lignes qui suivent…





Agence immobilière



Bien qu’ayant dépassé deux fois vingt ans, j’ai la chance d’avoir gardé une silhouette juvénile, fruit acharné de diverses activités sportives et d’une hygiène de vie pointilleuse, voire parfois draconienne. Même si parfois, Damien, mon cher mari, estime que j’exagère, il reconnaît, lui aussi que le résultat final est largement à la hauteur des attentes. De plus, ça lui permet, non, ça l’oblige à ne pas trop se laisser aller, contrairement à bien des hommes que je connais…


Un de mes amis d’enfance, Arnaud fait exception. Il est resté bien foutu de sa petite personne, fidèle à lui-même depuis l’époque du lycée quand il me dragouillait un tantinet. Nos parents étaient amis (ils le sont toujours), ce qui aidait à se voir souvent, même si lui et moi n’étions pas dans le même établissement… Sans parler des soirées et plus tard des discothèques.


Nous habitons la campagne, une jolie petite maison, mais pour Damien et pour moi, le travail est en ville. Lui, une société spécialisée dans le gros-œuvre et moi, le milieu hospitalier. Comme nos horaires et nos contraintes sont différents, à chacun sa voiture. Éventuellement, je pourrais aller à l’hôpital où je travaille avec les transports en commun, mais ce n’est pas très pratique, d’où la voiture. Face au petit complexe hospitalier se dresse une sorte de zone commerciale, centrée autour d’une enseigne connue, zone ni trop grosse, ni trop petite. Et dedans, une agence immobilière, celle d’Arnaud, ouverte, il y a peu de temps. Comme je passe devant celle-ci quand je vais faire quelques courses après mon boulot, j’en profite souvent pour lui faire un petit coucou quand il n’est pas occupé avec un client. Parfois, nous passons un peu de temps à nous souvenir des jours heureux où notre seule réelle hantise était le devoir de maths du lendemain.


Depuis, la notion des priorités a bien changé !


Damien me regarde toujours d’un air un peu soupçonneux quand j’évoque Arnaud. La rivalité masculine, je suppose. Néanmoins, c’est lui qui le met sur le tapis :



Mains sur les hanches, je proteste un peu :



Et je dépose un petit bisou sur ses lèvres, ça le calme illico. Ah ces hommes !


Le lendemain après-midi, je vois qu’Arnaud semble seul dans l’agence. J’en profite pour pousser la porte et pour lui faire la bise. Je suis en jean moulant, petits talons, fin t-shirt blanc et soutien-gorge rouge. Je sais, cette couleur sous du blanc, c’est un peu provoc, mais c’est l’été et je peux encore me le permettre. À la lueur dans l’œil d’Arnaud, je sais que j’ai réussi mon effet. Après les banalités d’usage, je rentre dans le vif du sujet :



Il se rembrunit un peu. Je me demande bien pourquoi. C’est lui qui m’explique :



Songeuse, je pense tout haut :



Intrigué par mon ton, il me dévisage :



Visiblement, il a la tête ailleurs :



Vu sa tête, il est complètement parti dans ses souvenirs, ayant royalement oublié mon histoire de nouvelle habitation :



Il agite ses doigts dans ma direction :



Ah, eh merde, la boulette. Quoique je le soupçonne d’en rajouter une bonne louche, juste pour parvenir à ses fins. C’est vrai que c’était amusant quand je flirtais gentiment avec lui. Et si je n’avais pas rencontré Damien, peut-être que c’est avec Arnaud que j’aurais fait ma vie. Avec des si, on met Paris en bouteille, dit-on. Mais c’est vrai qu’on s’entendait bien tous les deux.


Je soupire, puis tendant mon index vers lui :



Ah zut, j’ai mis un pluriel, et bien sûr, il l’a tout de suite remarqué. En bon commercial qu’il est, il essaye de pousser son avantage :



C’est alors que je réalise mon petit lapsus. Et quelque chose me dit qu’il ne va pas oublier de m’en parler demain et les autres jours !


Lentement, il s’approche de moi, puis pose délicatement sa main sur mon sein droit, par-dessus le tissu. Puis graduellement, il l’enveloppe de sa large paume, le caressant doucement.



En tout cas, c’est finalement très bon de se faire peloter les seins comme du temps où j’étais une ado. Arnaud s’y prend délicatement, très taquin sans avoir l’air d’y toucher ! Déjà mes petites pointes se dressent et je parie qu’il s’en est rendu compte, mais il ne dit rien, ce dont je le remercie dans ma tête, car la situation est quand même un peu… enfin, vous voyez quoi !




Double visite



Après m’avoir peloté les seins, Arnaud a tenu sa promesse. Il s’en est tenu à ce que nous avions convenu. Puis il m’a proposé une maison et un appartement, tous les deux pas très éloignés d’où nous habitons actuellement.


Aujourd’hui, nous visitons tous les deux ces deux biens, en commençant par la maison. Damien ne sera pas libre tout de suite, il nous rejoindra quand il le pourra. Il m’a demandé de prendre des photos, auquel cas il ne pourrait pas être là. Être seule avec Arnaud m’inquiète un peu, même si je sais qu’il s’arrêtera si je dis non. Mais, est-ce que je serais capable de dire non ? C’est justement ce qui m’inquiète !


Côté habillement, j’ai décidé d’être plus sage. Toujours un jean, un t-shirt bleu électrique, mais un soutien-gorge de la même couleur, afin d’éviter les tentations chez mon ancien soupirant.


Nous arrivent à la première proposition, la maison. Le coin est calme, une mitoyenneté par le garage deux voitures, un jardinet devant. Nous entrons, nous visitons. Ce n’est pas mal, il y a de la surface, une chambre en bas avec trois autres à l’étage et deux salles de bain, une en haut et un en bas. La salle à manger est un peu petite, mais on peut gagner sur le salon. La cuisine américaine est très bien. Bref, pas mal du tout ! Par contre, côté accès routier, ce n’est pas évident.


Soudain mon téléphone sonne. Damien m’informe qu’il ne sera libre que dans trente à quarante minutes. Arnaud propose qu’on se donne rendez-vous à l’appartement dont il indique l’adresse. Une fois la communication finie, Arnaud se tourne vers moi, un large sourire aux lèvres :



Je fronce des sourcils :



Je ne dis rien, il en conclut que je ne suis pas contre. En réalité, je me demandais quoi faire, mais il vient de trancher pour moi. Posant sa main sur ma poitrine, il me caresse longuement par-dessus mon t-shirt. Je ne dis rien, je me laisse faire. Je me demande même pourquoi je me laisse faire ainsi.


Il soupire :



Quelques minutes plus tard, nous arrivons devant une ancienne bâtisse rénovée récemment, on dirait un bâtiment administratif ou d’industrie de la fin du XIXe siècle. Il y a un petit parking privatif, ceint de hauts murs. En tout cas, ça a un sacré cachet ! Je m’exclame :



Le téléphone sonne, c’est mon mari qui m’informe qu’il sera là dans moins de cinq minutes. Je vois bien que ça contrarie un peu Arnaud, mais qu’il n’oublie pas que je suis quand même mariée, même si je lui concède par faiblesse quelques privautés.



Mon mari arrive peu de temps après. Lui aussi, il s’exclame quand il voit l’immeuble :



Eh bé, j’ai déjà vu des belles choses, mais là, rien que le couloir d’entrée, ça vaut largement le coup d’œil. Nous prenons un grand ascenseur plutôt prévu pour les marchandises. Arrivés sur place, nous découvrons un loft situé tout en haut de l’immeuble. La terrasse fait illico penser à un vrai jardin. Tout est beau, tout est nickel. Trop même. Intrigué et dubitatif, Damien demande à Arnaud :



Mon homme s’exécute.



Arnaud montre les larges baies vitrées :



Mon mari s’approche d’une porte-fenêtre, regarde le panorama au-dehors, puis se retourne pour admirer l’ensemble de l’intérieur sur deux niveaux. Il concède :



La visite se poursuit. Je suis enchantée, c’est vraiment très beau ! Mais c’est quand même dans la fourchette haute de ce que nous souhaitions mettre. Mon homme semble être lui aussi sous le charme. L’air un tantinet mystérieux, Arnaud enfonce le clou :



Intrigués, nous le suivons dans l’ascenseur qui descend tout en bas. Puis nous nous engouffrons dans un couloir assez sombre. Je sens alors une odeur curieuse. Puis nous descendons quelques marches pour déboucher dans une vaste salle. Sur place, je m’exclame :



Sidérée, j’écarquille les yeux :



Il se contente de sourire. Durant ce temps, tel un grand gamin épaté, mon mari est déjà en train de faire le tour de la piscine. Arrivé au bout, il me crie :



Arnaud me sourit :



J’ai peut-être dit ça trop rapidement… Damien revient vers nous :



Puis nous remontons pour visiter plus à fond cet appartement. Soudain le téléphone de mon mari sonne. Il prend un air agacé et résigné (Dumeschery, me confie-t-il, je compatis), se devant de répondre. Il s’isole pour dialoguer avec ce client assez casse-pieds. Bien qu’il soit au niveau bas, nous l’entendons bien au niveau haut, là où sont les chambres et un bureau.


Nous sommes dans une grande chambre, Arnaud me confie :



Damien tend l’oreille, puis demande :



Belle chambre avec salle de bain. Si j’achète, je pense que c’est ici que je ferai ma chambre. Un des murs est carrément une immense vitre qui donne sur une mezzanine. Arnaud tape sur le verre :



Et innocemment, il pose sa main sur mon sein. Je proteste mollement, sans toutefois retirer ses doigts :



Je n’ai pas le temps de répondre qu’il m’embrasse ! Oui, c’est vrai, je pourrais me débattre, lui balancer une formidable gifle, crier au secours. Mais non, rien de tout ça. Je sais pertinemment qu’Arnaud me plaît, et lui aussi le sait. Et le tout sous le regard de mon mari qui pourtant ignore tout de ce qui se passe si près de lui ! C’est carrément pervers, ce truc ! Ceci étant, après un long baiser partagé, je pose quand même ma main sur sa bouche :



Un peu inquiète, je regarde plus bas à travers la vitre, mon mari est toujours très occupé au téléphone. Arnaud, qui ne m’a toujours pas lâché, me dit :



Et il commence à me peloter les seins, comme il semble adorer le faire depuis quelque temps. Et comme d’habitude, je me laisse agréablement faire, me contentant de le gronder gentiment. Puis il s’enhardit, glissant une main sous mon t-shirt bleu. Il joue vraiment au sale gosse, mais ça m’amuse, et même, ça m’émeut de revenir comme ça en arrière, comme si lui et moi, nous reprenions notre histoire après plus de vingt ans de coupure. Nostalgie quand tu nous tiens…


Je jette un petit coup d’œil vers la glace, vers mon mari toujours en train de s’agiter au téléphone, tandis que mon agresseur est en train de relever carrément mon t-shirt pour venir nicher son nez entre mes deux petits seins douillets. Étranger situation, étrange sensation…


Bien sûr, mon soutien-gorge ne résiste pas bien longtemps à la frénésie d’Arnaud, et il commence à alterner baisers mordants et caresses sensuelles sur mes seins nus aux tétons bien durs. Je ferme les yeux, je suis à nouveau une jeune fille qui découvre le bien-être des caresses, le plaisir du désir et de la convoitise. Comme un retour aux origines pour mieux profiter encore et toujours de la passion que je déchaîne envers ma petite personne qui sombrait peu à peu dans la routine.


Soudain, je sens une main qui s’aventure du côté de mes fesses. Je lui demande :



À ma grande surprise, il déboutonne mon jean, l’ouvrant totalement par-devant. Et avant que je ne puisse réagir, ses doigts se posent sur mon ventre puis glissent vers le bas, caressant mon pubis puis ils s’invitent sans vergogne dans mon intimité !


Avant que je ne sorte mon étonnement, il est déjà en train de s’insinuer entre mes lèvres. Je proteste mollement, pour la forme, ce qui ne lui échappe pas :



Et il continue son insidieuse caresse sans que je ne cherche à chasser cette main inquisitrice. Je me laisse faire, ça me fait des choses ! C’est très bon, mais ce n’est pas vraiment le moment… Alors je lui demande gentiment :



Il marque une légère pause, puis il reprend :



Juste avant de retirer ses doigts, il en profite pour venir taquiner de façon vicieuse mon clitoris déjà en feu. Sous cette intense sensation, je me cabre, puis je finis par lâcher, une fois libérée :



Je m’attendais à diverses réponses, mais pas à ce qu’il m’en rejette la responsabilité. J’en profite pour commencer à reboutonner mon jean. Dans la foulée, je lui demande calmement :



Il me saisit dans ses bras, posant impunément ses lèvres voraces sur les miennes, et me donne un baiser à faire fondre tous les icebergs de la planète. Et tant pis pour le réchauffement climatique ! Nos bouches restent soudées un long moment, j’apprécie vivement. Et pourtant, je ne devrais pas, mais quelque chose m’attire irrésistiblement en Arnaud. J’aime mon mari, mais Arnaud m’offre le coup de folie, la cerise sur le gâteau. Impudiquement, je me frotte contre la bosse de son pantalon, histoire de prendre ma revanche, et de lui faire voir que d’être excité(e), ce n’est pas bien quand on ne peut pas assouvir ! J’entends bien à sa respiration et aussi à ses mains crispées que je suis en train de réussir ma petite vengeance…


Soudain, il me souffle à l’oreille :



Le plus étrange est que je lui obéis. C’est une fois à genoux que je réalise ce que je suis en train de faire ! Il ne va quand même pas me demander de le sucer, là, ici, sur place ?


Mes craintes se confirment quand je le vois extirper sa queue de son pantalon. Je dois reconnaître qu’elle est plutôt bien faite, même si je n’accorde pas une grande inclination pour une quelconque forme du pénis des hommes. Disons qu’il me faut un minimum pour bien me caler, mais il ne s’agit pas non plus de verser dans les extrêmes, genre queue de cheval ou de taureau !


Bite bien en avant, Arnaud vient se nicher entre mes petits seins. Je préfère, car je ne sais pas comment j’aurais réagi s’il avait voulu me le mettre en bouche. Ça m’amuse de le voir se frotter sur ma poitrine, commençant à laisser ci et là quelques traces luisantes. Il soupire d’aise :



Je vois bien qu’il essaye de se contenir, qu’il fait de gros efforts. Comme je suis une âme charitable, je lui murmure :



À lui non plus, il ne faut lui répéter deux fois ; un dernier frottis contre ma peau et déjà une première salve jaillit entre mes seins. Une seconde suit aussitôt. Je ne suis pas offusquée, je dirais même que ça m’amuse de voir son sperme se répandre sur mon corps. D’autres jets s’écrasent ensuite, sa queue tremblote, passant lentement de dure à molle. Quelque part, ça m’émeut, je ne saurais dire pourquoi…


Il se recule, contemplant son œuvre, les traînées sur ma poitrine, les rigoles qui descendent lentement sur ma peau devenue luisante. Soudain, nous entendons une voix forte s’exclamer :



Je sursaute, paniquée ! Mon mari ne nous a quand même pas découverts ? Un rapide coup d’œil en bas me montre que non. Je lui réponds :



Tandis que je m’essuie en hâte, je souffle à Arnaud :



Et avant que je me réajuste, il m’embrasse voracement tandis que mon mari m’appelle à nouveau !




Autres visites



Aujourd’hui, Arnaud et moi, nous visitons une autre maison qu’il vient de rentrer hier en fin d’après-midi. En jupe colorée et t-shirt assorti, ayant évité un soutien-gorge trop visible, je suis accompagnée cette fois-ci de mon mari. Cette nouvelle maison est mieux extérieurement que celle d’hier, et l’intérieur me confirme dans cette idée. Damien est d’accord avec moi. Il a examiné les photos que j’ai faites. Hier soir, il préférait nettement l’appart. Arnaud nous fait la visite :



Arnaud est surpris par cette réflexion insidieuse faite par mon mari. Celui-ci fait comme si de rien n’était et continue à visiter les lieux. Serrant les poings, Arnaud se rembrunit. Moi, je suis gênée, je trouve ça mesquin de la part de mon mari. Se penchant sur moi, Arnaud me murmure :



Puis nous montons voir les chambres. Dans l’escalier, mon mari monte devant, je suis juste derrière lui et Arnaud ferme la marche. Soudain, je réprime un petit cri de surprise : passant par-dessous ma jupe, Arnaud me met carrément les mains aux fesses ! Et il y va de bon cœur ! J’essaye de chasser ses mains, mais sans trop de réussite. Arrivée sur le palier, je le fusille du regard, il fait semblant de regarder ailleurs. Puis innocemment, il se penche à mon oreille pour me murmurer :



Je râle pour la forme, mais au final, la situation m’amuse, ça me rajeunit de vingt ans et plus. Néanmoins, comme pour me venger alors qu’il ne sait rien de l’épisode de l’escalier, à nouveau, mon mari se permet quelques réflexions moins directes, cette fois-ci. Fâchée, je le prends à part :



Et effectivement, il arrête ses petites piques, se concentrant sur la maison. N’empêche que tout ça m’énerve. Mon mari qui joue les cons jaloux et l’autre qui se permet quand même bien des choses à mon égard ! Alors que mon mari est redescendu au rez-de-chaussée, l’air chagrin, Arnaud me demande :



Il ne faut pas trop tenter le diable, je propose :



Alors que je pose mon pied sur la marche, je me retourne vers Arnaud :



Je me retourne puis je commence ma descente. Quelques marches plus bas, étant juste derrière moi, Arnaud pose sa main sur mon épaule :



Et nous rejoignons tous les deux mon mari qui semble apprécier cette maison. Moi aussi, d’ailleurs. Quoique l’appartement d’hier est très bien lui aussi. Différent, mais très bien. Du coup, pour ma part, j’hésite. On verra tout à l’heure avec Damien quand on en parlera en tête-à-tête.


Soudain, Arnaud s’exclame :



Et sans m’attendre, mon mari grimpe les escaliers. Un certain sourire se dessine sur le visage d’Arnaud qui tend la main, me disant :



Nous remontons l’escalier. C’est à mi-parcours que, soudain, ma petite culotte est tirée vers le bas et que des lèvres plaquent sur mon cul dénudé des baisers très appuyés ! J’aurais dû me douter de ce coup-là, ce petit salopiaud n’en perd décidément pas une ! Mettant mes mains sur mes fesses, je grimpe prestement les dernières marches. Alors que je m’apprêtais à lui expliquer vertement ma façon de penser, mon mari surgit, me capturant par la main pour m’entraîner vers le jacuzzi.


Arnaud se garde bien de venir avec nous. Ce qui me laisse un peu de temps pour me calmer. C’est un beau jacuzzi. Je ne comprends pas bien combien de places il y a. au moins deux, mais j’ai l’impression qu’on peut tenir à quatre dedans en se serrant. C’est alors que me viennent à l’esprit des idées très cochonnes !


Je regarde en catimini mon homme, lui aussi doit avoir le même genre d’idée, si j’en crois l’expression de son visage. Mon homme ne sait pas bien dissimuler ses pensées, je le devine presque à chaque fois.



Arnaud vient d’entrer. Je ne sais pas si je dois le bénir ou le maudire ! Nous faisons un dernier tour de cette maison. Alors que mon mari est assez loin devant, Arnaud murmure :



Il rit, et c’est contagieux. Une fois de plus, je passe l’éponge sur ses incartades. Et c’est bien ça qui m’inquiète un tantinet… Il pousse son avantage :



Néanmoins, je me laisse faire quand il m’entraîne sur le côté pour me donner un baiser très dévastateur ! Ceux de la précédente visite n’étaient pas tristes, mais celui-là, c’est quelque chose ! Quand ses lèvres me quittent, je suis toute chancelante, adossée au mur. Arnaud plonge sous ma jupe, et abaissant à nouveau ma culotte, il m’offre un adorable cunni, tout doux, sa langue virevolte entre mes lèvres mouillées, taquinant mon clitoris qui n’attendait que ça. Très bon, mais hélas trop court, car mon mari est dans les parages. Je m’étonne de me laisser malmener de la sorte !


Il me faut une sacrée dose d’emprise sur moi-même pour me reprendre. Je glisse à mon infâme subordonneur :



Je le regarde, interloquée. C’est ça, son idée ? Que je divorce ? L’arrivée de mon mari m’arrache à mes pensées et nous faisons un dernier tour.


La visite terminée, nous rentrons chez nous. Damien constate que je fais un peu la tête, ce qui n’est pas faux, à cause de lui, mais aussi pour d’autres raisons qu’il ignore et qu’il doit ignorer. Mettant carrément les pieds dans le plat, il demande :



Damien ne dit plus rien. De mon côté, je me calme un peu. Je ne vais pas me lancer dans une dispute pour si peu ! Si peu, c’est une façon de voir. Quelques secondes plus tard, je casse le silence :



Le regardant droit dans les yeux, je lui demande :



Mon mari, ayant compris que le terrain est glissant, passe par-dessus :



Après avoir mangé un petit quelque chose, nous allons nous coucher. Et comme souvent, nous nous réconcilions sur l’oreiller, une pratique que j’aime bien ! Néanmoins, je dois reconnaître que si ce fut très bon, il n’y avait pas la même intensité qu’avec Arnaud, même si nous n’avons pas consommé, lui et moi. L’habitude qui émousse petit à petit les meilleurs couples d’amants ?




Massage d’après-midi



Même si la réconciliation sur l’oreiller fut très bonne, je reste néanmoins un peu déçue par l’attitude de mon mari envers Arnaud. Je veux admettre la jalousie, mais quand même ! Même si je dois reconnaître que mon mari a de quoi se faire du mouron en ce qui concerne mes relations avec Arnaud. C’est dans cet état d’esprit que je pousse la porte de l’agence immobilière. Arnaud me fait une bise assez appuyée sur la joue. Puis il attaque tout de suite le vif du sujet :



Là, je me demande ce que je dois répondre. Un massage, un vrai, ça me tente beaucoup. Oui, Arnaud sera en train de me mater, c’est clair. Mais bon, ce n’est pas comme s’il ne m’avait jamais vue en petite tenue, même si ça date quand même un peu. Et puis, je sais que s’il dit qu’il ne tentera rien, il tiendra sa parole. Même s’il s’offre depuis le début de la semaine bien des privautés à mon encontre. Mais, comment dire ça, ça me plaît bien, ce flirt poussé comme à nos jeunes temps.


Je pince mes lèvres, je dodine de la tête. Puis je finis par lâcher :



Je réfléchis. Oui… non… je me lance :



Il m’indique un lieu très proche de mon lieu de travail et de l’agence. Visiblement, il a pensé à ce genre de détail. Et je parie qu’il avait une solution de rechange si j’avais demandé une autre heure ou une autre date. Je m’entends répondre :



Quelque chose me dit que j’ai peut-être été trop rapide, il va finir par se faire des illusions à mon sujet. Mais un massage, je me voyais mal attendre trop longtemps, autant en profiter tout de suite ! Néanmoins, je demande :



Spontanément, je le remercie en lui faisant un petit bisou sur les lèvres. Il réagit en me faisant un gros bisou sur les miennes. À peine m’a-t-il libéré que je m’enfuis, lui envoyant un bisou entre mes doigts et lui criant un :



Inutile de dire que j’ai eu quelques difficultés à m’endormir !


Ce jeudi, je me dirige à pied vers le salon de massage qui est situé dans la zone commerciale qui est quasiment face à l’hôpital. À peine deux cents mètres à faire. Arnaud m’attend déjà sur place.



En effet, l’hôtesse d’accueil m’explique très bien. Un peu stressée, j’entre seule dans la cabine afin d’ôter mes vêtements et de n’avoir qu’une simple serviette autour de moi. La masseuse m’attend près de la table, elle me demande de m’allonger. C’est alors que je découvre Arnaud dans un coin. Je me demande comment il a réussi à négocier le fait d’être présent. À moins que je ne sois plus oie blanche que je ne l’aurais cru !


Waow ! C’est vrai que ça détend ! C’est même génial, ce truc ! Je regrette de ne pas avoir découvert ça avant, je sens que je vais revenir plus souvent ! Devant, derrière, c’est tout bon de chez extra. C’est à peine si je remarque que je n’ai plus ma serviette sur moi ! Du coin de l’œil, je vois que mon agent immobilier préféré n’en perd pas une miette.


On va dire que ce sera la juste rétribution de sa bonne action d’aujourd’hui envers ma petite personne. Car ce n’est pas tous les jours que je dévoile mon corps ainsi, même si je fais un maximum pour l’entretenir, au prix de certains sacrifices. Je connais bien les salles de gym, les saunas, mais j’ignorais les salons de massage. Erreur réparée.


Je me laisse aller, c’est bon, bon, bon ! Ça vaut largement une séance de galipettes sous la couette. Je me fais l’impression d’être un camembert posé sur un radiateur chaud, je mollis, je dégouline. Je sais, le camembert, ce n’est pas très sexy, ça pue quand c’est trop fait, mais Dieu que c’est bon sur une tartine, surtout après une semaine de régime !


Je sens comme un changement de mains. Je n’ouvre même pas les yeux. Je suis si bien comme ça. Je sens des lèvres se poser sur moi pour me donner quelques baisers sur mon dos.



Et il embrasse le creux de mon dos, ça me donne des frissons très agréables. Puis ses lèvres se posent sur mes fesses dénudées. Je me demande comment il arrive à me bisouter tout en continuant de me masser. Je ne cherche pas à comprendre. Je réponds juste :



Ma Sophie ? Depuis quand je suis SA Sophie ? Ah oui, c’est vrai, il le disait déjà à l’époque… En tout cas, ce mélange de petits bisous et de massage, c’est très bon ! Pour un peu, je m’endormirais bien sur place ! Mais bon, cet animal obsédé et pervers serait capable d’en profiter éhontément, à l’insu de mon plein gré !


Ce sont mes fesses qu’il masse. Quelque chose me dit qu’il en profite pour jouer les voyeurs puissance dix ! Je trouve qu’il écarte un peu trop mes fesses, comme pour dégager mon sillon. Peut-être fait-il une fixette sur les petits trous ? Ou bien, je me fais des idées…


Oh-oh, c’est une langue que je sens sur mes fesses. Elle s’égare ensuite dans mon sillon, légèrement, mais elle s’égare quand même par là…



Ses mains continuent à masser mon corps, s’attardant ci et là. Je replonge dans une certaine béatitude. C’est extra, comme dans la chanson, mais pour d’autres raisons. Arnaud murmure à mon oreille :



L’instant, je sens son corps nu sur moi, son sexe bien raide contre mes fesses. Alors que je m’apprête à réagir, j’entends :



Je ne suis pas très rassurée, mais je laisse faire. Sentir son corps chaud se frotter ainsi contre le mien, c’est à la fois excitant, inquiétant, mais bon. C’est plutôt son machin tout dur qui coulisse sur mes fesses qui me préoccupe, même ça m’affriole plus que je ne le voudrais !



Que ça m’excite, ce truc, c’est pas croyable ! Je résiste tant que je peux, mais le corps qui se frotte me rend toute chose. N’y tenant plus, je glisse ma main sous mon ventre, à la recherche de mon petit bouton ultra-sensible. Je me pince les lèvres, mes doigts virevoltent à l’orée de ma chatte. D’une voix rauque, Arnaud dit :



Alors il se frotte carrément sur moi, le bout de sa queue ripant dans mon sillon, taquinant mon entrée sombre, glissant sur le bas de ma fente humide. J’écarterais bien les jambes pour qu’il plonge sa belle bite dans ma chatte détrempée, mais je me retiens, un dernier reste de moralité m’en empêche. Mais que j’aimerais l’avoir en moi, bien profond, bien au chaud !


C’est quasiment de façon synchronisée que nous jouissons tous les deux, son sperme gluant maculant mes fesses frémissantes. Et le pire est que j’adore cette façon de faire !




Complots



Avec cette séance de massage, nous avons franchi une certaine limite. Arnaud et moi, nous en parlons en tête à tête, dans son bureau de l’agence qu’il a fermé pour la circonstance. C’est moi qui commence :



Étonné, il me demande :



Il capture mes mains, puis se lance :



Par-dessus la table, il approche sa tête de la mienne. Il continue :



Il ne répond pas tout de suite, il se lève, me fait lever, s’assied à ma place. Puis je me retrouve assise sur ses genoux. Je n’ai même pas protesté. Il m’enlace sans vergogne :



Je le regarde, les yeux grands ouverts :



Et là, il m’embrasse voluptueusement. Même si je ne réponds vraiment pas à son baiser, je me laisse faire, c’est très agréable ! Décidément, je suis très passive dans cette histoire, je me laisse ballotter par les événements, comme pour me dédouaner d’une quelconque initiative de ma part. Et je crois qu’Arnaud a compris, c’est lui qui endosse le rôle du méchant pervertisseur de la faible femme que je suis. Quand nos lèvres se séparent, il poursuit :



Il semble abattu, ça me désole pour lui. Soudain, j’ai une illumination :



Je me contente de rire, alors que je ne devrais pas. Je m’apprête quand même à tromper sciemment mon mari. Arnaud n’a pas les mêmes scrupules : plaquant une main sur mon sein, il m’embrasse à nouveau, et là, je participe à ce fougueux baiser qui m’enfonce encore un peu plus dans les voies escarpées de l’adultère…




By night



Je suis assez stressée, car c’est le grand jour, ou plutôt la grande nuit. Comme convenu, un taxi est venu me chercher pour me conduire directement vers un hôtel-restaurant que je ne connaissais pas. Il est vrai que nous avons roulé un certain temps pour arriver dans un hameau composé de fermes et de cet hôtel. À ma grande surprise, je constate que le parking n’est pas vide, et que diverses voitures y sont garées, et non des moindres.


Damien a dû partir ce matin voir son fameux client pour au moins deux jours. Il y est parti en râlant, je le comprends, Dumeschery est franchement pénible. Mais ça arrange mes petites histoires. J’ai pris mon téléphone avec moi, afin que mon mari puisse me contacter comme il l’a fait un peu avant que je ne monte dans le taxi. Parfois, il rappelle un peu plus tard pour me souhaiter une bonne nuit.


À l’accueil, on me tend une clef en fer forgé, un bel ouvrage, ma foi. Je me dirige vers la chambre, constatant qu’Arnaud ne m’a pas du tout choisi un hôtel de dernière catégorie. Entre-temps, je croise d’autres personnes, dont certaines semblent avoir un certain standing. Le couloir que je parcours respire un certain luxe cossu, ça me rappelle quelque part les maisons closes des siècles passés, d’après les films que j’ai pu voir.


Décidément, Arnaud ne se moque pas de moi. La chambre est très belle, un peu surannée, mais ça en jette un maximum. Si on me la proposait comme chambre à coucher chez moi, je ne dirais certainement pas non. Cette pièce est vaste, les fenêtres sont dotées de lourdes tentures. Au mur, des tapisseries au sujet baroque-rococo. Deux portes, l’une condamnée et l’autre débouchant sur une salle de bain. Sur le vaste lit à baldaquin git une robe que je devine plutôt sexy, et dessus un petit mot :


Prends donc une douche puis habille-toi. Je serai en bas à vingt heures. Tendrement A.


En effet, il me reste largement le temps de prendre une douche. Mais avant, je regarde plus précisément cette robe étalée sur le grand lit. Eh bé ! C’est mettable un truc comme ça ? Une robe noire et longue, au tissu très léger, très échancrée dans le dos, idem pour les jambes sur les deux côtés et avec un décolleté pas possible, un véritable fantasme pour hommes ! Je constate qu’une paire de bas ainsi qu’un porte-jarretelles sont présents juste à côté. Par contre, quelque chose me dit qu’il va falloir que j’oublie de mettre un soutien-gorge, vu les échancrures devant comme derrière…


Dans la salle de bain, sur le miroir, un autre petit mot m’attend :


Une petite trousse de maquillage t’attend juste en dessous. Amoureusement A.


Il pense vraiment à tout, de A à Z. Ça m’émoustille ! Jamais Damien n’aurait dans l’idée de m’offrir un rouge à lèvres, et j’ai oublié la dernière fois durant laquelle il a songé à m’offrir de la lingerie. Par contre, quand je découvre le rouge vif du lipstick, ainsi que celui du vernis, je me dis qu’Arnaud n’y va pas par le dos de la cuillère, ses fantasmes doivent être très colorés ! Cela se confirme quand je découvre dans la petite trousse un fard à paupières bleu électrique…


Mais tout ceci m’excite à un point inimaginable ! J’ai plein de sensations dans le bas-ventre, ça va faire bien longtemps que ces papillons oubliaient de me rendre visite, hélas…


Je m’offre une longue douche, j’adore sentir l’eau chaude dégouliner le long de mon corps !


L’heure tourne, je décide de m’habiller. Je me demande si ça vaut la peine de conserver une petite culotte, d’autant que je sais très bien qu’Arnaud aura une envie folle de me consommer ! Ça tombe bien, car la réciproque est particulièrement vraie… J’ai envie de m’offrir un petit coup de folie dans ma vie.


Je n’ai pas trop l’habitude d’attacher des bas à un porte-jarretelles, je n’en porte pas tous les jours, loin de là ; d’ailleurs je ne me rappelle pas en avoir beaucoup porté ces dernières années. Je dois m’y reprendre à plusieurs fois avant d’y parvenir. Ainsi parée, je me regarde dans la glace, c’est vrai que c’est très aguichant comme accessoire. Je comprends aisément que les hommes en soient fous, et certaines femmes aussi. Puis je revêts la robe, l’ajustant au mieux à mes formes. Enfin, je chausse mes talons aiguilles noirs comme la lingerie qu’Arnaud m’avait demandé de prendre avec moi. Me voici prête pour le grand jeu !


Alors que, téléphone en main, je sors de la chambre, je tombe nez à nez avec un maître d’hôtel qui semble m’attendre devant la porte.



Intriguée, je le suis. Nous n’allons pas bien loin, juste quelques mètres plus loin. Il ouvre une porte, me priant d’y entrer dans un petit salon. Radieux, Arnaud m’attend, debout, au milieu de la pièce, juste à côté d’une table pour deux personnes. Le maître d’hôtel referme la porte derrière moi.



Je pose le téléphone sur la table, on ne sait jamais. Puis nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre, soudés par un long baiser. Que c’est bon d’être attendue, d’être désirée de la sorte !


Je m’écarte de lui, puis j’éclate de rire. Il ne comprend pas. Je lui explique :



Et il s’essuie la figure tandis que je lui indique où il en reste encore.



Je me contente de sourire. Nous dînons en tête à tête, baignés dans une lumière tamisée. Tout est parfait, impeccable, quasiment un rêve éveillé. Pour un peu, je me pincerai ! Face à moi, Arnaud est très attentif, très attentionné et dévoué, même s’il zieute à foison dans mon décolleté, chose que je comprends néanmoins, car ma robe en dévoile beaucoup. C’est d’ailleurs lui qui l’a choisie, et en toute connaissance de cause, je parie.


Nous dégustons les plats raffinés disponibles sur une desserte à roulette disposée à côté de notre table. Décidément, Arnaud a mis le paquet ! Et c’est bien la première fois que je suis traitée ainsi en princesse, un rôle que je ne déteste pas. Être l’attention d’un homme qui vous désire réellement est une situation très excitante.


Je m’offre le luxe de faire du pied à mon vis-à-vis lors du plat principal, il se laisse faire. Je souris, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, même si je sais pertinemment que je ne suis qu’une faible petite souris que le gros chat matois face à moi va croquer.




By hot night



La soirée passe à une vitesse folle, trop vite, c’est déjà le dessert. Je le déguste en envoyant plein d’œillades à Arnaud, sans compter les sous-entendus. Je suis en train de me lâcher complètement, comme si je tombais dans un puits infini, mais sans appréhension, sans douleur ni crainte.


Arnaud se lève puis vient se poster derrière moi. Il m’embrasse voluptueusement dans le cou, puis s’offre le luxe de venir ravager ma peau de ses baisers brûlants. Je me laisse faire, c’est si bon d’être désirée de la sorte !


Puis il se poste sur le côté, saisissant ma main pour m’aider à me lever. À peine suis-je debout qu’il m’embrasse fougueusement, voluptueusement. Quelque chose me dit que la partie hot de la soirée est en train de commencer.


Nos lèvres se détachent à regret. Sans mot dire, Arnaud m’entraîne vers un coin de la pièce. Là, il ouvre une porte qui se confondait avec les boiseries. Nous franchissons ce passage, et je découvre avec surprise la chambre dans laquelle je m’étais changée tout à l’heure.


Nous voici prêts tous les deux à jouer l’acte final.


Lentement, posément, il enlève ma robe échancrée. Puis me laissant le porte-jarretelles, mes bas et mes chaussures, il me contemple, il admire mon corps. Je ne me sens pas souillée sous son regard à la fois passionné et avide, même si c’est un peu fétichiste sur les bords. Puis il couvre mon corps de mille baisers voraces, brûlants, mon cou, mes seins, mon ventre, mon pubis, mes jambes gainées de soie, tandis que ses mains me caressent sans répit, à la fois câlineuses et exigeantes.


Puis il remonte, centimètre par centimètre de mes jambes à mon menton pour venir capturer mes lèvres offertes. Un long baiser fiévreux nous embrase. Quand nos bouches s’éloignent, il me prend dans ses bras, me soulève pour venir me déposer sur le lit.


C’est alors que le tourbillon commence, un tourbillon de baisers, de caresses, de frôlements qui vire au cyclone. Enflammé, mon corps le désire, je le veux à moi, pour moi, en moi. Je n’en peux plus d’attendre, je veux qu’il éteigne l’incendie qu’il a allumé en moi. N’y tenant plus, à bout, bouillante, je supplie presque :



C’est avec un énorme soupir de soulagement que je l’accueille en moi, que je sens son sexe bien dur s’enfouir dans mon intimité. La sensation est si forte que je jouis sur-le-champ. Avant de sombrer, je m’étonne moi-même, c’est bien la première que ça m’arrive, mais il faut dire que je suis attisée depuis des heures maintenant !


Comment dire… c’est énorme ! Pas le sexe d’Arnaud, quoiqu’il me remplisse bien, qu’il me comble dans les deux sens du terme. Non, ce qui est énorme, c’est la vague qui se profile à l’horizon et qui va me submerger sans rémission ! Un peu effrayée, je contemple ce tsunami qui s’approche, tel un mur immense, je le vois si près de moi, je me sens si petite, si chétive devant lui, j’en tremble à la fois d’appréhension et de désir !


Mes doigts agrippent les draps, mon corps tremble, ma bouche largement ouverte aspire l’air, mais j’ai l’impression de suffoquer. La vague est là, elle me surplombe, puis elle sombre sur moi de toute sa masse !


C’est alors qu’une jouissance infernale me saisit ! Puissante, dévastatrice !


Je perds la notion du temps, la notion de l’espace. Tout mon être jouit, intensément, infernalement, paradis et enfer !


C’est totalement de la folie, mon corps en réclame encore et encore, il semble infatigable ! Mon esprit est comme en déroute, comme ailleurs. C’est presque comme si je flottais au-dessus de mon propre corps, telle une spectatrice, comme si je regardais un film X, mais avec moi comme principale actrice. C’est très étrange, mais en même temps très jouissif, car mes orgasmes me viennent avec une facilité déconcertante !


Nous refaisons l’amour, une fois, deux fois, trois fois, je ne sais plus. Je veux son corps sur moi, je veux ses mains, sa bouche, je veux tout ! Je le veux en moi, dans ma chatte, dans ma bouche qui est toujours prête pour lui redonner une nouvelle jeunesse.


Maintenant, il est vautré sur moi, m’écrasant de tout son poids et pourtant, je le ressens comme léger. J’aime me faire dominer de la sorte, d’être sa captive tandis que son sexe me fourrage sans répit, toujours d’attaque, toujours vainqueur. J’aime le sentir sur mes fesses, sur mon dos, mes seins capturés entre ses mains avides et rapaces ! J’aime son souffle dans mon cou, les mots qu’il murmure à mon oreille ! J’aime son pieu en moi, cette jouissance qu’il me procure, cette jouissance qui me transporte à nouveau ailleurs, bien loin de cette basse terre et de ses multiples avanies.


Oui, j’aime l’avoir en moi, qu’il s’insinue en moi, qu’il m’envahisse, qu’il me prenne purement et simplement, par pure envie de moi. C’est trop bon, trop tout ça !


Après un certain temps, alors qu’il s’apprête à replonger en moi, verge protégée comme il se doit, il me demande :



Je m’esclaffe :



Il ne faut pas lui dire deux fois. Aussitôt, sa verge m’apparaît dans sa belle beauté nature et mature. Un beau petit morceau que j’aime beaucoup choyer. Elle n’est pas pareille que celle de Damien, elle est différente, mais chacune des deux a ses avantages.


Je n’ai pas trop le temps de penser aux diverses différences entre ces deux bites, car Arnaud semble bien décidé à me la faire tester tout de suite. Je m’allonge sur le dos, jambes bien écartées, offerte à son désir. En un temps record, il plonge en moi, engloutissant toute sa tige en moi. C’est tout juste s’il ne voulait pas aussi entrer ses couilles en moi ! Ah ces hommes !


Tandis qu’il commence à me pistonner, je dois reconnaître que je préfère sans plastique. J’adore sentir sa queue aller et venir en moi, la sentir naturellement, chair contre chair, sa chair dans ma chair. Il accélère le mouvement, quelque chose me dit qu’il va bientôt tout lâcher en moi. Son bassin puissant s’empresse plus encore, il me lime littéralement, je le sens distinctement, son bout, sa tige, et même ses testicules qui frappent à ma porte. C’est bestial, vulgaire, mais Dieu que c’est bon ! C’est un coup à croire à tous les dieux de cette planète et même à ceux d’ailleurs !


Quelques grands coups et il rugit !



Il se cabre, éjaculant sans vergogne en moi, me remplissant, m’envahissant de son sperme chaud et gluant qui tapisse entièrement ma petite grotte cachée. Et il continue, encore et encore à me pistonner, comme s’il avait des litres et des litres à expulser, comme s’il voulait que je déborde. Il poursuit, animalement, grossièrement, se lâchant complètement, moi sa chose qu’il remplit.



En temps normal, je n’apprécierai pas trop, mais aujourd’hui, ça m’excite. Je regarde son visage aux yeux fermés, sa bouche ouverte, cet Arnaud que je ne reconnais pas, un autre homme, une autre facette qui me plaît, même si cette face cachée me fait frémir d’incertitude.


Puis il se retire, restant agenouillé entre mes jambes. Il ordonne :



Il reste là quelques instants à contempler mon entrejambe empoissé et gluant. Puis il s’allonge à côté de moi et me prend dans ses bras. Il me murmure :



En effet, je n’ai pas à regretter quoi que ce soit. Arnaud est un bon amant, capable de douceur, et aussi d’impériosité. Il sait se montrer directif aux bons moments et plus souple durant d’autres. Sous sa langue, sous ses doigts, sous sa bite, je jouis plusieurs fois comme une petite folle, sans pudeur, sans fausse honte, nature. Le nombre de fois ? J’en ai perdu le compte et je ne suis pas là pour battre un record. Tout ce que je sais, c’est que j’adore toutes les cochonneries qu’il me fait, et que j’en redemande encore et encore !


Alors que je me repose tant bien que mal, Arnaud m’annonce :



Énergiquement, il secoue la tête :



Interloquée, je le regarde, les yeux ronds. Arnaud ne m’avait pas trop habitué à ce genre de vocabulaire, ni même à l’idée de vouloir passer par là. Je ne suis pas trop fan de me laisser pénétrer par-là, mes goûts en la matière sont nettement plus classiques. Voyant ma tête, Arnaud demande :



Arnaud me sidère, mais en même temps, je le comprends. Je fais quoi ? Je le laisse faire ? Je pense que ça risque d’être pas trop mal, surtout quand je me souviens de toutes les galipettes que nous venons de faire. Sans détour, je lui pose la question :



Je fronce des sourcils :



Pour toute réponse, il rigole purement et simplement. Puis il me capture dans ses bras. Je me laisse faire, comme toujours avec lui. Il m’embrasse, me câline, me caresse, m’explore. Je me laisse porter par le flot, frêle esquif dans une mer de sensations.


Puis vient le moment crucial. Il me guide dans ma pose. Je suis à présent allongée sur le côté droit, ma jambe gauche recroquevillée et toujours gainée de noir et l’autre bien droite, mes fesses parfaitement accessibles. Je pensais qu’une sodomie, ça se faisait plutôt à quatre pattes, ou un truc comme ça. Agenouillé de part et d’autre de la jambe étirée, écartant d’une main ma fesse gauche, Arnaud s’amuse à venir taquiner son petit trou du bout de son gland plutôt glissant. Pour l’instant, ce jeu m’amuse, mais je crains la suite. On dirait que mon sillon devient de plus en plus humide, je ne comprends pas pourquoi. Intriguée, je tourne la tête :



Monsieur avait prévu son coup d’avance, ce qui ne m’étonne pas trop. Il continue son petit manège dans mon sillon fessier, s’attardant de plus en plus dans ma cuvette. On dirait que celle-ci s’évase peu à peu, ce qui m’étonne quand même. Mais se connaît-on soi-même ? De temps à autre, mon amant me caresse tendrement, frôle électriquement ma peau ; il arrive même à se saisir de mon sein pour jouer avec, pour le taquiner, le masser tandis qu’il s’active toujours plus bas :



Il rit franchement, moi aussi. Du coup, ça me détend et il en profite : son gland entre un peu en moi. Je sursaute, plutôt sous l’effet de a surprise qu’autre chose, car ça ne me fait pas mal du tout. Tout au plus, une certaine gêne, mais sans plus.



Puis il ressort, coulisse à nouveau dans mon sillon, puis sans trop d’effort, il vient se nicher à nouveau dans mon petit trou. Il pivote un peu, comme s’il s’agissait d’un bâton, puis lance :



Il se retire, un sentiment étrange de manque s’empare de moi. Je n’ai pas le temps d’analyser la chose que, déjà, il revient en moi, plus envahissant. Intriguée, je lui demande :



Il s’esclaffe :



Une nouvelle fois, il se retire. À nouveau, ce sentiment étrange de manque qui s’empare de moi. Je le sens s’introduire sans trop de problèmes comme avant, mais il ne s’arrête pas, il continue. Je souffle, la sensation est forte, mais supportable. Non, ça ne fait pas mal, mais c’est surtout cette impression d’être envahie, remplie, forcée. Ça me fait curieux de le savoir en moi, rien qu’à moi, dans mon cul. Je ressens alors de ma part comme une sorte de don de soi, un abandon évident.


Je ressens une envie irrésistible de me masturber, ce que je fais aussitôt. Mes doigts me soulagent de la tension que j’avais accumulée en moi. Arnaud commence à coulisser lentement en moi. Aussitôt quand il se retire un peu, le sentiment de manque survient, et je suis heureuse quand il s’enfonce à nouveau en moi pour bien venir me combler. Et je me surprends à aimer…


À présent, Arnaud coulisse dans mon cul, me pistonnant doucement, mais sûrement. Finalement, se faire enculer est jouissif ! Mais je dois reconnaître que le choix de l’enculeur et de comment il s’y prend doit être primordial ! Toujours est-il que c’est une bonne découverte que de savoir que je ne déteste pas être sodomisée… Mes doigts s’activent dans ma fente complètement dégoulinante ; plaisir par-devant, plaisir par-derrière…


Arnaud écarte un peu plus ma fesse pour mieux entrer en moi. Je l’entends qui soupire en sourdine, je suppose que ça doit être très bon d’être dans mon petit cul bien serré. Sans parler du côté transgressif de la chose. Vicieusement, je lui demande :



Le fait de le savoir en moi, dans cet endroit interdit, est une sensation étrange, inédite, mais qui me remue au plus profond ! Pourtant, je n’apprécie pas en général qu’un homme passe par là, mais aujourd’hui, c’est différent.



Ça me fait vraiment quelque chose que de sentir un mandrin en chair me farfouiller les entrailles, ça me remue profondément dans les deux sens du terme. Contrairement à mes appréhensions, je n’ai pas mal, j’éprouve même un certain plaisir insolite, mais jouissif à me faire prendre de la sorte…


J’accélère le mouvement de mes doigts détrempés dans ma chatte ruisselante. Que c’est bon, un double plaisir, devant et derrière. Presque en pâmoison sous cette double attaque, je ferme les yeux, je me pince les lèvres pour mieux jouir de ce moment si fébrile, si extraordinaire ! Soudain, une voix fend le brouillard cotonneux dans lequel je m’enfonce :



Alors je sens son pieu de chair entrer plus encore en moi, comme s’il voulait s’engloutir complètement dans mes entrailles toutes chaudes. Puissamment, il coulisse en moi, tandis que je me masturbe frénétiquement. Soudain, un long râle se fait entendre, il se vide en moi. C’est comme si je sentais la moindre goutte de son sperme venir remplir mon anus ! Cette sensation est absolument folle ! Ça décuple mon désir, ma jouissance déferle comme un tsunami, elle m’emporte, me fait rouler comme un simple fétu de paille, puissante, ravageuse, infernale !


Je crie, je me débats, sous cette double agression si jouissive, ma chatte en folie, mon cul en fusion ; mon sang qui bouillonne, mon cœur qui explose, mes poumons qui déflagrent !


Le temps s’efface, mon corps se dissout…


Je suis ici et ailleurs ; nulle part, partie au lointain…


Nous nous écroulons dans le lit défait, rompus et repus de sexe. J’ai la chatte et le cul en feu, brûlante, incendiée et je parie qu’Arnaud doit avoir la queue dans le même état ! Je n’aurais jamais pensé me donner à fond comme ça ! Par contre, je sens que ma journée de travail va me paraître bien morne et pesante. Il va falloir que j’essaye de dormir un peu si je veux pouvoir être à peu près en forme pour le boulot. Je reconnais que j’aurais nettement préféré continuer ma partie de jambes en l’air durant toute la journée de demain ! Oh ça oui !



J’ôte prestement mes bas que j’éjecte au moins. Avec eux, je devais faire un peu pute, ce qui a sans doute décuplé le désir d’Arnaud pour ma personne. Puis, telle une chatte, je me blottis dans ses bras, je suis si bien. J’entends sa lente respiration, elle m’apaise. En un rien de temps, je m’endors.




By day



Quelque chose sonne, j’ouvre les yeux. Sur le coup, je ne comprends pas où je suis, ce que je fais là, puis je réalise. Je suis toujours dans cette belle chambre avec Arnaud, contre Arnaud. Je lève la tête, celui-ci me sourit :



Et il m’embrasse. J’adore ce genre de réveil !


Peu après, nous continuons notre langoureux baiser sous la douche. Du sexe, de l’eau chaude, c’est vraiment une bonne façon de commencer la journée !


J’adore mon corps mouillé contre le sien, nos épidermes moites collés, l’eau chaude qui coule sur nous, nos bouches toujours rivées l’une à l’autre. Je raffole de ces mains qui me caressent, qui me prennent, qui me massent, qui me possèdent. J’aime ce sexe dur qui presse mon ventre, ce morceau de chair qui m’a offert tant de plaisir cette nuit, tout comme cette bouche vorace et ces mains exploratrices !


L’eau s’écoule inlassablement sur nos têtes, sur nos corps, elle ruisselle sur nos peaux, pour aller se perdre ailleurs. Moi aussi, je suis ailleurs, trop avide de baisers brûlants, de caresses frissonnantes, de tout ce que me donne mon amant. C’est alors que je décide de donner un peu moi aussi.


Quittant ses lèvres, déposant mille petits baisers, je glisse lentement sur son cou, sur son large torse, je taquine ses tétons érectiles au passage, puis je continue à descendre petit à petit vers son ventre pour arriver à cette verge bien dressée. Puis telle une belle sucette, je l’accueille suavement entre mes lèvres et je commence une douce fellation sous l’eau chaude qui continue de ruisseler sur nous. Amoureusement, je choie ce bâton de chair frémissant, je lèche son bout écarlate, je taquine son frein tendu, ses faibles replis, pour ensuite suivre du bout de ma langue une tige palpitante. Bien vite, je sens qu’Arnaud ne va pas résister bien longtemps à mes diverses agaceries. Alors je lui susurre :



Puis joignant le geste à la parole, j’absorbe son sexe. Deux-trois va-et-vient et déjà une première goutte perle. Je la capture goulûment. Devant cette preuve de ma gourmandise, Arnaud se laisse alors aller ; une première salve chaude remplit ma bouche. Sans effort, j’avale ce qu’il m’offre. Une deuxième la remplace aussitôt, suivie de bien d’autres. J’aime ce genre de sucette, surtout l’effet qu’elle produit sur mon homme, celui que je sers, celui que je suce, celui que j’avale. Et je sais que les hommes sont fous de ça !


Puis la sentant mollir entre mes lèvres, je l’abandonne après lui avoir donnée un dernier baiser. Je remonte vers les lèvres de mon amant, et c’est avec ma bouche encore un peu maculée que nous nous embrassons à nouveau comme des fous.


Notre douche dure bien plus longtemps qu’elle ne devrait, mais qu’importe ! Ce n’est pas tous les matins que j’ai droit à pareil extra dans ma vie un peu routinière… C’est ensemble, collés l’un à l’autre, que nous revenons dans la chambre, à peine séchés, nos cheveux toujours humides.


Sans plus de préambule, il m’ordonne de me mettre à quatre pattes sur le lit, puis me prend en levrette. Même si c’est quand même un peu à la hussarde, ça me plaît beaucoup ! D’ailleurs, je me demande ce qui pourrait me déplaire ! Décidément, je vire à la grosse cochonne qu’on peut prendre selon son désir ! Tout en me trimant sans complexe, Arnaud grogne :



Il n’empêche que nous jouissons tous les deux en même temps, lui en moi, et moi avec mes doigts sur ma chatte détrempée ! Je le sens me remplir de sa semence, marquant ainsi son territoire de façon atavique et bestiale, mais j’aime être la chose d’un homme qui me désire tant !


Mais hélas, toutes les meilleures choses ont une fin, mais je sais qu’elles peuvent recommencer un autre jour, je le sais, je le sens…



Prenant un air de chien battu, il soupire :



Se jetant sur moi, il m’embrasse fougueusement après avoir murmuré quelque chose que je traduis par un « merci ». Je réponds pareillement à son baiser brûlant. Puis nous nous séparons à regret, allant chacun de notre côté, mais nous savons bien tous les deux, lui comme moi, que notre histoire ne fait que commencer. Oui, nous ne nous verrons pas forcément tous les jours, parfois une fois par semaine, voire même moins que ça, mais nos retrouvailles seront à la hauteur de ce que nous avons vécu hier, et pour une telle nuit ou d’autres expériences, je peux bien attendre quelques jours…


« Le désir s’accroît quand l’effet se recule », avait écrit un certain tragédien, ce qui avait bien fait rire à l’époque lors de la première, si j’en crois ce que j’avais entendu et retenu lors d’un cours, il y a bien longtemps. Oui, je peux bien attendre un peu, si c’est pour vivre la même chose en si intense, avec des petites variantes, des décors différents, des ambiances autres…


Surtout que je peux faire confiance en l’organisation et l’imagination de mon amant…