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Temps de lecture estimé : 12 mn
18/04/16
Résumé:  Rencontre et premiers émois avec mon moniteur de conduite.
Critères:  fh hplusag extracon forêt voiture douche fellation cunnilingu init
Auteur : Max et Caro      Envoi mini-message

Série : Découverte des plaisirs

Chapitre 01
Rencontre avec Max

Tout d’abord je me présente. Originaire du sud de la France, je m’appelle Caroline, j’ai 19 ans, blonde aux yeux verts, petit gabarit, 1,60 m pour 45 kg, sportive. Très mignonne si j’en crois mes amis et ex-petits amis. Beaucoup d’ex car souvent larguée à cause de mon obstination à vouloir rester vierge pour l’amour de ma vie.


À mon dix-huitième anniversaire, mes parents me mettent la pression afin que je passe mon permis de conduire. Étudiante en prépa infirmière, j’allais quitter la région et il me faut donc être autonome pour aller et venir entre l’école et chez papa, maman.


C’est un beau jour de printemps que maman m’emmène à l’auto-école du quartier pour m’inscrire. Nous sommes reçues par la gérante de l’établissement, très accueillante et très souriante qui me propose différents forfaits et nous présente par la même occasion les deux moniteurs de conduite chargés des leçons. Mon regard croise celui de Max, le plus jeune des deux. Un homme au physique plutôt banal, le genre de mec sur lequel on ne se retourne pas. 1,80 m, quelques kilos en trop, cheveux châtain clair mi-longs, une barbe plus que naissante, mais avec des yeux d’un bleu, légèrement teintés de taches vertes… captivant.


Je sais que c’est lui que je veux comme moniteur, il m’inspire la confiance et aucun risque que je sois distraite par lui et il faut dire que l’autre moniteur la cinquantaine, dégarni, a une vraie tête de con (je suis méchante).


La première partie de mon apprentissage, le code, est une vraie galère. J’enchaîne cours sur cours jusqu’à épuisement. Ma seule « récompense » est le bonjour jovial de Max qui ne m’attire toujours pas, mais avec son regard ça devient électrique. Les vacances d’été arrivent à grand pas et je passe mon code avant que mon auto-école ne ferme ses portes deux semaines. Je viens programmer mes heures de conduite, Max est là, il me gratifie d’un superbe sourire en me félicitant pour l’obtention de mon code et me donne rendez-vous à la reprise.


C’est deux semaines me paraissent interminables, je me languis de conduire maintenant. Il y a toujours un ou deux copains qui veulent me montrer comment conduire, mais c’est juste pour espérer voir la couleur de ma petite culotte.

Le jour « J » arrive enfin. En cette mi-août, il fait encore très chaud et j’opte pour un petit short et un débardeur, les cheveux attachés et c’est parti. J’arrive devant l’auto-école avec une certaine appréhension tout de même, je flippe même carrément. Je vois Max qui arrive l’air décontracté toujours avec le sourire et… ses yeux.


Une fois dans la voiture, seule avec Max, je m’aperçois que cet homme de 34 ans est non seulement super sympa, mais il fait preuve d’une extrême patience, prenant le temps tout m’expliquer correctement. Je suis avec le meilleur moniteur au monde, pensai-je (aujourd’hui je le pense plus que jamais). La première leçon passe à la vitesse de l’éclair, présentation du véhicule, conduite juste avec le volant. Fin de la leçon, on se fixe le prochain rendez-vous et il me dit :



Je ne sais pas ce qu’il se passe mais le contact de sa main sur mon épaule, de sa barbe sur ma joue et son parfum, je me sens toute drôle. De retour à la maison, je ne cesse de penser à ce moment que beaucoup qualifieront d’anodin mais qui pour moi, jeune vierge, restera un moment unique.


Pour ma deuxième leçon, j’arrive avec un quart d’heure d’avance, je me languis trop d’être avec mon moniteur. Installation faite, on part, et moi toujours juste avec le volant. On parle un peu de nos vies, nos ambitions. Ce mec commence à me plaire et je ne sais pas pourquoi. Mais moi, est-ce que je lui plais ? J’essaie de voir si son regard vient sur moi, mais il ne laisse rien paraître, il est très pro, lorsque j’aperçois à sa main gauche une alliance. Je sais maintenant qu’il est marié. Justement, de sa femme on en parle, j’apprends que c’est la nièce de la gérante et que tout va bien entre eux, qu’il a trouvé la bonne.


Un sentiment de honte et de déception se mélange en moi. Fin de la leçon, je rentre chez moi et je n’arrête de penser « Comme t’y es bête, ma pauvre. Il a 34 ans et t’es juste une gamine. Aurait-il pu s’intéresser à toi ? Et si cela avait été le cas, qu’est-ce que tu aurais pu lui apporter ? Qu’est-ce que t’es, rêveuse ou juste naïve ? Dès qu’un mec va être gentil avec toi, tu vas craquer ? » Cette nuit-là, j’ai super mal dormi, je me sentais vraiment coupable d’avoir pu avoir une attirance pour un homme marié, devrais-je changer de moniteur ? Malgré cela, je ne peux pas m’empêcher de penser à lui toute la semaine. Son inaccessibilité le rendrait il encore plus attirant ?


Matin de la troisième leçon, je suis excitée comme une puce à l’idée de le revoir. Un peu d’égoïsme ne me fera pas de mal, je veux savoir si je peux lui plaire. J’opte donc pour une jupe un peu volante qui m’arrive à mi-cuisse et un débardeur qui baille pas mal, laissant entrevoir discrètement mon soutien-gorge. Et c’est parti. Je suis ravie que Max me lance un :



J’entre dans la voiture et je sens son regard sur mes cuisses à peine couverte par le fin tissu de ma jupe. Je fais mine de ne pas trouver la poignée permettant de régler la hauteur du volant et je lui demande donc de l’aide. Il passe sa main sous le volant et frotte son avant-bras de toute sa longueur sur mon genou. Sa main rejoint la mienne et délicatement m’indique où se trouve la poignée. Il retire sa main comme elle était venue, un frisson me parcourt le corps, il me sourit. Je dois être rouge pivoine de la gêne du désir.


C’est parti pour deux heures de conduite. De temps à autre, je sens son regard posé sur moi, ça me plaît. Fin de séance, il me propose de faire un tour sous le capot du véhicule pour me poser des questions sur le moteur. Suivant les questions qu’il me pose je suis obligée de me pencher un peu pour mieux voir et je le surprends à regarder dans mon débardeur, maintenant c’est lui qui est tout rouge. Ce jeu me plaît et de petits picotements se font ressentir au niveau de mon bassin. Il se rapproche pour me montrer un autre élément, il passe derrière moi, me saisit par les hanches pour me faire basculer de l’autre côté du véhicule tout en me disant :



Ce court instant où il se trouve derrière moi, les mains sur les hanches, me fait fondre. Une fois rentrée à la maison, je décide de prendre une douche histoire de me rafraîchir un peu de cette séance qui m’a mise dans tous mes états. Ma culotte porte les stigmates de ma leçon de conduite et me fait repenser à cet instant avec Max.


J’entre dans la douche et commence à me faire couler l’eau sur le corps en pensant à Max, mes tétons se dressent et j’ose une main entre mes cuisses, je me caresse doucement pensant que cette main était celle de Max. Le mouvement s’accélère et devient frénétique, d’un simple soupir je passe à des gémissements plus intenses, mon plaisir explose et je pousse un cri, heureusement que j’étais seule à la maison.

Une fois dans ma chambre, une réflexion s’impose. Pourquoi me fait-il cet effet ? Pourquoi lui ? Est-ce son côté doux et protecteur qui m’attire ? Est-ce de l’amour ? En fait il serait parfait pour ma première fois, c’est décidé se sera lui mon premier et tant pis si je passe pour une égoïste.


Je m’attelle donc, à chaque séance de le provoquer avec mes tenues courtes et des compliments sur sa personne. Jusqu’au jour où l’on se retrouve sur une route désertique en plein milieu de la forêt. J’étais sa dernière élève de la journée et il faut dire que j’étais souvent sa dernière élève de la journée. Au fur et à mesure des séances, on s’entendait de plus en plus et on prenait du temps parfois une heure pour discuter et rigoler ensemble après le cours. Donc nous sommes en forêt, et je lui raconte la mésaventure que j’ai vécue la veille en me donnant une entorse, lors de mon jogging. Il me dit :



Une sensation de peur et d’excitation m’envahit. Ce soir, je ne serai plus vierge. On sort de la route et je m’arrange pour nous éloigner de la chaussée prétextant une erreur de trajectoire. Nous sortons du véhicule et me dis que nous allons tout de même continuer à travailler avec les fameuses questions. Et là je ne sais pas comment cela m’est venu mais je fonds en larmes.



Et là, bingo, il me prend dans ses puissants bras et me serre contre lui. Je me laisse faire passant mes mains dans son dos, pour mieux ressentir sa chaleur, son parfum. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés comme ça, cinq minutes ? dix minutes ? C’était trop bien. Je lève les yeux vers lui, il me regarde plein de compassion. Cet homme m’attire et je lui tends les lèvres.



Il pose ses lèvres contre les miennes, toujours enlacés l’un à l’autre et l’étreinte prend fin, mais je reste blottie contre lui et puis je veux un baiser, un vrai.



De nouveau nos lèvres se rencontrent sauf que je sens les siennes qui s’entrouvrent, alors j’entrouvre les miennes et nos langues se mêlent. Je me sens défaillir à ce contact, j’aime comme il embrasse.



Le sentant hésitant et sans lui en laisser le temps, j’ouvre la portière arrière du véhicule et me je me jette sur la banquette. Comme un fou, il me rejoint, se plaque sur moi et m’embrasse avec fougue. Je sens son poids sur moi et je m’abandonne à ses baisers sur ma bouche, dans mon cou, sur mes épaules… Ses mains sont baladeuses. Il me caresse, je sens ses doigts s’immiscer sous mon short au niveau de mes fesses. Je soupire quand il m’embrasse dans le cou et cela l’encourage car délicatement il descend sur ma poitrine. Je sens un feu intense se déclencher entre mes cuisses et je pense qu’il l’a senti. Je suis seins nus devant lui, il me les caresse, les embrasse, suce mes petits tétons roses. Oh quel pied. Mes mains s’activent plus timidement que les siennes. Lorsque j’arrive à son entrejambe, je sens une protubérance, il bande. Je le fais bander. Nous continuons nos ébats avec toujours plus de soupirs et de passion et tant bien que mal il glisse une main dans ma culotte. J’ai envie de lui, qu’il me prenne là comme ça, comme une vraie femme.



Il revient sur moi en m’embrassant la poitrine et le ventre tout en déboutonnant mon short.



Je me retrouve nue sur la banquette arrière, les jambes écartées, il m’embrasse l’intérieur des cuisses, je sens que je suis trempée, il se relève une dernière fois en me fixant dans les yeux et disparaît. Je sens alors qu’il me lape le minou et sait parfaitement où lécher. Je me tortille en gémissant, j’en peux plus, c’est trop bon. Il fait des va-et-vient entre mon clito et mon trou d’amour me fouillant sentant mon excitation monter.



J’explose littéralement et je m’effondre. Je suis encore toute gémissante lorsque j’ouvre les yeux et je vois son visage près du mien, la bouche luisante de ma mouille, on s’embrasse. Sentir le goût de mon minou mêlé à son baiser est terriblement excitant.



Je le fais allonger à ma place et lui retire son bas de survêtement, ainsi que son caleçon déformé par son érection.



Son sexe est beau, long et bien droit, d’une belle largeur. Aujourd’hui encore je n’en ai pas vu d’aussi beau. Je commence à le branler doucement en lui léchant le gland. Il doit apprécier car il soupire profondément avec des petits gémissements. J’essaie de le prendre entièrement en bouche mais ce n’est pas évident. Entre deux succions, je lui dis :



Cette remarque lui a plu, il m’attrape par les cheveux pour avoir le contrôle sur le rythme. Il gémit de plus en plus. Il essaie d’attraper son sac :



Je garde seulement son gros gland en bouche en aspirant. De la main droite, je le branle frénétiquement et de la gauche je lui caresse ses grosses boules. Je le sens se contracter et sa queue se raidit encore plus dans ma bouche. De grosses giclées s’écrasent au fond de ma gorge et je m’étouffe presque, malgré cela j’arrive à tout avaler. Max me sourit, il est bien, je l’ai fait jouir et j’en suis fière. On se rhabille, il me serre dans ses bras et m’embrasse. Au retour, c’est lui qui conduit, je suis à côté de lui, une main sur son avant-bras, sa main sur ma cuisse, j’ai l’impression d’être sa petite copine. Il me dépose presque devant chez moi, un dernier baiser tout tendre et il disparaît au coin de la rue. Cette nuit-là, mes rêves sont peuplés de la grosse queue de Max, et je me réveille toute émoustillée.


La fin de la formation se déroule normalement. De temps à autres, j’avais le droit à de tendres baisers et quelques caresses appuyées, je suis un peu déçue mais Max, en professionnel, veut que l’on bosse mon permis. Puis le grand jour arrive, c’est la gérante qui nous emmène au permis, j’apprends que Max a trop de cours pour nous emmener lui, je deviens fébrile et commence à stresser sans Max. On est au centre d’examen, je suis en train de me morfondre lorsque je reconnais la voiture de Max entrer dans le centre. Mon cœur fait un bon ou plutôt deux. Le premier, car Max est là et qu’il me fait toujours cet effet et le deuxième parce que la personne qui conduit est une fille que je qualifierais de bombe inter cosmique. Je l’attire à l’écart et, curieuse, je lui demande qui est cette greluche.



Mais oui, j’étais jalouse, mais qu’est-ce qui m’arrive, il est marié et je ne suis pas jalouse de sa femme, alors pourquoi je serais jalouse de cette pétasse.



Il rigole



Il m’a dit ce que je voulais entendre. Ça m’a reboostée au maximum. Je passe mon examen et le réussit, la gérante me dit que l’inspecteur lui a communiqué les résultats et que c’était bon pour moi. Tout du premier coup quand même. Et sans même réfléchir, la première personne que je préviens c’est Max.



Oh que oui, je me languis…