Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17341Fiche technique45972 caractères45972
Temps de lecture estimé : 27 mn
18/04/16
Résumé:  La nature se charge quelquefois de créer des situations inédites.
Critères:  fh cocus travail fellation cunnilingu préservati confession -occasion
Auteur : ViolaFleur      

Série : Tempête de neige

Chapitre 01 / 03
Tempête de neige

C’est pendant le déjeuner que les premiers flocons sont tombés. La météo annonçait un peu de neige et encore une fois les prévisions se vérifient.

Mais, c’est alors que nous sommes dans la salle de conférence, il est à peine 16 h, juste avant la pause, que le directeur est venu faire une annonce.



Il est vrai que depuis cette pièce sans fenêtres nous n’avions pas vu que le vent s’était levé et que des congères se formaient. Très vite, tout le monde s’est dirigé vers les bus.

Il faut dire que ce centre de formation est en pleine nature. Certainement une vieille demeure transformée pour recevoir des groupes comme le nôtre, mais qui n’a pas la capacité d’accueil pour héberger tant de monde.


La plupart des participants sont venus en transports en commun et même ceux qui sont arrivés en voiture viennent de si loin qu’ils ont préféré dormir sur place, dans une résidence à quelques kilomètres.


Tous sauf moi. Moi qui habite à moins de vingt bornes et qui rentre tous les soirs. Bien sûr j’aurais pu me joindre aux autres, mais comme mon métier m’éloigne déjà beaucoup de ma maison et de ma femme, j’ai préféré faire ce choix. Par contre, je suis coincé sur place. Pas question de m’engager avec cette neige et Valériane me confirme que vers chez nous tout est déjà bloqué.


C’est comme cela que je me retrouve seul dans cette demeure. Les autres sont partis si vite que le temps que je réagisse, je suis coincé. Ce n’est pas grave, je peux dormir sur place. Au pire je peux sortir le duvet qui ne quitte jamais mon coffre. Et pour manger, il reste certainement des choses dans l’office qui sert de cuisine à midi. Mais il n’est pas encore l’heure et je me dirige vers ce que le directeur appelle le « Salon ». C’est un grand mot pour quelques fauteuils et un canapé. Mais ce qui m’intéresse, c’est la télé. En partant, ils ont dû couper le WiFi, car je n’ai que le réseau téléphonique et pas assez de débit. Ah, la campagne ! J’entre, mais j’ai la surprise d’y découvrir une femme qui justement, téléphone. Elle fait partie du groupe. Je sais qu’elle s’appelle Anaïs, car son prénom m’avait marqué au moment où tout le monde se présentait.



Elle semble en conversation avec un ami.



Et elle me découvre.



Elle me regarde et cache son tél. avec sa main.



Elle ne me répond pas, mais reprend son téléphone…



Elle raccroche.



Elle hésite. Son visage prend soudain la touche de la petite fille prise en faute.



Demander plus de détails semble soudain une inconvenance. Elle reprend :



Trois jours passés à se former ensemble créent des liens, même si ce n’est que superficiel, tout le monde s’appelle par son prénom. Pendant quelques minutes, nous faisons le point sur notre situation. Nous allons vérifier que nous trouverons à manger au moment voulu. De retour au salon, nous décidons de travailler un peu, chacun de son côté, sur les documents fournis par notre formatrice. C’est en effet une femme qui pendant ces quatre journées doit nous initier aux statistiques appliquées à la gestion et au marketing.

Au bout de deux heures, je décide d’arrêter. Anaïs aussi. Je propose d’allumer la télé, mais l’écran reste désespérément vide. On dirait que la neige perturbe la liaison satellite.



Quelques minutes plus tard, nous avons ce qu’il faut. Mais en repassant par la salle de conférence, Anaïs remarque que la formatrice est partie sans emmener son ordi qui trône à côté du rétroprojecteur. Elle a dû l’oublier dans le départ précipité.



Elle redémarre l’ordi qui était en veille et en effet arrive à montrer les deux partitions.



Elle déroule le menu. En effet la partition « Privé » montre le classement normal dans Windows.



J’hésite un instant. Bien sûr, je sais combien c’est grave d’aller regarder sur un ordi. C’est une vraie violation de la vie privée. Pourtant je réponds :



Elle hésite à peine. Arrivés dans le salon, je dépose les affaires, mais repars.



Il me faut un bon moment pour atteindre mon véhicule, dégager la porte de la neige qui s’est accumulée et enfin ramener le duvet qui traînait dans mon coffre depuis une escapade avec une amie.


Lorsque je pénètre dans le salon, la pièce est plus sombre. Manifestement la collègue a pensé que pour regarder la télé ce serait mieux. Elle est d’ailleurs assise sur le canapé qui lui fait face, et l’écran est allumé.

Parfait, elle a tout connecté et elle a dû trouver un film. Mais en m’approchant, je vois bien que sur l’écran ce n’est pas un film de pro, mais une vidéo amateur. Et cette vidéo montre un couple qui manifestement a engagé un échange dont le résultat est évident. L’homme et la femme sont à demi nus, s’embrassent, se caressent, se déshabillent mutuellement.


Je reste un moment sans bruit, m’approchant juste assez pour mieux voir. Anaïs ne me remarque pas. Je suis pourtant derrière elle, derrière le canapé. Moi aussi je suis subjugué par ce que je vois. Car la femme sur l’écran, c’est notre formatrice, grande brune de cinquante ans, présentant tous les symptômes de la bonne professionnelle, parfaitement maîtresse de son sujet. Mais c’est une autre personne qui s’active devant nous. Une femme manifestement dans son élément, recevant les caresses de l’homme avec plaisir, et ne restant pas insensible au sexe qu’elle vient de découvrir alors qu’elle tire sur le slip. Justement elle commence à le caresser. Un gros plan la montre déposant des baisers sur le bout avec un regard appuyé vers la caméra.



Anaïs sursaute au son de ma voix. D’un geste elle appuie sur la télécommande du PC. Elle se tourne vers moi :



Elle est plus que troublée. D’ailleurs au lieu d’éteindre la vidéo elle n’a fait que mettre sur « Pause ». Mes yeux sont attirés par le spectacle magique de cette amoureuse qui sur l’écran est stoppée en plein élan, la bouche entrouverte et une partie du sexe déjà disparu.

Anaïs voit bien mon regard. Elle panique encore, mais finit par arrêter la vidéo.



Sa dernière remarque me fait rire.



La qualification de sextape me fait réagir.



Elle obéit. Nous retrouvons notre formatrice exactement là où nous l’avons laissée. La bouche se remplit du sexe de l’homme. Elle le suce. Elle le pompe. La caméra bouge pour montrer aussi que l’homme caresse la femme. Sa poitrine, sa chatte.



Ma remarque est une évidence. Quelqu’un filme la femme en train de placer une capote sur le sexe. Quelqu’un suit la lente introduction du sexe protégé dans une fente qui vient s’asseoir dessus.



Elle cherche dans les fichiers, clique. L’écran s’éclaire à nouveau.



Elle s’exécute. Apparaît alors notre formatrice occupée avec un autre homme. Ils sont déjà nus et l’écran se remplit d’un sexe en érection et de caresses.



Et j’ai raison. Cette fois-ci l’homme est un black. Non, en réalité ils sont deux. Oh la gourmande…



Mais elle se ressaisit et demande :



Je suis surpris d’une telle question. Question si directe, si indiscrète. Anaïs doit remarquer ma surprise.



Elle sourit et ajoute : « Uniquement au figuré ».



J’adore son regard. La belle sait se faire ingénue, mais peut-être qu’elle cache bien son jeu. La façon dont elle a raconté son aventure est un modèle de simplicité. Mais que c’est bandant ! Je m’installe à côté d’elle.



Elle remet la vidéo. Rapidement la température monte dans la pièce. Notre formatrice a des talents cachés et deux belles queues bien noires ne lui font pas peur.

À côté, Anaïs ne cesse de remuer, croisant et décroisant ses jambes. Moi je ne suis pas mieux. Je transpire. J’avale ma salive le plus discrètement possible. Je bande, bien sûr. J’entends distinctement ma voisine respirer de plus en plus vite et soupirer lorsque le deuxième homme vient empaler la femme pour la prendre en sandwich.


Sans réfléchir, ma main se pose sur la cuisse de ma voisine. Rapidement la sienne vient me rejoindre. Une seconde je pense que c’est pour me faire partir, mais non. Elle m’étreint comme si elle voulait partager ses émotions. Je me tourne vers elle. Elle aussi me regarde. Je me penche. Nos visages se rapprochent. Nos dents se heurtent sous la pression de notre envie. Nos langues bataillent délicieusement. Chacune explore la bouche de l’autre.


D’habitude je suis plus patient, plus progressif lorsque je suis avec une femme pour la première fois. Mais là, j’ai l’impression que mon corps ne me répond plus. Au risque de paraître goujat, déjà une main caresse sa poitrine pendant que l’autre se glisse sous la robe pour aller se plaquer entre les cuisses. Ce n’est pas mon imagination, mais Anaïs gémit et tout son corps avance pour mieux sentir mes mains qui l’explorent.


Sans cesser de l’embrasser, je l’attire pour la faire se lever. Face à face, corps contre corps elle ne peut que ressentir contre son ventre la force de mon érection.

Une compétition ! Oui, on pourrait croire que chacun veut gagner la bataille de déshabiller son partenaire. Je suis déjà en slip qu’elle est encore en soutien-gorge et en collant. Mais après tout, c’est aussi bien. Je l’abandonne juste le temps de faire glisser mon slip. Je sais que souvent je fais impression par la vigueur de mon érection. J’ai toujours eu une queue très dure, indomptable qui refuse de quitter le contact de mon ventre. Adolescent cette vigueur me rendait trop sensible et j’avais bien du mal à durer plus d’une minute. Mais au fil de mes expériences et aidé par un entraînement personnel, j’ai transformé cette faiblesse en force. Maintenant mon sexe est toujours aussi dur, mais je l’ai dompté afin de pouvoir honorer ma partenaire aussi longtemps que nécessaire.


Anaïs ne fait pas exception à la règle. Alors que je reviens contre elle pour m’attaquer à son soutien-gorge, je sens une main prudente qui enveloppe mon pénis. Le petit sourire que je découvre sur ses lèvres est une fierté. Sa poitrine est libre. Deux beaux seins, bien fermes avec des aréoles très marquées et des tétons qui pointent. Mais je n’ai pas fini mon ouvrage. Je la pousse délicatement sur le canapé. À genoux devant elle, je veux apporter maintenant une touche d’érotisme. Je sais par expérience qu’une baise rapide, même si elle est le résultat d’une excitation forte et réciproque, laisse toujours un goût d’inachevé.


Chacune des chaussures est religieusement détachée puis enlevée. La lente remontée de mes mains qui courent sur la soie des jambes pour atteindre l’élastique du collant doit lui être un supplice. J’évite de toucher la peau.

Elle soulève les reins me permettant maintenant de tirer le tissu vers ses pieds.

Voilà, il ne lui reste qu’un petit slip. Pas une culotte confortable, mais une lingerie qui confirme le soin que cette femme apporte à sa tenue. Une séductrice. Malgré ses dires j’ai bien du mal à la croire si sage.

Je sais ! Il ne faut pas tomber dans le travers de « Si elle s’habille comme cela, c’est bien pour exciter les hommes et elle attend qu’on la baise ». Bien sûr qu’elle a le droit de se montrer sous de beaux atours.

Elle a la fraîcheur de sa jeunesse. Elle a la liberté de sa génération. Mais après tout, l’élégance avec une touche de sensualité ne la désigne pas comme femme libre et infidèle.


C’est encore meilleur. Dans les hôtels où je passe pour mon travail, il ne manque pas de femmes, elles aussi en déplacement, pour chercher l’aventure et qui se laissent séduire, lorsque ce ne sont pas elles qui font les premiers pas. Mais, même si elles sont expérimentées et totalement disponibles, rien ne vaut une rencontre fortuite qui laisse la place à un minimum de séduction.


J’adore le feulement lorsque maintenant mes deux mains touchent la peau et remontent dans la douceur de la cuisse. Pourtant j’évite encore de toucher son sexe. Mes doigts suivent le bord de la dentelle pour atteindre le mince élastique autour de la taille.

À nouveau son ventre avance, les fesses se décollent du canapé.

Descendre sa culotte est un bonheur. Voir ses deux jambes se lever devant moi pour aider à l’effeuillage est une promesse. Mais voir les deux jambes redescendre en s’ouvrant devient une offrande.


Sa culotte sent bon. On ne dirait pas une lingerie portée depuis le matin. Fait-elle partie, j’en ai connue plus d’une, qui change de culotte dans la journée, après une rapide toilette avec une lingette ? Elle sourit de me voir sentir son odeur. Ses yeux ne quittent pas ma tête qui avance lentement, s’arrêtant souvent pour embrasser une peau veloutée et soyeuse. Arrivé dans le triangle magique, je me force à sauter d’une cuisse à l’autre juste en effleurant d’un souffle la fente que je vois humide et que ma respiration doit attiser.


Le soupir est une première récompense alors que mes lèvres touchent les siennes, celles que la nature a placées dans ce lieu mystérieux, mais verticales et toujours plus charnues que celles, tout là-haut, qui justement s’entrouvrent pour laisser passer la respiration bloquée tout le temps de ma progression.


J’adore l’odeur de cette intimité féminine. Même après un bain, les effluves reviennent très vite. Chaque femme a la sienne. Forte, légère, musquée, parfois insondable. Ma langue remonte le sillon, démarrant entre l’anus et le clito. Je garde l’anus pour plus tard. Il faut une bonne intimité avant de se lancer dans cette aventure si particulière. Je ne suis pas de ceux qui se glorifient d’avoir « enculé » une femme. Sa femme, sa maîtresse, peu importe. Ce passage est un plus, que seule une complicité parfaite procure. Valériane, m’a femme n’a accepté de m’offrir ce chemin qu’après une longue cour. Il m’en a fallu des baisers, des caresses, des doigts délicatement intrusifs, avant de pouvoir glisser ma queue dans son cul. Alors, et alors seulement, le plaisir est partagé.


Pour l’instant, je me concentre sur la féminité. Je sonde sa fente, découvrant au passage que la belle devait, depuis un moment déjà, avoir des idées de sexe. Son petit bouton est d’une sensibilité exacerbée. Ma bouche aspire ce que mes lèvres arrivent à libérer du capuchon protecteur.


Il n’est pas nécessaire de forcer le passage. Les cuisses sont ouvertes. Anaïs fait tout pour m’aider dans mon entreprise. Pendant que je joue avec ses tétons, ses mains cherchent à diriger ma tête, donnant des informations très claires sur ce que la belle demande et apprécie.

Mais j’ai dans la tête autre chose qu’un cunni et une fellation comme elle vient de me le décrire. J’abandonne la chatte déjà gluante de ma salive pour me redresser. Aussitôt une bouche gourmande s’approche de ma verge. Mais non, je la retiens. Ses yeux m’interrogent. Pourquoi ?


Pourquoi ? Mais parce que je veux qu’elle se souvienne de moi autrement que de quelques léchages sous une table. Et je veux que plus tard, à un amant ou à son mari elle puisse raconter avec de la gourmandise ce que nous avons fait aujourd’hui.


Il me faut quelques gestes pour lui montrer ce que je veux d’elle. C’est vrai que la position est particulière. Elle était assise sur le canapé, la voici à 180°. Ses fesses sont calées dans l’angle du siège, mais ce sont ses jambes qui montent contre le dossier. C’est son dos qui est allongé sur l’assise et sa tête que j’ai placée exactement avec la nuque sur le rebord. Ainsi, tout naturellement, elle est en déséquilibre.

D’habitude, c’est une position que je pratique sur un lit ou sur une table. Mais l’important c’est que la femme ait la tête dans le vide, supprimant ainsi l’angle entre la bouche et la trachée. Peu de couples doivent la pratiquer, car cette position est connotée « salope qui se fait faire une gorge profonde ». Ils ont bien tort. Pour un peu que la femme accepte de se laisser diriger, alors c’est divin.


En fléchissant mes jambes, tout naturellement ma queue vient en face de la gorge désirée. Anaïs ouvre ses lèvres. J’appuie pour décoller mon mandrin de mon ventre et dès que le gland se présente, la belle s’en saisit. C’est toujours un moment délicieux de voir son bout disparaître, de voir la hampe masquer le nez et de savoir que des yeux n’ont que la seule vision de mes couilles.


La suite est une musique que je connais bien, mais où chaque fois l’orchestration change.

D’abord, au début, il y a presque toujours ce bruit de réflexe lorsque ma queue heurte le fond de la gorge. Il faut alors reculer pour laisser la femme reprendre son souffle. Tout de suite je vois que ma partenaire décide de jouer le jeu, car lorsque je libère ses lèvres, sa main se saisit de ma verge pour la garder, bien dans l’axe, horizontale.

Ensuite, il y a le bruit de ressac lorsque ma queue devient un piston chassant puis attirant les flots de salive que la femme produit.

Ah cette salive qui tire de magnifiques filets entre ma queue et la bouche lorsque je la quitte !

Ah cette salive que je vois suinter à gros filets de la commissure des lèvres et couler sur le visage !

Mais aussi ce détail qu’on pourrait penser lié à une douleur, mais qui n’est que le reflet d’une possession bien active. Les larmes qui coulent des yeux de la femme que je baise en bouche. Les larmes, réflexe d’une position très intrusive.


Un observateur pourrait penser que c’est pousser un peu loin la fellation et que d’une certaine façon c’est une contrainte imposée par un mâle sur une femme sans défense.

Il aurait raison si la femme repoussait son envahisseur. Elle en a toute liberté. Il lui suffit de le repousser ou de s’extraire de cette position.


Mais ici, moi je sais qu’Anaïs ne se refuse pas, même si c’est nouveau pour elle. Peut-être qu’elle n’est pas si innocente qu’elle veut le faire paraître. Sinon pourquoi est-ce que, sur chacune de mes fesses, une main est placée. Cette main qui se crispe lorsque je bute au fond de sa gorge. Une main qui se plaque et me pousse en avant à chaque fois que je la libère de ma pression et qu’elle reprend son souffle.


C’est épuisant. Si Anaïs est allongée, même si ses jambes montent le long du dossier, c’est beaucoup plus confortable que moi. À moitié fléchi. À moitié allongé. Rapidement mes jambes et mes bras sont en feu. De temps en temps, je me penche assez en avant pour aller sucer sa fente. À chaque fois, ma queue est avertie du plaisir que ma caresse apporte.


Mon excitation est énorme. Je pourrais tenir encore un long moment, mais j’ai peur qu’Anaïs fatigue. Il ne faut jamais abuser des bonnes choses.

Je me redresse un peu afin de pouvoir profiter de ce spectacle. De ma queue qui disparaît et que je crois voir déformer le cou même si je sais que c’est faux. De ce visage souillé, mais au combien vivant. Des narines qui se pincent. Des yeux dont je croise le regard alors que je me dégage.

Alors l’intellect vient s’ajouter au physique. L’autorisation part du cerveau : « C’est bon. Tu peux finir ».

Quelques petits mouvements. Une vibration. Un frisson. L’impression que tout se rassemble et enfin…



Oui, ma semence se rue. Anaïs ne peut pas l’ignorer si elle a vraiment déjà pompé une queue jusqu’à sa conclusion.

Je coule. Je gicle. Je me vide. J’ai le réflexe de quitter la profondeur de la gorge pour ne pas étouffer ma maîtresse. Les lèvres sont littéralement greffées à la base de mon gland.

Quelques secondes et je me retire. Je sais combien c’est difficile pour la femme de rester avec du foutre collé au palais.

Je l’aide à se relever. Son visage est dévasté, gras, gluant.


Ce n’est pas une innocente qui entrouvre ses lèvres, le temps de me montrer ma liqueur. Elle transpire la perversité. Qu’elle est loin la stagiaire qui se montre si sage, en retrait pendant les cours.

C’est encore meilleur. Je me fais l’effet d’un initiateur, d’un découvreur de talent. Dix, quinze années nous séparent. Elle ne doit guère dépasser les vingt-cinq ans. Mais quel potentiel ! Quelle envie de bien faire ! Je prie pour qu’elle trouve d’autres initiateurs si son compagnon est trop sage.

Je m’en approche. Elle me suit du regard. Lorsque je touche ses lèvres, elles sentent mon foutre. Je l’embrasse. Elle s’ouvre. Ma langue qui retrouve la sienne trempe maintenant dans un océan de sperme. Je me retire. Nous nous regardons.

Je ne connais rien de plus chaud que cette vision. Voir une femme avaler sa propre liqueur. Et cette femme, cette maîtresse d’un soir, si jeune, si belle, est bien loin des aventurières trop audacieuses.


Mais je n’oublie pas qu’elle n’a eu que des prémices de plaisir. Extraire une capote de mon pantalon juste au sol à côté de moi, ne prend que quelques secondes.

Déchirer l’enveloppe, sortir l’objet, le tendre à Anaïs, ne dure que le temps d’une respiration.

C’est à ce moment qu’elle réalise que je bande toujours. Eh oui, être hypersensible n’a pas que des désavantages. Bien excité, et j’ai tout ce qu’il faut sous les yeux, je peux cracher mon jus et conserver une érection que certains pourraient m’envier. C’est même meilleur pour moi. Je suis un peu moins dur, un peu plus souple et mon mandrin peut maintenant quitter la chaleur de mon ventre sans protester.

La vie est remplie de gestes simples dont il ne faut surtout pas se priver. L’expérience sait retenir la leçon et c’est un délice de voir ma maîtresse d’un soir faire dérouler le latex sur ma verge.



C’est une voix qui provient de la télé. La télé où la vidéo a continué. En un instant, je comprends que c’est le mari qui parle à notre formatrice. Le mari qui filme dans une glace. Pour la première fois, il est acteur et pas seulement spectateur. Il tient la caméra d’une main, visant le miroir où on le voit prendre sa femme en levrette et lui parler. La vidéo n’est pas très stable, mais il est difficile de baiser une femme tout en filmant.

Les voir ainsi m’inspire.


Je guide Anaïs, mais elle comprend très vite pour l’installer à quatre pattes sur le canapé. Je m’enfonce dans sa chatte avec une facilité coupable. Que c’est bon ! Elle aussi tortille du cul pour bien sentir mon bâton. Moi je n’ai pas de caméra, mais mes yeux suffisent à mon bonheur et mes mains sont libres pour agripper les hanches de la femme et la bourrer aussitôt sans retenue.


Je vois bien qu’Anaïs a tourné la tête vers la télé. J’imagine qu’elle mélange les genres, comme moi je le fais. C’est un peu comme si nous étions deux couples dans la même pièce. Elle aussi doit comprendre combien le mari candauliste est heureux de ce qu’il a vu et aussi de l’excitation que cela lui procure.

Il baise sa femme.

Je baise ma maîtresse.


Tous les deux, glissons notre queue dans une chatte grasse à souhait et si lorsque nous nous retirons c’est pour mieux l’envahir à nouveau.

Pendant un long moment, il zoome sur sa possession. Moi, bien sûr, c’est une vue que je connais bien et d’ailleurs j’ai un exemple parfait sous les yeux. Mais pour Anaïs, à moins d’avoir déjà regardé des vidéos pornos, c’est une première. Elle peut sans peine imaginer que sur l’écran c’est sa fente et que la bite qui entre et sort c’est la mienne. Dans ces moments-là, on ne s’attarde pas des détails comme une capote.

Bien sûr, certains bruits et gémissements viennent se mélanger aux nôtres. D’ailleurs j’en profite de trouver la télécommande et augmenter le son.



Cette pensée m’excite au plus haut point. Bien sûr, j’ai déjà pris ma femme après avoir joui en elle, mais la perversité de savoir que le sperme est d’un autre est une révélation. Anaïs est secouée par mes possessions. J’ai le plaisir de l’entendre gémir de mes assauts. Quelle découverte que ces vidéos !



L’écran montre en effet que l’anus est entrouvert. L’homme sort son mandrin et le place en position.



L’image vibre, mais arrive tout de même à nous montrer la bite maritale envahir d’une seule poussée le cul de la femme.

Le feulement de la formatrice dure quelques secondes. Son mari vient de l’enculer d’une poussée. Elle doit être bien ouverte pour accepter cette intrusion sans hurler.



La voix d’Anaïs me ramène à notre réalité. Sans vraiment m’en rendre compte, j’avais libéré la chatte et placé, comme l’homme, mon gland contre l’anus. Pour un peu, j’oubliais mes principes et j’allais enculer ma maîtresse. Heureusement elle a senti combien j’étais parti pour le faire.


Je reviens à mon premier amour.

L’homme a juté dans sa femme bien avant moi. Lui a l’excuse d’avoir été spectateur pendant de longues minutes du trio de sa femme avec deux amants. Moi, je m’adapte aux signes de plaisir d’Anaïs. Je lui dois bien de la faire jouir. La première jouissance arrive alors que je la vois glisser une main sous elle pour se caresser le petit bouton. Mais la seconde est longue à monter. Mais c’est encore meilleur pour elle. Je ne pense pas qu’elle simule son plaisir.

Alors, seulement, j’éjacule. Je suis bien d’accord avec le mari, quel dommage de ne pas pouvoir inonder sa maîtresse de l’intérieur.


Un peu plus tard, nous avons refait l’amour. Mais cette fois-ci, c’est Anaïs qui a mené la danse et qui s’est prise sur moi. Le lendemain matin, au réveil, alors que nous étions tous les deux dans le même duvet, je l’ai prise. Doucement, tranquillement, moi lové contre son dos, mon sexe au chaud, à la cuillère comme on dit.

Avant l’arrivée des autres, on a pris bien soin de tout ranger, le PC en particulier. On était à la fois heureux, mais aussi on se sentait coupable. Oh, pas coupable de notre aventure, mais d’avoir violé la vie privée de notre formatrice. Mais après tout c’était grâce à elle qu’Anaïs allait rentrer chez elle avec des souvenirs.


Le week-end suivant, je suis tout étonné de recevoir un mail d’elle. Sans vraiment en parler, il était évident que chacun garderait le secret de notre aventure.



""""""""""""Monsieur Pascal D.


Bonjour, j’ai constaté en rentrant à la maison que votre théorie sur un système à base deux fonctionnait. En effet le découplage du binaire puis sa reconstitution ont des effets exponentiels sur les deux unités. Mais j’aurais besoin de plus de détails pour bien reproduire l’expérience. Après tout, nous ne sommes pas si loin et je pourrais, ou vous si vous préférez, faire un saut et en parler. Qu’en pensez-vous ?

Également mon copain, à qui j’ai parlé des démonstrations magistrales de notre formatrice, serait partant pour avancer sur le sujet. Seriez-vous opposé à ce qu’il assiste à notre échange d’idées ?


Anaïs Z… """""""""""""



Ce message a déclenché chez moi un sourire accompagné d’une remarque non réfléchie « Sacrée Anaïs » et Valériane qui lit à côté de moi s’en étonne.



Je sais que ma femme n’est pas jalouse, et que jamais elle ne s’est permis de me questionner sur mon travail. Non, c’est juste de la curiosité.



Elle lit. Me regarde et me la rend.



Je sais que je viens de blesser Valériane. Nous vivons dans deux mondes différents. C’est une littéraire de formation alors que je suis plutôt matheux. Il nous arrive de nous embrouiller sur nos façons de voir le monde et en cet instant, le matheux que je suis, vient de lui dire qu’elle est trop « bête » pour comprendre.



Je lui montre sur ma tablette, la photo de groupe qui a été faite à la fin du stage. Je continue :



Avec Anaïs, on a bien fait attention de ne pas nous afficher après notre nuit ensemble.


Ma femme regarde un instant.



Si je me suis promis une chose depuis que je vis avec Valériane et elle a fait la même promesse, c’est de ne jamais mentir. Oublier de dire certaines choses, oui ! Mais pas de mensonges. C’est ainsi que nous fonctionnons.



La question est posée sans colère. Mais j’hésite.



Et si c’était le moment qu’inconsciemment j’attendais. Pourquoi ne pas parler ? Pourquoi ne pas « Nous » parler ? Aborder le sujet sans tabou. Valériane vient d’avouer qu’elle aussi pouvait reconnaître lorsque j’avais eu une aventure.



Commence alors une longue explication ponctuée des détails que me demande Valériane.

Et puis c’est à elle. Finalement elle est bien plus sage que moi, à moins qu’elle ait moins d’opportunités. Mais nous nous accordons tout de même sur tout.



""""""""""""""Ma chère Anaïs.


Ce n’est pas Pascal qui vous répond, mais sa femme. Je n’ai pas votre formation scientifique, mais mon mari m’a expliqué ce dont j’avais besoin pour comprendre votre mail. Personnellement je n’ai rien contre un rendez-vous et ce n’est pas moi qui contredirai la théorie de Pascal. Séparer deux unités pour qu’elles aillent se charger d’énergie positive ailleurs afin de former un cocktail explosif lors de leur réunion.

Il m’a parlé aussi des démonstrations de votre formatrice. Mais pourquoi vouloir limiter l’expérience ?

Je propose que vous passiez à la maison. Nous serions heureux de vous accueillir. Nous avons une chambre d’amis qui serait parfaite.

Qu’en pensez-vous ?

Ce serait une occasion idéale de tester et expérimenter. Votre formatrice vous a montré le chemin. Personnellement je n’ai rien contre, bien au contraire. Quatre expérimentateurs ! Sans être forte en maths, il me semble que le nombre de combinaisons est plus grand qu’à deux, voire trois…

Je suis impatiente de vous rencontrer ainsi que votre ami.


PS. Ci-joint une photo de nous. Votre ami pourra ainsi nous connaître un peu.

N’hésitez pas à faire de même si notre proposition vous intéresse.


Valériane. """""""""""""