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Temps de lecture estimé : 15 mn
18/04/16
Résumé:  Premier week-end aux thermes nudistes avec des amis, découverte, sexe entre couples côte à côte.
Critères:  fh 2couples copains piscine voir intermast fellation cunnilingu pénétratio -couple
Auteur : Frère de cul  (Un homme qui aime partager ses expériences vécues...)      

Série : Thermes belges

Chapitre 01 / 03
Nudisme et découverte

Lors d’une visite de nos amis, cet été, nous avions pris l’engagement de partir ensemble en thermes pour passer un week-end sympa rempli de tranches de rigolade et autres délires… Ils nous avaient laissé l’organisation de ce délire et nous avions décidé de leur faire découvrir les thermes belges du quartier de Boetfort à Bruxelles.


Ces thermes sont répartis en deux parties, comme souvent en Belgique, avec une partie naturiste et une partie « textile ». Pour nos amis, c’était la première fois qu’ils allaient dans des lieux naturistes, mais ils pratiquaient le nudisme dès qu’ils pouvaient, près de leur piscine. Notre habitude de pratiquer ce genre de repos ne nous gênait plus, même si c’était la première fois que nous allions nous mettre nus devant des personnes que nous connaissions. Même mon épouse qui, auparavant, était assez prude considérait désormais la chose comme naturelle.


C’est ainsi que nous nous retrouvâmes tous les quatre dans la voiture pour partir en direction des populations parlant un savant « mixe » d’allemand et d’Ikéa… La journée était pluvieuse, mais douce et le temps devait rester comme cela tout le week-end.


Il est tôt dans l’après-midi quand nous arrivons à l’accueil du centre et les premiers curistes sont déjà en ordre de bataille dans les thermes. Une fois les formalités administratives expédiées, nous déposons nos petites affaires dans nos chambres respectives et une fois les maillots enfilés, nous nous retrouvons à l’entrée des thermes textiles afin d’en faire une petite visite avec nos amis. Le passage dans la partie textile ne dure pas plus de deux heures, nous avons tous hâte de nous retrouver dans la partie naturiste…


Nous voilà donc dans les vestiaires pour retirer les derniers remparts à notre nudité. Contrairement aux thermes français, les vestiaires naturistes sont ouverts et donc, chacun se retrouve nu devant son casier pour y ranger ses vêtements. Entre les maillots de bain dans lesquels nous avions vu nos amis et les fesses blanches, pas de grandes différences. Chacun enfile donc son peignoir et nous voilà tous les quatre à déambuler dans les couloirs en direction du site naturiste, celui-ci est nettement plus grand et il y a également beaucoup plus de monde, les curistes sont majoritairement en couples et sont dans la même tranche d’âge que nous, entre trente et quarante ans. Nous confortons nos amis en leur faisant remarquer qu’ici les gens se promènent nus, comme s’ils étaient habillés et que personne ne fait attention à personne. Je ne dis pas que, quand je croise une belle jeune femme bien faite, je ne jette pas un œil plus insistant que pour une grand-mère, mais cela ne choque ou ne tente pas plus que cela. Un maillot attire forcément l’œil et c’est aussi la raison pour laquelle les nouveaux se font très vite à ce genre de tenue. Une fois nus, plus personne ne prête attention à eux.


Vêtus de nos seuls peignoirs, nous les laissons dans le couloir et nous nous dirigeons vers le hammam. Nous étalons nos serviettes sur le bois des sièges et nous nous installons. Afin de ne pas déranger les trois autres personnes présentes, nos discussions se font à voix basse. Dix minutes après et un début de transpiration commençant à perler sur nos corps, nous sortons et nous dirigeons juste à côté dans les douches. Même sans être très chaud, le premier hammam est toujours fatigant. Une douche assez fraîche ravive nos corps.


Nous voilà maintenant confortablement installés dans le sauna 65°, la sensation très sèche contraste avec l’humidité du hammam précédent, la vapeur de tout à l’heure masquait nos corps et nous nous retrouvons pour la première fois nus ensemble, les regards sont discrets et gênés, mais chacun est vite rassuré par l’étonnante similitude des corps de chacun…


Pour les filles, ma douce Cécile est plutôt petite et menue, elle se reproche souvent son petit ventre que les grossesses lui ont laissé, mais ces mêmes grossesses lui ont donné des seins magnifiques. Son petit cul est plutôt rebondi et son minou est fraîchement taillé en ticket de métro, les lèvres découvertes sont très peu visibles. Éline, quant à elle, est de même taille, beaucoup plus fine et musclée grâce aux régimes et aux sports qu’elle pratique, des seins légèrement plus petits, un beau petit cul et un sexe quasi identique, hors la forme triangulaire très courte de sa toison.


Pour les mecs, je suis plutôt grand et mince, pas franchement musclé, mais pas squelettique, un petit cul manquant un peu de forme, un sexe assez long et fin et des petites couilles qui pendent peu. Mon complice Wilfried est aussi grand et mince que moi, au niveau muscle, je crois qu’on ne peut rien s’envier l’un l’autre, un beau petit cul et un sexe légèrement plus long que moi et un peu plus large et des testicules plus tombants. Ces faibles différences ont détendu l’atmosphère et aucune jalousie ne s’est installée.


Quinze bonnes minutes après, nous n’en pouvons plus et sortons afin de nous détendre dans la piscine chauffée extérieure. La journée se déroule dans le même calme, le tout agrémenté de fous rires exceptionnels. Tout le monde à l’air d’attendre le complexe privé que nous avons réservé ce soir entre 21 h 30 et 23 h 30. Chacun avant le départ était parti dans des délires et autres spéculations d’ordre sexuel relevant plus du phantasme que de l’envie, et de ce fait chacun a hâte d’y être.


Une fois le repas expédié, nous voilà devant la porte de tous nos phantasmes. Le jeune homme chargé de nous faire visiter les lieux, sent la tension qui règne et ne s’attarde pas dans les explications. La porte refermée, nous voilà tous les quatre nus à visiter ce complexe, c’est vraiment super, nous avons un hammam, un sauna, une piscine et un spa, le tout pour nous quatre, et ce, pendant deux heures. Nous débutons par le spa et les baisers tendres et langoureux ne tardent pas à laisser la place à des caresses plutôt suggestives. La main de Cécile me caresse les cuisses, le torse, partageant la chaleur de sa peau avec toutes les parties de mon corps. Elle n’est pas encore très à l’aise, et c’est moi qui prends sa main pour la poser sur mon sexe. Il lui faut peu de temps pour me faire grossir entre ses doigts. Je me permets de lui caresser la poitrine, ses seins sont durs et tendus, donnant la sensation d’une poitrine très excitée.


Éline et Wilfried ne sont pas en reste, leurs langues s’entrelacent dans un baiser fougueux et les mains d’Éline remuent avec énergie entre les cuisses de son homme, les remous du spa masquent leur activité. Ma douce me suggère de les laisser temporairement et d’aller dans le hammam afin de prolonger nos caresses. À peine entré dans le hammam, je me jette sur Cécile pour lui dévorer les seins, elle bascule sa tête en arrière pour apprécier pleinement cette caresse. Ses mamelons sont tendus et des petits cris commencent à sortir de sa bouche. La saveur de sa peau, sa texture, son odeur me donnent encore plus envie de parcourir son corps. Je prends donc le temps de la caresser langoureusement avec mes mains, mes lèvres et ma langue alternativement.


Petit à petit, j’ai exploré tout le haut de son corps, puis je finis par descendre vers son entrejambe. Elle comprend ce que je veux faire et passe une jambe au-dessus de mon épaule, tout en se cambrant. Elle est offerte et je peux ainsi respirer son odeur de désir féminin que j’adore. Je me concentre alors sur sa vulve rose qui s’ouvre devant mes yeux et je me décide enfin à laper ses lèvres, ce qui a pour effet immédiat de tendre son corps en un murmure d’extase. Je prends mon temps et dépose des baisers et des coups de langue autour de ses lèvres, me contentant de souffler doucement sur la cible rose. Ce traitement a l’air de lui plaire, car pendant quelques instants ses gémissements se font plus forts. Puis je lui donne un coup de langue profond de bas en en haut, avant d’enfoncer ma langue dans son intimité ainsi offerte. Elle reprend l’initiative, ne voulant pas rester passive et me fait me relever. Elle me regarde droit dans les yeux en se mordillant la lèvre inférieure et se penche doucement sur l’objet de son désir.


Les jambes tendues, les seins ballants, elle m’engloutit d’un seul coup, ce qui a pour effet de m’électrifier toute la colonne vertébrale. C’est si bon que je crois jouir instantanément. Je veux reprendre mes esprits, ses seins se baladant au rythme des montées et descentes sur mon sexe, me rendent fou. Je saisis un sein dans ma main et comprends rapidement qu’il faut occuper mon esprit pour ne pas venir trop vite. Je me redresse alors et lui demande de revenir avec moi dans le spa avec nos amis, mais elle ne veut pas les déranger. Je me permets un rapide coup d’œil vers le spa et découvre Éline chevauchant Wilfried, le fait de les laisser seuls a déclenché les hostilités…


Je fais part à ma douce de leur activité et je lui dis que c’est le moment ou jamais, elle me fait oui de la tête et me suit. Une fois réinstallés dans le spa, je me mets assis sur le rebord et Cécile reprend mon membre en bouche et le rythme qu’elle donne à cette fellation montre à quel point elle est excitée de se retrouver proche de nos amis. Je me permets un autre regard vers nos amis et je vois Éline tout à son plaisir, allongée sur le rebord du spa pendant que Wilfried lui dévore l’abricot. Elle est magnifique, la tête sur le côté, les yeux fermés, prenant son plaisir sous la langue agile de mon ami. Elle est belle et semble épanouie.


C’est alors que je décide de m’écarter et de me replonger dans le spa, Cécile ne perd pas une minute et me chevauche, elle prend mon sexe en main et le guide à l’intérieur de son petit abricot. Elle se lance dans une chevauchée intense et les clapotis de l’eau sur son clitoris accentuent son plaisir, son corps s’arc-boute sous une jouissance longue et intense. Cécile m’embrasse en ondulant lentement son bassin et s’immobilise pour récupérer. Éline est toujours assise sur le bord du spa, mais Wilfried la pénètre maintenant avec de lents va-et-vient, profonds, intenses, qui extirpent à Éline des vocalises de plaisir… Elle bouge de droite à gauche, s’abandonnant totalement à son plaisir, ses seins ballottent, elle est belle et semble totalement offerte.


C’est alors que je décide de m’écarter d’eux et de leur laisser un peu de place, je propose à Cécile d’aller dans la piscine adjacente au spa et je la dépose sur la margelle pour faire remonter son désir en lui dévorant le clitoris. Une fois très excitée, je la pénètre avec force et intensité pendant de longues minutes. Je suis à mon tour au bord de l’explosion, quand je prends Cécile contre moi afin de sortir de la piscine. Elle adore particulièrement être prise sur une table et la table de massage que j’ai vue au milieu de la pièce en entrant me semble être à hauteur parfaite. Tendrement et lentement, je dépose Cécile sur la pierre que je viens de recouvrir d’une serviette, nous sommes toujours emboîtés. Je soulève une jambe de ma femme et la pénètre debout. Je la besogne assez durement et avec peu de tendresse, mais elle semble éprouver énormément de plaisir à se faire posséder ainsi. Elle se cambre et me tend les bras afin de me bloquer. Son corps est parcouru de spasmes et j’attends que son plaisir retombe. Je reprends mes va-et-vient de manière plus lente et surtout plus tendre, ses yeux se rouvrent tout embués du plaisir qu’elle a pris.


Tout en soulevant son autre jambe, en les maintenant très ouvertes et relevées, j’accélère mes mouvements. Ses yeux plantés dans les miens, elle prend ses seins à pleines mains et les malaxe fermement, elle sait que j’adore la voir se caresser… Les cris et les clapotis de l’eau dernière nous ont cessé et je sens que se pose sur nous un intérêt certain, cela augmente mon plaisir et mon ardeur. Lorsque Cécile glisse une main sur son corps afin de titiller son petit clitoris qui pointe, je suis envoûté par cette scène et elle m’excite autant que les petits gémissements que Cécile ne dissimule plus du tout. Ces images et le fait de réaliser que notre premier phantasme vient de se réaliser me font monter le plaisir et le rythme des coups de boutoir que je lui inflige, tout en m’étant retenu autant que possible, me font atteindre l’orgasme. Je me retire et me répands sur le ventre de ma partenaire. Je suis à bout de souffle et le plaisir a été intense, me penchant en avant je l’embrasse tendrement.


Après ceci, le contact se passe naturellement et les filles se retrouvent à discuter dans le spa et nous nous installons dans le sauna, chacun faisant part à l’autre du plaisir intense qu’il a pris à côté de l’autre… Lui et moi sommes d’accord sur le fait que ce qui vient de se passer est extraordinaire et que notre amitié vient sérieusement de franchir une étape. Ne voulant pas trop philosopher sur le sujet et ayant très envie de retrouver nos femmes, nous retournons dans le spa. Les discussions des filles cessent à notre arrivée et nous commençons à chahuter un peu et les caresses reprennent rapidement. Wilfried a la main sur le dos d’Éline, il commence même à la peloter assez précisément au niveau des fesses sous nos yeux impassibles. C’est très excitant même si après ce que l’on vient de vivre ensemble, on trouve cela naturel.


Pour ma part, une main parcourt les cuisses de Cécile et négligemment remonte vers son entrejambe. Elle est la seule à ne pas être indifférente au manège qui se passe sous l’eau, car visiblement l’excitation la gagne, elle se penche vers moi et m’embrasse sauvagement. À côté de nous, Éline a pris les choses en main et ce n’est pas qu’une façon de parler. Elle a saisi le sexe de Wilfried et commence à le branler vigoureusement. Il ne lui faut que quelques minutes de ce traitement pour être bien dur et de bonne taille.


Retournant à mes activités, je trouve Cécile les yeux rivés sur le sexe de mon pote. Elle n’a pas vu d’aussi près un autre sexe que le mien depuis ces quinze années passées à mes côtés. Ce ne sont que les deux doigts que j’introduis entre ses petites lèvres grandes ouvertes qui l’électrisent et qui lui font retrouver ses esprits. Elle glisse alors sa main sur ma cuisse et remontant, trouve enfin en chemin mon sexe tendu. Elle l’empoigne sans ménagement et me branle frénétiquement, l’eau et les bulles apaisent sa fougue. Ma main s’agite entre ses cuisses ouvertes, le majeur et l’index fouillant son intimité et mon pouce titillant son clitoris dressé. Mes doigts plutôt longs s’agitent sur son point « G ». Je l’embrasse fougueusement, nos langues se mélangent. Je sens un orgasme monter rapidement, elle gémit plus fort que tout à l’heure, la gêne d’être proche de nos amis l’a quittée. J’accélère mes caresses pendant que des spasmes la font tressaillir, le plaisir arrive jusqu’à ce qu’elle jouisse brusquement, comme une lame de fond, sans retenir un cri libérateur.


Quand elle ouvre à nouveau les yeux, Wilfried est assis en train de se faire sucer par Éline à genoux dans l’eau, et cette dernière nous offre une vision de ses fesses superbes et de ses petites lèvres imberbes. Elle est si proche de nous que Cécile n’aurait qu’à tendre le bras pour pouvoir la caresser de ses doigts. (Cécile m’avoua par la suite qu’après cette séance câline dans le spa, elle aurait adoré se laisser aller à quelques jeux lesbiens avec Éline. Peut-être un jour…) Elle me demande de m’asseoir comme Wilfried et s’installe comme Éline. D’une main, elle me masturbe lentement et de l’autre stimule mes testicules, me faisant râler sourdement. Elle en profite pour se rapprocher et saisit de sa bouche ouverte mon gland écarlate. Elle alterne jeux avec sa langue sur ma hampe et petit coup précis sur le pourtour du gland et finit par aspirer ma verge et descend le long de ma tige, profondément.


Elle sent un mouvement derrière elle, se retourne et voit que nos amis nous laissent le spa et vont s’enlacer sur les matelas de repos près de la piscine. Nous ne les voyons presque plus. Ce surcroît de place nous invite à d’autres expériences et Cécile se positionne en levrette presque hors de l’eau, elle adore cette position, de me sentir taper le fond de sa petite chatte la fait généralement chavirer rapidement. La bite à la main, j’approche mon gland de ses petites lèvres et je n’ai pas besoin de les écarter pour m’introduire. Je le fais d’une seule poussée tellement je suis excité, cela lui arrache un long râle qui me stimule encore plus, elle passe une main entre ses jambes et me triture les bourses, elle sait que j’adore ça et que généralement cela me fait exploser, mais je n’en suis pas encore là. Nous râlons tous les deux à en perdre le souffle. Cécile craque la première sous les effets de mes longs et rapides coups de reins, elle tend un bras vers moi et me bloque au plus profond d’elle, les spasmes dans son ventre s’accélèrent autour de ma queue, son orgasme est intense et durable.


Je me retire le sexe toujours pleinement érigé, elle reprend lentement ses esprits et s’assoit afin de me reprendre en bouche face à moi, j’ai une vue très excitante sur Wilfried prenant sauvagement Éline en levrette sur un matelas. D’où nous nous trouvons, nous percevons tout de même les cris de jouissance d’Éline. Le spectacle auquel j’assiste et la fellation endiablée que me fait Cécile vont me faire exploser.


Voulant me rapprocher de nos complices de jeux, je demande à Cécile si elle veut refaire une petite séance sur la table, la serviette est toujours en place. Elle me donne son accord du regard et nous traversons la piscine pour rejoindre notre nouvelle aire de jeux. Elle se couche sur le dos et me fait signe de me mettre sur le côté de la table, elle souhaite, semble-t-il, continuer ses jeux de bouche sur mon sexe dressé. Je n’ai qu’à tendre la main pour parcourir son abricot ouvert et juteux, elle adore se faire doigter, il n’est pas rare lors de nos ébats que, pendant les préliminaires, me voyant inactif sur son petit minou, elle se doigte toute seule, mais la finesse et la longueur de mes doigts ont sa préférence.


Les caresses et pénétrations successives me permettent de faire coulisser quatre doigts très facilement, seul le pouce reste dehors, mais il s’occupe immédiatement de son petit bouton. Après quelques minutes de ce traitement, je m’écarte de peur d’exploser dans sa bouche, ce n’est pas qu’elle ne l’accepte jamais, mais c’est toujours elle qui en décide le moment. Je m’installe entre ses cuisses et positionne mon sexe tendu à tout rompre, à l’entrée de son petit minou rasé. Je rentre facilement et commence des va-et-vient lents et profonds. Je sors volontairement pour cajoler son petit clitoris, je rentre, je sors, je joue avec elle, elle adore cela.


Je positionne brusquement mon sexe à l’entrée de son petit cul serré. Mon gland recouvert de sa mouille est déjà à moitié rentré, elle me fait non de la tête. Pourtant son postérieur à l’air d’avancer vers moi, car lorsque je me retire, mon gland avait disparu entre ses fesses. Elle ne veut, je pense, pas montrer ce plaisir qu’elle adore par-dessus tout à nos amis, en tout cas pas encore. Je reprends position dans son vagin et la pénètre alors vigoureusement. Les va-et-vient rapides et soutenus vont nous emporter rapidement dans un plaisir mutuel. Son troisième orgasme m’emporte, les contractions de son vagin sur mon sexe ont raison de moi et je me retire pour inonder son corps tremblant de jets de sperme puissants et abondants.


On se regarde paisiblement. Le plaisir que nous venons de prendre était immense et c’est l’un contre l’autre que nous jouons les indiscrets et tournons nos regards vers le dernier acte qui se joue à côté. Le spectacle est magnifique, nous avons pour habitude, Cécile et moi, de regarder des films lors de nos ébats, mais la scène que nous avons sous les yeux est beaucoup plus jolie que toutes les scènes que l’on a pu voir. La proximité, la tendresse et le réaliste de ce qui ce passe sous nos yeux, vont rester marqués à tout jamais dans nos mémoires, notre vie et notre sexualité n’en resteront pas inchangé. Éline est étendue sur le dos, elle est totalement abandonnée au plaisir que Wilfried lui procure ; il lui tient les jambes relevées et très écartées, son sexe est planté dans son vagin. Il réalise les mêmes va-et-vient qui ont déclenché le dernier orgasme de ma douce. Les cris d’Éline et la fougue qu’elle emploie à titiller son clitoris, montre qu’elle est proche de l’orgasme. Elle est ravissante et craquante lorsqu’elle s’abandonne à son plaisir, rien n’est plus beau qu’une femme qui jouit.


Wilfried respire fort, son sexe est tendu à tout rompre, il est impressionnant de puissance, ses couilles tapent le petit cul d’Éline. Ils sont beaux tous les deux – Cécile m’avoua par la suite, le regret qu’elle avait de ne pas avoir osé profiter plus du spectacle. Le peu d’images qu’elle a est gravé dans sa mémoire et l’excite au plus haut point. Lors de notre retour à la maison, il n’était pas rare qu’elle me saute dessus, car elle repensait à ce que nous avions vécu…


Éline et Wilfried sont au bord de la délivrance, elle ne cache plus son plaisir qui arrive au galop. Elle se tend, ses seins pointent vers nous, ils sont magnifiques, elle s’arc-boute et l’orgasme l’envahit, elle crie son plaisir. Wilfried ne tient plus, il sort son sexe turgescent et se branle frénétiquement au-dessus du ventre d’Éline. Quelques secondes suffisent à faire jaillir son plaisir si longtemps contenu.


Nous essuyons les traces de notre plaisir sur le ventre de nos femmes, et nous nous installons tous les quatre sur les matelas de relaxation. La fatigue venant insidieusement sur nos corps repus par tant de plaisirs, brisés, mais satisfaits, l’atmosphère s’adoucit et nous profitons paisiblement de ces derniers instants dans ce lieu magnifique, seul témoin de nos errements. Quitter cette atmosphère ne nous enchante pas, mais les deux heures sont presque finies et il est temps de refermer la porte de ce lieu et la porte de nos plaisirs communs par la même occasion.


À la réception, lors de la remise des clés, le sourire de la réceptionniste me fait penser qu’elle doit se douter de quelque chose. Il est vrai que de louer un tel espace pour deux couples, si c’est pour barboter dans l’eau pendant deux heures, l’intérêt est minime, elle doit imaginer pleinement ce qu’il se passe de temps en temps. Mais cela ne me gêne pas. Nous montons dans l’aile du château où se trouvent nos deux petites suites. On boit un verre dans notre chambre calmement afin de détendre l’atmosphère entre nous, puis chacun regagne ses appartements pour dormir ou pour autre chose d’ailleurs… Mais ça, c’est une autre histoire…