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n° 17346Fiche technique20379 caractères20379
Temps de lecture estimé : 13 mn
22/04/16
Résumé:  Après notre première expérience côte à côte avec un couple d'amis, les images que nous avons dans la tête Cécile et moi nous excitent terriblement. De nombreuses galipettes suivent avec une sodomie endiablée.
Critères:  fh hotel amour fmast fsodo -couple
Auteur : Frère de cul  (Un homme qui aime partager ses expériences vécues...)

Série : Thermes belges

Chapitre 02 / 03
Ma femme excitée comme jamais

Épisode précédent : « Nudisme et découverte »

Week-end nudiste à deux couples dans un centre thermal, découverte de la nudité entre amis. Location d’un complexe privatif où des séances coquines entre couples ont débuté. Premier émoi côte-à-côtiste, voyeurisme…)



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Nos amis ayant quitté notre suite, Cécile est immédiatement allée à la salle de bain afin de se rafraîchir, l’eau s’est mise à couler dans la baignoire et je me suis retrouvé un peu pantois, des images se télescopant plein ma tête, mon pote se faisant sucer, le joli petit abricot d’Éline pénétré par la grosse bite de Wilfried, ma douce en plein orgasme sous les yeux d’un autre couple. Nos presque deux heures de parties de jambes en l’air ne m’ont pas calmé pour autant et mon sexe appelle maintenant à sortir de son cocon. Je prends rapidement la place de Cécile dans la salle de bain en lui disant qu’un bain glacé me fera le plus grand bien. Elle me rend un sourire malicieux, puis me dit de vite sortir de ce bain pour éteindre le feu qui persiste en elle. Cette phrase finit de m’exciter, tant je n’ai pas l’habitude d’entendre ce genre de choses de la part de ma femme.


Mon bain terminé et, à peine séché, je la rejoins dans la chambre et je m’arrête net. Elle est là, allongée sur le lit, nue, un grand sourire franc lui barrant le visage. Cécile me fait signe de la rejoindre et je me jette immédiatement sur son entrejambe, plongeant ma langue dans son puits d’amour sans autre caresse préalable. Ce geste a pour effet de lui faire pousser un petit cri, que nos voisins de la suite adjacente ne peuvent pas manquer. Ses mains dans mes cheveux appuient ma tête fortement sur son mont de Vénus et ma langue la fouille de plus en plus intensément. J’ai le souffle court, me forçant à porter ma concentration sur mes mouvements de langue pour donner du plaisir à ma femme, je parcours ses lèvres ouvertes et son petit clitoris sorti de son capuchon, je descends jusqu’à son petit trou et le titille du bout de la langue, des chants de plaisir sortent de sa bouche, elle est au bord de l’explosion et se redresse.


Je suis surpris, mais elle m’explique que son petit corps ne tiendra pas longtemps et qu’elle ne veut avoir qu’un seul orgasme avant de s’endormir. Mon sexe est en pleine forme et elle s’en empare pour le branler lentement, elle me tire tendrement à elle afin que je la pénètre rapidement. On est au bord du lit, je me mets à genou par terre et écarte impudiquement les jambes de Cécile, je la pénètre, emporté par une folie voluptueuse. Elle pousse des cris de jouissance, heureuse d’être enfin comblée.


J’accélère le rythme, les émanations vocales de Cécile trahissent une jouissance proche, elle relève les jambes sur mes épaules et me supplie de la prendre fort, je m’exécute et la possède fermement, sa tête est tournée sur le côté, les yeux clos, les mains crispées sur les draps, quand soudain ses bras me bloquent au plus profond d’elle. Aucun cri ne sort, elle est trop contractée par ce plaisir qui la submerge. Je reste sans bouger, mais très dur dans son vagin, elle ouvre les yeux et s’excuse de ne pas avoir pu attendre ma jouissance, ce n’est pas grave, car ma jouissance est proche, elle me demande de me retirer et de me coucher sur le dos afin qu’elle puisse s’occuper de moi.


J’obéis sans un mot et elle se couche contre moi la tête sur mon torse, elle empoigne mon sexe pleinement lubrifié par sa mouille et me masturbe tendrement et lentement, mon plaisir monte et je lui dis que je suis au bord de l’explosion, elle accélère le mouvement et je contracte mon bras derrière son dos pendant les premiers jets du dernier orgasme de la journée. Je me répands sur mon ventre les yeux clos, prêt à m’endormir, je suis épuisé par ce marathon de sexe que nous venons de pratiquer. Les petits coups de langue sur mon gland me sortent de mon apaisement, elle apprécie peu de faire ce genre de chose après ma jouissance, mais elle est tellement épanouie, qu’elle se laisse aller et m’embouche afin de nettoyer mon sexe. Je suis au septième ciel, elle repose mon sexe ramolli sur mon bas-ventre et essuie avec un mouchoir le peu de semence qui avait réussi à sortir lors de ce troisième orgasme de la soirée. Elle se colle à moi, nue, et nous partons ensemble dans les bras de Morphée.


Quelques bruits dans les couloirs de l’hôtel me réveillent, il est 9 h 15 et j’ai dormi comme un bébé, contre moi, ma femme est nue et encore endormie. Je l’espionne discrètement, la couverture a bougé et laisse découvrir sa magnifique poitrine. Des bruits et des gémissements viennent d’une chambre voisine, je pense que c’est nos amis, mais je n’en suis pas certain. Mon érection du matin est amplifiée par ses petits cris, et je ne peux pas rester comme ça avec le corps nu qui repose près de moi. J’entends, je pense, le souffle rauque de Wilfried et le bruit du sommier frottant contre le mur. Sa compagne laisse aussi échapper des feulements plus aigus qui m’excitent au plus haut point. Il me semble ensuite discerner les claquements des deux corps à un rythme assez élevé, ou alors c’est mon imagination.


Je ferme les yeux et le corps nu d’Éline apparaît, elle est ravissante, elle est sur le dos en bord de lit, les jambes impudiquement écartées et Wilfried la pénètre tendrement, ils sont beaux tous les deux. J’ouvre les yeux et je m’aperçois que je suis en train de me caresser, j’étais comme dans un rêve, mais ma main n’était pas restée inactive. Je bande comme un âne, Cécile adore que je lui fasse l’amour au réveil, car elle trouve que mon sexe est encore plus gros que d’habitude et elle prend un plaisir fou.


Je m’avance alors vers elle et me mets à embrasser doucement ces seins, puis, m’enhardissant et sentant sa respiration accélérer, je les dévore. Tantôt aspirant les tétons, tantôt les mordillant, Cécile halète sous les coups de langue précis et efficaces. Elle prend une de mes mains et la glisse entre ses cuisses, son petit minou est déjà tout humide, et le doigt que je glisse à l’intérieur n’a pas de mal à rentrer. Les yeux fermés, Cécile se saisit délicatement de mon sexe tendu contre sa cuisse. D’abord, ses doigts glissent le long de ma verge dure, du gland jusqu’au bas-ventre. Puis, ils passent en dessous et flattent mes testicules vidés par les jeux de la veille. Enfin, la main empoigne la colonne de chair et se met en branle lentement, l’objet de son désir lui semble si gros dans sa petite main et elle me dit :



J’attends qu’elle reprenne ses esprits et recommence des va-et-vient lents et profonds, elle recommence à gémir quasi immédiatement. Je profite de son excitation pour présenter un doigt à l’entrée de son petit cul, aucun mot, je rentre une phalange, elle se cambre, m’aide à la pénétrer, et aspire mon doigt en ondulant le cul, elle en demande plus. Je sors mon doigt presque en entier avant de le lui enfoncer à nouveau, jusqu’à la garde. Elle se tend, je sens son sphincter se contracter autour de mon majeur, elle se cambre encore et me demande de venir dans son petit trou. Ma queue est bien lubrifiée en sortant de sa petite chatte trempée, je m’en saisis à pleine main et la guide sur sa rondelle brûlante. Je force un peu le passage et mon gland rentre lentement, je continue ma progression jusqu’à ce que ma queue soit bien en place et Cécile pousse doucement dessus pour me sentir bien au fond.


Elle rejette la tête en arrière, le plaisir semble monter en elle. Je place mes mains sur son petit cul, écarte ses fesses blanches, et je vais et viens dans sa grotte. J’accélère le rythme, elle se met à gémir, puis à crier, sans plus se soucier des voisins. Elle va venir, elle va jouir, elle adore particulièrement jouir du cul, je sens ses fesses collées contre mon pubis, je ne peux pas aller plus profond en elle, je l’encule jusqu’aux poils, jusqu’aux couilles, elle se tend sur ma queue, serre ses muscles, je l’entoure de mes bras, mains calées sur ses seins, et elle jouit brusquement.


Elle met un moment à reprendre ses esprits, mais les mouvements de ma queue dans son petit cul la font revenir à la surface. Je suis toujours derrière elle, je prends une de ses jambes et la relève écartant ses cuisses volontairement. Elle comprend le message immédiatement, et glisse sa main gauche vers son minou délaissé. On serait à la maison, elle se jetterait sur son « rabbit », mais nous n’avons pas prévu de jouets dans la valise. Elle entre un doigt qui est vite rejoint par un deuxième puis un troisième. La sensation de mouvement sur mon sexe à travers la fine paroi qui nous sépare est extraordinaire. Nous pratiquons cette position régulièrement c’est, sans hésiter, sa préférée. Son fantasme ultime serait de remplacer ses doigts par un vrai sexe.


Les cris de Cécile sont devenus des gémissements toujours très audibles, elle m’accompagne et m’encourage à venir, donnant de grands coups de reins en arrière pour m’engloutir toujours plus loin, je sens ses doigts dans sa petite chatte qui remue brutalement. Elle y va fort, très fort, elle ne se caresse plus, mais se branle frénétiquement. Son quatrième orgasme a raison de moi, elle jouit simultanément vaginalement et analement. Je sens mon gland gonfler, doubler de volume dans ses chairs, je me retire subitement et j’explose sur son bas-ventre encore secoué de spasmes violents. On reste là l’un contre l’autre sans se soucier du temps qui passe, des bruits plus importants que d’ordinaire dans le couloir nous font sursauter. Panique à bord, nos amis vont nous attendre pour le petit-déjeuner et nous sautons à terre afin de rejoindre la salle de bain.


La petite douche matinale expédiée, nous voilà à crapahuter dans les couloirs de l’hôtel afin de retrouver nos amis pour le petit-déjeuner. Nous les apercevons non loin de la porte de leur suite, après nous être excusés de notre retard, en argumentant sur une improbable panne de réveil qui n’a convaincu personne, nous filons tous ensemble vers le restaurant pour reprendre un maximum de vitamine afin de remplir les batteries bien vidées par nos activités de la veille. Tout en profitant des agréables viennoiseries, nos amis nous demandent si la nuit a été bonne, au vu de mon sourire et au fait que je l’avais trouvé un peu courte surtout sur le matin, ils se sont sûrement douté que les gémissements et les cris de jouissance entendus devaient bien venir de notre chambre.


Rapide passage par nos chambres afin de préparer nos affaires pour les remettre dans la voiture, car impossibilité de rester dans ces suites qui n’étaient libres que la nuit passée. Heureusement que j’ai trouvé deux chambres dans un complexe similaire du même groupe non loin d’ici près de Grimbergen, car sinon notre petite escapade nudiste se serait limitée à une nuit. Les bagages jetés dans le coffre et nous voilà à déambuler vers les vestiaires afin d’y déposer nos vêtements. Nos peignoirs comme dernier rempart à notre nudité, nous sommes partis vers la partie naturiste des thermes.


En arrivant dans la salle de détente, il y a beaucoup plus de monde que la veille, pas mal de couples et beaucoup plus de jeunes couples qu’hier, le samedi est plus propice aux sorties pour les gens en activité. L’ambiance est un peu différente aussi, moins intime, un peu plus de voyeurs, car il faut l’avouer beaucoup plus de choses à mater. Cécile et Éline sont ravissantes, et de nombreux regards se posent sur leurs courbes, il faut dire aussi que le peu de pilosité restant sur leurs pubis ne cache rien de leurs trésors. Au cours de cette journée, à plusieurs reprises j’ai croisé des regards quelques fois appuyés sur les renflements de leurs monts de Vénus.


Mais les mateurs n’étaient pas que masculins, car quelques jeunes femmes ne manquaient pas de laisser traîner quelques regards vers les attributs de Wilfried ou les miens. Ce n’est aucunement gênant, car d’une part cela reste rare et très discret et d’autre part nous faisions de même. Nos regards masculins étaient plus insistants sur les jolies jeunes femmes que sur les petites mamies, mais c’est plaisant de découvrir tous ces corps dénudés. Cela permet de se rendre compte à quel point l’épilation intégrale est devenue le standard, très peu de jeunes femmes avaient un pubis non-épilé. De leurs côtés, les filles ne se privaient pas non plus, et les beaux mecs ou les mecs bien montés attiraient plus leur attention.


Cette journée fut agrémentée de passage dans les différents spa, sauna et piscine, elle nous permit surtout de reparler de notre soirée plus qu’agréable dans le spa privé. Nous sommes à barboter dans la piscine extérieure chauffée et je suis en train de dire à Wilfried que je relouerais bien le complexe privé pour ce soir, les filles sont juste à côté de nous et elles vont dans mon sens, ce qui me surprend qu’à moitié. Il n’y a aucune gêne entre nous, Cécile me dit qu’elle adorerait recommencer ce qui s’est passé la veille et Éline a l’air sur la même longueur d’onde.


Les filles se sont rapprochées de nous et le contact de leur joli petit cul contre nos sexes ne nous laisse pas indifférents. Je demande à Cécile d’arrêter ce petit jeu, car mon sexe commence à réagir sérieusement. Elle cambre son fessier et mon sexe s’insinue automatiquement entre ses jambes, je me recule, car nous ne sommes pas seuls dans la piscine et à moins de cinq mètres, un jeune couple d’une vingtaine d’années nage vers nous. Cécile a le sourire et elle profite bien de la situation, elle se retourne m’embrasse et plonge une main dans l’eau, elle empoigne mon sexe, le décalotte, et me dis que dans cette situation je ne suis pas prêt de sortir de l’eau. Elle n’a pas tort, je bande comme un âne, le gland au vu de tout le monde, et je suis obligé de faire quelques longueurs de bassin afin de faire redescendre la pression. Wilfried me rejoint en nageant lui aussi et il me fait part qu’il est dans le même état que moi et qu’elles sont parties s’installer sur les bains de soleil intérieurs.


Nous sommes obligés d’attendre un peu pour les rejoindre, nous nous couchons à côté des filles, c’est vraiment plaisant de se détendre nus dans cet environnement. Les minutes passent, je me suis assoupi, j’ouvre les yeux, mes voisins sont en mode sieste, Cécile qui est proche de moi à entrouvert les jambes pendant son repos et je me délecte les yeux mi-clos, de voir les regards masculins détailler les petites lèvres dépassant de son intimité. Elle est belle dans cette position, nous serions seuls, je me régalerais à la réveiller par de tendres coups de langue sur son petit abricot entrouvert. Je refoule ces idées coquines, car je sens mon sexe réagir, je ne bande pas, mais il a pris des proportions qui ne sont pas sa position habituelle de repos.


Je ne pense pas que cela puisse se remarquer et garde les yeux presque fermés afin de regarder discrètement les petits voyeurs. Il n’y a pas que des voyeurs, car le groupe de jeunes filles passant devant nous à l’air plus attiré par mon sexe et mes testicules fraîchement rasés que par le petit minou de Cécile. C’est excitant et flatteur à la fois, mais je préfère repartir à ma sieste, car je redoute une réaction de mon sexe que je ne pourrais dissimuler. La journée s’est déroulée de cette manière, s’est passée très vite et on s’est vite retrouvés au repas du soir, Wilfried n’est pas en grande forme, le massage de l’après-midi a eu pour effet de réveiller de vieilles douleurs au dos.


Nous prenons la voiture et on se dirige vers le deuxième centre thermal situé à Grimbergen. Je dois récupérer les clés de nos chambres à l’accueil et je signale à nos amis qu’ils ont peut-être de la place dans un sauna privé avant d’aller au lit. Une fois notre véhicule stationné, je vais à la réception afin de récupérer les clés de nos chambres et j’en profite pour demander à la jeune hôtesse s’il resterait de la place pour ce soir dans un de leurs espaces privés. Elle me fait part qu’il n’y a aucun espace privé à Grimbergen, je prends les clés non sans une certaine déception et je vais retrouver Cécile et nos amis à l’extérieur.


Sur le chemin de l’hôtel où nous nous rendons à pied, Cécile ne cache pas sa déception de ne pas pouvoir finir la soirée sur une touche plus érotique et elle demande à nos amis de monter nous rejoindre dans notre chambre afin de prendre un dernier verre. Lors de cette invitation, je me rends compte à quel point, elle s’est débridée, elle ne veut pas en rester là et elle a envie de prolonger la soirée. Nous laissons nos amis prendre possession de leur chambre et montons à l’étage supérieur pour ranger nos petites affaires avant la venue d’Éline et Wilfried.


La porte est à peine fermée, j’ai encore les sacs dans les mains, que Cécile me saute dessus et m’embrasse avec fougue, elle glisse sa langue dans ma bouche et l’enroule autour de la mienne. Elle se recule et me dit qu’elle adorerait recommencer ce qui s’est passé dans le spa hier soir et qu’elle en meurt d’envie. Je lâche les bagages et la bascule sur le lit, je reprends notre baiser où nous l’avions laissé et je glisse une main sous sa robe et découvre un petit string trempé. Elle me repousse en me rappelant qu’ils ne vont pas tarder et qu’elle est déjà assez excitée comme ça. Elle m’excite au plus haut point, je ne l’ai jamais vue comme ça. Je lui demande jusqu’où elle veut aller, elle me dit que la seule limite qu’elle s’impose c’est qu’elle ne veut pas de pénétration par un autre que moi et qu’elle meurt d’envie d’embrasser Éline.


Ces quelques mots ont raison du peu de calme qu’il me restait et la bosse dans mon jean témoigne de ma forte excitation. Heureusement, nos amis toquent à la porte de notre chambre et Cécile leur ouvre afin qu’ils entrent. Wilfried a mauvaise mine et il nous fait part de ses fortes douleurs au dos. Cécile et Éline s’installent sur le lit et nous prenons les deux chaises qui restent pour boire un petit coup. L’état physique de Wilfried fait retomber rapidement l’excitation ambiante et on voit que tout ce qu’il souhaite c’est de filer au lit. On finit tous nos verres et c’est non sans une certaine tristesse que nous voyons nos amis se lever et nous quitter.